Ma chère petite princesse

Comment vas tu?

Pardonne moi si je ne t'ai pas donner de mes nouvelles, avant ce jour. Tu me manques énormément et je comptes les jours qui séparent les grandes vacances d'hiver. Ici, il y a tellement de découvertes que tu t'imagine même pas. Souviens-tu de ce que les contes que maman nous lisait le soir? Souviens-tu des créatures qui nous hantaient durant nos rêves? Maman nous disait que c'était le fruit de notre imagination. C'est faux! Les créatures magiques , comme les licornes et les dragons, existent vraiment dans le monde magique.


La vie de sorcier est très différente de celle que je vivais avant. Dans cet immense château, nous apprenons à être de bon sorciers. Les mots mathématique, scientifique, technologique n'existe pas ou très peu. Comment pourrais-je décrire une vie de sorcier? J'ai l'impression de vivre dans un autre siècle, comme ci le temps s'était arrêté à cette époque. Je sais que tu aurais adoré. Le château est d'une telle beauté , mieux que ceux décris dans les livres. Ici, la magie est partout. Autant que les peinture peuvent parler autant que les escaliers se déplacent selon leur propre volonté, autant du magnifique ciel qu'on peut admirer en mangeant dans la grande salle. Je te le dis. La magie n'a pas de limite.

Vivre avec d'autres sorciers est à la fois stimulant , mais aussi effrayant. Parfois, j'ai la sensation d'être une inconnue parmi eux. J'entends des discussions qui me sont tellement étrangère. Le Quidditch , un sport qui se joue sur les balais, m'a prit du temps pour simplement comprendre les bases. Je suis tellement intimidée par toute cette magie et ces découvertes que j'ai la difficulté à m'ouvrir aux autres. C'est dans ces moments que je regrette mon ancienne vie. La vie était moins complexe à cette période.

Pardonne-moi ma petite sœur. Je ne voulais pas te confier mes inquiétudes. C'est indique du rôle de grande sœur. En ce moment, j'ai la tête qui va explosé avec ces fameux découvertes Et dire que je ne viens que d'apprendre que le un dixième qui constitue le monde sorcier. Promis , à la proche lettre , je te décrirai tous ce que la magie peut faire.

Prends soin de toi.
Salue la famille pour moi.
Je t'aime
Ta grand sœur.

  Chère Diesel,

 Je m'imagine que tu es entrain de te maquiller pour venir me voir. Bientôt, je vais entendre tes grosses chaussures résonner dans le couloir. Tu vas siffler Cleo en la croisant et ça me fera rire. 

Pour commencer j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer : on a évité la punition pour notre évasion de l'autre soir. Ma mère n'est même pas en colère contre toi, ni contre moi. 

Je t'écris cette lettre parce que j'ai besoin de croire que tu es encore là, à mes côtés. Je me persuade que tu la liras bientôt, en éclatant de rire. Et ensuite, telle que je te connais, tu feras un origami en forme de cœur avec le parchemin, pour te moquer de moi. 

Mais dans un autre monde, celui qui fonctionne sans demander notre avis, c'est une autre histoire, et elle est beaucoup plus sombre. Là, je pousse mon fauteuil devant la fenêtre du dortoir, comme si changer de paysage pouvait combler un tant soit peu le vide laissé par ton absence. Tu sais aussi bien que moi que je préfère fuir cet univers injuste, sale et hostile, si différent de celui que nous avons admiré depuis la colline. Si différent de ce qu'il est quand tu es là. 

J'essaie de me dire que tu es là, que je suis toujours en contact avec toi... Mais c'est dur. Je suis sans cesse ramenée malgré moi dans le monde où tu n'es pas, dans mes bras. Et ça me rend malade. J'ai la nausée et je tremble, mais ce n'est pas à cause de la déshydratation, ou d'un rhume. C'est une autre sortie de maladies, douce et fiévreuse, quelque chose qui vient avec une soudaine envie de me barrer d'ici pour te retrouver, de courir dans le couloir et de sauter par la fenêtre : une furieuse impatience qui habite mes muscles et mes os. Je donnerais n'importe quoi pour te retrouver.  J'ai envie de m'enfuir. 

