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15 juil. 2019, 17:03
Trouble vérité  Privé 
24 Septembre 2044



Ils étaient là. Devant toi. Brillant férocement et reflétant ton visage disgracieux. La lumière de la salle était aspirée par ces coupes. Se faisant, on ne voyait qu'eux. Qu'elles, plutôt.

Elles emplissaient toute la salle, posées, bien en évidence, selon les mois et les années. Ce n'était que des coupes, et pourtant, cela te fascinait.
Il en ressortait d'elles de la persévérance. La persévérance des élèves, qui avaient travaillés dur pour avoir un petit trophées au nom de leur maison. Il y avait aussi du plaisir. Ce plaisir de voir leurs effort enfin récompensés.

Tu étais donc là, dans cette salle, où ta tête te revenait comme dans un miroir. Tu détestais te voir. Tu trouvais tes cheveux trop raide, comme de la paille. Tes yeux globuleux, comme ceux d'un crapaud. Tes oreilles trop petite. Ton visage trop rond.

Tu étais trop.

Trop maigre. Trop moche. Trop nul. Trop bête. Trop seule. Trop.
Mais c'était comme Toi, tu te voyais. Et c'était clair, tu ne t'aimais pas.

Et les Autres ?

La question ne se posait pas. Tu étais sûr qu'ils te voyaient comme tu te voyais. Pas intéressante, pas rigolote, pas belle, pas joyeuse.

C'est pour cela que tu restais seule. Que tu t'enfonçais dans ce tunnel long et froid de la solitude. Que tu te renfermais sur toi même. Que tu ne laissais rien paraître.
Tu étais une toute petite chose frêle, perdue, essayant désespérément de sortir de ses buissons épineux qui s'accrochaient à tes cheveux, déchiraient tes vêtements et te transperçaient la peau.
Tu avais mal, mais tu ne le disais pas.

Tu souffrais du rejet de ta mère, de ses coups et de ses mots. Tu aurais tellement voulu qu'elle te prenne une dernière fois dans ses bras. Tu souffrais de l'éloignement de ton frère, de la vu des bouteilles et canettes qui jonchaient le sol de chez ton père, de l'apparition de ton beau-père dans la vie de ta mère, dont tu pensais être le seul suspect de cette colère sourde que tu cachais au fond de toi. Tu souffrais de la moquerie des enfants, des regards déplacés, des querelles entre ton frère et tes parents, du ton qui montait et de la température glacée qui s'installait quand tu n'obéissais pas assez vite.
Tout cela. Tout cela te faisait mal. Mais tu avais beau subir tout ça, tu aimais aveuglément tes parent et ton frère.

Tu étais tellement seule. Tellement...
Tu trouvais le château trop grand, pour le petit être que tu étais. Tu avais presque l'impression d'être en danger. Pourtant, avant d'arriver ici, le danger était à la maison.

Tu te rendis compte alors que tu n'avais pas bougé d'un poil depuis quelques minutes et que tu ne respirais plus. Reprenant ton souffle, tu continuais inlassablement à remuer tes sombres pensées et regarder fixement, l'air perdue, les trophées.
Dernière modification par Ashley Swan le 17 sept. 2020, 15:16, modifié 1 fois.

Go away chicken ! Alison M.
Éloge à la Charogne.

23 sept. 2019, 00:47
Trouble vérité  Privé 
Maximilian s’aventurait sur les dernières marches d’escaliers menant au troisième étage. Essoufflé, il était malgré tout poussé par une motivation secrète, trouvé au sein de la salle des trophées, l’existence d’une certaine Alicia Whitecastle une membre éloignée de la famille. Cette information lui fut révélée par un message de source anonyme assurant le fait que cette personne aurait été préfet-en-chef à Poudlard en 1990 et meilleure attrapeuse trois fois de suite. Par le biais de cette révélation, il découvrit indirectement que les ancêtres de son père moldu étaient eux aussi des sorciers. Ainsi, heureux de découvrir une trace de sa famille paternelle au sein de Poudlard, il se précipitait courageusement vers la fameuse salle.

