Je soupire, essayant de me donner du courage. Je dois aller voir mr Mason, les informations des livres sont trop complexes, ou pas assez détaillées, ou un brin obsolètes, et nous voulons faire du bon travail. Pas complexe, me direz vous, je connais le chemin de son bureau, et je sais qu'il ne me mordra pas. Ce serait méchant, mais en plus ça lui donnerait du travail en plus. Et j'ai préparé mes arguments depuis qu'il a été décidé que j'irai le voir. Simple : Je suis très sportive, et les blessures mineures, c'est courant. Ca réglait le problème de savoir comment limiter des dégâts dus à un coup, ou à une course qui a mal fini, ou un truc de ce genre. Ensuite, j'essaierai de gratter quelques infos supplémentaires sur par exemple la meilleure utlisation possible d'une plante, ce genre de chose, si je peux, en parlant de la santé fragile de mon cousin. Je verrai.
Je me sens aussi anxieuse que pendant la minute juste avant de recevoir un sujet, lors d'un examen. Voire un peu plus, il ne s'agit pas de reproduire ce qui a été appris. C'est différent, je ne l'ai jamais fait et c'est un peu effrayant, et définitivement stressant.
Je me lève, et époussette machinalement ma jupe rose pâle plissée. Il commence juste à faire assez chaud pour que mes bottines soient un poil trop chaudes, mais je n'ai pas fait sortir mes sandales, le climat écossais est trop capricieux, c'est trop tôt. Il est temps de me diriger vers l'infirmerie.
J'arrive assez vite devant l'infirmerie. Et devant la porte vitrée du bureau de l'infirmier. Je toque. Et j'attends l'accord de l'occupant de la pièce pour entrer, me déplaçant alors aussi silencieusement que dès l'instant où j'ai franchi les portes de l'infirmerie, puis donner la raison de ma venue, mon envie de parler avec lui pour lui demander une faveur. Et j'attends aussi, une fois entrée, l'autorisation de prendre place dans un des fauteuils.


J'espère que cela vous conviendra, dites moi si quelque chose ne va pas

Le mois de Mars avait commencé depuis quelques jours mais le froid hivernal ne voulait pas laisser place à la douceur du printemps. Un regard par le fenêtre confirma à l’infirmier que ce serait encore une journée pluvieuse et froide. Il repensa alors à la chance qu’avait sa famille maternelle qui profitait du soleil et de la plage quasiment toute l’année. L’archipel du printemps éternel, cela pouvait faire rêver n’importe quel habitant du Royaume-Uni et c’était sans nul doute le cas du jeune homme anglo-hispanique. Il se promit de retourner aux Canaries cette été, cela ferait plaisir à sa grand-mère. Il ferma les yeux et reporta son attention sur ce qu’il faisait.

Il regarda le parchemin en essayant de comprendre comment contrer les effets indésirables de cette potion. Rafael était loin d’être aussi qualifié qu’un chercheur mais ses anciens collègues aimaient avoir le retour d’un point de vue pratique et non seulement théorique et c’était là qu’il intervenait. Mais ce ne serait pas pour aujourd’hui car il fut interrompu par un bruit provenant de la porte de son bureau. Il découvrit une jeune fille brune, pas très âgée. Il ne se rappelait pas l’avoir déjà vue dans son bureau et ne savait donc pas son nom. Rafael lui fit signe de rentrer et parla:

« — Bonjour jeune fille, que puis-je faire pour vous.? »

J'entre dans la pièce qui devrait être lumineuse, voire trop, par beau temps. Heureusement, on ne peut voir que l'habituelle pluie écossaise, je n'ai pas à plisser des yeux. Je regarde la pièce, d'un seul regard circulaire, et presqu'inconsciement, imprime un maximum de détails dans ma mémoire. Je suis habituée à le faire, perchée sur mon balai en plein match, ou lors d'un entrainement. Et depuis que les élèves s'en prennent à d'autres, je le fais à chaque fois que j'entre dans une pièce.
Mes pieds s'immobilisent près d'un des fauteils, sans pour autant m'y assoir immédiatement. J'attends l'accord de l'infirmier. Avant de me souvenir qu'étant autorisée à rentrer pour parler, je devrais pouvoir m'assoir sans autorisation. Je regarde, confuse, le fauteuil pendant cinq ou six longues secondes. Avant de regarder l'infirmier pour lui demander directement :
"Puis-je ?"
Ce n'est qu'après que je me lance, après une grande inspiration. Ma voix est calme et posée, et ne trahit pas ma nervosité. Pas plus que ma posture, absolument parfaite et normale. Tante Isy serait fière. Ma nervosité s'envole d'ailleurs après quelques mots, à ma grande joie.
"Je voulais vous demander quelque chose, monsieur. Je voudrais que vous me montriez les gestes à poser en premier àpres un incident, l'attitude à avoir, en attendant l'intervention de personnes qualifiées. Je marque une courte pause et me passe la main gauche sur la nuque, comme pour en chasser quelque chose. Je fais énormément de sport. J'en ai toujours fait beaucoup. De l'escrime et du patin artistique, principalement. Et du quiddich depuis un peu plus d'un an, dans l'équipe de Serdaigle. Je sais qu'à cause de cela, je vais assister à plusieurs situations où il y aura une blessure, et que les premières minutes sont cruciales pour le rétablissement du blessé. Or pendant ces minutes, vous ne serez pas forcément présent. Je marque une nouvelle pause, et reprend après avoir inspiré pronfondément. Si tout ce que je raconte est vrai, ce que je m'apprête à dire est pour moi, de façon totalement égoiste, je le sais, absolument crucial.
"Et puis, il y a mon cousin, Edward. Il est de constitution fragile. J'aimerais savoir quoi faire, la prochaine fois qu'il fera un malaise devant moi. Je déteste ne pas savoir quoi faire. " Je détourne le regard, et finis, dans un souffle "Je ne veux plus être aussi impuissante qu'au bal de toute ma vie..
Pendant une seconde où deux où les sensations que je n'ai pas oubliées me remontent à l'esprit, je reste dans cette position, les poings serrés et tendus, les machoires contractées. Mais je me reprend vite. Mes yeux vairons finissent pas se poser à nouveau sur l'adulte. "S'il vous plaît. Je serai une élève attetive.
Je continue de regarder mr Mason dans les yeux en attendant sa réaction, nerveuse à nouveau. J'entends d'ailleurs mon cœur pulser dans mes oreilles, mais je tente de l'ignorer. J'ai choisi de lui exposer mes raisons, et j'espère que ça le convaincra que je ne suis pas là sur un coup de tête

Dés que la jeune fille entendit la réponse de l'infirmier, elle se rapprocha du bureau de ce dernier. Arrivée à sa hauteur la jeune fille sembla hésiter sans savoir si elle pouvait s'asseoir sur la chaise en face de celle de l'infirmier. Avant que celui-ci n'ouvre la bouche pour lui confirmer qu'elle pouvait le faire, cette dernière ouvrit la sienne pour le lui demander. Rafael la regarda et acquiesça d'un signe de tête.

Mais la jeune fille ne semblait pas vraiment attendre la réponse de l'infirmier car elle ouvrit de nouveau la bouche pour lui expliquer les raisons de sa venue. De la s'ensuit alors une longue tirade que Rafael écouta avec attention. Elle ne venait donc pas pour une consultation mais pour que le jeune homme lui apprenne plusieurs petites choses concernant les premiers soins. Elle semblait avoir des raisons valables et l'infirmier comprenait qu'elle veuille en savoir plus sur les actes qu'elle pouvait faire en cas d'urgence. Rafael ne voulait pas effrayer la jeune fille mais une autre raison pouvait s'ajouter à toutes celles présentées. Bien qu'ils soient à Poudlard, il se passait parfois des événements où les connaissances en premiers secours étaient nécessaires. Malgré tout, Rafael ne voulait pas effrayer la jeune fille et espérait que Poudlard ne subisse pas de nouveau des événements entrainant des blessés.

