Quiconque souhaite participer à cette Danse peut poster à la suite.
Adulte comme Enfant. Élève comme Professeur.

Voilà des mois que tu arpentais le château, à la recherche de quelque chose, sans que tu ne sache quoi.
Tu apercevais souvent des ombres sur les murs, mais il n’y avait personne.
Tu t’imaginais des choses, des choses auxquels personne n’avait jamais pensé.
Tu étais perdue. Intérieurement. Ta vie n'avait plus aucun sens. Tu aurais tellement voulu en trouver un, un sens. Mais tu savais que c'était impossible. Il était impossible de revenir en arrière.
Tu voudrais qu’on t’aide, même si au fond de toi tu sais que tu ne peux être aider. Car personne n’a connu cette douleur.
Tu observais cette ombre noire sur le mur en face de toi. Ton regard se posa sur une coupe. Un trophée. Tu n’osa pas lire ce qu’il y était inscrit car il fallait que tu t rapproches du mur, de cette ombre, cette ombre qui te fait si peur.
Tu sais bien qu’un jour tu découvrira ce que te veut cette ombre.
Tu sens ton cœur lourd dans ta poitrine. Tu le sens cogner fort, comme chaque fois que tu penses à elle.

Tu chercha du regard quelque chose à dévisager mais il n’y a rien que toi et cette ombre.
Pourquoi t’étais tu engouffrer dans cette salle ?
Tu savais bien que tu y ressortirai plus effrayée que jamais. Alors tu ferma les yeux et laissa couler une larme.

Elle marchait seule dans les couloirs, sans savoir ou aller. Elle regardait autour d'elle, elle découvrait, elle observait. Les murs, les tableaux, les armures, des salles inconnues. Tout ce qui faisait de cet endroit un château, une école, Poudlard. Elle trouvait ça beau, oui. Beau mais grand. Peut-être un peu trop. Elle ne savait pas vraiment. Elle n'y faisait pas attention. Elle se contentait d'errer. Une porte, puis une autre, et encore une. La dernière était entrouverte. Puis un scintillement, un reflet doré. Elle s'avance vers la porte et la pousse, l'ouvre en grand. Elle s'arrête à son seuil et regarde. Des trophées. Pleins de trophées, mais aussi des médailles, des prix. Ca scintille, ça brille, c'est lumineux, c'est beau. Elle fait un pas, s'avance dans la pièce puis s'arrête. Il y'a quelqu'un, une fille. Elle lui tourne le dos, elle ne l'a pas encore vue. Elle aurait pu partir et la laisser, mais une larme coule et dévale sa joue. Elle a les yeux fermés et elle pleure, en silence, sans un bruit. Alors, au lieu de partir et de s'enfuir, elle y va, et ses pas la mène vers elle, vers l'autre, vers l'inconnue. Elle s'arrête à son niveau et ne dit rien. Elle attend qu'elle la remarque. Elle attend qu'elle ait terminé. Elle ne veut pas briser le silence. Pas maintenant, pas à ce moment. Pleurer, ça fait du bien parfois. Ca peut soulager, ça peut apaiser. Elle ne sait pas si c'est son cas. Elle ne sait pas, mais elle espère. Elle l'espère pour l'autre. Et elle attend, toujours, sans un mot, silencieuse.

@Léna Romanoff, j'éspère que ce post te va !

Lydia avait décidé le jour même, car oui la plupart de ses balles dans le château était organisé le jour même. Elle entra donc dans la salle des trophées et commence à visiter, il n'y avait personne, tant mieux car Lydia était très timide en ce moment. À un moment elle vit une jeune fille entrer et étant timide elle se cacha derrière le plus grand trophées très près d'un des mur elle vit la jeune fille s'arrêter devant un des trophées, elle regarda vers le mur mais ne sembla pas la remarquer alors elle ferma les yeux et versa une larme. Elle ne savait pas pourquoi la jeune fille avait versée une larme mais elle la regarda plus attentivement, c'était une Serdaigle. Elle allait bouger quand une autre fille entra, la Serdaigle ne la remarqua pas, La nouvelle venue se rapprocha de la Serdaigle sans bruit et se place à sa hauteur, il régna un long silence. Lydia voulu se remettre bien assise dans son petit coin mais elle se cogna la tête contre une vitrine et poussa un petit "aïe". Lydia n'osa pas regarder la réaction des filles mais elle sentit des regard dans sa direction. Lydia avait très peur, peur que les filles la repousse pour une quelconque raison. Elle se mit à respirer de plus en plus fort et son coeur aussi se mit à battre de plus en plus fort.

dites moi si il ne fallait pas que je poste là

Tu laisse couler tes larmes.
Tu penses à tout et a rien.
Ta vie semble défiler devant tes yeux.

