Résonance des pensées
Amaryllis s’était réveillée motivée en ce Dimanche. Elle organisait cette journée depuis plusieurs jours, et malgré le stress qui la submergeait, elle se devait de donner son avis. Même si cela risquait de ne pas avoir l’effet escompté.
La jeune fille sentait son cœur s’emballer lorsqu’elle descendit les escaliers en direction du Grand Hall, une feuille de parchemin roulé à la main. Une fois en bas de ces escaliers, la jeune fille expulsa tout l’air retenu dans ses poumons lors de sa descente.
Elle déroula son parchemin et l’accrocha avec une punaise qu’elle avait réussi à métamorphoser après maints et maints essais.
Sur son parchemin, bien à la vue de tous, se trouvait une phrase défendant les droits des Elfes de maison. Leur condition répugnait Amaryllis. Elle avait assisté à des traitements abominables de ces petits êtres et était hors d’elle. Nombreuses étaient les fois où la petite blonde avait vu des sorciers, proches de ses grands-parents, maltraiter des Elfes de maison, qui n’avaient pourtant commis aucune faute. Ils étaient juste considérés comme inférieures par ces odieux sorciers. Ainsi, Amaryllis se devait d’exprimer son mécontentement et de défendre leur droit.
C’est dans cette optique qu’elle s’arma de son courage et se tint fièrement à côté de son parchemin, espérant que des personnes se joignent à elle. Elle n’avait pas préparé de discours. Elle n’était pas des plus éloquentes, et sa timidité aurait prit le dessus sur son speech. Ainsi, elle n’ouvra pas la bouche et patienta. Elle ne savait combien de temps elle resterait là, mais elle ne partirait pas avant d’avoir attiré l’attention d’au moins une personne.
La jeune fille sentait son cœur s’emballer lorsqu’elle descendit les escaliers en direction du Grand Hall, une feuille de parchemin roulé à la main. Une fois en bas de ces escaliers, la jeune fille expulsa tout l’air retenu dans ses poumons lors de sa descente.
Elle déroula son parchemin et l’accrocha avec une punaise qu’elle avait réussi à métamorphoser après maints et maints essais.
Sur son parchemin, bien à la vue de tous, se trouvait une phrase défendant les droits des Elfes de maison. Leur condition répugnait Amaryllis. Elle avait assisté à des traitements abominables de ces petits êtres et était hors d’elle. Nombreuses étaient les fois où la petite blonde avait vu des sorciers, proches de ses grands-parents, maltraiter des Elfes de maison, qui n’avaient pourtant commis aucune faute. Ils étaient juste considérés comme inférieures par ces odieux sorciers. Ainsi, Amaryllis se devait d’exprimer son mécontentement et de défendre leur droit.
C’est dans cette optique qu’elle s’arma de son courage et se tint fièrement à côté de son parchemin, espérant que des personnes se joignent à elle. Elle n’avait pas préparé de discours. Elle n’était pas des plus éloquentes, et sa timidité aurait prit le dessus sur son speech. Ainsi, elle n’ouvra pas la bouche et patienta. Elle ne savait combien de temps elle resterait là, mais elle ne partirait pas avant d’avoir attiré l’attention d’au moins une personne.
Résonance des pensées
Dimanche matin. Journée de la grass’ mat’. Mais pas pour Guenièvre. Guenièvre est, et sera sûrement toujours, une lève tôt.
Elle sortit donc avant tout la majorité des filles de son dortoir, et se dirigea vers la grande salle.
Elle prit son petit déjeuner avec pour compagnie le bruit des couverts des autres élèves matinaux.
Son ventre remplit, elle sortit de la grande salle, se dirigeant vers la bibliothèque, en passant par le Grand Hall. Elle ne faisait pas vraiment attention aux élèves et aux professeurs qui passaient, mais un bout de parchemin retint son attention. Une jeune fille de Gryffondor se tenait a coté, et Guenièvre ne la reconnut pas tout de suite. Elle lu de loin le parchemin. Nièv marcha alors vers la Gryffondor, pour aller la soutenir dans sa lutte pour les elfes de maisons, quand elle reconnut la jeune fille : Lidwine.
Les grands parents de la jeune Poufsouffle avait déjà invité les grands parents de Lidwine pour des réceptions somptueuses. A l'époque, les deux fillettes n'avaient pas vraiment discuté, Guenièvre étant particulièrement timide, elle était restée collée a sa grand mère.
Guenièvre s'arrêta, toisa la lionne, et dit :
-Etonnant que cette cause te touche, Lidwine. Ta famille n'est justement pas le genre a avoir un elfe ?
Guenièvre s'étonna elle même de ses paroles : cela ne lui ressemblait pas, d'avoir ce genre de comportement. Mais trop tard, le pique venait d'être lancé, elle ne pouvait pas revenir en arrière.
Votre chère et dévouée Guenièvre ~ 2ème année RP
Elle sortit donc avant tout la majorité des filles de son dortoir, et se dirigea vers la grande salle.
Elle prit son petit déjeuner avec pour compagnie le bruit des couverts des autres élèves matinaux.
Son ventre remplit, elle sortit de la grande salle, se dirigeant vers la bibliothèque, en passant par le Grand Hall. Elle ne faisait pas vraiment attention aux élèves et aux professeurs qui passaient, mais un bout de parchemin retint son attention. Une jeune fille de Gryffondor se tenait a coté, et Guenièvre ne la reconnut pas tout de suite. Elle lu de loin le parchemin. Nièv marcha alors vers la Gryffondor, pour aller la soutenir dans sa lutte pour les elfes de maisons, quand elle reconnut la jeune fille : Lidwine.
Les grands parents de la jeune Poufsouffle avait déjà invité les grands parents de Lidwine pour des réceptions somptueuses. A l'époque, les deux fillettes n'avaient pas vraiment discuté, Guenièvre étant particulièrement timide, elle était restée collée a sa grand mère.
Guenièvre s'arrêta, toisa la lionne, et dit :
-Etonnant que cette cause te touche, Lidwine. Ta famille n'est justement pas le genre a avoir un elfe ?
Guenièvre s'étonna elle même de ses paroles : cela ne lui ressemblait pas, d'avoir ce genre de comportement. Mais trop tard, le pique venait d'être lancé, elle ne pouvait pas revenir en arrière.
Votre chère et dévouée Guenièvre ~ 2ème année RP
Résonance des pensées
Les yeux rivés droit devant, la fillette vit approcher une Poufsouffle qu’elle sembla reconnaître. Celle-ci possédait de courts cheveux châtains, ainsi qu’une peau pâle.
« Etonnant que cette cause te touche, Lidwine. Ta famille n'est justement pas le genre a avoir un elfe ? »
Amaryllis écarquilla les yeux. Elle ne s’attendait pas à une telle animosité. Cependant, cette altercation lui prouva qu’elle connaissait la Poufsouffle. Elle connaissait la famille d’Amaryllis. Ainsi, elle se concentra sur sa camarade et vit l’indice lui permettant de déchiffrer le mystère. Des yeux perturbant. Des yeux qu’elle n’avait jamais revus. Des yeux qu’elle n’oublierait jamais. Des yeux violets. Elle se souvenait de leur rencontre. Une rencontre habituelle pour Amaryllis. Une rencontre pleine de faux-semblants. Une rencontre pleine d'hypocrisie, comme il en existait plein dans son monde.
Amaryllis fronça les sourcils. En effet, une rencontre pleine de faux-semblants... Ses grands-parents avaient raison. Seule l’hypocrisie régnait dans ce bas monde. Elle qui paraissait si inoffensive, si gentille et agréable. Elle aussi était une bonne actrice, sa famille l'avait bien éduqué. Amaryllis n'aurait jamais cru que cette fille aux yeux si étonnants pouvait avoir ce vrai visage.
« Justement. Je sais ce qu’ils endurent. C’est injuste. Mais je pense que tu n’as pas ton mot à dire, n’est-ce-pas Guenièvre ? »
Amaryllis avait prononcé ces derniers mots en accentuant chaque syllabe. Si Amaryllis ne pouvait pas défendre cette cause, Guenièvre n’en avait aucun droit non plus.
« Etonnant que cette cause te touche, Lidwine. Ta famille n'est justement pas le genre a avoir un elfe ? »
Amaryllis écarquilla les yeux. Elle ne s’attendait pas à une telle animosité. Cependant, cette altercation lui prouva qu’elle connaissait la Poufsouffle. