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21 août 2019, 21:34
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Mycéliums & AstronoGeek


"Nous ne sommes pas allé sur la lune", "Les vaccins sont dangereux", "Les Crop Circles sont déposés par les extra-terrestres pour soigner la terre, et pourra vous soigner de votre cancer", "La terre est plate", tout ceci doit parler à un grand nombre de personnes ici, et les plus jeunes d'entre vous entendront sûrement parler de tout ça dans les années à venir.

Les théories du complot, les remèdes miracles (les médecins les détestent!), sur internet, nombre de celles-ci prennent forme, et trouvent public à grand coup de sophismes, de fantasmes et peut être parfois par facilité.
Comment se prémunir de ces fléaux qui peuvent parfois avoir de grandes répercussions? Et bien, tout ceci est expliqué (en partie) sur ce genre de chaînes:

Mycéliums, une chaîne traitant de zététique (Zététique: L'art de faire la différence entre ce qui relève de la science et ce qui relève de la croyance), pourra vous fournir des armes intellectuelles, afin de vous aider à ne pas vous faire avoir par les théories les plus grotesques.

AstronoGeek, une chaîne dédiée à la vulgarisation de l'astronomie, s'est aussi occupée de certaines théories et explique de quelle manière celles-ci peuvent parfois vous nuire très gravement.
(Sur cette chaîne, je ne peux que vous conseiller cette vidéo, la partie deux et la partie 3, qui sont vraiment criantes sur ce sujet.)

Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn.

Hypothétique résurgence d'Edward Warren, aurait retrouvé sa Lorraine à Poudlard

24 août 2019, 01:24
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~ Les Étoiles vagabondes ~
Nekfeu


Certains d'entre vous le savent déjà, j'étais excitée comme une puce à l'annonce du nouvel album de Nekfeu, Les Étoiles vagabondes, quand le trailer du film est sorti sur YouTube. J'ai saigné l'album à sa sortie, et plus encore quand l'expansion est sortie. Mon amour pour cet album et son expansion ne sont plus à prouver. (Grosse fan de Cheum dès les premiers jours, j'ai fini par saigner Oui et non, De mon mieux, CDGLAXJFKHNDATH, Énergie sombre, De mes cendres et son instru phénoménale, Tricheur, Dernier soupir... bref, je vais m'arrêter là, on m'a déjà suffisamment entendu chanter son album sous la douche... Oui, la joueuse de Kristen Loewy chante hurle du Nekfeu sous la douche : MÉLANGE PAS L'ROI DES ANIMAUX AVEC LES HYÈNES ! :wise: ).  D'ailleurs, certains (les meilleurs) l'auront peut-être remarqué : quelques jours après la sortie de la première partie de l'album, j'avais une phrase de Nekfeu en signature sur PFR : "Tellement sombre que mon ombre est plus claire que moi." T-)

Et puis, le film est sorti sur Netflix mardi dernier. J'ai été surexcitée, puis j'ai oublié quelques jours, et ce soir, je l'ai finalement regardé. Je ne m'attendais à rien et n'avais pris aucune info sur le film, je m'étais contentée d'écouter l'album en boucle. Et donc... bonne surprise !

Le film est un documentaire avec quelques interludes musicaux extraits de l'album, puisqu'il s'agit justement d'un film documentaire (à quel point est-ce écrit, et à quel point est-ce de la fiction, je l'ignore) sur la création de l'album du même nom. Ce qui m'a plu dans ce film, ce n'est pas tellement ces moments musicaux (même si j'ai poussé la chansonnette sur Menteur menteur quand elle est passée), mais plutôt les moments... contemplatifs, où Nekfeu, en voix-off, fait part de ses états d'âme (certains passages sont issus de ces musiques, d'autres non). Ce qu'il dit sonne très juste, et c'est vraiment beau. Je crois que ses mots peuvent avoir une certaine résonance en chacun de nous. Ces moments plus "poétiques" font penser à des morceaux de slam.

