Je les déteste...
Je pleure.
D'habitude je ne le fais jamais.
Mais là c'est la fois de trop.
Une trahison supplémentaire.
Qui me fait à nouveau me sentir invisible, inexistant.
Ce matin, dans la grande salle, j'ai reçu ce hibou.
Je verse quelques larmes.
Et j'envois le hibou.
Je me retourne ensuite.
Et vois qu'il y a quelqu'un d'autre dans la volière.
J'essuie le plus vite possible mes larmes.
D'habitude je ne le fais jamais.
Mais là c'est la fois de trop.
Une trahison supplémentaire.
Qui me fait à nouveau me sentir invisible, inexistant.
Ce matin, dans la grande salle, j'ai reçu ce hibou.
Antonn,
Je sais que tu attendais les vacances de Noël avec impatience en pensant que toi et ta soeur pourraient revenir les passer à la maison. Mais malheureusement, ton père et moi avons beaucoup de travail et nous ne pourrons pas vous recevoir cette fois. Vous resterez donc tout les deux à Poudlard pendant ces vacances, cependant je te promet que vous pourrez venir aux prochaines.
Je t'aime,
Maman
Il sonne comme le dernier.
Qui me disait que je ne pourrais pas venir à la Toussaint.
Mais que je rentrerais aux vacances de Noël.
Papa et Maman n'ont jamais le temps de s’occuper de nous.
Pour eux nous sommes secondaires.
Voilà ce qui me fait pleurer.
La rage de ne pas avoir de parents dignes de ce nom.
La rage d'avoir l'impression de ne compter pour personne sur cette planète.
Seulement cette fois, j'ai adopter une façon différente d’extérioriser mes émotions.
Au lieu de passer ma colère sur les autres, je me suis mis à pleurer.
Quand plus personne ne me regardait bien sur.
Quel déshonneur ça aurait été de pleurer en public.
J'ai attendu d'être isolé dans la volière pour ça.
Et maintenant j'évite à envoyer la réponse que j'ai rédigée à ma mère.
Comment réagira t-elle?
Qui me disait que je ne pourrais pas venir à la Toussaint.
Mais que je rentrerais aux vacances de Noël.
Papa et Maman n'ont jamais le temps de s’occuper de nous.
Pour eux nous sommes secondaires.
Voilà ce qui me fait pleurer.
La rage de ne pas avoir de parents dignes de ce nom.
La rage d'avoir l'impression de ne compter pour personne sur cette planète.
Seulement cette fois, j'ai adopter une façon différente d’extérioriser mes émotions.
Au lieu de passer ma colère sur les autres, je me suis mis à pleurer.
Quand plus personne ne me regardait bien sur.
Quel déshonneur ça aurait été de pleurer en public.
J'ai attendu d'être isolé dans la volière pour ça.
Et maintenant j'évite à envoyer la réponse que j'ai rédigée à ma mère.
Comment réagira t-elle?
Maman,
J'ai bien compris que vous ne voulez pas vous encombrez du paquet que je suis, vous n'avez pas besoin d'inventer du travail. Je n'ai même plus envie de vous voir, vous avez réussi. Je ne sais même pas pourquoi je t'envois ce hibou.
Au revoir,
Antonn
Je verse quelques larmes.
Et j'envois le hibou.
Je me retourne ensuite.
Et vois qu'il y a quelqu'un d'autre dans la volière.
J'essuie le plus vite possible mes larmes.
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
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Je les déteste...
Je pose ma plume après avoir fini mes lettres. Je jette un coup d'oeil satisfait à ces dernières, puis les ferme et monte vers la volière avec.
La première, pour ma tante, qui va se marier. Je lui ai raconté ma rentrée, et ma rencontre avec Lexie, sa future belle-fille. Je lui ai donné mon avis sur les fleurs et ai promis de bien travailler et de gagner mes matches.
La seconde, pour ma nourice. À elle, j'ai raconté ma rentrée, mon nouveau dortoir et mes semaines. Les pamphlets aussi, je sais qu'elle sera intéressée par eux.
