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22 sept. 2020, 03:32
Hiver  Rp privé 
Février 2045
Rp privé avec @Magdaleen Roseberg


Le dos droit, aussi doit que mon piano est droit, je joue un air. Une transcription pour piano du plus célèbre concerto pour violon de vivaldi. Plus précisément, le dernier mouvement, l'Hiver. Je trouvais qu'avec la saison actuelle, cela collait mieux.
Aujourd'hui expire le délai d'un mois que je m'etais fixé pour maitriser ce passage. Pendant le mois passé, je suis venue ici un jour sur deux jouer pendant une heure au moins, et je suis penchée sur des méthodes pour régler ce problème que j'ai avec la lecture fluide de mes partitions. Le solfège et moi, une histoire compliquée d'amour et de détestation. Ou pas supportement. Haine est trop fort.
Mes doigts courent sur les touches, et je peux aisément imaginer la scène. Un jeune homme, perdu dans la forêt. Il avance, il fait comme il peut, mais il se bat contre Dame Nature.
Ses cheveux blonds sont trempés. Ses vêtements aussi.

Il peine a avancer, dans le vent.
"
_ Par Merlin, vais-je jamais arriver a un abri ?
. Ses dents claquent. Il doit continuer a bouger, il le sait. Il ne peut pas arrêter. Il doit continuer ! Sa mère, sa pauvre mère l'attend, anxieuse. _
Si seulement je pouvais penser a un sort !
Mais il ne peut pas. Le froid l'empêche de penser. Et il ne pourrait prononcer correctement son sort. Il est aussi perdu qu'un Moldu, malgré sa baguette en dois d'alune serrée entre ses doigts fins. Il risque de la perdre d'ailleurs ! Il tape des pieds, se frotte les bras de ses mains, essaie de courir. Il doit se donner chaud.
Je dois touner la page. Je devrais apprendre un sort pour m'y aider. Je remarque qu'il fait relativement froid dans la pièce. Mais pas autant que dans la neige étincelante
Je peux encore penser.
Pas lui. Il tombe, vaincu par le froid.
J'inspire un grand bol d'air frais, pour essayer de me ramener dans l'instant présent. Mais mes doigts courent envore sur les touches. Et commencent le Largo. Et cette fois ci, il s'agit d'une femme, qui est le principal protagoniste.
Elle est grande, belle, majestueuse. Élégante,
et gracieuse. Elle est dans une pièce chaude, chauffée par un feu de cheminée. Derrière elle, on peut voir la pluie battre contre les carreaux. Elle discute avec un homme. Elle sait ce qu'elle veut, et est entrain de se battre pour cela. Elle réussit. L'homme part. Et la femme, aux allures de duchesse profite de son feu, en souriant. A moins que ce ne soit la vue de l'homme qui se tuent debout, sur le pas de porte qui la fasse sourire. Il s'approche, et s'assied pres d'elle, et elle pose sa tete contre la sienne, mêlant ses cheveux de feu aux siens, couleur soleil. Ils sont là profitant du feu et du bruit de la pluie, heureux.
Je peux presque sentir leur présence dans mon dos. Mais je n'ai pas le temps d'y penser, que commence la dernière partie. Cette fois ci, une fillette. qui essaie de marcher sur la glace. Elle avance sur quelques mètres, puis tombe ! Heuresement, son manteau la protège de coupure. Elle essaie une autre fois, retombe. Puis elle comprend comment faire, apres des essais précautionneux. Et elle marche de plus en plus vite.
Derrière la fillette riant a plein poumons devant sa reussite, un couple enlacé. La femme est élégante, aux cheveux roux. L'homme a des fils d'or sur sa tête, et une baguette en bois d'alune dans la poche, prêt a geler a nouveau la rivière.
Lorsque retentit la derniere note, la fillette et son rire cristallin, la rivière gelée et le couple s'attardent un.instant dans mon esprit.
Les mains encore sur le clavier, j'essaie de reprendre mon souffle. Ce morceau, executé a la perfection, ou presque m'a vidée de toute énergie. Du moins, il me semble. Un sourire se dessine sur mes lèvres, alors que je suis encore sous l'effet de la magie de la musique. Je ne sais pas pourquoi. Mais je suis heureuse, en cet instant.


