Inscription
Connexion
11 oct. 2016, 18:14
Tout commence par une bousculade  Libre 
*Oh non ! JE vais être en retard !*

Depuis ce matin, c’était la course, Emilia n’avait pas entendu son réveil. Elle s’était réveillé une demi-heure après l’heure où elle avait prévu de sortir du lit. On ne peut pas dire qu’elle est mécontente d’avoir pu dormir un peu plus longtemps, mais, durant ses onze premières années, elle avait toujours sa mère sur le dos, pour être ponctuelle. Celle-ci détestait lorsque nous étions en retard, ce qui était un gros défaut de son père. Heureusement qu’elle avait encore largement le temps de se préparer, car même si sa mère n’était pas présente, elle ne voulait pas la décevoir, bien au contraire ! Bizarrement, elle avait très faim ce matin.
Tout en ce dépêchant, elle s’habilla, se coiffa, se brosse les dents, se chausse et sortit du dortoir en hâte.

En descendit tous les étages du château, jusqu’à la grande salle, où elle pourrait enfin se remplir le ventre. Vu qu’elle n’avait pas encore d’amis à Gryffondor et ne savait pas où elle devait s’assoir, elle parcourut la salle du regard à la recherche d’un coin libre et vide. Après avoir cherché pendant quelques secondes, elle trouva une place libre exactement au milieu de la table des gryffons. Elle courra jusqu’à cette place vite, après avoir pris son petit déjeuner, elle aura peut-être un peu de temps pour lire son livre. Elle était tellement pressée qu’elle bouscula quelqu’un sur le chemin. Sans relever la tête, elle s’exclama :
« Je suis sincèrement désolée de t’avoir bousculé, je ne t’avais pas vu ! » Tout en disant cela, elle espérait dans son for intérieur qu’il ne s’agissait pas d’un serpentard. Même si elle ne voulait pas l’avouer, elle avait un peu peur d’eux.
Dernière modification par Emilia Garnier le 15 oct. 2016, 20:16, modifié 1 fois.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
11 oct. 2016, 19:10
Tout commence par une bousculade  Libre 
Sophie s'était réveillée de bonne heure ce matin et en avait profité pour profiter un peu du confort du dortoir de Gryffondor. Les filles étaient parties manger et Sophie avait mis de la musique et s'était mise à écrire des lettres qu'elle enverrait par hiboux dans la semaine. Une fois l'écriture finie, elle descendit dans la Grande Salle et partit manger. Elle se mit vers le milieu de la table, posa son écharpe qu'elle avait prise au cas où elle irait dehors ou qu'elle aurait froid. Elle commença à parler avec son amie, Aneline James qui s'était installée à côté d'elle puis parla avec Yuzu et Hanai Ame qui étaient nouvelles à Gryffondor. Elle se servit en même temps un croissant, un petit pain au chocolat et une tasse de chocolat chaud. Rien de mieux pour se réchauffer ! Sophie était une adepte des chocolats chauds. Elle en prenait tout les matins d'hiver. C'était un rituel qu'elle avait instauré avec sa mère et elle le perpétuait.
Une fois qu'elle eût fini de manger, elle sortit de la Grande Salle et remonta dans son dortoir. Elle parla avec Shanti Sadhan et Tyr Uynauge (ses nouveaux préfets) et sentit un courant d'air passer par la fenêtre qui avait été entrouverte. Instinctivement, elle porta la main à son cou pour saisir son écharpe quand elle se rendit compte qu'elle ne portait rien autour du cou ! Elle se rappela alors qu'elle n'avait pas pris son écharpe. Elle salua Shanti et Tyr et courut en direction de la Grande Salle. Elle arriva devants les portes toute essoufflée. Elle respira calmement puis avança à l'intérieur. Un nouveau courant d'air la frappa. Elle accéléra donc le pas. Mais elle ne faisait pas attention aux personnes présentes dans la salle et ce qui devait arriver arriva, elle bouscula quelqu'un. Sophie se demanda qui était cette personne et quand elle la regarda, elle fut surprise de constater que c'était une jeune fille de Gryffondor.
« Je suis sincèrement désolée de t’avoir bousculé, je ne t’avais pas vu ! » avait-elle dit.
Sophie se sentit toute gênée. Après tout, c'était elle qui ne regardait pas ou elle allait ! Ce n'était donc pas à sa camarade de s'excuser ! Elle rectifia cela juste après.
