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27 mai 2018, 11:24
Un rêve à portée de main
Les amitiés qu'il avait tissé au fil de cette année annonçaient une nouvelle découverte dans la vie de Solal : les vacances entre amis. Jusque là, il avait toujours passé ses vacances avec sa famille, et quelques fois des amis de la famille qu'il ne connaissait pas très bien. Des patrons qui travaillent avec Ciaran, par exemple, le genre de personnes qui n'intéressaient pas vraiment le Serdaigle. Mais cette fois, ce serait différent. Il ne savait pas s'il aurait assez de deux mois pour visiter tous ses amis ; il voulait voir Noor, Anita, Elian... Il était certain qu'il lui faudrait un agenda pour pouvoir noter toutes les visites qu'il avait prévu —la décision du planning de ses vacances était unilatérale : il n'en avait même pas parlé aux principaux intéressés, mais il avait encore bien le temps. Les vacances de Pâques n'étaient même pas passées. Elles étaient de toute façon bien trop courte, en une semaine il n'avait jamais le temps de rien.
Il s'imaginait camper dans un champ avec ses amis et ses frères, se demandait si ses amis s'entendraient avec ses frères. Il était certain que Noor et Amory partageraient le même plaisir d'avoir l'air désabusés de tout. Elian et Anita s'entendraient sûrement très bien avec Oskar, le doux de la fratrie.  Il n'était pas certain que quelqu'un soit prêt à tenir tête à Blaze, pas même Noor.

Il dut rapidement mettre un terme à ses rêveries. Le viffet était là, prêt. Il lui tendait presque les bras et il était certain que, s'il pouvait lui parler, il lui aurait envoyé quelques railleries pour le provoquer —railleries qui auraient sans doute bien marché ; Solal avait l'ambition d'être le genre de garçon qui n'abandonne jamais et qui fonce tête baissée. Spoiler alert, il ne l'était pas et il le découvrirait bien assez vite.
Le garçon aux cheveux corbeaux fit d'abord surpris de voir la vitesse à laquelle le viffet volait. Il était comme ses insectes qui faisaient du surplace dans la forêt, et qui repartaient tout aussi vite qu'ils arrivaient : on ne voyait qu'un flou étrange autour d'eux, qui devait être leurs ailes. En voyant la balle, il était difficile d'imaginer la vitesse à laquelle elle pouvait se déplacer. Mais son vol avait quelque chose de très joli et Solal eut le temps d'imaginer un petit étang dans un jardin, au dessus duquel voleraient plusieurs viffets, avant de se lancer à la poursuite de l'objet. Il s'était penché au dessus du manche du balai avec une telle force qu'il avait été quelque peu déséquilibré, et il avait senti son torse toucher le bois du manche. Il tendit le bras vers l'objet, les sourcils froncés, les dents serrées entre elles. Il s'imaginait en plein match, les acclamations fusant de part et d'autre d'un stade imaginaire alors qu'il jouait son rôle d'attrapeur —qu'il ne visait pas, son objectif était de devenir poursuiveur mais il saisirait n'importe quelle occasion.

Action : capturer le viffet. 

[6]

Tapis en Chef, 2ème année RP.

29 mai 2018, 21:32
Un rêve à portée de main
C’était assez étonnant de se dire que j’étais entourée d’amis, entourée de personnes qui me comprenaient plus ou moins. Je n’avais pas l’habitude de passer mon temps libre en compagnie d’élèves et de camarades avec qui j’avais un créé un lien, un lien qui était cher à mes yeux. Aller leur rendre visite était une belle idée, et j’étais sûre que mes parents accepteraient de les voir. D’ailleurs, leurs lettres me donnait un sentiment de fierté de leur part. Poudlard m’avait apporté joie et bonne humeur, je découvrais la vie en communauté, parfois les rivalités, mais tout ceci était nouveau pour moi et je me sentais épanouie au sein de cette école. 

