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18 mai 2018, 15:04
Trajet à haute tension
Jonathan n'en croyait pas ses yeux. Ce monstre qui l'avait exploser dans un couloir était en train de pleurer juste devant lui. Pourtant il n'avait pas été si méchant que cela. Cet année il s'était pris des coups pour bien moins que cela. C'était incompréhensible. La voix de son meilleur lui fit tourner la tête. Il avait un visage sévère et accusateur, alors que celui de Jonathan était totalement différent. Son premier réflexe fut de lever un peu les épaules en avançant un peu la tête pour faire comprendre qu'il était surpris de cette réaction et qu'il ne savait pas quoi faire.

Le jeune garçon s'en voulait malgré tout de l'avoir fait pleurer. Il détestait voir une fille pleurer. Ca peut vous paraitre bizarre, ou un peu cliché mais le rouge et or voulait toujours aider ou réconforter les filles tristes qu'il voyait. Sans connaitre forcément la cause ou même la personne responsable de cela. Vous expliquer pourquoi serait trop long et ça se trouve vous vous en foutez, vous ne lisez peut être ce RP que pour Audric et Esmée... Tout ça pour dire que même s'il détestait cette naine enragée, la faire pleurer n'était pas du tout son intention.

Maintenant Esmée était assise à côté d'Audric sans que Jonathan n'ait rien pu faire pour s'excuser. Le première année ne savait pas encore quoi faire. S'excuser et admettre qu'il a été trop loin ou bien continuer en étant borné. Je pense que notre héros n'était pas encore prêt à admettre quoi que ce soit devant cette fille, aussi triste soit elle. Pour l'instant il préféra ne rien faire et attendre de voir si elle allait réagir face aux paroles de Audric. D'ailleurs ce dernier avait l'air un peu énervé que ces amis se battent comme cela et le fit remarquer. Après avoir fait attention que la brute pleurnicheuse soit toujours la tête baissé et les yeux pleins de larmes, Jonathan regarda son ami et ses lèvre mimèrent un discret "désolé". On voyait sur son visage qu'il n'était pas fier et qu'il ne voulait pas gâcher ce voyage. Mais cela, c'était une chose qui devait rester entre les deux garçons.

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.

18 mai 2018, 16:30
Trajet à haute tension
*J'en ai marre!*     *Je le déteste!*     *Larmes de merde!*     *C'est de sa faute!*

Esmée craquait une fois encore. Elle voulait casser, rompre et détruire. Mais Audric était là. Ainsi, elle restait plantée là. Les poings serraient, essayant de ne pas exploser. *Audric? * Il venait de râler. La boule au ventre, elle releva la tête. Il était proche, trop proche pour cette dernière. Elle fixa alors la porte, pensant à fuir. Elle ne voulait pas l'affronter. Il allait prendre la défense de l'Autre. Elle allait se faire disputer. Esmée tenta donc de se lever. Mais Audric lui prit la main. Elle rougit. Que pouvait-elle faire? Il lui parlait. Mais elle ne l'écouta pas *Il me tient la main! Je suis à côté de lui! Je fais quoi?!* . Ses phrases se répétaient en boucles. Elle expira, souffla et enleva sa main de la sienne. Ses doigts allèrent directement cacher la moitié de son visage, où elle tenta de se calmer. Puis, il lui tendit un mouchoir et elle le réentendit. Elle sourit. Un sourire forcé, mais c'était suffisant.

Depuis cet accident, personne n'osa prendre la parole. Esmée s'était gentiment décalée vers la fenêtre. Ce n'était pas bon pour elle d'être aussi proche d'Audric. Gênée, elle mit ses mains sur ses genoux. Ses jambes se balancèrent. Et son regard tournait, cherchant une occupation. Elle venait de plomber l'ambiance avec sa crise. Mais elle n'allait pas s'excuser. Elle regarda donc le paysage en imaginant une discussion normale avec Audric. Puis la porte s'ouvrit :

- Bonjour les enfants. Elle avança davantage son chariot. Vous voulez des friandises ? La vieille dame leur souriait. Puis, d'un geste elle leur montra sa marchandise.

- Oui ! S'exclama Esmée.

Elle se leva pour récupérer quelques mornilles dans sa poche. Elle s'approcha du chariot et s'arrêta. Hésitante, elle se retourna et demanda aux garçons:

- Vous aimez les chocogrenouilles ?

Esmée s'adressait bien à Jonathan. N'aimant pas s'excuser et voulant rompre le silence, elle s'était lancée à de la sympathie envers ce dernier. Elle l'observa, du coin de l’œil, en espérant qu'il accepte son offre.

29 juin 2018, 13:52
Trajet à haute tension
Je suis désolé pour le retard.

