Perdre
Même si ça ne ressemble pas aux RPs que tu connais
Cette fois-ci vous êtes dans mes pensées. Plus précisément. Vous êtes perdus dans mes pensées. C’est drôle non ? Imaginer que pour une fois on a laissé son corps terrestre sur le sol et que notre esprit s’est envolé pour d’autres corps célestes.
Donc maintenant vous allez assister à ma vie. Enfin, je ne vais pas vous rabâcher avec une chronologie inutile, vous la connaissez déjà, si jamais vous avez déjà pris le temps de la prendre en compte. La Vie dont je vais vous parler aujourd’hui, et tous les autres jours, c’est une énigme, la plus grosse énigme, le plus grand jeu de piste auquel vous avez participé, si toutefois vous participiez. Car vous êtes dans mes pensées, perdu comme un jeune agneau.
Ma Vie elle-même est une énigme, une équation impossible dont le égal se serait égaré en chemin. C’est pour ceci que vous êtes là, pour résoudre cette énigme. Inéquation dont j’ai laissé traîner les indices, c’est n’est pourtant pas très compliqué. Il vous suffit d’être ouvert d’esprit et d’imaginer le plus vraisemblable. Car l’histoire que je vais vous conter est terrible.
C’est mon histoire.
Maintenant que vous êtes dans la tête. Je vais faire appel à votre imagination. Imaginez votre lieu le plus secret, le plus cher ne réfléchissez pas trop longtemps car la suite arrive. Vous avez 18h30 pour faire ce petit travail.
Cette fois-ci vous êtes dans mes pensées. Plus précisément. Vous êtes perdus dans mes pensées. C’est drôle non ? Imaginer que pour une fois on a laissé son corps terrestre sur le sol et que notre esprit s’est envolé pour d’autres corps célestes.
Donc maintenant vous allez assister à ma vie. Enfin, je ne vais pas vous rabâcher avec une chronologie inutile, vous la connaissez déjà, si jamais vous avez déjà pris le temps de la prendre en compte. La Vie dont je vais vous parler aujourd’hui, et tous les autres jours, c’est une énigme, la plus grosse énigme, le plus grand jeu de piste auquel vous avez participé, si toutefois vous participiez. Car vous êtes dans mes pensées, perdu comme un jeune agneau.
Ma Vie elle-même est une énigme, une équation impossible dont le égal se serait égaré en chemin. C’est pour ceci que vous êtes là, pour résoudre cette énigme. Inéquation dont j’ai laissé traîner les indices, c’est n’est pourtant pas très compliqué. Il vous suffit d’être ouvert d’esprit et d’imaginer le plus vraisemblable. Car l’histoire que je vais vous conter est terrible.
C’est mon histoire.
Maintenant que vous êtes dans la tête. Je vais faire appel à votre imagination. Imaginez votre lieu le plus secret, le plus cher ne réfléchissez pas trop longtemps car la suite arrive. Vous avez 18h30 pour faire ce petit travail.
Dernière modification par Hugo Rolanbri le 18 janv. 2019, 10:19, modifié 6 fois.
Perdre
Tu as ce lieu ? Tant mieux, car si tu ne l’as pas, tu ne dois pas continuer plus loin dans ce RP.
Voilà, à partir de maintenant, imagines chaque chose que je te dis. Oublie le monde extérieur, ton esprit doit visualiser de tes yeux ce qu’il se passe. Il faut que dans ta tête ce lieu existe. Comme dans un rêve, tu es libre de tes actions, mais certaines choses apparaissent sans que tu le veuilles. Pour le meilleur et pour le pire. Mais ce lieu est tranquille. Il ne faut pas s’inquiéter. Ouvre ton esprit.
Tu es dans ce lieu, vous observez autour de vous, c’est assez calme non ? Oui, c’est calme. Tu aimes ton environnement présent, ce lieu tant chéri.
