Cela faisait presque une semaine que Clarée était rentrée a Poudlard, et elle paniquait encore. Elle se sentait tellement différente des sorciers, qu'elle avait l'impression de n'être pas de la même espèce qu'eux. Et si elle n'avait aucun pouvoirs magiques ? Et si, la directrice s'était trompée en lui envoyant ce "hiboux"? Toutes ses inquiétudes empêchaient la Hooper de dormir, et même de suivre les cours. Elle avait l'impression d'avoir perdu pied et qu'elle s'enfonçait toujours plus loin dans le gouffre de la nullité. Chaque fois que les professeurs lui posaient une question, elle n'y comprenait rien, elle les regardait, hébétée. Alors, ils lui répétaient : "Je venais de le dire, Clarée, suis un peu". Mais elle suivait ! C'était simplement que tout ce qu'ils disaient était un charabias incompréhensible. C'était comme comprendre du chinois.
La brune était pommée dans ses devoirs, ne comprenaient pas plus les formules de sortilège que les ingrédients et les noms de potion. Et, en Histoire de la Magie, quand on lui disait une date, elle ne la situait pas dans le temps, car elle ne connaissait pas l'histoire sorcière. Et le Vol? Horrible ! La première que Clarée était montée sur un balai, elle avait hurlé jusqu'a ce qu'elle atterrisse, en se raccrochant au balai comme si c'était la fin du monde. Elle avait le vertige, et voler sur un balai était quasiment insurmontable pour elle. Quand elle était redescendue, elle était blanche comme un linge, a deux doigts du malaise, et avait supplier la professeur de ne plus l'obliger a recommencer. Les seules matières que Clarée adorait était la Botanique et l'Astronomie. Comme elle était très proche de la nature, elle aimait s'occuper des plantes, ce qu'elle n'avait pas eu l'occasion de faire beaucoup, a Édimbourg. Quand elle était dans sa primaire moldue, la brune était la meilleure en Physique, et adorait tout ce qui concernait les étoiles, les planètes et les astres. C'était pour ça qu'elle allait gaiement en cours d'Astronomie, d'ailleurs.
Ce jour-là, on était un dimanche matin, froid et ensoleillé. Il était 6heure, et Clarée s'était précipitée a la bibliothèque, pour y faire ses devoirs et consulter quelques livres afin de trouver des réponses a peu près correcte. C'était ce qu'elle faisait chaque matins et chaque soirs. Parfois, quand la bibliothèque fermait et que la brune n'avait pas fini ses devoirs pour le lendemain, elle restait dans sa salle commune avec les livres qu'elle avait emprunter, des fois jusqu'a une heure du matin. Cette nuit-là, elle s'était endormie sur la table de sa salle commune, pendant qu'elle faisait ses devoirs de sortilège. C'était pour ça qu'elle c'était levée très tôt ce matin, et n'avait pas encore pris de petit déjeuner.
Clarée rentra dans la bibliothèque qui venait a peine d'ouvrir, et se glissa dans les rayons encore vides. Elle parcouru du regard les étagères pleines a craquées de livres, aux noms inconnus. Soudain, elle repéra un ouvrage qui se nommait le "Livres des Sorts". Clarée se mit sur la pointe des pieds et l'attrapa. Elle était fatiguée, mais elle alla s'installer sur une table en bois près de la fenêtre, si bien qu'elle pouvait voir ce qui se passait dans le parc. Elle sortit son devoir légèrement plié de Sortilège, et commença a tourné les pages du livre. "Rien d'intéressant, dans ce bouquin" pensa la jeune fille en soupirant. Elle regarda son devoir, sans rien comprendre a ce qui il y avait écrit.
Elle se prit la tête dans les mains, et ferma les yeux, en essayant de se calmée. Le stress augmentait, et elle avait l'impression que son estomac faisait des nœuds. Des larmes lui chatouillaient les yeux, qu'elle refoula aussitôt, ne voulant pas sombrer dans le désespoir. Il suffisait juste de demander de l'aide a quelqu'un. Mais a qui ? Il n'y avait personne dans la bibliothèque, mis a part elle et la bibliothécaire, au fond de la salle. Les dents de Clarée se serrèrent, et elle tenta de comprendre quelque chose au devoir, mais rien y fit. La jeune fille frissonna.