-Non, c'est moi qui ne regardait pas ou j'allais ! Je m’excuse ! J'étais venue reprendre mon écharpe et je ne fiait pas attention ! Et toi ? Tu venais pour manger ?
En voyant que elle avait oublié le plus important, elle s'empressa de rajouter :
-Euh, au fait j'appelle Sophie LUNERA. Je suis moi aussi à Gryffondor. Dit-elle en souriant.
13 oct. 2016, 13:00
Tout commence par une bousculade  Libre 
Après avoir bousculé quelqu’un dans la grande salle, Emilia, tout en baissant la tête (habitude pris en Corée, pour montrer un signe de respect), s’empressa de dire : «Je suis sincèrement désolée de t’avoir bousculé, je ne t’avais pas vu !» Sans relever la tête, elle attendit d’entendre la réponse de la personne qu’elle avait heurtée. Les mains derrière le dos, elle croisait les doigts pour que ce ne soit pas un élève de Serpentard. Après quelques secondes de silence en dehors du brouhaha de la salle, qui lui parurent durer une éternité, une voix féminine dit : «Non, c'est moi qui ne regardait pas ou j'allais ! Je m’excuse ! J'étais venue reprendre mon écharpe et je ne faisais pas attention ! Et toi ? Tu venais pour manger ?» Après avoir relevé la tête, elle vit une élève qui portait aussi les couleurs de Gryffondor. Elle fut tellement très soulagé qu’elle souriait jusqu’aux oreilles. Elle ne sait pas ce qui lui arrivait, elle n’arrivait pas à sortir un seul mot de sa bouche… Avant qu’elle n’ait le temps de réagir, la jeune fille lui dit : «Euh, au fait j'appelle Sophie LUNERA. Je suis moi aussi à Gryffondor» puis sourit. Emilia secoua la tête pour reprendre ses esprits et pour contredire la première chose qu’avait dite Sophie. Elle déclara : «Non, c’est aussi de ma faute, j’étais pressée, je n’ai pas encore mangé, je me suis réveillé en retard. As-tu retrouvé ton écharpe ? Veux-tu que je t’aide à la chercher, j’ai encore du temps avant mon cours. Je voulais juste me dépêcher pour pouvoir lire un de mon livre, mais mon livre peux attendre, ce n’est si important. En plus avec tout ce courant d’air tu pourrais attraper froid ! Ce serait bête d’être clouée au lit ! Oups, excuse-moi… Tu vas penser que je parle trop…» C’est vrai que quand la jeune fille s’y mettait et qu’elle prenait ses aises (elle était bizarrement très vite réussi à se mettre à l’aise à la présence de sa camarade), elle pouvait parler pendant des heures sans s’arrêter. Elle regarda alors sa nouvelle amie avec un sourire gêné.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
14 oct. 2016, 01:10
Tout commence par une bousculade  Libre 
« La magie noire est-elle si noire que cela ? Si un sorcier avait utilisé l'Imperium sur Voldemort pour l'empêcher de commettre toutes les atrocités qui lui sont attribuées, est-ce que quelqu'un aurait osé qualifier ce sorcier de "mauvais" ? ». Cette phrase, qu'elle avait lu à la bibliothèque la veille, faisait cogiter Charlie. La matière de Miss Holloway — sur les Forces du Mal — posait des questions qui forçaient la réflexion. Qui la forçait beaucoup trop apparemment puisque Charlie, s'arrêtant au milieu d'un couloir, écarquilla les yeux en apercevant des Poufsouffles se diriger vers elle, ils avaient l'air de se diriger vers leur cours. Après un regard circulaire autour d'elle, la gryffone s’aperçut qu'elle était totalement perdue et qu'elle ne se souvenait pas de la route qu'elle avait prise en sortant de sa salle commune.
*Eh voilà, j'vais encore être en retard... La barbe !* grimaça-t-elle en rebroussant chemin, à la recherche d'un escalier pour descendre. Tout ce qu'elle voulait, c'était manger.
Après quelques minutes d'énervement, elle trouva enfin le chemin de la grande salle. Elle était presque vide, la plupart des élèves ayant déjà pris leurs petits-déjeuners. Elle s’essaya à l'endroit le plus vide de la table des Gryffondors, en plein milieu ; pour vaquer à ses digressions mentales sans être importunée.
Contemplant le faux ciel, la fourchette à la bouche, elle commençait à se faire un avis assez fixé sur les différents types de magies.

