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05 déc. 2017, 22:53
Nos au-revoirs.  public 
Reducio
Pour vous dire adieu, oui, je quitte le site, je fais ce dernier RPG qui sera composé de mini One shots. N'essayez pas d'enclencher une discussion, ça serait trop compliqué. N'attendez pas non plus que je poste après chaque post d'une personne pour poster. Chaque personne ne pourra poster qu'une seule fois. Je vous remercie. Ce Rpg sera clôturé le 25 Décembre à 00h00.


Reducio
Ce rpg se situe lors du dernier diner avant le départ pour les vacances de Noël.


Rosalys aurait une importante annonce à faire ce soir. Elle voulait se mettre devant toutes les tables, pour que chacun de ses amis, des différentes maisons, entendent la nouvelle. Pour l'instant, personne n'était au courant, à part les professeurs. La bleue et bronze se demandait également comment réagirait ses camarades. Peut-être n'en auraient-ils rien à faire ? Pfff. Quand bien même, elle voulait leur annoncer.

Elle avait donc enfilé, son uniforme de Poudlard avec un grand soupir. On était Vendredi et elle partirait pour la France le lendemain matin. Cela lui donnait des frissons rien que d'y penser... Ce soir, ce serait le dernier repas que la jeune Serdaigle passerait dans la grande salle, en compagnie de ses camarades de maison. Cette pensée lui arracha une petite gouttelette d'eau qui roula sur sa joue et la fillette la récolta rapidement dans une fiole. Depuis qu'elle avait reçu la fameuse lettre, la blondinette pleurait beaucoup, pensant chaque fois à un souvenir différent, et s'évertuait à enfermer ses larmes dans des minuscules fioles. La jeune troisième année ne savait pas vraiment pourquoi elle faisait ça, mais elle n'ignorait pas qu'elle en aurait forcément besoin un jour.

Quand elle fut prête, Rosalys descendit dans sa salle commune, qui était vide. Elle était en retard, au moins quelque chose qui ne changeait pas... La bleue et bronze laissa son regard errer sur les teintures bleues, les admirant et tentant de garder cette image dans son esprit. Plus que jamais, elle aurait aimé avoir un appareil photo. Elle dut pourtant se résigner à quitter la salle des Serdaigle et marcha tranquillement dans les couloirs, faisant des sourires aux tableaux comme si elles les découvraient pour le première, laissa les escaliers la malmener comme lorsqu'elle était en première année... Cependant, elle eut tôt fait de cesser son manège. Elle avait une annonce à faire.

Quand elle arriva dans la Grande Salle, la petite ne lançant pas un seul regard aux différentes tables. Elle s'avança directement vers celle de sa maison. Avec un pauvre sourire, elle récita le petit mot qu'elle avait imaginé quelques minutes plus tôt, lors de son périple dans le grand château.

"Le professeur Loewy m'a donné l'autorisation de le faire donc... Je me lance. J'ai une annonce à vous faire parvenir. Il y a deux semaines, ma mère m'a demandé de la rejoindre à Paris. Et pour cela, elle veut que j'aille étudier à BeauxBatons. Le fait est que je ne pourrais pas terminer cette année avec vous tous... Après les vacances de Noël, je ne reviendrais pas..."

Elle avait préféré être cash. Et cela était mieux ainsi. La fillette avait baissé les yeux, elle n'osait pas regarder ses camarades et amis.

Code couleur : #002E9A
Love story turns easily into a tragedy - James et Rosalys
Adieu mes amis <3

06 déc. 2017, 00:52
Nos au-revoirs.  public 
18h30, la fin d'une journée chargée. Lexie se rendait dans la Grande Salle pour diner. Elle y retrouverait ses compagnons d'études : Rosalys, Peter, Lyn, Solwen, peut-être même Katy. Faut dire que ces derniers-temps, la cinquième année ne se montrait pas beaucoup, bien trop occupée à potasser pour ses examens. La salle était bondée, Lexie arrivait dans les dernières. Difficile pour elle de voir ses amis devant tant d'agitation. Elle crut repérer la chevelure étincelante de sa Rosa, et se mit à la rejoindre rapidement.