Il entra dans une longue salle aux larges vitrines de cristal où sont présentées des milliers de récompenses telles que des coupes, des écus, des plateaux. De belles statues ornaient certains recoins de la salle au sol lustré. Au fond de la pièce, une large plaquette de bronze est positionnée contre le mur. Maximilian observa une première fois la pièce aux multiples reflets. À travers l’une des glaces de cristal, il remarqua le visage d’une jeune fille aux longs cheveux bruns étincelants, aux yeux bleu-gris lumineux et touchants, au nez discret, à la fine bouche rosée. Les très de son visage étaient par ailleurs, subtilement circulaires. Après cette observation courte mais efficace, il se tourna d’une traite vers la jeune fille mystérieuse. Elle avait de petites mains mignonnes, des jambes fines. Sa mine triste marquée, affaiblit l’intérêt actuelle de Maximilian pour le faire s’intéresser à la détresse de cette camarade. Elle semblait triste et seule, comme un animal sauvage blessé et solitaire. Maximilian reprit sa mauvaise habitude, observer la profondeur des regards et se noya dans le beau tableau gris et bleu qu’évoquait les yeux de cette triste camarade aux cheveux de la nuit. Cela lui fit l’effet d'une large caresse d’un ciel immense et clair. Il finit presque bouche-bée devant elle et lâcha de sa bouche grande ouverte quelques mots simples, qui, il espérait, lui feraient malgré tout revenir à la réalité.

- Euh…bonjour, je suis désolé de te déranger…tout va bien ? Tu t’appelles comment ?

Il se posta à côté d'elle, évitant de se retrouver face à elle, espérant ainsi ne pas l'intimidé.
Dernière modification par Maximilian Whitecastle le 24 sept. 2019, 12:01, modifié 4 fois.

RP 2ème année (2044 - 2045)
- Avatar commun avec Debra Brunn -

l'amour est l'argent du bonheur - Maximilian

23 sept. 2019, 22:44
Trouble vérité  Privé 
Une bouffée d’air, qui rentre comme un pic dans ta bouche sèche, caresse ton palais et ta langue avant de venir s’engouffrer dans le long tunnel noir qu’est la trachée et emplie l’espace de tes poumons. Tes poumons qui gonflent. Et qui se vident inlassablement.
Phénomène imperturbable, tellement puissant et vivant.

T’aime bien écouter la Respiration. Tu aimes entendre le souffle calme et apaisant des enfants, et la respiration saccadée des adultes marchant à grands pas, ou celle encore des vieilles personnes, fatigué et lente, se délectant de chaque bouffée.
Mais celle que tu préfères, celle qui te détend et te soulage, celle qui te fais battre le cœur ; c’est la tienne.



La nuit dans ton lit, que tu poses ta petite main sur ton ventre, que tu le sent se soulever et se rabaisser, au rythme de l’air. Douce et régulière. Apaisante, silencieuse, comme un murmure dictant à ton être de s’endormir et de ne plus Penser.
Quand tu cours, là encore, elle vient, frappant de plus en plus vite, les battements accélèrent, le sang tape et bouillonne, et ton ventre qui se gonfle légèrement et se creuse de nouveau.
Et ce moment où tes larmes s’échappent et où tes sanglots, aussi silencieux soient-ils, te font gémir de douleur et de peur. Que ta respiration devient lourde, qu’elle se meurt au milieu de ton océan de tristesse, que tes poumons danses au rythme des hoquets de souffrance.