C’est trop tranquille ici.

Il n’y a que la bibliothécaire, une jeune Poufsouffle et moi-même.

Je suis venu ici car dans notre dortoir, et ben c’est le bazar. Les gars de Serpy ont fait n’importe quoi. J’explique, à quatre heure, y en a un qui m’a volé Dragounet (si j’aime les doudous dragons ça vous pose un problème ? En plus il est cousu main), et du j’ai du le courser dans toute la pièce, ça a réveillé les autres évidemment. Mais au lieu de se fâcher, ils se sont mis en tête de faire une bataille de polochon. Bref, j’ai retrouvé Dragounet, mais le silence non, pas moyen de dormir.

Je me suis donc précipité dans le lieu le plus calme de Poudlard. La bibliothèque.

Enfin du calme. Une seule personne est venue. C’est la jeune Poufsouffle que j’observe depuis tout à l’heure. Elle est arrivée peu après moi mais elle a directement planché sur quelques gros livres dont je n’ai pas pu voir le titre. Soit cette fille est une bosseuse comme, ... ben oui, comme Hermione. Soit, elle plutôt du genre, ... ben là j’ai pas d’exemples, elle doit être intelligente, mais elle ne doit pas comprendre ses cours. Ouais, c’est cette impression qu’elle me donne.

En plus elle jette un regard désespéré à la bibliothécaire. C’est ça, elle est en panne. Le plus drôle, c’est qu’elle ne m’a pas vu. Elle ne s’attendais peut-être pas à ce qu’il y a déjà quelqu’un à la bibliothèque.

Du coup, je me lève, et je me dirige vers sa table.

Elle a l’air au bord de la crise, de larmes.

« Tu veux un coup de main en sortilèges ? Je peux t’aider. »

Et je récupère un tabouret pour m’installer à côté d’elle.

Clarée entendit quelqu'un arriver a côté d'elle. Elle leva la tête et vit un garçon qui c'était approcher. La jeune fille essuya vite ses larmes, et cacha précipitamment son devoir. Elle avait trop honte pour que ce garçon sache pourquoi elle pleurait. Elle l'entendit dire :
- Tu veux un coup de main en sortilèges ? Je peux t’aider.
La brune sursauta et regarda le garçon d'un autre oeil. Comment avait-il put voir qu'elle faisait un devoir de sortilège, alors qu'elle s'était précipitée de le cacher ? Elle l'examina alors de la tête aux pieds, tandis qu'il s'asseyait sur un tabouret a côté d'elle. Son coeur tambourinait dans sa poitrine, tandis qu'elle se demandait s'il fallait qu'elle lui avoue ou pas. Elle avait honte, mais était perdue. Elle avait besoin d'aide, car sinon, elle ne tiendrait pas le coup. Elle eut de nouveau envie de pleurer, car elle voulait partir d'ici et ne jamais revenir. Tant pis pour la baguette. Tant pis pour la Magie. Tant pis pour... Amande. Le coeur de la jeune fille se serra encore plus a cete idée-là. Non, elle ne partirait pas.
Jugeant le nouveau venu fiable, la brune murmura :
- J'y comprends rien, a la Magie. J'ai l'impression d'être débile ar rapport aux autres. On dirait que c'est facile pour eux.
Elle se détourna pour ne pas que le garçon voit les larmes coulées. Ça y était, elle avait toucher le fond. Elle se sentait perdue dans un univers trop dur pour elle. De nouveau, la tristesse la gagna et elle attrapa sa baguette, pour montrer a quel point elle était nulle au garçon. Murmurant "Lumos", elle pointa sa baguette et se concentra, mais aucune lumière n'apparut au bout. Elle gémit et dit a l'adresse du garçon :
- Tu vois ? Je sais même pas jeter ce sort-là !
Elle regarda son devoir, et continua :
- Je veux bien que tu m'aides, mais... comment tu t'appelles ?

