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23 oct. 2019, 16:20
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
1 Septembre 2044


Enfin le jour de la rentrée est arrivée! Christopher l'avait attendu tout l'été, cet été si morose loin des 3 filles à qui il tenait le plus. Il y avait eu la Coupe du Monde de Quidditch pour égayer un peu le mois de Juillet, il avait pu revoir sa mère et sa sœur durant quelques jours. Mais à part ça on ne peut pas dire que ce fut le meilleur été de sa vie loin de là même, et dire que ça a bien failli être son dernier. Poudlard allait lui faire penser à autre chose, il pourrait se concentrer sur ses études plutôt que sur la situation de sa famille et sur cet accident.

Bientôt l'heure de monter dans le train, encore sur le quai, ses valises chargées dans le train, il attendant de la voir, de repérer ses cheveux dans la foule pour la rejoindre. Qui? Alice bien sûr! 2 mois sans la voir, juste des hiboux régulièrement pour se donner des nouvelles mais qui se furent plus rares ces 15 derniers jours. Pourquoi le blond ne le savait pas tellement, il n'y prêtait pas attention, il avait qu'une envie la retrouvait et la prendre dans ses bras.

"-Tu vas voir elle est si jolie! Dit-il à son père qui se tenait derrière lui. Tu ne me mets pas la honte hein!"

Son père, David, était son meilleur ami, mais en bon Poufsouffle qu'il était à Poudlard il était assez boute-en-train et n'hésitez pas à blaguer ou tourner au ridicule toutes les situations peu importe si cela pouvait gêner ses enfants. S'il avait perdu quelque peu son caractère jovial depuis le départ de sa compagne en France, l'été passé avec son fils lui avait fait beaucoup de bien. Il se contenta d'un sourire envers son Christopher qui ne trahissait aucune promesse, bien au contraire.

"-LA-BAS! Il venait d'apercevoir la jeune fille et entraîna son père avec lui. Elle doit être avec son oncle, s'il te plaît papa je t'en supplie ne fait pas de blague ou autres, sa famille est assez... enfin ce ne sont pas n'importe qui."

Son "oncle" n'était pas un Sangblanc. Il n'était pas de sa famille à proprement parler mais c'était tout comme. Christopher le savait mais si ça pouvait calmer le tempérament de son père c'était tant mieux. Il arrive auprès de la jeune fille, qui était effectivement accompagnée.

"-Alice! Je suis si content de te revoir!"

Il retint l'envie de l'étreindre, par pudeur devant les adultes et aussi parce qu'il ne savait pas très bien si Alice avait parlé de lui et de leur relation à ses proches. Il se contenta donc d'un simple geste de la main attendant qu'elle fasse un pas vers lui pour lui montrer si oui ou non il pouvait libérer son envie ou si il devait attendre qu'ils aient un peu plus d'intimité.

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Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019

30 oct. 2019, 15:32
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
«  Allez, Oncle Kenneth ! Je vais être en retard ! »

Le regard appuyé que l’ex Auror avait échangé avec l’un des Manteaux Noirs de la gare n’avait pas échappé à Alice. Pourquoi fallait-il toujours qu’il fasse cela, comme si il jaugeait les forces armées de Parkinson ? Alice, elle, préférait baisser les yeux lorsque le regard d’un Manteau Noir se posait sur elle. Elle craignait que revoir l’horrible face de celui qui avait manqué de la tuer, quelques semaines auparavant. Alice pensait que l’arrivée de la rentrée et tous ses préparatifs lui auraient permis d’oublier un peu le visage du Manteau Noir qui l’avait agressé, mais elle s’était trompé. Il lui revenait toujours en mémoire, apparaissait sur celui des autres hommes. Kenneth, parfois, devenait lui. Alice ajusta un peu plus son bonnet sur sa tête, s’assurant que chaque mèche blanche était bien cachée.

«  Oncle Kenneth ! »

L’homme finit par détacher son regard de celui du Manteau Noir et vint enrouler son bras autour des épaules d’Alice. «  Désolé » dit-il «  C’est un ancien Auror, je voulais être certain que ce soit lui. » Les traitres. Alice les détestait plus qu’elle ne haïssait ceux qui faisaient initialement partie des partisants de Parkinson. Ils étaient faibles et constituaient une armée qui grandissait de jour en jour.