L'idéal serait de vous faire part d'un petit extrait, pour que vous puissiez vous rendre compte par vous-mêmes de la beauté de ces textes, qui semblent si sincères (la preuve qu'on peut écrire des textes puissants avec un vocabulaire simple - à mon sens, les plus sincères et les plus simples, justement, sont toujours les plus poignants) :
Aujourd'hui, j'ai pleuré dans les bras de mon frère. C'est arrivé comme ça, sans prévenir. Entre deux blagues anodines qu'on se dit pour combler le vide. D'abord, il a pleuré lui, d'un coup, sans bruit. Ça ressemblait au soupir d'un vieux ballon de foot crevé sur lequel on marche sans faire exprès. Peut-être qu'aujourd'hui le vide était trop grand, va comprendre. C'était pas un jour si différent des autres, pourtant. Il faisait même plutôt beau. Et puis, c'est pas son genre à lui de chialer. Surtout qu'il en a connu d'autres des "aujourd'hui", et des sacrément moins roses, ça j'te le dis. Enfin bon, il a pleuré. Et moi, j'ai pleuré de le voir pleurer. C'était comme un barrage qui cédait en lui. Un magma de sentiments déformés à force d'être refoulés, qui déferlaient sur moi. Une putain de vague de vomi brûlant qui te paralyse la gorge, et puis te soulage quand tu le craches enfin. Aujourd'hui, j'ai pleuré dans les bras de mon frère. Et c'était mieux que rire.
Ce qui m'a plu, également, c'est que l'on voit d'où viennent les morceaux que l'on aime et comment ils ont été enregistrés. Souvent le fruits de rencontres du bout du monde. Encore une fois, je ne sais pas à quel point ce documentaire est de la fiction ou écrit, mais on y croit, et je pense que c'est le plus important ! Il m'a donné une furieuse envie de voyager et de faire des rencontres improbables à l'autre bout de la planète.

Visuellement, c'est propre. Les plans sont maîtrisés - certains sont vraiment magnifiques, une véritable invitation au voyage, et la colorimétrie est impeccable ; du moins d'après mon regard non professionnel.

Bref, je vous le recommande. :)

Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~

@Mentionnez-moi pour activer le Tabou

22 févr. 2020, 05:18
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Jojo Rabbit
Un film de Taika Waititi


Eh bien, il y avait longtemps que je n'avais pas écrit ici - même si j'y écris assez souvent par rapport à l'utilisation globale de ce sujet, mais après être sortie de ce film, il fallait que j'en parle !

Après un bon repas typiquement américain : ribs, sauce barbecue, mac and cheese, et whisky au beurre de cacahuète ; quoi de mieux que se plonger dans une version parodique de l'Allemagne nazie de 1945 ?

J'avais vu le trailer de ce film au cinéma il y a un bon moment, et déjà, il m'avait tapé dans l’œil : "il faut absolument que je le voie quand il sortira". C'est désormais chose faite, et je ne regrette pas ! Loin de ces films de guerre qui angoissent, Jojo Rabbit, même si on y voit Hitler dès les premières minutes, permet de souffler un peu. C'est de la parodie franchement bien faite, et j'ai pris mon pied : certains savent pourtant que je préfère de loin les thrillers psychologiques carrément angoissants aux comédies.

Parce que c'est une comédie, oui... en partie. L'ami imaginaire de ce petit garçon, Jojo, qui n'est autre qu'Hitler lui-même (interprété par le réalisateur et scénariste du film), vous fera rire ; la mère du garçon vous inspirera une admiration incroyable (on veut tous avoir une maman comme elle/être une maman comme elle), Jojo lui-même, malgré son côté franchement borné (et franchement nazi pendant une bonne partie du film) est très attachant parce que finalement, ce n'est qu'un gamin de dix ans qui veut être accepté. On rit, on a les larmes aux yeux, on sursaute, on stresse, tout ça dans le même film et pourtant, le tout trouve une cohérence incroyable. On passe du rire à l'inquiétude, et aux larmes, à un profond sentiment d'admiration, et à l'espoir, sans même s'en rendre compte et sans trouver cela bizarre.

