Ce RP est la suite de rencontre à la salle des étoiles 

Avec Kirsty Panglewood


Rufus et Kirsty étaient enfin arrivés devant l'infirmerie . La pièce avait un très haut plafond, des grandes fenêtre et une bonne vingtaine de lits à l'aspect moelleux et confortables qui était tous reconcouverts de draps blancs et verts clair. Certains était caché derrière des rideaux, pour l'intimitédes patients . Rufus lança un petit clin l'œil confiant à Kirsty, en essayant de se rassurer lui même . Il espérait que Kirsty n'aurai pas à boire à nouveau du poussos infecte selon elle. Si cela devait arriver, il devrai ramener une grosse boîtes de patacitrouilles pour faire passer le goût. Ou peut être des pastilles de gerbes, pour rester à l'infirmerie avec elle. Il aurai le temps d'y réfléchir plus tard.
Une infirmière arriva. Elle avait des cheveux bruns parsemé de cheveux blanc mis en un chignons serré, Elle avait un air strict quelques rides et était habillé en rouge bordeau et en Blanc, elle leur lança un regard desaprobateur et dit:
Encore vous ? Que vous est t'il arrivé cette fois ? Les cours de vol ont déjà repris ?
Rufus s'empressa de répondre. Il était entièrement responsable et n'allait pas faire porter le chapeau à Kirsty !
Ce n'est pas de sa faute madame, c'est moi qui ne regardais pas ou j'allais. 
Elle est tombé et s'est fait très mal à la cheville . Elle s'est sûrement fait une entorse, vous pouvez l'aider ?

Ce que Kirsty redoutait se passa : l'infirmière grogna en l’apercevant, et se moqua gentiment d'elle. "Les cours de Vol ont déjà repris ?" C'était une sorte d'insulte pour la blondinette, qui serra les dents. Ben non, crétine, on était un vendredi, et elle n'avait pas eu de cours de Vol ce jour-l๠! La fillette aurait voulu lui répliquer quelque chose, mais se souvenant que la dernière fois ça ne c'était déjà pas très bien passé, elle referma sa bouche a demie ouverte. Soudain, Rufus prit sa défense en expliquant que c'était de sa faute. La blondinette lui adressa un grand sourire, avant de grimacer en se souvenant pourquoi elle était là.
Mlle. Loyd bougonna un peu, avant de leur montrer un lit vide. Kirsty, aidée de Rufus, s'y assis, et se mit sous la couette tout en essayant de ne pas bouger la cheville. Elle invita le jeune Serpentard a prendre une chaise qui était dans un coin et de la mettre a côté de son lit. Elle dit :
- Merci Rufus, je t'adore ! Ca ne te dérange pas si tu restes avec moi.
La blondinette le supplia de ses grands yeux bleus, avant de reprendre, la mine ombre :
- Je déteste cet endroit, et cette femme. Je m'étais pourtant juré de ne plus jamais venir ici.
Même si elle y avait fait de bonnes rencontres, la blondinette en gardait un très mauvais souvenir : la douleur. La douleur dût a la blessure, mais aussi au Poussoss, la chose la plus désagréable au monde.

¹J'ai inventé qu'on était un vendredi, ne m'en veux pas !

Après avoir dis ses quelques mots d'un seul souffle, l'infirmière Loyd bougona et leur montra un lit recouvert de draps verts caquis vide avec une table de chevet sur laquelle était posé un petit vase contenant des marguerites ou Kirsty pourrai s'installer confortablement . Pendant qu'il aidait Kirsy à s'installer sans qu'elle se fasse male à sa cheville, Rufus regarda les autres patients. Une fille habillé en salopette  sur un des lits d'en face, avait des dizaines de coupures sur le visage n'arrêtait pas de lancer des jurons, il devait ressortir d'un duel ou autres chose de ce genre et elle était sûrement en train de préparer sa vengeance et au fond de la pièce, à moitié caché derrière des rideaux, un garçon avait le visage découvert de poils noirs et deux petites oreilles de chien sur la tête, un vrai louveteau-garou. Rufus retourna le regard, cela ne devait pas être agréable de se faire observer comme une bête de foire...
Une fois qu'elle fut installé, Kirsty dit:
- Merci Rufus, je t'adore ! Ca ne te dérange pas si tu restes avec moi ?
Elle fit à Rufus de grand yeux bleu de chien battu
- Bien sûr que ça ne me dérange pas. Dit il, mis gêné-mis amusé 
Elle reprit la mine plus sombre :
- Je déteste cet endroit, et cette femme. Je m'étais pourtant juré de ne plus jamais venir ici. Dit elle sur un ton de dégoût.
Rufus pour lui remonter le moral, pris son sac, fouilla un peu dans son bordel et en sorti un gros paquet de dragée surprise de berthie crochus et un petit paquet de patacitrouilles que ses parents lui avaient envoyé avec un hibou qu'il n'avait jamais vu à l'heure du courrier ce matin là. Rufus avait été étonné d'ailleurs car lui et ses parents n'était allé qu'une fois sur le chemin de travers, donc Rufus avait eut du mal à croire que son père, qui n'avait pas vraiment le sens de l'orientation d'ailleurs, ai pu retrouver le chemin jusqu'à la poste sorcière londonienne. Mais bon, si ses parents s'acclimataient au monde des sorcier tant mieux ! Se laissant tenter par une idée un peu en accord avec son côté farceur il dit:
-Tu te laisserais tenter par une dégustation à l'aveugle ? Lui dit il sur un ton de défi en tendant le paquet de dragée surprise de berthie crochus...