« Je suis sincèrement désolée de t’avoir bousculé, je ne t’avais pas vu ! »

Arrachée à sa réflexion comme un bambin à sa mère, Charlie se retourna vivement. Deux gryffones s'étaient rentrées dedans juste derrière elle.

Tsss... chiqua-t-elle, imperceptiblement.

Charlie reporta son regard vers le ciel, qui avait l'air vachement réel si l'on omettait sa légère transparence.

« Non, c'est moi qui ne regardais pas où j'allais ! Je m’excuse ! J'étais venue reprendre mon écharpe et je ne faisais pas attention ! Et toi ? Tu venais pour manger ? »

La brouhaha ambiant (et encore, il n'y avait presque plus d'élèves) était tellement diffus et inintelligible que le cerveau pouvait en faire abstraction très rapidement, mais deux personnes parlant à cinquante centimètres de ses oreilles, c'était un poil plus compliqué. Charlie en fit les frais en première classe.. Irritée, elle remarqua sa nourriture à peine entamée ; elle profita donc de cet instant de bruits pour manger goulument.

« Tu vas penser que je parle trop…» conclut Emilia, quelque peu gênée. Avant même que Sophie eut le temps de réagir, Charlie dégagea son écharpe de son veston et — en se retournant — la tendit à Sophie.

Je confirme, tu parles trop, confessa Charlie avec un grand sourire avant de plonger son regard dans les yeux de l'autre gryffone, tiens Sophie, je te prête mon écharpe jusqu'à que tu trouves la tienne, je ne suis pas du tout frileuse. Charlie s'arrêta un instant pour répondre au signe d'un ami Serpentard avant de continuer : Allez, prends l'écharpe, j'ai l'air ridicule comme ça... Et bon Dieu asseyez-vous, on est les dernières à manger !

je suis Là ᚨ
14 oct. 2016, 17:52
Tout commence par une bousculade  Libre 
Sophie écouta la réponse de sa camarade de Gryffondor.
«Non, c’est aussi de ma faute, j’étais pressée, je n’ai pas encore mangé, je me suis réveillé en retard. As-tu retrouvé ton écharpe ? Veux-tu que je t’aide à la chercher, j’ai encore du temps avant mon cours. Je voulais juste me dépêcher pour pouvoir lire un de mon livre, mais mon livre peux attendre, ce n’est si important. En plus avec tout ce courant d’air tu pourrais attraper froid ! Ce serait bête d’être clouée au lit ! Oups, excuse-moi… Tu vas penser que je parle trop…»
Sophie avait envie de lui répondre que non, elle ne pensait pas qu'elle parlait trop. Elle aimait beaucoup discuter avec les gens. Mais elle n'eût pas le temps de lui dire qu'elle fût coupée dans son élan par Charlie.
- Je confirme, tu parles trop, dit-elle avec un grand sourire, tiens Sophie, je te prête mon écharpe jusqu'à que tu trouves la tienne, je ne suis pas du tout frileuse. Allez, prends l'écharpe, j'ai l'air ridicule comme ça... Et bon Dieu asseyez-vous, on est les dernières à manger !
Sophie n'en revenait pas, quel culot elle avait ! Elle était parfaitement en droit de parler dans la Grande Salle et si les autre la dévisageais, alors c'était à elle de dire si ca la dérangeais ou non. Elle voulut lui répondre une phrase qui lui ferait comprendre qu'elle fait ce qu'elle veut quand elle veut mais son regard se posa sur celui d'Emilia. Sophie savait que sa camarade avait vite compris que la jeune Gryffondor était allée un peu trop loin. D'habitude, Sophie est assez posée mais là, elle n'avait pas envie de se calmer. Alors elle lui répondit une phrase qui la surprit elle aussi. Elle ne pensait pas parler comme ça à une élève de Poudlard !
-Et bien, si tu trouves qu'elle parle trop, pars et ne nous embête pas. Ensuite, je ne veux pas ton écharpe vu comment tu as parlé à mon amie et si tu as l'air ridicule, tant pis pour toi. Moi je fais ce que je veux et si je peux parler, je parle. C'est clair ou tu veux que je répète ?
Sur ce, elle s'assit un peu plus loin et invita Emilia à venir avec elle. Elle prit seulement un chocolat chaud vu qu'elle avait déjà mangé. Emilia la regardait avec un petit air surpris. Elle lui expliqua pourquoi elle avait dit ça.
- Ne fais pas cette tête là ! Elle m'a énervé. Je ne supporte pas qu'on dise du mal de mes amies ou de personnes que j'apprécie. Et j'ai toujours beaucoup de répartie. J'ai été gentille dans mes propos ! Je lui ai juste conseiller de se taire ou de partir. dit-elle en riant à cette dernière phrase. Je suis calme d'habitude mais là, je n'ai pas vraiment envie de l'être. Et donc, reprenons notre notre conversation. Comment vas-tu ?
15 oct. 2016, 03:45
Tout commence par une bousculade  Libre 
« Et bon Dieu asseyez-vous, on est les dernières à manger ! ». Sur cette conclusion, Charlie fixa Sophie ; celle-ci posa un regard irrité sur Emilia qui semblait surprise. Sophie reporta son regard vers Charlie, et cette fois son regard avait changé : elle était déterminée.

