Avec @Ivy Levinson
Parc de Poudlard, le 09 Septembre 2045

Précédemment,
Cela faisait un peu plus d'une semaine que Liam arpentait les couloirs de Poudlard et il devait bien avouer que ce château lui procurait un sentiment de protection et de sécurité. Enfin presque tous, car il était assez dure pour lui d'admettre que son arrivé à Poudlard ne fut pas si joyeuse. En effet il venait déjà de vivre un instant de peur au contacte d'un de Mr Saunders, l'un des professeur. Cette peur n'était pas liée directement à son professeur de vol, mais à la matière qu'il enseignait à l’extérieur du château, les cours de vol. Lors de son premier cours, ce professeur c'était pourtant contenté de leur parler de la sécurité, de la discipline et également du sport le plus célèbre de notre monde, le Quidditch. Le cours fut principalement théorique et certains camarades issus de famille Moldu s'étaient fait une joie de poser un nombre incalculable de questions. Par conséquence ou plutôt par chance, vu que le temps leurs manquaient, ils n'avaient eu qu'à simplement effectuer un unique "décollage"... Ce que Liam avait alors ressenti, fut pour lui une effroyable nouvelle, la peur. Effectivement celle-ci était liée à la hauteur, une sorte de peur du vide en quelque sorte. Les souvenirs de se moment l'avaient complètement retourné et par la même occasion, ils avaient réveillé un sentiment d'insécurité en lui. Durant ce moment si courts et pourtant qui lui avait parut terriblement long, il avait ressenti une profonde peur. Appréhendant alors la date de son second cours de balai, il fut triste de découvrir que celui-ci arriva bien plus vite qu'il ne le pensait. Lors de se second cours, ses bras était rester figé sur le balais, alors qu'il redoutait tant le moment où son professeur donnerait le départ. Un instant plus tard, tous ses camarades s'étaient élevé à deux ou trois mètre du sol, à l'exception de ce seul Liam était resté au sol... Envahi alors d'un sentiment de honte et de peur, un brouhaha venait alors de lui sauver la mise. Un des élèves avaient fait une chute, il n'avait pas l'air d’être tombé de très haut et pourtant, il se tenait à sa cheville comme si on lui avait coupé le pied. Une entorse peut-être ? Le professeur réagit alors très vite et prit l'élève dans ses bras, puis il donna l'ordre à tous les élèves de poser leurs balais au sol et de quitter les lieu, le cours était donc terminé. C'était inespéré, un véritable miracle pour le jeune Serdaigle. Et pourtant, il se sentait mal de profiter d'une telle situation.

Je devais avouer me sentir satisfait de cette situation et grâce à cet élève, je n’avais pas eu à expliquer au professeur les raisons de mon refus devant toute la classe. Involontairement, ce garçon de Poufsouffle m'avait rendu service, mais je ressentais de la culpabilité. Je m'étais alors rendu pour la première fois dans un lieu dont j'ignorais tous encore, l’infirmerie de Poudlard. Un homme qui devait bien approcher les un mètre quatre-vingt se tenait à l'entrée de la salle de soin de l'école et tandis qu'il remontait ses lunettes sur son visage, j'avais cette impression qu'il me dévisageait.

Il arrêta soudainement de m'observer quand j’eus fini de lui raconter la raison de ma présence ici. Sans dire un mots, il sorti un petit carnet de sa poche et commença à le feuilleter. Après avoir tourné un nombre de pages conséquente, il s’arrêta enfin sur l'une d'elle. Avait-il déjà eu un nombre incalculable d’élève malade en si peu de temps? Je voulais lui poser la question, néanmoins je m'étais retenu au dernier instant, par peur de la réponse qu'il pourrait me donner. ^*Peur*

Il m’annonça, avec un sourire, que mon camarade n'avait rien du tout et que sa blessure était superficiel, voir quelle avait certainement pour but de perturber le déroulement de mon cours et de clôturer celui-ci de façon prématuré. ^{*Surprise Positif*}

Satisfait je m’apprêtais à sortir de l'infirmerie, quand soudain mon regard se posa sur un lit dans le fond de l'infirmerie. Baladant mon regard dans la pièce, je vis alors une jeune fille allongée, tenant dans sa main droite un gant ou un linge blanc. Elle était seule et j'avais une curieuse impression, je ressentais de la peine pour elle ou peut-être de la pitié ? J'étais sur le point de sortir, quand j'entendis une voix derrière moi, était-ce mon imagination ?

Bonjour !
Excuse-moi si je te dérange ^*Timidité*
J'ai eu l'impression que tu m'avais appelé
Whaou tu te surpasse là ! Une méthode pourrit pour une approche .

Ivy était à l'infirmerie depuis déjà un bon moment, elle s'était faite mordre par une plante co-machin chose, elle avait oublié son prénom mais elle l'aurait sévèrement punie si elle en avait encore eu le moyen ! La petite sorcière était encore un peu chamboulé et énervé mais ce qui la rendait le plus hors d'elle c'était le temps que le vieil homme prenait pour établir un diagnostique pour une simple morsure et aussi une petite foulure quand elle est tombée juste après. L'homme avait fait un petit bandage mais un petit peu de sang continuait à couler ; il était vraiment nul comme docteur ! La jeune fille n'avait pas beaucoup dormi la nuit dernière et voulait alors en profiter mais des pas furent interrompre le début de son sommeil : quelqu'un était entré, mais qui ? Ivy était un peu curieuse et elle aimait bien se mêler des affaires des autres, elle trouvait ça amusant. La rouquine entendu deux voix différentes échanger quelques mots puis elles s'arrêtèrent et les bruits de pas se redirigeait vers la porte quand tout à coup ce fut comme si cette personne s'était stoppé pour scruter la pièce, elle fut un petit teste : "Mmh ? Il y a quelqu'un ? fit-elle d'une petite voix
la personne s'approcha et atteignit alors le devant du lit d'Ivy pour dire : "Bonjour !
Excuse-moi si je te dérange *Timidité*
J'ai eu l'impression que tu m'avais appelé
ce garçon lui parlait à elle ? Ivy était un peu perplexe car elle ne s'y attendait pas mais eu l'impression qu'il était un peu gêné alors elle lui sourit chaleureusement et lui dit "Je n'ai appelé que la personne qui se baladait dans l'infirmerie, c'est toi ? Je me ses un peu seule dans mon coins je m'ennuie, tu veux bien, ^{voix diminue} rester ici encore un peu s'il te plais ?

à toi @Liam Evans

" La douleur se fatigue en bavardant, et cette fatigue la soulage."

Victor Cherbuliez, Meta Holdenis (1873)  

Je devais avouer que sa demande m'avait quelques peu secouer.
C'était bien la première fois qu'une inconnue me demander de lui tenir compagnie.
En y réfléchissant, c'était certainement parce qu'elle était justement une inconnue qu'elle m'avait demandé une telle chose.

Il semblerait que oui, sauf si tu voulais parler à l'infirmier?
D'accord ! Je veux bien rester un peu.
J'espère au moins que tu as le droit à une visite. ^*Peur*
Joue les trouillards, c'est super rassurant pour elle. Débile !

A mesure que je m'approchais, l'inconnue ne semblait de plus en plus familière.
Il était même probable qu'elle ne soit pas si « inconnue » que ça.
Elle était encore vêtu des ses affaires de cours, alors qu'on était samedi.
Elle avait certainement passé la nuit ici, seule.
Ses affaires siéger sur l'une des chaises présente autours de son lit, des livres de cours, ainsi que quelques effet personnels.
Cela signifier que personne n'avait récupéré ses affaires et que par conséquence, elle n'avait pas eu de visite.

Tu es là depuis longtemps ? ^*Tristesse*
On est Samedi 9 Septembre, si tu avais oublié.
J'espère quelle ne le prendra pas mal.
Je dis ça, car tu as encore tes affaires de cours.

Suivant les éléments présent et le fait que la moyenne des élèves de seconde année ou plus, auraient certainement eu de la visite.
Il s'agissait de tout évidence d'une élève de première année, ce qui expliqué ce sentiment familier.
Bien que je sois à bonne distance d'elle, je ressentais la chaleur qui se dégager de son corps.
Il aurait été indélicat de lui toucher le front, mais j'avais la certitude que la fièvre était élevé.
Je vis alors une vasque d'eau froide près de son chevet.
Machinalement je pris le linge blanc qu'elle tenait dans sa main, afin de le tremper dans l'eau froide.
Après l'avoir essoré convenablement, je lui remis le linge sur son front.

Tu es également en première année ?
Il faudrait mieux que tu le garde ici.
Sinon tu pourras bientôt couvé un dragon. ^{* Humour *}
Et si elle été contagieuse ?

le jeune garçon répondit alors avec surprise :

Il semblerait que oui, sauf si tu voulais parler à l'infirmier?
D'accord ! Je veux bien rester un peu.
J'espère au moins que tu as le droit à une visite.

Tu es là depuis longtemps ? On est Samedi 9 Septembre, si tu avais oublié.
Je dis ça, car tu as encore tes affaires de cours.

Tu es également en première année ?
Il faudrait mieux que tu le garde ici.
Sinon tu pourras bientôt couvé un dragon.

Il se rapprochait lentement d'Ivy et elle, étant très timide détournait le regard. Avec une timidité grandiloquente elle remis correctement sa petite capuche de panda avec son gilet pour lui tenir chaud et qu'elle avait ce jours là , puis elle dit avec une petite voix pendant :

je..je suis désolé..j'ai été mordue en cours de botanique et je suis ici depuis hier..je crois que cette plante donnait de la fièvre.. elle échappa ensuite un petit rire nerveux et plissa les yeux..elle ne voulait vraiment pas paraître impolie et avait l'impression qu'elle l'avait vexé mais ne comprenait pas comment. L'inconnu prit alors la serviette blanche et humide de ses mains puis alla la retremper pour ensuite la déposer délicatement sur le front d'Ivy. La petite fille ressenti que le garçon inconnu était tracassé en venant et elle ajouta donc avec un air de rêveuse :

qu'est-ce qu'il t'arrive ? J'ai bien l'impression que quelque chose ne va pas je me trompe ? Elle prit une boite en marbre noir imprégné de motifs dorés sur le chevet à coté de la bassine à eau et l'ouvrit sur ses genoux puis en sorti un collier avec une pierre en Crystal accroché à la fine chaîne du bijoux, c'était comme une pendule. La jeune fille expliqua alors :
c'est grâce à ça montra-elle cette pendule sait lire les sentiments et elle est relié à moi, c'est ma mère qui me l'a donné