17 février,
début d’après-midi,
Une délicate lumière perse les nuages
Privé

Pau s’était réveillé enjoué et pleine d’entrain, elle était aller prendre un petit déjeuner copieux puis elle c’était rendu en cours et avait passé une agréable journée simple mais réussit. C’était donc le cœur plein d’amour qu’elle s’était rendu au pied des escaliers menant à la volière. Elle avait emporté un petit sac pour transporter de quoi écrire. L’hiver arrivait à son terme mais on pouvait encore sentir le froid piquer les partis dénudé du corps. Dans le ciel une faible mais visible lumière d’hiver perçait les nuages épais. Le froid mordait Pau au niveau de ses mains car elle n’aimait pas pris la peine d’enfiler ses gants. Elle s’était couvert avec son épais manteau et une écharpe. Elle n’avait pas pensée que le froid serait aussi puissant. Quand elle arriva au sommet de la tour, elle se précipita vers les hiboux. Il faisait beaucoup de bruit mais Pau n’y fit pas attention. Elle chercha des yeux le hibou qu’elle avait reçu. Pendant ce temps des hiboux arrivaient se posaient et attendaient. Quand enfin elle l’eut trouvé, elle le prit en commença à l’ouvrir :

Ma chère Pau,
Je suis heureuse de savoir que tu as été admise dans ta nouvelle école, mais je suis triste que nous soyons séparé.

Maintenant, il faut que je te dise quelque chose. Je sais que ça te fera mal, mais je ne peux continuer à te mentir. Je souhaiterais que nous arrêtions ici notre relation. Mais j’aimerais que nous le fassions d’un commun accord. En effet depuis que tu n’es plus là, les choses ont changé. Peut être est ce moi ou toi, toujours est il que je crois que mes sentiments pour toi ont changé. Je t’apprécie toujours bien sur, tu es toujours la jeune fille enjouée et géniale que j’ai connu mais je t’apprécie plutôt comme une amie et je suis très heureux d’avoir fait ta connaissance. Comme je le disais ultérieurement j’aimerais que nous annoncions la fin de notre relation d’un commun accord. J’espère que tu ne m’en voudra pas trop, mais sache que je t’apprécie toujours autant et que je souhaite que notre amitié dur car tu est pour moi, une fille formidable comme tu l’as toujours été.

J’espère que tu te porte bien et que ton école te plaît.

Lyam O’Galley,
Ton ami d’enfance qui t’adore !

Non! Non! Pourquoi ?! Un sentiment d’erreur enveloppa soudain Pau. Elle se rendit compte que c’est ce qu’elle aussi avait compris. Elle avait compris que ses sentiments avaient évolués. Elle aussi ressentait cela. Elle prit donc une des feuilles de parchemin qu’elle avait pris dans sa poche pour ce genre de situation. Elle avait pris une plume et un livre accompagné d’un petit pot fermé d’encre. Elle s’assit par terre ignorant le froid et écrivit :

Bonjour Lyam,

Ne t’inquiète pas je ne t’en veux pas. Je comprend. Moi aussi j’ai senti mes sentiments évoluer. Je suis d’accord pour que nous nous séparions de ce titre d’amoureux d’un commun accord pour prendre celui d’amis. Je suis aussi heureuse que notre relation perdure. Car je tiens à toi et tu le sais mais il me faudra un peu de temps réfléchir mais ne t’inquiète pas je resterais ton amie. Je te remercie pour cette confiance. Je serais toujours avec toi !

Pau Ouma-Decley,
Ton amie d’enfance qui t’aime aussi !

Elle ne lui en voulait pas et c’était vrai. Elle comprenait. Mais elle aurait besoin de temps, de temps pour réfléchir, à quoi ? Elle ne le savait pas. Mais un chose était sur, elle resterait son ami. Tout un coup elle senti de l’eau sur sa joue. Elle pleurait. Pourquoi elle ne le savait pas.

Quand elle eut écrit ces mots, elle fermat la lettre et la donna à un hibou qui partit de suite. Puis elle fit mine de se retourner mais à ce moment, elle entendit des pas dans l’escalier, quelqu’un approchait. Elle resta donc de dos mais ce releva tout de même en faisant mine d’observer le hibou qui s’envolait.

