Une différence entre Gwenn et moi.
J'ai toujours aimé et préféré les livres aux films. Pas parce que c'est plus pratique d'en apporter un dans son sac, ni parce qu'il ne peut tomber en panne de batterie comme les téléphones ou écrans d'aujourd'hui, même si faut avouer que c'est déjà suffisant pour justifier ma préférence ..
Mais lire c'est juste une liberté, en fait, on peut s'imaginer ce qu'on lit, ou pas, et les moindres détails y sont écrits.
Dans les films, trop souvent il y a des scènes qui sont modifiées, amplifiées ou tout simplement supprimées.
Et c'est pire lorsqu'on regarde un film, puis qu'on lit le livre correspondant ensuite. L'imagination est bloquée. Bloquée par ce que notre cerveau a vu, comme les décors ou les acteurs. Et lorsqu'on essaye alors d'imaginer ce qu'on lit, à notre envie .. Nous revoyons en fait, que le film.

<< Ca m'étonnerait que tu puisses me faire changer d'avis là-dessus, inutile d'essayer, je voudrais pas te faire perdre ton temps. >> lui répondis-je alors.

Je profite de son moment "sans-gênes" pour essayer de replonger dans ma lecture. Ce n'est pas du tout que j'ai envie de la snober, loin de moi cette idée, mais la bibliothèque ferme bientôt et je n'ai toujours pas fini ne serait-ce que le premier chapitre du bouquin qui se trouve entre mes mains.

<< Bon, moi je vais devoir y aller... Il est tard, et il faut que j'écrive une lettre à mon père, enfin à mes deux pères. On se voit demain soir ici ? >> me demande t-elle.

Deux pères ? ! Comment est-ce possible ? Cette annonce me fait relever la tête.
Mais malgré ma surprise soudaine, je ne dis rien. Ca ne se fait pas et j'aurai sûrement d'autres occasions de lui poser la question et d'en savoir un peu plus sur elle et son entourage. Je ne vais pas la retenir plus longtemps, elle a l'air déjà assez pressée.

<< Pourquoi pas ! A demain. >> lui dis-je alors en esquissant un sourire.

Matthew se dirigeait vers la bibliothèque à petits pas pressés. Elle était sur le point de fermer et Matthew ne pouvait attendre pour se procurer un livre. Son frère lui avait raconter à grand renfort de gestes et de cris le moment où il avait «rencontré» un Wendigo un peu avant sa rentrée à Poudlard. Alfred avait immédiatement piqué son intérêt et le jeune serdaigle s'était promis de faire des recherches. La bibliothèque serait le meilleur endroit et Matthew avait finalement un moment de répit à travers sa montagne de travaux.

 Il quitta les couloirs bruyants, arrivant finalement aux énormes portes le séparant de sa destination.  Il s’apprêtait à tirer son dernier obstacle lorsque la poignée lui fut arracher des mains par quelqu'un de l'autre côté. Matthew eu à peine le temps de reconnaître une camarade de Serdaigle que celle-ci poursuivait son chemin. Le jeune garçon entra puis commença sa quête, espérant de tout son cœur que le livre qu'il recherchait n'était pas dans la réserve. 

Il erra entre les innombrables étagères, quelques titres accrochant son regard, tous plus décevant les uns que les autres. Ce n'était pas qu'ils étaient forcément inintéressant, ils n'avaient seulement pas l'information recherchée. Une voix stridente retentit quelques rangées plus loin. Ses paroles étaient indiscernable et Matthew ne ressentait pas le besoin impertinent de découvrir sur quoi la fillette déblatérait.  Il continua son parcours, ce rapprochant de plus en plus de l'épicentre du son. Il pouvait entendre la fin de la conversation. Quelque chose à propos de changements d'opinion et de deux pères. L'une des deux personnes en conversation avait donc la même situation familiale que lui. Lorsqu'il y arriva finalement, une Gryffondor sortit d'entre les étagères et se dirigea vers la sortie.