Il n’y a pas plus reposant, rien ne perce cette bulle de bien être. Et ce repos est si tranquille. C’est comme une enfance joyeuse que rien ne trouble.
Mais ce qui vas arriver est terrible. Car c’est le calme, le calme avant la tempête. Et la tempête qui s’annonce est particulièrement orageuse.
Il vas falloir faire quelque chose de dur. Tu dois imaginer quelque chose. Et cette chose est horrible. Non, pas moche. Mais horrible de l’intérieur.
Il vas falloir imaginer une personne que tu chéri que tu adore, et cette personne serait noire de l’intérieur. Cramée avec un cœur brûlé. Une horreur. Mais pourtant, tu l’aimes.
Tu as 20h00.
Voilà, à partir de maintenant, imagines chaque chose que je te dis. Oublie le monde extérieur, ton esprit doit visualiser de tes yeux ce qu’il se passe. Il faut que dans ta tête ce lieu existe. Comme dans un rêve, tu es libre de tes actions, mais certaines choses apparaissent sans que tu le veuilles. Pour le meilleur et pour le pire. Mais ce lieu est tranquille. Il ne faut pas s’inquiéter. Ouvre ton esprit.
Tu es dans ce lieu, vous observez autour de vous, c’est assez calme non ? Oui, c’est calme. Tu aimes ton environnement présent, ce lieu tant chéri.
Il n’y a pas plus reposant, rien ne perce cette bulle de bien être. Et ce repos est si tranquille. C’est comme une enfance joyeuse que rien ne trouble.
Mais ce qui vas arriver est terrible. Car c’est le calme, le calme avant la tempête. Et la tempête qui s’annonce est particulièrement orageuse.
Il vas falloir faire quelque chose de dur. Tu dois imaginer quelque chose. Et cette chose est horrible. Non, pas moche. Mais horrible de l’intérieur.
Il vas falloir imaginer une personne que tu chéri que tu adore, et cette personne serait noire de l’intérieur. Cramée avec un cœur brûlé. Une horreur. Mais pourtant, tu l’aimes.
Tu as 20h00.
Perdre
Si cette personne est clairement fixée dans ta tête, tu peux continuer. Accroches toi.
Voilà, tu es dans ce lieu, tu observes ce lieu étrange et pourtant si familier. Mais tout n’est pas paisible, un proche, gentil apparaît à côté de toi, on vas dire qu’il s’appelle Visage Clair, lui est gentil, solennel, il t’apporter son soutien n’importe quand, pour n’importe quoi, c’est un pilier de ton existence.
Mais face à lui, terminant le triangle que forme votre triangle, il y a l’autre, ton pire cauchemard. Cette personne, c’est elle, c’est Visage Sombre, tu es persuadé que cette personne est une femme, un indice enfoui dans ta mémoire mutilée.
Alors ton univers s’évanouit aux paroles de Visage Sombre. Oui, tu ne le sais pas, mais Visage Clair a tourné le dos, pas par lâcheté, mais, même si tu es sa principale raison d’être, il a pleins d’autres chose à faire. Alors Visage Sombre parle.
De mots écorchés, que tu ne comprend qu’à moitié car tu n’as que 5 ans, enfin tu as l’impression d’avoir 5 ans. Visage Sombre agite un bout de bois, pointé dans ta direction. Tu commences à avoir un peu peur. Même, tu es effrayé car tu n’as jamais vue Visage Sombre agir de la sorte. Ta peur t’empêche de crier.
Et Visage Sombre prononce le Mot, le Mot Interdit. Tu ne sais pas qu’il est interdit, mais à peine le Mot prononcé, tu devine qu’il ne peut rien arriver de pire.
Alors, le jet de lumière sort du bout de bois, et il te touche. Tu cries, tu pleures, le monde s’effondre. Seul reste toi, ta douleur et Visage Sombre qui rigole.