Lors des passages en italique, Celia est la narratrice. Pour le reste, elle est bien trop emportée par la musique pour narrer quoique ce soit.

pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg

Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

22 sept. 2020, 10:33
Hiver  Rp privé 
Février 2045
Première année de Magdaleen


Marcher d’un point à un autre. Être en déplacement. Toujours en léger mouvement. Il fait légèrement crois, aujourd’hui. Parfois, ma respiration s’échappe en volutes de fumée. J’aime cela. Le froid, mais la chaleur du feu dans ma salle commune. Ces doux volutes qui s'échappent de ma bouche, comme ivres de liberté. Un couloir. Il est comme les autres, peut être un peu plus chaud que le précédent. Je ne vois plus l’envol de mon souffle. C’est un bel hiver écossais. Je marche toujours, sans but précis. Flâner ne correspond pas, je ne regarde rien de spécial. Il n’exista pas de mots pour décrire ce que je fais. Et j’en suis heureuse. Un peu mélancolique. Il n’exista pas de mots pour décrire des instant comme cela. C’est là que j’Entendis. J’Entendis l’hiver. Non pas le vent soufflant sur le château- mais les instant de l’hiver. J’entendis Un homme frigorifié faire son chemin dans la neige, et j’eu froid avec lui. J’entendis, une personne se réchauffer dans autour d’un feu chaleureux. Et je réchauffé près des flammes de ce feu J’entendis des gens glisser sur la glace. Des chutes, des rires. Et du bonheur Et je vivais cela avec eux.

Immobile, je me tenait dans l'embrasure de la porte. Une fille jouait. Au piano. C'était donc de la que venait le Son. C'était beau. Pour rien au monde je n'aurai rompu le charme. Cette fille savait faire une autre sorte de Magie, bien plus belle, bien plus que celle étudiée à Poudlard. Elle était, là, passionée, maitresse des Sons. Et de mon émotions. Elle était magnifique, jouant comme cela. Aucune fausse note. Juste l'hiver qui résonnait en moi. Ce qu'elle jouait, c'était mon idée de l'hiver. Et, sans bruit, ne bougeant plus, je me laissait porter. Une sensation merveilleuse. Il y avait un mots pour décrire cette magie. Musique. Mais ce n'était pas comme cela que je voulait appeler ce moment. Il n'y avait pas de mots. C'était magnifique

Tout moment a une fin. Et le son cessa. Alors, j'appris le silence après le Son. J'était fascinée. La fille possédais la musique dans ses mains. Un long silence. Je fis un pas. Il résonna. Et j'eu honte d'avoir brisé cet instant. Pour me rattraper, je décidait de parler à la magicienne des Sons

- Ce que tu a fait ..... c'était magnifique. J'ai ressentis la musique

Magnifique. Ce mots français était en lui même magnifique. J'aimait le prononcer. Il sonnait bien. Il pourrait accompagner les Sons.
La fille ne parle peut être pas français. Mais ce mot est expressif. Il dépasse les langues

Plume de @Celia-Awena Fournier , c'est un plaisir de t'accompagner dans cette danse

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22 sept. 2020, 12:27
Hiver  Rp privé 
Je reste figée, l'esprit encore un peu dans les notes gelées. Vivaldi est un maître. Aucun doute dessus, le concerto était, non, est magnifique.
Ma respiration est profonde, mais relativement rapide, comme si je venais de courir. Je finis par revenir entièrement sur terre, a mon grand regret. Un leger bruit, derrière moi finit de me ramener dans la dalle de répétition.
Pile lorsque je me demandais si je rêvais, une voix s'élève, et me complimente, en deux langues. Machinalement, je murmure juste assez fort pour etre entendue, encore secouée par mon retour sur terre
"Merci beaucoup" Mon accent francais s'est définitivement amélioré, il est tout a fait correct, mais on sent toujours que je suis anglophone, de base.
Je me retourne vers la fille, en tenant de la main gauche une petite masse de cheveux qui tombaient dans mon visage pour mieux la voir. Une Serdaigle de première année, déjà vue en salle commune. Je rearrange mes cheveux, les rejetant derriere mon epaule, et lui offre un grand sourire
"Heureuse que ça t'ait plu. C'est le but ultime de tout artiste" cette fois ci, j'ai parlé la langue de Shakespeare, avec mon accent londonien soigné, presque scolaire.
Mon soirire toujours sur le visage, je me tourne brièvement vers ma partition, l'air de lui dire "je t'ai eue !" Si cette fille a aimé, alors je dois m'etre débrouillée comme une cheffe. Le but d'un artiste, qu'il s'exprime avec son balai, son crayon, des chaussons, des patins ou de la musique est de plaire a son public. Il ne vit qye piur les louanges de ce dernier, faisant tout pour les obtenur, tel un corbeau.
"La magie moldue est magnifique. Ils font des compositions sans pareilles."

