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04 déc. 2018, 23:24
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
Décembre 2043:

Si il y a un mois qui agace particulièrement Naïda, il s'agit sans nul doute du mois de Décembre. L'hiver vêtus de son grand manteau blanc, recouvrait les jardins de Poudlard. Ce mois de fête, ou tous ce souhaitent les meilleurs vœux, sourient, chantent et s'offrent des présents, n'amusait guerre la belle rouquine. Ce que ses parents nommaient des fête en famille, la jeune sorcière les appelaient les fêtes en hypocrites.

La jeune fille rencontrait chaque année de nouveaux membre de sa famille. C'est à peine si la fois suivante elle s'en rappelait, et réciproquement combien de fois son prénom à été déformer? Entre des Lucinda, Anissa, Linda etc.. Ils ce racontaient l'année passer mais jamais ils leurs venait l'idée de ce voir en dehors de Noël. Passer des bons moments, plutôt que de ce les raconter.

Qu'est-ce que Naïda ce foutait ou tante Lucie s'en est aller pour pâques, combien de couches salent faisait son cousin par jours... Non ce que ce demandait par contre la jeune fille c'était "mais qui sont t'ils" Le comble reste les nouvelles résolutions, un ramassis de connerie que personne ne tenaient. Du style faire du sport et bien manger pour rentrer dans un maillot de bain cette été, au final elles revenait plus ronde que l'année précédente.

Naïda leurs aurait bien souffler de ne pas venir l'an d'après, mais elle savait que sa mère n'accepterait pas qu'elle gâche les fêtes de noël, sans ce demander pas eux ne gâchaient pas sa fête qui celons la jeune filles est faite exprès pour les enfants. Dalleur cette date célèbre la naissance du christ et pas sa date de majorité, son premier mariage, ni son entrée en maison de retraite.

En bref, la jeune fille ce sentait de trop et ne s'amusait absolument pas. Même pas une personne a qui lancer une boule de neiges , ses amis fêtant les fêtes en famille également.

Un jour Naïda us l'idée de passer Noël entre amis, a quoi bon s'ennuyer chacun de leurs côtés, autant laisser les adultes entre eux. Les enfants aussi on le droit d'avoir leurs Noël. Elle influença tout ses amis à ce rejoindre en cachette durant la nuit de noël. Résultat tout les parents ce sont inquiéter et des claques ce sont perdu.

Naïda ce retrouva elle et ses pensées sur la volière. Pour ce divertir elle avait remplis un seau de boule de neiges, pour les jeter sur les hiboux qui venaient déposer des courriers. Certaines lettres tombaient et s’abîmaient dans la neige.. Un hiboux esquiva les projectiles de la jeunes fille et une enveloppe tomba à ses pied. Prise de curiosité elle s'en saisit et s'apprêta à l'ouvrir afin d'en découvrir le contenue. Il s'agissait d'une carte de vœux de noël, elle s'apprêta à le mettre en miette quand..
Dernière modification par Naïda Maous le 05 déc. 2018, 15:56, modifié 1 fois.

Votre fourbe amie Naïda Maous!

05 déc. 2018, 14:16
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
Il marchait dans le froid, en direction de la volière. Le vent glacé écossais, fouettait les remparts de Poudlard, aussi rentra-t-il la tête dans son écharpe pour garder un minimum de chaleur corporelle. S’il allait dans la vieille tour, sale de poussière et de fiente de hiboux, ce n’était pas pour le plaisir. On lui avait dit qu’une lettre était arrivée pour lui aujourd’hui et il n’avait pas envie d’attendre la distribution des courriers, le lendemain, pour l’ouvrir. Il savait déjà ce que contenait la lettre.

Pour les fêtes, sa mère, toujours une grande admiratrice des moldus, avait pour habitude d’envoyer une carte de vœux à toute la famille de son père, selon une vieille tradition. Elle n’avait probablement pas pu résister à la tentation de lui en envoyer une à lui aussi, d’autant que la situation s’y prêtait bien à Poudlard, dans le monde des sorciers où l’on connait la tendance à vivre « à l’ancienne ». Cette coutume d’envoyer ses vœux, il ne l’aimait pas. Mais il savait que c’était important pour elle, et c’est donc pour ça qu’il se pressait à l’instant en direction de la volière.

Il poussa la porte, entra et apprécia un court instant le silence qui avait fait place au bruit assourdissant du vent. Il ouvrit les yeux et se mit au travail pour chercher sa lettre. Il se rendit rapidement compte qu’il n’était pas seul dans le bâtiment quasi-abandonné puisqu’une fille lisait déjà une lettre, dans un coin. Elle était petite, rousse, d’à peu près son âge et il la connaissait vaguement comme étant une Serpentard qui avait un certain don pour s’attirer des ennuis. Mise à part elle, personne, si ce ne sont les hiboux qui avaient tous l’air plus en colère que les autres. Il y avait de la neige par terre, ce qui était surprenant puisqu’il y avait un toit au-dessus et que les entrées par lesquels les oiseaux passaient était trop petites pour laisser entrer la neige, mais il ne s’en préoccupa pas outre mesure. Tout était si bizarre à Poudlard qu’appliquer la logique au quotidien était simplement trop fatiguant. Ce n’était pas ses affaires. Il se remit à chercher.

Après une demi-heure de recherche infructueuse, il avait uniquement réussi à tacher sa robe avec la saleté ambiante et effilocher son écharpe dans un clou qui dépassait d’une poutre. La frustration et l’incompréhension commençait à prendre le dessus et il commença à se mettre en colère tout seul contre la personne qui lui avait donné de fausses informations, contre le hibou qui avait dû repartir avec sa lettre, contre la directrice de l’école qui laissait la volière dans un état lamentable, tellement lamentable que la neige réussissait a y rentrer.

Il finit par se dire que la Serpentard avait peut-être vu sa lettre quelque part et descendit pour lui demander. Quand il s’approcha d’elle, il se figea sur place. La lettre…C’était…Elle qui l’avait ? Pourqu…

« Hey ! C’est à moi ça ! Quesque tu fais avec ça ?! Comment tu l’as eu ?! Qui t’a permis ?!», cria-t-il de manière confuse tout en haussant le ton.

Il lui arracha la lettre des mains. Il commença à lire la lettre ridicule que sa mère lui avait envoyé. ELLE…ELLE AVAIT LU CA ?!
Il entra dans une colère noire.

Charles Kensington #1ere année RP
"Poussez vous de mon chemin!"

05 déc. 2018, 16:30
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
Naïda n'avait pas entendu le jeune garçon arriver dans la volière. Alors qu'elle s'apprêtait à mettre en miette le bout de papier qui ne lui appartenait aucunement. Elle ce fit arracher celui ci des mains tout en ce faisant sermonner.

Elle ce retrouva face à un jeune sorcier de la même année qu'elle, plutôt grand pour son age, c'est ainsi que la jeune fille avait pu le visualiser plus rapidement que ses autre camarade.

Il s'appelait Charles, son nom la jeune fille ne l'avait pas retenu.

Au vu de sa colère la petite sorcière mit peu de temps à comprendre qu'il s'agissait bel et bien de la personne à qui cette carte était destiner. Elle avait bien vu qu'elle était adresser à un Charles mais il ne doit pas être le seul Charles à poudlard, alors l'enfant n'avait pas fait le rapprochement.

Quel coïncidence, ce disait Naïda, de lire une lettre qui ne lui est pas destiner et de ce faire attraper par le destinataire lui même.

Elle ne perdit cependant pas contenance bien que elle ne ce faisait que rarement prendre, elle n'avait pas vraiment l'habitude de ce justifier.

- (Elle tenta tout d'abord de niée) Non cette carte est la mienne!! ( en tentant de la récupérer)

Elle voyait bien que ce qu'elle disait ne tenait pas la route. Mais sur l'instant Naïda ne réfléchissait plus. Puis elle rajoute comme si son geste était banal.

- De toute façons, c'est rien de bien important en dehors d'une carte de voeux bourré de paroles hypocrites, (sortie sans ce retenir la jeune fille) si tes parents t'on laisser partir à poudlard c'est parce qu'ils accepte pas d'avoir un sorcier dans leurs famille ( dit elle ce rendant bien compte qu'elle dépassait les bornes) Tu devrait déchirer cette carte fini t'elle.

Naïda savait qu'elle mélangeait son histoire avec celle de charles. C'est elle qui ce sentait abandonner. Et ça depuis l'arriver de sa soeur. Elle s'était perçoider que l'envoyer à Poudlard devait bien arranger les affaires de ses parents.

Votre fourbe amie Naïda Maous!

06 déc. 2018, 12:36
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
En entendant cela, la colère de Charles se décupla. Garder son calme n'était pas son fort, et son esprit perdait facilement le contrôle. Il franchi le mètre qui le séparait de la fille et leva le poing pour la frapper. La bagarre, c'était une façon comme une autre d’extérioriser ses sentiments.

Au moment ou il allait engager le mouvement pour envoyer une droite dans le visage de la fille, il se figea. Elle était plus petite que lui et c'était une fille, mais ça, ça n'avait aucune importance pour lui, il se battait avec tout le monde, qu'il soit en position de force ou non. Non, il s’arrêta car il eut comme une fulgurance, un éclaire de sagesse. Il se vit lui même en train de se battre pour une fichu lettre, et se dit qu'il serait le derniers des idiots pour se faire renvoyer de Poudlard a cause d'une Serpentard qui n'avait même pas l'air impressionné. Sa stupidité et la nonchalance de la fille alimentèrent encore un peu le feu de sa colère. Il fallait se défouler sur quelque chose. Il fallait que quelque chose ou quelqu'un paye le prix de sa rage.

Il se retourna et envoya son poing dans une vieille poutre.
Il y avait mis toute sa force. Il sentit qu'il s'était fais des échardes dans les phalanges et le sang commença a couler entre ses doigts. Il avait payé. Il repris sa respiration. Il recommençait a prendre le contrôle.

"Occupe toi de tes affaires, et si jamais tu ne fais que m'adresser la parole, j'te massacre", dit il le poing encore contre le bois a la fille qui n'avait pas bronché depuis le début.

Il espérât qu'elle fut ne serait-ce qu'un tout petit peu impressionné, mais il n'y compta guére. Il parti sans se retourner en direction de la porte, la lettre froissé dans une main, et des taches de sang dans l'autre.

Charles Kensington #1ere année RP
"Poussez vous de mon chemin!"

06 déc. 2018, 13:30
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
Lorsque Naïda vit le point du jeune homme ce diriger vers elle, elle n'en fut pas plus impréssioner, jusqu'a du moins qu'il ce ravise et frappe contre du bois qui le fit saigné.

Son coeur us un sursaut que son corps ne suiva pas, ce qui pouvait tromper son véritable ressenti.

Le garçon lui recommanda de ne pas lui adresser la parole sans quoi il s'en prendrait à elle.

C'est peu connaître Naïda que de le lui lancer un défit en espérant qu'elle riposte pas. Le défit c'était sa passion, elle ne pouvait s'empêcher de provoquer, surtout si on le lui en donnais l'idée.

Combien de fois ses parents désespérer recevaient des coups de fils de la directrice de son école, avertissant qu'elle s'était battu. De plus que généralement s'en suivait l'appel de l'infirmière. Elle ne savait pourquoi mais Naïda ce prenait souvent au plus coriace. Bien que les plus faibles l'énervait deux fois plus, les plus fort lui premettait de ce surpasser.

C'est ainsi que devant l'interdit du sorcier, Naïda ne pouvait s'en empêcher et lui lança:

- va s'y part, poule mouillé, tu est comme tout les autres idiot qui ne touche pas au fille mais moi je peut te battre quand tu veut

Lança t'elle a l'élève qui le lui avait tourner le dos. Elle le regarda son un once de peur, nullement effrayer.

Votre fourbe amie Naïda Maous!

08 déc. 2018, 17:46
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
"...quand tu veux!"

Un ange passa.

Ses cheveux noir voletant dans le vent hivernal, les sourcils froncés, les yeux fixant l'horizon, Charles s'était arrêté net en entendant les mots de la petite rousse. Peu de personnes auraient été capable de décrire le chemin de pensée qui passa dans le cerveau du jeune garçon. Tout ce que l'on pourra dire, c'est qu'a la fin, il se dit la chose suivante: "...Bien, c'est probablement comme ça qu'on se fait virer de l'une des écoles de sorciers les plus réputées..."

Tout se dont il se souviendra, c'est cette vitesse avec laquelle il s'était retourné et s'était jeté sur sa camarade. C'en était ensuivi d'un affrontement sauvage et acharné. Celui qui griffera le plus l'autre, celui qui tirera le plus de cheveux... Seul les hiboux furent témoins de leur affrontement.
Ils se dirent que pour des enfants de onze ans, ils se battaient avec beaucoup de de rage et de savoir-faire et parièrent qu'ils devaient tout les deux avoir de l’expérience dans la matière.
Rapidement ils se retirèrent. Ils n'était pas a eux d'intervenir et les enfants faisaient trop de bruit pour qu'ils puissent se reposer. Comme d'un commun accord, ils s'en furent tous d'un coup, quittant leur abris a tire d'ail, ce qui fit que l'on put voir a des kilomètres a la ronde un nuage de volatile. Cela ne manqua pas d’étonner certains étudiants ainsi que leur professeurs. On vint rapidement chercher les deux enfants. On les découvrit épuisés, étalés sur le sol, couvert de bleus et de griffure et ils furent tous les deux envoyé a l'infirmerie, avec la promesse qu'ils en entendraient parler pendant longtemps.
Dernière modification par Charles Kensington le 09 déc. 2018, 00:08, modifié 1 fois.

Charles Kensington #1ere année RP
"Poussez vous de mon chemin!"

08 déc. 2018, 21:14
Je te plumerai la tête  PV avec CharlesKensington 
Naïda vit le jeune garçon faire un demi tour bien plus vite qu'il n'en faut pour le dire. Il s'était jeter sur elle, comme un rugbymen, mais la jeune sorcière habituer aux coups, ne pleurnicha pas, bien au contraire.

Elle avait une force dont beaucoup admirait et défiait n'importe qui de son âge sans difficultés. Tantôt il prenait le dessu, deux seconde plus tard c'était elle.

La bagarre ce fit acharné, seul l'épuisement à us raison deux, cette fois-ci, rien ne les départagea, mais Naïda était coriace et le faite qu'elle soit une fille n'y change rien.

Elle aime les coups, la baston, les défits, les interdits, la drénaline font partis de son quotidien.

Chez elle, elle ce sentait comme une lionne en câges, qu'on lachait tout les matins au milieu du troupeau que formaient ses camarades.

Ce lever, ce brosser, ce laver, ce pomponner, étudier, remanger, ce relavers et ce recoucher. Non Naïda s'y refusait. Elle rêvait d'aventure, de monstre à combattre, des interdits à dépasser, elle voulait franchir les limites. Ses limites également. Naïda allonger sur le dos d'épuisement ferma ses paupières.
Son adversaire, était de taille, elle l'avait provoquer, elle ce sentais plus que vivante.

Son corps en témoignait, elle ce sentis mal, mal au crâne, puis elle s'endormir ainsi à même le sol. Elle ce sentis à peine soulever, l'enfant était dans les vapes

Votre fourbe amie Naïda Maous!