La rentrée des 1ères années
"Panthéa Johnson !"
La jeune fille déglutit et tenta se se glisser entre les autres élèves qui se tenaient là, impatients. Elle avait la vague impression de monter à l'échafaud mais chassa très vite cette idée, de peur que quelqu'un ne puisse lire dans ses pensées.
"Pardon, excusez-moi ... pardon ... pardon, excusez-moi ..."
Elle trébucha sur la première marche de l'estrade et camoufla son embarras derrière une grande mèche de cheveux blonds. Oui, l'année commençait terriblement bien.
Lorsqu'on lui déposa le Choixpeau sur la tête, elle ferma les yeux. D'abord, elle voulait à tout prix éviter le regard pesant du public. Assurément, aucun d'entre eux n'avait raté l'incident. Pourvu qu'ils ne se souviennent pas de son visage, une fois que tout cela serait fini.
Ensuite, elle savait pertinemment que le Choixpeau écoutait, aussi ne voulait-elle se consacrer qu'à lui à ce moment-là.
"Oui ... curieuse, perspicace ... loyale ... mais pas téméraire, oh non ... Je vois ... SERDAIGLE !", s'écria enfin le couvre-chef, immédiatement suivi d'un tonnerre d'applaudissements.
Théa sourit et sauta du petit tabouret, rejoignant à pas rapides la table de ceux qui seraient désormais ses camarades pour les années à venir. On lui tendit des mains qu'elle serra avec politesse, les pommettes encore roses de l'épreuve qu'elle venait de passer. Elle avait choisi sa place de sorte qu'elle pouvait assister à la suite de la répartition sans avoir à se tordre le cou, et se réjouissait déjà de constater que personne ne semblait la regarder. L'incident avait donc vite été oublié.
Serdaigle ... un sentiment de fierté la parcourut. L'année commençait terriblement bien !
"Ecureuil" au sein de M.E.R.L.I.N
A Serdaigle ? Une question ? Envoie moi un hibou !
La jeune fille déglutit et tenta se se glisser entre les autres élèves qui se tenaient là, impatients. Elle avait la vague impression de monter à l'échafaud mais chassa très vite cette idée, de peur que quelqu'un ne puisse lire dans ses pensées.
"Pardon, excusez-moi ... pardon ... pardon, excusez-moi ..."
Elle trébucha sur la première marche de l'estrade et camoufla son embarras derrière une grande mèche de cheveux blonds. Oui, l'année commençait terriblement bien.
Lorsqu'on lui déposa le Choixpeau sur la tête, elle ferma les yeux. D'abord, elle voulait à tout prix éviter le regard pesant du public. Assurément, aucun d'entre eux n'avait raté l'incident. Pourvu qu'ils ne se souviennent pas de son visage, une fois que tout cela serait fini.
Ensuite, elle savait pertinemment que le Choixpeau écoutait, aussi ne voulait-elle se consacrer qu'à lui à ce moment-là.
"Oui ... curieuse, perspicace ... loyale ... mais pas téméraire, oh non ... Je vois ... SERDAIGLE !", s'écria enfin le couvre-chef, immédiatement suivi d'un tonnerre d'applaudissements.
Théa sourit et sauta du petit tabouret, rejoignant à pas rapides la table de ceux qui seraient désormais ses camarades pour les années à venir. On lui tendit des mains qu'elle serra avec politesse, les pommettes encore roses de l'épreuve qu'elle venait de passer. Elle avait choisi sa place de sorte qu'elle pouvait assister à la suite de la répartition sans avoir à se tordre le cou, et se réjouissait déjà de constater que personne ne semblait la regarder. L'incident avait donc vite été oublié.
Serdaigle ... un sentiment de fierté la parcourut. L'année commençait terriblement bien !
Théana : there's alchemy between us
"Ecureuil" au sein de M.E.R.L.I.N
A Serdaigle ? Une question ? Envoie moi un hibou !
La rentrée des 1ères années
Maman disait que c’était le commencement d’une nouvelle vie. T’avais absolument aucune idée de si elle avait raison ou non. Après tout, toi, tu n’avais que onze ans. Quand tu avais lu la lettre tu n’arrivais pas vraiment à y croire. Pour la simple raison que cela te semblait trop beau. Mais aussi trop effrayant. Car Poudlard signifiait aussi s’éloigner de tes parents, sortir de leur giron protecteur. Et il fallait bien admettre que tu n’étais sans doute pas prête pour cela : tu n’étais qu’une enfant.
Cette inquiétude qui grandissait dans ta poitrine ne semblait pas être partagée par tes parents, ils semblaient bien trop content pour ça. Maman n’avait eu de cesser de sauter de joie depuis que tu avais reçu la précieuse lettre indiquant ton entrée future dans la prestigieuse école de sorcellerie. Ton père lui, avait souri comme à son habitude. Il était davantage content du fait que cette entrée à Poudlard ravisse ta mère plutôt que tu t’éloignes. Car oui, il prenait conscience qu’en étant à l’internat de Poudlard tu serais beaucoup moins avec eux. Ils perdaient, en quelque sorte, leur unique enfant.
Quoiqu’il en soit vous aviez fait les achats ensemble. Tu n’avais pris conscience de cet éloignement que lorsqu’il avait fallu entrer dans le Poudlard Express. Ce train qui t’amenait à l’école mais qui t’éloignait aussi de tes parents. Dans ton cœur un orage puissant grondait sans que tu n’en comprennes vraiment l’origine. C’était sans doute la tristesse du moment. De l’instant.
Devant la grandeur du lieu, l’enfant que tu es ne peut qu’être ébahie, impressionnée, émerveillée. Et elle écoute, assidue, les mots de l’adulte qui représente l’autorité. Elle ne sait pas de qui il s’agit, mais elle voit bien dans ses mains l’objet de son inquiétude, le Choixpeau. Objet magique qui répartit les élèves dans chacune des 4 maisons. Tu n’as pas d’appréhension particulière, pas de pression familiale. Toi, tu angoisses juste sur le fait que tu sois ainsi exposé à la vue de toutes et tous. Tu aimerais juste disparaitre, devenir aussi petite qu’une sourie.
Pourtant, la sensation de malaise ne s’enlève pas, encore moins que la voix appelle « Wildsmith, Elly », et que tu dois t’approcher, poser tes fesses sur le tabouret. Ton cœur bat la chamade, tu n’entends pas les murmures, tu n’entends que ton cœur qui boum-boum dans ta cage thoracique. Ce serait presque douloureux. Le Choixpeau murmure à ton oreille, des mots que tu n’arrives pas à entendre puisque tu es totalement paralysée par tous ses regards sur toi. Quand enfin la libération intervient, d’un tonitruant « POUFSOUFFLE », tu te lèves droite comme un i et tu files à la table supposée. Celles des jaunes et noirs, ta nouvelle famille.
Quelque fois, pour apaiser ta rage mystérieuse
Tu prodigues, sérieuse, la morsure et le baiser.