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

22 sept. 2020, 14:13
Hiver  Rp privé 
Merci beaucoup
La fille se retourne. C'est une Serdaigle, que j'ai déjà vu en salle commune Elle tient de la main gauche une petite masse de cheveux qui tombaient sur son visage visage pour mieux me voir, je suppose. On peut etre une magicienne des Sons et avoir les cheveux dans les yeux.Elle rejette ses cheveux par dessus son épaule. Moi, ma tresse ne me gène jamais, c'est pourquoi je suis coiffée souvent comme cela. Elle parle francais, comme moi. J'en suis heureuse, je ne sais pas vraiment pourquoi . Mais ai je besoin de pourquoi à chaque phrse. La musique vient de m'ouvrir un monde, ou les pourquois ne sont pas necessaires

"Heureuse que ça t'ait plu. C'est le but ultime de tout artiste"

Cette fois ci, elle a parlé dans l'idiome de Sheakspeare. Sa langue maternelle, je suppose. L'Hiver est parti de mes oreilles au moment ou cette fille a décollé les mains de son piano.
Elle se tourne vers sa partition, d'un air triomphant. Un instant, je crut qu'elle allait se remettre à jouer, que je ressentirai encore cette sensation magnifique

"La magie moldue est magnifique. Ils font des compositions sans pareilles."


Qu'est ce que j'en sais ? je ne sais même pas ce que tu a jouer. Peut etre que les molus font de la magie, finalement. Une magie beaucoup plus belle que la notre.

- Je .... en effet. Les moldus ont une autre magie que la nôtre. Et elle est beaucoup plus belle. Que jouait tu ?

Encore sous l'émotion, je n'ai pas su me contrôler. J'ai parlé avec un accent écossais. Epouvantable. J'avais appris à le réprimer, à parler comme les anglais, et cela faisait longtemps que je n'avais pas connu la faute de laisser ma terre natale envahir ma voix.

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07 oct. 2020, 03:26
Hiver  Rp privé 
Elle ne sait pas ce que j'ai joué. Je souris a la fillette qui a un accent écossais avant de lui expliquer :
"Je jouais l'Hiver. C'est une partie, la derniere, d'une pièce plus grande, les Quatre saisons, composé par Antonio Vivaldi, pour des violons, a la base. Il a vécu au 17eme siècle, je crois bien. Principalement en Italie. Il en erait originaire, d'ailleurs.
Je me tourne vers le piano et cherche la partition du Printemps, que je connais un peu. Je ne sais pas encore lancer le sort qui permet de trouver instantanément la page que l'on cherche, donc je le fais manuellement.
Lorsque je trouve, je prend une grande inspiration et pose mes mains sur le clavier après lui avoir lancé un sourire joueur, un index sur les lèvres pour lui intimer le silence, avec un clin d'oeil .
Ce morceau, Elly l'adore, elle dit que ca lui rappelle son enfance, passée chez les moldus. Mes doigts courent sur le piano pour le 1er Allegro.
Je me sens un peu rouillée, je n'ai pas travaillé ce morceau depuis un petit moment.
Mais je donne facilement vie aux oiseaux. Ils sont de toutes les couleurs. De toutes les tailles. Ils chantent, perchés dans des arbres, qui petit a petit reprennent des couleurs, nous commele monde qui etais blanc et gris. Des fleurs poussent,faisant profiter le monde de leirs doux parfums. Et la température est assez élevée pour que l'eau des fontaines coule doucement, créant un cadre idyllique.

Une créature, de sexe masculin donne vie au monde. Il est affairé, et redonne minutieusement ses couleurs au monde. Les oiseaux le saluent, d'où leur chant. Il est grand, aux cheveux bruns, aux yeux d'une couleur indéfinissable, avec des lunettes, et une chemise aux manches retroussées colorée.
Soudain, arrive, dans un grand bruit. Non, pardonnez moi, dans un éclair, une femme. Elle a un parapluie et sourit au Printemps, et court dans les champs, s'amusant à faire virevolter sa robe grise et ses cheveux multicolores. Lorsqu'elle pose le pied un peu trop fort au sol, la foudre s'abat sur l'arbre le plus proche où a cet endroit presics. Elle finit son manège, et reoart aussi vite qu'elle est arrivée, laissant le Printemps travailler, accompagné du chant des oiseaux et d'un arc en ciel
Le premier Allegro fini, je souffle un instant, figée dans la position dans laquelle j'étais en achevant ma représentation.
"Le printemps, Antonio Vivaldi. Desolée, je ne maîtrise aycune pièce écossaise. Tu viens de là, n'est ce pas ? Faire tout le trajet jusqu'a Londres poyr revenir dabs la region de départ en train, ce n'est pas embêtant? " j'ai posé ma question, un sourire dans la voix et sur mes lèvres .

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

17 oct. 2020, 22:39
Hiver  Rp privé 
Je jouais l'Hiver. C'est une partie, la derniere, d'une pièce plus grande, les Quatre saisons, composé par Antonio Vivaldi, pour des violons, a la base. Il a vécu au 17eme siècle, je crois bien. Principalement en Italie. Il en serait originaire, d’ailleurs

Ma grand mère, elle joue du violoncelle. Peut être au Elle connaissais. On en a jais parler, et maintenant, c’est trop tard, parce que elle est morte, partie. Elle est parti dans un monde et je ne l’a reverrais pas. . On ne peut pas changer le passé. Elle est plus la, et tout ce que pourrais dire ne la fera pas revenir. Quant on lisait le contes des trois frères, avec Lucy, j’ai toujours dit que j'aurais pris la baguette. Mais maintenant, je choisirais sans hésiter la pierre. Même si je sais que cela ne les fera pas revenir entièrement. On change si vite.


Vivaldi était donc un magicien des sons. Et il a fait les 4 moment de l’annee. L’Hiver ..... je l’ai senti en moi. Il faut absolument que j'écoute une autre de ses œuvres. Pour essayer de ressentir les autres saisons.
La fille se tourne vers le piano. Elle va recommencer à jouer. J’attend

Elle pose les mains sur le piano, et m’adresse un sourire. Elle me fais signe de ne pas parler. Je n’y aurais pas pensé. Je veux encore entendre ce piano. Je ne suis pas déçue. Je suis emportée par un tourbillon lyrique, au début hésitant, mais vite plus assuré. C’est l’histoire d’un monde qui se réveille.
Je me sens un peu rouillée, je n'ai pas travaillé ce morceau depuis un petit moment. J’entend les oiseaux au couleurs chatoyantes, j’entend la fontaine qui respirer, je sent les fleurs qui s’ouvrent. Je le ressens, et c’est beau. Je suis dans un rêve de sons et d'idées


"Le printemps, Antonio Vivaldi. Desolée, je ne maîtrise aucune pièce écossaise.

Tu t’en fiche. La musique ..... n’est pas un pays, c’est un langage universel. Je ..... cette fille est une magicienne. Même si voir ce que composent les Écossais comme elle peut être intéressant

Tu viens de là, n'est ce pas ? Faire tout le trajet jusqu'a Londres pour revenir dans la region de départ en train, ce n'est pas embêtant? "


Elle a entend mon accent. Saleté d’accent Écossais qui me trahit dès que je l’utilise. Mais là, cela ne me dérange pas. Cette fille est une magicienne, elle a l'air gentille. Tu l'estime. Tu vas lui répondre ce que tu pense.

-Oui, je suis Écossaise. Mais pour répondre à ta question, non ... c’est agréable, j’aime bien venir à Londres, c’est mon seul voyage hors de l’Ecosse de l’annee Alors ..... c’est agréable de voir le paysage, je découvre un autre Ecosse. Mais c’est bizarre, aussi. Mais j’aime bien, à part que cela fais perdre du temps

-Ce que tu jouais ... je n’ai pas de mots, mais merci. C’était la première.


