Il était quinze heur ce jours la, lorsque la jeune fille de tout juste onze ans entra dans la pièce. C'était la première fois depuis son arrivée dans l'immense école qu'elle s'aventurait dans ces lieu, qui lui semblait bien vide, et poussiéreux. Elle devait le lui avouer une qualité, il était vrai que l'au moins ici elle ce sentait tranquille et sans personne afin de la déranger. Aujourd'hui elle avait justement besoins de ce retrouver, car oui les événement de la veille l'avait particulièrement bouleverser, elle s'était senti envahis dans son espace vital et avait grand besoins de respirer.

Le matin même la rouquine s'était lever au aurore, les cerne aux yeux mais dans l'impossibilité de ce rendormir. Son doux visage laissait voir une jeune fille bien fatiguer et tourmenter malgré son jeune age. Elle avait réfléchi et s'était retourner chaque neurone durant la nuit mais impossible de prendre une décision concernant sa sœur.

Elle avait tant et si bien refouler ses sentiment durant tant d'année que aujourd'hui alors qu'il refaisaient surface, remontaient tel un tsunami prés a la submerger de tout son accumule.

Elle ce retrouvait alors vulnérable, et sentait le besoins que ses parents la prennent dans ses bras. C'est alors que en ce jours elle s'était mise en tête de le leurs écrire et seul merlin pouvait voir que pour ce faire à cette décision la sorcière avait bien du courage. Car il n'était point réserver qu'au Moldu de devoir refermer les plais causer par un chagrin d'amour, et que en ce cas la magies n'en était d'aucune aide.

C'est alors que toute tremblotante elle arpenta les allées de la gigantesque bibliothèque afin de ce poser à un endroit bien reculer, elle avait besoins pour franchir ce pat que de ce cacher, n'étant pas encore prête à afficher ses faiblesse au grand monde. C'est alors que parcourant les rayonnage Naïda la vit, cette jeune fille coupable de tout ces maux, du moins de sa remonter de sentiment qu'elle avait us tant de mal à cacher.

Maude ne l'avait pas encore remarquer alors le cœur battant, elle recula pat à pat et s'enfuit un rayons à coté ou elle s'accroupis et repris son souffle. Lorsqu'elle tenta de jeter un coup d'œil furtif, la jeune serdaigle avait disparut. La rouquine repris ses esprit et alla s'assoir tranquillement à une table déballant feuille et stylo.

Au fils des feuilles qui s'accumulaient Naïda en oublia le visage de ses tracas qui ne tarda pas de lui revenir s'agrémentant d'un regard perçant.

c'est alors qu'elle mit en boule le dernier papier dans ses mains et le jeta au loin percutant un mur. La petite Serpy n'était mais alors pas satisfaite de ses brouillons.

Une boule de papier vola de la main de Naïda, elle avait semblé durant un instant passionné par ce qu'elle écrivait, j'étais à ce moment fort curieuse d'en connaître les raisons ainsi que le contenu. En regardant l'avancée de la boule, je vis celle-ci atterrir sur une étagère, pour y rebondir et rester à quelques mètres de moi. Curieuse, je lançais un "Wingardium Leviosa" pour la récupérer discrètement. 

Rongé par les remords de récupérer un papier qui ne m'appartenait pas, je l'écrasais sans le lire en le redéposant sur la table près de mon livre. Feignant le fait de ne rien avoir vu, je le tendis à Naïda, sans parole de politesse avec une lueur d'amabilité dans la voix :

"Tiens, je crois que tu as perdu ce papier !"

Je me penchais en avant pour le poser à côté d'elle. Puis, je retournais à ma lecture discrètement. J'avais eu envie de passer à la bibliothèque pour récupérer un livre mais maintenant que j'y étais, retourner à la salle commune me semblait peu-être une idée un peu saugrenue. Le calme du lieu m'était apaisant et comme je me le disais souvent, il me faisait du bien. 

Quelques minutes passèrent dans le silence, le livre que je lisais n'était pas des plus passionnants et m'ennuyait d'ailleurs beaucoup. Mais les propriétés de ceci et cela, ça devait bien servir un jour non ? De toute façon, j'aimais lire, l'odeur du livre m'attirait et l'écriture originale était agréable. Craignant un torticolis à force d'être autant plié, je redressais ma tête. Les yeux verts de Naïda croisèrent les miens et je tentai alors le coup :

"Désolé de te déranger mais c'était pour savoir si tes problèmes avec ta soeur c'était réglé, bien sûr sans vouloir être intrusive dans ta vie privée !"