Oui, mon instinct me dit de fuir. Diesel, nous sommes deux louves, et nous traversons ensemble un vaste paysage sauvage. Je ne sais pas lequel des deux mondes et le bon. Lequel est le mien. Dans lequel je me trouve à cet instant. 


Je t'aime, Diesel, merci encore pour ton cadeau, 
A toi pour toujours,

Alaska. 

Chère Enora,

Comment vas-tu ? J'espère que tu ne t'ennuie pas trop, raconte moi. Comment vont tes parents ? Mes parents m'ont demandé de te demander de leur passer le bonjour. Si mon percepteur voyait cette tautologie il en ferait une de ces têtes !
Pour ma part, je vais bien. Je m'ennuie assez, mes cousins étant malades. Tu imagines, Arthur et Edward sont tous les deux malades. “Et ils ont une maladie moldue en plus !” avait dit Grand-mère, totalement affolée. Ils ont ont la varicelle, et je ne suis pas autorisée à m'approcher de leur chambre. Et c'est ballot,
Edward n'a même pas pu fêter ses 15 ans comme il faut. Conclusion : je suis un peu seule, surtout que mes parents sont tres occupés. La seule chose qui me distraie, ce sont les visites des connaissances de mes parents qui viennent souvent avec un cadeau pour moi. Le dernier en date est une poupée représentant polichinelle, tu sais, le personnage de théâtre italien. J'aime bien cette poupée, elle est bien faite, elle est en cire. Je ne saus pas encore où je vais la mettre, mais elle est très jolie.
Parfois, les connaissances de mes parents ne viennent avec aucun cadeau pour moi, et ce sont donc ce que je peux entendre de leur conversation qui me distrait. Récemment, une coréenne est arrivée et a entreprus de raconter à mon père une mésaventure qui lui est arrivée à la frontière britannique. Elle nous a dit qu'elle présentait son titre de transport à un manteau noir lorsqu'un sagouin l'a reconnue (avant de devenir femme d'affaires, elle a été une idol, et apparemment elle a été dans un groupe assez connu là-bas.) et l'a suivie pour lui demander assez impoliment un autographe. Je ne sais pas la suite de l'histoire, parcequ'à ce moment précis mon percepteur est arrivé, j'ai donc dû m'éclipser. Dommage, j'aurais aimé avoir la fin.
D'ailleurs, savais-tu que j'écris sur un palimpeste ? Le fabricant de parchemin chez qui nous nous approvisionnons a fermé boutique pour devenir manteau noir. Donc le temps que Père règle ce problème, nous allons recycler, comme des moldus.
J'attends de tes nouvelles avec impatience.

Ton amie Celia-Awena.

Chère Celia-Awena,

Mes parents vont bien et je leur transmettrais les salutations des tiens lors de ma prochaine missive. Nul doute qu'ils rendront la pareille alors pourquoi ne pas prendre les devants et déjà passer le bonjour à ta famille ?
J'aimerais te dire que tout va bien mais je dois t'avouer que non. Comme toi je m'ennuie terriblement à Poudlard. Très peu sont restés et en fait, rien ne se passe. Le plus clair de mon temps est pris pour lire ou relire de livres qui ne me serviront pas avant longtemps ou que je connais déjà par coeur. Je ne prends même plus de plaisir à me promener dans le parc et, comme tu le sais, mon appétit et mon sommeil m'ont quittée depuis loongtemps. Depuis que mes parents m'ont annoncé la nouvelle je crois. 
Comme si ce n'était pas assez, ma famille ne m'écrit que très rarement et j'en viens à douter des vrais raisons derrière mon séjour ici. Crois-tu qu'il s'agisse encore de ma répartition à Serdaigle ? Je sais bien que mon père était désapointé que je ne marche pas dans ses pas mais de là à m'exiler ? Ma mère le laisserait-il faire ? Je ne sais plus ... Je suis assaillie de doute de toutes parts. La seule chose dont je suis sure, c'est que j'ai peur. J'ai peur que mes parents ne m'aiment plus et j'ai peur de commencer à détester la seule chose qu'il me resterait après ça : Poudlard. 
S'il te plait, transmets mes voeux de rétablissements à tes cousins. 
J'espère que vous trouverez un nouveau fournisseur avec un parchemin d'aussi bonne qualité car, pour tout te dire, si tu n'avais pas fait la remarque sur la nature de celui-ci jamais je n'aurais deviné qu'il avait déjà été utilisé !
J'espère t'écrire bientôt.

