16 mars 2019, 15:39
Confessions drapées de blanc
Maude reste un instant silencieuse, comme réfléchissant à ce que je viens de lui confier. Je me demande, d’un coup, si j’ai bien fait de lui dire cela. J’ai beaucoup apprécié Millie et j’affectionne particulièrement la Serdaigle, mais je ne veux pas qu’elle pense que je vois en elle une Millie-bis. Non, je suis consciente que ce sont deux personnes bien différentes malgré les ressemblances que je vois entre elle.
Mais la prochaine phrase de ma camarade me rassure sur ce point :
« Je te remercie vraiment pour ton soutien Megan ! Tu es vraiment une... amie précieuse ! »
Une amie précieuse… Cela me fait un peu bizarre d’être nommée de la sorte. En général, je m’entends bien avec presque tout le monde, et la limite entre les personnes que j’apprécie et ceux qui me sont vraiment proches m’est assez floue. Mais “amie précieuse”, ce terme semble être important pour elle. À mes yeux, je pense que nous sommes assez proches pour que ces mots puissent la représenter également. Oui, amie précieuse, ça me plaît.
Elle continue :
« J'ai également longtemps hésité avant d'avouer à Sofhya que j'étais une sorcière. Au début, elle ne m'a pas vraiment crue... Mais haha ! Elle a été un peu plus ouverte d'esprit ! Je te souhaite vraiment de te réconcilier avec Millie ! Une meilleure amie ne se perd pas du jour au lendemain, mais ça sera peut-être dur de lui avouer tout cela après autant de cachotteries... Bien évidemment, je ne dis pas que tu as mal fait en ne lui avouant rien ! Bien au contraire... »
Je hoche la tête avec un timide sourire, tandis que Maude s’arrête, laissant le silence s’installer quelques secondes dans l’Infirmerie. J’en profite pour sécher mes yeux en les frottant, et je touche par mégarde mon arcade sourcilière. Aïe.
Je comprends l’hésitation de la Serdaigle, l’ayant moi-même vécue. Cependant, je n’ai pas réussi à la dépasser. Le Secret Magique est une règle que je trouve tellement importante… Même si elle m’embête bien dans ce cas. Il me semble que de tous les moldus que je connais, seule Maman est au courant de l’existence des sorciers. Ses amis moldus et ses parents n’en savent rien.
Repensant au jour où j’ai recroisé Millie dans ma rue, après le Nouvel An, je ne suis pas aussi optimiste que Maude au sujet de notre réconciliation. Ce regard qu’elle m’a lancé… Sur le moment, c’était effrayant, dans un sens. Et elle n’a jamais répondu à mon hibou d’anniversaire. Peut-être que je vais essayer de lui en renvoyer quelques uns. J’essaierai aussi de la croiser, cet été. Mais d’abord, les hiboux.
La Serdaigle me sort de mes pensées en me posant une question :
« C'est vrai que je lui ressemble ? D'ailleurs, tu me fais également beaucoup penser à Sofhya ! »
Tout en m’appuyant de nouveau sur l’oreiller, mon sourire s’élargit alors que j’acquiesce :
« Oui, je trouve. C’est vrai ? C’est drôle qu’on se soit trouvées. »
Après une très courte pause pour tout remettre en ordre, je fais part de mes réflexions à mon amie :
« Je peux comprendre que Sofhya t’aies pas crue, ha ha. Ça doit faire bizarre, d’apprendre qu’il y a tout un autre monde… Chez moi, Papa et Maman nous ont toujours répété de faire hyper attention, de rien montrer et rien dire. Je les connais pas beaucoup, mais je crois que même Papi et Mamie sont pas au courant. Donc c’est pareil pour Millie, j’ai rien dit non plus. »
Je hausse les épaules, puis laisse mon regard courir sur les draps avant de lui confier ma résolution :
« J’espère vraiment que t’as raison… Je vais essayer de lui renvoyer des hiboux. »
Un craquement venant de l’autre côté de la pièce me fait de nouveau prendre conscience de l’endroit où nous nous trouvons. Avec notre discussion, j’en avais presque oublié pourquoi nous sommes là. Dans la précipitation, j’indique à Maude que l’infirmière est sûrement de retour en ouvrant grand les yeux et en lui chuchotant de manière pressante :
« Retourne sur ton lit ! »
Quant à moi, je redescends mon oreiller et repose ma tête dessus avant de rabattre les draps sur ma poitrine.
Mais la prochaine phrase de ma camarade me rassure sur ce point :
« Je te remercie vraiment pour ton soutien Megan ! Tu es vraiment une... amie précieuse ! »
Une amie précieuse… Cela me fait un peu bizarre d’être nommée de la sorte. En général, je m’entends bien avec presque tout le monde, et la limite entre les personnes que j’apprécie et ceux qui me sont vraiment proches m’est assez floue. Mais “amie précieuse”, ce terme semble être important pour elle. À mes yeux, je pense que nous sommes assez proches pour que ces mots puissent la représenter également. Oui, amie précieuse, ça me plaît.
