Inscription
Connexion

31 mars 2019, 14:55
Club culturel - Partagez vos coups de cœur


Le résumé du livre 1 Eragon :
Eragon n'a que quinze ans, mais le destin de l'Empire est désormais entre ses mains ! C'est en poursuivant une biche dans la montagne qu'Eragon, tombe sur une magnifique pierre bleue, qui s'avère être... un oeuf de dragon ! Fasciné, il l'emporte à Carvahall, le village où il vit pauvrement avec son oncle et son cousin. Il n'imagine pas alors qu'une dragonne, porteuse d'un héritage ancestral, va en éclore... Très vite, la vie d'Eragon est bouleversée. Contraint de quitter les siens, le jeune homme s'engage dans une quête qui le mènera aux confins de l'empire de l'Alagaësia. Armé de son épée et guidé par les conseils de Brom, le vieux conteur, Eragon va devoir affronter avec sa dragonne les terribles ennemis envoyés par le roi Galbatorix, dont la malveillance démoniaque ne connaît aucune limite.

Je voulait vous faire découvrir se livre de magie que j'ai beaucoup apprécié. Pour plus d'information, vous pouvez aller voire le site :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eragon. Je vous conseil vraiment d'aller le lire en entier.

*Camille.F*
Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises ;-)

01 avr. 2019, 07:26
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Première fois que je passe ici mais cela ne va pas être la dernière !  :)

Point d’interrogation, une pièce faisant réfléchir

Il n'y a pas longtemps, j'ai assisté à une représentation de la pièce de Irina Brook Point d'interrogation avec à la clé un jeu de scènes faisant réfléchir.

Image

Irina Brook (metteuse en scène de la pièce) a su me surprendre par l’originalité avec laquelle elle a rendu la pièce interactive et attrayante. Les quatre comédiens (Kevin Ferdjani, Marjory Gesbert, Issam Kadichi, Irène Reva = La troupe des Éclaireurs) ont su, par le biais de la rigolade, nous faire réfléchir sur l’avenir de notre planète ainsi que celui de la race humaine. Les notions de réchauffement climatique, alimentation, apprentissage, maladies sont évoquées ainsi que celle des loisirs. Il est impossible pour nous de savoir quand se déroule la pièce mais nous sommes sûrs qu’elle se passe dans le futur.

L’histoire est assez simple mais fait passer un réel message : Quatre jeunes étudiants sont appelés via leur main connectée pour expliquer comment ils voient le futur. Ils se retrouvent donc dans une pièce où une voix leur pose une dizaine de questions et ils doivent, par les moyens du bord (les objets présents sur scène), expliquer comment ils voient les choses quelques dizaines d’années plus tard.

Certaines scènes peuvent être coupées par l’intervention de la voix qui pose les questions. Cette dernière permet de séparer les scènes et le jeu des acteurs. En effet, ils doivent à chaque question illustrer leurs propos par les objets présents sur scène. C’est une voix féminine qui pose les questions mais elle est invisible sur scène. Ses propos sont illustrés par des images et des vidéos de notre époque afin que les comédiens puissent se préparer pour la scène (comme par exemple un extrait d’un discours d’Adolf Hitler).

Un gros travail a été fourni au niveau des décors. En effet, la pièce de théâtre ne se déroulait que sur un carré au centre de la scène mais de très nombreux objets étaient suspendus via de longues cordes.  Les couleurs dominantes des objets est surtout le blanc ainsi que le rouge, c’était un choix de la metteuse en scène.

En parlant des costumes, ils étaient relativement simples, enfantins et étaient unis aux couleurs des objets. Les comédiens ne portaient pas le même costume tout au long de la scène : à chaque nouvelle question de la voix, les costumes changeaient mais restaient toujours dans les tons rouges et blancs.