Cette inquiétude qui grandissait dans ta poitrine ne semblait pas être partagée par tes parents, ils semblaient bien trop content pour ça. Maman n’avait eu de cesser de sauter de joie depuis que tu avais reçu la précieuse lettre indiquant ton entrée future dans la prestigieuse école de sorcellerie. Ton père lui, avait souri comme à son habitude. Il était davantage content du fait que cette entrée à Poudlard ravisse ta mère plutôt que tu t’éloignes. Car oui, il prenait conscience qu’en étant à l’internat de Poudlard tu serais beaucoup moins avec eux. Ils perdaient, en quelque sorte, leur unique enfant.
Quoiqu’il en soit vous aviez fait les achats ensemble. Tu n’avais pris conscience de cet éloignement que lorsqu’il avait fallu entrer dans le Poudlard Express. Ce train qui t’amenait à l’école mais qui t’éloignait aussi de tes parents. Dans ton cœur un orage puissant grondait sans que tu n’en comprennes vraiment l’origine. C’était sans doute la tristesse du moment. De l’instant.
Devant la grandeur du lieu, l’enfant que tu es ne peut qu’être ébahie, impressionnée, émerveillée. Et elle écoute, assidue, les mots de l’adulte qui représente l’autorité. Elle ne sait pas de qui il s’agit, mais elle voit bien dans ses mains l’objet de son inquiétude, le Choixpeau. Objet magique qui répartit les élèves dans chacune des 4 maisons. Tu n’as pas d’appréhension particulière, pas de pression familiale. Toi, tu angoisses juste sur le fait que tu sois ainsi exposé à la vue de toutes et tous. Tu aimerais juste disparaitre, devenir aussi petite qu’une sourie.
Pourtant, la sensation de malaise ne s’enlève pas, encore moins que la voix appelle « Wildsmith, Elly », et que tu dois t’approcher, poser tes fesses sur le tabouret. Ton cœur bat la chamade, tu n’entends pas les murmures, tu n’entends que ton cœur qui boum-boum dans ta cage thoracique. Ce serait presque douloureux. Le Choixpeau murmure à ton oreille, des mots que tu n’arrives pas à entendre puisque tu es totalement paralysée par tous ses regards sur toi. Quand enfin la libération intervient, d’un tonitruant « POUFSOUFFLE », tu te lèves droite comme un i et tu files à la table supposée. Celles des jaunes et noirs, ta nouvelle famille.
Quelque fois, pour apaiser ta rage mystérieuse
Tu prodigues, sérieuse, la morsure et le baiser.
La rentrée des 1ères années
Premier septembre 2043
C’est la rentrée, enfin, Mel fait la queue, comme tout le monde, après avoir écouté le discours du Sous-Directeur, il écoute désormais l’interminable litanie de nom. Tout en écoutant il en profite pour observer la salle. Mazette ! Qu’elle est grande ! Quatre colonnes de grande table pour quatre maisons, logique, les bleus, les vert, les rouges et enfin les jaunes. Serdaigle, Serpentard, Gryffondor, Poufsouffle. Au fond, légèrement surélevée et perpendiculaire par rapports à celle des élèves se trouve la table des professeurs. Forcément, ils sont moins nombreux, mais ils observent avec autant d’intérêt que les autres la répartition.
Après avoir écouté la chanson du Choixpeau, Mel ne peux s’empêcher d’extrapoler, voilà qui l’occupe pendant un temps avant le moment fatidique ou il devra, devant tout le monde, mettre ce chapeau miteux sur la caboche pour qu’il lui susurre son avenir a l’oreille. On croirait à un mauvais roman de gare !
Cela dit, il faut bien admettre une chose, cette école est une délivrance, une renaissance même. Plus de Manuel ou de Scott pour le traiter de tricheur alors que d’une part, c’était Scott le tricheur de l’histoire et d’autre part, Mel n’avait pas choisis de se retrouver suspendu au toit du préau. C’est dans cet état d’esprit mitigé qu’il observait les allées et venues des élèves. Un moment donné il s’est posé la question : Pourquoi écoute t’on un chapeau poussiéreux pour la répartition ? Il a beau être magique, on ne peut pas dire qu’il soit tout jeune… Si ça se trouve il fait erreur ? On le sait, les vieux, parfois, ils ne savent plus ce qu’ils disent…
« Mel Ray ! »
Il sursauta, son nom avait raisonné comme un fouet a ses oreilles. Non pas que ce fut voulu par le Sous-Directeur, mais il s’était laissé entrainer dans ses pensées. Comme il s’avançait, il commençait à sentir le poids de ces trop nombreux regards posé sur ses petites épaules. A chaque pas, il avait encore plus envie de devenir petit. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Petit. Son estomac ayant finit de prendre la forme d’une boule de bowling, il prit place sur le tabouret face aux autres qui attendaient leur tour. Il allait se détendre en se disant que le calvaire était bientôt terminé quand la voie du Choixpeau retentit dans sa tête le faisant sursauter.
« Et bien et bien… Nous avons la une tête bien faite, oui. Hm. Un choix difficile. Serdaigle t’aiderai beaucoup, tu es intelligent et te pose bien des questions. Hm. Ta gentillesse… Oui. Oui. Tu seras bien chez eux. »
Chez eux ? Chez qui ? Serdaigle ?
« POUFSOUFFLE ! » Tonna le chapeau magique d’une voie forte répondant du même coup a la pensée de Mel.
Un tonnerre d’applaudissement retentit à la table des jaunes et Mel s’empressa de les rejoindre tachant de se faire une place ou il pouvait, bien élevé il ne voulait déranger personnes. Serra les mains tendues et rendu les sourires. Se présenta dix ou vingt fois et put, enfin, se concentrer sur le reste de la répartition. Son estomac allait mieux. Il avait rejoint sa nouvelle famille.
Après avoir écouté la chanson du Choixpeau, Mel ne peux s’empêcher d’extrapoler, voilà qui l’occupe pendant un temps avant le moment fatidique ou il devra, devant tout le monde, mettre ce chapeau miteux sur la caboche pour qu’il lui susurre son avenir a l’oreille. On croirait à un mauvais roman de gare !
Cela dit, il faut bien admettre une chose, cette école est une délivrance, une renaissance même. Plus de Manuel ou de Scott pour le traiter de tricheur alors que d’une part, c’était Scott le tricheur de l’histoire et d’autre part, Mel n’avait pas choisis de se retrouver suspendu au toit du préau. C’est dans cet état d’esprit mitigé qu’il observait les allées et venues des élèves. Un moment donné il s’est posé la question : Pourquoi écoute t’on un chapeau poussiéreux pour la répartition ? Il a beau être magique, on ne peut pas dire qu’il soit tout jeune… Si ça se trouve il fait erreur ? On le sait, les vieux, parfois, ils ne savent plus ce qu’ils disent…
« Mel Ray ! »
Il sursauta, son nom avait raisonné comme un fouet a ses oreilles. Non pas que ce fut voulu par le Sous-Directeur, mais il s’était laissé entrainer dans ses pensées. Comme il s’avançait, il commençait à sentir le poids de ces trop nombreux regards posé sur ses petites épaules. A chaque pas, il avait encore plus envie de devenir petit. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Petit. Son estomac ayant finit de prendre la forme d’une boule de bowling, il prit place sur le tabouret face aux autres qui attendaient leur tour. Il allait se détendre en se disant que le calvaire était bientôt terminé quand la voie du Choixpeau retentit dans sa tête le faisant sursauter.