Sans attendre la réponse, je baissai à nouveau les yeux pour retourner à ma lecture. De toute façon, si elle ne répondait pas, je m'en moquais, j'avais essayé de l'aider et si elle était trop perché pour être gentille, ce n'était pas bien grave. Pourtant, moi je l'aimais bien ! Son caractère un peu renfermé et sombre permettait de mieux la cerner et de se lancer des défis pour être bien avec elle. C'est ainsi que je la percevais, parce qu'au fond, elle semblait sympa.

Naïda prit sa tête entre ses mains exténuer, puis ce résigne à baisser les armes. Elle s'imaginais que sa camarade ne la lâcherai pas alors elle allait faire semblant d'être agréable et peut être que même la jeune Serdaigle ce rendrait compte qu'il n'y a rien de bien intéressant dans la vie de la rouquine.

Mieux que cela Naïda allait rentrer dans son jeu jusqu’à que Maude s'en lasse. L’appentis sorcière repris du poile de la bête et s'insulta de ne pas y avoir pensée plus tôt au lieu d'écrire à ses parents. Ils ne voulaient pas d'elle alors pourquoi elle irait vers eux.

Elle ce leva brutalement faisant ce retourner quelque tête et ce dirigea vers la table de Maude qui était plonger dans sa lecture.

- Maude ?? Je ne me trompe pas?? Je peu prendre place avec toi??

La rouquine s'installa sans vraiment attendre de réponses.

- Dit, ma boule de papier je l'avait jeter plutôt assez loin de toi? tu a user de la magie non?? Tu sais qu'il nous est interdit de le faire en dehors des cours?....Allez fait pas cette tête je te charrie moi aussi je déteste les règle.. (confit t'elle d'un ton plus bas).

J'était entrain d'écrire justement à ma sœur, mais je suis plutôt maladroite dans mes mots. Tu veut bien m'aider? J'ai pas vraiment l'habitude d'être gentille avec elle!

J'entendis au loin un bruit de chaises, j'étais littéralement passionné désormais par le livre que je ne relevais même pas ma tête. Finalement, toutes ses histoires de propriétés n'étaient pas si ennuyantes que cela. Malgré tout, une voix lointaine me sortit de ma lecture :

- Maude ?? Je ne me trompe pas ?? Je peux prendre place avec toi ??

La rouquine devait avoir enfin remarquer ma présence et ce n'était pas pour me déplaire, j'avais des choses à lui dire, mais en même temps, j'en avais assez de tout le temps l'embêter en rabâchant les mêmes choses. Je répondis alors par l'affirmative, pas du tout gênée qu'elle ne reste près de moi :

"Salut Naïda, je suis bien Maude et ça ne me pose pas du tout de problèmes que tu t'asseyes près de moi !"

Mais elle avait déjà empoigner une chaise en tirant celle-ci en arrière pour s'installer. Je me demandais si elle n'avait pas juste posé cette question juste pour la poser. Je replongeais mes yeux ambres vers le livre mais cette fois-ci avec un peu moins de concentration dans la tête.

- Dit, ma boule de papier je l'avais jeté plutôt assez loin de toi ? Tu as usé de la magie non ?? Tu sais qu'il nous est interdit de le faire en dehors des cours ?...

Lorsqu'elle m'annonça cela, je fis une petite grimace, je n'aimais pas vraiment enfreindre les règles et surtout pas être surprise à le faire.

- Allez fait pas cette tête je te charrie moi aussi je déteste les règles...

Ça ne me rassura pas totalement, Naïda et moi n'étions pas du tout pareil. Même totalement opposé. Mais qu'elle essaye de me rassurer tout en ne se fâchant pas me fit sourire. Comparée à notre dernière rencontre, elle semblait plus détendue, joyeuse et je trouvais cela un peu plus agréable. Je n'eus pas le temps de me justifier qu'elle m'annonça tout bas. 

- J'étais entrain d'écrire justement à ma sœur, mais je suis plutôt maladroite dans mes mots. Tu veux bien m'aider ? J'ai pas vraiment l'habitude d'être gentille avec elle !