S'installant enfin devant son assiette, Rosalys déposa son regard dans le sien, lui faisant comprendre qu'il était temps pour elle d'annoncer clairement son départ. Les deux fillettes avaient parlé de cela toute la nuit, les cernes en étaient la preuve. Rosa n'avait pas pu garder ça pour elle, et il était important pour la jeune fille d'extérioriser le tout avant d'exploser. Et surtout, elles tenaient à profiter de leurs derniers instants, aussi, chaque heure, chaque minute était précieuse pour les deux gamines. Lexie avait écouté, se montrant compréhensive, et masquant légèrement ses propres émotions, pour le bien de son amie. Elle avait suffisamment à gérer pour ne pas se préoccuper de ce qu'avait pu ressentir la rouquine. Rosa devait quitter Poudlard, le pays même, c'était assez difficile à accepter, mais Lexie ne voulait pas l'accabler davantage en lui disant que c'était aussi très dur pour elle. Non, il ne fallait pas lui rajouter cela.

La belle blondinette s'était levée, demandant l'attention de tous les élèves de Serdaigle. Attention qu'elle n'attendit pas longtemps, tous les regards s'étaient tournés vers elle en l'espace de quelques secondes.

Elle jetait un dernier regard sur sa camarade adorée pour trouver le courage de parler. Lexie hochait la tête pour lui montrer qu'elle avait son soutien et que tout ira bien pour toutes les deux.


"Le professeur Loewy m'a donné l'autorisation de le faire donc... Je me lance. J'ai une annonce à vous faire parvenir. Il y a deux semaines, ma mère m'a demandé de la rejoindre à Paris. Et pour cela, elle veut que j'aille étudier à BeauxBatons. Le fait est que je ne pourrais pas terminer cette année avec vous tous... Après les vacances de Noël, je ne reviendrais pas..."

Les mots "je ne reviendrais pas" résonnaient encore dans l'esprit de Lexie, et malgré sa parfaite connaissance de ce qui l'attendait ce soir, elle ne parvenait plus à se maîtriser. Les émotions étaient trop fortes et avaient pris le dessus, à son grand désespoir, mais aussi sans qu'elle ne soit prête à l'admettre. Elle ne s'attendait pas à réagir de cette façon, et pourtant, c'est arrivé sans qu'elle ne put y faire quelque chose. Son corps avait agi à sa place, faisant fi de sa raison. Ses pieds en avaient décidé autrement et l'avaient portée vers la sortie, traversant la Grande Salle, à grandes enjambées, sous les yeux médusés des élèves présents, la tête baissée, les larmes déferlant. Elle s'était jurée de ne pas pleurer, jurée de se contenir, mais son corps n'en fit qu'à sa tête et prit le contrôle sur le tableau de commandes qui gérait son cerveau, tel un automate.

Durant cette prise de pouvoir momentanée, la fillette en oubliait qu'elle se trouvait encore à l'école, et non chez ses parents. Aussi, il y avait des élèves, des professeurs et autres personnes qui pouvaient la voir dans cet état. Le spectacle devait être drôle pour certains, pathétique pour d'autres, mais elle n'en avait que faire de ce qu'ils pouvaient penser en la voyant comme ça. Elle était triste, c'était un fait, elle n'en avait pas honte.

La fillette continuait sa course folle, jusqu'à ce que ses jambes crient stop. Elle se laissait glisser le long d'un mur, jusqu'à se retrouver au sol, les pleurs se voulant encore plus présents. Elle avait perdu tout contrôle, vraiment, et ne parvenait plus à s'arrêter. Seule dans son coin, les larmes affluaient. Entre deux sanglots, elle parvenait à dire, non sans mal :


"R-Ro-sa, mmma Rosa, N-n-non, j-je n'veux p-pas"

Après une bonne heure, toutes ces émotions en plus de sa course frénétique avaient eu raison d'elle. C'est totalement exténuée, vide de toute énergie qui l'animait habituellement, qu'elle restait là, figée, comme si on lui avait lancé un petrificus. Le regard hagard, elle ne bougeait plus. Son corps ne répondait plus de rien.