Les yeux dans le vide, elle me regarde passer
Dans le creux de ses rides moi j'ai trébuché
Ça me fait mal au bide
Sa belle gueule cassée comme une étoile livide à deux doigts de tomber
Elle tire sur un mégot cent fois rallumé
Quand je lui tend la main à travers la fumée
Elle était si belle la poupée, elle que les anges avaient oublié.
Si on avait un peu regardé
Peut-être que l'hiver ne l'aurait pas brisé
Un pied dans le vide, elle a déménagée
Elle perd son équilibre entre 2 larmes salées
Y'a comme un goût acide qui hante ses baisers
Elle dit qu'elle est lucide, non, plus jamais se caser
Elle tire sur un mégot cent fois rallumé
Quand je lui tend la main à travers la fumée
Elle était si belle la poupée, elle que les anges avaient oublié.
Si on avait un peu regardé
Peut-être que l'hiver ne l'aurait pas brisé
Et ton cœur en hiver je le garde au chaud
En attendant le retour du soleil
Et si le mien passe l'hiver au chaud, sache que sur toi je veille
Elle était si belle la poupée, elle que les anges avaient oublié.
Si on avait un peu regardé
Peut-être que l'hiver ne l'aurait pas brisé
Elle était si belle la poupée, elle que les anges avaient oublié.
Si on avait un peu regardé
Peut-être que l'hiver ne l'aurait pas brisé
Peut-être que l'hiver a déjà trop duré!

Tu te souvenais de cette chanson, qu’elle te chantait quand tu étais petite.
Maintenant que tu as grandit, tu te reconnais dans cette chanson.

Tu rouvres les yeux. Une fille te fixe. Elle ne bouge pas. Tu la regarde a ton tour. Mais un bruit détourne ton attention, tu remarques une autre fille accroupie dans un coin.
Elles ont du te voir pleurer.
Tu as honte.
Alors tu murmures un mot, juste un :

- Désolé ...

@Hellie Howard

Les larmes. Elles sont deux maintenant. Puis trois, quatre et cinq. Elles coulent et elles se suivent, elles se frayent un chemin et s'éternisent. Les yeux toujours fermés, paupières baissées, l'autre semble perdue. Perdue en elle même, perdue dans ses pensées, perdue tout simplement. Mais en fait, elle n'en sait rien. " Semble ", ce n'est qu'une impression, mais bon. Peut-être qu'elle le saura, ou peut-être pas, elle verra bien. Puis la fille ouvre les yeux. Ils sont humides et rougis. Et ces mêmes yeux la regardent puis la fixent. Il sont bleus. Bleus, mais tristes et chargés. Chargés d'humidité, chargés de ces larmes. Puis ils se détournent et se posent, là. Là, c'est un point. Ce point, c'est quelqu'un. Et ce quelqu'un, c'en est encore une, une autre, une fille. Elle a les yeux baissés, rivés au sol, ils ne sont pas relevés. Elle a l'air d'avoir peur. Peur, mais de quoi ? Elle, Hellie, elle n'en sait rien, encore une fois. C'est compliqué de savoir, c'est compliqué de comprendre, c'est compliqué de les comprendre. Compliqué, mais pas impossible. Il suffit juste d'essayer et de tenter. Puis un mot est soufflé. Un seul, un tout petit. C'est une excuse. Ce mot, pourquoi ? Pourquoi ce désolé ? Pourquoi s'excuser ? Pour avoir pleuré ? Elle n'a pas besoin de l'être, désolée. Au contraire, elle a le droit. C'est humain. Alors, elle leur sourit. C'est un petit sourire, peut-être un peu timide, mais c'en est un. Ce sourire, il signifie "tu peux sortir" ou "pas la peine de te cacher". Mais il est aussi pour l'autre fille. Il se veut peut-être rassurant et apaisant, il est pour elle. Puis ses lèvres frémissent et s'animent. Elle forment un mot, puis une phrase. Une phrase dite doucement :

- Pas besoin de t'excuser, tu peux pleurer, c'est normal. Je trouve que ça peut faire du bien, ça peut soulager parfois. Après, j'en sais rien...