Dans sa cage perchée sur la lourde malle que tirait l’oncle Kenneth, Althéa observait joyeusement les sorciers affluer de tous les côtés. Alice étira un léger sourire en observant sa chouette. Elle semblait ravie d’être entourée de tant de monde, l’enfant n’avait donc pas à craindre pour son intégration dans la volière de Poudlard.
Alice, aux côté d’oncle Kenneth, fouillait la gare de son regard attentif. Elle reconnaissait certains visages, mais ne parvenait pas à apercevoir ceux de Aliosus, Brett, Irisia ou Orphéa, ni celui de Christopher. Peut-être allait-elle être seule pour faire le voyage ? Ce serait le cas si Alice ne les trouvait pas assez tôt. Voulant accrocher le regard de l’un d’entre eux, elle retira son bonnet, déversant alors un flot de boucles blanches le long de son dos. Ainsi, ils la verraient plus facilement.

« Surtout, fais attention avec ton bras, d’accord ? » lanca Kenneth vers Alice, son regard glissant sur la masse que formait son poignet blessé sous son manteau. «  Fais toi aider pour porter tes affaires, tu ne dois surtout pas forcer. Ça pourrait ralentir la guérison. Et va voir l’infirmier dés que tu arrives pour qu’il observe l’état de ton poignet. Tu peux faire ça ? » L’inquiétude de l’oncle Kenneth était lassante. Alice n’aimait pas qu’il s’intéresse à son poignet. Elle voulait seulement qu’il la laisse tranquille et cesse de lui en parler. Mais l’homme ne comprenait pas, et ne comprendrait certainement jamais.
«  Oui, oncle Kenneth » répondit l’enfant sans réel entrain. Elle n’irait pas voir l’infirmière, qui poserait trop de question, Alice en était certaine.

Soudain, le regard d’Alice accrocha une touffe de cheveux blonds. Par Circée, c’était Christopher ! Le cœur de la petite fille fit un bond dans sa poitrine, son visage s’éclaira d’un sourire qui aurait pu illuminer tout un village. Il était là ! Il était enfin là !

«  C’est lui, Aliosus ? »

Le sourire d’Alice s’effaça aussitôt. Oh non, non il ne devait pas savoir que Christopher était son amoureux ! Cela non plus il ne le comprendrait pas ! «  Oh non, lui c’est Christopher Martin, un camarade de troisième année. » répondit Alice en essayant tant bien que mal de cacher la panique qui grimpait petit à petit en elle. Kenneth ne devait pas rencontrer son amoureux. Surtout pas. Protecteur comme il l’était, il ne cautionnerait pas une telle chose !
«  C’est un drôle de sourire pour quelqu’un qui n’est qu’un camarade » lança l’homme en riant. Le voilà qui se mettait à se moquer ! Que ce passait-il a cet instant dans sa tête ? Alice aurait aimé le savoir. «  Ce n’était pas pour lui, je repensais à quelque chose. »
A la mine amusée de Kenneth, Alice compris qu’il ne se laissait pas berné facilement. Mince.

«  Tiens, le voilà qui nous rejoint. Avec son père, j’imagine. » Le visage d’Alice s’empourpra. Mais à quoi donc jouait Christopher ! Ne pouvaient-ils pas se retrouver devant le train, loin des adultes ? Par Circée, Alice n’était pas prête à rencontrer monsieur Martin !

Alice tapota un peu ses joues rosies et se força à adopter un air qui se voulait neutre, peut-être un peu souriant pour ne pas paraître froide. Elle adressa un sourire radieux à Christopher lorsqu’il fut à sa hauteur.

«  Bonjour Christopher, bonjour monsieur Martin. » Alice releva ses yeux sur le père de Christopher. Le fait de savoir qu’il avait connaissance des sentiments qu’ils avaient l’un pour l’autre rendit les joues d’Alice plus rouge encore, et elle baissa les yeux sur Christopher. Elle lui sourit timidement, avant de détourner ses yeux sur les sorciers qui se mouvaient tout autour d’eux.
Le bras du barbu quitta doucement les épaules d’Alice pour venir tapoter celle de Christopher. Les yeux ronds, Alice releva sa tête sur son oncle, courroucée par une telle familiarité.

«  Quoi ? Je voulais juste voir si il avait assez de biscotaux pour t’aider à porter tes affaires ! » Alice aurait préféré être foudroyée sur place plutôt que de subir cette humiliation. Merlin, avait-il décidé de lui faire perdre tout soupçon de crédibilité devant son futur beau-père ?