« Et bien et bien… Nous avons la une tête bien faite, oui. Hm. Un choix difficile. Serdaigle t’aiderai beaucoup, tu es intelligent et te pose bien des questions. Hm. Ta gentillesse… Oui. Oui. Tu seras bien chez eux. »
Chez eux ? Chez qui ? Serdaigle ?
« POUFSOUFFLE ! » Tonna le chapeau magique d’une voie forte répondant du même coup a la pensée de Mel.
Un tonnerre d’applaudissement retentit à la table des jaunes et Mel s’empressa de les rejoindre tachant de se faire une place ou il pouvait, bien élevé il ne voulait déranger personnes. Serra les mains tendues et rendu les sourires. Se présenta dix ou vingt fois et put, enfin, se concentrer sur le reste de la répartition. Son estomac allait mieux. Il avait rejoint sa nouvelle famille.
Membre de la LSE
La rentrée des 1ères années
1er Septembre 2043
Une foule de jeunes sorciers commença à se former devant les grandes portes fermées de la Grande Salle. Nina trépignait d’impatience à l’idée de franchir cette porte et de découvrir la décoration majestueuse qu’elle s’était imaginée à moult reprises, suite aux descriptions de ses parents. Toutefois, la boule qu’elle ressentait au niveau de son ventre se resserrait progressivement : vivement que la cérémonie soit passée ! Lorsque la grande porte s’ouvrit, les jeunes sorciers s’engouffrèrent dans la salle et avancèrent jusqu’au-devant de l’estrade où le Choixpeau les attendait hâtivement, placé sur un haut tabouret en chêne.
Perdue dans la foule, Nina se retrouva rapidement comprimée contre les autres jeunes sorciers, plus tendus les uns que les autres. Elle pouvait observer des visages paniqués, des visages impatients, des visages inquiets ou encore des visages enjoués : tous n’attendaient qu’une seule chose. Après le discours du Sous-Directeur, l’énumération des noms des jeunes sorciers débuta. Nina en profita pour jeter un coup d’œil à la décoration de la salle, et elle ne fut vraiment pas déçue. C’était même mieux qu’elle ne se l’était imaginée. Ses parents avaient raison, c’était vraiment majestueux. Des impressionnantes banderoles aux couleurs des quatre maisons ornaient les murs de la salle, des centaines de petites bougies flottaient magiquement dans les airs, de magnifiques décorations imposantes prenaient place sur les quatre grandes tables de la Grande Salle, un long tapis rouge était déroulé sur le sol… Elle ne savait plus où donner de la tête.
Perdue dans la foule, Nina se retrouva rapidement comprimée contre les autres jeunes sorciers, plus tendus les uns que les autres. Elle pouvait observer des visages paniqués, des visages impatients, des visages inquiets ou encore des visages enjoués : tous n’attendaient qu’une seule chose. Après le discours du Sous-Directeur, l’énumération des noms des jeunes sorciers débuta. Nina en profita pour jeter un coup d’œil à la décoration de la salle, et elle ne fut vraiment pas déçue. C’était même mieux qu’elle ne se l’était imaginée. Ses parents avaient raison, c’était vraiment majestueux. Des impressionnantes banderoles aux couleurs des quatre maisons ornaient les murs de la salle, des centaines de petites bougies flottaient magiquement dans les airs, de magnifiques décorations imposantes prenaient place sur les quatre grandes tables de la Grande Salle, un long tapis rouge était déroulé sur le sol… Elle ne savait plus où donner de la tête.
« Nina Davies ! »
Ces mots la furent sursauter et les battements de son cœur venaient taper contre ses tympans. Plusieurs secondes se passèrent avant que la jeune sorcière ne réagisse. C’est le moment, le moment qu’elle avait imaginé tant de fois pendant sa tendre enfance. La boule qu’elle avait depuis désormais plusieurs heures dans son ventre s’amplifia grandement, jusqu’à venir serrer également sa gorge. Tremblante, Nina se fraya timidement un chemin parmi ses nouveaux camarades d’école, marchant sur plusieurs pieds au passage et monta les quelques marches qui l’amenèrent au Choixpeau. D’un geste timide et maladroit, Nina prit appui sur le tabouret en bois puis fit face aux regards des sorciers braqués sur elle lui générant aussitôt un sentiment de malaise tandis que son cœur battait la chamade.
« Hummm… Une Davies… Dur choix... Je vois beaucoup d’ambition et de fortes capacités... Mais une certaine sensibilité… Mais un grand courage est le plus frappant, je dirai… GRYFFONDOR »
Un tonnerre applaudissements retentit bruyamment dans la salle tandis que les mots du Choipeaux se répétaient en boucle dans la tête de la jeune sorcière. Gryffondor. Elle rejoignait enfin la maison qu’elle espérait tant et une certaine fierté s’empara d’elle à l’idée de rejoindre la maison où ses parents avaient réalisé leur scolarité. Nina descendit fébrilement du tabouret et rejoigna la grande table des Rouge et Or où elle fut accueillie à coup de tapes dans le dos et sur la tête. Certains même vinrent lui serrer la main en personne afin de lui présenter leurs félicitations, ce qui la fit sourire de joie. Après avoir pris place sur le banc, entre les membres de sa nouvelle famille, Nina sentit la boule dans son ventre se dissiper progressivement.
Griffes et crocs, Griffes et cœur, Gryff’Vainqueurs ! ☾
La rentrée des 1ères années
David avait dit au revoir à sa famille avec autant d’empressement que d’angoisse. Si l’embrassade avec sa mère avait été longue, celle de son frère l’avait surpris. Mais plus encore, la dernière remarque de son père, l’avait étonné :
« Tu as reçu la meilleures des éducations que l’on pouvait te donner, mais n’oublie jamais que le sang des Mendoza, un sang latin, coule dans tes veines. Tu ne dois jamais te laisser emporter par tes émotions, sois mesuré en toute chose comme ta mère et ne répond jamais à qui que ce soit dans la colère… »
David avait eu le temps de penser à ces paroles dans le train, isolé dans un compartiment. Son père avait-il compris l’incident face à la vague à Hoylake ? Avait-il capté les sentiments de son fils quand celui-ci avait touché sa baguette ? Bref, il devait faire attention à son caractère. La colère n’était jamais la bonne solution.
A l’arrivée, dans le village sorcier de Pré-au-Lard, il n’avait pas eu besoin d’hésiter longtemps sur ce qu’il devait faire. Un géant rassemblait les premières années. Un géant ? Lui voyait un géant du haut de ses onze ans, mais il ne devait pas appartenir à cette race magique dont il avait lu quelques caractéristiques dans ses manuels.