Eh bien, si tu trouves qu'elle parle trop, pars et ne nous embête pas. Ensuite, je ne veux pas ton écharpe vu comment tu as parlé à mon amie et si tu as l'air ridicule, tant pis pour toi. Moi je fais ce que je veux et si je peux parler, je parle. C'est clair où tu veux que je répète ?
Sur cette déclaration ininterrompue, elle tourna les talons et s'assit un peu plus loin. Charlie ne la quitta pas des yeux, surprise et songeuse ; avant de se rendre compte qu'Emilia était restée plantée là. Charlie tourna la tête vers elle, la main toujours tendue avec l'écharpe. Emilia, restée muette, détourna le regard et alla s'asseoir à côté de Sophie.

Charlie ne cillait pas, son regard était braqué vers les deux gryffones, Sophie s'était mise à parler à toute vitesse ; inintelligible à cette distance. Charlie remit son écharpe lentement. Personne ne lui avait parlé comme ça depuis Karasu, un ami, après lui avoir annoncé qu'elle déménageait ; tout ça remontait à un an.
*Intéressant…* pensa-t-elle en détachant enfin le regard et le dirigeant vers le faux-ciel. Elle se remit en face de son assiette et continua ses digressions : *Quel caractère de cochon n'empêche !* puis elle se mit à pouffer, tentant de se contenir du mieux qu'elle pouvait. Des Poufsouffles assises à la table d'en face la dévisageait. Charlie leur tira la langue avec un sourire jusqu'aux oreilles, surprise totale pour le groupe de curieuses. Des enfantillages comme ça surprennent toujours les autres, et Charlie le savait parfaitement.
Elle jeta un coup d'œil vers Sophie, qui semblait avoir retrouvé sa bonne humeur.

*Un caractère de cochon, mais quel caractère !* avoua-t-elle en rêvassant.
*En tout cas, j'ai bien besoin de finir mes livres de psychologie avant de piger la moindre nuance sur les types de magie* s'ordonna Charlie en se mettant à rire tout seule ; à voix basse.