 Le regret ainsi qu'un peu de honte avaient pris la place de la colère sur le visage de Jonathan. Audric le connaissait assez pour voir qu'il regrettait d'avoir fait pleurer la jeune fille, même s'il doutait qu'il en était de même pour ses mots. Mais il savait aussi que son ami n'avait pas été blessé seulement physiquement par le coup de boule que Esmée lui avait donné plus tôt dans l'année. Savoir si elle, elle regrettait ce coup était une autre paire de manche. La tension était légèrement retombée, faisant place a un silence écrasant qui démotiva le garçon aux yeux vairons. Pourtant les choses avaient été dites (ou à peu près ) et il ne manquait qu'un peu de discussion pour que tout s'arrange. Mais aucun des deux garçons ne prenaient l'initiative, pas plus que la brune d'ailleurs. 

Mais cette dernière ne resta pas dans son coin bien longtemps. Alors que Jonathan s'excusait silencieusement, Audric leva une main et fit un signe qui signifiait qu'il le comprenait. Il espérait juste que cela ne à reproduirait plus.  La porte du compartiment s'ouvrit sur la dame au chariot de friandises, qui leur en proposa immédiatement. Aussi soudainement, Esmée se leva et sortit de l'argent de ses poches. A la surprise du français, elle leur proposa semblait-il une chocogrenouille. Il tourna la tête pour voir si elle s'adressait, comme il pensait, a Jonathan et fut encore plus étonné de constater que c'était le cas. 
Un sourire fier se dessina alors sur son visage tendit qu'il bondissait du ses pieds afin de fouiller dans des propres poches. Il en extirpa un peu de monnaie qu'il tendit à la dame du chariot après avoir répondu à Esmée : « Oh oui! »
Puis a la dame : « Je voudrais aussi deux boîte à de dragées surprises et trois crapauds à la menthe s'il vous plait. » Il ne demanda pas l'avis de ses deux amis, trop heureux de voir toute la tension disparaître. Il s'était auto-persuadé que toute cette histoire était terminée et que le brun et la brune s'entendraient bien cette fois. Pour bien plus longtemps que ce simple trajet. 
 Et puis si ses amis ne voulaient pas des sucreries qu'il leur proposait, il pourrait toujours les faire goûter à ses parents qui ne connaissaient pas les bonbons sorciers. Il prit tout ce qu'il avait commandé, après que le dame du chariot les lui ai donnés, et se tourna vers Jonathan avec un mauvais sourire sur le visage.

 « Un pari ça te tente? » demanda-t-il en tendant la boîte de dragées surprise de Bertie Crochue. Boîte qu'il tourna aussitôt vers Esmée en lui offrant son plus beau sourire. A savoir maintenant lequel des deux allait accepter de jouer avec lui en premier.

Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."

03 oct. 2018, 22:32
Trajet à haute tension
Jonathan restait un peu figé devant la réaction d'Esmée. Y'a pas cinq minutes elle pleurait et maintenant elle lui proposait des friandises comme si de rien n'était ? Elle est bizarre cette petite, peut être schizophrène. En y réfléchissant un peu cela expliquerait bien des choses... Mais avant que le rouge et or puisse refuser, juste parce qu'il n'aime pas le chocolat, Audric se précipita pour acheter pleins de bonbons. Il avait l'air content, comme si tout était rentré dans l'ordre grâce au sucre. Ca fait des merveilles, mieux qu'un psy. En cas de conflits politique on devrait proposer des cadeaux et du chocolat pour régler le problème. Mais je m'égare revenons dans le wagon.

Si Jonathan avait un défaut c'était la radinerie. Et oui, personne n'est parfait, surtout pas lui. Le garçon était beaucoup trop proche de ses sous. Ce n'était pas maladif, mais aucune chance qu'il dépense ses beaux gallions pour quelques friandises futiles. Par contre si on lui offrait c'était différent. Il resta assis mais la proposition d'Audric n'était pas entré dans l'oreille d'un sourd. On pouvait voir sur sa tête qu'il était partant. Son petit sourire et ses brillant, Jonathan attendait que la vieille dame sorte pour commencer les hostilités.

"Je parie que je vais tomber sur des goûts tout pourris."

On aurait dit que les sucreries avaient aussi eu raison de la rancune du brun. Il regarda Esmée. * Avec la chance que j'ai en ce moment...* Ha c'était trop beau pour être vrai. Bizarrement, depuis que la petite ne pleurait plus , Jonathan n'éprouvait plus aucune culpabilité. Sa rancune était revenue comme par magie. Le sucre ne peut pas faire de miracles. J'ai bien peur que ces deux là ne seront pas amis tout de suite. Mais pour l'instant il faut juste éviter qu'ils s'entretuent dans le wagon. Le Gryffondor se redressa un peu sur la banquette et attendis un peu que son ami ouvre sa fameuse boite.

