Héléna sortait dans le parc après une longue journée passé à écouter que d'une oreille les cours, elle pouvait enfin sortir à l'air libre et elle en était ravi. Son sac, qu'elle portait sur une seule de ses épaule, lui donnait des coup régulier en brimbalant au fur et à mesure qu'elle marchait. Elle se demandait ou s'assoir, au bord de l'eau par terre ou contre un arbre à l'ombre.... sa pensé pencha pour le coin d'arbre à l'ombre. Elle s'assit donc sur l'herbe fraiche qui poussait lentement en se mois de mars. Elle sorti de son sac un livre qu'elle avait emprunter quelques heures auparavant à la bibliothèque......Quand elle commença à lire au bout de deux pages elle avait comprit la puissance d'évasion de se roman....il l'emportait loin du monde réel pour qu'elle découvre un monde autrement fantastique, magique et merveilleux..... Les minutes et les heures passaient à une vitesse ahurissante et elle commençait à peine à prendre compte du temps qui s'écoulait. Elle eu bien du mal à fermer son livre, mais la nuit tomberait dans à peu près trois heures. Elle rangea donc machinalement son livre et se leva..... Elle se dirigeait vers le château quand soudainement un balai lui passa sous  le nez. Elle bondi en arrière de stupeur. La jeune fille qui était sur le balai s'arrêta quelques mètre plus loin, Héléna commença à s'avancer vers elle......

Je sors d'un cours de potion particulièrement compliqué. Mon pauvre cerveau se tourne et se retourne sous mon crâne. Ma fin d'après-midi étant libre, je passe rapidement au dortoir. Je farfouille dans ma malle pour trouver ce que je cherche et fourre le tout dans une besace en cuir. Je l'aime beaucoup cette besace, c'est Gaby et Charlie qui se sont cotisées pour me l'offrir à mon anniversaire dernier et Jane a apporté sa touche en ajoutant un sortilège pour l'agrandir. Je ne me rappelle plus de son nom, mais c'est impressionnant. Je me rappelle qu'elle m'avait dit que c'était un sort utilisé par Hermione Granger quand elle était étudiante, et Jane trouve ça très classe de faire la même chose qu'elle. Jane adore Hermione Granger, c'est son héroïne. Moi je l'aime bien. Elle est intelligente, courageuse et tout, c'est cool.

Je glisse la glicière sur mon épaule, cherche ma cape -j'étais sûre de l'avoir mise par ici pourtant !- pour enfin la retrouver là où je l'avais laissée hier. Bah bien sûr. Il va falloir que j'arrête d'être aussi étourdie. J'enfile prestement l'épaisseur bienvenue et pars à grands pas. Je dévale les escaliers, glisse dans un virage. C'est pas ma faute, je ne peux pas m'en empêcher, je marche vite, j'aime bien. J'aime bien sentir l'air glisser autour de moi, ma cape et ma robe flotter derrière, mes cheveux partir par mèches parfois dans le vent, se libérant de mon ruban. 

Je serre contre moi la besace et débouche sur le parc. J'inspire un grand coup avant d'avancer d'un nouveau pas. Une sorte de grosse masse manque de me renverser. Je me fige et cligne des yeux, abasourdie.

Je reprend finalement mes esprits. C'est une fille qui vient de me frôler sur son balais. Mais elle se prend pour qui ? Normalement, on ne doit pas voler si près du château ! Je lève les yeux vers les nuages et reprends mon chemin, grandes enjambées comprises, mais vers l'autre qui a atterri. Du coin de l'oeil, je remarque une autre fille, une griffondor si j'en crois son uniforme, l'air tout aussi "furieuse" que moi. Je dis furieuse avec comme des guillemets parce que je ne le suis pas vraiment. Je le suis rarement. C'est juste que je suis surprise, et curieuse de savoir pourquoi il a fait ça.

Alors que je sortais de mon cour de sortilèges, et revigorée par le beau temps, je décidais d'essayer les balais de l'école.
Je descendis à mon dortoir, dans les cachots, et je déposais mon sac de cours. J'enfilais les protections réglementaires, et j'attachais ma cape avant de me diriger vers le placard à balais de l'école. J'en choisis un, un nimbus 2000 poussiéreux, le nettoyais et parti en direction du parc pour le tester.
En chemin, je croisais des élèves plus âgés qui ricanèrent:

-Hé, mais c'est une nouvelle année! Dis, moi tu vas nettoyer le sol avec ton balais, je me trompe?


J'accélérais l'allure, mais leur groupe me suivait toujours en lançant des insultes. Alors, ivre de rage et pleine de colère je répliquai:

- Si vous ne vous taisez pas tous de suite, je m'en chargerais, foi de Serpentard!

Je fonçais vers le terrain, et je décollais enfin. Rapidement, le vent siffla à mes oreilles, et je me mis à tourner haut autour du parque.
Pendant une demi-heure, je m’entraînais à faire des pirouettes, et des figures risquées.
Malgré cela, mon ressentiment était encore très fort, et je continuais à voler jusqu'à ce que je sois très fatiguée.
A ce moment là, je décidais de terminer ma séance par un piqué, en essayant d’atterrir le plus près possible de l'entrée.
J’oubliais tout autour de moi et me concentrais sur la trajectoire que j'allais prendre: un virage a gauche après le grand arbre, puis tous droit.
Je me mis à accélérer en suivant ma trajectoire, mais deux personnes apparurent. Je freinais aussitôt, mais les freins du balais mirent du temps à agir.
Je déviais légèrement vers la droite devant une première élève puis devant une autre. N'ayant plus assez de vitesse, j’atterris en douceur sur la pelouse, courbaturée. Je tournais vers les deux élèves qui arrivaient en courant l'air en colère.
Le souvenir des ricanements faillirent me faire adopter une apparence méprisante, mais je tentais de rester d'un air à peu près normal, bien que des remarques désobligeantes me titillaient la langue. Elles n'étaient pas blessées, il ne fallait pas en faire tout un plat!



N'hésitez pas à me dire si vous voulez que je change un aspect de l’histoire...