Matthew pénétra dans la rangée, repérant une Poufsouffle assise à l'une des tables. Il inspecta les rayons de vieux grimoires et nouveaux manuels puis un titre l'accrocha. C'était lui assurément. Le seul ennui était que le bouquin se trouvait trois rangées trop loin, juste au dessus de la Poufsouffle. Aucun autre moyen de l'atteindre que de passer par-dessus la fille. Une étincelle de peur l'habita. Elle s'était replongée dans sa lecture et il ne voulait pas être grossier ou pire la rendre en colère pour l'avoir interrompue. Ses pensées tournoyaient, lui présentaient les pires scénarios. Les Wendigos en valaient-ils vraiment la peine? «Oui!»lui criait sa curiosité. «Non!» lui hurlait sa panique. Sa bataille mental s'empira et devint presque intolérable. Enfin, il prit trois grandes respirations comme lui avait montrer son papa et s’adressa à la jeune fille d'une douce voix à peine audible.

- Dé..désolé?

Je suivis Gwenn des yeux jusqu'à ce qu'elle passe la porte de la bibliothèque avant de reprendre ma lecture.
La Pimentine.
*Ah super ! J'ai justement un devoir là-dessus !* Pensé-je.

Très concentrée à me documenter, je fais le vide autour de moi. Je décide de ne pas prendre de notes pour le moment. Je fais confiance à ma mémoire. Elle ne m'a jamais déçue jusqu'ici.
J'essaye donc de faire abstraction de tout ce qu'il se passe autour de moi : des livres qui frottent sur les étagères lorsqu'on les range, des bruits de parchemins qu'on enroulent et qu'on fourrent dans les sacs, ces derniers que l'on referment justement à la hâte, sans oublier les bruits de chaises qui grincent sur le plancher en bois de la bibliothèque. Ce qui signifie d'ailleurs que les autres élèves sont en train de ranger et que celle-ci est presque sur le point de fermer ses portes.

<< Dé..désolé ?>>

*C'est à moi qu'on parle ? Encore ?!
On ne peut donc jamais être tranquille dans cette bibliothèque ?*

Je n'ai pas relevé la tête tout de suite. Je n'aime pas interrompre ma lecture en plein paragraphe. Ce n'est donc qu'une fois ma phrase terminée que je daigne enfin lever les yeux pour savoir ce que l'on me veut.
C'est un garçon, blond à lunettes de taille normal, un peu fort physiquement mais pas trop et un aigle est brodé sur sa robe.
Il semble timide. Étrange. Je ne me rappelle pas avoir déjà mangé quelqu'un …

<< Oui ? >> Lui répondis-je quand même poliment malgré mon agacement d'être dérangée pour la seconde fois.

La Poufsouffle ne lui répondit pas tout de suite, le nez plongé dans son bouquin.  Seul avec le grattement de plume sur le parchemin, le bruissement des pages que l'on tournent et le murmure des groupes d'élèves éparpillés dans l'énorme bibliothèque, les mains de Matthew se tortillèrent dans son uniforme et son pied droit s'anima d'une soudaine gigue incontrôlable. Après quelques secondes, ne voulant paraître trop incitant, Matthew s’apprêtait à la laisser tranquille lorsqu'elle lui répondit:

- Oui ?

Matthew relâcha un souffle qu'il ne se souvenait pas avoir retenu. La fille n'avait pas l'air trop irritée, mais une pointe d'agacement perçait dans ses yeux verts. Les questionnements revinrent. Son livre en valait-il vraiment la peine? Il savait à quel point s'était dérangeant de se faire interrompre pendant sa lecture, mais n'était-il pas trop tard. Ça devait bien être la deuxième fois qu'elle était dérangée, mais elle l'observait, le dissertait de long en large et en travers. C'était trop tard pour se raviser, c'était maintenant ou jamais.

- Euh... Euh....oui, je... Désolé! J'aimerai pouvoir atteindre ce livre. Tu .. tu vois celui en bas...HAUT!  J'aimerais monter sur... sur... sur ta table. S'il te plait!

Le petit Serdaigle pointa du doigt le bouquin tant attendu. Il grimpa sur la pointe des pieds et mima de monter sur la table. Il se frappa mentalement, cessant aussitôt ses gesticulations. Quel idiot! Essayant de garder le peu de dignité qu'il lui restait, il offrit à la jaune et noire un sourire timide qui se voulait charmant.

Ce jeune Serdaigle était complètement intimidé par la Poufsouffle, il la dérangeait pour un livre qui était trop haut pour lui. Ayant observé cette scène plutôt comique un petit peu plus loin, le jeune Serpentard était d'humeur plutôt malicieuse ce jour. S'il faisait en sorte qu'il ait son livre, il l'aura dérangé pour rien, et sa honte n'en serait que plus grande tandis que ce serait le cas pour la jeune fille mais concernant son agacement.

Il était assis par terre contre une rangée de livres un peu plus loin, puis en se cachant derrière celui qu'il avait entre les mains et en vérifiant bien que personne ne le voit autour de lui, il sortit discrètement sa baguette de sa manche. Oui, il s'agissait là d'une caractéristique du Serpentard que de ne pas la ranger dans la cape mais plutôt dans la manche, la sortir était bien plus facile ainsi, il fallait penser efficacement. Mais là n'était pas le sujet. 
Il venait ainsi de sortir sa baguette sans que personne ne le voit, puis chuchota distinctement une formule avec une certain geste, et le livre que le Serdaigle voulait était sorti du rayon tout seul, par magie, et il commençait à descendre vers lui.. Avant de lui tomber littéralement dessus. 

Un léger sourire au visage, Isaac rangea sa baguette comme si rien ne s'était passé, puis baissa son livre pour pouvoir mieux le lire car il ne s'en servait plus pour camoufler le mouvement de ses lèvres. Il observa alors du coin de l'oeil les réactions qu'avait produit cette action. 

Gwenn, qui farfouillait dans la bibliothèque à ce moment là, vit un jeune Serpentard au regard malicieux jeter un sort sur un Serdaigle. La rouge et or pouffa. Comme elle s'ennuyait, elle décida de s'amuser un peu. Elle fit mine d'être extrêmement concentrée dans son devoir de potions quand il leva la tête, puis elle fit semblant d'être pressée et rangea ses affaires. Elle fit le tour des rayons, et trouva un autre champ de vision du Serpentard. Elle sortit à son tour sa baguette de sa manche et elle murmura le sort qu'elle avait appris récemment en cours.

- Wingardium Leviosa !

Le livre du Serpentard s'éleva dans les airs avant qu'il puisse le retenir. Elle marcha dans l'allée et fit un bond pour rattraper le livre et lut le titre. Elle s'adressa au Slytherin:

- Humm, bon choix ! Tu n'aurais pas eu ta cravate, je t'aurais reconnu grâce à la technique de la manche! Ton sort était bien exécuté tu te débrouilles bien, dit elle en lui faisant un clin d'oeil. normal, tu fais partie d'une des deux meilleures maison de Poudlard, et de ma préférée. Au fait, je suis Gwenn, surnommée la pile électrique des Gryffondor, enchantée.

Elle trouvait bizarre de parler à la maison adverse, surtout que le Serpentard devait croire qu'elle se moquait de lui. Mais loin de là. Elle fit craquer des poings et remit sa baguette dans sa manche. Elle se dit qu'après tout, vu le caractère qu'elle avait, elle était une Gryffondor avec une grosse tendance Serpentard.

- Oui, je sais, c'est bizarre d'avoir comme maison favorite la maison adverse mais j'ai toujours cru que j'allais être à Serpentard. Ma chambre est peinte en vert et argent, et toute ma famille avant moi était allée à Serpentard. Sauf moi ! A croire que les Gryffondors adorent les hyperactifs... Et toi tu voulais être dans quelle maison avant d'être à Poudlard ?

Matthew souriait à la Poufsouffle espérant qu'elle lui donnerait son accord. Il savait que mettre ses pieds sur la table était mal, alors monter debout dessus? Jamais! Un de ses papas l'aurait disputé sévèrement. Seul son grand frère en aurait eu les tripes.  Cependant, il voulait à tout pris son livre et si aucun adulte ne le voyait, c'était comme si il ne l'avait jamais fait, non?  Son questionnement prit fin alors même qu'un livre s'écrasait sur sa tête, puis sur son nez. Il laissa échapper un petit Ow! et se frotta la tête à deux mains. Les larmes montaient par pur réflexe du système nerveux. Pourtant, ça ne faisait pas aussi mal que les larmes ne laissait croire. 

Après avoir repris ses esprits, Matthew lu attentivement la couverture du bouquin qui l'avait attaqué pour trouver le même titre qui l'avait accroché. Il jeta un regard vers la Poufsouffle qu'il avait dérangée avant de rougir d'une teinte qui pourrait rivaliser la chevelure de feu de son papa.  Les excuses à son égard s'écoulèrent en un torrent inébranlable. Matthew avait quasiment le nez à terre à la japonnaise lorsqu'il quitta la rangée. Sa petite voix intérieure le traitait d'idiot et l'obligeait à revivre le moment à répétition. Le livre serré contre son torse et la tête courbé, il manqua presque la conversation entre un Serpentard et la même Gryffondor qu'il avait croisé avant de trouver son livre. Tout ce qu'il pu en déduire, c'était que le garçon était le principal suspect à l'origine de sa mésaventure. Sans y penser ni une, ni deux, il s'approcha du duo la tête haute, se plaça devant le Sepentard dès que la gryffondor eut fini sa tirade et lui lança le plus mielleusement possible:

- Oh!  Merci tellement de m'avoir aidé à prendre mon livre! Sans toi je n'sais pas ce que j'aurais fait. Je pense que j'en serais mort...

Il termina avec une moue d'expérience et des yeux de chien battu, puis enchaîna avec une expression pince-sans-rire que peu de jeune de onze ans pouvait atteindre. Il continua son chemin dos aux deux autres et ne rougit que rendu à mi-chemin de son dortoir.

<< Euh... Euh....oui, je... Désolé! J'aimerai pouvoir atteindre ce livre. Tu .. tu vois celui en bas...HAUT!  J'aimerais monter sur... sur... sur ta table. S'il te plait! >> dit le Serdaigle.

Sa timidité le faisait bégayer. Je trouvait ça mignon. Ca change du Serpentard que j'ai rencontré il y a quelques jours … 
Il avait de jolis yeux sous de petites lunettes noires et quelques mèches blonde tombaient légèrement dessus.
J'allais m'écarter pour qu'il puisse monter sur la table quand finalement le livre qu'il convoitait tomba sur lui. Le garçon, un peu sonné, avait les larmes aux yeux. Sûrement à cause du choc ! 
Après avoir repris ses esprits, il me regarda et se mit à rougir avant de faire demi-tour, serrant le livre dans ses bras. 

Le pauvre.
Pas très sympa comme action. Pourtant, le jeune Serdaigle alla tout de même remercier le Serpentard responsable. Ironie ?
*Il a eu de la chance que le livre ne soit pas tombé sur moi, tiens !* pensais-je.

Je referma le livre que j'étais en train de lire et alla le ranger sur l'étagère où je l'avait trouvé à mon arrivée. Je n'avais plus envie de rester ici, à présent.
Ce n'était pas silencieux comme une bibliothèque devrait l'être.
En plus, on peut se prendre des livres sur la tête. Normal.

J'ai donc récupéré mon sac, rangé ma chaise et ai pris la direction de la grande porte en bois. D'un pas décidé, je l'ai franchie en repoussant mes cheveux en arrière.

*La prochaine fois, j'irai lire dans le parc ! Et je ne connais pas son nom mais ce petit Aigle devrait faire pareil ..*

Amy se dirigea vers la bibliothèque d'un pas pressé. Elle devait absolument trouver un manuel de Défenses contre les forces du mal pour trouver la définition du sortilège Lashlabask ( qui était d'ailleurs sa matière préférée ). La Serdaigle parcourut les rangées du regard pendant au moins six minutes, puis défila dans toute les allées. Enfin, un fichu manuel de DCFM attira son regard. Enfin ! Amy l'attrapa et alla s'asseoir à l'une des tables de la bibliothèque. Elle jeta un regard à une Gryffondor assise à la table, puis plongea dans la lecture passionnante du manuel. Après cinq minutes, elle jeta un nouveau regard à la Gryffondor qui paraissait l'ignorer. La Serdaigle réfléchit à un moyen d'attirer l'attention de celle-ci qui avait plutôt l'air sympa tout en inaugurant un débat dans son cerveau : Finir maintenant son devoir de potions ? Amy tapota nerveusement la table en s'auto-contestant pour ne pas le faire. Puis, en fait, elle avait déjà fait six devoirs à la suite, donc elle méritait quand même de se reposer ( enfin, de lire ). La Serdaigle se replonga dans son livre et découvrit un sortilège qu'elle n'avait jamais essayé, Evanesco. Elle pencha la tête puis lut le paragraphe en dessous :

EVANESCO (Métamorphose) MENTIONNÉ EN QUATRIÈME ANNÉE : Sort permettant de faire disparaître un objet. Pour lancer ce sort, il faut dessiner un cercle plein avec sa baguette, et un jet de lumière rouge en sortira afin de faire disparaître ce que vous avez visé.

Pourquoi pas, après tout. Amy jeta un regard à une agrafe sur la table qui allait ( malheureusement pour elle ) devenir sa cible, relut la "notice" et sortit discrètement sa baguette magique. Elle la pointa sur l'agrafe, exécuta un mouvement circulaire et murmura :

- Evanesco !

Au lieu de disparaître, l'agrafe se transforma en araignée. Oups ! j'espère que l'agrafe n'était pas à elle! s'inquéta la Serdaigle. Elle tourna le regard ailleurs, puis observa furtivement l'araignée-agrafe. Bon, elle s'entraînerait dans la salle commune des Serdaigle. Peut-être qu'il fallait mieux achever son devoir de potions, tout compte fait. Mais Amy avait tellement la flemme qu'elle continua finalement de lire son manuel.

Première entrée dans la bibliothèque. Kristen retient un souffle d'admiration devant la grandeur de cette pièce. Le plafond est si haut qu'elle se dit qu'un dragon pourrait aisément y loger toute sa famille. Les murs si éloignés les uns des autres qu'un troll pourrait se mouvoir en toute liberté. Bien sûr, ce serait le cas sans ces immenses étagères munies de milliers de livres parcourant la totalité de cette pièce.

Après avoir marché d'une lenteur absolue, de sorte de ne pas rater un détail de la pièce, en direction du comptoir de la bibliothécaire, Kristen arrive à une des tables de travail pour lire le livre retiré au comptoir intitulé De la Maîtrise à la Magie, Par-delà le Bien et le Mal par Rosy Newtlike. En posant le livre sur la table, Kristen remarque une bibliothèque presque vide. Seuls quelques élèves parcourent ses rangées, telles des âmes en quête de savoir.

Kristen se concentre ensuite sur son livre et se languit de pouvoir enfin parcourir un livre de la bibliothèque de Poudlard. Ce livre est le premier d'une incroyable série de 7 années de lectures acharnées.

*Tous les livres passeront devant moi et tout leur savoir se retrouvera dans ma tête. Je serai la meilleure élève que Serdaigle, et donc Poudlard ait jamais connu.*

Au fil de sa lecture, Kristen se berçait de ces pensées qui lui donnait le courage et l'impatience de se présenter aux cours qui arriveront dans la plus grande des confiances.