@Léna Romanoff, @lydia loly

Lydia regarda dans la direction des deux jeunes fille et vit le beau sourire de celle à cotés de la fille en pleure les deux têtes était à présent dans sa direction puis celle de l'arrivante se tourna vers celle qui pleurait et dit :

"- Pas besoin de t'excuser, tu peux pleurer, c'est normal. Je trouve que ça peut faire du bien, ça peut soulager parfois. Après, j'en sais rien..."

À ces mots Lydia sut qu'elle était avec de bonne personne. Elle décida d'aller consoler celle qui pleurait, elle se leva s'approcha timidement des jeunes fille et se présenta :

"-Je m'appelle Lydia et je suis en première année à Serpentard, si ces moi qui t'ai fais pleurer j'en suis sincèrement désolé" ajouta t-elle dans la direction de la Serdaigle "-Et puis Elle a raison"dit-elle en tournant sa tête dans la direction de l'autre "désolé je ne connais pas ton prénom"

Lydia regarda mieux celle qui ne pleurait pas, c'était une Poufsouffle et elle semblait être en première année. Lydia se sentait coupable envers celle qui pleurait, elle avait cette sensation à chaque fois que quelqu'un pleurer. Alors elle tendit sa main gauche à la Poufsoufle et sa main droite à la Serdaigle. C'était un petit peu ridicule mais d'un coup Lydia n'avait plus peur du ridicule et ne se sentait plus timide. C'était sans doute le fait de se trouver avec de si gentilles personnes.La Poufsoufle sembla rire en elle alors les deux jeunes fille...

à vous @Léna Romanoff et @Hellie Howard

La première jeune fille te dit que ça faisait du bien non pleurer. Mais pas à toi. Ca ne faisait qu’empirer les choses. Car tu es rongée par la douleur depuis longtemps.

La jeune fille qui était jusqu’alors dissimulée se releva et se présenta.
Elle s’appelait Lydia. C’était un joli nom. Elle croyait que c’était a cause d’elle que tu pleurais.
Alors tu sécha tes larmes et lui répondit :

-Ce n’est pas à cause de toi.
C’est ...

Mais tu ne peux terminer ta phrase.

-Non rien.

Tu regardes les deux jeunes filles. Puis tu te souviens que tu ne t’es pas présenté alors tu parles. Tu prononces quelques mots.

-Moi c’est Léna. J’suis a Serdaigle. En 1ère année.

Puis tu te tais et regarde la jeune fille qui te fixait jusqu’alors.

-Et toi, t’es qui ?

Tu regrettas tes paroles. Elles allaient te prendre pour une fille malpolie.
Tu regarda le mur, l’ombre avait disparue. Tu ne sut que penser, elle était là chaque fois que tu venais ici. Mais tu continuais à venir ici car tu croyais qu’elle pourrait t’apporter des réponses. Mais tu te trompais.

Il y eut un grand silence alors tu te sentis gênée. Tu t’approchas du mur et posa ta main. Tu parcourut des yeux le mur, cherchant une trace de l’ombre. Mais tu ne la voyais plus. Tu n’avais plus aucun espoir.

@Hellie Howard @lydia loly

La fille, elle sort de sa cachette, elle se lève et elle s'avance. Elle s'avance vers les deux autres, vers elles, d'un pas timide. Lydia, c'est ainsi qu'elle se nomme. Elle aussi elle s'excuse. Elle pense que c'est de sa faute. Elle pense que ces larmes sont là par sa faute. C'est peut-être le cas ? Mais Hellie en doute, elle ne le pense pas, ça n'a pas l'air d'être ça. Puis Lydia dit qu'elle a raison, que ce qu' Hellie dit est vrai. Elle, la rousse, n'en est pas vraiment sure. Elle doute, elle ne peut pas vraiment savoir. Pleurer, est-ce que ça fait du bien ? Ca dépend des gens, ça dépend de quoi, ça dépend de pleins de choses. Puis elle fait un petit geste. Elle leur tend la main. La gauche pour Hellie et la droite pour l'autre fille. Elle ne sait pas comment réagir. Elle ne sait pas trop quoi faire. Lui donner la main à son tour ? L'ignorer ? Elle hésite. Puis elle se tourne vers la bleu. Ses larmes ont disparu. Elles ont été séchées, elles ont été effacées. Elle prend la parole, et finalement, ce n'est pas de sa faute. Ces larmes sont pour autre chose. Mais cette chose, elle la garde enfouie en elle. Elle n'en parle pas, elle ne le nous dit pas. C'est son choix, et elle le respecte. Mais si elle veut parler, se confier, elle sera prête à écouter. Elle reprend la parole et se présente, c'est Léna. Elle lui demande ensuite qui elle est et se tait. Elle se tourne vers le mur, s'en approche et pose sa main. Ses yeux le parcourent et semblent chercher quelque chose. Quelque chose qu'Hellie ne voit pas. A moins qu'elle ne soit plus là ? A moins qu'elles ne l'ait fait fuir et partir ? Prendre la parole, c'est ce qu'elle va faire.