je suis Là ᚨ
16 oct. 2016, 10:14
Tout commence par une bousculade  Libre 
Après avoir terminé de parler, Emilia avait l’impression que Sophie allait s’apprêter à dire quelque chose quand une fille assise à la table des Gryffondor lui dit avec un grand sourire :
« Je confirme, tu parles trop, tiens Sophie, je te prête mon écharpe jusqu'à que tu trouves la tienne, je ne suis pas du tout frileuse. Allez, prends l'écharpe, j'ai l'air ridicule comme ça... Et bon Dieu asseyez-vous, on est les dernières à manger ! »
Emilia était un peu choqué, elle savait très bien qu’elle parlait un peu trop, mais elle n’aimait pas vraiment qu’on le lui dise comme ça. Elle aurat voulu dire quelque chose mais sa nouvelle amie la devança et prit sa défense :
« Eh bien, si tu trouves qu'elle parle trop, pars et ne nous embête pas. Ensuite, je ne veux pas ton écharpe vu comment tu as parlé à mon amie et si tu as l'air ridicule, tant pis pour toi. Moi je fais ce que je veux et si je peux parler, je parle. C'est clair ou tu veux que je répète ? »
Après avoir dit ça, Sophie tourna les talons et alla s’assoir un peu plus loin sur la table. L’autre fille, dont elle ne connaissait pas le nom, se tourna vers Emilia, sa main tendue vers elle avec l’écharpe qui pendouillait au bout. Sans pouvoir dire un mot, la première année détourna son regard, et alla s’assoir à côté de sa camarade. Elle ressentit un peu de pitié envers l’autre fille. Elles l’avaient laissé là, et l’avaient littéralement ignoré. Surtout que des élèves d’autres maisons ont écouté leur conversation. Elle devait avouer que la première impression que la fille brune qui ressemblait vachement à un garçon n’était pas très positive, mais elle pense que même si son impression d’elle changeait dans le bon sens, ce ne serait pas le grand amour entre elles. Même si elle s’en fichait pas mal. Toute en réfléchissant, aux côtés de Sophie, elle l’a fixait avec des remplis de pitié envers la gryffonne qui s’était retrouvé seule. Sa camarade avait dû s’en rendre.
« Ne fais pas cette tête-là ! Elle m'a énervé. Je ne supporte pas qu'on dise du mal de mes amies ou de personnes que j'apprécie. Et j'ai toujours beaucoup de répartie. J'ai été gentille dans mes propos ! Je lui ai juste conseillé de se taire ou de partir. » Dit-elle.
Emilia eut chaud au cœur en l’entendant la qualifié d’amie. Elle trouvait que son amie y était quand même allée un peu fort, même si au fond d’elle, elle était heureuse qu’on ait pris sa défense, mais elle aurait aimé pouvoir se défendre seule. La brune ajouta en pouffant :
« Je suis calme d'habitude mais là, je n'ai pas vraiment envie de l'être. Et donc, reprenons notre conversation. Comment vas-tu ? »
Après quelques millièmes de secondes, la blondinette répondit :
« Je vais bien, je me suis réveillée un peu en retard, j’étais un peu pressée, je voulais avoir un peu de temps avant le début des cours pour lire, mais je suis contente d’être en retard, autrement je ne t’aurais peut-être pas rencontrer. Si je ne me trompe pas, tu es en première année n'est-ce pas ? »
Elle prit aussi une chocolatine. Elle avait tellement faim ! Après avoir mordu une fois dans la viennoiserie et après avoir terminé sa bouchée, elle enchaina :
« Étudier la magie est bien plus amusant que je ne le pensais ! Quoique ça dépend quoi. J'aime bien les potions, mais la métamorphose, ce n’est pas trop mon truc… J'aime aussi beaucoup Poudlard même si mes parents me manquent un peu… Et toi ? »
Après avoir fini sa sorte de monologue, elle regardait Sophie, en attendant sa réponse.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
16 oct. 2016, 13:55
Tout commence par une bousculade  Libre 
« Je vais bien, je me suis réveillée un peu en retard, j’étais un peu pressée, je voulais avoir un peu de temps avant le début des cours pour lire, mais je suis contente d’être en retard, autrement je ne t’aurais peut-être pas rencontrer. Si je ne me trompe pas, tu es en première année n'est-ce pas ? »
-Je suis effectivement en première année. Et donc tu aimes lire ? Moi j'adore ! Je trouve que ça me permet de voyager et d'imaginer la vie d'une façon qui est souvent plus belle que la réalité.