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15 nov. 2019, 13:08
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Le sourire timide d'Alice et la distance qu'elle maintenait entre eux ne laissait que peu de doute. Elle n'avait rien dit à ses proches, aux yeux de son oncle il n'était qu'un ami. Il n'était pas peiné ou même étonné, il comprenait Alice et acceptait son choix. Après tout, la famille d'Alice n'était pas la sienne, elle était plus "noble". Ils avaient sûrement une façon de juger les relations différement. Il était juste impatient d'être à l'abri des regards pour la serrer dans ses bras et l'embrasser. Deux longs mois s'étaient écoulés, il pouvait patienter encore quelques minutes. Alors même qu'il s’apprêtait à dire bonjour à l'homme qui était avec Alice il vit la main de celui-ci venir tapoter son épaule. Surpris, plus amusé qu’effrayé, Christopher le regarda avec intérêt. *Qu'est ce qu'il lui prend?* Alice elle avait l'air plutôt choquée elle le fixait avec de grands yeux ce qui fit naître un sourire moqueur à Christopher.

"-Quoi ? Je voulais juste voir si il avait assez de biscotaux pour t’aider à porter tes affaires !
-Oh. L'aiglon avec un sourire amusé par les propos de l'oncle d'Alice, jeta un œil aux bagages à côté du barbu. Il reconnut la chouette qui était venue lui apporter plusieurs lettres d'Alice durant l'été. Bien sûr je vais t'aider si tu veux, mes bagages sont déjà dans le train. Et heu bonjour monsieur. Dit-il à l'attention de Kenneth, en tendant maladroitement la main faisant tomber son insigne de préfet qui était accroché sur son pull. Perdant un peu d'assurance il se présenta avant de ramasser son insigne oubliant le serrage de main. Oups! Je m’appelle Christopher et voici mon père, David."

Derrière lui son père avait un sourire que Christopher ne connaissait que trop bien. Il le croisa en le relevant mais c'était déjà trop tard, son père tendait sa main vers le tuteur d'Alice, sans faire tomber quoi que ce soit lui. Et ça le petit blond aurait bien aimé, ça lui aurait évité d'entre ce que son père prononça.

"-Enchanté! Pour les biscoteaux ça devrait aller, il a fait de la musculation tout l'été... Je me demande bien pourquoi. Ou pour qui. Ajouta-t-il avec un regard vers Alice.
-Papaaaa, sérieusement. Le blond avait perdu son sourire, il était tout rouge et avait envie de disparaître dans la foule environnante. Mais quel imbécile, il ne pouvait pas juste dire bonjour, embrasser son fils et lui souhaiter un bon voyage vers Poudlard. Non il fallait qu'il l'humilie devant son amoureuse et son oncle.
-Mais quoi, c'est rien. C'est bien de s'entretenir, ça va te servir au Quidditch."

Le garçon serra les poings un instant pour évacuer le stress procuré par son père. Parler de Quidditch, avec ce qu'il s'était passé il y a quelques jours! Vraiment? Il était impensable pour Christopher de voler à nouveau, il n'avait pas dit à son père toute la peur que lui inspirait l'idée même de chevaucher un balai. Son paternel sera tellement déçu quand il apprendra qu'il souhaite arrêter le Quidditch. Il articula sans parole audible un "désolé" vers Alice. Il avait honte, il était plus gêné pour Alice que pour lui-même. Il était habitué aux blagues de son père, mais Alice voulait conserver leur secret et la père de Christopher dispersait bien trop d'indices aux yeux de l'aiglon.

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22 déc. 2019, 10:14
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Christopher semblait s’amuser de l’irrévérence de l’Oncle Kenneth. Au moins ne s’insurgeait-il pas que l’on remette sa force en question. Alice n’en avait pas douter un seul instant, bien sûr. Christopher était un gentil garçon, toujours calme et mesuré, qui ne s’emportait jamais pour des choses graves, alors pour quelques futilités...
Cependant, c’est de la réaction de son père qu’il fallait se méfier. C’était un grand homme, ce n’était pas n’importe qui.

Sans grande surprise, Christopher acceptait de porter les bagages d’Alice. Il n’y avait que sa malle et Althéa, mais vengeur un de trop qu’elle ne puisse porter. Vivement que son attèle soit retiré, n’avoir qu’un seul bras valide il n’y a rien de plus handicapant. Même s’habiller relevait de l’épreuve. Quel honte que de demander à Kenneth de l’aide pour enfiler ses chaussettes ...

Alors que son amoureux allait pour proposer une poignée de main vieil à Kenneth, une grande broche sauta de son pull, sans doute arraché par un geste maladroit donc Christopher lui seul avait le secret. Alice suivit la chute de l’objet, et l’observa jusqu’à ce que le blond se jette dessus pour la récupérer. Par Merlin... était-ce l’insigne des préfets ?
Alice releva les yeux sur Christopher, profondément troublé par ce qu’elle venait de comprendre. Mais elle ne put faire le moindre commentaire : Monsieur Martin venait de prendre la parole.