09 déc. 2017, 01:31
Nos au-revoirs.  public 
Les vacances de Noël tant attendues étaient presque arrivées. Comme chaque année je rentrais à la maison pour les fêtes, et j'avais hâte de retrouver mes parents et ma maison. Bien sûr, mes amis me manqueraient mais j'allais les revoir deux semaines plus tard, alors que je n'avais pas vu ma famille depuis presque quatre mois, ce qui faisait quand même long. Je m'apprêtais donc à profiter de ma dernière soirée de l'année 2042 en compagnie des Serdys. Mes valises étaient presque bouclées, et j'étais d'excellente humeur ce soir là. Assise à côté de Lyn, à la table des Serdaigle, je laissais mon regard se balader dans la Grande Salle, observant la masse d'élèves habillés aux couleurs de leur maison. C'est à ce moment là que je remarquai une tignasse blonde qui traversait la salle, se dirigeant vers la table des Serdys. Je reconnu Rosa, la gardienne des Éclairs. Je la trouvais changée depuis quelques temps, plus triste et renfermée, sans que je ne sache pourquoi. J'espérais me faire des illusions, aussi ne lui en avais-je pas parlé. Cependant, j'eus un mauvais pressentiment lorsque Rosalys ne s'assit pas à la table des bleu et bronze mais continua son chemin jusqu'à son extrémité. Que faisait-elle ? Pourquoi ne pas venir s'asseoir à côté de nous ? Je ne comprenais pas ce qu'il de passait, mais je me sentis mal. Je n'aimais pas quand les choses sortaient de l'habituel. Cela me perturbait et étant assez facilement anxieuse, j'aimais la routine quotidienne sans soucis, limite ennuyeuse.
Rosa s'arrêta de marcher et se tourna vers nous, un petit sourire triste sur les lèvres *Oulah ça sent pas bon* Mes yeux étaient résolument fixés sur la jeune fille et j'espérais de tout mon coeur qu'elle reparte dans l'autre sens pour prendre place avec nous. Mais bien sûr, rien ne se déroula comme je le voulais. Le temps me sembla ralentir. Dès les premiers mots qu'elle prononça, je sentis comme un noeud dans mon ventre. Elle commença tout d'abord par nous parler de Miss Loewy qui lui avait donné l'autorisation de faire je ne sais quoi. De nous faire une annonce apparemment. Le fait que la directrice soit impliquée ne me rassurait pas le moins du monde. La Serdaigle n'allait certainement pas nous annoncer une grande pyjama party entre les élèves ou je ne sais quoi d'autre du même genre, c'était certain.


-Il y a deux semaines, ma mère m'a demandé de la rejoindre à Paris.

Jusque là tout allait bien. Peut être était elle seulement venue nous parler de ses vacances. Comme c'est beau la naïveté. Je crois surtout que je n'étais pas prête à entendre ce qui allait suivre. J'aurais voulu que Rosa s'arrête là, qu'elle vienne se rasseoir avec nous, mais elle continua, imperturbable.

- Et pour cela, elle veut que j'aille étudier à BeauxBatons.

BeauxBatons. La France. Mon cerveau eut un raté. Pourquoi Rosa, anglaise de son état, mais surtout élève à Poudlard devrait-elle se rendre là bas ? Sa mère ne pouvait pas l'y contraindre quand même ? Je croisai les doigts sous la table, pendant qu'un poids s'abattait dans ma poitrine. Au fond de moi, je savais ce qui allais suivre. Je m'en doutais. Mais je refusais de l'accepter. Pas Rosa. Pourquoi elle ? Pourquoi pas quelqu'un d'autre ?
La jeune fille poursuivit, détruisant mes faibles espoirs.


- Le fait est que je ne pourrais pas terminer cette année avec vous tous... Après les vacances de Noël, je ne reviendrais pas...