- Vous pouvez m'appeler Hellie. Tu cherche quelque chose ? Tu as besoin d'aide ? Tu veux peut-être parler ?

Elle avait dit ça presque dans un murmure, ne voulant pas trop la déranger. Après tout, peut-être qu'elle voulait être seule ? Ou peut-être justement avait elle besoin de quelqu'un ? C'était deux choses différentes, peut-être qu'elle n'en souhaitait aucun ? Ou les deux ? Ou seulement un ? Mais encore une fois, elle l'ignorait, et ne savait pas si elle le saurait.

@Léna Romanoff @lydia loly

- Vous pouvez m'appeler Hellie. Tu cherche quelque chose ? Tu as besoin d'aide ? Tu veux peut-être parler ?

Lydia savait à présent avec qui elle se trouvait, une Poufsouffle nommé Hellie et une serdaigle nommé Léna toute deux en première année, enfin toutes trois en première année. Lydia ne savait que dire c'était un des moments génant dans lesquelles on ne sais plus trop quoi faire, quoi dire, doit-on partir, doit-on rester, doit-on parler...Lydia hésita elle resta là, clouer au sol à regarder Léna puis elle choisi de relancer une conversation, n'importe laquelle. Elle leur dit alors :

"-Sinon, vous étiez venu ici pourquoi ? Moi je suis venu pour connaître un peu mieux l'histoire de Poudlard. Car en histoire de la magie on va travailler sur Poudlard"

Lydia vit la Poufsouffle la regardait comme une extraterrestre. Elle ne savait pas ce qu'elle avait fait mais ça avait l'air grave vue la tête d'Hellie. Elle se disait que les larmes de la Serdaigle étaient peut-être en rapport avec cette question. Elle dit alors :

"-Ai-je dit ou fait quelque chose de mal ?"

Franchement Lydia redevenait timide tout d'un coup elle commenae à se sentir mal, à se recroquevillé sur elle même et à reculer car elle se sentait coupable à la fois des larmes qui avait coulé sur Léna et d'une autre chose dont elle ne savait rien, qui était involontaire de sa part, on aurait dit un chien battu sauf que Lydia n'était pas un chien.

@Hellie Howard et @Léna Romanoff

Tu te détaches du mur.
L’ombre a disparu.
Tu aurais voulu qu’elle reste,
Pour s’occuper de toi,
Même si tu savais qu’elle voulais du mal,
Qu’elle te voulait du mal.
La Poufsouflle parla.
Elle le brisa.
Le silence.
Elle s’appelait Hellie.
C’était un joli nom.
Tu ne connaissais pas.
Tu la regarde.
Elle,
Elle a l’air d’aller bien.
Puis tu regarde l’autre.
L’espionne.
Celle qui n’était pas si discrète que ça.
Celle qui avais fait du bruit.
Et avait réveillé cette ombre.
Tu étais venue ici pour rester avec toi même.
Seule.
Brisée.
Et te voilà,
En compagnie de deux personnes.
Et d’une ombre.

Tu ne savais que dire à ces deux filles.
Ni que dire d’elles.
Puis,
Un mot. Un pas.
L’autre,
L’espionne,
Elle te parle.
Elle chuchote.
Elle te raconte quelque chose.
L’histoire de la magie.
Pourquoi elle te raconte ça ?
Tu t’en fiches.
De l’histoire de la magie,
D’elle,
De tout.

Puis,
Le silence retomba.
Il pesait depuis quelques minutes lorsque que,
L’espionne,
La briseuse de silence,
Se mit a reparler.
Tu l’écouta.
Tu aurais voulu lui répondre,
Mais tu ne savais que dire.
Tu ne savais que faire.
Pour lui faire comprendre,
Que parler,
Ce n’est pas une chose bien,
C’est dangereux.

Mais tu ouvris la bouche,
Et les mots sortirent,
Si vite,
Que tu ne sus ce que tu venais de prononcer.

- C’est de sa faute a lui. Pas de la tienne.