Alice se sentit rougir, les yeux bleus de monsieur Martin sur elle. Oh non, il venait de vendre la mèche, et avec une facilité étonnamment perfide ! Kenneth lâcha un rire à côté d’elle. Le simple d’esprit, il n’avait pas saisi l’allusion ... La fillette se racla la gorge en baissant les yeux, essayant vainement de cacher son visage cramoisi. Mais le blanc de ses cheveux ne laisserait pas passer inaperçu un tel éclat de rubis.
Christopher lui aussi semblait décontenancé par le manque de tact de son père, lui aussi avait viré au rouge. Alice le vit articuler un « désolé » auquel elle répondit par un petit haussement d’épaule. Le mal était fait, encore une chance que Kenneth ne soit pas la flèche la plus aiguisée du carquois.

«  Ah, un joueur de Quidditch ? » Kenneth reposa son regard sur Christopher qu’il considéra un moment. «  Poursuiveur, je suis sûr. »
«  Non, Attrapeur » corrigea immédiatement. Elle jeta un bref coup d’œil à Christopher, avant de se tourner vers son oncle. «  Bon, on ... je vais aller m’installer dans le train avant de ne plus avoir de place... »

Mais que disparaisse cet insupportable sourire ! Kenneth avait l’air de se moquer, ç’en devenait agaçant ! «  D’accord » dit-il en frottant sa main contre la petite d’Alice. «  Prends soin de toi, et fais attention à ton poignée. Tu vas voir l’infirmier dés que tu arrives pour ... »
«  Oui, oui ! Rentre bien, Oncle Kenneth ! Christopher, tu viens ? Je prends ma chouette. Au revoir Monsieur Martin, heureuse d’avoir fait votre connaissance ! »

L’impolitesse faite fille. Il ne fallait plus discuter, Kenneth allait finir comprendre que Christopher était l’amoureux d’Alice, et ça s’était hors de question. Fuir était la seule chose à faire.
Alice plia les genoux pour saluer monsieur Martin, et se retira pour rejoindre le train, la cage d’Althéa à la main.
Christopher et elle avaient des choses à se dire.

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05 janv. 2020, 11:50
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Christopher était resté à regarder son père, comme si il essayait d'entrer dans sa tête comme un legilimens pour interférer dans ses pensées qui pourraient le pousser à intervenir une nouvelle fois et le mettre à nouveau dans l'embarras. Il avait redouté cet instant et il avait eu raison de le craindre. Son père était incorrigible. Heureusement Alice eut la sublime idée de mettre fin au supplice et proposa d'aller prendre place dans le train.

"-Avec plaisir! Il étreignit son père qui venait de saluer Alice en lui souhaitant une bonne scolaire. Tu m'envoies des nouvelles de maman et Sara surtout!
-Oui t'en fais pas. Allez, file ne ratez pas le départ. Et soyez prudent, n'oublie pas!"

Il savait que son père faisait référence au Merlin, l'été avait été rempli de mises en garde. David était heureux de voir son fils agir mais il ne pouvait cacher la crainte que cela lui faisait ressentir. Christopher acquiesça et se tourna vers Kenneth.

"-Monsieur, au revoir. Au plaisir de vous revoir."

Il remit son insigne en place puis saisit les valises de son amoureuse et la suivit vers le train. En montant il jeta un œil vers les deux hommes qui étaient toujours l'un à côté de l'autre et comble de l'horreur il les vit en train de se parler. Ce n'était pas une mauvaise chose en soi, au contraire même, il était heureux de voir ses proches bien s'entendre avec ceux d'Alice. Mais la jeune fille avait préservé le secret de leur relation à son oncle et le blond craignait que son père ne la lui révèle même involontairement, surtout involontairement même. Préférant ne pas penser au pire Christopher monta totalement dans le train et alla prendre place dans un compartiment libre où il pourrait s'installer avec Alice et parler tranquillement.

"-Désolé pour mon père, il m'avait promis de pas dire de choses embarrassantes. C'est plus fort que lui. Il mit son doigt sur la cage d'Althéa pour dire bonjour à la chouette. Salut toi, tu m'apportes pas de lettre aujourd'hui? Elle est magnifique, je sais plus si je te l'avais dit dans nos lettres. C'est un beau cadeau que tu as eu."

Il s'assit en face d'Alice, et repensa à ce que son oncle avait dit avant qu'ils ne montent dans le train "Fais attention à ton poignet". Jusqu'alors il n'avait posé ses yeux que sur le doux visage de celle-ci et n'avait pas remarqué l'attelle qu'elle portait. Une attelle comme celle que sa mère avait l'habitude de poser sur les moldus à son travail. Mille questions lui venaient alors en tête. Comment? Pourquoi? Pourquoi une attelle moldu alors que la magie pouvait facilement soigner un poignet cassé, même un poignet ayant perdu ses os était réparable avec la bonne potion. Si elle avait une mauvaise chute son oncle connaissait sûrement la formule pour la soigner alors que faisait-elle avec ça au poignet? Penché vers Alice il saisit doucement la main de la Serpentard.