J’analyse. Qu’est ce que je pourrais déduire. Elle a un air de Lord Anglais, de petit noble, de gentry, bonne société. Bien élevée. Fille unique, cela se voit, quant on a 14 enfants, on se donne pas la peine de vouloir leur apprendre le piano, et dans la bonne société l'enfant unique est courant. Elle est sûrement calme mais décidée. Vu son attitude. Elle n’a pas l’air snob mais ... elle respire élégance et dignité.

- Tu es fille unique, anglaise ...commentas tu appris à jouer du piano ? Si cela ne t'embête pas
Tout cela, je l’ai dit avec un timide sourire, mais un sourire sincère, et ma voix l’exprime.

@Celia-Awena Fournier , désolée du retard :/

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16 nov. 2020, 02:37
Hiver  Rp privé 
Je souris, j'avais raison. Mon visage se pare d'une expression joyeuse, joyeuse d'avoir trouvé. Je ne suis pas encore aussi douée que père quant aux accents, mais je me débrouille.
_C'est vrai que cela doit être plus agréable de découvrir de nouveaux paysages.
Mon sourire revient, plein de fierté. Même si ce n'était pas prévu, j'ai rendu quelqu'un heureux avec ma musique. C'est tout aussi grisant, voire plus que jouer en soi.
-Je t'en prie.
Je referme mon carnet de partitions et me tourne vers la fille. Elle se tient aussi droit que moi. Seule différence, elle est debout, et moi assise. Elle me détaille du regard, je fais donc de même. Ne pas s'étonner si on reçoit ce qu'on fait aux autres. Elle est habillée dans notre uniforme, c'est une Serdaigle. Aux yeux bleus, et aux cheveux chatains, tressés. Et un pendentif, comme moi. Seulement, ce n'est pas une clé.
Je souris à nouveau, elle a des capacités de déduction étonnantes. Après, pour ce qui est de l'attention portée à mon éducation, ce n'est pas dur. J'ai les jambes inclinées d'un côté, à la Duchesse Slant, et je dois me tenir droite, avec une expression douce et souriante sur le visage. Ah, le nombre d'heures passées à peaufiner cette posture, jusqu'à ce qu'elle ne devienne naturelle !
_Tu n'es certainement pas choipeau floue. Tu as raison, je suis fille unique, et ma famille est anglaise depuis des siècles. Presque un millénaire, que ma branche vit en Angleterre, même. Qu'est ce qui m'a trahie ? Pour répondre à ta question, mon père m'a appris. Plus jeune, je faisais du patin artistique. Je voulais pouvoir jouer les morceaux sur lesquels je patinais, et Père m'a montré. Depuis, je joue pour lui, et j'ai été dans la chorale l'an dernier. Je peux te montrer les bases, si tu le souhaites.
Je jette un oeil sur ses mains. Ses ongles sont courts, ce sera plus facile ainsi pour elle.


@Magdaleen Roseberg

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

07 avr. 2021, 17:11
Hiver  Rp privé 
Ses déductions étaient bonnes. Magdaleen n'était jamais entièrement sûre de ce qu'elle avançait. C'était un peu comme jeter une pierre dans un trou. On ne sait jamais quand on l'entendra arriver en bas.
Le patin à glace se pratique avec de la musique ? Première nouvelle. Mais la fille en savais surement plus qu'elle sur le sujet. C'est étrange comme passion, le patin à glace

Tu peux dire cela, espèce d'idiote, tu n'en a jamais fait

Elle propose de lui montrer les bases. Magdaleen n'a jamais essayé de faire du piano. En fait, écouter la musique, elle aime, mais en jouer, beaucoup moins. Quoique. Comme elle n'a jamais essayé, c'est facile de se dire ça. Magdaleen ouvre la bouche pour répondre que essayer de jouer du piano lui plairait beaucoup :

- Tu ... a l'air d'une fille de lord anglais. Les nobles Ecossais ne sont pas comme cela

QUE VIENT TU DE DIRE ? Elle avait répondu à la premiere question de la fille, et d'une manière peu courtoise. Pourquoi venait t'elle de dire cela ?

je suis désolée ...

Ne sachant plus que faire, tendue, elle tourna les talons et s'enfuie de la salle.
décidément, ses relations avec les autres étaient ... compliquées. Pourquoi venait t'elle de quitter la salle en courant ? Que devait penser la fille de elle.
En colère contre elle même, l'Ecossaise s'appuya contre un mur

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