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04 juin 2018, 16:52
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Cassy’, je te dédie ce RP


Hugo ne l’avait pas sentit, et cette fois-ci, il était en potion.

Comme tous les jours, il avait des produits à expérimenter et des potions surprenantes à créer. Comme tous les jours, il était entré en potion en rigolant de la blague qu’il avait fait, en maudissant les profs et en espérant que le cours ne soit pas trop long. Comme tous les jours, il avait pris place sur son siège, à côté de son chaudron en étain, il avait écouté le professeur d’une oreille distraite en tentant de faire passer des messages à son voisin. Comme tous les jours, il avait ouvert son livre de potion à la page 146, avait récupéré tous les ingrédients nécessaires et avait commencé à chauffer son chaudron.

Comme tous les jours, tout était parfait.

Jusque là.

Hugo ne pourra pas se rappeler de ce moment, mais il restera gravé dans lui tout le temps. Il avait créé une potion, comme demandé, mais, pas la bonne. En réalité, il avait confondu deux ingrédients et avait sauté une ligne dans la recette. Il s’était retrouvé avec une potion corrosive aux puissance d’un sort noir.

Il ne trempa sa cuillère en bois que quelques secondes dans la potion, mais cela suffit, elle fondit instantanément. Et Hugo fit l’Erreur, une règle simple et basique qu’il ne respecta pas : Éliminer le danger. Il rattrapa la cuillère ou plutôt , il tenta de la rattraper. En vain.


Il ne ressentit qu’une vive douleur aux doigts de sa main.

Et il se réveilla à l’infirmerie.
Dernière modification par Hugo Rolanbri le 09 juin 2018, 16:53, modifié 2 fois.

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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04 juin 2018, 18:22
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Tout était flou, sa vue s’était brouillée, sa peau ne ressentait plus rien, ses oreilles ne discernaient rien, sa langue était pâteuse, son nez engourdit. Sa tête devait se remettre en marche et cela prenait du temps. Il aperçut ou du moins, il devinât, Mme Pomfresh penchée au dessus de lui.

« Ah ! Enfin réveillé ! Cela faisait trop longtemps que tu était dans ton semi-coma, j’aurais été obligée de te faire ingurgiter une potion au mauvais goût pour te sortir de ton sommeil ! »

Hugo ne compris que le quart de ce que l’infirmière lui avait dit : Il avait été dans le coma ? Mais comment ? Ses souvenirs essayaient de se mettre en place mais rien ne venait, le puzzle ne se complétait pas. Il ne se rappelait pas le pourquoi du comment. Et Hugo en était affolé. Il se remémorait sa vie personnelle et à Poudlard, mais rien d’autre. Ça le terrifiait, juste, rien, même pas de blanc, ni de trou noir, rien. Rien ne s’était passé et Hugo ne comprenait pas pourquoi il était allongé dans un lit, à l’infirmerie et en compagnie de Mme Pomfresh qui avait l’air très embêtée.

Il leva son bras pour se gratter le front, et tenter de récupérer sa mémoire. Sauf qu’à la place d’une main gauche, se trouvait maintenant un énorme bandage qui entourait complètement sa main. Décidément, il ne comprenait rien à rien, qu’est-ce qu’il s'était passé ?

« Tu vois ?, lui dit Mme Pomfresh, j’ai du te mettre un bandage suite à ton accident d’il y a quatre jours. »
Dernière modification par Hugo Rolanbri le 13 août 2018, 14:28, modifié 2 fois.

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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04 juin 2018, 20:15
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Un accident ? Il y a quatre jours ? Hugo était dans les vapes depuis quatre jours à cause d’un accident dont il ne se rappelait rien ?

« Il m’est arrivé quoi ? » pravint-il à articuler lamentablement.

Mme Pomfresh mit du temps à répondre, peut-être doutait-elle de la marche à suivre. Elle se décida cependant à poursuivre.

« Tu étais en cours de potion et selon tes camarades, tu préparait un mélange spécifiquement demandé par le professeur. »

Cette fois-ci, la mémoire du jeune garçon se remît en marche. Et en un éclair, il se souvint du cours, de la préparation de la potion, du liquide noir qui bouillonnait dans son chaudron.

« Les élèves t’ont vu t’evanouir et t’ont immédiatement éloigné de ta potion, et ils ont appelé le professeur. Quand celui-ci s’est rendu compte qu’il y avait un problème, ton chaudron avait complètement fondu ainsi qu’une partie du sol. Heureusement, il a pu contenir le liquide car il a pu le reconnaître, ce qui l’étonne, c’est comment as-tu pu faire cette potion ! »

Son chaudron avait fondu ? Le sol aussi ? Autant de questions l’assaillait. Mais il ne pût n’en prononcer qu’une, celle qui allait le changer à jamais.