Là encore, tu écoutes. Pas bouger, juste écouter. Sentir, vivre chaque inspiration comme la dernière, comme si, à tout instant, plus aucun souffle ne passe la barrière de tes lèvres. Morte.
Et voilà qu’elle se bloque. Plus rien. Ton cœur qui s’accélère, qui cri danger. Mais le danger, c’est toi-même qui l’a crée. Alors t’attend. *2 secondes.* Et tu sent tes poumons qui souffrent, qui appellent à l’air. *5 secondes.* Et le cœur qui bat, qui bat encore et encore. *15 secondes.* Et ta tête qui tourne. Et la tentation qui te dévore. *20 secondes.* Mais tu résistes. Faire durer l’expérience.
Et enfin, tu laisses échapper l’air. Et qui s’engouffre de nouveau. Cycle infini. Jusqu'au véritable obstacle.




Bruit ! C’est ton corps entier qui le cris. Bruit qui se rapproche et qui vient se cogner contre ton être. Bruit qui rampe et qui grince. Et voilà que Bruit apparaît.
Ton cœur qui bat. Vite.
Tes yeux qui s’ouvrent. En grand.
Et tu le vois, qui passe devant, qui ne voit pas, qui ne voit rien.


Jusqu’au Miroir.


Stupide Miroir ! Et t’as peur, encore. Quand tu croises le Regard. Qu’il te dévisage et se retourne.


Paralyse.


T’a déjà envie qu’il dégage. Mais voilà que Bruit s’approche, se rapproche et se meut dans l’espace de la Salle jusqu’à Toi. Qui tremble maintenant, et qui sans savoir pourquoi, es happée par le Regard de l’Autre.


Fixe.


Mais voilà qu’il ouvre sa bouche. Peut pas s’en empêcher. Il doit être Bruit, mais toi tu ne le supporte pas.
Et enfin, tu baisses les yeux, les accroche au sol, t’attrape les bras. Petite créature obscure, qui n’aime pas Bruit. Et encore le Regard qui te transperce comme une aiguille, qui te picore et te dévore. T’aurais envie de crier, mais ta bouche est trop sèche et toute puissance a déjà quitté ton corps.

Et encore à Parler pour ne rien dire. Qui te demande des choses bien évidente. * Casse-toi ! Dégage ! Laisse-moi tranquille !* Mais ça, impossible. L’Autre te colle sans gêne, et tu ne peux t’empêcher d’écouter sa Respiration.

Elle sort, puissante et méprisante. Mais derrière, tu sent comme un sourire. Un joli sourire.

Et enfin, tu arrives à détacher tes lèvres l’une de l’autre, à articuler d’une voix basse et qui vibre et tremble dans l’air ambiant.

- J’vais bien.

Go away chicken ! Alison M.
Éloge à la Charogne.

26 sept. 2019, 15:48
Trouble vérité  Privé 
Maximilian, malgré les mots rassurant de sa camarade, était de plus en plus préoccupé mais ne souhaitait pas mettre cette dernière dans une situation désagréable ou déconvenue. Toujours à côté d’elle, il essaya de nouer un dialogue minime.

- Désolé, tu avais l’air préoccupé, je t’ai vu fixer ce miroir et tu avais un air un peu triste, disait-il, espérant ne pas trop gêner sa camarade.

Maximilian se releva, les mains appuyant sur ses genoux et regarda à son tour les grandes vitrines de cristal. À travers elles, plusieurs milliers de trophées étaient disposés et il pouvait aussi voir son reflet. Ses cheveux en bataille qui cachaient son front, ses yeux verts et écailleux, son visage juvénile, mais surtout, il pouvait la voir, elle et ses magnifiques yeux. Cette fois-là, il fut happé d’une telle manière, qu’il fut submergé par tant de ressenti. Une touche de tristesse de ce léger gris, de la beauté et de la profondeur dans ce bleu azuré et clair. Une telle osmose envahissait le coeur de Maximilian. Deux larmes s’arrachèrent à ses yeux, fermés par leur paupières et ses lèvres naviguèrent jusqu’à ses joues pour créer un sourire.

- Décidément il y a de si beaux regards ici, se disait-il à voix haute.