Je l’écoute parler, et tenter de faire le sort. C’est ce qu’il faut faire, plus elle pare,, plus elle m’en dira sur ce qu’elle ressent, le seul moyen de l’aider, c’est de savoir ce qu’elle veut réellement, et de quoi elle a peur, même si cette peur n’est pas matérielle.

« Je m’appelle Hugo, Hugo Rolanbri. Je ne vais pas te dire que j’excelle en sortilèges, mais j’y suis bon, même très bon. »

Je tente de lui expliquer quelque chose, même si je crois que seul la pratique et les sentiments lui permettrait d’y arriver.

« Le Lumos que tu as tenté, tu n’y croyais pas, donc tu n’y as mis aucune force magique. Donc ta baguette n’a rien pu mettre en forme. »

J’agite discrètement ma baguette.

« Wingardium Leviosa »

Et son livre de cours se souleva avec légèreté de la table.

« Tout est dans ta tête. Il suffit de penser, voir même de rêver à ce que tu vas faire. Ta baguette n’est que le fil conducteur, ton sort est l’ampoule, et ta tête est la pile qui vas amener l’électricité à l’ampoule. Ta tête est la source d’énergie qui vas créer ton sort, évidemment ce que je te dis c’est une version simplifiée, ça doit être bien plus complexe. Mais je te parle avec des mots Moldus, tu ne dois pas comprendre grand chose ! »

Du coup, après lui avoir parlé et après ma démonstration, je tente de passer au test.

« Maintenant, tu vas devoir te concentrer, car c’est à toi d’essayer. Réessayes ton Lumos, crois en toi. »

J’espère que mon discours sera assez énergétique et entraînant. Même si je doute que le résultat soit direct. On ne se débarrasse pas de ses peurs facilement, mais je ne lui parle pas de ça tout de suite, après.

Et je regarde sa baguette s’agiter...

Comment ça, Clarée n'y croyait pas ? Mais si ! Elle aurait tout donner pour qu'elle réussisse a lancer un sortilège aussi simple ! Pourtant, elle bloquait, comme si une barrière invisible l'empêchait d'avancer, de persévérer, alors que les autres élèves semblaient avoir toutes les facilitées du monde a le lancer, ce Lumos. Quand la brune vit Hugo agiter sa baguette en disant "Wingardium Leviosa", elle ressentit un pincement au coeur, quand le livre de sortilège décolla. Elle ravala ses sanglots et tenta de faire de même.
Mais le livre ne bougea pas d'un pouce.
Et cela énerva Clarée, qui foudroya le pauvre bouquin du regard. Mais pourquoi elle n'y arrivait pas ? Hugo lui dit de refaire Lumos, mais a quoi bon ? Si elle n'est pas une sorcière, elle n'y arrivera jamais. Son coeur se déchira a cette pensée. Et si, n'étant pas sorcière, elle était renvoyée de Poudlard ? Elle n'y survivrai pas. Comment peut-on retourné dans une ville "moldue" après avoir connue la magie ? Et en même temps, sa famille lui manquait, Garry aussi... La Hooper était entre deux mondes complètement différents l'un de l'autre. D'un côté, Edimbourg, sa vie moldue, son passé, sa famille et Garry, de l'autre Poudlard, la magie, sa baguette, Amande et Hugo...
Clarée, prenant son courage a deux mains, murmure :
- Bon, j'y vais, mais je suis sûre de rater ! Lumos !
Tout en prononçant la formule, Clarée imagina le bout de sa baguette s'embraser, et se concentra sur cette image mentale. Pourtant, rien ne se produisit, tout comme la première fois. Comme si une barrière empêchait le sort de passer, malgré toute sa concentration. Mais pourquoi ?! Qu'avait-elle fait de mal ?
- Lumos ! Lumos ! Lumos ! LUMOS !s’énervait la jeune fille.
Quand soudain... une lumière, faible, apparut a l'extrémité du bâton de bois...

