@Siam Vostra
suite de ce rp

Une fois que Miss Perkins avait aidé la sang-mêlé a transporter la jeune fille a l' infirmerie, la professeur et l' élève installèrent la fille mystère sur un lit, Rose avait les bras en compote après un tel effort de porter une fille certainement plus grande qu'elle a travers le château. Par la suite la blondinette s' était assise sur une chaise dans la salle d' attente, près de la professeure. C' était une salle où se trouve une demi douzaine de chaises et quelques cousins posés directement au sol.

Rose patienta en tapent rapidement du pied sur le sol , une manie chez elle. Dès qu' elle était stressé ou anxieuse ce tic revenait, surement du a sa légère hyperactivité... Au bout d' un moment qui sembla être une éternité, Rose se leva et regardas dans la salle des blessés ce qu'il se passait, la jeune fille observa la salle dans ces moindre détailles.

C' était une grande salle très lumineuse grâce au large fenêtres qui donnaient sur le lac et le parc. A l' intérieur les lits étaient entourés de paravent pour que les élèves blessés restent dans leur intimité. Les draps étaient tous sans aucune exceptions d' un blanc immaculé, Rose pensât tout de suite a de la neige en les voyants. Rose jeta un oeil a la fille qu' elle avait trouvé, elle respirait calmement, comme si elle dormait. Rose était vraiment curieuse a son sujet : Comment elle s' appelle ? Que c'est il passé pour qu'elle soit dans cet état ? Pourquoi elle était dans les couloirs si tôt ? pensât elle avide de réponse. Sortis de ses rêveries, elle parla essayant d' attirer l' attention de l' infirmier pour qu'il lui vienne en aide :

-Heum...Ya quelqu'un ? J' ai besoins d' aide, j' ai trouvé une fille inconsciente dans les couloirs...

Rafael avait sciemment réglé son réveil à une heure matinale. Cela faisait quelques jours qu’il avait posé ses valises à Poudlard et il estimait avoir encore beaucoup de travail à faire pour que cette pièce soit parfaite. Cela faisait donc déjà quelques heures que le jeune homme s’affairait à ce que tout soit parfait. Il quitta la salle de soins après s’être assuré que tous les lits étaient bien faits, les paravents propres et en place.

Il retrouva la chaleur de son bureau et après avoir jeté un coup d’œil à la pièce, il émit un léger soufflement. Il restait encore beaucoup de travail avant que la pièce ne soit présentable. Il commença par ranger toutes les potions et les philtres dans l’armoire en s’assurant qu’il en restait suffisamment. Il savait qu’il allait devoir se rendre dans les cachots pour parler avec sa collègue de son stock de potions. Sans se préoccuper de ce qui l’entourait, le jeune homme continua ce qu’il faisait tout en pensant aux potions.

C’est alors qu’il entendit une vois féminine dans la pièce voisine. Il releva la tête et à travers la vitre, il aperçut une jeune fille accompagnée d’une enseignante. Selon ce qu’elle avait dit, une jeune fille inconsciente les accompagnait. Ne la voyant pas et croyant à une mauvaise blague, il sortit pour essayer de comprendre ce qu’il se passait. Il sorti de son bureau et en s’approchant de la jeune fille qui avait parlé il en aperçut une autre allongé sur un lit. Elle n’était pas là quelques minutes plus tôt. Il devina alors que c’était de cette fille là que la première parlait. Il s’empressa de s’approcher du lit tout en parlant à la jeune fille consciente.

« Bonjour! Que s’est il passé? Depuis quand est elle dans cet état ? A-t-elle subi un traumatisme? Expliquez moi tout!»

L' infirmier arriva quelques secondes après que Rose aie parlé, c' était un homme brun aux yeux bleus. Vraiment beaucoup plus grand qu' elle. Du coin de l' oeil elle vis Miss Perkins faire un signe a l' infirmier et partir discrètement. Quand il arriva il posa tout un tas de questions a la petite Blue qui mis du temps a comprendre ce qui lui arrivais, elle finit par formuler des réponses avec les connaissances qu' elle avait sur la Fille.