À la seconde où elle m'annonça cela, je souris. J'avais envie d'accepter mais en même temps, je me méfiais un peu. Mes paroles l'avaient peut-être touchés après notre dernière rencontre mais à ce que je connaissais des personnes disons un peu têtues comme elle, ce genre de personne revenait rarement sur leurs décisions et sûrement pas avec la personne qui l'aurait aiguiller. Naïda avait après tout, peut-être changé et lui donné une petite chance pourrait être bénéfique. Je ne pouvais sûrement pas refuser.

"Pourquoi pas, fut ma seule parole en attendant sa réaction."

Naïda, avait le don de passer d'une émotion à l'autre assez rapidement ce qui pouvait en déconcerter plus d'un lorsque l'on ne la connaissait pas.

-Ho merci! merci Maude, je te revaudrait ça, si tu veut, tu peu te servir de quelques friandises, je les ai chiper à des plus grands! (sourit la petite diablesse, en le lui tendant un sachet).

La rouquine en profita pour déballer son sac sur la table éparpillant, papier, plumes, cartes chocogrenouille et encore plein de babiole qu'elle collectionnait. Parmi eux ce trouvait la plume qu'elle avait arracher le jours des achats de ses affaires scolaire sur le chemin de traverse, à un pauvre hibou.

-Alors! par ou on commence? Je n'ai jamais écris de lettre et encore moins d'excuses à qui que ce soit! (grimace l'enfant)

Elle ce saisit d'une plume et d'un parchemin et commence à écrire tout en haut "A ma petite sœur, Lalouna", ce qui fit battre un peu plus fort le cœur de Naïda, mais elle décida de l'ignorer. Elle mis son stylo entre ses dents et commença à le mâchouiller. Elle ne savait quoi le lui dire, et tentait de ce répéter que dans tout les cas sa cadet ne la lirait pas. Mais il lui sembla tout de même que les mots ne veuille pas sortir.

Alors elle tenta de détourner son intention sur autre chose, comme le temps pluvieux qu'il y faisait ou bien les lacets défait d'un de ses camarades mais quand elle croisa le regard de la serdaigle alors elle reporta son regard sur sa feuille. A ce moment elle espérait un peu de magie. Que les mots s'écrivent d'eux même, que le papier ce remplissent, que le passée s'efface et que l'avenir ce dessine plus clairement. C'est alors que ses pensée s'évade en s'imaginant un jardin fleurie, ou les deux sœurs ce courirait après, rirait, grimperait au arbres, elle aurait us une amie.

Mais soudain son regard s'assombris comment pourrait t'elle être amie? le beau jardin ce fana elle vit juste une petite fille sautillant dans les bras de ses parents et la plus grande à l'écart jalouse.

Elle ce revit tirant les cheveux de sa cadette et s'acharnant à répartition sur elle. Les mains de ses parents ce répercutant contre sa peau.

Naïda porta sa main involontairement à sa joue, comme un souvenir et sa respiration ce fis saccader, elle ne ce sentait pas bien, son corps ne la suivait plus. Elle us beaucoup de mal à respire, tout son corps trembla sans qu'elle ne le contrôla.

Naïda ne comprenait pas ce qu'il le lui arrivait, il s'agissait de la première fois, elle angoissa et demanda à maude:

- Qu'est ce qu'il m'arrive?? J'ai peur! (pleura t'elle).

Naïda, sembla contente que je lui apporte mon aide, car elle me sourit en disant :

-Ho merci ! Merci Maude, je te revaudrais ça, si tu veux, tu peux te servir de quelques friandises, je les ai chiper à des plus grands !

Elle me fit un joli sourire pour ensuite ouvrir toutes ses friandises et objets divers sur la table de la bibliothèque. Vraiment elle exagérait un peu ! Était-elle vraiment concentré sur la lettre ou voulait-elle que je la fasse simplement à sa place. Elle prit alors une plume qui était dans le tas et je décidai de lui répondre à ce moment-là :

- Non merci c'est gentil !

La jeune Serpy continua. Après avoir pris la plume, elle récupéra un parchemin qui trainait et y inscrivit "À ma petite soeur, Lalouna". Lalouna ! C'était donc ça le prénom de la soi-disant bourreau de Naïda. Rien qu'à son prénom je trouvais qu'elle avait un air adorable. Mais malheureusement, les gens ne devaient pas être jugé ainsi. [size=14px]Me sortant de mes pensées, l'explosive rousse me demanda d'un air enjoué en grimaçant :[/size]

- Alors ! Par ou on commencer ? Je n'ai jamais écris de lettre et encore moins d'excuses à qui que ce soit !

Rien qu'en disant cela, elle me fit sourire. J'étais habitué aux lettres et je savais formuler des excuses correctement. Il fallait que Naïda sache user des mots pour convaincre sa petite soeur et l'attendrir. La vie de Naïda n'avait pas l'air facile, mais si elle se montrait un peu plus soumise et compréhensive, elle serait surement plus agréable. [size=14px]Malheureusement, le monde était fait de toutes sortes de personne et cette diversité pouvait créer des conflits comme pouvoir les résoudre. [/size]

[size=14px]- Alors, tout d'abord, il faut faire simple. Explique-lui pourquoi tu n'as pas répondu à son hibou, dis-lui que tu en es désolé. Essaye de te faire pardonner ! Mets de la gentillesse dans tes mots et tes phrases pour essayer de l'attendrir... Après tout, c'est ta petite soeur et je suis absolument sûre qu'au fond, tu l'aimes...[/size]

[size=14px]Après avoir dit cette vérité, j'attendis. Je me tus, je [/size]voulais[size=14px] connaître sa réaction. J'espérais assez la toucher pour qu'elle soit vraiment sincère avec sa petite soeur et qu'elle comprenne qu'elle ne [/size]devait[size=14px] pas être jalouse d'elle mais la prendre comme quelqu'un d'important et de bénéfique dans sa vie.[/size]

Mais j'eus plus l'impression de l'avoir perdu. De l'avoir envoyé, transporté dans ses pensées. Elle avait littéralement transplané dans ses souvenirs. Après de longs moments de silence où ses yeux étaient dans les vagues, elle porta sa main à sa joue. Tout cela fut suivi de spasmes, son corps était complet de soubresauts et de tremblements. Puis elle éclata en sanglots. [size=14px]C'était la deuxième fois que je la faisais pleurer...[/size]

[size=14px]Elle m'expliqua alors qu'elle ne [/size]comprenait[size=14px] pas ce qu'elle avait, qu'elle avait peur. Oui, je comprenais, elle avait peur de ses sentiments, peur de ce qu'elle ressentait. Il fallait que je la rassure. Je l'étreignis un peu pour lui demander avec calme et en chuchotant de se calmer. [/size][size=14px]Je me détachai au bout d'une vingtaine de [/size][size=14px]secondes[/size][size=14px] et je lui annonçais d'une voix douce :[/size]

[size=14px]- Tu veux bien m'expliquer ce qui t'es arrivé Naïda ? Je m'excuse d'avoir réveillé des souvenirs, je voulais juste... t'aider...[/size]

[size=14px]Et je la regardais d'un air désolé en espérant qu'elle ne s'enfuirait pas encore une fois. Je sentais que parler pourrait vraiment l'aider. [/size]

Naïda ne comprenait pas plus ce qu'il venait de ce passer et elle us du mal à ce remettre de ses émotions. Elle ce sentais comme perdu, comme si elle ce réveillait et elle us du mal à réaliser ou elle ce trouvait.

C'était la toute première fois qu'elle réagissait ainsi et elle avait comme perdu toute énergie. Son corps tremblottait encore bien que moins fort, plus comme lorsque l'on a froid et setait aussi son cas. Elle avait affreusement froid mais cette sensation de froid restait minime par rapport à tout ce qu'elle avait ressentis.

Il le lui fallut au moins cinq bonne et longue minutes pour pouvoir vraiment reprendre toute ses esprit et alors elle avait honte.

Honte car elle ne savait pas ce qui venait de ce passer, Elle avait honte que ce ce soit produit face à sa camarade.

Elle ce secha au moins ses larmes et repris sa plume pour montrer qu'elle était forte, que non elle ne pleurait pas.

C'était idiot, Maude l'avait vu mais elle préféra ne pas en parler. Elle aimait pas montrer quand elle avait peur, ni quand elle pleur.

Maude du ce heurter à nouveau au silence de la rouquine bien que celle ci pour une fois n'ai pas fuis.