Visiblement, on devait s’occuper de leurs affaires car il n’eut rien à prendre pour suivre l’homme plus grand que ce qu’il pouvait concevoir. Il les mena à un lac où les attendait des barques. David fut d’abord étonné de ne pas voir de rames, mais il comprit vite qu’elles avançaient par magie.
Il n’attendit pas longtemps pour voir apparaître le château. Celui-ci lui apparut majestueux, digne des plus grands romans qu’il avait pu lire.
A leur entrée, ils furent accueillis par un sorcier qui les attendait.
« Bienvenue à tous à l’école de Poudlard. Je suis Marty Lamberts, votre sous-directeur pour cette année scolaire.
Cette première soirée à Poudlard sera déterminante pour votre scolarité. Vous allez être répartis entre quatre maisons : Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chacune possède ses propres caractéristiques, ses valeurs, ses forces, et deviendra votre famille. Vous pourrez lui apporter des points par votre travail et votre comportement, mais également lui en faire perdre. À la fin de l'année la maison ayant le plus de points remportera la coupe des Quatre Maisons. À vous de faire honneur à votre maison. »
L’homme semblait répéter un discours tout fait, David se demanda si en fait tout cela n’était pas une vaste blague et s’il n’avait pas affaire à des comédiens.
Cependant, il tiqua sur la dernière phrase. Ces actions allait permettre, ou non, à ses camarades de remporter une coupe… cela l’angoissa un peu… Et si à sa fidèle habitude, il échouait et faisait perdre ses futurs camarades… il risquerait une fois de plus de ne pas avoir beaucoup d’amis.
Mais les derniers mots du directeur adjoint le sortirent de ses réflexions.
“Derrière ces portes se trouve la Grande Salle où se déroulent tous les repas ainsi que les cérémonies importantes. Ce soir, celle de la Répartition vous permettra de connaître votre future maison. Tous les autres élèves ainsi que vos professeurs sont déjà présents comme vous l’entendez, alors préparez votre entrée. Mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien.”
Vraiment, tout allait se passer en public… David sentit l’inquiétude monter.
Ils entrèrent dans la grande salle de Poudlard, David regarda dans tous les sens. Le plafond représentait un ciel obscur, les nuages se déplaçaient tel qu’ils avaient pu l’observer dehors. David savait qu’il ne s’agissait pas du vrai ciel, il l’avait lu dans le livre sur l’histoire de Poudlard, mais il s’abstint d’en faire la remarque à qui que ce soit, ce n’était pas le moment de se faire remarque comme un asocial premier de la classe. C’est alors qu’il eut une révélation. Et si ses échecs scolaires n’était dû qu’à ça.
Plongé dans une intense réflexion, il n’entendit pas la chanson du choipeau.
Et si finalement, il n’échouait parce qu’il ne voulait pas passer pour un être purement cérébral, si son absence de réponse aux questions qu’on lui posait ne venait que de son refus de paraître pour un être prétentieux…
- David Mendoza
David n’avait pas entendu, il continuait à réfléchir sur les causes possibles de ses échecs, alors qu’il en savait plus que quiconque dans son ancienne école, il avait lui-même saboté sa réussite mais pour quelle raison
- DAVID MENDOZA
- Ah oui, c’est moi….
Déjà, les rires moqueurs fusaient. Impossible, il n’était pas là depuis une heure qu’il se faisait déjà remarquer… Et pas en bien, évidemment.
Il avança, s’assit sur le tabouret et le sous-directeur Lamberts lui posa le choipeau sur la tête.
- Serdaigle.
Des applaudissements vinrent d’une table vers laquelle, il se dirigea, il s’assit, serra les quelques mains qu’on lui tendait et poussa un soupir de soulagement, c’était fini.
Ou cela ne faisait que commencer ?
Le reste du temps lui parût flou…
Jusqu’au moment où des élèves plus grands se levèrent et demandèrent aux première année de les suivre.
« Tu as reçu la meilleures des éducations que l’on pouvait te donner, mais n’oublie jamais que le sang des Mendoza, un sang latin, coule dans tes veines. Tu ne dois jamais te laisser emporter par tes émotions, sois mesuré en toute chose comme ta mère et ne répond jamais à qui que ce soit dans la colère… »
David avait eu le temps de penser à ces paroles dans le train, isolé dans un compartiment. Son père avait-il compris l’incident face à la vague à Hoylake ? Avait-il capté les sentiments de son fils quand celui-ci avait touché sa baguette ? Bref, il devait faire attention à son caractère. La colère n’était jamais la bonne solution.
A l’arrivée, dans le village sorcier de Pré-au-Lard, il n’avait pas eu besoin d’hésiter longtemps sur ce qu’il devait faire. Un géant rassemblait les premières années. Un géant ? Lui voyait un géant du haut de ses onze ans, mais il ne devait pas appartenir à cette race magique dont il avait lu quelques caractéristiques dans ses manuels.
Visiblement, on devait s’occuper de leurs affaires car il n’eut rien à prendre pour suivre l’homme plus grand que ce qu’il pouvait concevoir. Il les mena à un lac où les attendait des barques. David fut d’abord étonné de ne pas voir de rames, mais il comprit vite qu’elles avançaient par magie.
Il n’attendit pas longtemps pour voir apparaître le château. Celui-ci lui apparut majestueux, digne des plus grands romans qu’il avait pu lire.
A leur entrée, ils furent accueillis par un sorcier qui les attendait.
« Bienvenue à tous à l’école de Poudlard. Je suis Marty Lamberts, votre sous-directeur pour cette année scolaire.
Cette première soirée à Poudlard sera déterminante pour votre scolarité. Vous allez être répartis entre quatre maisons : Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chacune possède ses propres caractéristiques, ses valeurs, ses forces, et deviendra votre famille. Vous pourrez lui apporter des points par votre travail et votre comportement, mais également lui en faire perdre. À la fin de l'année la maison ayant le plus de points remportera la coupe des Quatre Maisons. À vous de faire honneur à votre maison. »
L’homme semblait répéter un discours tout fait, David se demanda si en fait tout cela n’était pas une vaste blague et s’il n’avait pas affaire à des comédiens.
Cependant, il tiqua sur la dernière phrase. Ces actions allait permettre, ou non, à ses camarades de remporter une coupe… cela l’angoissa un peu… Et si à sa fidèle habitude, il échouait et faisait perdre ses futurs camarades… il risquerait une fois de plus de ne pas avoir beaucoup d’amis.
Mais les derniers mots du directeur adjoint le sortirent de ses réflexions.
“Derrière ces portes se trouve la Grande Salle où se déroulent tous les repas ainsi que les cérémonies importantes. Ce soir, celle de la Répartition vous permettra de connaître votre future maison. Tous les autres élèves ainsi que vos professeurs sont déjà présents comme vous l’entendez, alors préparez votre entrée. Mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien.”
Vraiment, tout allait se passer en public… David sentit l’inquiétude monter.
Ils entrèrent dans la grande salle de Poudlard, David regarda dans tous les sens. Le plafond représentait un ciel obscur, les nuages se déplaçaient tel qu’ils avaient pu l’observer dehors. David savait qu’il ne s’agissait pas du vrai ciel, il l’avait lu dans le livre sur l’histoire de Poudlard, mais il s’abstint d’en faire la remarque à qui que ce soit, ce n’était pas le moment de se faire remarque comme un asocial premier de la classe. C’est alors qu’il eut une révélation. Et si ses échecs scolaires n’était dû qu’à ça.
Plongé dans une intense réflexion, il n’entendit pas la chanson du choipeau.
Et si finalement, il n’échouait parce qu’il ne voulait pas passer pour un être purement cérébral, si son absence de réponse aux questions qu’on lui posait ne venait que de son refus de paraître pour un être prétentieux…
- David Mendoza
David n’avait pas entendu, il continuait à réfléchir sur les causes possibles de ses échecs, alors qu’il en savait plus que quiconque dans son ancienne école, il avait lui-même saboté sa réussite mais pour quelle raison
- DAVID MENDOZA
- Ah oui, c’est moi….
Déjà, les rires moqueurs fusaient. Impossible, il n’était pas là depuis une heure qu’il se faisait déjà remarquer… Et pas en bien, évidemment.
Il avança, s’assit sur le tabouret et le sous-directeur Lamberts lui posa le choipeau sur la tête.
- Serdaigle.
Des applaudissements vinrent d’une table vers laquelle, il se dirigea, il s’assit, serra les quelques mains qu’on lui tendait et poussa un soupir de soulagement, c’était fini.
Ou cela ne faisait que commencer ?
Le reste du temps lui parût flou…
Jusqu’au moment où des élèves plus grands se levèrent et demandèrent aux première année de les suivre.
La rentrée des 1ères années
La rentrée est toujours pleine d'émotion. Ma mère m'avait averti de tout cela... mais l'entrée dans la grande salle me mis presque les larmes aux yeux. Je ne rêvais pas. J'y étais, enfin!
J'attendais le long de la file, avec les autres élèves en attente de la répartition. Le temps n'était plus linéaire, il avançait par saccade. Et maintenant, Marty Lamberts allait bientôt prononcer mon nom.
"...Khrys Edelman !"
Je me dépêche, j'ai peur de laisser passer ce moment incroyable.
La directrice pose le choixpeau magique sur ma tête.
"Mmhh, intéressant... une grande soif de connaissance.
Tu désires comprendre la magie, et même l'aimer.
Il faudra que tu fasses preuve de sagesse, et il te faut grandir.
Pour cela tu iras à ...
SERDAIGLE!"
Un frisson de joie me parcouru les bras et la nuque. Je ne pouvais pas mieux rêver.
Rejoindre cette maison était une invitation à devenir un des meilleurs élèves de Poudlard.
Je ferais honneur à cette maison.
Déjà, Marty Lamberts me fait signe de rejoindre la table des Serdaigle... j'ai dû rester trop longtemps dans mes pensées. En quelques enjambées, je me retrouve donc à la table de mes futurs compagnons.
Ma mère avait fait sa scolarité chez les Poufsouffle, mais elle serait tout de même fier de moi.
Une fois assis, je tourne la tête vers les autres élèves de la table, et je lance un timide "salut" avant de continuer à regarder vers les autres élèves en attende de répartition.
C'est comme un rêve, non, c'est mieux qu'un rêve, car je suis à Poudlard.
La violence est le dernier recours de l'incompétence
J'attendais le long de la file, avec les autres élèves en attente de la répartition. Le temps n'était plus linéaire, il avançait par saccade. Et maintenant, Marty Lamberts allait bientôt prononcer mon nom.
"...Khrys Edelman !"
Je me dépêche, j'ai peur de laisser passer ce moment incroyable.
La directrice pose le choixpeau magique sur ma tête.
"Mmhh, intéressant... une grande soif de connaissance.
Tu désires comprendre la magie, et même l'aimer.
Il faudra que tu fasses preuve de sagesse, et il te faut grandir.
Pour cela tu iras à ...
SERDAIGLE!"
Un frisson de joie me parcouru les bras et la nuque. Je ne pouvais pas mieux rêver.
Rejoindre cette maison était une invitation à devenir un des meilleurs élèves de Poudlard.
Je ferais honneur à cette maison.
Déjà, Marty Lamberts me fait signe de rejoindre la table des Serdaigle... j'ai dû rester trop longtemps dans mes pensées. En quelques enjambées, je me retrouve donc à la table de mes futurs compagnons.
Ma mère avait fait sa scolarité chez les Poufsouffle, mais elle serait tout de même fier de moi.
Une fois assis, je tourne la tête vers les autres élèves de la table, et je lance un timide "salut" avant de continuer à regarder vers les autres élèves en attende de répartition.
C'est comme un rêve, non, c'est mieux qu'un rêve, car je suis à Poudlard.
La violence est le dernier recours de l'incompétence
La rentrée des 1ères années
Perdu dans ses pensées pendant tout le trajet du Poudlard Express, Ezra sortit dans les dernières pour se rendre à la cérémonie de répartition.
Le brouhaha dans la Grande Salle se mélangeait dans sa tête : l'excitation des jeunes de son âge répartit dans leur maison fétiches ou les soupirs des frustrés, les applaudissements des plus grands l'assourdissait. Un nom, appelé par le Choixpeau magique (tient, pourquoi le Choixpeau magique ?), lui était familier, sans pour autant se souvenir de pourquoi ce prénom lui était familier, Ezra entendit que la jeune fille répondant à ce prénom était répartie dans la maison Gryffondor. Totalement lucide à présent, une voix l'appela :
- Ezra Wheeler !
Ezra s'avança, anxieuse mais en même temps impatiente de savoir dans quelle maison elle ira. Arrivée sur l'estrade, la jeune fille fut abasourdie par la longueur de la salle. Elle ne s'en était pas rendu compte en rentrant. L'air toujours aussi ébahi, on lui posa le Choixpeau magique sur la tête :
- Oh ! Je vois en toi des qualités des défauts, un grand cœur qui n'appartient qu'aux Poufsouffles, une ambition digne des Serpentards, un sérieux de Serdaigle mais un courage et une loyauté immenses...GRYFFONDOR !
Ezra n'avait même pas eu son mot à dire. Elle était ravie quoique étonnée d'être Gryffondor. La jeune gryffone alla s'asseoir à la table des Gryffondors, non, sa table dorénavant, bafouilla de bref mots sur elle à ces camardes et se replongea dans ses pensées, avide de trouver un coin silencieux pour dessiner tous les yeux qu'elle avait pu croiser aujourd'hui. La rentrée s'était encore mieux passée que dans ses rêves ! Il ne lui restait plus qu'à suivre le groupe des premiers années et de trouver un lit pour se poser !
✵ - Ne t'en fais pas [...] Tu t'en sors à merveille
✵ - Donc quand tu disais "c'est un fiasco"...
✵ - C'était une figure de style.
~ KoS, Leigh Bardugo ~
Le brouhaha dans la Grande Salle se mélangeait dans sa tête : l'excitation des jeunes de son âge répartit dans leur maison fétiches ou les soupirs des frustrés, les applaudissements des plus grands l'assourdissait. Un nom, appelé par le Choixpeau magique (tient, pourquoi le Choixpeau magique ?), lui était familier, sans pour autant se souvenir de pourquoi ce prénom lui était familier, Ezra entendit que la jeune fille répondant à ce prénom était répartie dans la maison Gryffondor. Totalement lucide à présent, une voix l'appela :
- Ezra Wheeler !
Ezra s'avança, anxieuse mais en même temps impatiente de savoir dans quelle maison elle ira. Arrivée sur l'estrade, la jeune fille fut abasourdie par la longueur de la salle. Elle ne s'en était pas rendu compte en rentrant. L'air toujours aussi ébahi, on lui posa le Choixpeau magique sur la tête :
- Oh ! Je vois en toi des qualités des défauts, un grand cœur qui n'appartient qu'aux Poufsouffles, une ambition digne des Serpentards, un sérieux de Serdaigle mais un courage et une loyauté immenses...GRYFFONDOR !
Ezra n'avait même pas eu son mot à dire. Elle était ravie quoique étonnée d'être Gryffondor. La jeune gryffone alla s'asseoir à la table des Gryffondors, non, sa table dorénavant, bafouilla de bref mots sur elle à ces camardes et se replongea dans ses pensées, avide de trouver un coin silencieux pour dessiner tous les yeux qu'elle avait pu croiser aujourd'hui. La rentrée s'était encore mieux passée que dans ses rêves ! Il ne lui restait plus qu'à suivre le groupe des premiers années et de trouver un lit pour se poser !
✵ - Ne t'en fais pas [...] Tu t'en sors à merveille
✵ - Donc quand tu disais "c'est un fiasco"...
✵ - C'était une figure de style.
~ KoS, Leigh Bardugo ~
La rentrée des 1ères années
Le 1er septembre, Catrine n’arrivais pas à trouver la voie 9 ¾ afin de prendre le train qui la conduira vers Poudlard. Elle est aidée par une jeune fille au nom de Mélinda qui allais à Poudlard aussi .
_ Une fois dans le train, elle sympathisa avec Mélinda en se découvrant mutuellement. Catrine enrichit ses connaissances sur l’univers de la magie tout en voyant passer ces futur camardes , elle était impatiente d'arriver au châteaux.
Une fois arrivée, les élèves de première année sont accueillis par Hagrid. Ils découvrent l’extérieur du château de Poudlard, qu’ils rejoignent en barque en traversant le Lac Noir.
Catrine qui suivaient c'est camarades de classe en direction de la grande salle ,admirait les haut plafond .
Elle avait les yeux grand ouvert est regardais autour d'elle ,elle avait hâte de savoir ou le choixpeau allais l'envoyer.
Elle avança timide vers le choixpeau est s’assit .
LE CHOIXPEAU parla à Catrine .
Vous êtes loyal-e comme un-e Poufsouffle, mais vos affinités avec Gryffondor ne font que renforcer ce trait de votre personnalité. Vous feriez presque tout pour ceux que vous aimez, même si cela doit vous causer du tort. Par conséquent, vos amis et votre famille vous sollicitent souvent, mais n’oubliez pas qu’il est aussi important de prendre soin de vous. Vous avez le cœur sur la main et laissez souvent vos émotions guider vos actions, sans réfléchir aux conséquences.
Votre légère compatibilité avec la maison Serdaigle montre que le savoir et la sagesse sont deux choses qui comptent pour vous, sans pour autant être vos priorités.
SE SERA GRYFFONDOR
Catrine était très contente est se dirigea vers la table des gryffondors .
Mejor es deseo que fastidio.
_ Une fois dans le train, elle sympathisa avec Mélinda en se découvrant mutuellement. Catrine enrichit ses connaissances sur l’univers de la magie tout en voyant passer ces futur camardes , elle était impatiente d'arriver au châteaux.
Une fois arrivée, les élèves de première année sont accueillis par Hagrid. Ils découvrent l’extérieur du château de Poudlard, qu’ils rejoignent en barque en traversant le Lac Noir.
Catrine qui suivaient c'est camarades de classe en direction de la grande salle ,admirait les haut plafond .
Elle avait les yeux grand ouvert est regardais autour d'elle ,elle avait hâte de savoir ou le choixpeau allais l'envoyer.
Elle avança timide vers le choixpeau est s’assit .
LE CHOIXPEAU parla à Catrine .
Vous êtes loyal-e comme un-e Poufsouffle, mais vos affinités avec Gryffondor ne font que renforcer ce trait de votre personnalité. Vous feriez presque tout pour ceux que vous aimez, même si cela doit vous causer du tort. Par conséquent, vos amis et votre famille vous sollicitent souvent, mais n’oubliez pas qu’il est aussi important de prendre soin de vous. Vous avez le cœur sur la main et laissez souvent vos émotions guider vos actions, sans réfléchir aux conséquences.
Votre légère compatibilité avec la maison Serdaigle montre que le savoir et la sagesse sont deux choses qui comptent pour vous, sans pour autant être vos priorités.
SE SERA GRYFFONDOR
Catrine était très contente est se dirigea vers la table des gryffondors .
Mejor es deseo que fastidio.
La rentrée des 1ères années
Enfin !
ENFIN!!
Il allait rejoindre Poudlard. Il était tellement excité qu'il n'en avait pas fermé l'oeil de la nuit.
Il ressentait une telle excitation, mais aussi une telle appréhension...
Quelles aventures allait t'il vivre? Quelles genre de personnes allait t'il rencontrer?
Il espérait tellement se faire des amis !
Et vivre plein de choses incroyable avec eux !
Depuis qu'il avait reçu sa lettre d'admission, aucune journée ne s'était passé sans qu'il ne pense à Poudlard.
Mais... une question persistait plus que les autres dans son esprit : Quelles maisons allait t-il rejoindre ?!
Vraiment, il avait trop hâte, mais la question de sa maison lui faisait plutôt peur.
Pourtant, il s'était persuadé qu'il finirait chez les Poufssoufle; pour lui, c'était eux qui lui ressemblait le plus. Il n'avait aucune envie de finir avec des rats de bibliothèque ...ou bien... encore pire : AVEC DES SERPENTARD !
Dans un coin de sa tête résidait cette peur : si jamais le chapeau l'envoyer là-bas, qu'est ce qu'il ferait ? Ce serait horrible ! Insupportable ! Il devrait obligatoirement aller voir le directeur ! Et ce dernier trouverait ça inadmissible ! Et Hyacinthe serait renvoyé ! Et ses parents serait déçu ! Et-- Et--
Il pensait beaucoup trop.
C'était évident qu'il n'avait pas sa place chez les Serpentard... il avait peur d'eux... Et ce ... juste à causes de leurs mauvaises réputations. Rien de plus.
Après sa "formidable" nuit blanche, le garçon fut donc emmené par ses parents pour prendre le fameux Poudlard Express...
Ce serait une première pour lui d'être séparé de ses parents aussi longtemps...
Après les avoir serré dans ses bras une dernière fois, il monta dans le train.
Il trépignait d'impatience... Le trajet lui semblait être des heures, voire même des jours, des semaines en faîte, ou peu être des anné--
Enfin, vous avez compris.
Une fois arrivez à l'école, ce fut une des premiers enfants à pénétré dans la grande salle.
Il resta concentré sur chaque mots des professeurs, jusqu'a ce que finalement--
ENFIN! C'était son tour !
Il se leva et s'avança vers le Choixpeau, les jambes tremblantes d'excitation.
Il sentit ses joues rougir en voyant tout les nouveaux élèves le regarder.
Il pensait atterrir chez les Poufssoufle, mais finalement--
Il balbutia quelques mots incompréhensif, surpris .
Gryffondor ? Vraiment?
Il ne s'y attendait pas ... comment un faiblard comme lui pouvait rejoindre cette maison ?
Après quelques secondes de "bug", il alla finalement s'assoir à la table des enfants vêtus de rouge, qui commencèrent à l'acclamer.
Bon. Au moins il n'était pas atterri à Serpentard.
ENFIN!!
Il allait rejoindre Poudlard. Il était tellement excité qu'il n'en avait pas fermé l'oeil de la nuit.
Il ressentait une telle excitation, mais aussi une telle appréhension...
Quelles aventures allait t'il vivre? Quelles genre de personnes allait t'il rencontrer?
Il espérait tellement se faire des amis !
Et vivre plein de choses incroyable avec eux !
Depuis qu'il avait reçu sa lettre d'admission, aucune journée ne s'était passé sans qu'il ne pense à Poudlard.
Mais... une question persistait plus que les autres dans son esprit : Quelles maisons allait t-il rejoindre ?!
Vraiment, il avait trop hâte, mais la question de sa maison lui faisait plutôt peur.
Pourtant, il s'était persuadé qu'il finirait chez les Poufssoufle; pour lui, c'était eux qui lui ressemblait le plus. Il n'avait aucune envie de finir avec des rats de bibliothèque ...ou bien... encore pire : AVEC DES SERPENTARD !
Dans un coin de sa tête résidait cette peur : si jamais le chapeau l'envoyer là-bas, qu'est ce qu'il ferait ? Ce serait horrible ! Insupportable ! Il devrait obligatoirement aller voir le directeur ! Et ce dernier trouverait ça inadmissible ! Et Hyacinthe serait renvoyé ! Et ses parents serait déçu ! Et-- Et--
Il pensait beaucoup trop.
C'était évident qu'il n'avait pas sa place chez les Serpentard... il avait peur d'eux... Et ce ... juste à causes de leurs mauvaises réputations. Rien de plus.
Après sa "formidable" nuit blanche, le garçon fut donc emmené par ses parents pour prendre le fameux Poudlard Express...
Ce serait une première pour lui d'être séparé de ses parents aussi longtemps...
Après les avoir serré dans ses bras une dernière fois, il monta dans le train.
Il trépignait d'impatience... Le trajet lui semblait être des heures, voire même des jours, des semaines en faîte, ou peu être des anné--
Enfin, vous avez compris.
Une fois arrivez à l'école, ce fut une des premiers enfants à pénétré dans la grande salle.
Il resta concentré sur chaque mots des professeurs, jusqu'a ce que finalement--
-Hyacinthe Stone !
ENFIN! C'était son tour !
Il se leva et s'avança vers le Choixpeau, les jambes tremblantes d'excitation.
Il sentit ses joues rougir en voyant tout les nouveaux élèves le regarder.
Il pensait atterrir chez les Poufssoufle, mais finalement--
-Gryffondor!
Il balbutia quelques mots incompréhensif, surpris .
Gryffondor ? Vraiment?
Il ne s'y attendait pas ... comment un faiblard comme lui pouvait rejoindre cette maison ?
Après quelques secondes de "bug", il alla finalement s'assoir à la table des enfants vêtus de rouge, qui commencèrent à l'acclamer.
Bon. Au moins il n'était pas atterri à Serpentard.
La rentrée des 1ères années
Après la traversée du lac sur des bateaux qui, comme par magie, avançaient tout seul, ce dont je n'avais pas encore l'habitude car au début je m'étais mise à chercher les personnes qui les faisaient avancer, je me retrouvais au pied de cette immense château. Je levais les yeux mais je n'arrivais même pas à apercevoir le bout perdu dans les nuages tellement il était immense. Je suivis donc le groupe, apeurée er perdue et seule dans ce grand décor qui me faisait me sentir minuscule. J'ouvrais grand les yeux pour ne pas en perdre une seule miette.
Un homme grand et mince, qui me faisait un peu peur avec ses yeux noirs nous souhaita la bienvenue. Il se présenta comme le sous-directeur de l'école. Je fus un peu intimidée par lui, surtout qu'il n'avait pas l'air très sympa. Après cela il nous expliqua comment fonctionnait les fameuses maisons dont m'avait parlé mon père. Il y en avait 4 et nous allions être répartie dans chacune d'entre elle qui allait alors devenir comme notre famille. J'avais déjà une famille, je n'étais pas sur d'en vouloir une autre mais j'avais surtout besoin d'amis car dans ce nouveau décor je me sentais surtout très seule.
Nous suivîmes alors notre sous-directeur qui nous fit entrer dans la grande salle. Celle-ci porte bien son nom car elle est gigantesque. 4 grandes tables étaient installées le long avec plein d'élèves assied à celles-ci et au fond se trouvait une autre table, surélevée par une estrade avec des gens plus âgés assied. Je supposai alors que c'était nos professeurs. Je fus tout de suite impressionnée et intimidée par le nombre d'élèves présents et je baissai les yeux en rougissant. Je détestais la foule. J'étais trop timide pour ça. Mais ma curiosité prit le dessus alors je relevais la tête en essayant de faire abstraction de la population et regarda le plafond émerveillé. Il y avait plein de bougies qui flottaient littéralement dans les airs, sans rien pour les maintenir. J'essayai d'abord de comprendre comment c'était possible quand je me rappelai que c'était juste...de la magie. Le plafond était aussi magique que les bougies volantes. Il représentait une nuit étoilée, mais qui avait l'air...très réelle, comme si j'étais dehors à observer le ciel. C'était vraiment très beau et ça m'apaisai un court instant.
Le groupe s'arrêta soudainement et je fonçai dans mon camarade devant moi, surprise. Je me frottai la joue en m'excusant timidement. J'avais la tête dans les nuages, comme toujours.
Mr Lamberts nous rassura sur le déroulement de la cérémonie de répartition mais cela ne me fit que stressée d'avantage. Surtout quand un chapeau bizarre, marron, vieux et tout flétrie se mit à ouvrir une bouche effrayant et à...chanter ?!
Tout le monde applaudit. C'était une jolie chanson c'est vrai sur les différentes maisons. Mais l'un d'elle retient particulièrement mon attention : Gryffondor. C'était celle de mon père. Même si mon père ne m'avait dit que ma maison n'avait pas d'importance, j'avais comme le sentiment que je devais aller dans celle-ci, pour le rendre fier, et suivre sa trace.
La cérémonie débuta et mon coeur me serra encore plus. J'avais très peur, de passer devant tout le monde, mais aussi du choix de ce mystérieux chapeau étrange.
Puis soudain :
« Cassie Jones ! »
Mon nom résonna dans la pièce. Mes jambes se mirent à trembler et je fus incapable de bouger. Mon camarade derrière moi me poussa légèrement ce qui me fit réagir. Je m'avançai en tremblant, faisant attention de ne pas tomber et trébuchai au moment de gravir l'estrade où se trouvait le tabouret et le chapeau. J'étais gênée, apeurée, stressée et toute rouge. Le sous-directeur me plaça le choixpeau sur la tête. Je sursautai quand il se mit à bouger et à parler. Il réfléchit à haute voix pendant un moment. Je serrais les poings sur le tabouret en espérant être envoyée à Gryffondor. Quand soudain le nom de ma maison résonna:
« Gryffondor »
Je souris à pleine dent, c'était la même que mon père ! Le sous-directeur du me pousser doucement le dos pour que je me souvienne que je devais quitter le siège alors que j'étais dans mes pensées. Sous les applaudissements des autres Gryffondor je rejoint leur table, toujours le rouge aux joues. Je m'assied avec eux, contente et fière.
Un homme grand et mince, qui me faisait un peu peur avec ses yeux noirs nous souhaita la bienvenue. Il se présenta comme le sous-directeur de l'école. Je fus un peu intimidée par lui, surtout qu'il n'avait pas l'air très sympa. Après cela il nous expliqua comment fonctionnait les fameuses maisons dont m'avait parlé mon père. Il y en avait 4 et nous allions être répartie dans chacune d'entre elle qui allait alors devenir comme notre famille. J'avais déjà une famille, je n'étais pas sur d'en vouloir une autre mais j'avais surtout besoin d'amis car dans ce nouveau décor je me sentais surtout très seule.
Nous suivîmes alors notre sous-directeur qui nous fit entrer dans la grande salle. Celle-ci porte bien son nom car elle est gigantesque. 4 grandes tables étaient installées le long avec plein d'élèves assied à celles-ci et au fond se trouvait une autre table, surélevée par une estrade avec des gens plus âgés assied. Je supposai alors que c'était nos professeurs. Je fus tout de suite impressionnée et intimidée par le nombre d'élèves présents et je baissai les yeux en rougissant. Je détestais la foule. J'étais trop timide pour ça. Mais ma curiosité prit le dessus alors je relevais la tête en essayant de faire abstraction de la population et regarda le plafond émerveillé. Il y avait plein de bougies qui flottaient littéralement dans les airs, sans rien pour les maintenir. J'essayai d'abord de comprendre comment c'était possible quand je me rappelai que c'était juste...de la magie. Le plafond était aussi magique que les bougies volantes. Il représentait une nuit étoilée, mais qui avait l'air...très réelle, comme si j'étais dehors à observer le ciel. C'était vraiment très beau et ça m'apaisai un court instant.
Le groupe s'arrêta soudainement et je fonçai dans mon camarade devant moi, surprise. Je me frottai la joue en m'excusant timidement. J'avais la tête dans les nuages, comme toujours.
Mr Lamberts nous rassura sur le déroulement de la cérémonie de répartition mais cela ne me fit que stressée d'avantage. Surtout quand un chapeau bizarre, marron, vieux et tout flétrie se mit à ouvrir une bouche effrayant et à...chanter ?!
Il y a des centaines d'années et quelques mois,
Godric, Rowena, Salazar et Helga,
Me créèrent pour que je répartisse avec sagesse,
Les nouveaux élèves plein de courage, de ruse, d'esprit ou de gentillesse.
Il vous suffit de me poser sur votre tête,
Pour que je puisse deviner, sans être malhonnête
La maison dans laquelle vous apprendrez au mieux,
Celle où vous serez le plus heureux.
Si vous êtes audacieux et valeureux,
Vous irez dans la maison des Courageux,
Les plus hardis, les plus braves et les plus forts,
Trouveront leur place chez Godric Gryffondor.
Ceux qui chérissent la culture et le savoir
Se plairont parmi ceux qui ont le sens du devoir,
Je trouverai ceux dont l'esprit est rempli de "pourquoi ?"
Et les emmènerai dans la haute tour de Rowena.
À ceux dont le coeur est rempli de sincérité,
Sachez qu'à Poufsouffle, votre loyauté sera appréciée,
Chez eux, la persévérance et la patience sont rois,
Nulle tentative de déréliction ne provoquera leur désarroi.
Ruse, ambition et pouvoir,
Sont ce à quoi aspirent les Serpentard,
Si vous voulez viser toujours plus haut,
Vous serez les bienvenus chez ceux qui aiment porter le flambeau.
Mais n'oubliez jamais, fiers représentants de Poudlard
Que c'est ensemble que vous ferez face aux roublards,
C'est donc aux quatre maisons réunies
Que je souhaite un bon appétit.
Tout le monde applaudit. C'était une jolie chanson c'est vrai sur les différentes maisons. Mais l'un d'elle retient particulièrement mon attention : Gryffondor. C'était celle de mon père. Même si mon père ne m'avait dit que ma maison n'avait pas d'importance, j'avais comme le sentiment que je devais aller dans celle-ci, pour le rendre fier, et suivre sa trace.
La cérémonie débuta et mon coeur me serra encore plus. J'avais très peur, de passer devant tout le monde, mais aussi du choix de ce mystérieux chapeau étrange.
Puis soudain :
« Cassie Jones ! »
Mon nom résonna dans la pièce. Mes jambes se mirent à trembler et je fus incapable de bouger. Mon camarade derrière moi me poussa légèrement ce qui me fit réagir. Je m'avançai en tremblant, faisant attention de ne pas tomber et trébuchai au moment de gravir l'estrade où se trouvait le tabouret et le chapeau. J'étais gênée, apeurée, stressée et toute rouge. Le sous-directeur me plaça le choixpeau sur la tête. Je sursautai quand il se mit à bouger et à parler. Il réfléchit à haute voix pendant un moment. Je serrais les poings sur le tabouret en espérant être envoyée à Gryffondor. Quand soudain le nom de ma maison résonna:
« Gryffondor »
Je souris à pleine dent, c'était la même que mon père ! Le sous-directeur du me pousser doucement le dos pour que je me souvienne que je devais quitter le siège alors que j'étais dans mes pensées. Sous les applaudissements des autres Gryffondor je rejoint leur table, toujours le rouge aux joues. Je m'assied avec eux, contente et fière.