Ma vue se brouilla. Elle plaisantait, c'était sûr. Elle me l'aurait dit si elle avait du partir. Elle ne m'aurait pas laissée l'apprendre comme ça. A moins que si. Visiblement si. Je comptais donc si peu à ses yeux ?
Rosa baissa les yeux mais je ne la voyais même plus. J'avais la gorge nouée, je n'arrivais plus à respirer. Les larmes me brûlaient les yeux mais je refusai catégoriquement de craquer devant tout le monde. Je ne pouvais pas pleurer devant les Serdaigle. J'avais toujours réussi à me contenir auparavant, prétextant une envie pressante, ou camouflant mes larmes derrière un bâillement. Je n'avais pas le droit de pleurer, pas ce soir. Si Rosa disait vrai, alors je devais réussir à tenir, pour profiter de ces derniers instants avec elle. Je me mordis violemment la joue, tentant de refouler mes larmes, serrant les poings, mes ongles s'enfonçant dans ma peau jusqu'à ce que ça me fasse mal. Lorsque je sentis une larme rouler sur ma joue, suivie d'une deuxième puis d'une troisième, je sus que j'avais perdu le combat. Je n'avais pas été assez forte. J'aurais voulu rester, mais j'en étais incapable. Je me levai brusquement, essuyai mes joues, mais sans succès. De nouvelles larmes coulaient par dessus celles que je venais d'arrêter. Je me précipitai vers la porte, espérant qu'aucun de mes camarades ne m'ait vue dans cette état. Je courus ensuite dans les couloirs et montai plusieurs escaliers à l'aveuglette, les yeux brouillés par mes larmes qui refusaient de s'arrêter. Je finis par me laisser tomber dans un coin, les genoux repliés contre ma poitrine, les paumes pressées contre mes yeux, les joues infondées de larmes. Je laissais alors libre court à ma tristesse.

"If your absence doesn't bother them, then your presence never mattered to them in the first place"
"C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.” Le Petit Prince

09 déc. 2017, 14:48
Nos au-revoirs.  public 
Assit à la table des Serpentard, Wilson savourait son dernier repas avant les vacances de Noël. Tout était normal, classique. La joie de vivre de ceux qui rentraient chez eux pour Noël, la joie des autres qui allaient fêter Noël à Poudlard, tout était des plus normales. Mangeant, Wilson discutait avec ses camarades de maisons de la pluie et du beau temps.

C’est alors qu’entra Rosalys Lanoblis. Wilson entretenait avec cette fille une certaine relation de rivalité. Surtout qu’à cause d’elle, Peeves s’acharne bien plus sur Wilson qu’avant. Lui qui voulait en début de première année devenir amis avec lui, c’était complètement raté par sa faute à elle. La jeune fille s’avança vers la table des Serdaigle et commença à faire une annonce. Wilson était loin, lui seul à la table des Serpentard, mais en tendant l’oreille et en lisant sur les lèvres de la Serdaigle, il arriva à comprendre le message : elle partait à Beauxbâtons. Wilson se leva pour être vu des Serdaigle et s’écria :


« BON DÉBARRA ! »

Puis il se rassit. Avec tous les évènements qui ont eut lieu à beauxbâtons ces derniers mois, Wilson ne donne pas une semaine de survie à Rosalys dans cette école. Rigolant, Wilson imagina la Serdaigle en uniforme de l’école de beauxbâtons, ce bleu clair bien moche. Wilson continua de manger, en se disant qu’il allait perdre son bouc émissaire… Il allait plus pouvoir se défouler sur elle, et ça c’est quand même triste.

seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow

09 déc. 2017, 15:56
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C'était l'heure du repas et Jonathan était assis en bout de table à côté de ses amis gryffons. Comme d'habitude Duncan faisait le pitre et était encouragé par Dylan et Tyr. Le repas s'annoncé joyeux et agréable. Alors qu'il riait Jonathan fut surpris pas l'arrivé en retard comme d'habitude de sa meilleure amie. La jeune Serdaigle avait l'air super triste et avait besoin de réconfort. Les deux amis se voyaient très souvent dans ce genre de situation cela en devenait presque une habitude. Le rouge et or se leva et se dirigea vers la blondinette. Elle s'arrêta devant sa table et parla à toute sa maison d'un air grave. Jonathan ne put entendre que quelques bribes

"Et pour cela, elle veut que j'aille étudier à BeauxBatons." "Après les vacances de Noël, je ne reviendrais pas..."