Enfin, mon père. Il a la plus longue et la plus fournie. Je lui ai raconté absolument tout, omettant juste le contenu des reunions du Merlin. Je lui ai juste dit que nous continuons à faire histoire, avec mes amis. Je sais qu'il a compris. Je lui ai raconté mes mésaventures, mais pas en détail, je n'ai pas envue de le lui écrire. Non, je le lui dirai, à Noël.
Un large sourire s'épanouit sur mes lèvres pâles en pensant à ces vacances de Noël qui promettent d'être mémorables. J'ai absolument hâte !
C'est donc le pas décidé et léger que je suis rentrée dans la salle aux hiboux y trouvant un garçon qui s'empresse d'essuyer des larmes. Je me dirige vers des oiseaux pour lui laisser le temps de le faire sans être embrassé avant de lui dire, sans le regarder, en confiant une lettre à une chouette effraie
«Cité de Westminster, 15 Balmud Street.
Si tu veux, tu peux m'en parler, je ne dirai rien à personne. Et je t'ecouterai parler autant qu'il te faut.
Esh, Manoir Fournier »je conclus à voix plus basse en confiant les autres missives à un grand hibou gris avant de me tourner vers le garçon.
«Ou bien, je peux te laisser te morfondre tout seul, si tu préfères.
Finalement, je me retourne vers lui et lui offre un sourire rassurant. J'aimerais bien l'aider, mais il doit être d'accord que je le fasse.
je m'incruste
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
La première, pour ma tante, qui va se marier. Je lui ai raconté ma rentrée, et ma rencontre avec Lexie, sa future belle-fille. Je lui ai donné mon avis sur les fleurs et ai promis de bien travailler et de gagner mes matches.
La seconde, pour ma nourice. À elle, j'ai raconté ma rentrée, mon nouveau dortoir et mes semaines. Les pamphlets aussi, je sais qu'elle sera intéressée par eux.
Enfin, mon père. Il a la plus longue et la plus fournie. Je lui ai raconté absolument tout, omettant juste le contenu des reunions du Merlin. Je lui ai juste dit que nous continuons à faire histoire, avec mes amis. Je sais qu'il a compris. Je lui ai raconté mes mésaventures, mais pas en détail, je n'ai pas envue de le lui écrire. Non, je le lui dirai, à Noël.
Un large sourire s'épanouit sur mes lèvres pâles en pensant à ces vacances de Noël qui promettent d'être mémorables. J'ai absolument hâte !
C'est donc le pas décidé et léger que je suis rentrée dans la salle aux hiboux y trouvant un garçon qui s'empresse d'essuyer des larmes. Je me dirige vers des oiseaux pour lui laisser le temps de le faire sans être embrassé avant de lui dire, sans le regarder, en confiant une lettre à une chouette effraie
«Cité de Westminster, 15 Balmud Street.
Si tu veux, tu peux m'en parler, je ne dirai rien à personne. Et je t'ecouterai parler autant qu'il te faut.
Esh, Manoir Fournier »je conclus à voix plus basse en confiant les autres missives à un grand hibou gris avant de me tourner vers le garçon.
«Ou bien, je peux te laisser te morfondre tout seul, si tu préfères.
Finalement, je me retourne vers lui et lui offre un sourire rassurant. J'aimerais bien l'aider, mais il doit être d'accord que je le fasse.
je m'incruste
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Fehu
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Je les déteste...
J'ai été surpris en train de pleurer.
Quelle honte.
Encore quelque chose qui aurait déplu à mes parents.
Si on peut les appeler des parents.
Ce dont je ne suis pas sur.
La fille n'a pas vraiment l'air méchante.
Au contraire, elle semble plutôt vouloir m'apporter son aide.
Mais comment pourrait elle m'aider?
Personne ne peut m'aider.
Et il n'y a que ma soeur pour me comprendre.
Car elle est la seule qui vit la même chose.
