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08 juin 2018, 18:42
 Cabane de cristal  Quand les hiboux s'emmêlent...
RPG  privé avec Mathilde Dayes



Nous étions en Mars lorsque Mathilde était classiquement entrains de se rendre à la volière, pour regarder son courrier comme appelleraient ça les moldus, elle préférait le lire là-bas, en paix sans personnes. Seulement quelques personnes désirant envoyer un hibou à l’autre bout du monde. Mais elle aimait bien la volière pour lire ce qui lui était adréssé. C’était paisible.


D’ailleurs, elle ne sait pas vraiment ce qu’elle attend puisque ses parents biologiques sont morts, et même s’ils étaient encore vivants, les liens auraient été coupés à un moment ou à un autre.

Ses parents adoptifs eux pourraient essayer de garder le contact avec leur seule et unique petite fille mais la petite Serpentard leur en voulait terriblement, elle recevait de temps en temps des hiboux de leurs part mais ne répondait jamais, elle n’en voyait pas l’intérêt et leur répondre pourrait raviver la flamme brûlante qu’elle garde en elle, la haine qui l’habite pourrait très facilement ressortir en paroles plus que blessantes voir insultantes envers les personnes qui ont décider de l’aimer et de la chérir coute que coute. Même si c’est vrai que la petite Evans s’en fichait pas mal de blesser tel ou tel personne.

Elle n’utilisait pas vraiment la courtoisie d’habitude de l’école, à part avec les adultes. Elle le trouvait d’un surfait sans nom, un simple « bonjour » « merci » et « s’il vous plait » suffisaient à la fillette.

La dernière option qui se présentait était une lettre de ses amis, chose qui n’arriverait pas puisqu’elle s’est véritablement éloignée de ses amis moldus, de Erin, notamment qui était l’ancienne voisine de Mathilde, sa meilleure amie, sa confidente et sa grande sœur. Ses « amis » sorciers eux se trouvent ici, à Poudlard.

Donc les possibilités étaient véritablement limitées, la petite Evans devait recevoir une lettre toutes les deux ou trois semaines environs, si ce n’est tous les mois.
Encore une fois, elle ne s’en fichait pas mal. Elle vivait dans la solitude depuis quelques années et s’y était vraiment habituée et s’était résolue à un « c’est de toutes façons mieux comme ça »

Elle se rendit donc à la volière comme toutes les semaines en espérant secrètement voir un hibou lui étant adressé, de la part de sa famille biologique, même si en effet, ceci serai compliqué. La volière était vide et paisible. Ce jour-là, Mathilde avait reçu un hibou !  Ce qui comblerait la jeune première année serai que ce ne soit pas une nouvelle fois ses parents adoptifs…

Elle ouvrit alors sa chère lettre et se mit à la lire attentivement :
Mathilde,

Je suis vraiment désolé de te l'annoncer comme ça mais ta mère a encore été frappé d'une crise de folie. Elle a réussi à s'échapper de l'hôpital et elle te cherche en ce moment même. Ne t'inquiète pas, on va vite la retrouver en attendant reste bien à Poudlard auprès de tes professeurs et de tes amis. Je te le répète ne t'inquiète surtout pas ! On va très vite la retrouver.

Je t'aime très fort

Papa
Mathilde était stupéfaite, elle regarda une seconde puis une troisième fois la lettre censée lui être adressée, c’était bien à une certaine « Mathilde » de plus, ce prénom était peu commun dans les pays anglophones. Alors il y avait deux solutions, soit des petits farceurs se seraient amusés à l’écrire dans l’optique de blesser Evans,
Puisqu’en effet, Mathilde n’avait pas de mère, enfin si, mais pas malade, pas folle ni hospitalisée. Son père qui n’était pas non plus vraiment son père n’écrivait jamais je cette manière et ne lui aurai jamais au grand jamais annoncé comme ça.
Soit il y a eu confusion de hiboux ?

Qui serai vraiment très étrange.

En tout cas, si la lettre était réellement destinée à une fille, elle n’avait vraiment pas de chance. Avoir une mère visiblement hystérique et un père qui visiblement ne s’en préoccupe pas vraiment doit sûrement être compliqué

Mathilde était toujours aussi perturbée, au moment où elle replia proprement le bout de papier, quelqu’un entra aussi dans la volière.

2ème année RP
"La douleur muette a les plus tristes pensées."