Rafael regarda la jeune fille dans les yeux en essayant de trouver les mots justes. Elle semblait motivée et son récit sur son frère avait fini de convaincre l'infirmier, il comprenait la détresse que l'on pouvait ressentir face à l'impuissance devant la souffrance d'un être cher, il voulait l'aider. Il lui répondit alors:

« — Si je comprends bien, vous voulez que je vous apprenne les gestes de premiers secours, c'est ça?

Rafael se doutait qu'elle voulait aussi apprendre les sortilèges à utiliser en cas d'accident mais cela ne se ferait pas en discutant et il ne savait même pas à quel niveau elle se situait, La seule chose qu'il savait grâce à son blason était qu'elle faisait partie de la maison Serdaigle. Il ajouta alors:

— Est-ce que vous pouvez m'en dire un peu plus sur vous ? Comment vous appelez vous? Et en quelle année êtes vous? »

Mon visage s'éclaire lorsque mr Mason cherche la confirmation de ce que je veux. "Oui oui, c'est cela. Je veux apprendre tout ce que je peux."
Mon grand sourire fait place à une expression un peu plus sérieuse, puis je reponds aux questions légitimes de l'infirmier après un court temps de réflexion. "Je m'appelle Celia-Awena. Celia-Awena Fournier. J'ai 13 ans, et je suis en deuxième année, à Serdaigle. Comme je viens de le dire, je suis joueuse dans l'équipe de Quid, depuis un an, comme gardienne. Je ferme les yeux un court instant, cherchant des informations qui pourraient lui être utiles. Ah, oui, mes notes. Je suis plutôt bonne en potions et en botanique. Et je me suis interessée aux plantes qui sont un peu au dessus de mon niveau.Je ne suis pas aussi bonne en Sortilèges, mais je n'ai jamais eu moins qu'un Acceptable, une fois."
Une pause de plus, cherchant des informations de plus. "J'ai tenté de lire quelques livres sur les premiers soins, mais j'ai parfois du mal a visualiser. Mon precepteur ne m'a pas beaucoup parlé d'anatomie, aussi je n'ai que de vagues connaissances a ce sujet.
Un doigt posé sur mon menton, l'autre main sur mes cuisses, les yeux perdus sur un point situés légèrement vers la droite de l'adulte, je cherche encore ce qui pourrait être ajouté. Je finis par ramener mes yeux vers lui. "Voilà, c'est tout. J'ai déjà fait quelques choses basiques, comme changer la compresse froide sur la tête de Teddy lordqu'il faisait de la fièvre, mais je suis plutôt ignorante."
Un léger sourire gêné flotte sur mon visage. J'ai cherché de l'aide, a l'avenir, j'espère ne plus dire ces mots indignes de ma maison. Mais ce n'est pas comme si j'avais refusé d'apprendre, aussi.

Rafael n’eut aucune difficulté à remarquer qu’il a visé juste en reformulant les propos de la jeune fille. Au fur et à mesure que l’infirmier parlait, le regard de l’élève s’illumina et elle s’empressa de confirmer les propos de son aîné dés qu’il eut terminé de parler. Malgré tout, elle s’empressa de se ressaisir et remplaça son grand sourire par une façade plus sérieuse et Rafael ne put s’empêcher de se demander si cet enthousiasme ne cachait pas quelque chose d’autre que tout ce qu’elle venait d’expliquer. Il n’en dit rien, quoiqu’il en soit, il serait intéressant pour la jeune fille d’en connaître un peu plus sur la médecin et notamment les premiers soins.

Très rapidement, il en apprit plus sur la jeune fille. Il découvrit qu’elle s’appelait Celia-Awena et qu’elle était en deuxième année dans la maison Serdaigle. Elle continua sa présentation en parlant de ses activités et des différentes matières scolaires dans lesquelles elle évoluait. Enfin elle termina par lui expliquer qu’elle avait seulement quelques bases et Rafael comprit qu’elle semblait déterminer à en apprendre le plus possible. Il se décida alors à lui répondre

« — Très bien, vous semblez être motivée pour en apprendre plus et c’est parfait. Je vous propose que nous commencions par les gestes de premiers secours et pour le reste nous verrons plus tard. Il fit une pause et ajouta: Quand souhaitez-vous commencer? »

Les gestes de premier secours. Parfait. Exactement ce qu'il me fallait, pour débuter. Ensuite, il me faudra répéter ces gestes decant les autres soigneurs, et pourquoi pas, tous les membres du Merlin interessés. A la reflexion, plus de personnes connaissant les gestes de premiers secoirs, cela ne nous dessert en rien, au contraire. Ce seront les connaissances que j'acquierai en plus qui sont "facultives" et propres aux Soigneurs.
Je ne sais pas encore quelle forme prendront les cours, exactement. Je vais y penser. Et observer comment Maléfice et Layton procèdent avec les sorts. Et tirer ce que j'en pourrai.
J'hoche la tête pour montrer que je suis d'accord, bien que je le confirme en même temps "Entendu."
Ensuite vient la question de quand nous allons commencer. Sans prendre la peine de réfléchir, encore un peu excitée à la perspective d'apprendre de nouvelles choses, surtout, et aussi de pouvoir enfin poser des actions concrètes pour le Merlin, je répond: Le plus tôt possible. J'ai hâte d'apprendre de nouvelles choses !"
Ne devrais-je pas me modérer, là? Il s'agit de me montrer assez mature pour pouvoir apprendre. La motivation seule ne suffit pas. Je baisse les yeux un instant, essayant de cacher mes joues qui ont rougi, passant du rose dû a l'excitation d'apprendre et d'avoir convaincu l'adulte, à un rouge peu prononcé, qui aurait pu passer inaperçu si j'avais été moins claire. Raté. J'ai la peau trop blanche pour cela.
Je tousse pour reprendre contenance, avant de reprendre, en reportant mon regard sur mr Mason. "J'ai mes mercredis matins et vendredis après midi de libres, quelque soit la periode du calendrier des matches, et souvent, mes dimanches et samedis sont plus ou moins libres. Je peux commencer dès que cela vous arrange."
Il ne s'agit pas de l'embêter , non plus.

Rafael analysait les reactions de la jeune fille au fur et à mesure qu'il parlait et il ne pouvait s'empêcher de remarquer qu'elle ne lui disait pas tout. Bien qu'il vit bien qu'elle l'écoutait, il avait l'impression qu'elle réfléchissait à autre chose en même temps. Cependant, il ne la connaissait pas et il était possible qu'elle fonctionne toujours ainsi, peut-être que la situation l'angoissait et elle devait penser à ce qu'elle allait dire ensuite. Elle finit par acquiescer pour lui montrer que ce programme lui convient. Quant à la question que Rafael vient de lui poser, elle ne mit pas beaucoup de temps à y répondre. La réponse était sans appel, elle voulait apprendre le plus tôt possible, son enthousiasme eut la faculté de mettre de côté les doutes qu'avaient Rafael concernant les motivations de la Serdaigle.

Il remarqua alors que la jeune fille sembla être gênée de sa réaction, elle baissa les yeux et ses joues prirent une couleur rosé qui fit sourire l'infirmier. Ne voulant pas le montrer à son ainé, Miss Fournier toussota et retrouva sa position initiale. Elle reporta son regard sur Rafael et lui détailla ses disponibilités. Elle avait un emploi du temps suffisamment souple pour lui permettre de venir plusieurs fois par semaine. Rafael quant à lui ne pouvait pas trop savoir à l'avance si il allait être disponible, il proposa alors quelque chose à la jeune fille:

« — Cela me semble pas trop mal. Pour ma part ça dépendra du nombre de personnes qui sont ici. Ce que je vous propose c'est de vous envoyer ma chouette les mercredi et vendredi matin afin de vous prévenir si la séance du jour est possible. Ça vous convient? »

Y a il un club de théâtre à Poudlard ? Je suis entrain de montrer un contrôle de moi assez impressionnant, tellement que je devrais avoir un rôle si club il y a.
Je garde un visage calme, tandis qu'intérieurement, je jubile, j'ai réussi ! Et je vais apprendre de nouvelles choses ! Qui refuse d'apprendre ? Qui peut le faire ? Pas moi, en tout cas.
J'acquiesse à la proposition de l'adulte.
"Cela me convient. Merci beaucoup"
J'allais incliner la tête pour montrer ma gratitude, avant qu'une question ne me traverse l'esprit.
"Je me demandais... Devrais-je préparer du matériel en venant ? Enfin, je voudrais savoir si vous voulez que je vienne avec des objets en particulier ? Enfin, vous voyez ce que je veux dire ?
Une grimace confuse, autant que mes propos se dessine sur mon visage.
Je baisse les yeux, gènée, et me concentre sur mes mains posées sur mes genoux pour occulter cette pensée désagréable. Je dois avoir l'air bien ridicule là. Et si mr Mason décidait ne plus m'apprendre ? Que pourrais-je bien pouvoir raconter à Alice et aux autres membres ?
Je jette un coup d'oeil rapide vers le propriétaire de ce bureau. Puis inspire, et décide d'expliquer ma réaction aussi franchement que possible.
"Je vous assure, je ne cafouille pas autant en temps normal. Ahem... Je n'ai pas laissé la pensée se former dans ma tête avant de m'exprimer. Je ne suis vraimment pas comme ça en temps normal, désolée... Je suisjusteunpeunerveuse, vousvoyez, jeveuxvraimentapprendre, etjevoudraisquevousvoyezcommejesuismotivéeet euh... enfinvousvoyezquoipourapprendresansvouscauserdeproblèmes. Désolée"
Je reprend mon souffle, rouge pivoine. Puis je lève enfin les yeux pour les poser quelque part sur les sourcils de l'adulte, ma grimace toujours sur le visage. Je n'aurais jamais cru que j'aurai besoin un jour de regarder quelqu'un dans les sourcils.
Je savais que je n'ai aucun avenir dans le théâtre.

La réaction de la jeune fille ne se fit pas attendre et très vite elle acquiesça en signe d'approbation. La proposition de l'infirmier semblait tout à fait lui convenir. Il n'y avait nul doute, elle était impatiente d'apprendre. Elle lui posa alors une question à laquelle l'infirmier ne s'était pas préparé, elle lui demandait si elle devait apporter du matériel. Rafael ne comprenait pas très bien ce qu'elle voulait dire avec cette question.

Les secondes qui suivirent n'aidèrent pas le jeune homme à comprendre ce que voulait dire la Serdaigle. Elle baissa les yeux, gênée, après avoir fait une grimace étrange. Bien qu'il n'arrive pas à déterminer ce qu'elle lui cachait, il était persuadé qu'elle ne lui disait pas toute a vérité. L'infirmier attendit patiemment que Célia-Awena lui apporte plus de renseignements avant de lui répondre. Ce qu'elle finit par faire. Elle releva la tête doucement puis commença a parler.

Le début de sa réponse semblait fluide et claire mais très vite, elle bascula dans le doute et devint nerveuse au point de ne plus s'arrêter de parler. Elle s'exprima très vite et Rafael eut du mal à comprendre tout ce qu'elle disait. Il comprit néanmoins l'idée générale qu'elle voulait apporter et lui répondit du mieux qu'il put.

« — Ne vous inquiètez pas, j'ai bien compris que vous étiez motivée. Plus que vous ne le dites d'ailleurs, n'y a -t-il aucune autre raison pour laquelle vous souhaitez que je cous apprenne cela? »

Rafael n'avait pas pu s'empêcher de demander.