Inscription
Connexion
13 mai 2018, 19:14
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
La gare était remplit de parents et d'enfants. En poussant mon chariot dans la cohue, soutenue par mes parents, je sentis mon ventre se serré face à cette agitation étouffante. Bien que ma mère me soutenait moralement en me souriant et en me frottant le dos, je ne puis lâchée mon chariot quand un des employer me le prit, m'assurant qu'il ne perdra pas mes gros affaires. Le train siffla et j'entrai dans une des voitures, après avoir embrassé mes parents une dernière fois.

L'intérieur était pire que l'extérieur. Les élèves se bousculaient dans un brouhaha d'éclats de rire, de pleurs et de "oh pardon je t'ai marcher sur le pied". J'arrivai tant bien que mal vers une cabine assez éloigné des autres, vide d'élèves (heureusement). Elle n'était pas spécialement grande, mais comportait de deux banquettes moelleuses de couleurs rouges, et de grandes fenêtres qui laissaient voir mes parents me faire de grands gestes avec les mains, que je répondis avec enthousiasme. Je déposai mes affaires en haut des sièges, et je les fixai pour qu'ils ne tombe pas. Installée, mes parents partis, le stress monta en moi. Je savais que qu'une dame passait avec chariot plein de bonbons et je décidai d'y aller directement et m'acheter des confiseries pour je ne sois moins seule. Je me levai donc et me dirigeai vers la tête du train, bousculant sans crier gare une fille plus petite que moi, avec des mi-longs bruns foncés. On s'excusa toutes les deux et je continuai ma quête de sucre.
13 mai 2018, 19:57
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
C'était le grand jour... Le jour où je prenais le train pour me diriger vers ma nouvelle école... Poudlard, école de magie et de sorcellerie, célèbre en Angleterre. La veille, j'étais allée voir maman à l'hôpital, histoire de lui dire de bien se porter lors de mon absence et que je reviendrais la voir quand je le pourrais, lui promettant aussi de lui envoyer régulièrement un hibou à elle et à mon père. D'ailleurs, en parlant de lui, il m'accompagnait à la gare en ce jour fatidique qui donnait un grand tournant à ma vie habituelle. Mes affaires étaient touts préparées depuis belle lurette et nous étions partis tôt afin d'arriver sur le quai 9 3/4 avant que la masse de voyageurs du Poudlard Express n'arrive et que l'on se retrouve coincé dedans. Et puis, j'avais horreur d'arriver en retard...

Arrivée à la gare, sur le quai surmonté de pancartes indiquant clairement cette voie particulière d'où démarrait le Pourdlard Express, je dus retenir les soupirs de désespoir qui voulaient sortir de ma bouche quand je remarquais déjà le monde qui se bousculait. Je poussais tout de même mon chariot vers la locomotive, mon père sur les talons, dans l'idée de mettre le plus d'affaire dans la soute. Une fois cela fait, je me retrouvais avec seulement une de mes malles, celle contenant les affaires les plus importantes comme mes robes de sorciers, mes livres et tout ce qui avait put encore entrer dedans, devant les pieds. Ainsi, je me tournais vers mon père pour le prendre dans mes bras, lui m’étreignant avec émotion. Sa petite fille allait partir à Poudlard pour y faire ses études! L'école dans laquelle lui-même était passé avec ma mère, celle qui leur a permit de vivre tant de choses! Il était heureux que je suive leurs voies.

Avant de me lâcher, il me murmura à l'oreille qu'il ne s’inquiétait guère du choix de ma maison et que bien qu'ils aimeraient tous deux que j'aille chez les Serdaigle, ils seraient fière de moi malgré tout! Avec un sourire discret, je montais dans le train à mon tour, en quête d'une place convenable dans les nombreuses cabines qu'il comportait. Ce fut éprouvant, puisque la plupart de celles-ci étaient soient pleines à craquées, soit déjà occupées par quelques personnes. Seulement, j'étais plutôt asociale dans mon cas, j'évitais donc de les déranger.

Sans faire attention devant moi, je bousculais sans crier gare une jeune fille plus grande que moi, aux yeux bleus et aux longs cheveux bruns. Après que nous nous soyons excusées l'une l'autre à plusieurs reprises pour notre étourderie, nous nous sommes rapidement séparée et j'ai pus trouver une cabine libre. Après un coup d’œil, j'en avais conclus que personne ne semblait s'y être installé et je rangeais donc soigneusement ma malle sur le porte bagages au dessus des sièges puis m'asseyais dessus. J'ouvris le livre que j'avais retiré de ma valise. Je jetais un bref coup d’œil à travers la vitre.

Rien... Mon père avait dut repartir.

Je me plongeais dans mon livre en essayant de faire abstraction de toute la cohue que je pouvais entendre hors du trame et dans les couloirs.

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur."
Je ne compte plus le nombres de fois où je me suis dite que cette loi était sûrement vraie...
15 mai 2018, 17:49
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Après avoir acheté mes sucreries, je refis marche arrière pour rentrer rapidement dans ma cabine et enfin être au calme. Je marchai à pas vif, évitant adroitement les élèves qui allaient en sens inverse et m'excusai auprès d'autres pour qu'ils me laissent passer. Le train était bondé, les cabines aussi. Enfin devant la porte de ma cabine, je soufflai après ma marche active, et je programmait déjà dans ma tête ce que j'allais faire durant le trajet. Lire, manger, puis encore lire et manger. Je touchai ma poche remplit de bonbons et ouvris en grand le battant pour me figer totalement. Un petit cri retentit, ce n'était pas moi, mais l'autre, une fille qui le poussa. Elle était assise sur la banquette droite, un livre dans les mains qu'elle serrait contre sa poitrine et me regardait avec des yeux ronds comme des soucoupes. J’avais à peu près la même tête qu’elle.
Son visage me disait quelque chose jusqu'à ce que je m’en rappelle. Je l'avais poussé quelques minutes avant de partir chercher les bonbons.
Après ce moment de frayeur et de stress inutile. Je fermai la porte pour m’asseoir en face d'elle, seulement séparer par une petite table. Elle s'était un peu détendu et je lui souris. Un sourire crispé et peu confiant, mais un sourire comme même ! Elle me répondit, le train démarra et elle reprit sa lecture alors que j'observais le paysage. Après un long moment de silence très, mais alors très pesant, je décidai de la regarder et finis par engager la conversation, avec une voix que je pensais confiante, alors qu'un son étranglé sortit. Je toussai, gênée et recommençai :

- Bonjour, je m'appelle Jodie Martin, et toi ?

Mon sourire se crispa, heureusement ma voix n'avait pas déraillé un nouvelle fois mais je ne me sentais pas à l'aise. Elle leva les yeux de son livre et plaça un marque-page avant de le fermer dans un "clac" sonore, me regardant fixement. Oh... mon... dieu, je veux mourir, pourquoi n'ais-je pas fait l'autruche pendant tout le trajet ? Bon tant pis, autant aller au bout des choses, peut-être qu'elle était gentille, enfin je l’espérais...
15 mai 2018, 19:23
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Après avoir tournées de nombreuses pages, je levais le nez de mon livre pour jeter un bref regard à travers la vitre de la cabine. Le train n'avait pas encore démarré puisque les derniers arrivés montaient encore dans la trame. Mais cela ne saurait tarder, bien évidemment!
Voyant quelques têtes qui sautaient encore dans le machine à vapeur, je détournais le regard pour le reposer à nouveau sur les livres de mon livre.
Seulement, je ne pus pleinement m'encrer dans ma lecture que déjà la porte coulissante de la cabine s'ouvrait rapidement et avec fracas, me faisant indéniablement sursauter et s'est après coup que je me suis aperçue qu'un léger couinement était sorti de ma bouche. Cependant, inconsciemment, je tenais fermement mon livre contre moi en regardant cette apparition avec des yeux ronds. Je la replaçais rapidement, ces cheveux bruns et longs, ces yeux bleus, c'était la fille que j'avais bousculé il y a de cela quelques instants!
Lentement cette fois-ci, elle referma la porte puis vint s'asseoir en face de moi. Je me détendis indéniablement, les battements de mon cœur reprenant une allure parfaitement normale. Elle me tenta un sourire, légèrement crispé, que je lui rendis, en plus fin et tellement peu assuré...
Je sentis une secousse. Le train démarrait enfin et en regardant le quai, je voyais les parents faire des signes de main à leurs enfants qui leur répondaient sûrement depuis d'autres compartiments. Je repris ma lecture.

Le silence était pesant. Je n'étais pas certaine d'arriver à sortir ne serait-ce qu'un mot si j'ouvrais la bouche en première, alors j'attendais patiemment quelque chose... Au bout d'un moment, du coin de l’œil, je n'ai jamais pus me re-concentrer dans ma lecture finalement, la brune releva le regard pour me fixer d'un air un peu confiant. Cependant, sa voix ne semblait pas penser la même chose puisqu'un son comparable à un étranglement sortit du fond de sa gorge. Elle toussota, je ne notais pas du tout cette petite faute puisque j'aurai été pareille qu'elle dans ce cas de figure, puis je l'entendis dire enfin.

- Bonjour, je m'appelle Jodie Martin, et toi ?

Je plaçais lentement un marque-pages dans mon livre avant de le fermer un peu trop violemment à mon goût... Je ne voulais pas... Ma main avait glissée toute seule...
Ne perdant pas contenance, je levais le regard dans sa direction et la fixait dans les yeux. A la vue de la tête qu'elle tirait, Jodie devait sûrement se demander si elle avait bien fait de m'adresser la parole... Je ne suis pas si effrayante, si?
Je tripotais nerveusement le morceau de marque-pages qui ressortait un peu trop de mon livre, ne sachant pas trop comment m'y prendre dans cette situation... Je ne suis pas du tout sociale de base... Arf... Une fois dans la vie, ça ne fait pas de mal! Je m'éclaircis donc la gorge afin d'éviter une voix enrayée.

- Salut, je m'appelle Alice Mondstein...

J'osais un petit sourire discret et me dandinais un peu sur mon assise.

Je t'ai mise une couleur verte pour faire la différence, je peux l'enlever si elle ne te correspond pas ^^

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur."
Je ne compte plus le nombres de fois où je me suis dite que cette loi était sûrement vraie...
15 mai 2018, 20:51
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Non ne t'inquiète pas, j'aime beaucoup ^^

- Salut, je m'appelle Alice Mondstein

Alice, c'est un très joli prénom et je dénotai des origines allemandes dans son nom de famille. En tout cas, sa voix était douce, quelque peu hésitante et je compris qu'on était dans la même galère ; "Que diable allait-il faire dans cette galère? Ah maudite galère!" Ce n'était clairement pas le moment de citer du Molière mais toutes mes pensées ne voulaient pas se coordonner pour former une phrase simple, mélangeant habilement humour et sympathie, afin de mettre à l'aise ma compagne de voyage. Non, à la place j'étais en train de compter les secondes que je pouvais tenir en ayant les yeux ouverts, sans ciller. Je clignai, quarante-cinq secondes, "bravo Jodie, je suis sûr qu'Alice doit me prendre pour une folle maintenant. Trouve une issu de secours, n'importe quoi mais dit quelques chose Jodie !!!"

- J'aime beaucoup la couverture de ton livre, quelle est son histoire ?

Je me désespère moi même... Je suis définitivement relégué à la dernière place des personnes sociables. Je soupirai et baissai la tête en triturant le bout de mon t-shirt avec mes mains. Pourquoi j'angoisse quand je dois parler avec des gens, ce n'est comme même pas la mort. "Aller Jodie, tu peux réussir à te faire des amis, il faut juste que tu apprennes à gérer tes émotions un peu trop envahissant et ensuite tout coule". Alice devait sûrement posé son livre puisque j'entendis du bruit au niveau de la table et contre toute attente me répondit.
16 mai 2018, 14:09
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Après m'être présentée, je pouvais presque voir le cerveau de Jodie fumer tellement elle réfléchissait. Puis au bout d'un moment où j'avais l'impression qu'elle essayait de tenir le plus longtemps possible à me fixer sans cligner une seule fois des yeux, elle me demanda.

- J'aime beaucoup la couverture de ton livre, quelle est son histoire ?

Je la voyais torturer son pauvre tee-shirt de ses doigts. J'étais d'ailleurs aussi troublée qu'elle, le sociale et moi, ça faisait trois... Mais par respect pour son courage inconsidérable, face à cette situation où je me serais facilement défilée sans demander mon reste, je fermais mon livre et le posais sur la table non sans loucher légèrement sur le titre de celui-ci.
J'ouvris la bouche en m'imaginant tout ce que je pourrais lui dire avant de déclarer d'un air tout à fait normal et sûrement un peu exagéré.

- Si je devais résumer en quelques mots, il conte l'histoire d'une jeune sorcière et de son fidèle chat qui la suit partout dans son aventure, qui devra remuer ciel et terre afin de retrouver les vestiges de son passé et peut-être même découvrir qui sont ses parents. En effet, elle a grandit dans un orphelinat depuis sa plus tendre enfance et elle n'avait jamais sut qui ils étaient. Mais elle aura beaucoup d'obstacles à surmonter et de nombreux ennemis a combattre, mais.... En fait, c'est le manuel de potion des Premières années de Poudlard...

Oui, fallait dire que j'étais déterminée à me rendre aussi idiote qu'elle n'aurait put se sentir lorsqu'elle m'avait posée cette question, puis qu'elle s'était aperçue que ce n'était qu'un simple livre de cours dès l'instant où j'ai commencé à débiter ce résumé plus de foireux... Quoique, cela aurait put faire une très bonne histoire... Mais là n'était pas le problème.
En plus, ça avait divinement bien fonctionné... Sous son regard interloqué, je me sentais un peu bête de ce que je venais de dire...

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur."
Je ne compte plus le nombres de fois où je me suis dite que cette loi était sûrement vraie...
16 mai 2018, 16:00
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
-[...] En faite, c'est le manuel de potion des Premières années de Poudlard.

On se regarda une nouvelle fois et je finis par rire. C'était loin d'être méchant, je riais pour que mon stress diminue et que je ne m'attendais pas à cette chute. Elle me suivit et on ria jusqu'à avoir mal au ventre et aux joues. Entre deux crises je m'exclamai :

- Pour- Pourquoi on rigole ? On a l'air conne !

Alice me répondit difficilement : - Je ne sais pas... Mais j'ai envie de rire !
L'atmosphère, autrefois gêné voire tendu, se transforma doucement en quelques choses de plus détendu. Reprenant mon souffle, le teint tout rouge, je sortis mes bonbons de ma poche et demandai :
-T'en veux ? J'en ai pris peut-être un peu trop.

Alice me regarda avec des yeux étincelants et je compris qu'on était sur la même longueur d'onde. Elle me chipa la Chocogrenouille devant moi et me tira la langue. Je fis les gros yeux avant de rire et de me rabattre sur une Chocoballe.

- SInon, tu aimes faire quoi dans la vie ? Je vis son regard étinceler de malice et je rajoutai rapidement, la prenant de court. A par, bien sûr, manger du chocolat.

Elle finit son chocolat avant de me répondre, entre temps j'ouvrais un paquet de dragées surprises de Bertie Crochue et en prit un, je tendis le paquet à Alice. Elle en prit un de couleur rose alors que le mien tirait une de ses tronche. Il était de couleur beige avec des tâche jaune/brun. Elle finit par avaler sa Chocogrenouille.
16 mai 2018, 18:59
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Après la chute spectaculaire de mon récit, et avoir tirée un tronche de six pieds de longs tout le long de ma tirade, Jodie c'était soudainement mise à rire. Impulsivement et surtout parce que son rire était contagieux, je me mis à exploser à mon tour. Nous en avions mal au ventre et eux joues tellement nous rions. Entre deux éclats de rire, elle demanda, le regard pétillant et humidifié par des larmes de joie.

-Pour- Pourquoi on rigole? On a l'air conne !


J'allais lui répondre quand une nouvelle crise de fou rire me prit. Ce fut très difficilement que je bégayais entre deux inspiration particulièrement complexes.

-Je ne sais pas... Mais j'ai envie de rire !

Franchement, j'ai plutôt bien fait de dire ce genre de débilité quelques secondes auparavant, car cette crise de fou rire incontrôlable pour nous a permit à l'atmosphère de totalement se détendre. Je vis Jodie sortir un paquet de bonbons de sa poche et le poser sur la table en reprenant son souffle.

- T'en veux? J'en ai pris peut-être un peu trop.

En effet, le paquet était aussi gros qu'un souffle en Quidditch. Je me demandais bien d'ailleurs, comment elle avait put le faire rentrer dans une poche aussi petite... Mystère et boule de gomme qu'était cette poche de pantalon !
Je lui jetais rapidement un regard éblouissant d'espoir avant de sauter toutes griffes dehors sur la Chocogrenouille et de l'enfourner en tirant la langue à la concernée qui me regarda avec des yeux ronds avant de pouffer. En goba une Chocoballe avant de me demander.

- Sinon, tu aimes faire quoi dans la vie? Puis quand elle vis mon regard amusé et ajouta simplement en se retenant de rire. A par, bien sûr, manger du chocolat.

J'avalais mon chocolat pour lui répondre alors qu'elle sortait du paquet un sachet de Dragés surprises de Bertie Crochue. Je savais bien que ce genre de bonbons avaient des goûts parfaitement aléatoires et qu'il était possible d'en avaler un ayant un goût atroce. Je me rappelle qu'un jour, alors que j'en mangeais avec mes parents, mon père avait hérité d'un magnifique goût vomi alors que ma mère, bien plus chanceuse, avait eut le goût fraise des bois, son parfum préféré! J'aurai bien aimé m'abstenir d'en piocher un, mais c'était si gentiment proposé que ce serait impolie de refuser! J'en pris donc un qui avait une belle couleur rosée alors que celui que Jodie piocha avait une tête très étrange. J'aurai été elle, je l'aurai volontiers replacé à sa place.
J'examinais légèrement mon dragé en répondant finalement à sa question.

- Ce que j'aime faire dans la vie? Lire, dessiner, m'instruire et rêvasser. Manger aussi, c'est bien de manger !

Puis je levais à nouveau mon regard pour croiser ses yeux bleus en lui retournant sa question, prête à manger mon bonbon, surtout préparée au goût qu'il pourrait potentiellement avoir. D'ailleurs, Jodie enfourna le sien avant de se mettre à parler.

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur."
Je ne compte plus le nombres de fois où je me suis dite que cette loi était sûrement vraie...
17 mai 2018, 08:33
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
J'enfournai le bonbon dans la bouche, tout en écoutant les paroles d'Alice, et, après une grande inspiration, je croquai dedans. Marshmallow ! Oh mon dieu, que je suis chanceuse ! Je fis une danse de la joie en agitant aleatoirement les bras et en chabtonnant une petite musique. Alice rit face à ma danse impeovise.
Apres l'euphorie passé, je finis par parler :

- Pour moi, c'est pareille. J'aime beaucoup la littérature mythologique, ou d'action ou d'horreur. Enfin, j'aime tout , je ris sinon, je me suis mise au dessin très récement donc on va dire que je me débrouille pas trop mal et j'adore rêvasser. C'est vrai que manger c'est la vie mais dormir aussi !

Alice hocha la tête devant mes paroles et croque dedans doucement. Son visage s'illumina et elle souffla de soulagement. Je lui tendis mon oaquet et elle piocha dedans sans hesiter. Pour ma part, je peis un choxolat avant d'en reprendre et j'esperais que ce n'etais pas gout vomi.

-Gout fraise ! Oh que je suis contente !

Je tendis mon bonbon et elle tendit le sien avant de le mettre dans la bouche et je recrachai le mien illico. Apres avoir bu de l'eau pour rincer la bouche, je repris sous le regard amuse d'Alice.

- Sinon, tu regardes des films moldu ?
17 mai 2018, 18:11
Sans crier gare...  privé avec Alice Mondstein 
Je vis soudainement Jodie entamer une danse étrange, j'en concluais qu'elle devait être tombée sur un bon dragé. Mais face à cela, je ne pus cependant pas m'empêcher de rire doucement. Une fois sa danse bien finie, elle arrêta de se trémousser et se rassit pour me dire :

- Pour moi, c'est pareille. J'aime beaucoup la littérature mythologique, ou d'action ou d'horreur. Enfin, j'aime tout. Elle rit. Sinon, je me suis mise au dessin très récemment donc on va dire que je me débrouille pas trop mal et j'adore rêvasser. C'est vrai que manger c'est la vie mais dormir aussi !

J'hochais la tête pour approuver ses paroles puis croquais dans mon bonbon en plissant les yeux. Puis, sentant la saveur caractéristique de la fraise se répandre dans ma bouche, je soupirais de soulagement. Instantanément, Jodie me tendit malicieusement son paquet et sans réfléchir, j'en piochait un autre, tandis qu'elle savourait un autre chocolat avant de se lancer.

-Gout fraise ! Oh que je suis contente ! précisais-je tout de même avec un sourire.

Toutes deux, nous tendions nos nouveaux bonbons avant de les enfourner. Sitôt fait, Jodie recracha le sien directement et vue le regard qu'elle lui lançait, elle avait dut faire une bien mauvaise pioche...
Je la regardais d'un air amusé alors qu'elle essayait de feindre l'ignorance en me demandant ensuite, après avoir bu une gorgée d'eau pour essayer de faire passer le goût.

- Sinon, tu regardes des films moldu ?

Je croquais dans mon dragé, et savourais brièvement le goût pêche que j'avais en bouche avant de lui répondre après un instant de réflexion.

- Hum... Donne moi des titre, je te dirai si je les ai déjà vu ou non. Je ne dis pas que je n'en regarde pas, parce que ce serait faux, mais je n'ai pas les titres en tête.

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur."
Je ne compte plus le nombres de fois où je me suis dite que cette loi était sûrement vraie...