Excuse moi pour le retard et pour ce post assez court

Elle tente et retente, rien y fait. Son Wingardium Leviosa n’a aucun effet, ses Lumos aussi. Sauf le dernier...
Elle a l’air aussi surprise que moi, elle a enfin réussit !

Elle a enfin réussit, j’ai vu qu’elle était presque en colère en exécutant le sort. Je la félicite, ça fais toujours du bien d’être félicité et surtout, ça aide à progresser. Enfin, ce sont les encouragements aident à progresser, mais pas que, les conseils sont précieux. Je vais tacher d’en donner

« Bravo ! Tu vois, tu peux réussir ! Ton Lumos n’est pas très puissant, mais on ne peut que s’améliorer non ?»

Je souris tout de même.

« Je retire ce que j’ai dit tout à l’heure, peut-être que tu avais foi en toi, mais tu doutais quand même. Il a suffit que tu te mette en colère et que tu sois pleine de désespoir pour y arriver. »

Instant de réflexion, elle était dans tout ses états, mais pourquoi ? C’est le seul fait de ne pas réussir un sort ? Ou plutôt quelque chose d’autre ?

« Dis-moi, quand tu as produit de la lumière, tu pensais à quoi ? »

C’est à cette autre chose là que je pense, les émotions de la Poufsouffle. Ça a dû lui permettre de réaliser le sort.

J’espère que je n’ai pas été trop brut, des fois, les questions font plus mal que les réponses...

« Tu pourra réessayer après. »

- Je ne sais pas... murmura la jeune Pouffsoufle.
Et c'était vrai. Qu'avait-elle ressenti, quand elle lançait son sort ? De la colère, de la honte et de la détermination. Elle en avait marre de rater, marre d'avoir peur que l'on se moque d'elle, marre de sa nullité. La colère qu'elle avait ressentie, elle ne la ressentait plus. Elle était maintenant plus déterminée que jamais. Détermi-née de réussir parce qu'elle savait qu'elle pouvait le faire. Et maintenant, elle savait que rien n'était impossible, et qu'il ne fallait pas s'abattre pour ça.
Elle adressa un sourire radieux a Hugo et murmura :
- Je préfère garder secret ce que j'ai ressenti. Je suis sûre que je vais réussir, maintenant.
La jeune fille brandit sa baguette, et se concentra sur le l'extrémité du bout de bois. Après tout, si elle avait réussit une fois, pourquoi pas la deuxième ? Elle inspira, puis murmura "Lumos" en imaginant que c'était la Bibliothèque elle-même qui s'embrasait, et pas que le petit bout de bois qu'était sa baguette. La jeune fille ferma les yeux. Quand elle les rouvrit, le bout de sa baguette brillait d'une lueur bien plus forte que la première fois. Et cette fois-ci, elle ne s'éteignit pas, et resta allumée.
- Hugo ! Regarde ! s'exclamma la jeune fille, excitée.
Mais le doute la saisit dès qu'elle se demanda comment elle allait l'éteindre. Elle savait qu'il y avait bien un sort pour faire ça, Nox... mais elle ne savait pas le lancer ! Et si elle n'y arrivait pas, et que sa baguette serait éternellement allumée ? Clarée se mit à trembler, et demanda en frissonnant a Hugo :
- Comment on lance Nox ? Tu peux m'apprendre ?

Se concentrer était la solution, l’imagination aussi, je crois que Clarée a réussi à faire les deux à la fois. Je souris en voyant la lumière forte que diffuse sa baguette. Elle a failli le faire mal aux oreilles en découvrant ce qu’elle avait fait. Elle est vraiment contente, et moi aussi, mon conseils portent leurs fruits.

Par contre, elle a dit qu’elle voulait garder quelque chose secret, étrange non ? Ou tout simplement humain. L’humanité pousse à faire certaines choses étranges.

Au Nox maintenant. Et oui, il faut savoir allumer l’étincelle au bout de sa baguette, mais il faut aussi savoir l’éteindre. Je vais tenter d’expliquer ça de façon littéraire.

« Tu vois, ta baguette émet une lumière, maintenant, on peut dire que la pile fonctionne parfaitement. Et en plus, cette lumière est puissante. Pour l’éteindre, tu l’as dit, c’est « Nox ». De la même façon que « Lumos », il faut que tu pense clairement ce que tu veux faire. Tu remercies ta baguette de t’avoir éclairé, et tu imagine le sort se résorber. Il ne disparaît pas, il est juste en sorte de dodo, en attendant que tu le rappelles. »

C’est doux, mes paroles sont douces et je ne trouve pas mieux à dire. Ça le fait bizarre aussi, mettre des mots sur des événements. Pour la première fois. Qui sais ? Peut-être que ça m’aidera aussi ?

Clarée espérait que Hugo n'en avait pas marre d'aider une pauvre première année perdue et pas sûre d'être vraiment une sorcière. Elle regarda avec espoir le Serpy qui lui expliquait comment lancer Nox. Apparemment, il était content, et cela rassura la brune, qui reprit confiance en elle. Elle tendit sa baguette toujours illuminée devant elle et plissa les yeux, à cause de la lumière. Bon, elle avait réussi a lancé Lumos, elle arriverait a lancé Nox, parce que elle était déterminée.
La Hooper respira une dernière fois avant de crier :
- Nox !
La lumière resta sur la baguette, et ne s'éteignit pas, au grand malheur de la brune. Par contre, le bout de bois trembla, et Clarée le lâcha surprise. Mécontente de son manque de concentration elle bougonna un truc du genre "Je suis nulle, nulle !" Et attrapa sa baguette en donnant un violent coup de pied à un pied de la table. Elle grimaça et se calma. Se n'était pas son genre de s'énerver comme ça,mais elle ne se sentait pas très bien.
Clarée fronça les yeux et se concentra. Dans sa tête, la lumière qu'elle visualisait s'éteignit, et elle cria de nouveau :
- NOX !
La baguette s'éteignit rapidement, et Clarée sourit. Elle s'affala sur une chaise à proximité et regarda le Serpentard, souriante. Pourtant, elle se sentait faible et fatiguée. Elle murmura :
- Je sais pas toi, mais je MEURS de faim !

J’avais pu l’aider et j’en étais fier. Orgueilleux, non. Imbus, non. J’étais juste fier, et à juste valeur.

J’avais regardé la jeune fille essayer son Nox une première fois. Ce fut un échec. Comme moi dans mes premières fois, on y arrive rarement du premier coup. Viens son deuxième essai, et elle y arrive, avec simplicité en plus, il faudra qu’elle s’entraîne un peu, mais elle a l’air d’avoir compris.

« Tu sais quoi ? Je ne connais toujours pas ton nom, du coup, fille-dont-je-ne-connais-pas-le-nom, je pense qu’il vas falloir t’entraîner, il n’y a que ça qui te fera réussir. Il faut aussi y mettre de ses sentiments joyeux pour faire son Lumos. Un peu comme le sortilège du Patronus, même si ce sort n’est plus beaucoup utilisé aujourd’hui, il n’y a plus de Détraqueur près de nous, cela dit, c’est toujours utile pour envoyer des messages. Mais bon, il faut être plus âgé pour pouvoir le réussir, je n’ai même pas essayé, je ne pense pas être assez doué, pas maintenant en tout cas. »

Et histoire de mettre en pratique ce que j’ai appris en sortilèges, je range toutes les affaires de la fille dans son sac d’un coup de baguette.

« Tu veux aller à la grande salle ? Parce que le déjeuner vas être servit dans peu de temps selon moi ! »

Et je reprends sur un autre sujet

« Tu aimes le Quidditch ? Je jouerais avec l’équipe de Serpentard vers le 29 Novembre ! Tu pourra y assister si tu veux ! En plus, ce sera mon premier match ! »

Et on se dirige en direction de la grande salle, où nous attends toutes sortes de provisions pour que l’on tienne cette journée de cours.

« Ah, et tu t’appelles comment ? »

Fin du RP pour moi... je te remercie.