Enora

Chère Enora,

Je dois t'avouer que la joie que j'avais en comprenant que tu m'avais répondue c'est un peu envolée en lisant ta lettre.
Pour être franche avec toi, je pense que c'est peut-être un mélange d'inquiétude pour toi et de deception pas encore surmontée. Il se passe des choses assez effrayantes, hors de Poudlard, surtout pour ceux qui ont été proches des hauts responsables du ministère. C'est un miracle que tes parents n'aient pas été emprisonnés, beaucoup de mes connaissances ont leurs parents qui ont travaillé au ministère emprisonnés, que ce soit le Chef du Bureau des Aurors ou un employé sans titre ronflant. Peut-être ont-ils été témoins de choses horribles ? Cela arrive que ma mère ne dorme pas au manoir la première nuit de sa permission, histoire de ne pas tous nous reveiller avec ses cris, peut-être l'un de tes parents est dans une situation similaire ?
Crois moi, si ton père t'en voulait pour cela, il n'aurait pas voulu te voir à Noël ou bien il aurait été odieux avec toi ou au contraire excessivement gentil. Laisse lui le temps de s'y faire et toi, de ton côté, ne sois pas trop inquiète, d'accord ?
Tu n'as toujours pas d'appétit ? C'est une nouvelle qui m'inquiète beaucoup. Ne tombe pas malade, s'il te plaît. Ce serait encore plus triste pour toi d'etre malade et seule, ne trouves tu pas ?
Finalement, mes cousins sont rétablis (enfin, Edward nous inquiète encore un peu, mais il va beaucoup mieux), donc je m'ennuie moins. D'ailleurs, mon petit doigt me dit qu'il va y avoir un mariage dans la famille bientôt, ma tante Isy a sous entendu avoir rencontré quelqu'un, ce qui est surpenant car elle suit à la lettre la règle “ça ne défile pas à la maison”. Et aussi, elle a insisté auprès de père pour que je puisse m'entraîner plus souvent au patin artistique (elle a souvent dit qu'elle voulait que je fasse une danse a son maraige ou à ses fiancailles). Je te tiendrai au courant s'il y a du nouveau.
Je vais partir au Japon et j'irai voir la Coupe du Monde de quidditch. Veux-tu que je te rapporte quelque chose ?

Ton amie Celia-Awena.

14 juillet

Chère Celia Awena,

Je suis profondément désolée de t'avoir inquiétée. Crois-moi, je sais que la situation est bien plus difficile pour d'autres sorciers avec le nouveau Conseil. Je me sens ridicule d'être autant affectée par cela. Je suis une Horton, je devrais pouvoir vivre sans ma famille pendant quelques temps. Pourtant, ça me tiraille constamment. C'est la première fois que je ne vois pas mes parents si longtemps, même mon père qui passait son temps à voyager ! Mais surtout ma mère avec qui j'ai partagé chaque instant de ma vie jusque Poudlard. Cela m'a surpris qu'elle me manque autant. J'avais toujours eu l'impression d'être plus proche de mon père et je me rends compte que je me suis trompée. 
Je regrette tellement avoir été injuste avec elle à Noël. Je crois que c'est parce qu'elle était là. Mon père, lui, n'a daigné revenir qu'une semaine. Je sais que j'ai volontairement laissé ce détail de côté en te racontant mes vacances et j'en suis désolée. Je voulais me convaincre que tout était normal ...
Tu as peut-être raison, ils ont surement assisté à un évènement terrible. Mais ça fait des mois maintenant. Si ce n'était que cela pourquoi ne pas me faire revenir ? Pourquoi ne pas m'envoyer de lettre ?
J'admire sincèrement ta mère pour ce qu'elle fait. Lui as-tu bien passé le bonjour de mes parents et le mien ainsi qu'à ton père ?
J'essaye de ne pas m'inquièter et j'avoue que t'écrire me retire un poids des épaules. Je commence à penser que commencer un journal ne serait pas une si mauvaise idée. 
A toi de ne pas t'inquièter ! Je m'efforce de manger et à ne pas m'épuiser à la tâche. De toute façon, je n'ai plus le coeur d'étudier après autant de temps le nez dans les bouquins. J'ai bien appris de mon malaise en juin.
Je suis ravie que tes cousins aillent mieux ! J'espère qu'Edward finira promptement son bon rétablissement. 
Pour ce qui est de ton voyage au Japon, quelle chance ! Je n'y suis jamais allée alors surprends-moi si tu as le temps de trouver un petit quelque chose ! J'ai entendu dire que leur culture était passionante et très éloignée de la nôtre. Cela n'a pas été trop dur d'obtenir l'autorisation de quitter le pays ?
Amuse-toi bien à la Coupe du Monde et fais bon voyage. 

Enora Horton

Aucun soucis  

Papa et maman,

Voilà ! Ma première journée à Poudlard est terminée et elle fut très riche en émotion à un point que je ne sais pas par où commencer. Tout d'abord, je suis arrivée, avec d'autre nouveaux élèves, devant les immenses portes de l'école où la sous-directrice nous attendait. Ensuite, nous sommes allé dans la Grande Salle pour qu'une maison nous soit attribuée. Et vous ne devinerai jamais où j'ai été dirigée ! À Poufsouffle ! Vous vous rendez compte ! POUFSOUFFLE ! J'ai dû faire des efforts surhumains pour ne pas sauter de joie partout dans la salle hihi !

Ensuite, nous sommes allé dans nos salles communes et les Préfets nous ont fait une petit visite guidée des lieux. Je me suis installé dans une douillette petite alcôve et j'y ai placé la photo de notre famille. De cette façon, j'aurai toujours l'impression que vous veillez sur moi pendant la nuit, comme vous saviez si bien le faire quand j'étais à la maison. Certes, votre chaleur, votre bonne humeur et votre amour me manquent déjà mais je sais que je vous verrai dans quelques semaines, pendant le congé des Fêtes.

Je veux que vous sachiez que je pense fort à vous et je veux vous dire de ne pas vous inquiétez pour moi, je vous écrirai dès que je le pourrai. Je vous aimes fort et je vous embrasse.

Votre fille très heureuse, Jennifer.

Très chère Enora

Comment ça un malaise un juin ? Dès lq rentrée, je t'emmène au oarc prendre un peu le soleil. Nous pourrions nous poser sous un arbre et lire au soleil. Ou alors jouer à quelque chose, tant que tu n'es pas dans le château !
Je sais que tu aimes tes parents, c'est normal que cette longue séparation te déprime. Personnellement, le premier trimestre a été assez dur pour moi, j'étais séparée de mon père chéri.
Ne t'inquiète pas pour tes vacances de Noël, je ne t'en veux pas. C'est assez étrange que ton père ne revienne qu'une semaine, et ne t'envoie pas de letrres, c'est vrai. Il faut croire qu'il a plus mal pris ta répartition que je ne l'ai pensé, ou alors qu'il a beaucoup trop peur poir lui et pour toi. Maintenant, pour tenir une boutique sur le Chenin de Traverse, il faut prêter allégeance au Conseil, et c'est pareil dans à peu près tous les domaines. C'est te dire comme tout est devenu strict. Ta mère t'écrit, elle ? Mais je reste sûre que ton père t'aime toujours autant. Peut être qu'il ne veut pas écrire une lettre que les Manteaux noirs censureront. Je vais demander à Père d'écrire à ton père pour prendre de ses nouvelles, je te tiendrai au courant.
Pour changer de sujet, je suis déjà à Rottumerplaat. Nous avons loué une tente dans les premiers rangs, elle est énorme ! Je suis ici avec mon père et mes deux cousins parfaitement rétablis. Mon père m'a dit qu'il aurait aimé voyager au Japon avec les autres, mais c'était assez dur comme ça d'avoir l'autorisation pour deux. Actuellement, je suis dans notre tente que mon père à insonorisée, il y a un groupe de supporters Ougandais qui loge pas loin, par la Dame du Lac, qu'est-ce qu'ils sont bruyants ! Au moins, nous ne sommes pas les seils à parler anglais, il y a énormément d'Americains ici. À mon retour, je te raconterai tout en détail, tu verras, ce qu'il se passe ici est absolument fou !
Je oense que tu devraus écrire un journal, tu re sentiras moins seule. Sais tu comment tu vas le rendre secret ? A moins que cela ne soit pas dans tes intentions ?
Hier, j'ai dit a ma mère combien tu l'admires, elle était très touchée. Elle m'a répondu qu'elle le fait pour que nous ne vivions pas sous la peur. Un peu raté à cause des sorciers, mais au moins, les moldus ne font plus d'attentats.
Je vais te trouver un joli cadeau au Japon, et je reviendrai avec plien d'histoires. Promis, tu ne t'ennuiras plus à la rentrée !

Ton amie Celia-Awena

21 juillet 2044

Chère Celia Awena,

Décidément, le jour de réception de ta lettre fut chargé en rebondissement ! 
J'aimerais d'abord te remercier car tes mots m'ont mis du baume au coeur et ce n'était pas facile étant donné l'état dans lequel j'étais. 
Pour juin, je suis désolée de ne t'avoir rien dit. Pour être honnête, je ne crois pas en avoir parlé à qui que ce soit si ce n'est la sorcière qui se trouvait avec moi à l'infirmerie ce jour là. Je n'ai rien dévoilé à mes parents non plus si bien que si l'école ne les a pas prévenus, je ne crois pas qu'ils soient au courant. Ne le prends donc pas personnellement. Ce n'est qu'une chose de plus que je voulais mettre derrière moi aussi vite que possible. Je crois qu'on appelle ça le déni, psychologiquement parlant. 
J'ai bien entendu des faits similaires pour ce qui est des nouvelles régularisations. Je ne sais pas toi mais ça me donne des frissons. J'ai peur que nous nous rapprochions d'une dictature et que même les enfants soient concernés bientôt. Plus que déjà en tout cas. Mais nous ne devrions pas en parler plus longuement. Je n'ai pas encore reçu de hibou ébouriffé mais ça ne saurait tardé. Qu'en est il pour toi ? As tu eu des problèmes avec tes missives ?
Ma mère ne m'écrit pas plus que mon père car ils le font le plus souvent à deux. Je me demande qui met donc le frein à cette correspondance ...
J'espère que tu me raconteras tout ce qu'il se passe à la Coupe du monde et que tu auras le temps de visiter un peu ! Le quidditch professionnel peut être tellement exaltant (ne dit pas que j'ai écrit cela à l'équipe de notre maison ou je me ferais étripée je crois). Je suis ravie d'apprendre que ce sera également l'occasion pour toi de faire des rencontres d'un nouvel horizon même si j'ai cru que comprendre que pour ceux d'outre mer méditérannée, ce serait un peu contrarié. 
Tu me fais penser que je devrais bien plus réfléchir à cette histoire de journal. J'essayerai de faire part de mon projet à mes parents et peut-être même de trouver un sort pour le rendre encore plus secret. J'ai le temps après tout.
Comment va ta mère d'ailleurs ? Et ton père ? Je sais que je l'ai demandé il n'y a pas si longtemps mais je suis inquiète par la vitesse à laquelle les choses changent ses temps ci ...
Enfin, il faut que je te raconte ce qu'il s'est passé en ce 17 juillet ! Notre préfète est restée pour les vacances d'été également et elle m'a surprise en salle d'étude des moldus en train de lire. Je croyais que ce serait un autre jour morne mais je m'étais trompée. En parlant, elle m'a fait part de sa quête : elle recherche la salle sur demande. En as tu jamais entendu parlé ? Mon père n'y croit pas mais je crois avoir lu quelque chose sur une pièce similaire dans un livre sur le chateau de Poudlard. Cela me servira de distraction pour un temps je l'espère. 
J'attends de tes nouvelles et encore une fois, passe un merveilleux voyage. 

Ton amie Enora