@Rivers Robinson-Scott

Rivers avait pris son petit déjeuner dans la grande salle du château,
comme tout les matins. Quand il eut terminé son petit déjeuner, il se rendit en cours.
En début d’après-midi, il se dirigea vers la volière tout naturellement, pour aller chercher son courrier.
Avant d'atteindre la volière, il fallait monter un long escalier en pierre interminable,
et c'est à contre coeur qu'il dû le faire car il détestait par dessus tout faire du sport
après avoir mangé, (un moment sacré pour lui dans la journée).
En plus de cette concrainte, l'escalier en pierre était glacé, et, bien qu'il portait sur lui
un bon gros pull en laine,J il avait l'impression d'être recouvert par une épaisse
couche de glace qui le gelait jusqu'à l'os.
Quelques temps après, il aperçu enfin le sommet de l'escalier.
Il gravit les dix dernières marches et arriva à la volière où une jeune fille était déjà là.
Elle était de dos donc il ne voyait pas son visage. Elle avait son âge, faisait à peu près
la même taille que lui et avait les cheveux plutôt longs et blonds.
Il la contourna pour aller chercher la lettre de ses parents qu'il attendait avec impatience, et, en passant a coté d'elle, il vit son visage et remarqua qu'elle pleurait. Enfin, elle ne pleurait pas vraiment car elle ne semblait pas atristée mais il y avait quand même des larmes qui coulaient le long de ses joues.
Rivers se raprocha donc de cette dernière et lui demanda si elle allait bien, pourquoi est ce qu'elle pleurait et si elle voulais que qu'il fasse quelque chose pour elle.

@Pau Dev

Les bruits de pas se rapprochaient... Soudain, elle vit un jeune garçon blond passer à côté d’elle pour récupérer son courrier, sur son manteau elle put voir qu’il appartenait à la maison de Serdaigle. Quand il l’a vit, il lui demanda pourquoi elle pleurait si elle allait bien et si il pouvait faire quelque chose. Pau ne comprenait pas ce geste déplacé. Ce garçon ne devait pas être très doué pour... communiqué, non. Non, il ne devait pas être très a l’aise avec les inconnus. Pau savait que ses paroles partaient d’une bonne intention, du moins elle le pensait, mais elle ne pouvait s’empêcher de se dire qu’il s’y était très mal pris pour l’aider. Il lui avait directement demandé si tout allait bien. Elle n’était pas vraiment triste, mais elle avait un drôle de sentiment sur lequel elle n’arrivait pas à mettre des mots. Elle avait l’impression qu’on lui enlève quelque chose, mais que cette chose avait été un poids sans qu’elle s’en rende compte. Elle voulu répondre au blondinet qui se tenait devant elle.

« Oh salut... Je m’appelle Pau. Tout va bien ne t’inquiète pas ! J’ai reçu un courrier qui n’est pas des plus joyeux, mais je me sens bien. Va ouvrir ton courrier, je n’ai rien. »

Lui dit elle avec un grand sourire. Après ces franches paroles, elle essuya ses larmes et attendit une réponse. Elle au moins elle s’était présenté, enfin elle ne lui en voulait pas.

@Rivers Robinson-Scott

La jeune fille qui pleurait lui repondit en lui disant qu’elle s’appellait Pau, qu’elle allait bien, qu’elle avait simplement reçu un hiboux pas très joyeux et qu’il n’avait pas de quoi s’inquiéter.
Rivers savait qu’il avait été maladroit en voulant l’aider, mais il a toujours été très timide avec les inconnus, et ne peut pas changer sa façon d’être.
Il voulait lui dire qu’il était désolé d’y être aller un peu franc en lui demandant comment elle allait et ce qui se passait, mais aucun mot ne sortait de sa bouche.
Il balbutia une phrase incompréhensible que lui même n’a pas compris puis alla voir si il avait reçu quelque chose. Effectivement, il avait reçu une lettre de ses parents. Il l’ouvra donc et la lu dans sa tête.