Il n’y avait pas de jeux de lumières à proprement parlé. Lors des discours de la voix, aucune lumière n’était présente, à part celle du film et durant les passages plus effrayants, les lumières étaient dirigées vers le comédien en question.

Image

Au niveau de l’acoustique, elle était présente à petite dose mais au bon moment : la musique redonnait du rythme à la pièce. La musique était souvent accompagnée de danses exécutées par les comédiens mais, elle n’était présente que sur de courts moments, ce que je trouve un peu dommage.

Pour conclure, je dirais que j’ai beaucoup aimé cette pièce car elle n’était pas du tout difficile à comprendre. J’ai été séduit par la diversité des accessoires, objets utilisés ainsi que par le jeu des acteurs, surtout par celui de Marjory Gesbert qui savait s’adapter à toutes les scènes et nous faire rire quoi que ce soit. C’est une pièce de théâtre que je conseille vivement. Et vous, comment voyez-vous le futur de notre société ?

C'est donc une pièce que je recommande volontiers  :)

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.

03 avr. 2019, 21:52
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
J'aimerai vous partager un DJ que j'adore. Il s'agit de Feder :love2:

Image

Hadrien Federiconi, connu sous son nom de scène Feder, est un DJ français originaire de Nice. Il se fait connaître en 2014 avec un remix de la chanson Can't get away de Sixto Rodriguez. Après avoir signé chez Atlantic Records, il connait un succès international en 2015 avec le morceau Goodbye, qui se classe n°1 des téléchargements en France durant six semaines, ainsi que dans plusieurs pays. Il est alors élu « Révélation de l'année » aux NRJ DJ Awards6, et enchaîne les succès avec notamment les titres Blind (2015), Lordly (2016) et Breathe (2017). En 2018, il compose le titre Rolling Stone pour Mylène Farmer, qui se classe n°1 des ventes en France, ainsi que 7 autres titres pour l'album Désobéissance. En parallèle, il sort son titre Control en fin d'année. Source Wikipédia



PS: évidemment j'adore le nouvel album de Mylène Farmer vu que Feder a composé ses titres.

peu présente pour lire vos hiboux et répondre aux rp

08 avr. 2019, 20:39
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Foster The People : assez de Pumped Up Kicks !


All the other kids with the pu... Chuuut ! Foster The People, le groupe d'indie rock originaire de L.A. a certes connu un succès monstre avec son titre Pumped Up Kicks, extrait du premier album du groupe, Torches, sorti en 2011. Pourtant, le groupe américain a plus d'une corde a son arc, en témoigne cette discographie remplie de petites pépites plus ou moins connues (toujours moins que Pumped Up Kicks, malheureusement).

Houdini et Helena Beat, à l'ombre dans Torches

Plus punchy et moins répétitif que le succès suscité - et que je ne nommerai plus par lassitude - Houdini nous rappelle notre communauté magique : je vous invite à vous renseigner sur Harry Houdini, juste pour le plaisir et pour votre culture, parce que le type a eu une sacrée histoire. En dehors de ça, je vous laisse savourer la musique, le clip franchement bien réalisé et quelques lignes sympathiques si vous êtes plus doués en anglais que Kristen en magie (actuellement :wise: ).

Autre coup de cœur de ma jeunesse avec ce groupe : Helena Beat, accompagné encore une fois d'un clip très sympa et de bonnes basses aux petits oignons.

Bref, tout ça pour dire que ces deux titres assez anciens n'avaient rien à envier à Pumped U... Non, je ne peux pas.

If you're gonna love them, love them in style

Le single est sorti le 21 mars sur la plateforme YouTube, je l'ai saignée en la découvrant il y a quelques jours, et Ô surprise ! Je découvre en me connectant à ce vaste monde de l'Internet que le clip est sorti il y a à peine une heure. Déjà fan du squelette animé sur l'audio, je découvre donc le clip et... Que dire ? Ce style ! Les paroles m'avaient déjà interpelées parce que je les associais à mon personnage. En effet, quelques jours avant que je ne la découvre, j'avais écrit dans une aventure : « Vous vous doutez qu'un certain nombre de personnes seraient ravies de me tuer, et l'inélégance du meurtre par empoisonnement ne les rebuterait pas...  J'ose espérer que vous auriez plus de style, s'il vous prenait un jour cette curieuse envie. » et là, qu'ouïs-je ? "If you're gonna fight me, fight me in style / If you're gonna hate me, hate me in style". En plus de penser à Kristen, je pense évidemment à ces personnes très peu dignes qui déversent régulièrement leur venin sur moi avec une élégance plus que discutable, mais passons ! Entendre ce que l'on pense dans une chanson avec un rythme plaisant procure toujours un drôle d'effet (Cf. quelques titres du très bon groupe Thérapie Taxi).

Le côté plus rock saturé de cette musique, le rythme, la mélodie, tout me plaît dans ce nouveau morceau, et j'espère que ce sera le cas pour vous aussi.

C'est donc mon coup de cœur musical de ce début de mois, en espérant que Style aura le même succès - si ce n'est plus... - que Pumped Uuu-aaaah !


Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~

@Mentionnez-moi pour activer le Tabou

13 avr. 2019, 01:14
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
F(L)AMMES
Vu le 04/03/2019 au CDN
Image
F(l)ammes, c'est le dernier spectacle d'Ahmed Madani. Ce sont dix jeunes femmes de quartiers populaires qui montent sur scène façon stand-up ; dix femmes qui expriment leurs fragilités, leurs difficultés, qui exposent de petits morceaux de leurs vies. Elles ne sont pas sur le plateau pour nous faire pleurer de compassion mais pour présenter leur réalité. Dans un spectacle touchant et haut en couleurs, elles réinventent la féminité et l'appartenance à la France.

Si la mise en scène est plutôt minimaliste (neuf chaises à dossier, un écran au lointain, un micro sur pied) elle permet justement un grand mélange des genres : théâtre, chant, danse,... à travers lesquels les dix comédiennes véhiculent, chacune leur tour ou ensemble, une puissance incroyable et fascinante.
C'est une bonne claque à prendre, qui m'a fait me dire "merde, assume-toi", qui nous fait nous sentir fier/fière de qui nous sommes et pousse à réfléchir autant sur le patriarcat que sur la condition désastreuse des femmes dans certains pays (quoique les deux vont souvent de paire dans les situations évoquées au cours du spectacle).
Difficile d'en parler sans spoiler, c'est en tout cas un des seuls spectacles qui aura su me faire passer d'une émotion à une autre radicalement opposée en l'espace de quelques secondes seulement. J'ai été stupéfait par le jeu des comédiennes, en particulier à un moment précis durant lequel je suis resté sceptique, à me demander si ce que je voyais et entendais était un coup de théâtre ou bien la réalité. J'ai été en colère, j'ai ri aux larmes, j'ai été longuement dépité, et j'ai applaudi à m'en déchirer la paume des mains, pour ressortir du théâtre plus joyeux, confiant et motivé que jamais.
J'ai énormément d'admiration pour les dix femmes qui sont montées et montent encore sur le plateau pour ce spectacle, beaucoup pour la première fois, et pour partager avec le public un petit bout d'elles-mêmes. Sans hésitation un coup de cœur de la saison 2018-2019 au CDN.


Détenteur de l'information vraie, spécialiste en volatiles. Elfe crasseux vouant son existence au maître Sjöstedt disparu.

14 mai 2019, 22:46
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Je vais tricher un peu pour cette fois, mais j'ai lu de si belles pages que je ne pouvais m'empêcher de les partager. Il y a quelques mois, je préparais un cours de français pour des élèves de Première sur un texte que j'avais déjà trouvé sublime et qui m'avait donné envie de lire ce livre... Le temps m'ayant manqué après cela, j'ai rapidement interrompu ma lecture pour me consacrer à certaines obligations qui étaient les miennes, et voilà qu'hier, je retrouve (enfin !) du temps pour ouvrir ma liseuse et reprendre ma lecture...