Désolée pour ce retard !

Kirsty ne devait pas se plaindre : elle n'avait juste qu'une petite fracture à la cheville. Elle avait presque l'habitude, maintenant... Contrairement à elle, certains de ses camarades n'avaient pas sa chance : ils avaient des problèmes bien plus grave qu'une simple entorse. L'un était transformé en loup-garou, et la blondinette réprima un frisson a la vue de tout ce poil gris qui le recouvrait. Elle n'aimerait vraiment pas être a sa place ! Une autre fille avait plein de griffures sur son visage... peut-être était-ce à cause du loup-garou, sur le lit d'a côté ? En tout cas, elle n'avait pas l'air joyeuse.
Quand Rufus proposa une dégustation à l'aveugle, la fillette grimaça. Elle n'adorait pas les Bertie Crichus, mais elle ne s'ennuierait pas, si elle le faisait. Surtout qu'elle ne voulait pas vexé le Serpentard, qui était déjà obligé de rester avec elle. Alors, elle acquiesça. Bon, au moins, le mauvais goût des bonbons lui ferait passer son mal de cheville. Elle espérait juste ne pas tomber sur le goût crotte de nez, sinon, elle risquait de tout revomir... Beurk ! Elle aurait préféré manger des Chocogrenouilles, sa sucrerie préférée, mais elle n'allait pas faire un caprice !
La blondinette rejeta ses longs cheveux derrière son épaule, et prit le paquet de Dragées Surprises de Bertie Crochue. Que de mauvais souvenirs ! Elle dit a Rufus :
- Bon, je commence... on va voir si c'est bon !
Même si elle savait qu'elle vomirait surement. De nouveau berk ! Elle rendit le paquet de bonbons au première année, avant de déclarer :
- Un jour, je suis tombée sur le goût crotte de nez, j'ai faillit vomir !

Un anniversaire excuse tout

- Bon, je commence... on va voir si c'est bon ! Dit elle
Un poicha au hasard dans le paquet et goûta avec prudence le bout. Elle le recracha aussitôt avec une expression de dégoût sur le visage
- Un jour, je suis tombée sur le goût crotte de nez, j'ai faillit vomir !
Ho. Pas de chance ! Kirsty avait du retomber sur le goût crotte de nez. Pour lui faire honneur, Rufus dit:
-Manque de bol . À moi! 
 Il plongea sa main dans le paquet et sans le savoir,  tira un dragée de couleur gris foncé qu'il lança dans sa bouche. Après l'avoir mâché d'un coup, il fit une grimace et l'avala aussi difficilement qu'un piment.
Harg dégueu !  J'ai eus poivre. 
Rufus avait encore la langue un peu piquante. Ce bonbon poivré lui avait donné un arrière goût dans la bouche qui passerai difficilement. Soudain lui vint une idée .
Attend j'ai un truc qui sera meilleur en bouche.
Il ouvre la pochette avant de son sac et en sorti deux chocogrenouilles. Elles étaient là depuis longtemps et Rufus espérait qu'elles ne seraient pas toutes fondues. Il tendi une des deux boîtes pyntagonales violettes à la jeune fille rouge et or et en pris une.
Ça saute mais au moins ça a bon goût .

Merci !

Crotte de nez ! Kirsty, écoeurée, recracha immédiatement le bonbon, en grimaçant. Elle était de nouveau tombée sur un des pires goûts qu'il puisse exister. Elle grommela en se disant que ce vendredi-là n'était pas son jour de chance, loin de là, mais plutôt de MALCHANCE ! La blondinette vit alors Rufus prendre un dragée dans le paquet, et reconnut la couleur grise du bonbon au poivre... Elle faillit lui crier d'en prendre un autre, mais se ravisa au dernier moment : elle avait mangé un a la crotte de nez, il avait quand même le droit d'avoir une mauvaise surprise lui aussi ! La blondinete s'en voulut aussitôt d'avoir eu une pensée aussi mesquine et méchante pour le Serpentard, qui avala le bonbon avant de grimacer.
Kirsty éclata de rire devant la mine dégoûtée du première année, mais se calma aussitôt. L'infirmière la regarda bizarrement, et toussota. En plus, la cheville de la fillette lui avait fait mal soudainement, et il valait mieux qu'elle ne s'excite pas trop, si elle ne voulait pas aggravée la blessure. Rufus, avant que la blondinette ai put dire quelque chose, alla chercher deux chococogrenouilles dans son sac. C'était comme s'il avait lue dans les pensées de la Gryffone, qui ne rêvait que de ça. Elle lui adressa un sourire avant de prendre la sucrerie qu'il lui tendait. Elle ouvrit le sachet et se dépêcha de croquer dans la chocolat avant qu'il ne s'enfuie. Elle dit :
- Je me sens mieux, tout d'un coup ! Merci, c'est mon bonbon préféré !
"Contrairement aux Bertie Crochus..." pensa-t-elle. Mais elle n'osa pas faire la remarque tout haut, de peur que Rufus ne le prenne mal.

Rufus avait encore le gout poivré dans la bouche. Mais bon, c'est le jeu ! Et puis si on tombait toujours sur les dragées au bon goût ça perdrait tout son intérêt et son caractère drôle ! Faisant encore la grimace à cause de cette mauvaise expérience Rufus avait au moins gagné quelque chose: un sourire. "Le rire est le meilleur des remèdes " ... Bien que rire avait l'air d'avoir fait mal à Kirsty, une bouchée de chocolat la soigna . ( Le chocolat, tout le monde aime ça !)

Qu'est ce qu'elle est longue cette infirmière ! pensa Rufus. Il avait lu  qu'en un coup de baguette on pouvait soigner une entorse ou refermer des plaies... Il se demanda quand même comment elle allait se débrouiller pour enlever ses oreilles et ses poils à ce pauvre garçon. Il devait sûrement des potions pour soigner des incidents comme ça et d’ailleurs comment on pouvait se retrouver comme ça ? Peut-être un sortilège ou une potion ratée.....
- Je me sens mieux, tout d'un coup ! Merci, c'est mon bonbon préféré !
Il commença à déballer son chocolat de sa boîte violette et or et croqua tant bien que mal dans la grenouille un peu fondue qui essaya de s'échapper . Et regarda la carte qui se trouvait a l'intérieur du paquet :
De rien, tu as eu quelle carte ? Moi j'ai eus Merlin ! Tu les collectionne aussi ?
En y repensant, on aurait dis que ces cartes ont été faites pour instruire les né moldus comme lui au monde de la sorcellerie qui leur était encore inconnu....

A la question de Rufus, Kirsty renversa la boite de la chocogrenouille, et une carte tomba sur les draps blancs. Elle l'attrapa et regarda qui était représenté. Un bonhomme tout roux, plein de muscle, avec une baguette à la main, d'où sortait un patronus... gigantesque. La blondinette ne le connaissait pas et elle regarda l'inscription, en dessous. Il y avait marqué : Andros l'Invincible. Elle soupira en montrant le nom à Rufus. C'était une carte toute pourrie ! Le sorcier avait surement dût être important, mais n'avait pas été connu...
- Tu connais, toi, un certian Andros l'Invincible ? Faudra que je fasse des recherches sur lui... en attendant, c'est une montagne de muscles ! ricana Kirsty.
L'infirmière s'approcha des deux élèves, en grimaçant. Elle n'avait surement pas un très bon souvenir de la Gryffone, mais tant pis. Elle dit à cette dernière qu'il fallait qu'elle prenne du Poussoss, et la fillette grimaça. C'était la pure chose au monde. Elle aurait préféré manger tous les Bertie Crochue de la Terre, plutôt que d'avaler une gorgée de ce liquide purement dégueulasse. Mais elle ne dit rien, elle jeta juste un regard déprimé au Serpentard. Miss. Loyd partit à la recherche de la fiole qui contenait le Poussoss, se qui donna le temps à Kirsty de souffler :
- Tu as déjà goûté du Poussoss, toi ? Moi, deux fois, et c'est suffisant pour te dégoûter de l'infirmerie à jamais. J'ai toujours détesté les médicaments.
Et c'était vrai. Tout ce qui servait à soigner lui donnait encore plus envie d'être malade, et elle haïssait les médicaments en tout genre : les potions pour les mal de tête a ceux qui guérissent des maladies graves.

Kirsty jeta un regard à sa carte. Pas de chance, elle avait du avoir un sorcier de seconde classe. Elle 's’adressa à lui d'une voix mi-amusée mi-déçut.
- Tu connais, toi, un certain Andros l'Invincible ? Faudra que je fasse des recherches sur lui... en attendant, c'est une montagne de muscles ! ricana Kirsty.
_Nan répondit Rufus. Mais vu l'image, il devait avoir un rapport avec le sortilège du patronus. Ya marqué quoi derrière ?
L'infirmière Loyd s'approcha d'eux, une grimace de dégoût sur le visage.
Kirsty va quand même boire du poussos ? demanda Rufus. Vous ne connaissez pas un sort qui puisse soigner une simple fracture ?
Kirsty lui avait bien précisé que le poussos avait un gout un infect et qu'elle ne tenait absolument pas à en boire de si tôt. Rufus se senti un peu coupable .
_ Non mon enfant j'en ai bien peur...
ton amie sera remise sur pieds demain ne t'inquiète pas. Dit l'infirmière d'une voix douce.
L'infirmière partit chercher le fameux liquide dans son bureau. Rufus se tourna vers Kirsty. Elle lui lançait encore son regard de pauvre petit chien battu.
- Tu as déjà goûté du Poussoss, toi ? Moi, deux fois, et c'est suffisant pour te dégoûter de l'infirmerie à jamais. J'ai toujours détesté les médicaments.
Rufus n'eut pas à réfléchir. Il ne connaissait le monde merveilleux de la magie que depuis quelques mois et il ne s'était pas bléssé dans ce laps de temps . Et puis d’ailleurs, Kirsty aussi était une sorcière mais, de quel sang ?
_ Ne m'en parle pas ! mes parents sont médecins, avec eux, dé que je toussait un éternuait un petit peu ils me couvraient de couvertures et me faisaient avaler des tonnes de médocs ! Mais j'y pense, tu as grandi dans qu'elle genre de famille ? Sorcière ou moldue ?
L’infirmière revint quelques minutes plus tard avec une bouteille blanche ornée d'un mini squelette . Cela faisait penser à Rufus à une bouteille de poison et il se demanda quelques minutes si elle ne s'était pas trompé. L'infirmière dévissa le bouchon en forme de crâne et versa un liquide jaunâtre fumant dans un verre qu'elle tendit à Kirsty.

Sorry pour ce retard.

Kirsty entendit que Rufus demandait à Miss. Loyd si il n'existait pas un sortilège pour guérir une simple fracture, mais apparemment non. Pourtant Kirsty se dit que c'était sadique d'avoir créer une potion qui faisait si mal. Elle se jura que, quand elle serait grande, elle deviendrait la créatrice de sorts la plus célèbre, car elle aurait inventé un enchantement qui permettait de guérir instantanément et sans souffrir. A cette pensée, la blondinette sourit. Que c'était bon de rêver quand tout allait mal ! Malheureusement, elle n'avait jamais été très douée pour créer des choses.
L'infirmière repartit chercher le Poussoss. Pendant ce temps, Rufus expliqua que ses parents étaient médcins, et Kirsty grimaça. Le pauvre ! Elle qui avait déjà du mal à supporter une mère trop protectrice, si elle avait eut deux parents médecins, elle en serait morte à la naissance ! Puis le Serpentard demanda de quel sang elle était. La blondinette dit, le regard dans le vague :
- Je suis de Sang-Mêlé, c'est à dire que mon père est un Né-Moldu avec des pouvoirs magiques. Il était à Gryffondor, du temps de ses études. Ma mère, elle, est une Sang-Pur depuis des générations, et elle était à Serdaigle.
Elle se tût puis fronça les sourcils. Elle demanda :
- Toi, t'es un Né-Moldu, non ? Ca se voit à la façon dont tu parles. Et puis, si tu étais un sorcier, tes parents seraient des Médicomages, pas des médecins.
Kirsty avait un talent de détective, et elle adorait percer des petits mystères. Elle sourit à Rufus, quand l'infirmière revint avec le flacon et lui servit un verre fumant de Poussoss, qu'elle tendit à la fillette, qui l'accepta avec dégoût. Elle commença à le boire. Le liquide lui brûlait la gorge. Elle ne put s'empêcher d'avoir un haut-le-cœur.