Alors imagine cette douleur, ne te l’inflige pas, ça, seul moi ai eu le droit de le subir, toi je ne t’autorise qu’à être spectateur. Alors imagine-moi hurler, me convulsionner sur le sol, imagine mon monde se briser.
Nom de code : D.O.L.O.R.I.S.
Tu as jusqu’à Lundi : 08h35
Voilà, tu es dans ce lieu, tu observes ce lieu étrange et pourtant si familier. Mais tout n’est pas paisible, un proche, gentil apparaît à côté de toi, on vas dire qu’il s’appelle Visage Clair, lui est gentil, solennel, il t’apporter son soutien n’importe quand, pour n’importe quoi, c’est un pilier de ton existence.
Mais face à lui, terminant le triangle que forme votre triangle, il y a l’autre, ton pire cauchemard. Cette personne, c’est elle, c’est Visage Sombre, tu es persuadé que cette personne est une femme, un indice enfoui dans ta mémoire mutilée.
Alors ton univers s’évanouit aux paroles de Visage Sombre. Oui, tu ne le sais pas, mais Visage Clair a tourné le dos, pas par lâcheté, mais, même si tu es sa principale raison d’être, il a pleins d’autres chose à faire. Alors Visage Sombre parle.
De mots écorchés, que tu ne comprend qu’à moitié car tu n’as que 5 ans, enfin tu as l’impression d’avoir 5 ans. Visage Sombre agite un bout de bois, pointé dans ta direction. Tu commences à avoir un peu peur. Même, tu es effrayé car tu n’as jamais vue Visage Sombre agir de la sorte. Ta peur t’empêche de crier.
Et Visage Sombre prononce le Mot, le Mot Interdit. Tu ne sais pas qu’il est interdit, mais à peine le Mot prononcé, tu devine qu’il ne peut rien arriver de pire.
Alors, le jet de lumière sort du bout de bois, et il te touche. Tu cries, tu pleures, le monde s’effondre. Seul reste toi, ta douleur et Visage Sombre qui rigole.
Alors imagine cette douleur, ne te l’inflige pas, ça, seul moi ai eu le droit de le subir, toi je ne t’autorise qu’à être spectateur. Alors imagine-moi hurler, me convulsionner sur le sol, imagine mon monde se briser.
Nom de code : D.O.L.O.R.I.S.
Tu as jusqu’à Lundi : 08h35
Perdre
Tu me vois. Tu m’entends. Tu est pourtant à côté de moi. N’as-tu pas songé un seul instant à venir m’aider ? Je ne crois pas non, tu t’es limité à faire ce que je te disais. C’est bien, mais écoutes-tu toujours ce que les autres disent. Dois-tu toujours écouter ce que les autres disent, obéir à la lettre près ? Non. Surtout pas.
C’est ce que j’ai fais, enfin, je crois l’avoir fait, mes souvenirs ne sont que tâches et fragments. Je me suis tu. Mais maintenant, reprends ma place.
Après avoir souffert, Visage Sombre t’as dit de te taire, alors tu n’as rien dit, au risque d’avoir mal une fois de plus. Visage Clair t’implore de lui conter tes malheurs. Mais tu a peur de Visage Sombre, alors, tu te tais.
Et puis, un autre jour, Visage Sombre recommence.
« Et Visage Sombre fait mal.
Affreusement mal.
Mal.
* Douleur
Souffrance. Horreur.
* Douler
Noir. Masse. Coup.
* Doulor
Mal. Choc. Écraser. Annihiler.
* Dollor
Écorcher. Entasser. Frapper. Foudroyer. Cogner.
* Dolor
Étrangler. Jeter. Forcer. Mordre. Priver. Ombre.
* Dolori
Flamme. Obscur. Creuser. Malmener. Violer. Violence.
* Doloris
Brut. Transpercer. Violenter. Brûler. Noyer. Enterrer. Étouffer. Trancher.
* Sortilège.
Éclater. Abîmer. Craquer. Empoigner. Exploser. Entuber. Homicide. Folie. Tuer.