« Et moi, que m’est-il arrivé ? »

Mme Pomfresh sentait et Hugo aussi, que la réponse allait être dure à prononcer pour l’un et à assimiler pour l’autre.

« Il vas falloir être plus que courageux... »
Dernière modification par Hugo Rolanbri le 13 août 2018, 14:30, modifié 1 fois.

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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05 juin 2018, 08:25
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
« Il, ... il te manque deux doigts. »

Hein ? Il lui manquait deux doigts ? C’était quoi ce délire ? Et il ressentit à nouveau la douleur qui l’avait envahi quatre jours auparavant. Il en pleura. Longuement. Sans que l’infirmière ne le dérange. Sans pudeur, sans se soucier du monde qui l’entourait. Après ce moment, Hugo prononçât une nouvelle question

« Lesquels ? »

Mme Pomfresh mit un certain temps à répondre, car elle savait que sa réponse allait bouleverser la vie du Serpentard.
« L’index, et le majeur. »

Comment tiendrait-il sa baguette ? Deux doigts, c’était sa vie, plus jamais de musique, plus jamais de dessin, plus jamais de toucher. Plus jamais de sensations. C’était fini.

Et il pleura encore, sans que la douleur n’en soit la cause, il était effondré. Il versa des larmes, sans interruption. Et il pleura encore et encore, avec la même phrase en tête.

Plus jamais ... Plus jamais ...

« Je n’ai pas pu les sauver, ta potion avait l’effet d’un sectumsempra en plus puissant. »

Plus jamais ... Plus jamais ...

« Tes deux doigts étaient trop touchés, j’ai coupé du mieux que j’ai pu. »

Plus jamais ... Plus jamais ...

Plus jamais ...
Dernière modification par Hugo Rolanbri le 13 août 2018, 14:32, modifié 1 fois.

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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05 juin 2018, 10:10
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Plus jamais, ...

Il devait, il allait devoir vivre avec ça, avec son erreur, gravée à jamais dans sa chair.

Les yeux mouillés, il demanda ce qu’il voulait le plus en cet instant :

« Vous auriez de la musique ? De la musique Moldue, si il vous plait ? »

Mme Pomfresh paru étonné, mais se leva quand même pour faire plaisir au jeune bouleversé. Elle mit plusieurs minutes à revenir et avait dans les mains un vieux Walkman et un casque audio bleu marine.

« Ce Walkman est magique, il joue les musiques que tu souhaite avoir, tiens’ c’est pour toi, de toute façon, je ne m’en sert plus. »

Hugo pris l’engin tout rouillé d’une manière maladroite car il se servait de sa main droite. Il mit le casque sur sa tête et ses oreilles puis coinça l’appareil entre ses deux mains. Et enfin, il appuya sur le bouton ON.

Les roues du Walkman se mirent en route avec le léger « clac » habituel. Et, comme Hugo n’avait pas dormit ces derniers quatre jours, il plongea dans un doux sommeil, bercé par la musique calme et folle à la fois du minuscule appareil que le jeune Serpentard tenait dans ses mains.

Tandis qu’un regard bienveillant se penchait au dessus de sa tête. Et ce regard qui pensait « Il faudra faire de cette différence un point fort, une fierté. »

« Sois fier petit Serpy. » murmura la voix.

« Sois fier de tes différences ...

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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05 juin 2018, 17:08
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Ce post RP contient une scène qui pourrait choquer les plus jeunes, si vous êtes de cela, ne lisez pas.