Puis, comme pour ne pas insister, il continuait d’observer à travers les vitres, une par une, à la recherche d’un trophée en particulier. Ses pas glissaient sur le sol, le regard maintenant plongé sur chaque compartiments de chaque vitrines cristallines. Des plaquettes gravées, des coupes en or, des écussons datés et bien d’autres babioles. Maximilian s’y perdait presque, tant il y en avait.

RP 2ème année (2044 - 2045)
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l'amour est l'argent du bonheur - Maximilian

19 oct. 2019, 15:53
Trouble vérité  Privé 
Il t’intrigue, l’Autre. À te sourire dans le miroir et te fixer avec une douceur certaine. Ça t’agace, te crispe un peu plus alors qu’il te dévisage de la sorte. Mais d’un autre côté, savoir qu’on te regarde, qu’on t’admire remplit ton cœur d’une petite joie, si discrète soit-elle.
Et voilà encore que tu croises son regard.


Il te transperce. Tu en trembles.


Tu n’oses pas lâcher, mais voilà que quelques secondes après, son regard coule vers les coupes devant Lui.
Une révolte éclate dans ton être. Tu ne veux pas y croire, la repousse, mais encore, tu demandes à recroiser les deux billes vertes. Qu'il te regarde. *Regarde moi !* Et encore que tu vois les lèvres s’étirer sur le visage de l’Autre. *Bordel regarde moi !*



De si beaux regards...



Tu rougis de plaisir, laissant tes bras se pendre le long de ton petit corps frêle.
Tout d’un coup, tu aimerais être comme ses filles, ne pas trembler devant d’Autres, savoir Parler et attirer l’attention. Être comme elles, si belle. *Tellement...* Moins repoussante, et si souriante. Sourire. *Si je...* Que te passe-t-il par la tête, Enfant ? Essaie bien, on verra. Mais non, bien sûr, trop bête, Petite. *Trop bête, hein.* Alors que les Autres sont si parfait. *Si laide...* Et pendant un instant, as-tu crus que tu pouvais être comme Eux. Sourire. * Mais si je...* Essaie bien, pour voir. Tu ne sais plus, hein ? Stupide, baisse les yeux ! * Chut !* Tu ne sais faire que te taire, et c’est de loin la plus grande de tes qualités. En as-tu d’autres au moins ? Tu en doutes si fortement...


Mal.


Ça fait si mal, ça te brûles les poumons, t'en aurais chialé. Tu étais Fantôme dans cet univers et voilà qu'Il arrive, comme une météorite, Lui. Qu'Il veut te faire exister. *Jamais !* Tu as bien trop peur de cela. Tu ne veux pas de son sourire... *Résiste !* Mais non, cela t'attire encore plus.
Il vient d'une autre dimension, inconnu, si intrigant. Alien cherchant un nouveau bien. Un trésor. Que cherche t'il, d'ailleurs ? Le nez collé aux vitrines, l'ombre d'un sourire toujours présente sur son visage.

- Qu'es-ce que tu fais là ?

Mordant.
Et ton cœur qui se serre. Pourquoi tant de haine. *Dans ma voix.* Si vibrante, si perturbante. *Blessante.* Et encore tu baisses les yeux. Honte, si honte. Et l'envie de frapper ta tête contre l'un des miroirs. *Mal.* Encore plus de mal. Mais pas à Lui.

Go away chicken ! Alison M.
Éloge à la Charogne.

24 oct. 2019, 22:30
Trouble vérité  Privé 
Maximilian fut si surpris par l’intervention de sa camarade, qu’il sursauta sur place. Mais au fond de lui, il fut content de pouvoir converser un peu plus avec la jeune fille qu’il aimerait connaître un peu plus. Il est toujours intéressant de découvrir de nouvelles personnes, puis elle aussi l’intriguait.