* Impardonnable. »
La douleur prend sa force dans ton âme, tu ne ressens rien qu’un vide intense. C’est comme si tu mourrai, mais qu’une chose t’empêchait de prendre ton envol. Cette chose, c’est le souvenir de Visage Clair, tu ne peux pas partir, Visage Clair t’aime, il a besoin de toi pour survivre dans ce monde de fous. Mais Visage Clair ne se doute pas de ce que t’inflige Visage Sombre.
Mais toi tu te tais et tu subis. Je t’aurai bien aidé, mais j’ai souffert, et moi, ce n’était pas en rêve.
“Les pires cicatrices que je porte, elles ont été infligées à mon âme, pas à mon corps.”
Terminus,
Arrêt des sens,
Mardi : 08h40
C’est ce que j’ai fais, enfin, je crois l’avoir fait, mes souvenirs ne sont que tâches et fragments. Je me suis tu. Mais maintenant, reprends ma place.
Après avoir souffert, Visage Sombre t’as dit de te taire, alors tu n’as rien dit, au risque d’avoir mal une fois de plus. Visage Clair t’implore de lui conter tes malheurs. Mais tu a peur de Visage Sombre, alors, tu te tais.
Et puis, un autre jour, Visage Sombre recommence.
« Et Visage Sombre fait mal.
Affreusement mal.
Mal.
* Douleur
Souffrance. Horreur.
* Douler
Noir. Masse. Coup.
* Doulor
Mal. Choc. Écraser. Annihiler.
* Dollor
Écorcher. Entasser. Frapper. Foudroyer. Cogner.
* Dolor
Étrangler. Jeter. Forcer. Mordre. Priver. Ombre.
* Dolori
Flamme. Obscur. Creuser. Malmener. Violer. Violence.
* Doloris
Brut. Transpercer. Violenter. Brûler. Noyer. Enterrer. Étouffer. Trancher.
* Sortilège.
Éclater. Abîmer. Craquer. Empoigner. Exploser. Entuber. Homicide. Folie. Tuer.
* Impardonnable. »
La douleur prend sa force dans ton âme, tu ne ressens rien qu’un vide intense. C’est comme si tu mourrai, mais qu’une chose t’empêchait de prendre ton envol. Cette chose, c’est le souvenir de Visage Clair, tu ne peux pas partir, Visage Clair t’aime, il a besoin de toi pour survivre dans ce monde de fous. Mais Visage Clair ne se doute pas de ce que t’inflige Visage Sombre.
Mais toi tu te tais et tu subis. Je t’aurai bien aidé, mais j’ai souffert, et moi, ce n’était pas en rêve.
“Les pires cicatrices que je porte, elles ont été infligées à mon âme, pas à mon corps.”
Terminus,
Arrêt des sens,
Mardi : 08h40
Perdre
Voilà, tu connais le début, le début de la fin. La fin est-elle cependant la fin de tout ? Car avant la fin, il y a un début, et avant de début, il y a la fin d’avant le début. Donc il y aura le début de après la fin, et aussi la fin de après le début de la fin. Donc, la fin est la fin de plein de choses. Mais ces chose n’ont qu’une seule fin. Telle est la règle.
Le début de la douleur a une fin. C’est cette fin que tu vas voir.
Tu es toujours dans ce lieux, tu as toujours Visage Sombre au dessus de toi sans que tu ne puisses rien faire. Alors, pour la première fois, il faut bien un début à tout, tu pleures. Et Visage Sombre gronde mais ne peut rien faire contre ces larmes qui coulent le long de tes joues. Alors, que tout semble perdu, alors que Visage Sombre lève son bâton de douleur, alors qu’une lueur verte émet du bâton de douleur, alors que le visage de Visage Sombre est crispé de colère, alors que tout est perdu, tu attend la mort, tu ne veux qu’elle pour te délivrer.
Alors que tout sombre, Visage Clair surgit, tu ne sais ni comment, ni pourquoi, mais il surgit. Des jets de lumière fusent de tous les coté. Tu ne le sais pas encore, mais tu assistes à ton premier duel de magie. Un duel à mort.
Visage Sombre contre Visage Clair. La rage est le maître-Mot de cet orchestre improvisé. Tu ne comprends pas ce qu’il arrive. Tu ne peux que voir des dômes lumineux, des lances de lumières. La bataille fait rage. Et pourtant, ne dure que quelques instants. Visage Sombre est touché par un sort, elle s’effondre à terre, hurle encore pendant que Visage Clair se précipite vers toi, reste au sol.
Quelque chose d’étrange se passe. Tout ton corps a l’impression de se retrouver dans ton estomac, et d’un coup, tu te retrouves dans une plaine verte, il fait jour, tout est calme.
“Visage Clair est là, mais Visage Clair ne sourit plus, Petit Garçon se souvint de ça aussi.
Visage Clair sourit. Il dit quelque chose. Il dit qu’il aime son petit Emerveyl. Petit Garçon ne comprend pas encore.
Visage Clair pleure. De douleur et d’amour.
Visage Clair tient une branche d’arbre. Toute petite.
Petit Garçon ne se rappelle pas ce que c’est.
La branche se lève.”
La fin de ce post est teintée de blanc, un blanc éblouissant, contraire du noir des oubliettes, mais, étrangement, au même pouvoir. C’est perdre quelque chose. Ou pas.
Fin du RP
Mais n’ai-je pas dis qu’il y aura toujours un début après la fin ?
Après ça
Le début de la douleur a une fin. C’est cette fin que tu vas voir.
Tu es toujours dans ce lieux, tu as toujours Visage Sombre au dessus de toi sans que tu ne puisses rien faire. Alors, pour la première fois, il faut bien un début à tout, tu pleures. Et Visage Sombre gronde mais ne peut rien faire contre ces larmes qui coulent le long de tes joues. Alors, que tout semble perdu, alors que Visage Sombre lève son bâton de douleur, alors qu’une lueur verte émet du bâton de douleur, alors que le visage de Visage Sombre est crispé de colère, alors que tout est perdu, tu attend la mort, tu ne veux qu’elle pour te délivrer.
Alors que tout sombre, Visage Clair surgit, tu ne sais ni comment, ni pourquoi, mais il surgit. Des jets de lumière fusent de tous les coté. Tu ne le sais pas encore, mais tu assistes à ton premier duel de magie. Un duel à mort.
Visage Sombre contre Visage Clair. La rage est le maître-Mot de cet orchestre improvisé. Tu ne comprends pas ce qu’il arrive. Tu ne peux que voir des dômes lumineux, des lances de lumières. La bataille fait rage. Et pourtant, ne dure que quelques instants. Visage Sombre est touché par un sort, elle s’effondre à terre, hurle encore pendant que Visage Clair se précipite vers toi, reste au sol.
Quelque chose d’étrange se passe. Tout ton corps a l’impression de se retrouver dans ton estomac, et d’un coup, tu te retrouves dans une plaine verte, il fait jour, tout est calme.
“Visage Clair est là, mais Visage Clair ne sourit plus, Petit Garçon se souvint de ça aussi.
Visage Clair sourit. Il dit quelque chose. Il dit qu’il aime son petit Emerveyl. Petit Garçon ne comprend pas encore.
Visage Clair pleure. De douleur et d’amour.
Visage Clair tient une branche d’arbre. Toute petite.
Petit Garçon ne se rappelle pas ce que c’est.
La branche se lève.”
La fin de ce post est teintée de blanc, un blanc éblouissant, contraire du noir des oubliettes, mais, étrangement, au même pouvoir. C’est perdre quelque chose. Ou pas.
Fin du RP
Mais n’ai-je pas dis qu’il y aura toujours un début après la fin ?
Après ça