Elle continue :
« J'ai également longtemps hésité avant d'avouer à Sofhya que j'étais une sorcière. Au début, elle ne m'a pas vraiment crue... Mais haha ! Elle a été un peu plus ouverte d'esprit ! Je te souhaite vraiment de te réconcilier avec Millie ! Une meilleure amie ne se perd pas du jour au lendemain, mais ça sera peut-être dur de lui avouer tout cela après autant de cachotteries... Bien évidemment, je ne dis pas que tu as mal fait en ne lui avouant rien ! Bien au contraire... »
Je hoche la tête avec un timide sourire, tandis que Maude s’arrête, laissant le silence s’installer quelques secondes dans l’Infirmerie. J’en profite pour sécher mes yeux en les frottant, et je touche par mégarde mon arcade sourcilière. Aïe.
Je comprends l’hésitation de la Serdaigle, l’ayant moi-même vécue. Cependant, je n’ai pas réussi à la dépasser. Le Secret Magique est une règle que je trouve tellement importante… Même si elle m’embête bien dans ce cas. Il me semble que de tous les moldus que je connais, seule Maman est au courant de l’existence des sorciers. Ses amis moldus et ses parents n’en savent rien.
Repensant au jour où j’ai recroisé Millie dans ma rue, après le Nouvel An, je ne suis pas aussi optimiste que Maude au sujet de notre réconciliation. Ce regard qu’elle m’a lancé… Sur le moment, c’était effrayant, dans un sens. Et elle n’a jamais répondu à mon hibou d’anniversaire. Peut-être que je vais essayer de lui en renvoyer quelques uns. J’essaierai aussi de la croiser, cet été. Mais d’abord, les hiboux.
La Serdaigle me sort de mes pensées en me posant une question :
« C'est vrai que je lui ressemble ? D'ailleurs, tu me fais également beaucoup penser à Sofhya ! »
Tout en m’appuyant de nouveau sur l’oreiller, mon sourire s’élargit alors que j’acquiesce :
« Oui, je trouve. C’est vrai ? C’est drôle qu’on se soit trouvées. »
Après une très courte pause pour tout remettre en ordre, je fais part de mes réflexions à mon amie :
« Je peux comprendre que Sofhya t’aies pas crue, ha ha. Ça doit faire bizarre, d’apprendre qu’il y a tout un autre monde… Chez moi, Papa et Maman nous ont toujours répété de faire hyper attention, de rien montrer et rien dire. Je les connais pas beaucoup, mais je crois que même Papi et Mamie sont pas au courant. Donc c’est pareil pour Millie, j’ai rien dit non plus. »
Je hausse les épaules, puis laisse mon regard courir sur les draps avant de lui confier ma résolution :
« J’espère vraiment que t’as raison… Je vais essayer de lui renvoyer des hiboux. »
Un craquement venant de l’autre côté de la pièce me fait de nouveau prendre conscience de l’endroit où nous nous trouvons. Avec notre discussion, j’en avais presque oublié pourquoi nous sommes là. Dans la précipitation, j’indique à Maude que l’infirmière est sûrement de retour en ouvrant grand les yeux et en lui chuchotant de manière pressante :
« Retourne sur ton lit ! »
Quant à moi, je redescends mon oreiller et repose ma tête dessus avant de rabattre les draps sur ma poitrine.
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily
23 avr. 2019, 17:34
Confessions drapées de blanc
Je suis désolée pour cet énoooorrrmmmiiisssime retard Megan ! Je répondrais plus vite la prochaine fois, je te l'assure ! 
Après ma réflexion sur sa ressemblance avec Sofhya, Megan fit une petite remarque qui me fit sourire tellement elle m'était agréable à entendre en ce temps de maladie et d'amitié communes :
« Oui, je trouve. C’est vrai ? C’est drôle qu’on se soit trouvées. Elle laissa également un petit temps de réflexion avant d'enchaîner sur cette phrase. Je peux comprendre que Sofhya t’aies pas crue, ha ha. Ça doit faire bizarre, d’apprendre qu’il y a tout un autre monde… Chez moi, Papa et Maman nous ont toujours répété de faire hyper attention, de rien montrer et rien dire. Je les connais pas beaucoup, mais je crois que même Papi et Mamie sont pas au courant. Donc c’est pareil pour Millie, j’ai rien dit non plus. »
Après un petit temps de réflexion à ce qu'elle allait dire, elle rajouta comme contente de mon idée :
« J’espère vraiment que t’as raison… Je vais essayer de lui renvoyer des hiboux. »
Je souris gentiment pour tout ce qu'elle avait pu me dire, c'était si agréable de se sentir écouté et comprendre par des personnes que l'on aiment bien. Et en bonne donneuse de leçons et de conseils, ça m'allait doublement mieux.
"Contente d'avoir pu t'aider et te conseiller et puis, les amis sont censés le rester même si elles ne sont pas ensemble, j'espère pour toi que tout s'arrangera !"
Un bruit se fit entendre de l'autre côté de la pièce, venant sûrement du côté de l'infirmière. Je ne saurai jamais sa réaction exacte mais je suis certaine qu'elle ne serait pas du tout positive. Alors en un quart de tour, lorsque Megan m'annonça de me remettre dans mon lit, j'exécutais emporter par l'empressement de retourner dans mon lit, en jouant ainsi la comédie. Je vis alors Mme Lloyd arriver depuis l'autre côté de la pièce et nous demander à toutes les deux d'un air surpris et un peu aigre avec une toute pointe de douceur dans la voix :
"J'ai entendu du bruit, que se passe-t-il ?"