Elle avait maintenant la tête baissé, surement les larmes aux yeux, et après ce qu'il venait d'entendre Jonathan s'était arrêté net les yeux pleins de larmes qui ne voulaient pas couler. Il vit Lexie partir puis Solwen et il comprenait cette réaction. Mais à cet instant il pensa que la plus triste dans l'histoire cela devait être Rosalys. Le deuxième année connaissait l'histoire de la jeune fille, les problèmes avec sa famille, surtout son père donc il se disait qu'elle serait surement heureuse à Paris avec sa mère.

Jonathan repris sa marche et avança droit vers la table des Serdaigles. Rosalys était toujours tête baissé devant sa maison. Sans regarder un seul instant tous les bleu et bronze, le garçon pris sa meilleure amie dans ses bras. Il ne voulait pas qu'elle se sente seule. Il lui chuchota à l'oreille :

"J'espère que tu m'écrira de temps en temps. Mais sache que ca va être dur de faire mes devoirs si tu n'es plus là pour m'aider." Il essaya de la faire rire mais c'était pas gagné... "Ca va être dur pour moi, tu me connais, mais je ferais un effort pour me lever pour toi demain matin" Alors qu'il allait partir il la serra dans ses bras "Pleure pas, je te harcèlerais à chaque vacances pour que tu passes deux trois jours chez moi et je suis sur que Lexie, Emilia et tous les autres feront pareil."

Après avoir dis ca, Jonathan laissa sa meilleure amie avec les gens de sa maison et repris sa place à sa table. Ses amis était un peu interloqué par son visage sombre mais il préféra garder sa peine pour lui, car d'habitude, dans cet état là, la première personne qu'il aurait été voir était Rosalys.

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.

09 déc. 2017, 15:59
Nos au-revoirs.  public 
Esmée avait treize ans et n'avait toujours pas muri. Souriante, elle s'amusait à bousculer Audric pendant le repas. Le gryffond n'arrivait donc pas à manger correctement. Esmée n'arrivait plus à le quitter. Audois était devenue depuis l'année dernière son meilleur ami. Elle adorait et ne se souciait pas des autres élèves. Enfin si, cette année elle s'était beaucoup rapprochée de Jonathan. Un deuxième année assez sympathique. Même si au début, ce n'était pas la joie entre les deux collégiens ... La troisième année mordit dans la fourchette du brun en pouffant. Elle mimait les réactions de ce dernier à Jonathan. Elle s’esclaffa en regardant le vairon. Cependant, ne pouvant pas le zieutter trop longtemps elle lui fit risette avant de replonger son nez dans son assiette. Elle était de bonne humeur ... Espérons que son ami veuille bien d'elle après ce repas. Il était le seul, avec Jonathan, à pouvoir la supporter dans ces moments d’euphories. Puis, elle vit Rosalys. Esmée se calma donc et laissa enfin Audric tranquille. Elle la regarda. La brunette avait comme une envie irrésistible d'être son amie. C'était assez étrange. Elle fit sa rencontre lors de ses premiers achats au chemin de Traverse. La petite s'était entichée d'elle d'un regard, comme avec Audois. Cependant, Esmée n'avait pas pu lui parler pendant ces trois dernières année. Elle espérait la bousculer dans le couloir pour avoir l’occasion de lui parler... Mais elle n'eut cette occasion. La gryfone posa la tête sur son ami et écouta en secret les paroles de la serdaigle. * Partir ? Sa mère ? BeauxBatons ? * Elle se redressa en faisant tomber son couteau. * Je ne la verrais plus ? * elle grimaça et ses yeux devinrent humides. Ne pouvant plus se retenir, elle se leva brusquement pour sortir de la grande salle.