Bonjour mon chère Rivers,
J’espere Que tu es heureux à Poudlard, que tu t’amuse bien mais que tu travaille bien aussi.
Nous avons quelque chose à te dire, prépare toi. Je ne te l’ai pas dit la dernière fois que tu nous a rendu visite à Noël, mais je te le dit maintenant. Dans peu de Temps, nous allons avoir un nouveau membre dans la famille.
Oui, tu as bien compris, j’attend un bébé, et il viendra au monde début avril. Je sais que tu te pose déjà des tas de questions, ne t’en fait pas, nous aurons le temps d’en parler quand tu viendras nous voir. Tu nous manque beaucoup à la maison et on a vraiment hâte de te revoir le plus vite possible.

Gros gros gros bisous de la part de toute la famille.
De papa, maman, Samy Harley, et bientôt, le petit dernier.
ta famille qui t’aime beaucoup
PS: Samy t’imagine déjà à espérer que le bébé viendra au monde le premier avril, hahaha

Rivers plia la lettre, la mis dans sa poche et se laissa tomber au sol...
Puis il ressorti la lettre de sa poche et la déchira en milles morceaux jusqu’à ce qu’il ne puisse plus la dechirer.
Il n’etait Pas vraiment fâché, comme laissait penser sa façon de réagir, non.
Il n’etait Pas en colère, mais il n’etait joyeux.
Dans sa tête, tout bouillonnait, comme si son cerveau était en train de Disjoncter.
Il était heureux d’avoir bientôt un petit frère ou une petite soeur, il était triste de ne pouvoir être présent à la naissance car il savait qu’en avril, il ńavait pas de vacances, il était fâché contre ses parents il ne sait pour qu’elle raison, en colère contre lui même, en colère contre tout.

@Pau Dev

Pendant que le garçon, dont elle ne connaissait même pas le nom, se dirigeait vers son courrier, la jeune alla s'adossait à la barrière de manière à être complètement devant le paysage. Ses larmes avaient séchés sur sa joue. Elle se sentait bien, là, a observer les oiseaux voler en toutes liberté. Comme elle les enviait ! Ils était magnifiques, glissant sur l’air... Alors qu’elle observait ces majestueux animaux, elle eut l’impression d’un poids s’abattant sur le sol. Elle se retourna pour voir ce que c’était, et elle fut surprise en apercevant le jeune garçon de tout a l’heure. Il était assis par terre, il tenait une lettre dans sa main. Elle l’observa un instant et vit que ses yeux brillaient, il pleurait ! « C’est étrange, il y a quelques instant c’est moi qui pleurait... On dirait qu’aujourd’hui est le jour des hiboux décevants... » se dit elle. Elle ne pouvait pas le laisser comme ça, seul, triste. Elle ne savait pas ce que contenait cette lettre, mais elle n’en avait pas besoin pour l’aider. Elle s’approcha de lui, s’assit en face de lui puis dit :
- “Re-Bonjour, je crois que tu sais déjà que je suis Pau. Et toi, tu es ?
Dis moi, j’ai l’impression que toi non plus ça ne va pas fort, les rôles s’inversent je crois... As tu besoin d’aide ? Veux tu me dire ce qu’il y a sur cet lettre, peut être cela te soulagera-t-il ?  ». Elle avait dit ces mots sans s’en rendre compte et en était fière. Elle attendais maintenant une réponse d d’la part de ce jeune garçon.

@Rivers Robinson-Scott

Quand Rivers se laissa tomber au sol, Pau se tourna vers lui et elle vit qu’il pleurait.
Elle lui demanda qui il était, que lui non plus n’avait pas dû recevoir un hiboux très joyeux, elle lui demanda si elle pouvait faire quelque chose pour lui et si il voulait en parler.
Le garçon répondit:
Euh... Mon nom est Rivers.
Désolé d’y être allé un peu brutalement tout à l’heure.
Mais T’inquiète pas, ça va, je suis juste pas hyper heureux.. enfin si, mais enfaite pas vraiment.
J’ai reçu un hiboux joyeux et je devrais être content, mais je ne sais pas pourquoi, je ne le suis pas vraiment.
Je suis un peu perdu mais ça va.


Rivers sécha ses larmes avec sa manche et épousta les petits bouts de lettres qu’il avait déchiré et qui était sur son pantalon.
Puis il se remit à parler à Pau:

Je m’excuse vraiment d’y être allé un peu trop franchement tout à l’heure mais je suis assez maladroit et encore plus avec les inconnus.
Je sais que tu va me demander ce qu’il y a écris sur la lettre.
Et bien, je vais avoir un petit frère ou une petite sœur , je sais ce que tu te dis, c’est bizarre d’etre Triste à cause de ça, mais même si ça ne se voit pas j’en suis très heureux.
Seulement... je ne pourrais pas être présent quand il ou elle viendra au monde et ça me rend très triste et en colere.

« Euh... Mon nom est Rivers. Désolé d’y être allé un peu brutalement tout à l’heure. Mais t’inquiète pas, ça va, je suis juste pas hyper heureux.. Enfin si, mais enfaite pas vraiment. J’ai reçu un hiboux joyeux et je devrais être content, mais je ne sais pas pourquoi, je ne le suis pas vraiment.
Je suis un peu perdu mais ça va.
 »

Le dénommé Rivers sécha ses larmes et passa la main sur des petits bouts de papiers tombés sur son pantalon. Ce devait être la lettre qu’il avait reçu et qu’il avait déchiré.


«   Je m’excuse vraiment d’y être allé un peu trop franchement tout à l’heure mais je suis assez maladroit et encore plus avec les inconnus. Je sais que tu vas me demander ce qu’il y a écris sur la lettre. Eh bien, je vais avoir un petit frère ou une petite sœur , je sais ce que tu te dis, c’est bizarre d’être triste à cause de ça, mais même si ça ne se voit pas j’en suis très heureux. Seulement... je ne pourrais pas être présent quand il ou elle viendra au monde et ça me rend très triste et en colère.  »

Pau eut un sourire intérieur en l’entendant s’excuser. Ce garçon n’était pas si horrible que cela finalement. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Triste et joyeux... Drôle de sensation que celle là. Pau comprenait qu’il soit triste et heureux de la venu au monde d’une nouvelle vie. Elle chercha donc ses mots pour le rassurer puis lui dit :

- « Ah oui, d’accord je comprend. Tu es triste et heureux à la fois, j’ai déjà ressentie cela. Mais dis toi que tu peux demander des photos de lui, et tu pourrais même lui ramener, à lui ou à ses parents, un petit souvenir de Poudlard. Tu devrais demander de t’envoyer des photos de lui dans ta réponse. Il y a plein de petits gestes que tu peux faire pour préparer sa venu ou même l’attendre...
Oh et sache que je ne t’aurai pas forcé à me dire ce qu’il y a sur la lettre. C’était la tienne, j’aurai respecté ton choix. »

Elle avait dit ces dernière parole pour se convaincre elle même autant que lui. Sur ce, elle se tut et laissa le jeune Serdaigle méditer sur les paroles qu’elle venait de prononcer.

@Rivers Robinson-Scott

Pau, la jeune Serdaigle lui repondit:

- « Ah oui, d’accord je comprend. Tu es triste et heureux à la fois, j’ai déjà ressentie cela. Mais dis toi que tu peux demander des photos de lui, et tu pourrais même lui ramener, à lui ou à ses parents, un petit souvenir de Poudlard. Tu devrais demander de t’envoyer des photos de lui dans ta réponse. Il y a plein de petits gestes que tu peux faire pour préparer sa venu ou même l’attendre...
Oh et sache que je ne t’aurai pas forcé à me dire ce qu’il y a sur la lettre. C’était la tienne, j’aurai respecté ton choix. »

A présent qu’il avait parlé à quelqu’un de se qui le tourmentait, Rivers se sentait bien, enfin, mieux. Car il n’etait pas complètement soulagé, pour cela, il lui faudrait plus de temps.
Rivers savait qu’il pourrait toujours demander des photos du bébé quand il viendrait au monde, mais ce n’etait pas pareil que de le voir en vrai, de sentir sa présence de l’entendre.
C’est donc ce qu’il repondit à la jeune fille.

Oui je sais, je pourrais avoir des photos du bébé, mais ce n’est pas pareil du tout que de le tenir dans les mains, et puis, c’est mon premier petit frère ou petite sœur, je suis le plus jeune d’entre mes frères et sœurs. Alors, j’aurais vraiment voulu y assister.
Excuse moi de te poser une question personnelle et un peu étrange, mais as-tu une petite sœur ou un petit frère ?
Si tu ne veux pas en parler, c’est pas, je comprend.

A toi @Pau Dev

Oui je sais, je pourrais avoir des photos du bébé, mais ce n’est pas pareil du tout que de le tenir dans les mains, et puis, c’est mon premier petit frère ou petite sœur, je suis le plus jeune d’entre mes frères et sœurs. Alors, j’aurais vraiment voulu y assister. Excuse moi de te poser une question personnelle et un peu étrange, mais as-tu une petite sœur ou un petit frère ? Si tu ne veux pas en parler, c’est pas grave, je comprend.

Ce garçon était vraiment étrange... Mais Pau l’apprécier tout de même malgré ses manière un peu brusque et ses question aussi un temps soit peu étrange. Elle avait envie de sympathiser avec lui. Et qu’on ne lui parle pas d’histoire d’amour ! Elle voulait en faire un ami. Rien de plus. Pau savait exactement quoi lui répondre. Elle lui fit un grand sourire et lui dit :

« En ce moment tu es triste oui. Mais quand tu apprendras qu’il est née, tu sera au ange. Bien sur une part de toi te dira que tu ne peux pas le beendet dans tes bras, mais le reste sera émerveillé. Imagine, une nouvelle vie, un nouveau petit frère ou sœur. Je te promet que tu seras vraiment heureux, pour lui, pour toi, pour ta famille. Sinon, j’ai un frère. Un petit frère. »

Elle attendais sa réaction, elle se demandais si il allait vouloir parler de ce frère, ou si il allait continuer sur le sien. Pau se rendit comte de la futilité de ses questions, mais ne put s’empêcher de se les poser pour comprendre le jeune garçon de sa maison se tenant devant elle. Elle se redressa, car auparavant elle était penché pour être à sa autour et le réconforter. Mais elle considérer que ses petites peurs s’était enfui, du moins presque toutes. Elle se releva donc et fut surprise quand elle se rendit compte qu’elle le dépassait d'au moins une demi tête. Elle se souvint juste à temps, bavant de prendre un air des plus surpris, qu’elle était plus grande que la moyenne de son âge. Elle était assez souvent surprise par cela, de devoir baissé un peu les yeux, pour observer les gens. Mais au fur et à mesure, on s’habituait. Elle attendit donc sa réponse.

La fille avait l’air très gentille, amicale, douce.
Rivers, en attendant la réponse de Pau, avait très froid, les murs étaient en pierres, ils étaient donc glacial et les fenêtres donnant une belle vue plongeante sur le parque avaient gelées.
La jeune fille lui fit un grand sourire et lui dit

En ce moment tu es triste oui. Mais quand tu apprendras qu’il est née, tu sera au ange. Bien sur une part de toi te dira que tu ne peux pas le beendet dans tes bras, mais le reste sera émerveillé. Imagine, une nouvelle vie, un nouveau petit frère ou sœur. Je te promet que tu seras vraiment heureux, pour lui, pour toi, pour ta famille. Sinon, j’ai un frère. Un petit frère.

Rivers était content de la manière dont elle lui avait répondu. Parce que il savait qu’il avait posé une question personnel, et il ne se connaissait pas y a une demie-heure. Rivers en était sur, une amitié était en train de se créer.
La jeune fille se releva et Rivers se rendit conte qu’elle était vraiment plus grande que lui et devait le dépasser d’au moins 15 centimètres !!!

Pau, avait un petit frère et Rivers voulait un petit frère plutôt qu’une petite sœur.
Il avait des tas de question à poser à Pau.
Quelle âge a t-il ? Est ce que vous vous entendez bien ? Est ce que t’etais Contente quand il est né ? Tu voulais une fille ?
Mais quelque chose le reteint.
Et il lui demanda autre chose

Ah, tu as un petit frère, moi aussi j’aimerais avoir un petit frère. Et, Est ce que tu n’aurais pas, par hasard, une feuille et de quoi ecrire ? car j’aimerais répondre à mes parents.

Rivers attendit sa réponse toujours en se lamentant de sa petite taille.

A toi @Pau Dev