« Étudier la magie est bien plus amusant que je ne le pensais ! Quoique ça dépend quoi. J'aime bien les potions, mais la métamorphose, ce n’est pas trop mon truc… J'aime aussi beaucoup Poudlard même si mes parents me manquent un peu… Et toi ? »
- J'adore étudier la magie à Poudlard. J'était super heureuse de recevoir ma lettre. Mais pour les cours, je ne suis pas du même avis que toi ! Je crois que les potions ne sont pas faites pour moi .. Par contre j'adore les sortilèges ! dit-elle en souriant. Puis, le visage plus triste, répondit à la suite de la question. En fait, ma mère est décédée en début d'année et je n'ai plus aucune nouvelle de mon père. Je n'ai également plus aucune nouvelle de ma famille. Donc, à part ma mère, ils ne me manquent pas vraiment.

Un silence gêné s'installa entre les deux filles et une larme coula sur la joue de Sophie à l'évocation de ses parents. Elle sécha ses yeux et fit un sourire à Emilia.
-Mais, c'est grâce à mes amis que j'ai pu me relever. Poudlard est maintenant ma maison et ses habitants ma famille. Même Charlie ! Dit-elle en regardant le jeune fille. Il peut y avoir des disputes dans une famille aussi !
Sophie se rappela toutes les personnes qui l'avaient aidé. Il y avait Morgana Hopkik qui lui avait même organisé une fête pour qu'elle se change les idées. Il y avait aussi Aneline James, qui l'avait soutenue à fond. Il y en avait bien d'autres aussi, mais Sophie ne pouvait pas tous les citer, il y en avait tellement. Elle avait été surprise par la solidarité entre élèves à Poudlard. Certaines personnes qui l'avaient soutenues ne la connaissait même pas ! Mais bon, en ce moment, elle était avec Emilia et comptait bien profiter du temps qui leur était accordé pour apprendre à connaitre sa nouvelle amie. Elle la regarda et lui posa une question.
- Et, ta famille, ça va ?
Elle espérait que sa question n'était pas indiscrète et que la jeune Gryffondor ne serait pas gênée d'y répondre ...
18 oct. 2016, 12:28
Tout commence par une bousculade  Libre 
Après quelques instants, l'attention qu'avaient attirée les trois gryffones se dissipa, bien, qu'à cette heure tardive, il n'y ait pas eu beaucoup de témoins. Charlie se demandait si elle pouvait réellement se faire de vrais amis ici ; avant Poudlard : elle en avait, bien sûr, et comme tout le monde elle côtoyait ses camarades de classe, les copains du quartier… Mais elle n'a jamais tissé de liens solides ; vous savez, ces liens qui ne brisent pas malgré les difficultés et le temps. Charlie sentait qu'elle allait avoir du mal, encore une fois, à prêter sa confiance à quelqu'un. Son altercation avec des élèves de sa propre maison en est l'exemple par excellence. Néanmoins, elle avait du mal à ne pas être cynique, railleuse et décalée ; c'était son caractère. Tripotant sa fourchette, elle pensait à une reconversion à la « norme » avant de se dire que c'était totalement stupide. Des efforts de comportement seraient plus ou moins appréciables plutôt que de changer son caractère. Oui… Charlie pense à faire des efforts… Mais demain ou peut-être après-demain, parce qu'elle avait un tout autre plan en tête en ce moment.

Après avoir contemplé le faux-ciel distraitement, elle se releva d'un coup d'un seul, ramassa son sac et commença à se diriger vers le hall.
-
Et, ta famille, ça va ? demanda Sophie. Charlie passe à côté des deux gryffones à cet instant précis, elle dirigea son regard vers Sophie qui le lui rendit presque aussitôt, Charlie détourna la tête violemment.
*Alors comme ça tu as perdu ton écharpe…* songea la gryffone *Je suis sûre que tu n'a rien remarqué* affirma-t-elle avec un sourire malicieux en sortant de la grande salle, une deuxième écharpe rouge et or enroulée sur le bras gauche. Cette écharpe était sur le banc en face de Charlie, on ne la voyait pas à cause de la table, mais elle se prit les pieds dedans en balançant ses jambes un peu trop fort.
Soudain, elle s'immobilisa sur les marches de l'escalier. C'était nul comme blague, ni fin, ni marrant. Charlie observa l'écharpe de Sophie serrée contre son bras et se dit qu'elle trouverait bien autre chose de plus intelligent pour embêter la gryffone.
La barbe... soupira-t-elle en tournant les talons.
Elle déroula le tissu retrouvé et le posa en bout-de-table des Gryffondors, à la vue de tous. Sophie écoutait Emilia, elle ne l'avait pas repérée.