Je fis semblant de fermer les yeux et d'avoir un air fatigué. Je sentis un souffle chaud se poser sur moi. L'infirmière se rapprocha peu à peu de moi et toucha mon front, pour en retirer sa main et annoncer :
"J'ai bien l'impression que Miss Bailey pourra quitter dès demain matin."
Puis j'eus l'impression qu'elle se dirigea vers le lit de Megan. J'étais un peu soulagé de ne plus être malade mais un peu triste de ne plus pouvoir ainsi parler à Megan tranquillement sans complexes juste comme on parle à une amie quand on en a besoin. J'espérais que c'était à peu près réciproque, qu'elle pensait la même chose de moi lorsqu'elle discutait.
Elle annonça également que Megan pourrait quitter l'infirmerie dès demain. Puis elle se rediriez vers l'autre côté de la pièce, je rouvris les yeux en même temps que Megan. Quand je vis ces yeux bruns, de mon regard pétillant et rieur, je lui fis un petit clin d'oeil pour m'endormir. J'étais vraiment fatigué et je laissais les bras du sommeil me tirer pour m'endormir.
Excuse-moi pour ce post un peu court !
Mau'
*Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité.*
*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
Après ma réflexion sur sa ressemblance avec Sofhya, Megan fit une petite remarque qui me fit sourire tellement elle m'était agréable à entendre en ce temps de maladie et d'amitié communes :
« Oui, je trouve. C’est vrai ? C’est drôle qu’on se soit trouvées. Elle laissa également un petit temps de réflexion avant d'enchaîner sur cette phrase. Je peux comprendre que Sofhya t’aies pas crue, ha ha. Ça doit faire bizarre, d’apprendre qu’il y a tout un autre monde… Chez moi, Papa et Maman nous ont toujours répété de faire hyper attention, de rien montrer et rien dire. Je les connais pas beaucoup, mais je crois que même Papi et Mamie sont pas au courant. Donc c’est pareil pour Millie, j’ai rien dit non plus. »
Après un petit temps de réflexion à ce qu'elle allait dire, elle rajouta comme contente de mon idée :
« J’espère vraiment que t’as raison… Je vais essayer de lui renvoyer des hiboux. »
Je souris gentiment pour tout ce qu'elle avait pu me dire, c'était si agréable de se sentir écouté et comprendre par des personnes que l'on aiment bien. Et en bonne donneuse de leçons et de conseils, ça m'allait doublement mieux.
"Contente d'avoir pu t'aider et te conseiller et puis, les amis sont censés le rester même si elles ne sont pas ensemble, j'espère pour toi que tout s'arrangera !"
Un bruit se fit entendre de l'autre côté de la pièce, venant sûrement du côté de l'infirmière. Je ne saurai jamais sa réaction exacte mais je suis certaine qu'elle ne serait pas du tout positive. Alors en un quart de tour, lorsque Megan m'annonça de me remettre dans mon lit, j'exécutais emporter par l'empressement de retourner dans mon lit, en jouant ainsi la comédie. Je vis alors Mme Lloyd arriver depuis l'autre côté de la pièce et nous demander à toutes les deux d'un air surpris et un peu aigre avec une toute pointe de douceur dans la voix :
"J'ai entendu du bruit, que se passe-t-il ?"
Je fis semblant de fermer les yeux et d'avoir un air fatigué. Je sentis un souffle chaud se poser sur moi. L'infirmière se rapprocha peu à peu de moi et toucha mon front, pour en retirer sa main et annoncer :
"J'ai bien l'impression que Miss Bailey pourra quitter dès demain matin."
Puis j'eus l'impression qu'elle se dirigea vers le lit de Megan. J'étais un peu soulagé de ne plus être malade mais un peu triste de ne plus pouvoir ainsi parler à Megan tranquillement sans complexes juste comme on parle à une amie quand on en a besoin. J'espérais que c'était à peu près réciproque, qu'elle pensait la même chose de moi lorsqu'elle discutait.
Elle annonça également que Megan pourrait quitter l'infirmerie dès demain. Puis elle se rediriez vers l'autre côté de la pièce, je rouvris les yeux en même temps que Megan. Quand je vis ces yeux bruns, de mon regard pétillant et rieur, je lui fis un petit clin d'oeil pour m'endormir. J'étais vraiment fatigué et je laissais les bras du sommeil me tirer pour m'endormir.
Excuse-moi pour ce post un peu court !
Mau'
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*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
27 avr. 2019, 17:26
Confessions drapées de blanc
Ma résolution d’envoyer des hiboux à Millie est approuvée par la Serdaigle, et cachée sous mes draps, je suis contente d’avoir pu lui confier. Peut-être que comme je lui en ai parlé, j’arriverai mieux à m’y tenir ? En tout cas, j’espère moi aussi que cela s’arrangera. Ce serait tellement dommage qu’une amitié de plusieurs années comme celle que nous avons eue soit ruinée par ce secret. Même s’il est vrai que celui-ci n’arrange en rien les choses.