Elle préférait oublier et que la Sardaigne oublié ce quil venait de ce passer.

Elle ce pencha sur sa lettre et ajouta tant bien que mal.

Lalouna, Je t'écris aujourd'hui pour me rattraper de ses dernier jours. Je sais que tu a six ans et tu grandi.
Je suis désolée si jai pu te montrer une quelconques animosité jusqu'à présent.

Naïda avait du mal à écrire droit, elle tremblait encore un petit peu.

Je m'excuse vraiment pour cet énormissime retard Naïda !   Ça ne se reproduira plus ! 

La jeune rousse prit du temps pour reprendre ses esprits, comprendre comment ses émotions et ses sentiments avaient pu autant l'affecter. Parfois à certains moments, il fallait réfléchir avant de parler et connaître les causes de sa mélancolie. Il fallait juste qu'elle se laisse le temps de se comprendre. Parfois, il suffisait de quelques mots, quelques phrases pour que notre esprit en ressorte complètement différent. 

Je la sentis trembler, puis diminuer d'intensité. Je la vis récupérer son bout de parchemin ainsi que sa plume et reprendre en silence l'écriture de sa lettre. J'admirais un peu sa force d'esprit, cette force qui lui permettait de résister à ses plus profonds ressentiments, pour en ressortir toujours plus forte avec encore plus d'esprit.

Elle s'attela à la tâche dans son plus profond silence, durant cet instant qui semblait durer des heures. J'observais pendant ce temps les livres au alentour, les bras croisés, attendant le résultat. Soudain, je vis qu'elle avait terminé, malgré ses lettres formées en italique ainsi que ses mains tremblotantes, le petit mot était plutôt agréable dans sa courteur et je supposais que sa petite soeur apprécierait.

J'essayais de trouver les mots pour la féliciter, en essayant de les peser pour ne pas l'attrister encore plus :

"C'est vraiment très bien, je pense que Lalouna aimera. Après tout, c'est ta petite soeur et elle t'aime... Toi aussi, je le pense..."

Je laissais un petit espace entre mes paroles attendant sa réaction. J'avais l'impression d'être à côté d'un volcan qui risquait à tout moment d'exploser. Heureusement, je ne lui laissais pas vraiment le temps pour répondre, que j'enchaînais avec une autre question :

"D'ailleurs, veux-tu revenir sur ce qui vient de se passer ou tu voudrais passer sur cela ?"

Je la regardais, abordant un petit sourire timide pour entendre sa réponse... Si il y en avait une.

Naïda, n'avais clairement pas envie de ce repencher sur le sujet, pour elle cela faisait à présent partie du passer, et elle ce sentais à nouveaux en pleine forme, alors de son point de vu, il n'y avait pas lieu d'en reparler. Oui elle avait us légèrement peur, il ne lui était encore jamais arriver de faire ce genre de réaction et elle avait été déstabiliser de ne plus avoir le contrôle le temps d'un instant, mais pour elle rien était grave. Elle ne ressentait plus aucun effet, elle n'avait ni mal aux ventre, ni au crane, ni nul part d'autre., Elle n'avait pas de nausée et n'était pas tomber dans les pommes, non décidément, tout allait pour le mieux, elle pensait même avoir imaginer la scène.

- Non, non tout va bien Maude, Merci de m'avoir aider, mais je n'ai pas vraiment envie de reparler de "ça". (dit t'elle sans vraiment savoir comment appeler sa réaction).


Elle s'imagine que tout est du à la fatigue et au stresse, alors elle passa à autre chose, commença à remballer ses affaires dans son sac de cour et à s'en aller de cette foutu bibliothèque.


- Merci Maude, on ce reverra surement à d'autre intercours, j'avais oublier que je devait faire deux, trois trucs!

Naïda fit un geste de la main et s'en alla avec la lettre pour sa sœur. Dans un recoins, elle attendit que Maude sortent et qu'elle soit assez loin pour qu'elle ne puisse rien voir, puis lança un incendio au parchemin.


Comme sa petite crise d'angoisse, Naïda espérait que cette lettre et sa sœur, puissent faire également partie du passée. Elle espérait que Maude soit satisfaite et qu'elle ne lui pause plus aucune question. Et elle se jura de faire plus attention à ses papiers, à l'avenir.