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Cassiopée avait été là. Cassiopée avait vu. Et Cassiopée avait été lâche. Fuyarde. Même pas capable de tirer la manche de son camarade pour écarter ses doigts du Chaudron. Elle s'en voulait, se détestait. Pourquoi n'avait-elle pas vu que son camarade n'avait pas fait la bonne Mixture ? Elle était pourtant juste derrière lui, elle aurait dû voir. Et pourtant elle ne l'avait pas fait. Et c'était entièrement sa faute. À ce moment là, elle avait comprit une chose. Que jamais elle ne vivrait quelque chose de semblable et qu'il fallait qu'elle arrête de se morfondre sur sa situation alors que d'autres vivaient bien pire. Elle s'était sentie horrible de ne penser qu'à ses problèmes jusqu'à en oublier d'aider son camarade. Sa famille. Un Serpentard ! Au fond, qu'importe si ça avait été un Poufsouffle ou un Serdaigle, elle aurait dû l'aider aussi mais savoir qu'elle n'était même pas capable de protéger sa Maison. À quoi bon exister si tout ce qu'elle arrivait à faire était de distribuer de la douleur et de la tristesse à tout les coins de rue ? Elle avait couru dans les couloirs. Bousculé élèves et professeurs mais au fond elle se foutait de tout maintenant. Heure de retenue ? Très bien. Harcèlement encore une fois ? Elle avait déjà connu pire. Mais elle devait payer pour son camarade. Elle avait gâché sa vie à cause de ses réflexes nuls. Pourtant, elle s'était promit de ne plus jamais faire ça. Elle était sûrement destinée à ne jamais rien faire de bien.  La petite lame couru le longe de ses deux doigts en une ligne droite et parfaite. Pas assez profond pour que cela saigne beaucoup mais assez pour qu'une petite ligne blanche s'y forme quelques jours voire semaines plus tard. C'était sa manière à elle de le soutenir. Se graver à même la peau la douleur de l'autre. 

T'es pas tout seul. 

De petites goûtes rouges firent le chemin de sa main jusqu'au tissu qu'elle s'enroula autour des doigts. Il avait toujours le sourire aux lèvres. Elle aimait beaucoup cette partie de lui. Mais, il ne l'aurait plus à partir de maintenant. Et s'il arrivait à sourire encore après tout cela, ça voudrait dire qu'il était beaucoup plus fort qu'elle. Et elle espérait de tout cœur qu'il le soit. Le Quidditch. Il adorait ça. Pourrait-il encore jouer ? Possible, mais il allait devoir s'entraîner deux fois plus. Elle avait gâché sa vie. Tout était de sa faute.

Lentement, elle enleva le casque bleu pour le déposer à côté du lit. Doucement, elle leva son violon et délicatement elle fit courir l'archer sur les cordes. La douleur de ses doigts était bien réelle. C'était pas un rêve. Et pourtant elle aurait tellement voulu que cela en soit un. Rien qu'un mauvais rêve. C'était la foutue réalité. La mélodie mourut dans une ultime note et elle s’assit tranquillement au bord du lit. Sa main, non tachée par le rouge, prit celle bandée de l'autre.

"- Si je deviens tes mains, deviendras-tu mes bras ?

Elle jouera jusqu'à s'en briser les bras, entrera dans l'équipe de Quidditch s'il le faut. Elle fera tout, pourvu qu'il vive pour deux. Pour elle, et pour lui. Elle avait gâché sa vie, normal donc pour elle de lui offrir la sienne sur un plateau d'argent. 

-J'ai été idiote. À trop baisser la tête, j'en ai oublié de regarder le ciel. Et si je l'avais fais, on en serait pas là. C'est pas ta place ici, c'est la mienne. Je suis déjà craquelée de partout, mais toi tu l'étais pas. Un monstre avec deux doigts en moins c'est pas grave mais un garçon, un être humain avec ça, si."

Moi ? Je n'fume pas, je n'bois pas, mais je M.L. Chacun son truc.
Mascotte Officielle des Crochets d'Argents, laissez passer s'il vous plait.
06 juin 2018, 08:54
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Hugo dormait, Hugo rêvait, un rêve si simple que jamais il aurait été capable de le raconter. Si simple que tout se transformait dans sa tête, monde incongrus, monstres morts, bestiaire magique, étoiles, orchidées. Trop d’émotions, trop d’images, trop de sensations. Si le jeune Serpentard avait dû vivre ça dans la vraie vie, il ne s’en sera pas sortit sans quelques problèmes. Tout, tout se mélangeait, douleur, amour, tristesse, rage, folie, amitié, colère, ... Tout.

Et puis, Tout s’arrêta, soudainement, instantanément, aussi rapidement que ça avait commencé. Presque brusquement, mais dans la brusquerie, il y a de la violence, et il ne s’agissait pas de violence.

Hugo se retrouva en pleine mer. Il y voguait dans une mer affolée, rugissante, mais au final, une mer triste. Elles étaient majestueuses, grandes comme des monuments. Elles étaient impériales. Et le jeune homme se laissait faire, monté, baissé, monté, baissé, il suivait la danse endiablée de la mer. Les vagues finirent par se calmer. L’eau s’était infiltré partout dans le corps d’Hugo, cheveux, chaussettes, peau, partout. Et les vagues se transformèrent, se solidifièrent, devinrent terre. Une fois les arbres poussés, le soleil vint, les oiseaux chantèrent. Cette mélodie douce envahit alors l’air, puisant sa force dans les végétaux. Triste, toujours triste. Elle pris le contrôle du corps du jeune garçon. Et celui-ci pleurait, face aux majestueux arbres, conifères d’un temps, séquoia immenses, imposants. Il pleura encore. La mélodie se stoppa, le soleil se leva encore, se rapprocha, devint superbe, géant. Et chaud, brûlant même. Les arbres avaient disparu sous cette boule de feu, ce feu prenait tout, ce feu engloutissait tout. Mais sans brûler, Hugo observait, il n’avait jamais vu les vagues d’un feu rugissant aussi près. Le bleu se mélangeait au jaune qui se fondait alors au orange, qui terminait en un rouge sang, pur. Les flammes ondulaient, à la recherche d’air à consumer, à la recherche d’un objet à avaler. Mais les flammes se mourraient, l’air n’apparaissait pas. Triste, triste étaient les flammes, car elles allaient s’éteindre. Et, l’air apparut, soufflant tout sur son passage, éteignant les flammes. Le sol de feu avait disparu, à la place, Hugo était bouloté par le vent intense. Il n’y avait que l’air, ni nuage, ni paysage. Juste l’air et lui. Et l’air le berçait, avec sensibilité, tranquillité. L’air le berçait lentement, le bougeait de droite à gauche doucement, et c’est délicatement que l’air le mouvait. Hugo était dans l’air comme dans l’eau, il était triste comme avec la terre, et fasciné comme avec le feu. L’air était tout, mais l’air était triste. Triste d’être le seul restant. Hugo sentit cette tristesse, tandis que le vent le faisait chavirer, encore et encore. Et Hugo affirma.


« Tu n’es pas seule, regarde, je suis là. »

Et l’ensemble s’arrêta.

Hugo finit par se réveiller, lentement, on lui avait retiré son casque, lorsque sa vue se fit plus nette, il put voir une jeune fille penchée au dessus de lui. Et aussi, le violon, posé à ses côtés. C’était elle, elle qui avait joué la mélodie, elle qui avait stoppé son cauchemar. Elle qui avait joué l’hymne de la nature.

La fille n’avait pas vu qu’il s’était reveillé.


« J'ai été idiote. À trop baisser la tête, j'en ai oublié de regarder le ciel. Et si je l'avais fais, on en serait pas là. C'est pas ta place ici, c'est la mienne. Je suis déjà craquelée de partout, mais toi tu l'étais pas. Un monstre avec deux doigts en moins c'est pas grave mais un garçon, un être humain avec ça, si. »

Il pris avec difficulté le casque avec son bras encore endormi et le donna alors à la fille. Il essaya quand même de parler avec sa langue engourdie.

« Un monstre n’est monstre qu’à la vue des autres, et je ne te vois pas comme un monstre, fille de la nature. Tiens, écoute. »

Et il laissa son cerveau lancer la musique totalement imaginaire, qu’il allait créer inconsciemment.

Hugo Rolanbri-IIème année
Joueur de Quidditch. Artiste à mes heures perdues.
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13 juil. 2018, 15:08
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Fille de la nature. L'était-elle ? Vivait-elle des arbres et de la Terre ? Oui, bien sûr qu'elle le faisait. Tout le monde vivait grâce aux arbres, à l'oxygène qu'ils dégageaient. Était-elle si idiote que la vue des autres l'importait ? Elle qui avait toujours dit qu'elle se foutait des moutons qui peuplaient la terre, l'avait-elle réellement fait un jour ? Non. Elle s'était mentit comme elle avait mentit aux autres. Sa langue n'avait jamais dit quelque chose d'entièrement vrai. Il y avait toujours une part de mensonge dans les paroles, c'était naturel. Tellement, que l'on ne s'en rendait presque plus compte. Et c'était en partie ça qui détruisait la beauté de la vérité. Car il n'y en avait plus de vraie. On pourrissait ce mot. Noir. Nauséabond. Ouais, ce mot était dégueulassé par les Hommes. Mais la musique, elle, ne l'était pas. Certains de ce monde la sublimait, même. Comme ce garçon, dont elle ne connaissait même pas le nom mais qui semblait sonder son âme de son regard brillant d’honnêteté et de rêve. Comment pouvait-il continuer à avoir ce regard après ça ? Il était un modèle de force. De la force à l'état brut. De cette chose que Cassiopée n'avait plus. Cet élève. Il brûlait son âme de sa musique. Elle vibrait, traversait son âme et ses os en les sublimant d'un art sonore inéluctable. Une note qui semblait traverser sa tête. Ses os semblaient se briser sous la mélodie, pour mieux se reconstruire ensuite dans un silence bienfaisant. Elle aurait pu mourir qu'elle ne s'en serrait même pas rendu compte tellement la musique lui vrillait les pensées. Les changeant en un brouillard parfait. Son cœur battait à un rythme effréné pour ne pas s'arrêter sous les notes qui se suivaient dans une mélodie aussi envoûtante que dangereuse. Quand elle s'arrêta enfin et que son cœur si fit moins présent dans sa tête par ses battements, elle enleva le casque dans un silence de mort avant de le poser sur le matelas à côté de sa cuisse. 

- Elle prit délicatement la main de l'autre, celle qui n'était pas blessée, et la superposa à la sienne. Ses doigts étaient légèrement plus grand que ceux de l'autre. Un sourire léger prit place sur ses lèvres. A chacun ses épreuves pour trouver son paradis. Mais il n'a jamais été dit qu'une aide serait refusée à ceux qui la demandait. Je t'aiderais. Quoi que tu fasses, je serais de ton côté. Petit musicien. Oiseau aux ailes brisées. Elle entoura les doigts de l'autre de sa main froide et les serra lentement. Elle serait là. Réparer son erreur, ou faire bien plus. Ou était-ce l'envie de connaitre cet personne entourée d'un voile de mystère. Car ce que tu as là. Elle mit sa deuxième main sur les battement de cœur du blessé. Est pur comme tu cristal, je sais le voir. 

Moi ? Je n'fume pas, je n'bois pas, mais je M.L. Chacun son truc.
Mascotte Officielle des Crochets d'Argents, laissez passer s'il vous plait.
24 août 2018, 18:42
 RP with Cassy’  Pour mes doigts
Malgré tout, un sourire se dessina sur mes lèvres rouges sang.

« Une aide sera toujours accordée à ceux qui en demande. Ton aide seras mon salut, ma chance, ma renaissance. »

Je suis tel le phœnix, brûlant de toute part, mourant un jour et l’autre, de retour. Rouge et or de l’extérieur, cachant une terrible merveille à l’intérieur.
Je suis noir et blanc, mes facettes se dessinent les une après les autres, succédant au musicien, le créateur laisse place à l’amoureux. Je suis noir ou blanc. Gris, jamais. Noir n’est pas mauvais, Noir n’est pas bon il a sa vision des choses. Blanc, n’est pas mauvais, Blanc n’est pas bon, il a sa vision des choses.

« C’est de mes facettes que je me suis forgé, de tel que j’ai forgé mes facettes. Un jour tu me verras drôle et souriant, l’autre, perdu dans mes obscures pensées qui me hantent. »

« Je suis Noir. Je suis Blanc. »
« Je suis le Jour. Je suis la Nuit. »
« Je suis à la fois tout et rien. »
« Je suis pur. D’un côté et de l’autre. Mais la pureté n’existe pas sans défauts, sinon, comment la reconnaître ? »

« Ton visage me rappelle mon passé, tu es mystérieuse, sombre et, ... tu cache. Oui, la vérité, c’est que tu cache, tu as en toi des merveilles, tu as en toi un cœur, qui bat encore, et qui continuera de battre. Si tu te bat avec lui. »

«  Tu es comme le charbon. Tu es noire en apparence, mais les gens ont besoin de toi dans leur vie pour se réchauffer, j’ai besoin de toi pour le réchauffer. Qu’est le phœnix sans son étincelle, celle qui met le feu à son âme, celle qui met le feu à son cœur. »


« Je connais déjà l’amour, mon âme sœur est magnifique. Mais toi, tu es, différente, intriguant et bouleversante. Tu es l’outsider de mon cœur, inconcevable, mais réelle. »


Que faire ?

...

Je n’étais qu’un jeune garçon qui rêvait autrefois de vie tranquille, loin de mon voyage incessant, loin de la vie de vagabond. Loin de ma vie de sdf.

Plus près, plus près d’elle. Que nos esprits se rencontrent enfin. Que nos douleurs communes s’atténuent. Que notre clair futur avale notre sombre passé.

« Je connais ton prénom. Tu brillera dans mon ciel à jamais, mon W... Cassiopée... »

Hugo Rolanbri-IIème année
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