Pris de remord en me rendant compte que ma lettre était peut être trop sèche, je prends un morceau de parchemin et rédige un second courrier.
Je ne pense pas un seul mot de ce courrier.
Mais c'est ce que Elisabeth aurait répondu.
Et je ne veux pas la décevoir.
Je note l'adresse et confie ma lettre à un hibou.
Puis je me retourne vers la fille qui semble attendre au moins une toute petite réponse depuis tout à l'heure.
Je répond froidement, je ne peux pas m'en empêcher, ce n'est pas contre elle.
Enfin si, un peu, sans le faire exprès elle se mêle de ce qui ne la regarde pas.
-C'est rien, juste mes parents, ils ne changeront jamais.
Ils ne se sont jamais occupés de moi de toute façon.
Je ne vois pas pourquoi ils commenceraient aujourd'hui.
Quelle honte.
Encore quelque chose qui aurait déplu à mes parents.
Si on peut les appeler des parents.
Ce dont je ne suis pas sur.
La fille n'a pas vraiment l'air méchante.
Au contraire, elle semble plutôt vouloir m'apporter son aide.
Mais comment pourrait elle m'aider?
Personne ne peut m'aider.
Et il n'y a que ma soeur pour me comprendre.
Car elle est la seule qui vit la même chose.
Pris de remord en me rendant compte que ma lettre était peut être trop sèche, je prends un morceau de parchemin et rédige un second courrier.
Pardon pour la lettre précédente, je me suis emporté.
Eli' et moi pouvons nous au moins aller chez Papi et Mamie la première semaine et fêter les fêtes avec vous?
Antonn
Je ne pense pas un seul mot de ce courrier.
Mais c'est ce que Elisabeth aurait répondu.
Et je ne veux pas la décevoir.
Je note l'adresse et confie ma lettre à un hibou.
Puis je me retourne vers la fille qui semble attendre au moins une toute petite réponse depuis tout à l'heure.
Je répond froidement, je ne peux pas m'en empêcher, ce n'est pas contre elle.
Enfin si, un peu, sans le faire exprès elle se mêle de ce qui ne la regarde pas.
-C'est rien, juste mes parents, ils ne changeront jamais.
Ils ne se sont jamais occupés de moi de toute façon.
Je ne vois pas pourquoi ils commenceraient aujourd'hui.
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
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Je les déteste...
Je reste plantée dans la voilière et regarde le garçon écrire une autre lettre. J'en profite pour le detailler. Il est grand, autant que moi, et ne semble pas être une brindille de Nimbus 2000. Il a les cheveux sombres, et je ne sais pas si c'est la pâle lumière du croissant de lune, ou si il a vraiment la peau aussi claire et presque délicate, comme la mienne. Cependant, son visage ne me dit rien de particulier.
Il finit sa lettre et l'envoie. Seul le bruissement de l'oiseau postal rompt le silence. Je ne le trouve pas gênant, mais il est... Tendu. Enfin, le garçon est tendu, et le silence autour de lui l'est aussi.
Il finit par repondre, d'un ton sec. Des problèmes avec des parents qui ne changeraient jamais. Je ne peux pas compatir. Ou alors en partie. C'est Granny qui ne changera jamais. Mais elle n'est que ma grand-mère maternelle. Je ne l'ai pas tout le temps a la maison. Donc c'est supportable.
Je soupire et regarde le ciel nocturne.
«Les adultes, hein? Ils ne comprennent jamais rien, n'est ce pas ?»
Je croise les bras et pose mon regard vairon sur le garçon, tout en refléchissant a toute vitesse. Nous sommes en décembre. Pas encore de bulletin pour être grondé au sujet de notes. Il n'est pas joueur de Quid, je l'aurais reconnu. A moins qu'il n'ai pas eu leur assentiment ? Non. Il me semble assez musclé, ça ne s'obtient pas en un trimestre. Ses parents doivent savoir qu'il est sportif. Ou alors la descision des ses parents concernant ses vacances le contrarie. Probablement. Son maintien et sa peau crient famille aisée. C'est un problème fréquent, dans nos familles. Le travaille, ou juste la peur d'etre embarassé par son enfant lors d'un dîner.
Je décide de tenter ma dernière conclusion, on verra bien. Je reprend la parole, doucement.
«Ils ne veulent pas que tu retourne pour chez vous pour Noël ?
J'espère avoir bien conclu.
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
Il finit sa lettre et l'envoie. Seul le bruissement de l'oiseau postal rompt le silence. Je ne le trouve pas gênant, mais il est... Tendu. Enfin, le garçon est tendu, et le silence autour de lui l'est aussi.
Il finit par repondre, d'un ton sec. Des problèmes avec des parents qui ne changeraient jamais. Je ne peux pas compatir. Ou alors en partie. C'est Granny qui ne changera jamais. Mais elle n'est que ma grand-mère maternelle. Je ne l'ai pas tout le temps a la maison. Donc c'est supportable.
Je soupire et regarde le ciel nocturne.
«Les adultes, hein? Ils ne comprennent jamais rien, n'est ce pas ?»
Je croise les bras et pose mon regard vairon sur le garçon, tout en refléchissant a toute vitesse. Nous sommes en décembre. Pas encore de bulletin pour être grondé au sujet de notes. Il n'est pas joueur de Quid, je l'aurais reconnu. A moins qu'il n'ai pas eu leur assentiment ? Non. Il me semble assez musclé, ça ne s'obtient pas en un trimestre. Ses parents doivent savoir qu'il est sportif. Ou alors la descision des ses parents concernant ses vacances le contrarie. Probablement. Son maintien et sa peau crient famille aisée. C'est un problème fréquent, dans nos familles. Le travaille, ou juste la peur d'etre embarassé par son enfant lors d'un dîner.
Je décide de tenter ma dernière conclusion, on verra bien. Je reprend la parole, doucement.
«Ils ne veulent pas que tu retourne pour chez vous pour Noël ?
J'espère avoir bien conclu.
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Fehu
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Je les déteste...
Je la regarde d'un air sceptique.
Comment elle sait?
Ca ne peut être qu'une déduction puisque je ne la connais pas.
Bon sa déduction n'est pas tout à fait correcte.
Mais elle y est presque.
J'apprécie pas trop qu'elle se mêle de mes affaires mais en même temps, est-ce que ça ne me ferait pas du bien d'en parler.
En plus, vu que je ne suis pas proche d'elle, elle ne risque pas d'ensuite venir me saouler tout les jours avec ce que je lui dirais.
Je pèse dans ma tête le pour et le contre avant de finalement, répondre sincèrement.
-C'est pas tout à fait ça, c'est pas le fait qu'ils veulent pas qu'on retourne à la maison, avec Eli' qui me gêne. Mais le truc, c'est qu'ils avaient promis. Et... C'est pas la première fois, ils nous font le coup à chaque vacances. Ils pensent qu'on peut compenser le manque d'affection avec leur argent mais moi je m'en fous de leurs gallions. Ca compense rien du tout.
Je sais pas pourquoi j'ai choisi de lui en parler.
De toute façon, ça ne l'intéresse surement pas.
Je sais que moi, une personne qui me raconte sa vie comme ça, je lui aurait déjà dit que je ne suis pas un psy.
Mais après chacun est différent.
Si ça lui fait plaisir d'entendre parler de mes problèmes, je vais pas me retenir.
J'espère juste qu'elle va pas essayer d'élaborer des plans bidons pour régler mes soucis.
Parce que là, je le dis tout de suite, je suis prêt à fuir en courant.
Pardon pour le retard
Comment elle sait?
Ca ne peut être qu'une déduction puisque je ne la connais pas.
Bon sa déduction n'est pas tout à fait correcte.
Mais elle y est presque.
J'apprécie pas trop qu'elle se mêle de mes affaires mais en même temps, est-ce que ça ne me ferait pas du bien d'en parler.
En plus, vu que je ne suis pas proche d'elle, elle ne risque pas d'ensuite venir me saouler tout les jours avec ce que je lui dirais.
Je pèse dans ma tête le pour et le contre avant de finalement, répondre sincèrement.
-C'est pas tout à fait ça, c'est pas le fait qu'ils veulent pas qu'on retourne à la maison, avec Eli' qui me gêne. Mais le truc, c'est qu'ils avaient promis. Et... C'est pas la première fois, ils nous font le coup à chaque vacances. Ils pensent qu'on peut compenser le manque d'affection avec leur argent mais moi je m'en fous de leurs gallions. Ca compense rien du tout.
Je sais pas pourquoi j'ai choisi de lui en parler.
De toute façon, ça ne l'intéresse surement pas.
Je sais que moi, une personne qui me raconte sa vie comme ça, je lui aurait déjà dit que je ne suis pas un psy.
Mais après chacun est différent.
Si ça lui fait plaisir d'entendre parler de mes problèmes, je vais pas me retenir.
J'espère juste qu'elle va pas essayer d'élaborer des plans bidons pour régler mes soucis.
Parce que là, je le dis tout de suite, je suis prêt à fuir en courant.
Pardon pour le retard
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
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Je les déteste...
Le garçon se décide à parler, et il confirme rapidement que j'ai deviné juste, ce qui amène un léger sourire sur mes lèvres. Mais il est rapidement remplacé par un haussement de sourcils levés.
N'est ce pas le propre des hommes de tenir parole ? Je veux dire, il semble venir d'une vielle famille sorcière, n'est ce pas le propre des vieilles familles sorcières d'avoir une parole ? Enfin, oui, mais non. Il y a bien certains qui jouent de multiples jeux, mais voilà quoi. C'est une question d'honneur que d'avoir une parole, n'est ce pas.
Je ne sais pas a quel point il peut voir dans la pénombre, et je ne sais pas si il peut voir la confusion sur mon visage. En tout cas, je me reprends vite, et force mon visage a reprendre son expression habituelle.
Je regarde à nouveau le ciel, avant de commenter, juste assez firt pour être entendue.
« Les gens qui ne respectent pas leur parole m'horripilent vraiment. Tu vas donc rester ici avec... Une pause. Eli', comme Elias ou comme Élisabeth ? Un frère, une soeurnoi un animal de compagnie ? Eli', c'est ça ?
Je sais pas, moi. Chez ses grands parents, peut-être ? Ou alors chez un oncle, que sais-je ? Ses parents sont peut-etre des suprémasistes sang-pur et suporteraient mal qu'il reste au milieu de nés moldus ? Mais alors, ne devraient ils pas aboir une parole ? Je veux dire, en général, ces familles aiment bien porter leurs valeurs aristocratiques sur leurs habits pour mieux se démarquer des autres. Je ne sais plus, il m'a perdue.
Je regarde encore le ciel étoilé avant de reprendre, toujours ausi doucement.
«Le ciel étoilé est si beau. Et ces étoiles, elles sont si belles. Mais peut-être qu'elles nous envient, nous, parce-qu'elles ne peuvent pas bouger, et nous si.
Il va me prendre pour une folle. Mais n'empêche, je souris, un grand sourire malicieux, en imaginant comment les étoiles vont a l'école, elles. Peut-etrenqu'elles se déplacent le jour, et la nuit, elles se figent comme si elles jouaient a 1,2,3,soleil ? Ou plutôt, 1,2,3, lune ?
«Je dois vraiment travailler mes méthodes de changement de sujet, moi. » J'ai parlé très bas, mais il m'a peut-être entendue.
Il va me prendre pour une folle.Et dire que je voulais le faire penser a autre chose. Tant pis.
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
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N'est ce pas le propre des hommes de tenir parole ? Je veux dire, il semble venir d'une vielle famille sorcière, n'est ce pas le propre des vieilles familles sorcières d'avoir une parole ? Enfin, oui, mais non. Il y a bien certains qui jouent de multiples jeux, mais voilà quoi. C'est une question d'honneur que d'avoir une parole, n'est ce pas.
Je ne sais pas a quel point il peut voir dans la pénombre, et je ne sais pas si il peut voir la confusion sur mon visage. En tout cas, je me reprends vite, et force mon visage a reprendre son expression habituelle.
Je regarde à nouveau le ciel, avant de commenter, juste assez firt pour être entendue.
« Les gens qui ne respectent pas leur parole m'horripilent vraiment. Tu vas donc rester ici avec... Une pause. Eli', comme Elias ou comme Élisabeth ? Un frère, une soeurnoi un animal de compagnie ? Eli', c'est ça ?
Idiote. Évidement, où veux tu qu'il aille ?
Je sais pas, moi. Chez ses grands parents, peut-être ? Ou alors chez un oncle, que sais-je ? Ses parents sont peut-etre des suprémasistes sang-pur et suporteraient mal qu'il reste au milieu de nés moldus ? Mais alors, ne devraient ils pas aboir une parole ? Je veux dire, en général, ces familles aiment bien porter leurs valeurs aristocratiques sur leurs habits pour mieux se démarquer des autres. Je ne sais plus, il m'a perdue.
Je regarde encore le ciel étoilé avant de reprendre, toujours ausi doucement.
«Le ciel étoilé est si beau. Et ces étoiles, elles sont si belles. Mais peut-être qu'elles nous envient, nous, parce-qu'elles ne peuvent pas bouger, et nous si.
Il va me prendre pour une folle. Mais n'empêche, je souris, un grand sourire malicieux, en imaginant comment les étoiles vont a l'école, elles. Peut-etrenqu'elles se déplacent le jour, et la nuit, elles se figent comme si elles jouaient a 1,2,3,soleil ? Ou plutôt, 1,2,3, lune ?
«Je dois vraiment travailler mes méthodes de changement de sujet, moi. » J'ai parlé très bas, mais il m'a peut-être entendue.
Il va me prendre pour une folle.Et dire que je voulais le faire penser a autre chose. Tant pis.
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Fehu
Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.
Je les déteste...
Elle se montre étonnamment compréhensive pour quelqu'un qui ne me connaît pas.
Ca m'incite à continuer mes confessions.
Je répond à sa question dans un soupir.
Ca m'incite à continuer mes confessions.
Je répond à sa question dans un soupir.
-Je sais pas si je vais rester ici. Ca avait l'air d'être plus ou moins le temps mais si mes parents trouvent une solution pour qu'on ne soit pas obligés de rester avec tout cette racaille à Poudlard je pense qu'il la prendront. C'est pour ça que j'ai demandé si nous pouvions au moins aller chez nos grands-parents même si je ne les aime pas vraiment. Et puis si nous sommes à proximité nous pourrons au moins passer les fêtes avec eux si ils n'ont pas de boulot à ce moment.
Je ricane devant sa tentative de changer de sujet.
Pas pour moquer.
Juste parce que ça me fait rire.
Je ne relève pourtant pas.
Au contraire, je joue le jeu et lui répond.
Pas pour moquer.
Juste parce que ça me fait rire.
Je ne relève pourtant pas.
Au contraire, je joue le jeu et lui répond.
-C'est vrai. En même temps elles ont d'autres privilèges que nous n'avons pas. De là où elles sont elles peuvent tout voir. Tu imagines avoir vu sur le monde entier? Sans aucune limite? Sans aucune frontière à ne pas franchir.... Si je pouvais prendre leur place crois moi que je le ferais.
C'est vrai.
Comme j'aimerais me libérer de toutes mes attaches terrestres.
Ne faire plus qu'un avec l'univers.
Mais c'est malheureusement impossible.
Ca fait bien longtemps que je me suis fait une raison.
Comme j'aimerais me libérer de toutes mes attaches terrestres.
Ne faire plus qu'un avec l'univers.
Mais c'est malheureusement impossible.
Ca fait bien longtemps que je me suis fait une raison.
@Celia-Awena Fournier désolééééé pour le retard
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
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Je les déteste...
Un soupir. Il me répond, me confiant qu'il ne sait pas vraiment. Je lève des sourcils légèrement outrés en l'entendant parler de "racailles", puis les baisse rapidement, reprenant une expression neutre. Il ne s'agit pas de juger. Et en plus, il me confirme mes hypothèses. C'est un Né sorcier, et un issu d'une famille riche. Je souris doucement, contente d'avoir vu juste. Et lui non plus ne semble pas être fou de ses grands parents. Bon, les sorciers nés juste après, voir peu ava t la dernière guerre des sorciers semblent tous avoir des problèmes générationnels. Pourquoi donc ? Ont ils eu des parents distants, occupés a faire la guerre ? Ou au contraire, trop présents, effrayés de perdre leurs progénitures dans cette guerre insensée ? Interssant, tout cela.
Le ricanement du garçon me surprend, et je me tourne brusquement, surprise. Il se moque de moi ? J'essaie de mettre en catastrophe une façade d'autodérision lorsqu'il rentre dans mon jeu, ce qui a pour résultat de me détendre.
Je regarde à nouveau le ciel bleu nuit constellé d'étoiles, avant de lui répondre.
"Si. Il y a des frontières.
Elles ne peuvent voir qu'une face de la Terre à la fois. Et ne peuvent sûrement pas voir à travers les murs. Qui sait, elles ont peut être du mal a nous voir, nous ne sommes pas dans la tour d'astronomie.
Je marque une courte pause, essayant d'imaginer leurs conversations. Peut être qu'elles en tiennent des similaires aux nôtres lorsque nous sommes devant un spectacle que nous ne voyons que très mal.
"Et elles ne peuvent pas voyager. Elles sont coincées pour l'éternité avec d'autres étoiles qu'elles peuvent ne pas apprécier." Je me tourne vers lui, pour le regarder dans les yeux, comme je peux, frissonnante a cause de cette idée "Tu imagines? Être forcé de rester avec ta famille pour la fin des temps, même avec ce membre désagréable que tu ne vois qu'à Noël, mais c'est déjà bien trop pour toi." plus bas. "Je ne supporterais pas de vivre toute ma vie avec Granny et Oncle Oliver"
Ne t'inquiète pas, @Antonn Clifford , je ne suis pas un exemple de rapidité non plus
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
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Le ricanement du garçon me surprend, et je me tourne brusquement, surprise. Il se moque de moi ? J'essaie de mettre en catastrophe une façade d'autodérision lorsqu'il rentre dans mon jeu, ce qui a pour résultat de me détendre.
Je regarde à nouveau le ciel bleu nuit constellé d'étoiles, avant de lui répondre.
"Si. Il y a des frontières.
Elles ne peuvent voir qu'une face de la Terre à la fois. Et ne peuvent sûrement pas voir à travers les murs. Qui sait, elles ont peut être du mal a nous voir, nous ne sommes pas dans la tour d'astronomie.
Je marque une courte pause, essayant d'imaginer leurs conversations. Peut être qu'elles en tiennent des similaires aux nôtres lorsque nous sommes devant un spectacle que nous ne voyons que très mal.
"Et elles ne peuvent pas voyager. Elles sont coincées pour l'éternité avec d'autres étoiles qu'elles peuvent ne pas apprécier." Je me tourne vers lui, pour le regarder dans les yeux, comme je peux, frissonnante a cause de cette idée "Tu imagines? Être forcé de rester avec ta famille pour la fin des temps, même avec ce membre désagréable que tu ne vois qu'à Noël, mais c'est déjà bien trop pour toi." plus bas. "Je ne supporterais pas de vivre toute ma vie avec Granny et Oncle Oliver"
Ne t'inquiète pas, @Antonn Clifford , je ne suis pas un exemple de rapidité non plus
pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg
Fehu
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