"-Une attelle moldu? Qu'est-ce qu'il s'est passé?"

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06 janv. 2020, 12:21
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Alice respirait à nouveau. Monsieur Martin n’aurait pas mis longtemps avant de vendre la mèche au sujet de Christopher et elle, et cela aurait été catastrophique. Kenneth aurait certainement explosé devant tous les élèves et leurs parents. Il se serait confronté au père de Christopher qui, lui, acceptait que son fils soit amoureux. Mais c’était cela être une fille, malheureusement. Les adultes, surtout les hommes, avaient tendances à être bien moins souples avec les filles au sujet de l’amour, c’était Jacob qui lui avait dit un jour. Le père de son amoureuse avait refusé qu’elle vienne à la maison pour faire ses leçons avec lui dans sa chambre. C’était dommage, Alice aurait aimé la rencontrer. C’était dommage, et injuste.

Avant de monter dans le Poudlard Express pour y suivre Christopher qui s’y était engouffré, Alice se tourna pour saluer son oncle une dernière fois. C’est les yeux exorbités par l’angoisse que la fillette voyait les deux adultes occupés à discuter. Le secret était fichu, et Alice avec ! Elle imaginait d’avance Kenneth courir après le train en agitant sa main pour lui signifier que ça allait barder à son retour à la maison, son visage tordu en une grimace colérique. Rapidement, Alice grimpa à bord du train, une boule dans le ventre, et suivi Christopher.

Il trouva un compartiment libre qui n’appartiendrait qu’à eux, c’était très bien. Bien sûr, Alice mourrait d’envie de revoir son cousin et ses meilleurs amis pour les enlacer. Mais passer tout le trajet juste avec son amoureux, c’était très bien aussi. Au moins pouvait-elle profité de ses amis tous les soirs, et tous les jours, lorsqu’elle se trouvait à Poudlard.
Alice déposa sa chouette à côté d’elle, écoutant Christopher enfin s’adresser à elle.

« Ce n’est pas grave » souffla la petite fille en retirant son bonnet. Elle le posa à côté d’elle et se laissa aller dans son siège en soupirant.

Elle observait Christopher parler avec Althéa. La chouette frottait son crâne contre le doigt qu’il lui présentait pour recevoir quelques caresses bienvenues. Ce qu’elle pouvait être câline, cette petite chouette. Puis, il se détourna de la cage pour aller s’installer en face de son amoureuse. Elle lui sourit légèrement, mais l’enfant voyait bien que ce n’était pas elle qu’il regardait : c’était son attelle.
Alice serra les dents. Les questions allaient fuser, par centaine peut-être, toutes plus désagréables les unes que les autres, toutes douloureuses. Il lui faudrait alors se souvenir de ce qu’elle avait essayé d’oublier... mais elle n’avait pas réussi. Chaque partie de la soirée lui était claire. Le goût du sang dans sa bouche, l’odeur du manteau noir, la rugosité de sa main contre son poignet.
Les doigts de Christopher vinrent de saisir des siens, et les premières questions furent posées.

« J’ai ... »

Alice jeta un coup d’œil à la porte du compartiment, fermée par un de ses réflexes paranoïaque. Son regard revint à Christopher.

« Un Manteau Noir a essayé de me tuer alors que je distribuais des tracts dans Glasgow, un soir» murmura t-elle en se penchant un peu elle aussi. Ces mots, ces quelques mots, étaient tremblants. Cette terrible vérité l’effrayait encore. Toujours un peu plus, alors que l’horrible face du Manteau Noir s’imposait à elle. « Il m’a cassé le poignet avant que je ne m’échappe. Mais ça va maintenant. » 

Non, ça n’allait pas, ça n’irait plus jamais. Alice déglutit en se redressant un peu, ses yeux portés sur tout sauf son amoureux.