Bien que ma scolarité à l’école moldue n’était pas remplie de souvenirs agréables, mon enfance n’était pas si malheureuse que cela. J’avais tout de même le bonheur de me retrouver parmi les livres, expliquant des sujets divers et variés, abordant même parfois la science pure. Mais ce qui me plaisait par-dessus tout, c’était toutes ces histoires narrant les exploits et le combat de personnes hors du commun. Je m’imaginais à travers celles-ci, essayant de voir si j’étais moi aussi capable de faire de telles choses. J’avais toujours ce besoin de faire plus, de faire de mon mieux, pour ainsi prouver mes capacités dans un domaine ou dans un autre. J’avais cette détermination en moi, et la concentration nécessaire pour réussir, mais l’appréhension pouvait également s’inviter au sein de mon esprit. Le Quidditch faisait partie de ces domaines où je voulais être meilleure, et, quelque part, je savais que je pouvais accomplir de belles choses. Le doute pouvait m’envahir mais pas l’espoir, et cela était une précieuse chose que tout le monde ne pouvait ressentir. Le fait également de prendre plaisir dans ce sport m’apportait confiance en moi.

Penser à cela me donnait le sourire, mais ce qui me fit encore plus sourire, c’était lorsque mon ami réussit presque à rattraper le viffet. Il était concentré comme jamais, je voyais ses yeux le fixant du regard. J’étais presque aussi excitée que lui, c’était étrange de se dire que je n’étais pas à sa place, mais que pourtant, je me voyais en lui. J’observais sa course vers la minuscule balle aux ailes scintillantes, mais bien qu’il n’arriva pas encore à l’atteindre (4), j’étais contente de le voir à deux doigts de la réussite.

« C’est déjà un bon début ! On va faire chacun son tour, comme ça vu que le viffet n’est pas encore attrapé, je peux essayer de faire comme toi ! T’en penses quoi ? »

Je savais que Solal accepterait cela, après tout, il aurait encore l’occasion de recommencer si c’était un échec de ma part. Ni une ni deux, je prenais la place de mon ami, et décidais à mon tour d’engager la chasse au viffet. Il n’était pas si loin de moi, mais je sentais qu’il ne serait pas aussi facile de l’avoir dans la main. Tendant la main au maximum et aggripant fermement de l’autre le manche de mon balai, je n’avais que d’yeux pour le viffet. Rien ne pouvait me perturber en cet instant où la rapidité était essentielle, où les pensées n’étaient plus, et où la concentration se devait d’être optimale.

Action : capturer le viffet (2)

Il ne suffit pas seulement de croire en ses rêves, mais de croire aussi en soi.

29 mai 2018, 21:58
Un rêve à portée de main
Il était enfermé dans sa bulle de concentration, chassant le viffet, tentant d'amorcer des virages serrés pour le suivre. Il tendait le bras tellement fort que ses muscles lui faisaient mal mais il voulait l'attraper, comme un signe annonciateur d'un bon avenir au Quidditch. Mais il en fut tout autrement et il passa un moment à chasser le volatile sans parvenir à l'attraper. Il sentit la frustration monter mais son amie décida que c'était un échec cuisant. Il tenta d'adresser un sourire à Anita et de ne pas lui montrer sa déception d'avoir échoué cette première capture. Mais il ne se plaint pas, il savait qu'en match il aurait encore moins de temps pour l'attraper et qu'il avait été tout simplement mauvais. Anita ferait peut-être mieux, il en était sûr.

Il observa son amie se mettre, à son tour, en chasse du viffet. Il la trouvait impressionnante sur son balai, elle était clairement pleine d'assurance et pleine de bonne volonté. Aux yeux du Serdaigle, il ne faisait aucun doute qu'elle réussirait à devenir une bonne joueuse et un bon élément pour les Éclairs. En la voyant ainsi derrière le viffet, alors que lui volait à une dizaine de mètres, il eut le plaisir de s'imaginer à nouveau en plein match, tous les deux dans l'équipe des Éclairs. Il espérait qu'ils seraient tous les deux capables de devenir de bons joueurs, qu'aucun d'entre eux ne connaîtrait la même déception que son père, mais la réalité le rattrapait depuis qu'il était arrivé à Poudlard : la vie n'était pas aussi simple que ce qu'il avait cru jusque là, il avait vu des élèves faire de leur mieux pour échouer et se demanda si c'est ce qui l'attendait lui aussi, ou s'il parviendrait à fuir l'injustice de la vie. Il n'était pas certain d'avoir le courage de supporter un trop grand nombre d'échecs. Il avait grandit dans la facilité.

Toujours dans l'optique où ils vivaient actuellement le même match imaginaire, Solal leva son bras vers son amie pour l'encourager d'un "ouhouuuh, allez Anita ! Attrape le !". Il agitait les deux bras comme s'il avait une banderole dans les mains, un sourire découvrant ses dents. Anita non plus n'était pas loin, mais elle ne semblait pas parvenir à attraper le viffet (2). Égoïstement, il fut rassuré de voir qu'il n'était pas le seul à ne pas y parvenir. Mais la question se posait à présent : comment allaient-ils se débrouiller pour le rattraper s'ils n'arrivaient pas à être assez rapides ? Il fronça les sourcils, rudement embêté par cette situation à laquelle il n'avait pas pensé. Il vola jusqu'à la boîte où séjournait le viffet, la posa sur ses cuisses et se dirigea vers Anita :
« Ça commence à faire long, faut qu'on se débrouille pour l'attraper ! Il est plus rapide que c'que j'pensais ! » s'exclama-t-il alors qu'il lui montra la boîte grande ouverte. Il s'éloigna ensuite de son amie, partit dans la direction opposée pour faire un cercle et tenter de prendre le viffet en tenaille. Ce fut finalement Anita qui réussit à attraper le viffet ; il s'était logé dans sa manche comme par miracle. La vision fit aussitôt rire Solal qui en oublia sa frustration.
« Super capture, chère attrapeuse ! Vous remportez ce match ! » Il lui adressa un pouce levé et lui tendit la boîte pour qu'elle range le viffet. Il essaya de chasser la négativité de ses pensées, il avait bien travaillé même s'ils n'avaient pas réussi à attraper le viffet de façon académique et il était très content de pouvoir partager ce moment avec Anita.

Tapis en Chef, 2ème année RP.

01 juin 2018, 21:06
Un rêve à portée de main
Je n’étais pas si sûre de mes capacités, mais étrangement, le fait de me retrouver dans les airs virevoltant sur mon balai me donnait envie de prouver le contraire de mes pensées. Le Quidditch était certes un sport où la dangerosité pouvait vite arriver, mais j’étais convaincue que j’étais faite pour ça. Mon corps n’était peut-être pas assez robuste pour supporter les coups de cognard, mais mon esprit l’était. Cela comptait beaucoup à mes yeux, je me sentais prête à prendre place parmi les membres de notre équipe. Ce n’était pas encore un rêve atteind, mais c’était un rêve, et ce rêve ne pouvait que faire vivre une passion dévorante. Mes nuits étaient ponctuées d’apparitions de vif d’or, de viffets, mais aussi de commentaires de la part des Tribunes. La joie que j’éprouvais à enfourcher un balai ne se présentait nul part ailleurs. Certes la vie à Poudlard me donnait le sourire à chaque instant de bonheur et de découverte, ma bonne humeur rayonnant parmi les autres, mais j’éprouvais une sensation différente de ces moments. Je n’étais plus la même, je me sentais comme différente. Je n’avais plus cette boule au ventre de vouloir toujours faire au mieux, je souhaitais tout simplement essayer, même en acceptant les défaites. 

Solal n’avait pas tout à fait la même personnalité que moi, il était plus frustré, plus déçu face à un échec. Reconnaître une défaite n’était pas chose aisée, même pour moi, mais le fait de se dire que l’on apprend de nos échecs et que ceux-ci nous font avancer nous permettent de mieux aborder la suite des évènements. Cet état d’esprit là, je le sentais en moi, ne voulant tout simplement pas abandonner, ne pas se dire que l’on y arrivera jamais. L’espoir était pour cela une chose importante, cela constituait notre force d’esprit. Il nous évitait de stagner, de nous remettre en question ou de se laisser abattre par une situation difficile. Continuer à avancer malgré notre déception, nos moments de douleurs et de malheurs. C’était cela qui comptait énormément pour moi, et je savais pertinnement que de le faire savoir à mon ami était chose essentielle.

C’était à mon tour de capturer le viffet, ou du moins essayer. Je me sentais prête, et tenant fermement mon balai des mains, je m’engageais dans une course poursuite après une minuscule balle qui ne cessait de se balader tel un oiseau désirant ne pas être attrapé. J’étais fascinée par le viffet, une telle rapidité et une telle beauté n’était pas ce que l’on voyait tous les jours. C’était du moins ce que je pensais, bien que d’autres personnes avaient un avis différent de moi. J’entendis au loin les encouragements de Solal, qui me mirent d’ailleurs baume au cœur, c’était toujours agréable d’entendre des personnes qui vous soutenaient. Malheureusement pour moi, le viffet était encore bien trop rapide, et après de longues minutes à vouloir réessayer davantage jusqu’à ce qu’il arrive dans ma main, je décidais de me retourner vers Solal qui se dirigeais à présent vers moi. Il fronçais légèrement les sourcils, et il s’exprima à moi en m’indiquant qu’il fallait tout de même réussir à le capturer lorsque l’entraînement serait terminé. Il avait sur ses cuisses la boîte où était enfermé auparavant le viffet, il me la montra grande ouverte et je me suis dit que le moment était venu de se mettre à deux face à cette balle espiègle.

« Tu as raison, il est trop rapide pour une personne. On a qu’à se mettre à deux, ça va être amusant !
»

Tandis que Solal s’éloigna de moi, je pris la direction opposée afin d’encercler le viffet. Il était maintenant coincé, voyant que nous nous y étions mis à deux. Nous étions en train de diminuer l’espace entre nous deux quand la balle se dirigea non loin de moi. Je me décalais juste pour essayer de l’atteindre quand elle se logea dans ma manche, mon bras étant tendu au maximum en ayant l’espoir de le capturer. J’étais étonnée de voir que notre capture arriverait de cette façon là, c’est pourquoi sur le coup, je riais en abordant un grand sourire. Tandis que je pris dans ma main le viffet, mon ami vint vers moi en riant également, ayant vu la scène plutôt amusante. Ses paroles me firent rire de plus belle, et j’espérais que cette capture n’arriverait pas de cette façon là le jour d’un match, la honte serait sinon présente et je rougirais telle une tomate. Le pouce levé, Solal me tendait à présent la boîte et je pus remettre le viffet à sa place initiale. Nous y étions arrivé d’une certaine manière à attraper la balle, mais ce qui me fit plus sourire, c’était de voir que nous avions évolué au niveau des passes. Elles étaient maintenant parfaites, et c’est en atteignant la terre ferme que je m’exprimais à mon ami.

« Tu as été super ! Je suis contente d’avoir pu faire cet entraînement avec toi. On a passé un bon moment, pas vrai ? »

J’étais maintenant sûre et certaine que nous étions prêt à entrer dans l’équipe de notre maison. Nous avions toute la détermination et les capacités pour y faire partie. L’espoir encore plus présent en mon esprit, je me sentais encore plus excitée à l’idée de participer à un match de Quidditch. Après avoir rangé dans un coin mon balai et remis en place la boîte à l’endroit initial, je me dirigeais maintenant vers Solal. Il paraissait aussi joyeux que moi, et cela me fit sourire de plus belle.

« J’ai hâte de te voir dans l’équipe, tout comme moi. Solal le grand et Anita la rêveuse sur la piste, ce serait super génial ! »

Me dirigeant vers le château en compagnie de mon ami, je ne pensais plus qu’à une seule chose : pouvoir un jour attraper le vif d’or, éternel désir de mon esprit.

Merci pour ce Rp, ce fut un plaisir de l'écrire ! Cela sera mon dernier post, je te laisse le choix de clôturer ou non ce Rp  ^^ 

Il ne suffit pas seulement de croire en ses rêves, mais de croire aussi en soi.

01 juin 2018, 21:34
Un rêve à portée de main
Anita et Solal avaient éclaté de rire. Si Solal souriait beaucoup, il lui était rarement arrivé de rire autant depuis qu'il était arrivé à Poudlard et il en eut mal aux joues. Cette dernière touche d'humour involontaire avait eu pour effet de remonter le moral du garçon ; s'ils n'avaient pas réussi à finir l'entraînement comme des attrapeurs dignes de ce nom, ils avaient au moins réussi un joli numéro. Le Serdaigle regretta que personne ne les observait alors que le viffet s'était logé dans la manche de son amie, mais ce n'était pas plus mal, c'était une anecdote de plus à raconter à la table de la Grande Salle. Il était certain que ça ferait rire ses camarades —peut-être moins certaines personnes, comme le Capitaine Jenkins.
Il essayait de relativiser leur entraînement ; c'était après out le premier qu'il faisait de ce genre et ils avaient remarqué une jolie évolution sur les passes. Rien n'était donc perdu et il pouvait espérer devenir un bon joueur de Quidditch un jour, son père serait on ne peut plus heureux de savoir ça. Il faudrait d'ailleurs qu'il lui envoie un hibou plus tard dans la soirée. Ciaran se montrait parfois quelque peu pressant, mais rien de bien embêtant, il s'agissait après tout d'aider son père à réaliser son rêve de façon indirecte.

« Oui, on a été nazes sur la fin mais c'était bien quand même ! » s'exclama-t-il, ne pouvant pas s'empêcher de faire remarquer les quelques imperfections de leur entraînement. Il était comme ça, détestait les échecs, ne se satisfaisait de la perfection —bien qu'il commençait à comprendre qu'elle serait beaucoup plus difficile à atteindre que prévu. Il passa une main dans ses cheveux en adressant un sourire à Anita, il se rendait à présent compte qu'il avait chaud et que l'entraînement avait été assez sportif. Il était si motivé par l'optimisme d'Anita qu'il n'y avait même pas fait attention. Sa camarade avait vraiment le don pour le motiver et il était certain qu'ils feraient de grandes choses sur le terrain, s'ils avaient l'occasion de jouer ensemble. Il mis pied à terre à son tour et suivi sa camarade pour ranger leurs affaires. 

« J'ai hâte aussi, j'espère qu'ils vont faire des banderoles pour nous ! il posa le balai et tout en prononçant ses paroles, il leva les bras en l'air en sautillant, comme s'il portait une banderoles, Anita ! Solal ! Anita ! Solal ! » Après cette belle imitation de ce qu'il espérait être leur destinée, il emboîta le pas de sa camarade. Ils allaient à présent pouvoir se reposer et ça tombait bien, le ventre de Solal criait famine.

« On parie combien que j'arrive à manger tout un poulet pour moi tout seul ? » s'exclama-t-il alors qu'il posait les mains sur son ventre affamé. Il restait encore du temps avant l'heure de manger, mais il ne pouvait s'empêcher de penser aux belles tables de la Grande Salle remplie de nourriture : un des meilleurs moments de la journée.

Merci pour ce RP Anita !  :grin: C'était, encore une fois, très rafraîchissant avec l'optimisme éternel de notre chère attrapeuse.

Tapis en Chef, 2ème année RP.