Mais plus encore que le fond, j'ai toujours été très sensible à la forme. Dans ce film, le montage, les plans, les couleurs, tout fonctionne. C'est coloré, le rouge pétant des drapeaux nazis explosent les yeux, le ciel est plus bleu que bleu, il y a du soleil. Ce n'est pas un film sur l'Allemagne nazie de 1945 comme on a l'habitude d'en voir : boueux, pluvieux, sombre, sale, qui fait grimacer. La colorimétrie nous plonge véritablement dans l'esprit de ce gamin, Jojo, qui voit la guerre comme un immense jeu de rôle dont il serait le joyeux héros et où les Juifs seraient de grands méchants avec des cornes de diable et des super-pouvoirs. L'utilisation des couleurs donne une grille de lecture au film, tout comme ce qui l'entoure, et le tout entre en harmonie. Quant aux plans, ils sont bien cadrés, bien agencés, qu'ils mettent en scène Jojo devant ce papier-peint coloré ou derrière une espèce de fenêtre depuis laquelle il peut voir sa mère, de l'autre côté du mur, alors qu'il est encore piégé de son côté avec son ami imaginaire, ou encore face à une fenêtre depuis laquelle on voit les bombardements comme des feux d'artifice dans le ciel, un spectacle insensé auquel assistent deux gamins... Et je ne vous parle pas du plus beau plan du film à mon sens, avec ces chaussures rouges...

Bref, je recommande vivement ce film, il est incroyable. Sans hésiter, je le place dans mon top 10 !

"What did they do?
- What they could."

Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
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02 mai 2020, 11:22
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Bonjour à tous :D :)
je partage cet extrait du livre "Les Grandes Grandes Vacances" de Michel Leydier, qui parle de la vie pendant la Seconde Guerre Mondiale et l'Occupation.

"En ce printemps 1942, une nouvelle loi, terrible, venait d'être votée.
Rosalie, une fillette de la classe, arriva ce matin-là avec une étoile jaune cousue sur sa robe.
-Hé ! Voilà le shérif de Grangeville!plaisanta innocement Paul Tissier.
La fillette baissa la tête, honteuse.
Colette s'approcha d'elle.
-C'est quoi, Rosalie ? demanda-t-elle en désignant l'étoile du doigt.
-C'est l'étoile des juifs. Maman a dit que maintenant on devait la mettre sur nos habits.
M.Herpin siffla dans ses mains et les élèves rejoignirent calmement la salle de classe.
Aussitôt à sa place, Colette leva le doigt.
-Maître ? Pourquoi Rosalie doit porter une étoile de juifs ?
L'instituteur parut embarassé par la question. Néanmoins, il s'efforça d'y répondre, le visage tendu.

J'ai apprécié ce livre car j'adore l'histoire et qu'il est marquant.

Matthew

MATTHEW SANDOVAL

05 juin 2020, 16:09
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Bonjour,

Je voudrais vous faire partager ma trilogie de livre préféré:
Young Elites de Marie Lu

Je vous rassure malgré le titre le livres est en français. J'ai adoré ces livres car l’héroïne est une fille bien mais qui au fur et à mesure prend le rôle de la méchante de l'histoire. Jamais un livre ne m'avait fait pleurer ou m'énerver au point de jeter le livre a travers la pièces. Je peux dire que ce livre m'a possédé.
L'histoire est dans un monde fantastique mais très ressemblant à la terre dans les année 40 mais en même temps futuriste.
C'est un de ces rares livres qui ne peut pas être décrire ou expliquer sans spoiler. La fin est déchirante, l'histoire est sombre et à la limite de trouble du comportement telle que le narcissisme, la névrose, le syndrome du sauveur. Mais il y a aussi de l'amour (et pas celle de Roméo et Juliette) des pouvoirs, de l'aventure, des légendes.

Je vous recommande de lire ces livres pour découvrir un autre type d'écriture.

La seule signature au bas de la page, c'est l'art qui la dessine.

08 juin 2020, 14:50
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Kristen Loewy a écrit : 22 févr. 2020, 05:18
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Jojo Rabbit
Un film de Taika Waititi


Eh bien, il y avait longtemps que je n'avais pas écrit ici - même si j'y écris assez souvent par rapport à l'utilisation globale de ce sujet, mais après être sortie de ce film, il fallait que j'en parle !

Après un bon repas typiquement américain : ribs, sauce barbecue, mac and cheese, et whisky au beurre de cacahuète ; quoi de mieux que se plonger dans une version parodique de l'Allemagne nazie de 1945 ?

J'avais vu le trailer de ce film au cinéma il y a un bon moment, et déjà, il m'avait tapé dans l’œil : "il faut absolument que je le voie quand il sortira". C'est désormais chose faite, et je ne regrette pas ! Loin de ces films de guerre qui angoissent, Jojo Rabbit, même si on y voit Hitler dès les premières minutes, permet de souffler un peu. C'est de la parodie franchement bien faite, et j'ai pris mon pied : certains savent pourtant que je préfère de loin les thrillers psychologiques carrément angoissants aux comédies.

Parce que c'est une comédie, oui... en partie. L'ami imaginaire de ce petit garçon, Jojo, qui n'est autre qu'Hitler lui-même (interprété par le réalisateur et scénariste du film), vous fera rire ; la mère du garçon vous inspirera une admiration incroyable (on veut tous avoir une maman comme elle/être une maman comme elle), Jojo lui-même, malgré son côté franchement borné (et franchement nazi pendant une bonne partie du film) est très attachant parce que finalement, ce n'est qu'un gamin de dix ans qui veut être accepté. On rit, on a les larmes aux yeux, on sursaute, on stresse, tout ça dans le même film et pourtant, le tout trouve une cohérence incroyable. On passe du rire à l'inquiétude, et aux larmes, à un profond sentiment d'admiration, et à l'espoir, sans même s'en rendre compte et sans trouver cela bizarre.

Mais plus encore que le fond, j'ai toujours été très sensible à la forme. Dans ce film, le montage, les plans, les couleurs, tout fonctionne. C'est coloré, le rouge pétant des drapeaux nazis explosent les yeux, le ciel est plus bleu que bleu, il y a du soleil. Ce n'est pas un film sur l'Allemagne nazie de 1945 comme on a l'habitude d'en voir : boueux, pluvieux, sombre, sale, qui fait grimacer. La colorimétrie nous plonge véritablement dans l'esprit de ce gamin, Jojo, qui voit la guerre comme un immense jeu de rôle dont il serait le joyeux héros et où les Juifs seraient de grands méchants avec des cornes de diable et des super-pouvoirs. L'utilisation des couleurs donne une grille de lecture au film, tout comme ce qui l'entoure, et le tout entre en harmonie. Quant aux plans, ils sont bien cadrés, bien agencés, qu'ils mettent en scène Jojo devant ce papier-peint coloré ou derrière une espèce de fenêtre depuis laquelle il peut voir sa mère, de l'autre côté du mur, alors qu'il est encore piégé de son côté avec son ami imaginaire, ou encore face à une fenêtre depuis laquelle on voit les bombardements comme des feux d'artifice dans le ciel, un spectacle insensé auquel assistent deux gamins... Et je ne vous parle pas du plus beau plan du film à mon sens, avec ces chaussures rouges...

Bref, je recommande vivement ce film, il est incroyable. Sans hésiter, je le place dans mon top 10 !

"What did they do?
- What they could."
J'ai également regardé le film et je partage mon avis avec vous !
J'aime beaucoup le réalisateur ainsi que plusieurs acteurs et l'histoire m'a directement emporté.
J'étais persuadée que j'allais détesté ce film car les films sur l'histoire et tout c'est vraiment pas mon truc mais en fin de compte c'était vraiment très bien !
Katalina Williams a écrit : 20 mars 2019, 22:18 Image

Avez-vous vu le dernier Marvel sorti? Moi oui :D

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, je parle évidemment de Captain Marvel qui est juste waouh, j'ai pas vu passé les 2h30 de film au cinéma. On a de l'action, de l'émotion également. Le personnage principal est juste tellement attachant pour ma part, j'ai même versé ma larme limite au moment des au revoir. On a eu le droit à un hommage de Stan Lee décédé malheureusement cette année au début du film. Ce qui est bien avec les Marvel, c'est que l'on a toujours un petit spoiler dans le générique de fin et là en l’occurrence c'était sur le prochain Avengers que j'ai hâte de voir, sortie en salle le 24 avril 2019 apparemment :p
Je l'avais également regardé lors de sa sortie au cinéma. Vraiment géniale, je suis fan de l'univers MARVEL depuis de longues années et ce film m'a beaucoup plu.
Pour l'anecdote, de nombreux fans avaient été déçu que le premier film solo féminin soit celui de Captain MARVEL et pas Black Widow ou encore Scarlet Witch.

5ème année RP • Sport et Soins • #404040• HibouChocog
••

20 juin 2020, 15:28
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Coucou!J'éspère que vous aller bien.

Je viens pour vous parler d'un livre qui se nomme "Gardiens Des Cités Perdues"(ou GDCP) . Ce livre parle d'un monde qui est cachée pour nous. Il y a des povoirs et ce sont de elfes, même si au premier abord on dirais des humains.Je trouve cette saga fantastique :). Il y a beaucoup de suspense. Pour ce qui se posent des questions sur le contenu, eh bien c'est un livre qui ne contient pas de gros mots, Et c'est un roman de fantasie et d'action( et aussi un peut de romance ;) :roll: )Pour l'instant, il y a "que" 8 tomes qui sont parut en France. Et oui, comme vous vous doutez bien c'est un livre traduit de l'anglais. En anglais, je crois qu'il y a un peu plus que 8 tomes. Il y a soit 9 livres ou 11 (je croise les doigts pour qu'il y en ait 11). Enfin bref... Voici l'image du premier tome.
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En espérant que ce livre vous plaira

Ivy

La vie est une danse, et même si la vie n'est pas la danse que tu espérait ne t'arrete jamais de danser.

01 juil. 2020, 21:40
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Bonsoir
Aijourdui je voulais vous présenter un livre enfin plutôt une série de livre que j'aime énormément. La série s'appelle La Sélection
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Le résumer est le suivant :
35 candidates
1 couronne
La compétition de leur vie


Trois cents ans ont passé et les États Unis ont sombré dans l'oubli. De leurs ruines est née Illéa, une monarchie de caste. Mais un jeu de téléréalité pourrais bien changer la donne.


Elles sont trente-cinq jeune filles : la "Sélection" s'annonce comme l'opportunité de leur vie. L'unique chance pour elles de troquer in destin misérable contre un monde de paillettes. L'unique occasion d'habiter dans un palai et de conquérir le coeur du prince Maxon, l'heritie du trône.
Mais pour America Singer, cette sélection relève plutôt du cauchemar. Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Asper, un soldat de la caste inférieur. Quitter sa famille. Entrer dans une compétition sans merci. Vivre jour et nuit sous l'oeil des caméras. Puis America rencontré le Prince. Et tous les plans quelle avait échafaudés s'en trouvent bouleversés....

Tout jeu compte des règles. Et les règles sont faites pour être transgressées.
Pourquoi ce livre m'a marqué ?
Car c'est une histoire très romantique. Qui prend en compte le niveau social des personne. On s'attache vraiment très vite aux personnage et moi, je me suis reconnu dans un des personnages du livre. Il est très bien écris et se lit très vite je lai lu en a peine une soirée alors qu'il a 344 pages c'est un livre que je conseille vivement pour toute les personne qui lise des livres à l'eau de rose comme DIMILY.

Si vous chercher des livres à l'eau de rose ou fantastique envoyer moi un hibou je vois conseillerai avec joie.

Sheryl Tony

E̺͆n̺͆ g̺͆l̺͆i̺͆s̺͆s̺͆a̺͆n̺͆t̺͆ j̺͆e̺͆ v̺͆i̺͆e̺͆n̺͆s̺͆, e̺͆n̺͆ r̺͆u̺͆s̺͆a̺͆n̺͆t̺͆ j̺͆e̺͆ v̺͆a̺͆i̺͆n̺͆c̺͆s̺͆, l̺͆e̺͆ s̺͆o̺͆m̺͆m̺͆e̺͆t̺͆ j̺͆'a̺͆t̺͆t̺͆e̺͆i̺͆n̺͆s̺͆

05 juil. 2020, 14:51
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Bonjour !
Je voudrais vous parler d’une émission super pour vos donner envie de lire des classiques :
Écouter Réviser


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Sur France Culture. C’est une série d’emissions sur des œuvre majeures de la culture française, un thème en littérature , ou encore sur des auteurs. Elle est faite pour l’épreuve de Français mais moi qui suis beaucoup plus jeune ai adorer.
Le principe : une lecture d’un extrait d’un grand roman, d’un poème, d’une pièce de théâtre lu par une comédienne ou un comédien, accompagnée d’une introduction et d’une analyse de l’œuvre. C’est vraiment très intéressant. Les émissions sont disponibles en podcast, je vous conseille vraiment d’en écouter.

Les sujets sont diversifiés, les émissions durent une demi-heure, c’est un régal pour les passionnés de littérature.

Maintenant, une de ses émission que je viens d’écouter il y a une heure et qui m’a boulversé, vraiment la meilleure a mon avis.

Les contemplations, de Victor Hugo.


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Cette émission est centrée sur le livre IV des Contemplations Pauca Maes , un hommage à sa fille Léopoldine. Il a fait en sorte que ce soit son meilleure livre, en hommage à sa fille chérie morte tragiquement à 19 ans lors d’une promenade en barque avec son mari. Victor Hugo, en voyage à ce moment là, l’apprendra dans le journal. Nous apprenons tout cela au début de l’emission. Ensuite, nous avons des long extrait de ce recueil, qui m’on vraiment émue. C’est Denis Podalydes qui lit ces poème, et j’ai presque pleurer en l’écoutant. L’emission est vraiment bien fait, le comédien transmet bien l’émotion de ce recueil, des petites notes douce de piano accompagnent les poèmes, et à la fin, on voudrait que cela dure encore. Les poèmes sont vraiment sublimes, du meilleur Victor Hugo.

Je vous met le lien, bonne écoute

En bonus, quelques extraits :
( quant il apprend la mort de sa fille)

"Oh ! je fus comme fou dans le premier moment,
Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement.
Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance,
Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance,
Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ?
Je voulais me briser le front sur le pavé ;
Puis je me révoltais, et, par moments, terrible,
Je fixais mes regards sur cette chose horrible,
Et je n'y croyais pas, et je m'écriais : Non ! --
Est-ce que Dieu permet de ces malheurs sans nom
Qui font que dans le cœur le désespoir se lève ? --
Il me semblait que tout n'était qu'un affreux rêve,
Qu'elle ne pouvait pas m'avoir ainsi quitté,
Que je l'entendais rire en la chambre à côté,
Que c'était impossible enfin qu'elle fût morte,
Et que j'allais la voir entrer par cette porte !

Oh ! que de fois j'ai dit : Silence ! elle a parlé !
Tenez ! voici le bruit de sa main sur la clé !
Attendez ! elle vient ! laissez-moi, que j'écoute !
Car elle est quelque part dans la maison sans doute !"
( écrit le premier novembre, jours des morts)

Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait et disait : «Bonjour, mon petit père;»
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
Et c'était un esprit avant d'être une femme.
Son regard reflétait la clarté de son âme.
Elle me consultait sur tout à tous les moments.
Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants,
Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
Tout près, quelques amis causant au coin du feu!
J'appelais cette vie être content de peu!
Et dire qu'elle est morte! hélas! que Dieu m'assiste!
Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste;
J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux
Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.
Rien que pour entendre Denis Podalydes les déclamer à la perfection, pour y retrouver toute l’émotion du poème, cela vaut le coup d’écouter cette émission

@Kristen Loewy , cela pourrait vous intéresser

Compte non actif

10 sept. 2020, 18:46
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Suite à un petit impérium, je viens partager ici un de mes livres favoris. Ce n'est donc pas réellement une découverte, mais, n'ayant pas découvert de livre assez incroyable pour en parler ici (à part L'assassin Royal, mais je n'avais pas envie d'en parler avant d'avoir fini la saga :sweatingbullets: ), je vous fais part d'un qui a vraiment été très important pour moi.

Évidemment, il y a plusieurs tomes (trois pour être plus exacte) mais je ne vous parlerai ici que du premier. C'est donc La communauté de l'anneau, le premier tome de Le Seigneur Des Anneaux :cute:

Eh bien oui, parce que si j'ai remarqué que beaucoup de gens avaient vu le film, malheureusement trop peu ont lu le livre sous prétexte que "ça serait ennuyant" !

Détrompez-vous !

Ce livre est tout d’abord incroyable. De la manière dont l’auteur a ficelé l’intrigue jusque dans ses moindres détails. Chaque élément est pensé. Du nombre incroyable de langues que Tolkien a créé jusqu’à la moindre trace écrite du livre. (étant allée voir l’exposition sur lui à la BNF, je sais de quoi je parle :wise: ).

Mais surtout je conseillerai de lire ce livre car c’est le tout premier à se passer réellement dans un univers fantaisiste. On pourra ainsi remarquer que beaucoup de romans fantaisistes partent ensuite d’une base ressemblant à Le Seigneur des Anneaux (une société médiévale, plusieurs espèces intelligentes, un ennemi commun etc). Evidemment, ce n’est pas le cas partout mais je tenais tout de même à le signaler.

Ensuite j’en viendrais à vous parler précisément du choix du tome. Oui, pourquoi La communauté de l’anneau ? J’aurai très bien pu choisir un des deux autres tomes tout aussi merveilleux…
Eh bien tout d’abord parce que c’est le commencement de l’intrigue (enfin pas réellement, Le Hobbit l’est plus véritablement). Et aussi parce que dans ce livre on retrouve une unité qui, est moins présente dans les autres. On en sait beaucoup plus sur les personnages (Legolas est par exemple si mes souvenirs sont bons, beaucoup plus hautain dans les livres que dans les films), et on va dire que les héros paraissent plus humains que dans les films. Ce tome décrit aussi beaucoup l'univers des elfes, et je trouverai ça dommage de louper de si belles descriptions... C'est aussi parce que c'est mon tome favori que je vous le présente bien sûr :sweatingbullets: :roll:

Je pense que ce sera tout pour cette fabuleuse saga… Ça fait maintenant un peu plus d’un ans que je n’ai pas lu un de ses tomes et mes souvenirs sont peut-être altérés, dans ce cas j’espère que vous voudrez bien m’en excuser…

En espérant vous avoir donné envie de lire ces livres incroyables !

Reducio

Étant donné que j'ai lu le livre dans cette édition, je considère que l'impérium est respecté (tu pourras observer le noir à droite où il y a écrit Folio Junior) ^^ @Magdaleen Roseberg

Maison Victorieuse au Triomphe Majestueux, Jamais Serdaigle Unie Ne Perdra
#408040 — 3ème année RP — heart on fire