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15 avr. 2020, 19:23
Réconfort à la bibliothèque  privé 
@Henry Shoftshire

Mercredi, 9h15

Ce matin, j'avais le goût d'aller à la bibliothèque. Je n'y étais pas encore aller. Pourtant, j'adore les bouquins de toutes sorte. Quand j'étais chez moi, je pouvais passer toute la journée le nez dans des livres. Autant sorcier que moldu.

Je me rendais tout de suite à la porte de la biblio, même si elle n'était pas encore ouverte. La porte était barrée. "C'est normal. Il est juste 9h23." Alors, je m'accotai sur la vitre et j'attendis. C'était horriblement long, alors je me perids dans mes pensées. Je pensais à mes parents et à mon frère. ils me manquaient tellement! Pour ne pas me mettre à pleurer, je me m'y à penser à ma rencontre au lac, il y a quelques jours. Avec Dawn Green. C'était horrible. Je m'étais faites une ennemie! Ce n'était vraiment pas mon genre de faire ça! J'ai été horrible et méchante! Je me sens mal.

Si je ne voulais pas me mettre à brailler, c'était rater. C'était à cause de mes pensées et de la pression pour être à la hauteur. Je regarda encore ma montre et vis 9h35. Cela allait être long si mes larmes continuaient de couler. Je devais être vraiment mignonne avec mon visage rouge et mes yeux bouffis!

Je vis alors un garçon arriver. Je me dis "Non! Je ne veux pas que quelqu'un me voit pleurer!". Je présumais qu'il était de Serdaigle à cause de son écharpe bleu. Je me tournis vers la vitrine en espérant qu'il ne vit pas les larmes perlées sur le bords de mes yeux.

Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin. #PouffyFamily
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15 avr. 2020, 21:06
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Il était tôt ce matin-là, Henry était réveillé depuis quelques heures, deux ou trois tout au plus. Il en avait profité pour traîner au lit plus qu'à l’accoutumé, faut dire qu’il avait extrêmement mal dormi, il avait les traits tirés, des petits cernes sous les yeux. Des cernes de gens qui ne dorment pas assez, en proie à des cauchemars… Une chute, vertigineuse. Le noir, la chute, voilà tout ce dont il se rappelait. Pas grand chose à vrai dire, il nageait dans un océan brumeux. Il ne se rappelait pas de ce cauchemar, juste d’avoir été happé vers le fond, noyé dans l’obscurité, étouffé par les ténèbres. Voilà tout ce dont il se rappelait, mécaniquement, il passa sa petite main aux doigts fins sur sa gorge. Plus pour se rassurer, qu’autre chose… Il respirait toujours. C’était déjà ça, ce n’était qu’un rêve, et pourtant. Si réel, si vrai, si… Là. Il ne comprenait pas pourquoi ce cauchemar, pourquoi donc ces ténèbres ? Il n’en savait rien, enfin, il devait le savoir en son fort intérieur, mais il devait avoir érigé un mur, un mur pour protéger son âme d’enfant. Un mur contre les monstres qui rampaient sous le lit, prêt à vous enserrer la gorge de leurs mains, à se glisser contre vous, et se nourrir de votre peur, de vos angoisses, de vos doutes. Il faisait rarement des cauchemars, enfin plus depuis qu’il était jeune. Il se souvient que parfois son père restait dormir avec lui, sa mère se contentait juste de lui râler dessus en lui disant de se rendormir… Il ne comprenait la dent qu’elle avait contre lui, qu’avait-il fait ? Elle semblait lui en vouloir pour quelque chose ? Mais quoi ? Un mystère de plus, sa mère était un mystère, il l’aimait comme un fils aime sa mère, mais il avait l’impression que c’était un amour à sens unique, il donnait sans jamais recevoir. Aussi loin qu’il se souvienne, sa mère avait toujours érigé un mur entre eux, s’autorisant de rares moment de tendresse, le dernier remontait juste avant de partir pour King Cross, mais s’était toujours une tendresse empreinte de distance, de retenue, comme s’il était un pestiféré qu’on rassurait sur les malheurs du monde. Il ne comprenait décidément pas sa mère, il avait pensé un temps que ce pouvait être un alien, comme il en voyait de temps en temps en regardant la télévision, ou un robot peut-être ? Mais c’était des suppositions d’un enfant, les aliens ça n’existe pas. Il sourit à ses réflexions d’enfant, il avait bien grandi depuis, enfin, il avait l’impression d’être un Scrout à pétard dans un village de Géant. Mais quand même, il grandissait. Il commençait à prendre ses marques, se perdant de moins en moins. Les escaliers s’étant visiblement lassée de l’envoyer tout sauf à l’endroit qu’il désirait. Il se perdait encore, rarement, mais suffisamment pour que ce soit embarrassant. Peut-être devrait-il prendre des potions Aiguises-Méninges ? Un peu risqué, il se voyait mal arriver à l’infirmerie et dévaliser le stock de ces potions.

C’est ainsi qu’en pleine réflexion, ses pas le menèrent en direction de la bibliothèque et il ne fut pas étonné. Un Henry à la bibliothèque, c’était comme Serdaigle qui gagne la coupe, évident. Il avait son petit sac qui ne le quittait jamais si tôt sortie de sa salle commune. Hier, il avait bien cru qu’il allait dormir devant. Il avait buté sur l’énigme, la fatigue ayant sûrement joué. Il avait essayé un veracrasse, un dragon, alors que la réponse était un hippogriffe. Il s’était trouvé particulièrement idiot sur le coup, on aurait dit que l’aigle s’était moqué de lui, il le toisait de haut. Il ne l'aimait pas cet aigle, surtout le soir, qu’est ce qu’il était fatiguant avec ses énigmes, alors qu’il voulait simplement dormir. Il était remonté vers la bibliothèque, pestant contre cet idiot d’escalier, après avoir mangé un bout dans la grande salle. Du bacon et une pomme, quoi de mieux que du bacon pour commencer la journée. Il avait fini sa pomme dans l’escalier et rangée le trognon, dont il aurait aimé se débarrasser d’un coup de sortilège, dans son sac qui pendait sur son épaule droite. Tandis que dans sa main, il tenait le livre qu’il avait emprunté auparavant. Il esquiva quelques élèves se dirigeant vers leurs salles, il n’avait pas tellement envie de finir le derrière par terre, bousculée par un de ces géants. Il slalomait entre les Poufsouffle et autres Gryffondor d’années supérieures. Jusqu’à arriver devant la bibliothèque. C’était sûrement le lieu qui l’avait le plus impressionné quand il avait découvert Poudlard, la quantité de livres était surréaliste. Les étagères semblaient s’étendre sur des kilomètres, et il se souvint avoir passé sa première journée de libre dans la bibliothèque, à feuilleter les différents livres. Il avait lu de tout, des histoires absurdes, des livres intéressants, d’autres beaucoup trop compliqué, des histoires pour enfants ennuyeuse, à propos d’un véracrasse si ses souvenirs étaient bons. Il n’avait pas vu l’heure et avait dû se dépêcher de rentrer pour ne pas se faire attraper. Il n’était pas du genre à jouer avec les règles, enfin pas au départ. Ce n'est pas dit qu’il ne fasse pas quelques virées nocturnes quand il serait plus grand. Mais à Poudlard tout était différent, paraît il qu’on trouvait un calamar géant dans le lac, rien que ça.

Ses pas l’avait donc guidée jusque devant la bibliothèque, elle était fermée. Dommage, il était sûrement venu trop tôt, il allait attendre un peu. C’est seulement à ce moment-là qu’il vit une jeune fille… Une Poufsouffle, tourner la tête et détourner le visage, elle semblait pleurer. Que lui arrivait il ? Henry était intrigué, c’était certain. Il n’aimait pas voir les gens pleurer, il préférait les voir rire. C’était ce que répétait toujours son oncle Julian quand il le voyait. Leur dernière rencontre remonte à l’anniversaire de ses 10 ans, il l’avait fêté en grande pompe et Julian grand enfant qu’il était s’était mêlée à son groupe d’amis qu’il avait invité pour l’occasion. Il avait passé la journée à rire, à chanter, à s’amuser. Il sourit en repensa à cela, et s’approcha de la jeune fille, puis se baissa pour être à sa hauteur et demanda d’une douce voix :
- Qu’est-ce qui t’arrives, pourquoi ça va pas ?
Dernière modification par Henry Shoftshire le 20 avr. 2020, 22:14, modifié 1 fois.

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16 avr. 2020, 16:22
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Je regardais encore ma montre et vis 9h55. Plus que 5 minutes. Peut-être que j'aurai le temps d'entrer dans l'immense pièce avant que le jeune garçon m'interpelle. J'espérais tant qu'il ne s'arrêta pas devant moi. Je voulais être seule! Mais bon. On dirait que je rêvais en couleur.Il s'est bien arrêté. Il me regarda et me demanda ce qui m'arrivais. Je lui répondis:
-Non ça va. Je vais bien. Je fais juste ruminer mes pensées.

Et les portes de la bibliothèque ouvrirent. Je rentrai immédiatement pour ne plus faire la conversation avec le Serdaigle. C'était bête de ma part, puisqu'il s'était montré sympathique. Je me dirigeais vers les étalages, et dans le fond, j'espérais qu'il insiste. Peut-être que ça allait soulager ma peine. Je commençais à regarder les bouquins et me remis à pleurer de plus belle. Depuis ma rentrée, je me suis montrée odieuse avec deux personnes. Ça ne me ressemble pas, moi qui suis habituellement gentille.

Je m'assis en boule, dans un coin de la salle. J'avais juste le goût de retourner chez moi, avec ma famille. Ça allait bien avec eux! J'étais polie et non méchante. Mais bon. Il fallait attendre à la fin de l'année pour les revoir.

Je rejoignis alors le sorcier qui m'a parler et lui dis:
-Je m'excuse pour tout à l'heure. Je ne voulais pas être snobe.
Pour une première impression, c'était raté! J'avais les yeux un peu bouffis et le visage un peu rouge. Je me dis que c'était mieux que rien. Il aurait très bien pu m'ignorer.
-Moi c'est Mya, rajoutai-je.

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Poufsouffle Vult!
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18 avr. 2020, 21:35
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Henry était étonné, pourquoi les gens mentaient-il tout le temps, c’était comme une seconde peau pour eux, ils mentaient, simulait que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Plein de faux sourire, de fausse compassion, tout était faux. Leurs sourires, leurs émotions. Ce n’était qu’un monde de marionnettes, qu’on agitait pour s’amuser un peu. Elle lui disait que tout allait bien. C’était faux, même un botruc l’aurait vu. Il ne comprenait pas, c’était quelque
chose qui lui échappait, pourquoi elle mentait. Il ne le savait pas, il ne savait pas grand-chose d’elle, juste qu’il lui semble qu’elle appartenait à Poufsouffle. Que vu son âge elle devait être de la même fournée que lui. Il était venu à la bibliothèque pour s’occuper l’esprit, il devait avancer sur un devoir en Potions, espérant que le livre qu’il cherchait est disponible. Il n’avait pas réellement envie de jouer les conseillers conjugaux, car c’était sans doute une question de cœur. C’était toujours à cause des sentiments, qu’importe, le malheur qui vous tombait dessus, tout pouvait être ramené à une histoire de cœur. C’était quelque chose d’étranger à Henry, il aimait rire avec les gens, mais ne comprenait pas ce sentiment. Il ne l’avait jamais éprouvé à vrai dire. Elle dit qu’elle va bien, qu’elle rumine juste. Il n’en croyait pas un mot, il l’avait juste dérangé et refusait de l’admettre. Il allait répliquer, tenter de l’aider, mais les grandes portes de la bibliothèque s’ouvrirent, ils n’étaient que tous les deux pour le moment, mais déjà il apercevait d’autres personnes tout aussi matinales qu’eux approcher.

La jeune Poufsouffle avait fui, elle s’était éclipsée dès qu’elle en avait eu l’occasion. Visiblement, elle ne souhaitait pas lui parler. Il soupira, enfouissant ses petites mains dans les poches, son petit sac sur l’épaule et entra dans la bibliothèque, qui était silencieuse, parfaitement silencieuse. Il marcha rapidement, essayant de trouver le rayon sur les potions. Il était toujours autant émerveillé par le grand nombre d’ouvrages qui trônait dans cette bibliothèque. On y trouvait de tout, des livres bons, un peu moins bon, des livres sur les potions, sur les chatons, sur les Moldus. Il aimait l’odeur du parchemin, des pages qui flottaient dans ce petit sanctuaire. Il posa son doigt sur les tranches de livre, il passait sur les livres à la couverture de cuir, le chemin était vallonné. Il cherchait toujours le livre qu’il souhaitait et finit par le retrouver :
Index des potions affectant le mental  par Gwendoline Lesprit
Il sortit le livre du rayon, le prenant dans une main avant de se diriger vers une table non loin sur laquelle il s’installa, non loin de l’entrée. Il déposa le livre à la couverture de cuire verte et entama sa lecture. Il adorait les potions, il avait besoin de trouver une potion affectant l’esprit pour son devoir, il devrait pouvoir la trouver à l’intérieur de ce bouquin. Potion contre
les migraines ? Non. Potion de Cerveaucotton, amusant, mais non. Il cherchait quelque chose de plus exotique, pour faire la différence. Il était plongé dans ses recherches, ayant sortit un bout de parchemin et sa plume, il prenait quelques notes, raturait, modifiait. Son papier noircissait sous ses coups de plumes. Il était tellement absorbé par ses recherches qu’il en avait complètement oublié miss Poufsouffle. Il soupira intérieurement, tant pis, cela ne devait pas être si grave que cela après tout. Et puis, les Potions c’était bien plus intéressant que faire du soutien psychologique pour sorcier au cœur brisé. Il continuait de feuilleter le livre… La potion de rêve éveillé… Intéressant, il pourrait se renseigner là-dessus après tout, cette potion lui semblait très intéressante, il la nota dans un coin à part de son parchemin déjà rempli. Il eut bientôt besoin d’un deuxième bout de parchemin. Il laissa sa première feuille sèche et continua de noter sur la première.

C’était quoi ça la corne d’éruptif ? Il l’ignorait, mais vue le nom ça devait pas être une gentille bestiole. Il gardait un mauvais souvenir des créatures magiques, ils les trouvaient intéressants, mais elle avait une forte propension à le considérer comme une cible de choix. Il soupira, se rappelant sa mésaventure avec les botrucs en Défense contre les Forces du Mal. Il arrivait à la fin du livre et relis ses notes, ça lui semblait suffisant, maintenant fini les devoirs, il voulait lire un livre pour le plaisir des yeux, des mots. Il rangea ses deux parchemins dans son sac et reprit le livre voulant aller le remettre à sa place. Mais d’un geste trop rapide, il n’avait pas remarqué la Poufsouffle qui était venue, surpris il manqua de justesse de lui rentrez dedans. Que venait-elle faire ici ? S’excuser ? Il ne lui en voulait pas. Lui demander un service ? Peut-être, tant que ce n’était pas de faire ses devoirs à sa place ça lui convenait, il pourrait peut-être exiger quelques Chocogrenouilles en échange de son service après tout, autant joindre l’utile à l’agréable. Elle le regardait, ses yeux étaient bouffis, son visage un peu rouge ? Elle avait pleuré, c’était visible. Pourquoi ? Voilà qui l’intriguait. Pourquoi pleurait-elle ? Voilà que toutes ces questions revenaient au galop. Elle finit par parler :

- Je m’excuse pour tout à l’heure. Je ne voulais pas être snobe.

Elle n’avait pas à s’excuser de toute façon il ne lui en voulait pas. En toute franchise, il s’en fichait, il avait l’habitude d’être ignoré, on le prenait pour un gamin, incapable de comprendre. Même s’il ne le montrait pas souvent, Henry était tout à fait capable de réfléchir, la preuve il était à Serdaigle. Serdaigle et ce maudit piaf à l’entrée avec ces énigmes. On dirait qu’il prenait plaisir à lui poser des énigmes compliquées. Peut être suivait elle un schéma précis, une sorte de réserve d’énigmes, peut être pourrait il prévoir la prochaine. La jeune Poufsouffle continuait de l’observer. Que voulait-elle encore ? Elle s’était excusée, quoi de plus ?

-Moi c’est Mya

Henry hésita quelques secondes, son livre en main, devaient il l’ignorer, lui rendre la pareille en la snobant. Non ce n’était définitivement pas son genre, il se contenta de répondre d’un bref :

- Henry, moi c’est Henry

Il avait alors rangé son livre et avait mis quelques instants avant d’en choisir un autre sur les potions. Sa couverture était rouge et disposait d’une photo animée, montrant une sorcière devant son miroir, en lettre grise le titre était écrit.
Petits secrets des potions de beauté, où comment paraître belle quand on ne l’est pas par Griselda Furonche
Le titre avait l’air ennuyeux, surement une connerie pour sorcières, mais il espérait qu’il en apprendrait peut-être sur un ingrédient ou une potion particulière. Il prit alors le livre et le déposa sur la table à côté du rayon, invitant par la même occasion la jeune Poufsouffle à s'asseoir avec lui.

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19 avr. 2020, 17:12
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Le jeune garçon semblait méditer ma question ou cherchait-il une réponse à me donner. Peut-être aussi, il voulait faire comme moi, m'ignorer. S'il faisait ça, je l'aurais compris. Je n'ai pas été chouette tout à l'heure.

Finalement, le Serdaigle de première année, j'en suis quasiment certaine, finit par me répondre, en disant qu'il se nommait Henry. Je trouvais qu'il avait bien une tête à s'appeler comme ça. Je me suis surprise à l'observer. Il avait les cheveux et était quand même mignon. À cette pensée, Mya s’enflamma. Puis, je le vis en train de regarder les livre sur un des rayons et en pris un. Je vis le titre du livre et en fut étonnée. "Un livre sur la beauté? Ah bon." Je le vis ensuite s’asseoir < une table de la bibliothèque et me fit un signe, en m'incitant à m'asseoir avec lui.

J'hésitais. Je ne savais pas quoi faire. Est-ce qu'il fallait que je m'assois, que je refuse? Ma petite voix intérieur me disait de l'ignorer, de faire comme-ci je ne l'avais pas vue. Hum. Je décidai de ne pas écouter ma conscience et allai m'installer à côté de lui. Je déposai ma plume, mes parchemins et mes manuels. Je dis à Henry:
-Excuse-moi. Je dois aller chercher un livre sur la métamorphose, je reviens.

Je me levai et pris la direction des étagères et des rayons. Je me mis à lire la couverture des livres et en choisit un.
Manuel de métamorphose avancée.


Je me dirigeai ensuite vers la table de travail que le garçon avait choisi.

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22 avr. 2020, 00:35
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Henry après avoir fait signe à la Poufsouffle de le rejoindre, se plongea dans ce livre de potions qui l’intriguait. Bingo, c’était bien une connerie pour sorcière, il feuilletait les pages sans rien trouver d’intéressant. Du mucus de veracrasse pour des cheveux soyeux, sérieusement ? Il n’avait pas lu pareille idiotie depuis longtemps… Il soupira longuement, prit quelques notes, enfin ce qui lui semblait le plus sérieux dans ce ramassis d’idiotie. Qui lisait ça franchement ? Il tournait les pages rapidement, se concentrant principalement sur les ingrédients. Il aimait apprendre, et lire, c’était indéniable. Mais ce livre lui semblait plus que douteux. Il avait complètement oublié la jeune Poufsouffle devant lui. Quand il releva le regard, cette dernière justement avait disparu. Il était pourtant certain de l’avoir vue s’installer. Peut-être qu’elle le trouvait trop silencieux. C’était une possibilité, il la chercha brièvement du regard. Elle revenait avec un livre, et s’installa à la table d’Henry. Ce dernier essayait de lire le titre du livre. Au vu de la couverture, c’était un livre de métamorphose… Il n’y comprenait absolument rien, que ce soit la théorie ou la pratique. Ses premiers cours avaient été un désastre total. Un désastre. Pourtant sa baguette était théoriquement parfaite pour la métamorphose. Elle avait dû faire erreur sur le propriétaire, car Henry ne serait visiblement jamais doué en métamorphose :

  • T’as un devoir à faire en métamorphose ? Parce que si tu es plutôt bonne là-dedans j’aurai surement besoin de ton aide. Parce que bon…

Il n’aimait pas l’idée de demander de l’aide à quelqu’un, mais bon, s’il le faisait tout seul le mieux qu’il puisse prétendre ce serait un Piètre voire un Désolant… Il ne comprenait pas, il essayait pourtant. Il avait essayé ce sortilège de Transfert, il s’était même entrainé en dehors des cours. Avec une pomme et son sac… Le mieux qu’il est pu faire fut de retirer la peau de la pomme et dût demander à un de ses camarades de dortoir de réparer sa connerie. Franchement, il ne se voyait pas faire carrière dans la métamorphose. Fallait-il être bon en sortilège pour travailler comme Auror. Enfin comme le truc qui équivalait aux Aurors. Henry n’avait suivi que de très loin les derniers changements, il s’était simplement mis au courant. Il ne savait pas si en l’état actuel, bien qu’il ne soit pas né-Moldu, s’il pouvait intégrer le Ministère, enfin ce qui servait de remplaçant au Ministère. Il ne savait pas.

Il se leva, complètement désespéré par le niveau d’ânerie présente dans son livre, il le referma et se dirigea vers l’étagère en en prenant un autre à la couverture jaune :

Le billywig propriétés magiques et utilités en potions par Luna Dreams

Il vint se réinstaller à sa table, et ouvrit le livre, qui contrairement au précédent lui paraissait beaucoup, beaucoup plus intéressant. C’était fascinant le nombre de propriétés que possédait ce petit insecte : le venin provoquait un état légèrement comateux donnant l’impression de léviter, les dards permettaient de lutter contre le sommeil. Le petit livre détaillait pas moins de 7 propriétés des petits insectes. Il notait cela soigneusement attendant que sa camarade réponde à sa question. Il tomba sur la recette d’une potion pour faire des insomnies… Ça peut être pratique pour réviser, il notait cela soigneusement : dards de billywig, grains de café en poudre, des feuilles de salade mordeuse… Il notait soigneusement la recette. Il zieutait de temps en temps sa camarade qui semblait concentrée sur ce livre de métamorphose, sa curiosité prendrait peut-être le dessus, mais pour le moment son livre de potions semblait passionnant.

Il se demandait quelles étaient les limites de la métamorphose. Pouvait-il transformer quelqu’un en chauve-souris par exemple ? Ou un ballon de rugby en chien. Il avait toujours voulu d’un chien, mais sa mère avait refusé. Elle n’aimait pas les animaux, au grand dam d’Oncle Julian, qui s’amusait à lui ramener divers animaux à ses retours de voyage. Des tarentules, des petits serpents, des perroquets. Il se demandait bien à quoi pouvait ressembler la maison de son oncle. Il se doutait que les fois où il l’avait vue, son oncle surement de mèche avec son père avait du lancer un sortilège d’invisibilité sur les animaux magiques. Peut être qu’il possédait un élevage de sombrals ou un enclos à éruptif ? Qui sait ? Il nageait toujours en pleine découverte. Il en revint à penser à l’idée d’un chien, et il ne put empêcher une question de franchir ses lèvres :

  • Est ce qu’on peut métamorphoser un ballon de rugby en chien, j’ai toujours voulu un chien.

Il se rendit compte qu’il avait pensé à voix haute, et fut un peu gêné, sa question lui semblait tout à coup parfaitement stupide. Il se racla la gorge, replongeant dans son livre.

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24 avr. 2020, 20:07
Réconfort à la bibliothèque  privé 
Quand j'arrivai à la table du Serdaigle, il semblait être décourager de choix de son livre de potion. À sa place, je le serait aussi, cela avait d'être une vraie connerie, comme bouquin. Sûrement un truc sur la beauté des sorcières.

Je me concentrai alors sur le mien. Il était vraiment passionnant! Enfin, c'est pas étonnant puisque c'est de la métamorphose! J'adore cette matière. C'est impressionnant de pouvoir changer telle ou telle chose en une autre. Je me concentrai sur mon livre pour qu'il m'aide dans un de mes devoirs. Je regardais le garçon en face de moi et vis qu'il regardait mon livre avec un mélange de questionnement et de découragement. Il finit par me demander si j'étais bonne en métamorphose, parce que lui n'est pas terrible.
-Je pense que je peux me qualifier de bonne en métamorphose. J'ai environ une moyenne de E dans cette matière. Si tu as besoin d'aide, ça ne me dérange pas!
J'étais flatter qu'il me demande de l'aide. Le problème, c'est qu'il avait l'air gêner de le demander. Au moins, il l'a fait.

Puis, je le vis se lever et aller chercher un nouveau livre sur les potions. Il semblait beaucoup mieux, en terme de contenu. Je remis mon nez dans mon livre et lis attentivement. Bizarrement, je me sentais beaucoup mieux que tantôt, malgré que j'en ai pas parlé. Peut-être que juste le fait d'être avec quelqu'un m'aide à me calmer. Je repensais (encore!) à mes parents. À ce qui faisaient en ce moment. À mon frère, qui faisait sûrement une bêtise. Mes larmes montaient encore une fois sur le bord de mes paupières, alors je fermai les yeux. Je ne voulais pas qu'on ai pitié de moi, ou que Henry me demande si ça allait. Tout d'un coup, le Serdaigle posa une question.
-Est ce qu’on peut métamorphoser un ballon de rugby en chien? J’ai toujours voulu un chien.

Alors j'éclata de rire et de sanglot en même temps. Parce que ça question était hilarante, mais que son innocence ressemblait comme deux gouttes d'eau à celle de mon petit Théo.
-Je sais pas. Peut-être, mais ça m'étonnerais même pas, répondis-je en reniflant et en m’essuyant le visage.

Et je m'enfouis le visage dans mes mains.

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26 avr. 2020, 02:36
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Un ballon de rugby en chien, existait-il plus stupide question que celle-ci, plus grosse idiotie. Il s’était immédiatement senti stupide en prononçant ses mots. Un ballon de rugby en chien, sérieusement ? Il savait que son envie d’avoir un chien à la maison était toujours très forte, mais franchement. Son père avait refusé prétextant que cela nécessitait trop d’entretien, sa mère, était-ce réellement nécessaire de détailler son point de vue ? Elle était formellement et définitivement contre. Quelle rabat-joie celle-là ! Il était lassé en y repensant, sa mère était une véritable cage qui enfermait sa joie. Une armoire de glace assez insensible. Henry ne comprenait définitivement pas ce qui se produisait avec elle. Était-ce une Cracmol ? Henry ne le savait pas, mais il doutait que cela soit réellement le cas. Il était dans le flous de ce côté-là. La jeune fille explosa de rire, se moquait-elle de lui ? De sa question stupide, ou bien alors avait-elle trouvé cela drôle. Nan parce que, dans un cas c’est particulièrement déplaisant, et dans l’autre il avait envie d'accompagner son rire du sien.

Sans qu’il ne puisse maîtriser, dans un soupir de soulagement, il accompagna le rire de sa camarade tout d’abord doucement puis progressivement de plus en plus fort. Ce qui lui attira quelques regards furieux d’élèves plus ou moins âgées venues ici pour y trouver calme, tranquillité et sérénité. Il n’en avait pas vraiment grand-chose à faire, mais réduit tout de même le volume sonore afin de ne pas s’attirer les foudres de ses camarades, et du bibliothécaire. Ce n’était pas dans ses objectifs. Il dut s’y reprendre à plusieurs fois pour enfin calmer le fou rire qui lui avait empli son moi intérieur. Il reposa alors le regard sur le livre qui traitait des différentes propriétés magiques du Billywig. Il trouvait ce livre fascinant, les dessins, et images animés étaient assez impressionnants. Il avait encore du mal avec les tableaux et les images qui bougent. C’était surement dans les trois choses qui l’ont choquée lors de son arrivée, avec la métamorphose, et le ciel de la Grande Salle. Il était toujours aussi émerveillé de voir tant de bougies flottées au-dessus de sa tête lorsqu’il mangeait. Il devait également ajouter les fantômes, bien qu’il n’est pas encore aperçu celui de sa maison. Elle s’appelle la Dame Grise parait-il, et ce serait la fille de Rowena, de ce qu’il avait compris des explications qu’on lui avait donné. Il découvrait de nouvelles choses quasiment quotidiennement et allait de découverte en découverte. La veille il avait découvert les farces hilarantes de Peeves, enfin hilarant est quelque chose de tout à fait subjectif, il s’était en effet retrouvé couvert des pieds au chapeau d’encre. Il avait passé plus d’une heure à faire disparaître les taches d’encre dans ses cheveux, et on devait sans doute encore apercevoir quelques taches d’encre éparse dans ses cheveux.

Il repensait aux paroles de la jeune fille, qui semblait toujours en proie à un fou rire incontrôlé. S’il existait bien une matière dans lequel il ne comprenait strictement rien, c’était sans aucun conteste la Métamorphose, il ne comprenait pas comment était-il possible de faire changer de formes des objets. Il n’y était encore jamais parvenu… Comment fait-on pour visualiser une aiguille se transformer en allumette… Pour un peu que cela soit possible. Il répondit alors à la jeune fille d'un air blasé visible sur les traits de son visage
  • Franchement moi j’y comprends rien, alors oui si tu veux bien m’aider je suis tout à fait partant, ce n’est pas avec des Piètre que je vais aller très loin de toute façon.

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30 avr. 2020, 16:33
Réconfort à la bibliothèque  privé 
J'étais horriblement tannée et fatiguée de pleurer sans cesse. Il me semble que ça devrait aller mieux? Ça fait quand même un mois que l'école est commencée. Il fallait que je m'endurcisse. Il fallait que j'arrête de pleurer quand je pensais à ma famille et à tous les bons moments passés avec eux. Alors, pour me changer les idées, je décida de réfléchir à la question d'Henry.

C'était quand même matière à réfléchir. Si on pouvais changer un ballon de rugby en un beau petit chien adorable. On peut transformer un lapin en pantoufle alors pourquoi pas un chien.
-Je pense que l'on peut peut-être. Ça ne serait pas la première fois qu'on transformerait un animal en objet. Je sais qu'il y a eu un la pin en pantoufle, un hérisson en pelote d'aiguille, une souris en cruche.

Vu son visage, le jeune garçon a l'air découragé, quand je lui parle de métamorphose. Peut-être qu'il va accepter ma proposition de l'aider. Si il le fait, ça va me faire plaisir. J'adore aider les personnes. C'est comme si j'étais utile, malgré mon fort caractère. Comme si le Serdaigle lisait dans se pensées, il répondit qu'il était d'accord pour l'aide proposé.
-Tu veux qu'on le fasse quand, ton devoir?

Si c'était maintenant, je n'avais pas mes choses. Il faudrait que je retourne à mon dortoir pour aller les chercher. Bon, c'est pas si grave. Mon manuel est juste dans ma valise. Ça ne devrait pas être si long à aller prendre. Juste quelques minutes.

Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin. #PouffyFamily
Poufsouffle Vult!
2ème année Rp en 2045-2046

01 mai 2020, 06:17
Réconfort à la bibliothèque  privé 
La métamorphose, ou l’art de tout rendre compliqué, c’était ce que pensais Henry vis-à-vis de cette matière, il avait essayé, longtemps de lancer un simple sort, rien. Nada. Néant… Ça en devenait ridicule à son sens. Les cours étaient intéressants, mais il était incapable de parvenir à la moindre métamorphose, il échouait, ratait la moindre de ses métamorphoses. Il fallait dire que rien que la théorie lui semblait compliquée. Comment est-ce possible de visualiser un rat se transformer en une pelote d’aiguille. Il avait essayé, il excellait en sortilèges, mais dès qu’il s’agissait de toucher à la métamorphose, il devenait un élève médiocre, n’arrivant même pas à réparer ses erreurs. Vraiment, il devait être un cas désespéré, il n’avait que peu d’espoir de réussir un jour une métamorphose. M’enfin, il s’obstinait à essayer, on ne pouvait pas lui retirer. Quitte à ce que cela puisse devenir dangereux. De ce fait, il ne savait pas quoi faire dans le futur, la filière Auror semblait compromise dû au fait, qu’elle inclut une grande part de métamorphose. Il faudrait qu’il se plonge dans le détail un jour ou l’autre.

Le jeune blondinet fut arraché à sa réflexion, par la jeune fille qui lui faisait remarquer que sa réponse à la question qu’il avait précédemment posée était tout à fait possible. Cependant, s’il était une chose qui était certaine, c’est qu’il n'essayerais pas de lui même, il avait peur du résultat. Un chien avec un ballon de rugby incrusté dans le crâne… Brrr quelle horreur ! Il ne devait jamais essayer cela. Pauvre bête… Il regardait son livre sur les potions qu’il venait de refermer, il allait bien devoir le faire un jour ou l’autre ce devoir de métamorphose… Il le posa sur le coin de la table et sortit son matériel : ses notes, son encrier et sa plume, ainsi que le devoir, il portait sur un sortilège de métamorphose assez élémentaire. Mais qu’Henry n’avait absolument pas compris. D’ordinaire il comprenait la théorie, mais se retrouvait incapable de l’appliquer, cette fois-ci il n’avait même pas compris la théorie. Il déplia le parchemin sur lequel étaient griffonnées quelques notes confuses, les rares éléments qu’il avait compris du cours et le disposa entre la jeune fille et lui.

– Voilà mes notes, je n’ai absolument rien compris et je dois faire ce devoir pour demain. Alors oui si tu veux bien m’aider ce ne serait pas de refus. Je n’ai pas envie de finir en pot de fleurs décoratif dans le bureau de M’sieur Lynch.

Il soupira longuement à la fin de sa phrase, plus désespéré que jamais. Il souhaitait vraiment qu’elle l’aide, sans quoi il allait probablement rendre copie blanche. D’ordinaire il s’en sortait avec des Acceptable ou des Piètres. Mais là il avait le pressentiment que sans aide, il allait surement récolté un Désolant voir un Troll. Et franchement ça ferait un peu tache. Lui qui avait souvent des Optimals, quelquefois des Efforts Exceptionnels et de temps à autre quelques Acceptables, et encore plus rarement des Piètres. S’il récoltait un Désolant ou un Troll, il s’agirait de son premier, et il n’avait pas franchement envie que cela soit le cas. Il soupira à nouveau, ne sachant pas quoi dire pour espérer convaincre la jeune fille. Finalement, elle prit la parole lui demandant quand. Le plus tôt possible pardi ! Il ravala une réponse un peu brusque, elle voulait l’aider se montrer gentille, il se gratta la nuque, un peu gêner de demander son aide après tout. Mais il finit par lui dire :

– Euh… Le plus tôt possible. Je dois le rendre demain… Alors bon je comprends que tu as mieux à faire, mais si tu pouvais me filler un coup de main. Ça ne serait vraiment pas de refus.

Ils furent cependant la cible de jurons d’élèves plus âgées, agacés par le bruit qu’il produisaient. Bien que Henry veillait à ne pas parler excessivement fort, mais ils semblaient que les tables environnantes soient munies d’oreilles hypersensibles au grand dam du jeune blond. Il se tourna vers la jeune fille, attendant sa réponse.

2e année RP/ Code coleur : #3d85c6