Je voudrais vous parler de quelques pages de :

L'homme qui rit,
écrit par notre héros national de la littérature, notre Shakespeare à nous, j'ai nommé :

Victor Hugo.


Je vais tricher, donc, car je ne peux pas vous parler de ce livre comme d'un coup de cœur, étant donné que j'ai à peine débuté ma lecture. Pourtant, je ne doute pas qu'il deviendra très vite l'une de mes plus belles lectures tant les pages que j'ai lues sont pleines de promesses.

Mon entrée dans ce livre est donc passée par un extrait du discours de Gwynplaine, "l'homme qui rit", à la Chambre des Lords. Je n'ai pas du tout commencé par le début, mais ce texte m'avait déjà marquée - surtout quand on doit le disséquer pour faire un cours dessus !
Je représente l'humanité telle que ses maîtres l'ont faite. L'homme est un mutilé. Ce qu'on m'a fait, on l'a fait au genre humain. On lui a déformé le droit, la justice, la vérité, la raison, l'intelligence, comme à moi les yeux, les narines et les oreilles ; comme à moi, on lui a mis au cœur un cloaque de colère et de douleur, et sur la face un masque de contentement. Où s'était posé le doigt,de Dieu, s'est appuyée la griffe du roi. Monstrueuse superposition. Évêques, pairs et princes, le peuple c'est le souffrant profond qui rit à la surface. Mylords, je vous le dis, le peuple, c'est moi. Aujourd'hui vous l'opprimez, aujourd'hui vous me huez. Mais l'avenir, c'est le dégel sombre. Ce qui était pierre devient flot. L'apparence solide se change en submersion. Un craquement, et tout est dit. Il viendra une heure où une convulsion brisera votre oppression, où un rugissement répliquera à vos huées. (...) Tremblez. Les incorruptibles solutions approchent, les ongles coupés repoussent, les langues arrachées s'envolent, et deviennent des langues de feu éparses au vent des ténèbres, et hurlent dans l'infini ; ceux qui ont faim montrent leurs dents oisives, les paradis bâtis sur les enfers chancellent, on souffre, on souffre, on souffre, et ce qui est en haut penche, et ce qui est en bas s'entrouvre, l'ombre demande à devenir lumière, le damné discute l'élu, c'est le peuple qui vient, vous dis-je, c'est l'homme qui monte, c'est la fin qui commence, c'est la rouge aurore de la catastrophe, et voilà ce qu'il y a dans ce rire, dont vous riez !
Et hier, reprenant ma lecture, je tombe sur cette page qui m'a fait interrompre ma lecture pour la photographier. La voici :
Il ne souriait pas, nous l'avons dit, mais il riait ; parfois, fréquemment même ; d'un rire amer. Il y a du consentement dans le sourire, tandis que le rire est souvent un refus.
Sa grande affaire était de haïr le genre humain. Il était implacable dans cette haine. Ayant tiré à clair ceci que la vie humaine est une chose affreuse, ayant remarqué la superposition des fléaux, les rois sur le peuple, la guerre sur les rois, la peste sur la guerre, la famine sur la peste, la bêtise sur le tout, ayant constaté une certaine quantité de châtiment dans le seul fait d'exister, ayant reconnu que la mort est une délivrance, quand on lui amenait un malade, il le guérissait. Il avait des cordiaux et des breuvages pour prolonger la vie des vieillards. Il remettait les culs-de-jatte sur leurs pieds, et leur jetait ce sarcasme : - Te voilà sur tes pattes. Puisses-tu marcher longtemps dans la vallée des larmes ! Quand il voyait un pauvre mourant de faim, il lui donnait tous les liards qu'il avait sur lui en grommelant : - Vis, misérable ! mange ! dure longtemps ! ce n'est pas moi qui abrégerai ton bagne. Après quoi, il se frottait les mains, et disait : - Je fais aux hommes tout le mal que je peux.
Je pourrai également vous recopier tout le chapitre suivant, traitant des Comprachicos, les vendeurs d'enfants, qui est d'une qualité et d'une cruauté inouïe. Je m'étais un peu fâchée avec Hugo après avoir lu La Légende des siècles - un calvaire -, mais je dois admettre que c'était stupide, car j'avais aimé la version abrégée des Misérables lue au collège et Hernani, sa célèbre pièce romantique, lue des années plus tard. Personne ne nous oblige à aimer toute l’œuvre d'un auteur, même d'un Victor Hugo. En l'occurrence, j'ai un très bon feeling avec L'homme qui rit, et dès que celui-ci sera terminé, je commencerai ma lecture de Notre-Dame de Paris, qui traîne dans ma liste de "livres à lire" depuis maintenant 7 ans... Bref, Victor Hugo, ce n'est pas (toujours) difficile à lire. Le style est générale fluide, beau et tranchant. Je suis certaine de prêcher des convaincus et n'ai pas beaucoup d'honneur à vanter les mérites d'un tel auteur, mais je le dis surtout pour ceux que la littérature "classique" (au sens large) effraie. Ça se lit comme des petits pains ! (hein ?)

En bref, ce n'est pas le livre qui est mon coup de cœur, il est trop tôt pour le dire, mais bien ces pages. J'espère qu'elles vous auront plu autant qu'à moi. :)

Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~

@Mentionnez-moi pour activer le Tabou

04 juin 2019, 21:02
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Je suis tombée sur L'Homme qui rit à mon oral de français l'an dernier et j'ai beaucoup apprécié en parler et en débattre avec l'examinateur ! Je pense le lire lorsque j'en aurai le temps, il a en effet l'air très intéressant ; j'ai de plus toujours apprécié Victor Hugo. @Kristen Loewy

Pour ma part, je suis tombée il y a un peu moins d'un an en éperdue admiration pour Louis Aragon, auteur français du XXe siècle. Je le connaissais depuis le collège, ayant pu étudier notamment le poème La Rose et le Réséda à de maintes reprises, mais je n'avais jamais réellement pris la peine de m'intéresser à ses oeuvres. Mais lorsqu'en seconde ma professeure de français a évoqué le roman Aurélien, de Louis Aragon, puisque lorsque j'ai commencé à de plus en plus apprécier la poésie au point d'en délaisser un peu le genre romanesque, je me suis mise à lire ses oeuvres poétiques. J'ai ainsi pu lire Elsa, Les yeux d'Elsa, La Diane Française ainsi que Le fou d'Elsa. Mon favori restera cependant Elsa, le premier que j'ai eu et lu et qui m'a énormément plu.
Je trouve que Louis Aragon est, d'une part un artiste engagé qui sait prendre place pour des luttes importantes, mais également un artiste touchant et d'un style rare que je me plais à beaucoup apprécier. J'aime énormément sa façon d'écrire, de basculer du presque-absurde à une douceur parfois démesurée. Je ne me lasse pour l'instant pas de ses oeuvres, et je vous conseille d'aller en lire si vous le pouvez, autant ses poèmes qui sont faciles à appréhender que ses romans qui sont très intéressants et enrichissants !

27 juin 2019, 14:14
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Pour faire un bon film il est évident qu'il faut une bonne histoire, un bon scenrio bien ficelé. Il faut aussi un bon réalisateur qui conduit de bons acteurs et derrière une bonne équipe qui monte et ajoute les éventuels FX. Mais il y a un aspect auquel on ne prette pas toujours attention, un élément pourtant tout le temps présent et qui fait que sans, le film peut changer du tout au tout. Avec on peut passer d'un film moyen à un film très bon ou l'inverse quand c'est mal maîtrisé.

Je parle bien entendu de la musique. Et là tout de suite je suis sûr que certaines musiques de films vous viennent en tête car certaines marquent les esprits. Prenons l'exemple des thèmes d'Harry Potter ou de Star Wars. Les thèmes musicaux de ces films sont inoubliables car martelées à travers toute une saga. Et il y a pleins d'autres exemples, Retour Vers le Futur, Indiana Jones, Pirates des Caraïbes. Il n'y a qu'à faire un blind test pour nous en rendre compte, on entend les premières notes et même sans l'écouter en dehors du film on reconnaît de suite la musique. Si là je parle des thèmes sonores qui reviennent plusieurs fois dans le film il y a aussi des musiques qui apportent une profondeur à la scène dans laquelle elles sont utilisées. Prenons In the Hall of the Mountain King dans la scène de la course d'aviron de The Social Network. Ou encore la musique des Chariots de Feu dans la scène d'ouverture du film éponyme. Sans ces musiques les deux scènes perdent en saveur et ce n'est qu'un échantillon. Mais je vais pas faire un cours sur la transmission des émotions par la musique dans les films je vais vous parler d'artistes liés à ces bandes originales de films enfin surtout d'un.

Il y a de grands noms qui ont œuvré sur beaucoup de films, j'ai cité une œuvre de Vangelis (allez écouter Conquest of Paradise si vous en voulez une autre) mais il y en a d'autres tels que Ennio Morricone qui aura fait la musique de beaucoup de Western en accompagnant Sergio Leone sur pas mal de projets, Bernard Herrmann le compositeur à qui Hitchcock a fait confiance et qui a aussi fait le thème de la série la 4ème dimension!
Et puis il y a deux monstres à mes yeux deux légendes dans le domaine. D'un côté John Williams, celui qui a composé la musique que nous adorons tous ici sur ce site (le thème d'Harry Potter) qui était à l’œuvre sur les 3 premiers films, celui qui a composé la musique de Star Wars. Le compositeur de Spielberg qui de fait a pondu les thèmes des Dents de la Mer, Jurassic Park, Indiana Jones... De l'autre côté, celui dont je vais parler ici, un véritable dieu dans le domaine au-dessus de tous. Sa présence sur un film apporte à elle seule un gage de qualité non négligeable. Il s'agit bien sur de...

Hans Zimmer

Image


C'est en écoutant la bande annonce de X-Men Dark Phoenix qu'il a signé et avant d'aller voir le film que je me suis dis qu'il fallait que j'en parle ici. Son nom vous l'avez forcément entendu, sa musique elle vous a accompagné tellement de fois. Il a reçu masse de prix grâce à ça il a une étoile sur Hollywood Boulevard... Fin bref c'est juste l'un des meilleurs compositeurs du monde et plus précisément dans le domaine des musiques de films. Si vous entendez la voix d'Elton John dans Le Roi Lion... toute l'instru est signée Hans Zimmer... Si vous vous enjaillez sur la musique de Pirates des Caraïbes c'est grâce à lui...Je vais pas faire la liste de toutes ses œuvres, non je vais juste vous encourager à les découvrir par vous même (personnellement il y a des ost que j'ai écouté sans jamais voir le film et rien qu'avec ça il me transporte) et vous partager mon top 3 dans toutes celle qui l'a fait même si à chaque fois je me dis "ha mais non celle-là est mieux!".

3. Chevaliers de Sangreal - Da Vinci Code

Je suis un grand fan de Dan Brown et de ses livres, pour autant pas super heureux de l'adaptation qu'en a fait Ron Howard dans son ensemble mais heureusement il y a Hans Zimmer pour relever les films. Et ce thème me transporte à chaque fois.

2. Time - Inception

Une musique qui me donne des frissons à chaque fois. J'ai envie que la boucle s'enchaîne encore et encore. Pas de grande récompense pour l'ost du film, Le discours d'un roi (cocorico Alexandre Desplat) ayant choppé le BAFTA et The Social Network l'Oscar et le Golden Globes cette année là.

1. Elysium - Gladiator

Là encore l'ost n'a pas eu d'Oscar ou de BAFTA, en face il y avait Tigre et Dragon... Mais un Golden Globes tout de même. Alors dans la bande son il y a aussi Now Wer Are Free les deux se suivent de toute façon mais j'ai une préférence pour Elysium pour la scène finale du film. Sans cette musique c'est pas la même saveur. L'arrivée de Maximus aux Champs-Élysées qui retrouve sa femme et son fils... brrr encore et toujours le même frisson...

Ma signature signe la fin de votre quête
Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019

09 août 2019, 13:15
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Je parlais de musique sur mon dernier post ici. Et il y en a une qui me marque depuis que je l'ai entendu dans un film. C'est Million Voices de Wyclef Jean . Mais c'est pas de la musique dont je vais parler même si l'émotion que j'ai en l'écoutant est toujours intact, c'est du film dont elle est issue que je vais parler pour tout le souvenir que j'en ai.

Image


Hotel Rwanda de Terry George (2010)

Ca raconte quoi?
Petit cours d'histoire car ce film est tiré d'une histoire vraie. Je vais essayer de faire clair et sans rentrer dans les détails car c'est hyper complexe en vérité. Le film se déroule en 1994 mais il faut remonter à avant pour comprendre les événements qui s'y déroulent. Pour faire simple, le Rwanda était divisé avant la colonisation en plusieurs catégories sociales, Tutsi, Hutu et Twa. Au fur et a mesure de la colonisation des les Hutus et les Tutsis ont été divisés, les Tutsis évolués d'un côté et les Hutus, les gens qui n'étaient là que pour obéir en clair. Les colons belges développaient cette idée en soutenant les Tutsis jusqu'à ce que ceux-ci demandes l'indépendance. C'est ainsi qu'en 1960 le Rwanda devient indépendant avec à sa tête des Hutus qui se libèrent de l’oppression des Tutsis qui fuient en exil et passent les 34 années suivantes à préparer leur retour au pays et au pouvoir, plusieurs tentatives se soldent en échec et par des massacres de Tutsis..
Et nous voilà donc en 1994, le président Hutu rwandais meurt dans son avion abattu par un missile. D'autres responsables politiques hutus sont assassinés. Se déclenchent alors les représailles Hutus qui tuent tous les Tutsis qui se trouvent sur leur chemin. C'est le début d'un des plus rapides génocides qui en 3 mois fera plus de 800 000 morts!
Le film dans tout ça? Il raconte l'histoire de Paul Rusesabagina un hutu, fils d'un hutu et d'une tutsi et époux d'une tutsi qui dirige l’hôtel 4 étoiles des Milles Collines à Kigali. En tant qu'hutu modéré et solidaire de tutsis il est aussi en danger et c'est à son hôtel qu'il se réfugie et qu'il arbite plus de 1200 tutsis et hutus modérés. Il profita du statut protégé de son hôtel pour y héberger tout ce monde en secret. Tout espérant une intervention rapide de l'ONU. Il réussit à terme à organiser l’évacuation par convois de l'ONU des 1200 réfugiés, leur sauvant ainsi la vie ainsi qu'à celle de sa famille.

Pourquoi ce film m'a marqué?
Au delà de la belle histoire qu'il raconte, qui sera remplie de controverses notamment concernant les intérêts de Rusesabagina dans son action qui serait financiers et dont j'accorde peu d'importance au fond (Si vous voulez en savoir plus il y a ce très bon article). Il y a l'histoire du film avec son côté hollywoodien, qui va nous toucher, nous émouvoir et il y a l'Histoire. Celle qui est 100% vraie et décrite tout au long du film. Celle du génocide, celle qui est née de colons européens, de l'inaction de l'ONU, de la quête de pouvoir, de l'action de la France non exploités dans le film mais bien réels (Aujourd'hui encore la France n'a pas reconnu son implication dans l'armement des hutus ce qui fait que les relations entre les deux pays sont très tendues). C'est toute cette histoire qui me marque et fait que ce film me touche. Il y a aussi les conditions de visionnage. Ce film je l'ai vu en cours d'histoire. Chapitre sur les colonies, dans la classe à 2 rangs derrière mois un mec en larmes. Un Rwandais orphelin depuis cette période qui a été adopté par des français, forcément marqué par cette histoire. Ca aide bien sûr à ce que le film et son histoire restent en mémoire. Depuis quand j'entends la musique Million Voices j'ai les larmes qui montent forcément.

Ma signature signe la fin de votre quête
Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019

18 août 2019, 22:13
Club culturel - Partagez vos coups de cœur
Image
je me suis échapper d'Auschwitz..


Ce chef d'oeuvre raconte la tragédie dun des plus célèbres camp de concentration contrôler par les SS autrement dit : Les haut gradés dans l'armée nazi d'Adolf Hitler. Ce camp de la mort est Auschwitz.
Reducio
Source Wiki.
Les camps de concentration nazis sont des centres de détention de grande taille créés par le Troisième Reich à partir de 1933 et jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, pour interner, exploiter la force de travail et tuer des opposants politiques, des résidents d'un pays conquis, des groupes ethniques ou religieux spécifiques, etc. Ce sont les détenus qui sont forcés de construire ces camps, les victimes travaillant dans des conditions inhumaines, y laissant souvent leur vie. Le Troisième Reich utilisa les camps de concentration, comme ceux de Dachau ou Buchenwald pour éloigner et terroriser les opposants politiques au régime, puis pour y interner les Juifs, les Tziganes, les Témoins de Jéhovah, les homosexuels et les « éléments asociaux » comme les criminels, vagabonds, etc.

Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, ces camps se multiplient pour y enfermer les résistants et opposants de toute l'Europe occupée, mais aussi pour constituer un réservoir de main-d'œuvre servile. Le travail y était épuisant, la nourriture insuffisante, les soins pratiquement inexistants, les mauvais traitements réguliers et la mortalité élevée. Tout visait à déshumaniser les victimes et à les conduire à une mort rapide.

Dans le cadre de la destruction des Juifs d'Europe, sont également créés, à partir de 1941, six camps d'extermination, dont la nature et les objectifs sont distincts de ceux du système concentrationnaire

Dans ce livre, on suis la tragique histoire de Rudolf Vrba. C'est en avril 2043 qu'il fut "déporté" de sa terre natale pour la pologne à Auschwitz. A son arriver il fut classer dans les deux catégories que la gestapo groupés : les malades, les handicapés, les personnes âgés et les bébés qui se sont fait gazés dans les chambres à gaz dès leur arriver en cachette évidemment. Et de l'autre ce qui étais prêt à travailler dont Rudolf. Il vit dans la misère et l'humiliation de l'armée allemande. [...]. Au bout de deux ans il parvient à s'échapper avec un "camarade" de ce camp. Comment ? Cachés sous du bois qui recouvert dessence et de tabas par d'autres déportés qui ne pouvaient pas s'échapper voler auparavant. Ils sont rester deux jours en dessous avant de traverser les barbelé. Ils ne nt garder de nombreuses séquelles de cette "tragique histoire" mais dans tout leur malheur, ils ont eu énormément de chance.

Je vous conseille de lire ce livre ! ^^

Carry, Alice, Orphea, Iris McC., Aliosus, Isaac, Angela et Sophie H. je vous adore ! <3 Serpentard en force !




Code couleur : vert color=#38761D 2vert en partant du bas de la colonne des vert.