- Ah… Je suis venu pour trouver un certain trophée, celui d’une membre éloignée de ma famille. Je suis curieux, assurait-il en se rehaussant face à son interlocutrice. Et toi ? Qu’est-ce que tu fais ici toute seule ?

Maximilian se convaincu qu’il n’était pas trop intrusif, mais au fond de lui, il pensait en faire trop. Il eut par ailleurs l'impression que ses mots s'arrachaient de sa bouche. Ses poings étaient serrés contre ses hanches et ses yeux encore humide de son observation précédente, faisaient luire leur couleur verte. Mais Maximilian se disait qu'il fallait faire des efforts pour rencontrer les autres. Le jeune garçon été encore une fois happé par les yeux de la jeune fille, qui scintillaient avec les reflets de la salle. La lumière traversait les vitrines qui se projetèrent dans le fond de son regard bleuté. Cela arrivait souvent à Maximilian, mais il était fou de ce genre de ressentis. Tout ces détails, les yeux, les mains et autres spécificités apparentes. Les yeux de cette fille renfermaient un paysage mélancolique, l’on aurait dit un paysage neigeux au ciel d’azur. UN paysage improbable et à la fois exceptionnel. Le coeur du jeune garçon était comme tiraillé par ces deux extrêmes qui l'attendrissaient peu à peu. Maximilian avait l’air démunit en attendant la réponse que lui offrirait l’étudiante de Gryffondor.

RP 2ème année (2044 - 2045)
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l'amour est l'argent du bonheur - Maximilian

28 déc. 2019, 18:55
Trouble vérité  Privé 
Surpris. Il est surpris que t’ouvre la bouche. Toi aussi d’ailleurs, ça te prend pas souvent. *Oh non...* Parler, t’aime pas trop ça. T’as pas le « Truc ». *Chais pas...*
T’es pas habituée au mouvement de ta langue, qui claque contre le palais, se tortille dans un sens et s’entortille dans l’autre. Et tes cordes vocales qui vibrent et résonnent étonnamment, chantent ou cris, dansent ou sombrent.

Et Lui, la ? Il Sait ? Il sait bouger ses lèvres à n’en plus finir, jacasser des heures sur d’innombrables sujets ? * Comme tous les Autres ?* Comme tout le monde. Tout le monde sauf Toi. *Moi.* Pas Normal.
Mais Lui, est curieux. En tout cas, c'est ce qu'il avance. Et il te le fait de nouveau comprendre. Plus rien à faire.

- Chais pas. Je marche, puis je m'arrête et je regarde.

Et tu regardes. Devant toi, les coupes qui brillent fort. Et encore tu croises le regard lumineux, dans lequel se reflète à l'infini la pièce nimbée de lumière. *C'est beau...* De quoi ? Tout sûrement. Cette salle aux grandes vitres laissant passer les doux rayons du Soleil. Les vitrines si propre que l'on pouvait se mirer dedans. Et Lui, l'Alien, l'Autre, le Bruit, qui se pavane au milieu de la salle, croisant parfois ton regard, puis replongeant dans celui, plus enivrant et mielleux des coupes en or.
Lui aussi, tu le trouves beau, par sa façon d'être, de se mouvoir dans l'espace, de sourire malicieusement et de Parler. Parler avec calme, sans crier ou blesser. Parler de choses futiles en y mettant quelque chose que tu apprécie nettement, sans pouvoir mettre un mot dessus.

- Comment tu t'appelles ?

Mais est-ce bien important ? N'est-pas plus intéressant de rien savoir et de laisser place à son imagination ? Car tu sais qu'il va te le demander, à son tour. Te le redemander, plutôt. *Quelle sotte !* Tu n'en a rien à faire, encore une fois.
Et voilà que t'imagine, maintenant. Que tu essaye de deviner avant d'avoir une réponse. Une phrase avec un "Il a une tête à s'appeler..." Auquelle tu t'empresses de répondre non sans une petite honte.
* J'te parie qu'il s'appelle Gaspard.*

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