-Je...j' ai trouvé cette fille dans les couloirs. Ça doit faire, je sais pas...quinze minutes, le temps de trouver un professeur et de vous l' amener. Quand au traumatisme, j'en sais rien je ne la connais pas...Quand je l'ai trouvé elle convulsait et avait beaucoup de mal a respirer. Elle était aussi légèrement blessé a la tête mais rien de grave je crois.

Cette fille intriguais beaucoup Rose...Pourquoi était elle dans les couloirs si tôt ? Pourquoi était elle dans cet état ? Comment elle s'appelait ? Est si la Fille ne l' aimais pas et la rejetais a son réveille ? Trop de questions pour une petite tête comme la sienne...Elle allais finir par craquer mais elle ne devait pas, pas devant l' infirmier et pas devant la Fille même si celle ci était encore endormis. Elle n' était pas faible a ce point. Elle eu ce petit moment d' absence pendant le quel elle se posa toutes ces questions même pas cinq secondes. Quand elle revint à elle, elle posat les yeux sur l' infirmier et attendis son verdict.

Rafael fit abstraction de tout ce qui se trouvait autour de lui pour se concentrer sur sa patiente tout en écoutant malgré tout le récit de celle qui l’accompagnait. Rassuré de voir les mouvements de la cage thoracique de la jeune fille, il écouta avec plus d’attention les explications de la Serdaigle qui avait porté jusqu’à l’infirmerie la jeune fille. À ses dires, la jeune fille avait fait une crise d’épilepsie et son état post critique n’était pas bon. Elle était inconsciente depuis plus de quinze minutes ce qui pouvait dire que son cerveau était en souffrance.

Cependant, c’était un sujet jeune et les probabilités pour que le cerveau soit atteint étaient faibles. Dans ses propos, la Serdaigle fit comprendre à l’infirmier qu’elle ne connaissait pas la patiente et ce dernier en déduisit qu’il ne pourrait pas en savoir plus sur l’historique médical de la patiente. Il fit un signe de tête rapide à cette dernière et se retourna vers sa patiente. Il aurait aimé se trouver à Ste Mangouste et posséder le matériel nécessaire pour faire ses analyses mais Poudlard ne possédait pas autant de matériel que l’hôpital aujourd’hui en ruine. Contrainte de faire ça, il se tourna vers sa patiente et d’un coup de baguette lança un « Revigor» . L’infirmier attendit quelques secondes que son sortilège fasse effet puis quand il jugea opportun de le faire, il s’empara des deux mains de la jeune fille et parla:

« Bonjour, je suis Rafael, vous êtes à l’infirmerie de Poudlard. Comment vous sentez vous ? Vous m’entendez ?»

Des voix. Des Mots. Ils venaient de loin, comme si ils avaient parcourus des milliers de kilomètres avant d'arriver jusqu'à ses oreilles. Mais pourquoi est-ce qu'elle avait si mal ? Chaque muscle de son corps se rappelait à elle dans des élancement douloureux. De la même manière, elle avait l'impression que des milliers de minuscules aiguilles lui transperçaient le crâne. Le Noir était encore présent partout autour d'elle. Mais la voix était là, brisant le silence. "Infirmerie." "Poudlard." A l'infirmerie ? Elle était donc à l'infirmerie ? Il ne fallait pas qu'elle reste là. Et puis d'abord qu'est ce qu'elle fichait ici ?

Siam ouvrit les yeux. La lumière sembla lui transpercer le crâne mais elle se força à garder les yeux ouverts. Petit à petit les formes floues prirent des contours plus nets. Elle sentait que quelqu'un lui tenait les mains, chose qui l'aurait sans doute effrayée en tant normal. Mais là elle trouvait ça presque rassurant. Elle avait envie de s'accrocher à ces mains comme à une bouée. Elle leva les yeux vers le propriétaire des mains...

-Papa ?

Elle avait à peine murmuré, de sorte qu'il ne l'avait sans doute pas compris. Et puis qu'est ce qu'elle était stupide. Évidemment que non ce n'était pas son père. Les deux hommes étaient tout deux grands avec des cheveux noirs, mais la ressemblance s'arrêtait là. La personne devant elle devait être l'infirmier. Ce n'était pas son père. Son père...

Une vague de souvenirs vint se percuter violemment contre son crâne. La lettre. Les Mots. Violents. "Je ne veux pas d'un monstre sous mon toit" Une violente nausée pris tout l'être de Siam. Son père lui avait dit qu'il ne voulait plus d'elle comme fille. Et après ? Que c'était-il passé ? Son regard vint se poser sur une petite fille blonde dans le coin de la pièce, elle le détourna aussitôt. Était-ce elle qui l'avait amené ici ? Pourquoi ? Elle s'était évanouie ?

Les Larmes coulèrent. Aucun son, juste les larmes qui perlaient d'abord au coin de ces cils et venaient se perdre dans ses cheveux à cause de sa position allongée. Elle avait mal. Tellement mal. La douleur mentale s'était transformée en douleur physique. Dans tout son corps mais surtout dans son cœur.

Il ne voulait plus d'elle. Il la détestait. Elle était un monstre. Elle aurait du mourir. Ou bien elle n'aurait jamais du naître.

Elle n'avait rien à faire ici, elle voulait s'enfuir. Partir loin de tout. Loin de tout. Aller tuer, étrangler de ses mains la femme qui était responsable de ce qu'elle était devenue pour son père. Un monstre. Ou alors elle voulait juste rentrer chez elle. Que tout soit comme avant. Que la magie n'existe pas autrement que dans les histoires. Elle voulait se blottir contre le torse de son père, et qu'il la rassure, comme avant.

-Je veux partir. S'il vous plaît...

Elle ne voulait pas rester ici. Elle ne voulait pas. Elle tenta de se redresser mais sa tête lui tourna. Elle reposa sa tête, des points noirs devant la vision. Entre ça et les larmes, elle n'y voyait plus rien. Elle devait être bien pitoyable comme ça. Le visage inondé, la morve coulant du nez, incapable de se relever. Tout juste bonne à pleurer comme une enfant de quatre ans.

-S'il vous plaît...



Mr Mason, je tiens à vous remercier dès maintenant d'avoir accepter de faire ce Rp avec nous et à m'excuser en rapport à ce que vous avez dit dans les Informations ce matin. Merci beaucoup à vous...

Rafael attendit quelques secondes que son sortilège fasse effet et que la jeune fille retrouve ses esprit. Il avait trop peu d’informations en sa possession pour prendre en charge de manière optimale sa patiente. Il vit se visage se contracter légèrement et bientôt ses yeux clignèrent. Son sort avait fonctionné et petit à petit elle retrouvait ses capacités. L’infirmier fut rassuré de voir qu’elle réagissait très bien, cela voulait dire qu’elle n’avait pas de complications, sa perte de connaissance n’était peut-être pas si dramatique. Elle ouvrit enfin la bouche pour parler de nouveau mais Rafael comprit très vite qu’elle était désorienté, elle ne savait pas où elle se trouvait. Croyant faire face à son père, la jeune fille l’appela à l’aide mais se rendit cependant vite compte qu’elle n’avait pas à faire à cette personne.

Rafael voulut lui expliquer la situation mais il vit la jeune fille faire le tour de la salle avec ses yeux pour découvrir ce qui l’entourait. Elle était certainement en train d’assembler les pièces du puzzle et le trentenaire décida de la laisser faire avant de réagir. Il vit alors les larmes couler le long des joues de la Serdaigle et très vite elle prit conscience de tout ce qu’il venait de se passer. Elle demanda alors à son ainé de la laisser sortir, elle le supplia même. S’il avait pu, il aurait répondu à ses attentes mais ce n’était pas le cas, il devait la surveiller et elle devrait rester à l’infirmerie plus de temps qu’elle ne le pensait.