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.

07 oct. 2018, 14:14
Trajet à haute tension
La tentative d'Esmée avait échoué. Elle zieuta Jonathan et le vit bouder une nouvelle fois. Ne voulant pas gâcher son voyage avec Audric, elle préféra faire abstraction de ce dernier. Elle donna alors ses chocogrenouille à son ami, vu que le grognon ne donnait aucun signe de vie. Esmée se rassit gentiment à côté d'Audric, sans être trop proche, et accepta son défi. Souriante, elle piocha dans sa boîte et mangea le dragée sans oser regarder sa couleur. Soudain son visage pâlit et elle voulut cracher le bonbon. Les chaussettes sales étaient vraiment dégueulasses. Elle déglutit en fermant les yeux. Puis elle les rouvrit en affirmant: «infecte!». Elle rigola et l'ordonna d'en prendre un à son tour. Voulant vite faire passer ce gout horrible de sa bouche, elle croqua rapidement dans sa chocogrenouille.

Il faisait bon dans cette cabine et, si on n'oubliait la présence de Jonathan, Esmée était heureuse de pouvoir parler autant à Audric. Elle lui racontait ses aventures dans le château, dont sa bagarre avec Wendy Stone, une fille vraiment détestable. Puis, elle se mit à parler des professeurs, enfin surtout d'un seul Mr Fawley, une vraie terreur. Elle s'amusait à imiter son air sérieux quand il la disputait: «si vous continuez dans cette voie Miss Peterson, je doute fort de votre avenir dans notre monde magique». Elle arrivait bien à reproduire le ton méprisant du professeur. Mr Fawley n'était pas un mauvais enseignant mais, il n'aimait guère Esmée. Une préfète qui commet plusieurs infractions du règlement intérieur de Poudlard n'était pas digne d'apprendre ses cours. Mais à ce moment, elle s'en fichait de son insigne! Elle espérait juste de ne plus jamais être préfète. Elle regarda sa montre et vit qu'il était bientôt l'heure. Ils allaient arriver à la gare en même pas dix minutes. Esmée rangea donc ses affaires et profita ainsi de sortir ses valises. Quand le train s'arrêta, ils sortirent du compartiment. Esmée ne voulait pas quitter Audric. Mais son père était arrivé et criait son nom. Elle se retourna et vit Kenzo, il tenait la main d'Henry et l'appelait joyeusement en faisant de grands signes de main. Boudeuse, Esmée prit une feuille et un stylo dans son petit sac. Elle s'agenouilla et inscrit son adresse dessus. Puis elle s'adressa à Audric en se levant:

- Tiens, c'est mon adresse. Elle lui donna le bout de papier: «ma famille est là, je dois y aller. Passe de bonnes vacances. »

Elle fit un signe de la main aux deux garçons et partit rejoindre son père et son frère. Même s'il fut dur de quitter Audric, elle était contente de revoir sa famille.

08 oct. 2018, 14:04
Trajet à haute tension
 En se rasseyant au fond de la banquette, Audric eût un sentiment de satisfaction. Certes ses deux amis n'étaient pas tombés dans les bras l'un de l'autre, et ils n'avaient pas vraiment mit à plat toute la rancœur qu'ils avaient l'un pour l'autre. Mais ils avaient déjà fait un pas lui semblait-il, en cessant de se chamailler ou en faisant l'effort de ne pas se mordre au visage à chaque fois qu'ils ouvraient la bouche. Des progrès vous dis-je!
 C'est en voyant Jonathan refuser la chocogrenouille qu'il se souvint que son ami ne raffolait pas vraiment du chocolat, et se félicita d'avoir renchérit sur la proposition d'Esmée en achetant d'autres sucreries. Il ne put se retenir de rire en voyant la grimace de son amie après qu'elle est goûté l'une des fameuses dragées surprise. Se tournant vers l'autre garçon, il lui tendit un peu plus la boîte, insistant pour qu'il en prenne une.
« Tu tombes toujours sur les goûts tout pourris. » ricana le garçon aux yeux vairons. « Laisses-en un peu pour les autres! » En général lorsqu'il jouait à ce jeu avec d'autres personnes, Audric tombait toujours sur de bon goût, ce qui était plutôt lassant et pas drôle du tout à force. Il prouva d'ailleurs cette théorie en mâchonnant l'un des bonbons.