Mais le moment n’est pas à avoir ce genre de réflexions : Miss Lloyd est de retour dans la pièce principale, à nous demander d’où vient le bruit qu’elle a entendu. Oups… S’il est vrai que nous sommes censées nous reposer, c’est quand même très agréable d’avoir pu discuter comme nous l’avons fait. La tête dans l’oreiller et les yeux mi-clos, j’envoie un coup d’œil complice à Maude.
Celle-ci est d’ailleurs en train de jouer la comédie de manière remarquable - ou alors, elle ne se sent pas bien du tout à nouveau - et je dois retenir le sourire qui me monte aux lèvres. Est-ce qu’elle a essayé de se mettre au théâtre ? J’ai eu ma première expérience en décembre, et il se trouve que j’y ai pris goût, même si je n’ai pas eu l’occasion de retourner sur les planches depuis. Ainsi, malgré mon niveau bien faible, je suis certaine qu’elle se débrouillerait bien. Il faudra que je lui demande, tiens.
Pendant ce temps, l’Infirmière passe sa main du front de mon amie au mien - aïe, la douleur est encore un peu là - et commente que nous pourrons toutes les deux sortir demain. Je suis assez mitigée quant à cette affirmation : d’un côté, je suis contente de pouvoir reprendre les cours, car ce n’est jamais évident de les rattraper ; de l’autre, cela m’a bien plu de pouvoir me confier ainsi à Maude, et qu’elle fasse de même en retour.
Miss Lloyd ayant enlevé sa main de mon front, je la suis du regard, les yeux à demi fermés, tandis qu’elle repart par le même chemin. Dès qu’elle sort de mon champ de vision, je tourne la tête vers ma camarade, désormais bien alerte. Celle-ci ayant fait de même, nos regards se croisent et nous échangeons un clin d’œil.
Un petit sourire sur les lèvres, je me dis en voyant la Serdaigle fermer les yeux que je vais tout de même profiter de ces quelques heures restantes pour me reposer dans ces draps blancs. Ainsi, je me retourne, repose me tête sur l’oreiller, et laisse le sommeil m’emporter.
Comme hier, c’est la lumière qui me fait ouvrir les yeux. Encore à moitié endormie, je porte la main à mon sourcil : ma bosse a bien dégonflé, et je n’ai presque plus mal. C’est une bonne nouvelle, je vais donc bien pouvoir sortir de l’Infirmerie aujourd’hui - car oui, même dans mon demi-sommeil, j’ai reconnu la pièce, dont les couleurs diffèrent trop par rapport à celles de mon dortoir.
Je m’étire puis repousse les couvertures et entreprends de me mettre en position assise, vérifiant à chaque instant que le monde ne tourne plus autour de moi. Non, tout va bien, et je me retrouve en tailleur sur mon lit, un sourire satisfait sur le visage.
Pour la nuit, les rideaux séparant les lits ont été tirés afin de rendre un peu d’intimité aux occupants du lieu. Me mettant dans un coin, j’en profite pour me changer. Je ne sais pas trop pourquoi, mais cela me rassure de retrouver le jaune de ma maison sur mes vêtements.
Une fois cela fait, je fais bouger le rideau me séparant du lit de Maude - au cas où elle serait en train de se changer, elle aussi - puis, le plus discrètement possible, tire un peu le tissu.
De la malice dans les yeux et une tache bleue sur le sourcil, je chuchote :
« Coucou la belle au bois dormant ! »
Mais le moment n’est pas à avoir ce genre de réflexions : Miss Lloyd est de retour dans la pièce principale, à nous demander d’où vient le bruit qu’elle a entendu. Oups… S’il est vrai que nous sommes censées nous reposer, c’est quand même très agréable d’avoir pu discuter comme nous l’avons fait. La tête dans l’oreiller et les yeux mi-clos, j’envoie un coup d’œil complice à Maude.
Celle-ci est d’ailleurs en train de jouer la comédie de manière remarquable - ou alors, elle ne se sent pas bien du tout à nouveau - et je dois retenir le sourire qui me monte aux lèvres. Est-ce qu’elle a essayé de se mettre au théâtre ? J’ai eu ma première expérience en décembre, et il se trouve que j’y ai pris goût, même si je n’ai pas eu l’occasion de retourner sur les planches depuis. Ainsi, malgré mon niveau bien faible, je suis certaine qu’elle se débrouillerait bien. Il faudra que je lui demande, tiens.
Pendant ce temps, l’Infirmière passe sa main du front de mon amie au mien - aïe, la douleur est encore un peu là - et commente que nous pourrons toutes les deux sortir demain. Je suis assez mitigée quant à cette affirmation : d’un côté, je suis contente de pouvoir reprendre les cours, car ce n’est jamais évident de les rattraper ; de l’autre, cela m’a bien plu de pouvoir me confier ainsi à Maude, et qu’elle fasse de même en retour.
Miss Lloyd ayant enlevé sa main de mon front, je la suis du regard, les yeux à demi fermés, tandis qu’elle repart par le même chemin. Dès qu’elle sort de mon champ de vision, je tourne la tête vers ma camarade, désormais bien alerte. Celle-ci ayant fait de même, nos regards se croisent et nous échangeons un clin d’œil.
Un petit sourire sur les lèvres, je me dis en voyant la Serdaigle fermer les yeux que je vais tout de même profiter de ces quelques heures restantes pour me reposer dans ces draps blancs. Ainsi, je me retourne, repose me tête sur l’oreiller, et laisse le sommeil m’emporter.
• • • Le lendemain matin • • •
Comme hier, c’est la lumière qui me fait ouvrir les yeux. Encore à moitié endormie, je porte la main à mon sourcil : ma bosse a bien dégonflé, et je n’ai presque plus mal. C’est une bonne nouvelle, je vais donc bien pouvoir sortir de l’Infirmerie aujourd’hui - car oui, même dans mon demi-sommeil, j’ai reconnu la pièce, dont les couleurs diffèrent trop par rapport à celles de mon dortoir.
Je m’étire puis repousse les couvertures et entreprends de me mettre en position assise, vérifiant à chaque instant que le monde ne tourne plus autour de moi. Non, tout va bien, et je me retrouve en tailleur sur mon lit, un sourire satisfait sur le visage.
Pour la nuit, les rideaux séparant les lits ont été tirés afin de rendre un peu d’intimité aux occupants du lieu. Me mettant dans un coin, j’en profite pour me changer. Je ne sais pas trop pourquoi, mais cela me rassure de retrouver le jaune de ma maison sur mes vêtements.
Une fois cela fait, je fais bouger le rideau me séparant du lit de Maude - au cas où elle serait en train de se changer, elle aussi - puis, le plus discrètement possible, tire un peu le tissu.
De la malice dans les yeux et une tache bleue sur le sourcil, je chuchote :
« Coucou la belle au bois dormant ! »
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily
01 mai 2019, 03:35
Confessions drapées de blanc
La lumière de l'infirmerie me réveilla quelque peu, ainsi que le bruit causé par les autres patients de l'infirmerie. J'étais encore un peu fatigué, j'avais envie de dormir encore mais je savais que ce n'était pas du tout raisonnable. Il fallait absolument que je me réveille, reprendre les cours, mon rythme scolaire ainsi que tout le reste me ferait du bien, et si je ne le faisais pas, j'aurai encore plus de travail sur mon dos.
Alors pour rester sur ma bonne lancée, sans être réveillé par Mlle Lloyd. J'entrouvris légèrement les yeux pour les fermer immédiatement, la lumière forte me gênait fortement et ce réveil aussi puissant me ferrait vraiment du mal aux yeux. Je me rends compte que je suis enfermé par des rideaux blancs, ça devait être ainsi toutes les nuits, et je ne mettais pas rendu compte. Je me relevais, retirant rapidement ma chemise de nuit d'infirmerie aux profils de l'uniforme de Poudlard. Puis au moment où j'enfilai mon écharpe aux couleurs de Serdaigle, je vis le rideau bouger un peu. Puis être tiré complètement, d'un regard et d'un sourire complice, Megan me dit :
- Coucou la belle au bois dormant !
Ce jeu de mots me fit sourire. Aujourd'hui, Megan et moi allions enfin pouvoir sortir de l'infirmerie et retrouver le court de notre vie d'apprentie sorcière. Nous allions prendre notre petit-déjeuner dans la Grande Salle, aller en cours, prendre le déjeuner, monter le soir dans notre salle commune pour étudier, dormir dans notre dortoir avec nos camarades de maison. Oui, ce rythme était différent de celui à l'infirmerie, mais je sentais que cette discussion avec Megan était désormais indispensable, pour elle comme pour moi.
- Salut Megan, tu es d'humeur bien matinale pour les blagues, moi je suis encore toute endormie, j'aurai envie de me coucher dans mon lit pour ainsi ne jamais me réveiller haha ! Dis comme ça, ça parait un peu moins drôle ! hahaha !
Rire de bon matin était plutôt agréable. Pourtant mon estomac criait un peu famine et les bons petits-déjeuners de la Grande Salle me manquait terriblement. Je lançai alors à mon amie un "On y va ?"inquisiteur. Puis je récupérai mon sac que l'infirmière avait dû récupérer à l'issue de mon évanouissement en classe de potions. Je tirai mon rideau pour sortir de l'espace restreint des dortoirs pour avoir l'autorisation directe de l'infirmière pour partir. Lorsqu'elle nous la donna, nous sortîmes de la pièce. Je lâchais un petit soupir satisfait en riant, disant à ma camarade Poufsouffle :
- Eh bien enfin ! Dis-je en riant avec soulagement et amusement.
Mau'
*Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité.*
*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
Alors pour rester sur ma bonne lancée, sans être réveillé par Mlle Lloyd. J'entrouvris légèrement les yeux pour les fermer immédiatement, la lumière forte me gênait fortement et ce réveil aussi puissant me ferrait vraiment du mal aux yeux. Je me rends compte que je suis enfermé par des rideaux blancs, ça devait être ainsi toutes les nuits, et je ne mettais pas rendu compte. Je me relevais, retirant rapidement ma chemise de nuit d'infirmerie aux profils de l'uniforme de Poudlard. Puis au moment où j'enfilai mon écharpe aux couleurs de Serdaigle, je vis le rideau bouger un peu. Puis être tiré complètement, d'un regard et d'un sourire complice, Megan me dit :
- Coucou la belle au bois dormant !
Ce jeu de mots me fit sourire. Aujourd'hui, Megan et moi allions enfin pouvoir sortir de l'infirmerie et retrouver le court de notre vie d'apprentie sorcière. Nous allions prendre notre petit-déjeuner dans la Grande Salle, aller en cours, prendre le déjeuner, monter le soir dans notre salle commune pour étudier, dormir dans notre dortoir avec nos camarades de maison. Oui, ce rythme était différent de celui à l'infirmerie, mais je sentais que cette discussion avec Megan était désormais indispensable, pour elle comme pour moi.
- Salut Megan, tu es d'humeur bien matinale pour les blagues, moi je suis encore toute endormie, j'aurai envie de me coucher dans mon lit pour ainsi ne jamais me réveiller haha ! Dis comme ça, ça parait un peu moins drôle ! hahaha !
Rire de bon matin était plutôt agréable. Pourtant mon estomac criait un peu famine et les bons petits-déjeuners de la Grande Salle me manquait terriblement. Je lançai alors à mon amie un "On y va ?"inquisiteur. Puis je récupérai mon sac que l'infirmière avait dû récupérer à l'issue de mon évanouissement en classe de potions. Je tirai mon rideau pour sortir de l'espace restreint des dortoirs pour avoir l'autorisation directe de l'infirmière pour partir. Lorsqu'elle nous la donna, nous sortîmes de la pièce. Je lâchais un petit soupir satisfait en riant, disant à ma camarade Poufsouffle :
- Eh bien enfin ! Dis-je en riant avec soulagement et amusement.
Mau'
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*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
02 mai 2019, 14:43
Confessions drapées de blanc
Un grand sourire répond à mon regard malicieux et à ma réplique, et mes dents se découvrent un peu plus tandis que je finis d’ouvrir le rideau séparant nos deux lits. En lâchant le tissu, je jette un regard à l’endroit où j’ai passé la journée de la veille, puis la nuit. Si j’ai vraiment apprécié cette discussion avec Maude - et j’espère que c’est également son cas -, j’espère ne plus remettre les pieds dans cet endroit avant longtemps.
Je récupère mon sac, alors que la Serdaigle me répond :
« Salut Megan, tu es d'humeur bien matinale pour les blagues, moi je suis encore toute endormie, j'aurais envie de me coucher dans mon lit pour ainsi ne jamais me réveiller haha ! Dit comme ça, ça parait un peu moins drôle ! hahaha ! »
Je ris, puis fronce les sourcils en une moue : me recoucher n’aurait pas été désagréable non plus de mon point de vue, mais ne plus jamais me réveiller, brrr. Non, retourner en cours est quand même une perspective qui me plaît mieux.
Une fois Maude prête, je lui emboîte le pas pour nous rendre jusqu’à Miss Lloyd, occupée dans un autre coin de la salle. Une fois que celle-ci a bien vérifié que nous sommes en état de partir, nous passons la porte pour quitter la pièce.
Enfin sorties ! La brune m’indique, par une exclamation, qu’elle partage mon ressenti. Pourtant, nous ne sommes vraiment pas restées longtemps. En jetant un regard en arrière, j’ai une petite pensée pour les élèves qui effectuent un séjour plus long à l’Infirmerie. Heureusement, ce n’est pas notre cas. Je renchéris, en marchant à grands pas dans le couloir :
« Oui ! On a le temps de passer par la Grande Salle, normalement. J’ai trop faim ! »
Je descends les trois étages qui séparent l’Infirmerie du petit-déjeuner d’un pas rapide, pressée de remplir mon ventre qui crie famine, et je bats probablement mon record de temps pour parcourir cette distance.
Une fois devant les grandes portes, je m’arrête et me tourne vers mon amie :
« En tout cas, je suis vraiment contente de m’être retrouvée à côté de toi, là-haut. Je pense que ça aurait pas été pareil, sinon. »
Alors que j’ai ma main posée sur le bras de la Serdaigle, c’est le moment que choisit mon ventre pour émettre un gargouillis particulièrement sonore. Surprise, je baisse le regard vers le coupable, puis ris en levant les yeux au ciel. Pourquoi faut-il qu’il soit toujours aussi bruyant, celui-là…
Je récupère mon sac, alors que la Serdaigle me répond :
« Salut Megan, tu es d'humeur bien matinale pour les blagues, moi je suis encore toute endormie, j'aurais envie de me coucher dans mon lit pour ainsi ne jamais me réveiller haha ! Dit comme ça, ça parait un peu moins drôle ! hahaha ! »
Je ris, puis fronce les sourcils en une moue : me recoucher n’aurait pas été désagréable non plus de mon point de vue, mais ne plus jamais me réveiller, brrr. Non, retourner en cours est quand même une perspective qui me plaît mieux.
Une fois Maude prête, je lui emboîte le pas pour nous rendre jusqu’à Miss Lloyd, occupée dans un autre coin de la salle. Une fois que celle-ci a bien vérifié que nous sommes en état de partir, nous passons la porte pour quitter la pièce.
Enfin sorties ! La brune m’indique, par une exclamation, qu’elle partage mon ressenti. Pourtant, nous ne sommes vraiment pas restées longtemps. En jetant un regard en arrière, j’ai une petite pensée pour les élèves qui effectuent un séjour plus long à l’Infirmerie. Heureusement, ce n’est pas notre cas. Je renchéris, en marchant à grands pas dans le couloir :
« Oui ! On a le temps de passer par la Grande Salle, normalement. J’ai trop faim ! »
Je descends les trois étages qui séparent l’Infirmerie du petit-déjeuner d’un pas rapide, pressée de remplir mon ventre qui crie famine, et je bats probablement mon record de temps pour parcourir cette distance.
Une fois devant les grandes portes, je m’arrête et me tourne vers mon amie :
« En tout cas, je suis vraiment contente de m’être retrouvée à côté de toi, là-haut. Je pense que ça aurait pas été pareil, sinon. »
Alors que j’ai ma main posée sur le bras de la Serdaigle, c’est le moment que choisit mon ventre pour émettre un gargouillis particulièrement sonore. Surprise, je baisse le regard vers le coupable, puis ris en levant les yeux au ciel. Pourquoi faut-il qu’il soit toujours aussi bruyant, celui-là…
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily
02 mai 2019, 22:49
Confessions drapées de blanc
Après ma démonstration de liberté, Megan me dit :
« Oui ! On a le temps de passer par la Grande Salle, normalement. J’ai trop faim ! »
La phrase de Megan me fit rire. C'est vrai que les Poufsouffles étaient plutôt gourmands, Megan n'en avait pas trop l'air, mais j'avais aussi faim qu'elle. Alors nous dévalâmes les escaliers quatre à quatre pour atteindre la Grande Salle. L'odeur qui s'en dégageait me donnait une folle envie de m'installer sur la table des Serdaigle et de dévorer tout ce qui se trouvait sur la table, mais je pense que devant la nourriture, j'aurai plus envie de prendre ma portion habituelle qu'autre chose ! Et puis, la nourriture donnée à l'infirmerie n'est pas la meilleure. [size=14px]Puis, nous nous arrêtons devant la porte, Megan se tourne vers moi et m'explique :[/size]
« En tout cas, je suis vraiment contente de m’être retrouvée à côté de toi, là-haut. Je pense que ça aurait pas été pareil, sinon. »
J'étais vraiment d'accord avec elle. Je partageais totalement son avis. Cette discussion m'avait vraiment aidée et je savais maintenant que j'avais une véritable amie à qui me confier. Et puis pouvoir parler dans une infirmerie était totalement excitant, ça changeait un peu du quotidien monotone de Poudlard, malgré nos retrouvailles dans la maladie :
« Je partage complètement ton avis, discuter avec toi m'était bénéfique ! Et puis, ce n'est qu'un au-revoir, on se reverra bientôt. Il me suffira de t'envoyer un hibou et le tour sera joué ! »
Puis j'entends un long gargouillis, je me demande alors si il provient de mon ventre, mais en faites, Megan regarde le sien et commence à rire. Sa joie et son hilarité m'est communiqué et je continue à rire avec elle. Puis, j'ouvre la porte la laissant alors seule alors qu'elle dégage son bras. Puis je me retourne et l'étreins avec un petit câlin. Je ne suis pas vraiment habitué au contact physique avec des gens autre que ma famille mais je pense que j'en avais un peu besoin. C'est sur cette note que je lui annonce :
« Décidément, on se quitte toujours pour aller manger, je ris à ce moment-là. J'étais très contente de parler un peu avec toi ! À plus, je te libère pour que tu ailles manger ! Et puis, si il y a un cours Serdaigle-Poufsouffle, ça ne me dérangerait pas de m'asseoir à côté de toi, si tu veux encore de moi ! Bonne journée et bon appétit ! »
Puis, je tourne les talons en souriant, me dirigeant vers de nombreux premières années qui sont déjà en train de prendre leur petit-déjeuner à la table des aiglons. Je lance un dernier regard à celle des pouffys en voyant les cheveux blonds de Megan s'installer avec d'autres personnes. J'espère vraiment que notre prochaine rencontre sera dans peu de temps. Et je mets un bout de porridge dans ma bouche.
Fin du RP pour ma part !
C'était un plaisir Megan, à la prochaine ! 
Mau'
*Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité.*
*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
« Oui ! On a le temps de passer par la Grande Salle, normalement. J’ai trop faim ! »
La phrase de Megan me fit rire. C'est vrai que les Poufsouffles étaient plutôt gourmands, Megan n'en avait pas trop l'air, mais j'avais aussi faim qu'elle. Alors nous dévalâmes les escaliers quatre à quatre pour atteindre la Grande Salle. L'odeur qui s'en dégageait me donnait une folle envie de m'installer sur la table des Serdaigle et de dévorer tout ce qui se trouvait sur la table, mais je pense que devant la nourriture, j'aurai plus envie de prendre ma portion habituelle qu'autre chose ! Et puis, la nourriture donnée à l'infirmerie n'est pas la meilleure. [size=14px]Puis, nous nous arrêtons devant la porte, Megan se tourne vers moi et m'explique :[/size]
« En tout cas, je suis vraiment contente de m’être retrouvée à côté de toi, là-haut. Je pense que ça aurait pas été pareil, sinon. »
J'étais vraiment d'accord avec elle. Je partageais totalement son avis. Cette discussion m'avait vraiment aidée et je savais maintenant que j'avais une véritable amie à qui me confier. Et puis pouvoir parler dans une infirmerie était totalement excitant, ça changeait un peu du quotidien monotone de Poudlard, malgré nos retrouvailles dans la maladie :
« Je partage complètement ton avis, discuter avec toi m'était bénéfique ! Et puis, ce n'est qu'un au-revoir, on se reverra bientôt. Il me suffira de t'envoyer un hibou et le tour sera joué ! »
Puis j'entends un long gargouillis, je me demande alors si il provient de mon ventre, mais en faites, Megan regarde le sien et commence à rire. Sa joie et son hilarité m'est communiqué et je continue à rire avec elle. Puis, j'ouvre la porte la laissant alors seule alors qu'elle dégage son bras. Puis je me retourne et l'étreins avec un petit câlin. Je ne suis pas vraiment habitué au contact physique avec des gens autre que ma famille mais je pense que j'en avais un peu besoin. C'est sur cette note que je lui annonce :
« Décidément, on se quitte toujours pour aller manger, je ris à ce moment-là. J'étais très contente de parler un peu avec toi ! À plus, je te libère pour que tu ailles manger ! Et puis, si il y a un cours Serdaigle-Poufsouffle, ça ne me dérangerait pas de m'asseoir à côté de toi, si tu veux encore de moi ! Bonne journée et bon appétit ! »
Puis, je tourne les talons en souriant, me dirigeant vers de nombreux premières années qui sont déjà en train de prendre leur petit-déjeuner à la table des aiglons. Je lance un dernier regard à celle des pouffys en voyant les cheveux blonds de Megan s'installer avec d'autres personnes. J'espère vraiment que notre prochaine rencontre sera dans peu de temps. Et je mets un bout de porridge dans ma bouche.
Fin du RP pour ma part !
C'était un plaisir Megan, à la prochaine !
Mau'
*Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité.*
*Nous sommes tous des étoiles, il nous suffit juste d'apprendre à briller*
*Écrire c'est ranger le désordre que l'on a dans la tête*
03 mai 2019, 17:46
Confessions drapées de blanc
Ravie que la Serdaigle partage mon point de vue sur notre séjour à l’Infirmerie, je ris avec elle du gargouillis qu’a produit mon ventre. Maude pousse ensuite la porte de la Grande Salle, et je m’apprête à la suivre lorsqu’elle s’arrête brusquement. J’ai à peine le temps de penser qu’elle doit avoir encore une dernière chose à me dire, que je me retrouve entourée de ses bras. Étant plutôt tactile de nature, cela me surprend mais ne me dérange pas, et je lui rend son étreinte avec un sourire.
Alors que nous nous écartons, elle me fait remarquer que nous nous quittons toujours au moment des repas - ou en tout cas avec mon ventre qui se fait bien entendre. Il est vrai que c’est arrivé particulièrement souvent lors de nos rencontres. Ce n’est pas comme si j’avais tout le temps faim, pourtant… Je hoche la tête avec une moue un peu gênée, puis finis par rire à mon tour. La brune continue :
« J'étais très contente de parler un peu avec toi ! À plus, je te libère pour que tu ailles manger ! Et puis, si il y a un cours Serdaigle-Poufsouffle, ça ne me dérangerait pas de m'asseoir à côté de toi, si tu veux encore de moi ! Bonne journée et bon appétit ! »
Tout en faisant quelques pas pour entrer dans l’immense salle, je lui réponds :
« Bien sûr, quand tu veux ! Bon appétit ! »
Après un dernier sourire et un signe de main adressés à la Serdaigle, je tourne la tête vers la table de Poufsouffle. Y apercevant plusieurs camarades que j’apprécie au centre de celle-ci, je m’empresse de les rejoindre pour partager le petit-déjeuner avec eux. C’est bien sympathique, de retrouver un rythme plus normal.
Alors que nous nous écartons, elle me fait remarquer que nous nous quittons toujours au moment des repas - ou en tout cas avec mon ventre qui se fait bien entendre. Il est vrai que c’est arrivé particulièrement souvent lors de nos rencontres. Ce n’est pas comme si j’avais tout le temps faim, pourtant… Je hoche la tête avec une moue un peu gênée, puis finis par rire à mon tour. La brune continue :
« J'étais très contente de parler un peu avec toi ! À plus, je te libère pour que tu ailles manger ! Et puis, si il y a un cours Serdaigle-Poufsouffle, ça ne me dérangerait pas de m'asseoir à côté de toi, si tu veux encore de moi ! Bonne journée et bon appétit ! »
Tout en faisant quelques pas pour entrer dans l’immense salle, je lui réponds :
« Bien sûr, quand tu veux ! Bon appétit ! »
Après un dernier sourire et un signe de main adressés à la Serdaigle, je tourne la tête vers la table de Poufsouffle. Y apercevant plusieurs camarades que j’apprécie au centre de celle-ci, je m’empresse de les rejoindre pour partager le petit-déjeuner avec eux. C’est bien sympathique, de retrouver un rythme plus normal.
Fin du RP pour moi également, merci !
C'était un plaisir aussi
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily