05 janv. 2020, 17:20
Sacré bal !
Après le bal d'Halloween qui fut plutôt désastreux, Geneva s'était vue emmenée à l'infirmerie par quelqu'un dont elle ne connaissait pas l'identité : sonnée, elle n'y avait pas fait attention. C'était le lendemain matin, et on lui avait diagnostiqué une épaule déboitée, et des égratignures dont la plupart étaient superflues. Elle n'avait aucune idée de ce qui était prévu pour elle, à présent. Un suivit psychologique, d'autres soins et examens médicaux, ou simplement du repos ?
Se demandant tout cela, la jeune Serdaigle se redressa dans son lit et observa les autres personnes dans l'infirmerie ; celle-ci était bondée. L'infirmière devait être débordée ! Elle reconnaissait certains élèves, mais ne se fit pas remarquer auprès d'eux, car voulait rester calme, dans son lit. Elle n'avait pas envie de parler, et encore moins de ce qui c'était passé le soir d'avant. Et, les gens ici ne devaient pas parler vraiment d'autre chose...
Pour bien se réveiller, Geneva prit un peu de l'eau qui était dans un verre à côté d'elle et se la passa sur le visage. Une fois cela fait, elle s'essuya le visage avec sa manche. Elle regarda une nouvelle fois autour d'elle et vit Celia. Elle n'était pas là, quelques minutes auparavant, Geneva en était sûre.
Elle-même étonnée par ses actes, la rouquine fit un signe de main à Celia pour lui dire de venir la voir. La seconde Serdaigle était aussi amochée par la fête qui a mal tourné le jour d'avant. Elle n'avait sûrement pas voulu embêter plus l'infirmière le jour d'Halloween, mais, par raison de sécurité, avait du venir ce jour-là pour vérifier son état de santé.
« Salut... Alors, comment s'est finie la soirée ? J'ai pas loupé le feu d'artifice, j'espère ! », plaisanta Geneva.
Après un petit rire nerveux, la seconde année retrouva son sérieux et reprit la parole :
« Ça va ? Rien de grave, j'espère ? »
@Celia-Awena Fournier, si tu as quoi que se soit à modifier dans mon post, dis-le moi
Se demandant tout cela, la jeune Serdaigle se redressa dans son lit et observa les autres personnes dans l'infirmerie ; celle-ci était bondée. L'infirmière devait être débordée ! Elle reconnaissait certains élèves, mais ne se fit pas remarquer auprès d'eux, car voulait rester calme, dans son lit. Elle n'avait pas envie de parler, et encore moins de ce qui c'était passé le soir d'avant. Et, les gens ici ne devaient pas parler vraiment d'autre chose...
Pour bien se réveiller, Geneva prit un peu de l'eau qui était dans un verre à côté d'elle et se la passa sur le visage. Une fois cela fait, elle s'essuya le visage avec sa manche. Elle regarda une nouvelle fois autour d'elle et vit Celia. Elle n'était pas là, quelques minutes auparavant, Geneva en était sûre.
Elle-même étonnée par ses actes, la rouquine fit un signe de main à Celia pour lui dire de venir la voir. La seconde Serdaigle était aussi amochée par la fête qui a mal tourné le jour d'avant. Elle n'avait sûrement pas voulu embêter plus l'infirmière le jour d'Halloween, mais, par raison de sécurité, avait du venir ce jour-là pour vérifier son état de santé.
« Salut... Alors, comment s'est finie la soirée ? J'ai pas loupé le feu d'artifice, j'espère ! », plaisanta Geneva.
Après un petit rire nerveux, la seconde année retrouva son sérieux et reprit la parole :
« Ça va ? Rien de grave, j'espère ? »
@Celia-Awena Fournier, si tu as quoi que se soit à modifier dans mon post, dis-le moi
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
12 janv. 2020, 14:45
Sacré bal !
Je me suis réveillée, après un sommeil sans rêves, dans un lit, pas le mien, dans un dortoir, pas le mien, le corps douloureux et fatigué, et j'ai un peu de mal à comprendre ce qui m'est arrivé.
«Tu es enfin réveillée, Awena.»
Je tourne ma tête vers mon cousin, qui ne devrait pas être là. Sauf si je suis malade. Je lui lance un regard ensommeillé, et avant que je puisse ouvrir la bouche, il lève une main fine, puis parle.
«Tu as été blessée au bal,
hier. Tu te souviens ? »
Les souvenirs sont flous dans ma tête, et je ne me souviens pas des circonstances dans lesquelles j'ai été blessée. Je secoue alors la tête en signe de dénégation et il grimace.
«Tu as pris un coup violent au crâne, tu t'es tordu un poignet et une cheville. Oh, et ton corset t'a valu des bleus, et tu as des coupures aux jambes. »
Je jette un oeil a mes jambes, et en effet, ma jambe droite est surélevé. Je me suis déjà foulé cette cheville là, plus jeune.
«Tu vas te servir de cannes anglaises un moment. Probablement 10 jours »
Je porte mon regard sur le plafond, toujours sans mot dire. Mon voisin, me regarde, l'air soucieux, mais ne dit plus rien.
Nous restons ainsi, silencieux, lui a penser a je ne sais quoi, et moi qui me soiveins doucement du bal. Au bout d'une quinzaine de minutes, il rompt le silence.
«Tu veux aller voir tes amis ? A ma connaissance, il y a pas eu de morts,
mais tout de même. »
J'aquiecse en silence, et il m'aide à me redresser, puis a me lever, et me tend une béquille blanche, puis m'aide a comprendre comment marcher avec.
«_Merci, Teddy. Tu vas bien ?
Un grand sourire barre son visage
_On fait comme on peut,
Awena. Mon corps est fatigué, rien de plus, Dieu merci. Reviens dans une vingtaine de minutes, d'accord ?»
J'acquiesse et sors de l'intimite que nous avaient procuré les rideaux. Je suis en robe de nuit blanche, longue et vaporeuse mais au diable la bienscéance, je me dis. Je me mets à chercher Geneva, en premier. Elle est tombée, et j'espere qu'elle va bien.
Je finis par la trouver, étendue dans un lit, mais réveillée. Elle me remarque et me fait signe de venir. Je me hâte d'arriver près d'elle, et me poste près de son lit. Elle semble a peu prés entière.
«C'était pas aussi beau sans toi. Même si la directrice était vraiment cool. »
Je marque une pause, et elle en profite pour me demsnder si ça allait. En haussant les épaules et sans la regarder je lui énumère rapidement mes bobos physiques, avant de me touner vers elle et de planter mes yeux dans les siens.
«Ne me fais plus jamais ça,
Geneva. Je t'en supplie. Plus jamais. Ne te jette plus devant le danger ainsi. Même si tu te sentais visée, tu n'aurais pas dû. Je ne veux pas te perdre. »
Je me tais un instant, fatiguée de rester debout, avant de lui demander:
«Tu t'es sors comment, toi ? Tu sembles avoir eu moins de blessures que moi. Je peux m'assoir, au faite ?»
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
«Tu es enfin réveillée, Awena.»
Je tourne ma tête vers mon cousin, qui ne devrait pas être là. Sauf si je suis malade. Je lui lance un regard ensommeillé, et avant que je puisse ouvrir la bouche, il lève une main fine, puis parle.
«Tu as été blessée au bal,
hier. Tu te souviens ? »
Les souvenirs sont flous dans ma tête, et je ne me souviens pas des circonstances dans lesquelles j'ai été blessée. Je secoue alors la tête en signe de dénégation et il grimace.
«Tu as pris un coup violent au crâne, tu t'es tordu un poignet et une cheville. Oh, et ton corset t'a valu des bleus, et tu as des coupures aux jambes. »
Je jette un oeil a mes jambes, et en effet, ma jambe droite est surélevé. Je me suis déjà foulé cette cheville là, plus jeune.
«Tu vas te servir de cannes anglaises un moment. Probablement 10 jours »
Je porte mon regard sur le plafond, toujours sans mot dire. Mon voisin, me regarde, l'air soucieux, mais ne dit plus rien.
Nous restons ainsi, silencieux, lui a penser a je ne sais quoi, et moi qui me soiveins doucement du bal. Au bout d'une quinzaine de minutes, il rompt le silence.
«Tu veux aller voir tes amis ? A ma connaissance, il y a pas eu de morts,
mais tout de même. »
J'aquiecse en silence, et il m'aide à me redresser, puis a me lever, et me tend une béquille blanche, puis m'aide a comprendre comment marcher avec.
«_Merci, Teddy. Tu vas bien ?
Un grand sourire barre son visage
_On fait comme on peut,
Awena. Mon corps est fatigué, rien de plus, Dieu merci. Reviens dans une vingtaine de minutes, d'accord ?»
J'acquiesse et sors de l'intimite que nous avaient procuré les rideaux. Je suis en robe de nuit blanche, longue et vaporeuse mais au diable la bienscéance, je me dis. Je me mets à chercher Geneva, en premier. Elle est tombée, et j'espere qu'elle va bien.
Je finis par la trouver, étendue dans un lit, mais réveillée. Elle me remarque et me fait signe de venir. Je me hâte d'arriver près d'elle, et me poste près de son lit. Elle semble a peu prés entière.
«C'était pas aussi beau sans toi. Même si la directrice était vraiment cool. »
Je marque une pause, et elle en profite pour me demsnder si ça allait. En haussant les épaules et sans la regarder je lui énumère rapidement mes bobos physiques, avant de me touner vers elle et de planter mes yeux dans les siens.
«Ne me fais plus jamais ça,
Geneva. Je t'en supplie. Plus jamais. Ne te jette plus devant le danger ainsi. Même si tu te sentais visée, tu n'aurais pas dû. Je ne veux pas te perdre. »
Je me tais un instant, fatiguée de rester debout, avant de lui demander:
«Tu t'es sors comment, toi ? Tu sembles avoir eu moins de blessures que moi. Je peux m'assoir, au faite ?»
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Fehu
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
28 janv. 2020, 16:58
Sacré bal !
Tandis que Celia répondait aux questions posées par Geneva, celle-ci l'observa. En plus des blessures qu'elle énumérait, elle avait l'air fatiguée. À quelle heure la rouquine avait-elle était contrainte de quitter la soirée ? Et jusqu'à quelle heure sa camarade était restée debout ? Perdue dans ses pensées, elle fut rappelée à l'ordre par la brune qui la sermonait et la priait de ne plus faire des choses aussi inconscientes que celles qu'elle avait faite, la nuit d'avant.
« C'est promis : je serais plus prudente, à l'avenir. Elle s'arrêta de parler, et Celia lui demanda, l'air encore plus fatiguée qu'avant, si elle pouvait s'asseoir. Oh, tu peux t'asseoir, bien sûr ! Toutes les chaises sont prises, mais... »
Geneva s'arrêta, se décala dans le lit et tapota avec la paume de sa main la partie qu'elle venait de libérer. Ainsi, sa camarade put s'asseoir. Elles eurent un contact visuel pendant deux secondes tout au plus, qu'elle rompit en regardant ailleurs. Pour une raison qu'elle ignorait, ce contact sans parole, juste des regards, des mots qui n'étaient ni exprimer dans les livres ni dans les films, qui volaient à travers l'air, lui faisaient peur. Ce qui se disait autrement que par la parole n'était pas prévisible et trahissaient les personnes et leurs sentiments, elle s'en méfiait donc.
« Quelqu'un sait ce qu'était réellement l'attaque, au final, ou bien est-ce toujours flou ? », demanda Geneva pour briser ce silence qui la mettait si mal à l'aise.
Là, le contact reprit mais, accompagné de mots, il paraissait moins dangereux qu'elle ne l'avait perçu un instant avant.
@Celia-Awena Fournier
« C'est promis : je serais plus prudente, à l'avenir. Elle s'arrêta de parler, et Celia lui demanda, l'air encore plus fatiguée qu'avant, si elle pouvait s'asseoir. Oh, tu peux t'asseoir, bien sûr ! Toutes les chaises sont prises, mais... »
Geneva s'arrêta, se décala dans le lit et tapota avec la paume de sa main la partie qu'elle venait de libérer. Ainsi, sa camarade put s'asseoir. Elles eurent un contact visuel pendant deux secondes tout au plus, qu'elle rompit en regardant ailleurs. Pour une raison qu'elle ignorait, ce contact sans parole, juste des regards, des mots qui n'étaient ni exprimer dans les livres ni dans les films, qui volaient à travers l'air, lui faisaient peur. Ce qui se disait autrement que par la parole n'était pas prévisible et trahissaient les personnes et leurs sentiments, elle s'en méfiait donc.
« Quelqu'un sait ce qu'était réellement l'attaque, au final, ou bien est-ce toujours flou ? », demanda Geneva pour briser ce silence qui la mettait si mal à l'aise.
Là, le contact reprit mais, accompagné de mots, il paraissait moins dangereux qu'elle ne l'avait perçu un instant avant.
@Celia-Awena Fournier
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
14 févr. 2020, 09:38
Sacré bal !
Je réussis à arracher à Geneva une promesse, et elle me taille une place sur son lit. Calmement, comme si j'avais fait ça toute ma vie, je pose ma canne anglaise dans un coin de la cabine, puis sautillant sur deux pas, je regagne le lit et m'y assois, suffisamment loin pour que mes pieds ne touchent plus le sol, mais pas assez pour toucher l'autre aiglonne, avant de me tourner vers elle, et d'établir un bref contact visuel, contact qu'elle rompt d'ailleurs.
J'ai beau etre fatiguée, ce n'est pas une raisonbde mettre quelqu'un mal à l'aise comme ça ! A quel moment on fixe quelqu'un du regard ainsi ? Quelle troll des montagnes je fais !
Ma camarade finit par reprendre la parole, me demandant ce qu'on sait sur le bal.
Je regarde le plafond en m'appuyant sur mon bras gauche tendu derrière moi et réfléchis, d'abord dans na tête, puis quelques secondes plus tard, à haute voix.
«Donc. Je disais que Miss Loewy a elle même attrapé les fauteurs de troubles, donc ils seront punis, mais je ne sais pas comment. Par contre, je sais qu'au moins l'un d'entre eux doit être dans l'infirmerie, l'un d'entre eux a été brûlé hier,
quelqu'un a dressé un mur de feu entre la salle de bal et l'extérieur, et l'un d'eux y a été pris. Et aussi, je pense qu'ils n'ont pas tous été attrapés pour le moment, Alice a été attaquée par l'un d'eux, pas loin de là où j'étais. »
Je baisse le regard vers mes jambes qui pendent dans le vide. Pourquoi Alice a été attaquée ? La personne sait-elle pour le Merlin, ou bien Alice lui a fait quelque chose de particulier ? Peu probable, Alice n'est ni Blaze, ni Pansy. Et aussi, comment celui ou celle qui nous as percutées en est arrivé là ? Il n'a définitivement pas trébuché sur nous. Je fronce les sourcils, et grimace, essayant de me souvenir. Mais je ne peux me souvenir que d'une scène floue, enfumée, bruyante et douloureuse. Par contre, je me souviens très bien de toutes mes pensées, et de toutes mes sensations. Je ne sais pas si c'est mieux ainsi.
«J'ai récolté les plus graves de mes blessures en me recevant quelqu'un.
Je suis certaine qu'il n'a pas été soufflé par une explosion, je l'aurais entendue. Ce qui veux dire deux choses : un ou plusieurs pseudo-mangemorts étaient avec nous,
ou alors, certains ont profité de l'agitation pour régler leurs comptes. je souffle, toujours songeuse Et je sais pas laquelle de mes hypothèses je préfère. Les deux sont effrayantes.
Je passe ma main sur mon visage, comme pour arrêter les souvenirs. Mais ils sont trop fugaces, plus que les normaux, et je ne sais pas comment arrêter des sensations et des pensées. Je repose ma main indemne dans mon dos, et laisse mes pensées défiler. Elles vont sans cesse vers le Merlin, et la possibilité que nous soyons découverts. Il nous faut un protocole d'urgence. Et aussi, je ne veux plus être aussi peu utile qu'un civil en zone de guerre. Je vais de...
Sous ma main gauche, il y a quelque chose. Je tourne mon regard vers cette dernière et constate que ma main est sur Geneva.
«C'est vrai. Aujourd'hui est un autre jour. » Je souris en ne tournant vers mon amie. «Et hier ne compte plus. »
Je souris à Geneva, puis je lui propose, un peu sur un coup de tête :«J'ai aimé danser avec toi. Lorsque nous irons mieux, on se refera une danse ?»
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
J'ai beau etre fatiguée, ce n'est pas une raisonbde mettre quelqu'un mal à l'aise comme ça ! A quel moment on fixe quelqu'un du regard ainsi ? Quelle troll des montagnes je fais !
Ma camarade finit par reprendre la parole, me demandant ce qu'on sait sur le bal.
Je regarde le plafond en m'appuyant sur mon bras gauche tendu derrière moi et réfléchis, d'abord dans na tête, puis quelques secondes plus tard, à haute voix.
«Donc. Je disais que Miss Loewy a elle même attrapé les fauteurs de troubles, donc ils seront punis, mais je ne sais pas comment. Par contre, je sais qu'au moins l'un d'entre eux doit être dans l'infirmerie, l'un d'entre eux a été brûlé hier,
quelqu'un a dressé un mur de feu entre la salle de bal et l'extérieur, et l'un d'eux y a été pris. Et aussi, je pense qu'ils n'ont pas tous été attrapés pour le moment, Alice a été attaquée par l'un d'eux, pas loin de là où j'étais. »
Je baisse le regard vers mes jambes qui pendent dans le vide. Pourquoi Alice a été attaquée ? La personne sait-elle pour le Merlin, ou bien Alice lui a fait quelque chose de particulier ? Peu probable, Alice n'est ni Blaze, ni Pansy. Et aussi, comment celui ou celle qui nous as percutées en est arrivé là ? Il n'a définitivement pas trébuché sur nous. Je fronce les sourcils, et grimace, essayant de me souvenir. Mais je ne peux me souvenir que d'une scène floue, enfumée, bruyante et douloureuse. Par contre, je me souviens très bien de toutes mes pensées, et de toutes mes sensations. Je ne sais pas si c'est mieux ainsi.
«J'ai récolté les plus graves de mes blessures en me recevant quelqu'un.
Je suis certaine qu'il n'a pas été soufflé par une explosion, je l'aurais entendue. Ce qui veux dire deux choses : un ou plusieurs pseudo-mangemorts étaient avec nous,
ou alors, certains ont profité de l'agitation pour régler leurs comptes. je souffle, toujours songeuse Et je sais pas laquelle de mes hypothèses je préfère. Les deux sont effrayantes.
Je passe ma main sur mon visage, comme pour arrêter les souvenirs. Mais ils sont trop fugaces, plus que les normaux, et je ne sais pas comment arrêter des sensations et des pensées. Je repose ma main indemne dans mon dos, et laisse mes pensées défiler. Elles vont sans cesse vers le Merlin, et la possibilité que nous soyons découverts. Il nous faut un protocole d'urgence. Et aussi, je ne veux plus être aussi peu utile qu'un civil en zone de guerre. Je vais de...
Sous ma main gauche, il y a quelque chose. Je tourne mon regard vers cette dernière et constate que ma main est sur Geneva.
«C'est vrai. Aujourd'hui est un autre jour. » Je souris en ne tournant vers mon amie. «Et hier ne compte plus. »
Je souris à Geneva, puis je lui propose, un peu sur un coup de tête :«J'ai aimé danser avec toi. Lorsque nous irons mieux, on se refera une danse ?»
@Geneva King
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Fehu
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.