 « Caramel. » souffla-t-il, déçu de tomber à nouveau sur quelque chose de bon. La suivante pourtant le fit mentir, puisqu'il tomba sur citrouille. Essayant de masquer sa grimace, le brun avala rapidement la dragée qu'il trouvait infecte et se saisit rapidement d'une chocogrenouille. 
 Le reste du trajet, Esmée prit la parole. Il était content de voir qu'elle se sentait mieux, et la voir discuter ainsi en présence d'autres personnes était plutôt étonnant. Finalement, elle semblait avoir accepté Jonathan. Il ne restait plus qu'à ce que soit réciproque. Pendant qu'il répondait à la brunette entre deux anecdotes, Audric jetait un regard bienveillant sur son ami, cherchant à l'inclure à la conversation également. 

 Le train arriva bien trop tôt au goût du français qui prit ses valises en boudant légèrement. Il aurait voulu que le trajet dure trois, non..., dix fois plus longtemps! Il se retrouva au milieu des deux autres sur le quai de gare, traînant ses valises et la cage dans laquelle Pebirw était enfermé. Le père d'Esmée fut le premier parent à apparaître dans leur champ de vision, et Audric prit le temps d'observer ce dernier ainsi que le petit garçon qu'il tenait par la main, certainement le frère de son amie. Cette dernière s'agenouilla et, après avoir griffonné sur un morceau de papier, lui fourra ce dernier dans sa main libre avant de s'éloigner. 
 Le brun la salua joyeusement de la main avant de ranger soigneusement le morceau de papier dans sa poche. Il sortit également un morceau de parchemin et y inscrivit son adresse avant de la donner à Jonathan. « Tiens, si t'as pas trop la flemme cet été écrit-moi. » fit-il en lui faisant un clin d’œil moqueur. 

 Il avisa au loin sa mère qui lui faisait un signe, et le garçon se demanda pourquoi elle était seule alors que son père avait pourtant bien dit qu'il serait présent aussi. Avant de se précipiter à sa rencontre et de lui poser la question, il se tourna vers son ami et désigna du menton Esmée qui n'était déjà plus qu'un point dans la foule. « J'avais raison hein? Elle est cool! »
Puis sans lui laisser le temps de répondre il rejoignit sa mère qui le serra dans ses bras. Il ne voulait pas que l'été s'achève, mais il avait tout de même hâte de retourner à l'école, persuadé qu'il parviendrait un jour à ce que ses deux amis s'entendent.

 

Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."

25 oct. 2018, 23:29
Trajet à haute tension
Jonathan était content que cette naine ait un goût pourri dans la bouche. Ce petit malheur le réjouissait beaucoup. Après cela il en prit un aussi et par miracle il eut un goût très agréable. Ce petit bonbon le calma et il se mit contre la fenêtre tout le long du trajet. C'est à peine s'il écoutait la conversation de ces deux camarade. Le rouge et or observait son meilleur ami discrètement. Il avait l'air super heureux de parler avec cette peste. Jonathan comprit enfin pourquoi il l'aimait bien. Puis notre héro observa Esmée. Tien, même moi je commence à l'appeler par son prénom. Le jeune fille était toute souriante, gentille, et drôle par moment. C'était une facette d'elle totalement inconnu et pas déplaisante.

Comme il est boudeur, Jonathan continua de fixer la vitre en faisant mine de râler. Par moment il avait envie d'entrer dans la conversation mais se retint. Il ne pourrait jamais être ami avec elle. Du moins c'est ce qu'il pensait. 
Le train arriva enfin à quai. Le moment pour le brun de retrouver sa famille mais surtout quitter son ami. Ils allaient tous lui manquer pendant deux mois, Audric, Duncan et surtout Emilia. Ca s'annonçait long comme vacances. Le Gryffondor prit sa valise et sorti du train. Lorsque l'intruse rentra enfin chez elle, Jonathan guetta ses parents en espérant qu'ils n'arrivent pas tout de suite. Cela lui laisserait un peu de temps avec Audric. Mais avant même qu'il ait fini de regarder, son ami lui tendit un morceau de parchemin en lui disant de lui écrire.  "Bien sur que je t'écrirais ! Mais t'emballe pas trop à me faire de long paragraphe sinon t'auras plus rien à me dire à la rentrée.". Il sourit mais était très triste de le voir partir si vite.

Jonathan attendit de longues minutes sur le quai. Voyant un à un tous ces camarades de classes partir rejoindre leurs familles. Ceux qui le connaissaient lui faisaient un petit signe et un sourire. Enfin ses parents arrivèrent en retard comme toujours. Jonathan se jeta dans leurs bras comme l'enfant qu'il était. Ses parents lui avaient beaucoup manqué cette année et la joie de les revoir surpassé mille fois la tristesse d'être loin de ses amis.

FIN

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.