*Allez, j'ai d'autres choses à faire !* conclut Charlie, prenant la direction de sa salle commune.

je suis Là ᚨ
21 oct. 2016, 13:49
Tout commence par une bousculade  Libre 
« Je vais bien, je me suis réveillée un peu en retard, j’étais un peu pressée, je voulais avoir un peu de temps avant le début des cours pour lire, mais je suis contente d’être en retard, autrement je ne t’aurais peut-être pas rencontrer. Si je ne me trompe pas, tu es en première année n'est-ce pas ? »

Elle prit une chocolatine, mordit dedans pendant qu'elle écouta Sophie :

« Je suis effectivement en première année. Et donc tu aimes lire ? Moi j'adore ! Je trouve que ça me permet de voyager et d'imaginer la vie d'une façon qui est souvent plus belle que la réalité. »

La gryffone était totalement d’accord avec elle. A chaque fois qu’elle lisait un livre, elle avait l’impression qu’elle vagabondait dans un autre monde, mais elle ne voulut pas montrer qu’elle était d’accord avec la gryffondor, elle avait peur qu’elle pense qu’elle était un peu trop lèche cul. Elle décida donc de changer de sujet :


« Étudier la magie est bien plus amusant que je ne le pensais ! Quoique ça dépend quoi. J'aime bien les potions, mais la métamorphose, ce n’est pas trop mon truc… J'aime aussi beaucoup Poudlard même si mes parents me manquent un peu… Et toi ? »

« J'adore étudier la magie à Poudlard. J'étais super heureuse de recevoir ma lettre. Mais pour les cours, je ne suis pas du même avis que toi ! Je crois que les potions ne sont pas faites pour moi... Par contre j'adore les sortilèges ! dit-elle en souriant. Puis, le visage plus triste, répondit à la suite de la question. En fait, ma mère est décédée en début d'année et je n'ai plus aucune nouvelle de mon père. Je n'ai également plus aucune nouvelle de ma famille. Donc, à part ma mère, ils ne me manquent pas vraiment. »

Emilia se sentit tout à coup un peu triste pour sa camarade, elle pensait pouvoir imaginer la souffrance de Sophie, mais elle s’avait que ce n’était pas la même chose, elle ne pouvait pas vraiment sentir sa souffrance. Pendant qu’elle parlait dans son for intérieur, un silence gêné s’était installé entre elles. La première année crut avoir vu une larme couler sur la joue de Sophie et elle ne put s’empêcher de la prendre dans les bras, elle était vraiment désolée d’avoir abordé ce sujet délicat. Après quelques instants, sa nouvelle amie se détacha d’elle, sécha ses larmes de ses mains et lui sourit.


« Mais, c'est grâce à mes amis que j'ai pu me relever. Poudlard est maintenant ma maison et ses habitants ma famille. Même Charlie ! Dit-elle en regardant la jeune fille. Il peut y avoir des disputes dans une famille aussi ! »

*Wouah ! Quel façon de penser !*
Emilia était éblouie par le caractère de sa camarade, c’était normal qu’elle ait autant d’amis à Poudlard, elle cherchait toujours le meilleur dans chacun d’eux. La jeune sorcière la regardait avec admiration, jusqu’à ce que Sophie lui demande :

« Et, ta famille, ça va ? »

Quand elle entendit la question, Emilia se sentit un peu gênée d’y répondre mais quand elle y réfléchissait bien, si la jeune fille lui avait posé la question, ça ne pouvait être que pour une raison : alléger l’atmosphère. Elle y répondit donc le plus naturellement possible :

« A vrai dire, je n’ai reçu que deux lettres depuis le début de l’année, mes parents ont dit qu’ils pourraient en envoyer que une fois par semaine, parce que leur pauvre hibou dois faire beaoucoup de chemin jusqu’à Séoul. Dans leur dernière lettre, ils avaient l’air d’aller assez bien. Ils adorent habiter en Corée ! JE les comprends ! C’est juste magnifique là-bas ! Et toi ? Tu habites où quand tu n’es pas là ? »

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !