Je suis énervé. La journée commence et je suis énervé. Mais quelle vie. Je croyais qu’en arrivant au château, j’aurais enfin l’esprit tranquille, je serais serein et que tout ce passerais bien. Tu parles d’un rêve trop beau à réaliser.

D’ailleurs, je suis énervé parce que je viens de lire la lettre que mon paternel m’avait envoyé. Pour faire simple, il déteste l’idée que je sois devenu « Un serpent », il pense que je suis « un cas perdu », « une désolation familiale », « tout s’explique maintenant, pourquoi t’es si bizarre » .

Je ne savais pas qu’il prenait toute cette histoire de maison au sérieux mais bon tant pis. Je suis comme je suis et je ne changerais pour personne, quitte à me mettre le monde à dos.

Personnellement, je suis fier d’avoir atterris dans cette maison au si grand prestige, j’espère juste être à la hauteur de cette renommée. Pour le moment , je suis surtout déçu, déçu de moi-même en fait .

Je pensais réellement que de venir au château, était une chance de connaître une toute nouvelle liberté. Tu parles d’un rêves, ici, je me sens comme bloqué entre 4 murs, je suis obligé de rester dans le château, je ne peux rien faire d’autres mis appart rester dans le parc.

Je préférais le temps ou j’étais encore en Ecosse, je pouvais me balader la nuit, faire ce qu’il me semble, ici, il y a des règles , des personnes qui les font respecter un maximum et c’est vraiment contraignant. Je déteste être ici pour le moment , rien ne ce passe bien.

Aujourd’hui, je décide de partir écrire un peux. J’aime écrire mais depuis mon arrivé, je n’ai pas écrit une seule histoire, je n’y arrive pas , les pages restent blanches, toute cette imagination est partie…
Pourtant j’essaye, je m’accroche mais rien y fait. C’est pour cela que je vais écrire une sorte de journal intime, histoire de me parler à moi-même sans passer pour un fou.

Accompagné d’une plume et de parchemins, je m’y mets et les mots viennent à l’instinct, je ne m’arrête plus. J’écris ce que je ressens, comment je suis et aussi je parle du château, de mes problèmes. Finalement , ça fait du bien de tout lâcher, ne serait-ce qu’a une feuille. Mon assiette remplie de bacon, je fais une pose dans l’écriture, histoire de respirer, de penser au programme de la journée…

Un matin de décembre, froid et enneigé. Pas question de se rendre au parc sous un temps pareil s'était fait comme réflexion la jeune brune. Mais, que faire ? Encore visiter le château ? Non... elle en avait assez de faire toujours les mêmes choses.

Elle avait pour finir, été dansé, c'était bien la seule chose qui pouvait lui remonter le moral pour le moment. Mais pourquoi sous moral était-il si bas ? Et bien, pour pleins de raisons. Son père était différent avec elle, mes relations avec sa soeur ne s'améliorait pas, ses dernières notes n'avaient pas été assez satisfaisantes pour la jeune Serpentard, un poil perfectionniste.

Après deux heures de danse intensive elle se rendit dans la grande salle. La jeune fille voulait être tranquille, se reposer et écrire une lettre à sa mère. Elle s'installa à la grande table des Serpentard, qui était peut remplie. Tant mieux, avait-elle pensé, je serais plus tranquille. Elle sortit de quoi écrire sa lettre de sa sacoche et commença à rédiger, elle parlait d'un peu de tout, des cours, de la danse, tout se qui lui passait par la tête et se n'est qu'après quelques minutes qu'elle remarqua qu'a côté d'elle il y avait un jeune garçon, plutôt grand et au chevrux blanc. Lui aussi il écrivait, et Thaléa qui d'habitude n'était pas curieuse fût attirée et se posa des questions sur ce qu'écrivait son camarade de maison. Elle lui demanda donc, sans retenue et de façon brute, peut-être un peu mal élevé, mais, rlle ne pensait pas à mal ... Elle voulait juste aidé ce garçon sui paraissait si discret.

- 《 Tu écris quoi ? Sa à l'air intéressant ! Au fait, je m'appelle Thaléa ! 》.

Le froid, la neige, le temps pluvieux, orageux. Les vents qui atteignent des sommets incomparables selon les région. C’est chiant. Qui est assez fou pour aimer les mois qui composent la trêve hivernale ? Surtout ici, au château. Ou nous sommes tous bloqués dans une salle commune ou quelque part entre 4 murs au château, obligé de rester avec un tas de personnes.

Bon, c’est devenu ma routine habituelle donc bon, autant m’y faire et essayer de trouver un moyen afin de trouver le temps moins loin. Quelle plaie j’vous jure, je pourrais pas simplement, me prendre un cognard perdu lors d’un match de quidditch ? Me réveiller à la fin de l’année avec les examens en poche ? Ça serait terrible n’est-ce-pas ?

J’suis trop imaginatif, faut du concret parfois, savoir prendre les choses au sérieux et ne pas y aller d’un pas nonchalant tout en haussant les épaules, ça aussi, c’est ma réalité. Moi qui aimer perdre mon temps dans les rues de ma ville, ça me paraît bien loin, une toute autre époque même. Qu’es que ça sera dans quelques années ? Dans la grande salle, j’écrivais sur mon bout de parchemin lorsque brutalement :

《 Tu écris quoi ? Sa à l'air intéressant ! Au fait, je m'appelle Thaléa ! 》.

Je comptais retorquer de manière tout aussi brutale qu’elle m’avait abordé, elle se prend pour qui pour m’interrompre ? La journée avait mal commencée et là, ça sentait le fiasco. Alors d’un ton sec , plutôt tranchant

- Ça à peut-être l’air intéressant mais ça ne te regarde pas. «

Avec ma main, je cache du mieux que je peux mon parchemin, je remarque qu’elle aussi, elle partager peut-être la même passion que moi, ou juste un simple devoir comme tout élève de maison ferait sérieusement, pas comme moi d’ailleurs. Je vais peut-être essayé de rattraper le coup. Je me met à toussoter pour reprendre :

- Et toi, je vois que tu écris, dans quel but ?J’ai failli oublier, Moi c’est Daniel Kane.

Quand le garçon lui répondit elle fût surprise, sa réponse avit été que sa ne la regardait pas, et c'est vrai. Cependant il aurait pu le lui dire d'une façon moins tranchante et avec un ton moins sec, Thaléa l'avait peut-être abordé de façon brutale mais, elle n'avait pas été sèche dans ses paroles, elle essayait juste d'établir un lien avec ce garçon si discret, que l'on entendait presque jamais.

Elle avait voulut être gentille, comme à son habitude mais la façon de répondre du garçon l'avaot refroidie,en temps normale elle aurait pas réagis et aurait laissé couler, mais en ses temps ou son moral n'était pas au mieux elle eut envie de lui crier dessus, de décharger toute sa colère sur le jeune blond. Ça n'aurais pas été correct, après tout il lui avait juste répondu un peu sèchement, et c'était son droit de ne pas vouloir partagé ses écrits.

Le garçon cacha sa feuille comme il pu, et Thaléa fit de même. Si elle ne pouvaot pas savoir, mui non plus ! Elle continuait de rédigé sa missive, quand soudain, et d'un voix moins tranchante, le Serpentard reprit la parole. Il lui demandait se qu'elle écrivait et lui dévoila son identité, Daniel Kane.

Au début Thaléa voulut lui répondre la même chose que lui, avec le même ton mais, il essayait de rattrapé son erreur. Alors elle répondit a ses question, d'un ton neutre.

- 《J'écris juste une lettre à ma mère, mais il m'arrive d'écrire des histoire. Enchanté Daniel》.

Pour être honnête, je n’ai jamais eu d’amis sur de longues durées. Quand j’étais encore en Ecosse, je m’entendais pas trop avec les autres enfants. Je me suis toujours sentis au-dessus, je n’ai jamais daigné leur parler et puis a quoi bon ? Toutes les amitiés ce terminent de la même façon, tisser des liens avec des personnes inférieures ne m’intéresse pas.

En arrivant au château, je savais que je n’allais pas changer. Je pensais juste rencontrer des personnes un peux plus intellectuelles, des sorciers avides de puissance, de reconnaissance mais je crois avoir poussé mon imagination trop loin. Je ne me sens pas chez moi, je suis énervé la plupart du temps donc je me renferme sur moi-même donc ce sentiment ne cesse de grandir.

Cela s’avère exact encore aujourd’hui, une jeune fille du nom de Thaléa est venue vers moi, curieuse de savoir ce que j’écrivais, comme à mon habitude, j’ai répondu d’un ton sec et pas franchement sympa. Pour une fois que j’ai l’occasion de parler avec un sorcier autre qu’un membre de ma famille, je gâche la chose, je prends mes distances, je n’ai pas confiance. Je crois que la vérité est simple : j’ai peur du monde, peur d’être déçu, peur que tout s’arrête ?

Cette jeune fille, malgré ma remarque, n’en fit rien et continua sur sa lancée. M’expliquant qu’elle écrivait à sa mère. C’est drôle mais je suis le moins bien placé pour en parler, elle me dit aussi écrire des histoires, une nouvelle plume qui sait, a voir. Je n’aime pas trop entendre la vie des autres, ça me fatigue, j’ai mes propres soucis. C’est vrai que je ne comprends pas tout ça, pourquoi écrire à une personne que tu reverras à chaque vacances ?

- Tu finiras par la revoir ta mère non ? Pourquoi lui écrire ?

Il est vrai que ça peut paraître bête de poser cette question mais si mon paternel m’a appris une chose, c’est qu’aucune question ne vaux la peine de ne pas être posée ou un truc du genre . Mes parents ne m’ont jamais vraiment inculquer d’amour, ils m’ont surtout appris à me débrouiller seul, sans ne rien demander, à avoir un point de vue plus général. Enfin, je crois, je n’en suis pas sûr, peut-être qu’ils ne voulaient pas avoir à faire à un dégénéré.

Le garçon lui demanda alors pourquoi elle écrivait à sa mère alors qu'elle allait la revoir, en posant sa question son ton s'était a nouveau refroidi et elle pouvait percevoir du jugement dans l'interrogation du garçon. Comme si ce qu'elle faisait ne servait a rien.

La jeune fille aurait voulut se retire, elle aurait voulut ne pas s'énerver sur son jeune camarade de maison, mais il avait été trop loin et sa façon de parler ne plaisait pas à la jeune brune.

- 《J'écris à ma mère parce que j'ai envie,je suis proche d'elle et j'ai pas envie d'attendre les vacances pour parler avec elle ! Mais tu ne peux peut-être pas comprendre ! 》

La jeune fille n'avait pas encore fini, elle n'aimait pas l'attitude du jeune blond. Pourtant elle avait essayée d'être gentille, mais il se croyait trop supérieur aux autres.

-《 Tu sais Daniel ? Il faudrait peut-être qu'ont arrête de parlés toi et moi. J'au essayé d'être sympa avec toi,
Mais tu te crois trop supérieur aux autres et tu as peur d'être déçu , il est la ton problème ! 》

La jeune gille se recula amors un peu du garçon, continuant d'écrire sa lettre. Ou du moins elle essayait d'écrire sa lettre. Les paroles qu'elle avait dîtes à Daniel revenaient sans cesse dans sa tête. Elle n'aurais pas du réagir ainsi, elle le savai, et elle regréttait sa réaction trop impulsive.

Elle ne savait pas pourquoi Daniel était ainsi, peut-être un mal être et à la place de sa réaction elle aurait mieux fait d'essayer d'apprendre à le connaître. Elle espérait qu'un jour elle pourrait se rattraper.

Comment faire ? Comment faire pour arriver à tisser des liens ? Des liens forts, que personne au monde ne pourrait couper. Hélas, je n’en es pas la réponse, je ne provoque que le chaos de partout ou je passe. Sans le vouloir, je peux m’embrouiller avec des personnes qui n’ont rien demandé ou aller chercher des noises. C’est une mauvaise habitude la solitude n’est-ce-pas ?

J’ai l’intime conviction que rien n’est réparable. Je suis persuadé qu’un jour, j’arriverais à avoir des relations sérieuses, j’arriverais à me sortir de cette solitude accablante, celle que je recherche constamment, assez ironique n’est-ce-pas ?

Mes premiers pas au sein de l’école ne furent pas des plus prestigieux, je n’avance pas. J’ai parfois l’impression d’être une âme errante, qui ce contente de suivre les cours par qu’ils sont obligatoires . L’aventure au château ne me plait pas. Je ne m’intègre pas et lorsque je regarde autour de moi, je n’en es pas la moindre envie. C’est assez bizarre n’est-ce-pas ?

La grande salle, avec ses longues tables débordant de nourriture, le ciel enchanté. Je prends souvent plaisir à venir ici, me goinfrer de poulet et de bacon tout en écrivant quelques feuilles de parchemin. C’est ce que je faisais aujourd’hui, jusqu’au moment ou une jeune fille, de la maison Serpentard m’a accosté.
Les mots échangés sont forts. Je ne sais pas pourquoi, ce que j’ai fais de mal mais j’ai l’impression qu’elle a assez mal pris ou mal compris ma question.

- Je suis bien supérieur aux autres je te rassure, surtout quand je vois une fille écrire à sa maman adorée. Tu as raison, retourne à ta fichue lettre.

Super Daniel ! J’ai souvent tendance à m’énerver assez vite je le sais, je dis souvent n’importe quoi et les mots m’échappent. Je sais très bien que les mots sont une source inépuisable de magie sans vouloir citer un certain sorcier. Cette discussion ne finira pas bien. La journée ce finira mal. Encore. Routine perpétuée. Le hasard ? Je ne sais pas.

Ses mots étaient forts et vexant pour la jeune brunette. Qu'avait-il de mal a écrire, selon ses dires, une fichue lettre à sa mère ! Après tout, c'était une chose assez naturelle mis a part dans certains cas. Peut-être qu'ul ne pouvait pas comprendre, peut-être avait-il des problèmes avec sa mère. Mais là n'était pas le plus vexant pour Thaléa. Le plus vexant avait été pour elle le fait qu'il la considère comme inférieure à lui. Pour qui ce prennait-il ? Le roi du monde ou bien un grand sorcier ! Lui et elle étaient au même niveau, pas un de meilleur que l'autre et elle voulait lui faire comprendre ça mais aussi comprendre pourquoi il était ainsi, pourquoi il était souvent à l'écart. Même si il était vexant envers elle elle ressentant un magnétisme avec le jeune garçon et elle aurait bien voulu s'en faire un ami.

La jeune fille essaya de continuer sa lettre, d'ignorer le grand garçon de Serpentard mais ses mots revenaient sans cesse dans sa tête et y résonnaient comme un écho dans une grotte. Elle déposa sa plume à coté du bout de parchemin remplit de mots et se retourna vers le jeune Daniel.

- 《 Ne te crois pas supérieur juste parce-que j'écris une lettre à ma mère. Je suis pas inférieur à toi juste pour une fichue lettre à ma mère.

Elle essayait en vain de se reconcentré sur la missive mais, la brunette n'y arrivait pas, ou du moins plus pour l'instant. Pourquoi n'y arrivait-elle plus ? Parce qu'elle avait le sentiment d'avoir mal comprit le garçon solitaire. Peut-être que sa question avait été une simple question, une question banale et Thaléa avait mal répondu. La brune c'était emportée sur son camarade, ses mots avaient été forts envers le jeune homme. Elle regrettait son énervement et reconnaissait ses fautes. Si elle ne c'était pas énervée, si elle avait été moins impulsive, si elle avait réfléchit deux seconde avant de parlé peut-être qu'a cet instant les deux Serpentard seraient en train de parler et de devenir amis. Elle regrettait vraiment amèrement son énervement et sa journée qui aurait du être bonne allait mal, très mal terminé.

Je suis lassé. Lassé mais amusé. Lassé de cette fille, qui écrit une lettre à sa mère. Cela m’exaspère au plus haut point. Je ne peux m’entendre avec une telle personne. Pourquoi ? Je dirais qu’elle fait partis de ces personnes qui ont trop d’amour en eux. Ils essayent de le perpétuer, ils essayent de voir le bien ou il n’y en aucun. Cela relève de la naïveté.

Ce n’est pas une mauvaise chose en soi, l’idée est belle mais pas pour moi. Je m’amusais à la fixer avec ce regard plus que satisfaisant, comme si faire une mauvaise action mais satisfaisait. C’est drôle hein ?

Je ne suis pas un mauvais garçon de base, je m’amuse même à me découvrir une nouvelle facette, c’est intriguant d’ailleurs. Je ne sais pas ce qu’elle pense mais ce qui en est sur, c’est qu’elle ne m’aime pas, voir pas du tout.

Je sentais bien qu’elle n’étais pas contente, voir vexée par mon comportement mais je m’en fiche, je compte bien continuer à agir ainsi, jusqu’à qu’elle ce révolte ou qu’il ce passe quelque chose d’amusant, je veux voir ce qu’elle dans le ventre. Voir de quoi cette Thaléa est capable.

Etre gentil ne suffit pas, il faut savoir user de ces crocs. Que ce soit à Poudlard ou bien ailleurs.


- Tu as la réaction typique d’une personne qui est iinférieure, si tu verrais ta tête j’te jure. Tu devrais aller à la volière maintenant.

Thaléa en avait marre de ce garçon, de son comportement hautain et méchant. Que lui avait-elle dont fait ? Elle avait essayé d'être sympa avec lui mais il ne voulait rien savoir. Pour lui, la jeune brune était une personne inférieure, juste parce qu'elle écrivait une simple lettre à sa mère. Il la regardait d'un air amusé, d'un regard plein de jugements et de moqueries. C'était une chose que Thaléa ne pouvait, et ne voulait pas accepter. Elle ne supportait pas que l'on se moque d'elle, mais le pire fût les paroles du Serpentard.


- Tu as la réaction typique d’une personne qui est inférieure, si tu verrais ta tête j’te jure. Tu devrais aller à la volière maintenant.

Ses paroles firent qu'un tour dans la tête de Thaléa, il avait été trop loin, beaucoup trop loin. Il voulait voir la fillette énervée ? Voir ses limites ? Et bien c'était réussi ! Il avait tout gagner !

Dans un élan de colère Thaléa se leva, prit sa lettre, la lettre qu'elle avait prit le temps d'écrire, et de relire plusieurs fois et la déchira de rage, devant le jeune homme, tout en ajoutant d'une voix furieuse et en le regardant avec des yeux noirs de colère.

- C'est bon ? Tu peux me laisser en paix avec cette fichue lettre maintenant Kane ! Tu sais, c'est pas de ma faute si tes parents te donne pas assez d'amour ! J'ai voulu être sympa avec toi, mais tu n'en vaut pas la peine. Alors, tu n'as qu'a resté seul, apparamment personne ici n'est assez bien pour la personne supérieure que tu penses être ! C'est plus mon problème ! 》