« Je suis désolé mais pour le moment vous allez devoir rester avec moi, j’ai quelques surveillances à faire et je ne peux pas vous laisser partir. Est-ce que vous pouvez m’expliquez ce qu’il s’est passé?»

Les Larmes ne venaient plus se perdre dans ses cheveux ou dans son coup. Elles n'étaient plus visibles, elles étaient intérieures. Cachées au sein même de l'être de Siam, et elles coulaient inexorablement vers son cœur. Elles n'étaient plus faites d'eau salée mais d'un métal très lourd qui venait la détruire et ouvrir la Déchirure.

Pourquoi ne pouvais t'elle pas partir ? Partir de ce putain de lit blanc qui lui donnait le tournis. Partir de cette infirmerie dans laquelle elle n'avait pas de raisons d'être. Partir de ce château qui avait fait d'elle une sorcière, et donc un monstre. Qui l'avait arraché à sa famille au point qu'elle n'en faisait maintenant plus partie. Partir de ce Pays ou les sorciers étaient en guerre contre les moldus et ou la violence n'en finissait jamais. Partir de cette putain de planète et de cette vie. Partir de la vie, c'était mourir ? Peut-être bien... Mais avait-elle réellement envie de mourir ? La mort était elle moins effrayante que la vie ? Alors dans ce cas là, pourquoi n'était-elle pas morte là, dans ce couloir ?

Cet homme, l'infirmier, que pourrait-il comprendre de ce qu'il se passait dans le cœur et l'esprit de Siam en ce moment... Elle même ne le comprenait pas alors lui n'avait aucune chance. Mais le poids de tout cela devenait trop lourd. Beaucoup trop lourd. Cependant elle ne pouvait pas tout avouer, tout lâcher. Personne ne comprendrais, et puis tout cela ne regardait aucun autre qu'elle même. Elle devait rester seule avec ses problèmes. De plus la présence de cette autre fille la perturbait. Elle ne voulait pas se trouver en position de vulnérabilité devant qui que ce soit, et encore moins une première année. Première année qui l'avait déjà amené jusqu'ici et qui en savait déjà trop.

Soudain une pensée traversa son esprit, les mots franchirent ses lèvres tout seuls :

- La lettre ? Ou... Ou est-elle ?

Une vague de panique saisis son être tout entier, et si quelqu'un l'avait lu ? Ils n'avaient pas le droit. Si ils l'ont fait ils n'avaient pas le droit. La respiration de la jeune fille s’accéléra tandis que la chaleur lui montait à la tête. Elle fis un effort surhumain pour se calmer un petit peu.

-La lettre de mon père ? Tu l'as prise ? Tu l'as lue ?

Elle ne pu cacher l'hostilité dans sa voix en s'adressant à la jeune fille blonde. Elle n'y étais sans doute pour rien, mais la peur était plus forte que tout. Et surtout plus forte que l’amabilité. Elle ne pourrais plus se tenir debout devant qui que ce soit ayant lu cette lettre sans mourir de honte et de colère...

Tout était allé très vite, l' infirmier avait lancer un sort pour réanimer la Fille, celle-ci avait cru parler a son père, l' avait supplier de partir...Ensuit l' infirmier avait demandé à la Fille avait comme eu un sursaut et avait demandé ou était passé la Lettre, Rose avait effectivement vus une boule de papier près de la jeune fille quand elle l' avait trouvé, elle l' avait ramassé et l' avait gradé dans sa poche, peut être était ce la cause de sa crise...pensat la sang-mêlé un peut inquiète. Elle n' avait pas lus la lettre par respect pour la Fille. Quand celle ci la réclama, Rose qui était restée en retrait tout du long de l' intervention de l 'infirmier s' avança près du lit et s' adressa a la convalescente :

-Tien, je l' ai récupéré, pas lus promis, je l' ai trouvé près de toi quand je t'ai vus. Au
fait, comment tu t' appelle ?

Rose était triste et ne comprenais pas, la Fille lui avait parlé d' un ton sec et sans aucune amabilité, elle lui avait presque aboyé dessus, aucun remerciement, rien. si je ne l' avait pas trouvé qui sait ce qu'il serait arrivé...? se dit elle amèrement. Ensuite elle se tourna vers l' infirmier :

-Heum, monsieur, je vais y aller j' ai bientôt cour, merci beaucoup. Je repasserais surement dans la journée.

Rafael voyait la détresse dans les yeux de la jeune fille. Il ne savait pas ce qu’elle avait vu ou ce qu’il lui était arrivé mais il était évident qu’il ne pouvait pas la laisser sortir dans cet état. Il réfléchissait à la manière dont il pouvait faire pour qu’elle comprenne que c’était nécessaire de rester pour qu’il puisse faire tous les examens et comprendre la situation. Cependant, un détail sembla revenir à l’esprit de la sorcière et elle tourna la tête vers l’élève qui l’avait ramené jusqu’à l’infirmerie. D’un ton rapide et légèrement agressif, elle lui posa des questions à propos d’une lettre de son père qu’elle aurait reçue.

Rafael se retourna à son tour vers la jeune fille qui semblait légèrement déstabilisée. Elle ne s’était certainement pas attendue à une telle réaction après avoir aidé la patiente. Malgré tout, elle garda son calme, elle s’approcha du lit et tendit la lettre à la patiente en lui promettant ne pas l’avoir lue. Elle se retourna ensuite vers Rafael, le regard triste et lui expliqua qu’elle allait le laissé travaillé. Avant qu’elle ne parte, Rafael la remercia.

« Vous avez fait ce qu’il fallait, merci. N’hésitez pas à venir si vous avez besoin de quelque chose. D’accord? »

Il lui adressa un sourire poli et replia son attention sur la patiente. Elle ne semblait pas enclin a vouloir de l’aide et il craignait qu’elle n’accepte pas la sienne. Il lui laissa le temps de se calmer et se rassurer en voyant qu’elle avait la lettre qu’elle cherchait. Après un temps qu’il jugea suffisant, il ouvrit la bouche et parla d’une voix calme.

« Comment vous vous appelé? Que s’est il passé pour que vous perdiez connaissance ainsi? Vous voulez en parler? Je ne vous jugerai pas et cela restera entre nous. »

Quand Rose demanda a l' infirmier si elle pouvait partir celui ci accepta et lui proposa de revenir si elle avait besoin de quelque chose :

-Oui monsieur, je n' hésiterais pas, merci beaucoup. Bonne journée à vous.

Elle avait prononcé ces paroles d' un ton dur, elle ne voulais pas mais elle était trop triste et en colère a cause de la réaction de la Fille...C' était la goutte d' eau qui *faisait déborder le vase.

Elle franchit la porte de l' infirmerie et glissa contre le mur pour méditer et analyser les derniers événements. Plusieurs émotions la submergèrent, en premier lui vint le goût amer de la colère qui lui donna envie de frapper encore et encore cette Fille qui s' était permise de mal lui parler alors qu' elle n' avais voulus que l' aider, elle l' avait repoussé sans aucunes raisons, ensuite la tristesse pris le dessus sur ses émotions, douloureuse, glaçante comme les eaux d'un lac sans fond, Rose avait toujours aimé, toujours soutenu sans retour. Et encore une fois elle n' avait reçus que de la haine en guise de remerciement...Elle en avait marre d' être un pantin, un bouche trou, un pansement que l'on jette une fois utilisé. Elle était vidé, fatigué de tout, fatigué de devoir sourire et parler aux gens. Elle ferma les yeux et une larme de détresse, un SOS coula sur sa joue d' enfant. S'en était fini elle ne serais pas comme avant.

Fin du rp pour moi, merci beaucoup Siam pour ce rp et merci a vous M. Mason
A ton tour @Siam Vostra