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13 janv. 2020, 09:24
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Sa question Alice semblait l'appréhender en tout cas elle avait réagi au simple regard que Christopher avait porté à son poignet. Alors quand il posa la question elle hésita, elle commença à répondre avant de jeter un œil vers le couloir. Elle voulait sûrement vérifier que la porte était bien fermée et que personne n'écoutait. Puis elle lui confia l'origine de cette attelle. L'aiglon s'attendait à un accident de la vie sur lequel les deux enfants pourraient rigoler, une chute dans le jardin de son oncle par exemple. Une maladresse quelconque dont lui-même serait capable de subir. Enfin quelque chose qui ne l'aurait pas inquiété plus que ça... Mais non! Non, c'était un événement grave, un événement qu'elle n'aurait jamais du vivre. Elle avait été agressé, l'homme qui l'avait fait voulait la tuer. Pour de simples tracts, comme lui l'avait fait cet été, elle avait failli le payer de sa vie. Il ne put s’empêcher de laisser échapper sa surprise en apprenant tout ça.

"-QUOI?

Son cri résonnait dans le compartiment, dans ceux voisins et dans le couloir ils avaient dû s'entendre. Ça tranchait avec la discrétion que recherchait Alice, il plaqua ses mains sur sa bouche, relâchant celle de son amoureuse, pour se faire taire avant de reprendre à voix basse après avoir attendu quelques secondes, le temps de vérifier que personne ne venait jouer les curieux dans leur compartiment. Mais heureusement, personne ne vînt.

-Comment ça peut aller Alice? C'est arrivé quand? Pourquoi tu ne m'as rien dit dans nos lettres? Et pourquoi est-ce que tu as une attelle? Ton oncle a le pouvoir de guérir ta blessure non? Qu'est ce qu'il s'est passé? Je veux que tu me racontes tout Alice."

Il enchaînait les questions, mais dans sa tête tout fusait, c'était une sorte de panique à l'intérieur de lui. Alice, agressé, qui a failli mourir, et lui au courant de rien. Tout ça était inconcevable, la jeune fille était devenue si précieuse à ses yeux, il ne pouvait supporter l'idée qu'il lui arrive quelque chose. Il lui reprit la main, plus délicatement que n'étaient sorties ses questions. Il s'en voulait de l'assener ainsi de toutes ces interrogations, elle n'avait pas besoin de ça, elle lui dirait tout si elle en ressentait le besoin de le faire et si elle était prête à le faire après tout.

"-Désolé pour toutes ces questions... T'es sûre que ça va?"

Il fixait Alice dans les yeux, il se voulait rassurant mais il était loin d'être rassuré au fond de lui. Même si c'était passé, si elle était là devant lui, il avait peur pour celle qu'il aime. Le train siffla et commença à s'ébranler. Il entamait son trajet, sans un regard sur le quai Christopher éprouva un soulagement. A Poudlard au moins, Alice sera en sécurité, elle ne risquerait pas qu'un Manteau Noir ne s'en prenne à sa vie.

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14 janv. 2020, 09:56
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Alice s’était douté que Christopher ne serait pas enchanté en apprenant ce qui s’était passé au sujet de son agression. Elle l’avait imaginé devenir blanc comme un linge, incapable de dire le moindre mot, trop occupé à visualiser de terribles scènes. Mais en revanche, Alice n’avait pas penser un seul instant que Christopher se mettrait à crier dans le compartiment. Elle agita sa main valide dans sa direction, les yeux ronds comme des Boullus. C’était trop tard, on l’avait forcément entendu. Alice jeta un regard à la porte du compartiment pour s’assurer que personne n’était venu y coller son oreille. Mais il n’y avait personne, et Christopher reprit la parole, le ton bien plus bas, son débit de parole important.

Alice ne répondait pas, attendait qu’il ai terminé. Elle ne lui en voulait pas de l’inonder de question. Si les rôles avaient été inversés, et elle remerciait les astres que ce ne soit pas le cas, Alice aurait réagit de la même façon, peut-être avec quelques cris supplémentaires.
Les doigts de Christopher revinrent se saisir des siens, et Alice les serra immédiatement. Ce que cela faisait du bien de retrouver un peu de cette chaleur qu’on lui avait retiré, ses dernières semaines. La peur avait tout balayée pour remplacer les jolies choses. Chaque jour, elle craignait de revoir le Manteau Noir. Elle le voyait frapper à la porte, tuer Kenneth et Imogen pour finalement la torturer comme il l’avait promis. Cela se pouvait. Elle le savait.

La question de Christopher sorti Alice de ses pensées noires. Le train s’agita un peu, et elle savait alors qu’il était en train de partir.

«  Ça aurait pu être bien pire. » souffla t-elle, secouée par un léger frissonnement que lui provoquait les souvenirs de cette soirée. «  Je ne t’ai rien dit car j’avais peur que la lettre qui contiendrait la vérité tombe entre des mots autres que les tiennes. Même si elle était codée. Mon oncle ne sait pas, personne ne sait. Seulement celui qui m’a sauvé. »

Alice savait qu’il était temps de tout raconter. Au moins, ici, personne d’autre que Christopher n’entendrait. Après un nouveau coup d’œil à la porte du compartiment, Alice se remit à parler.

«  J’étais avec la femme de Kenneth à Glasgow pour manger un kebab. Nous nous disputées, et elle m’a dit de l’attendre à la voiture. J’en ai profité pour sortir les tracts et les plaquer sur les autres voitures, mais j’ai bien regardé qu’il n’y ai personne, je t’assure ! Et il n’y avait personne. Mais il a surgit de je ne sais où et m’a attrapé le poignet. »

L’enfant déglutit. C’était plus difficile que prévu. Néanmoins, elle reprit, car Christopher devait savoir à quel point leur entreprise pouvait être dangereuse.

« Il m’a reconnu a cause de mes cheveux, il savait qui est mon père... je ne sais pas si il travaillait au Ministère de la Magie, ou si c’est un ancien prisonnier d’Azkaban, je ne sais pas, mais il avait l’air de le détester. Il a dit des choses horribles, que mon père allait mourir dans sa cellule... et plus je me débattais, plus il me tordait le poignet... jusqu’à me le casser. J’ai réussi à me libérer en le griffant et en le mordant. Et j’ai couru, j’ai couru, j’ai failli me faire écraser par une motocyclette. Et il m’a poursuivi ... »

Sa voix était un peu tremblante, le souvenir douloureux. Alice aurait préféré ne pas avoir à se rappeler de tout cela.

«  J’avais un galion dans mon sac, un galion avec un sortilège protéïforme que m’avait donné un collègue de mon père... je lui ai envoyé un message dessus, je lui ai dit que quelqu’un voulait me tuer, je ne sais plus ce que j’ai écrit... il m’a sauvé la vie, alors que le manteau noir m’avait retrouvée, et coincée dans une ruelle... il disait qu’il allait me faire souffrir, me tuer ... Monsieur Penwyn est intervenu, il l’a stupéfixé et lui a modifié la mémoire... »

Alice souffla, ses membres frissonnant encore. Ses doigts se resserraient un peu plus sur ceux de Christopher. Elle ne le regardait plus à présent, ses yeux posés sur son bras blessé.

«  J’ai une attelle moldue parce que je ne réagis pas à la médicomagie, comme le reste de ma famille. Je pensais te l’avoir dit, mais peut-être pas finalement. Enfin, tu sais à présent. Tu sais pour tout. »

Contrairement à ce qu’elle avait pensé, tout dire à Christopher ne l’apaisait pas. Peut-être plus tard, peut-être dans quelques jours. Ou peut-être jamais.

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21 janv. 2020, 10:00
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Les yeux du blond étaient focalisés sur les lèvres d'Alice, chaque mot qu'elle disait avait son importance. Il avait l'habitude d'être fasciné par ce qu'elle disait, pas seulement en raison des sentiments qu'il avait pour elle mais parce que tout ce qu'elle pouvait dire lui semblait important. Il comprenait qu'elle ne l'ait pas prévenu par hibou, maintenant qu'elle le disait ca paraissait être effectivement être une sage décision. Il était en tout cas flatté qu'elle lui accorde autant sa confiance au point de le mettre dans une telle confidence.

A mesure qu'elle parlait il serrait la main de son aimée, parce que l'histoire d'Alice était intense et le faisait frémir d'inquiétude et aussi pour lui rappeler sa présence à ses côtés. Pour la rassurer car il entendait sa voix trembler, il savait que se remémorer ce souvenir était compliqué pour elle. Quand elle eut enfin fini son récit, Christopher vint s’asseoir à ses côtés pour la prendre dans ses bras. Les larmes qui avaient commencé à sortir de ses yeux à mesure qu'elle parlait s'essuyaient dans les cheveux de la jeune fille. Il l'aimait tellement, si il lui était arrivé quelque chose de grave, plus grave qu'un bras cassé, il ne s'en serait sans doute jamais remis.

"-Alice..."

Commença-t-il à lui dire au creux de l’oreille. Mais la gorge nouée il n'arrivait pas à prononcer autre chose. Elle avait tout raconté, toute son agression et lui aussi avait un aveu à lui faire. Lui aussi a failli ne pas être présent aujourd'hui. Les deux amoureux avaient failli voir leur destin se retrouver dans la mort, finalement les voilà tous deux bien en vie l'un dans les bras de l'autre. Mais c'était à lui d'être sincère avec Alice, à son tour il devait tout lui dire.

Il se défit de son étreinte et baissa les yeux. Il vit son insigne de préfet qu'il avait accroché fièrement sur ses habits moldus avant de venir et qui était maintenant à l'envers. Il l'avait remis dans la précipitation quand elle était tombée. Il se rappela alors du mot qui accompagnait la lettre de Poudlard, il devait se rendre dans le wagon de tête réservé aux préfets dès le départ du train pour y recevoir des consignes importantes pour l'année à venir. Il devait y aller, sa confidence attendra, mais comment pouvait-il laisser Alice comme ça, après un tel aveu?

"-C'est horrible. Si ce Monsieur Penwyn n'était pas intervenu... Il ne savait pas qui c'était, mais il lui était redevable d'avoir sauvé son amoureuse. Il faut plus qu'on agisse seul comme ça. Carry qui me tombe dessus à la Coupe du Monde, toi et ce mantau noir. La prochaine fois qu'on veut faire des choses pour le Merlin on doit les faire à deux, c'est plus sûr. Par contre, je suis désolé, je vais devoir te laisser quelques instants. J'ai été nommé préfet et on est obligé d'assister à une réunion dans le wagon de tête tout de suite. Ca devrait pas être trop long je reviens directement après. J'ai moi aussi quelque chose d'important à te raconter.

Il avait la mine désolée, il s'en voulait d'abandonner Alice même un court instant. Après ce qu'elle venait de lui dire il devrait rester auprès d'elle mais il n'avait pas le choix.

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Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019

25 janv. 2020, 21:53
 RPG+  Aveu contre aveu  PV Alice Sangblanc 
Elle l’avait dit. Elle avait tout dit. Le poids dans son ventre ne s’était pourtant pas alléger. Il était toujours bien là, toujours aussi pesant. Et voir les larmes aux bords des yeux de Christopher, c’était encore pire.
Son mal être s’apaisa un peu lorsque Christopher se déplaça pour s’installer a côté d’elle. Ses bras autour d’elle, Alice se sentait contenue, et protégée. Il ne pourrait plus rien lui arriver à présent qu’ils s’étaient retrouvés. A Poudlard, avec Christopher, elle serait en sécurité. Il lui ferait oublier ces horribles choses à grand coup de sourire. Alice le serrait un peu plus, son visage dans son cou. Il y faisait bon.

La voix de Christopher à son oreille était déchirante. Il souffrait de ce qu’Alice lui avait avoué. C’était un garçon sensible, c’était évident qu’une telle annonce lui ferait du mal. Alice aurait très bien pu garder tout cela pour elle et lui mentir à lui aussi, mais elle en était incapable. A Aliosus aussi elle ne pourrait lui mentir. Réagirait-il ainsi, lui aussi ? Il se cacherait certainement. Oui, c’était bien son genre, à son cousin. C’était un Nerrah.

Et finalement, son amoureux se détacha d’Alice, lui retirant alors cette bouffée de bonheur dont elle avait besoin. Il baissait les yeux sousle regard d’Alice. La petite main d’albâtre de la fillette vint caresser son dos, de haut en bas, pour lui signifier qu’elle était là pour lui. C’était paradoxal. C’était elle qui avait besoin de soutien. Mais Alice n’aimait pas voir son amoureux aussi affecté.
Elle allait reprendre la parole, mais Christopher le fit avant, annonçant qu’il était nécessaire de ne plus agir seul. Oui, c’était même une certitude. Ils avaient prit trop de risques cet été. Carry aurait pu tout découvrir, et Alice, elle, aurait pu mourir.
Et comme une banalité, Christopher annonça devoir quitter leur compartiment pour rejoindre le wagon des préfets. Alice papillonna des yeux. Mais oui, c’est vrai, il était devenu préfets.

« Oh, je ... oui, oui d’accord » balbutia la Serpentard. « Vas y, oui, vas y. On se revoit plus tard. »

Ce fut tout ce qu’elle parvint à lui répondre. C’était une douche froide. Cette annonce si soudaine, si inattendu après une telle révélation, avait complètement désorienté Alice qui ne parvenait même plus à réfléchir convenablement. Elle acquiesçait un peu de la tête, un sourire incertain aux lèvres. Il n’y avait plus de poids dans son ventre, il s’était comme éclipsé.

Christopher avait l’air tout penaud d’un petit croup que l’on aurait fâché. Ce n’était pas de sa faute, il n’avait tout de même pas à se sentir mal à l’aise de devoir répondre à ses obligations. La surprise passée, Alice était très fière de lui.
Ses lèvres vinrent se coller sur sa joue pour lui signifier là qu’elle ne lui en voulait pas. Ce n’était rien, après tout. Rien du tout. Ils parleraient après. Et puis, Christopher absent, Alice pourrait souffler un peu pour se remettre.

Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN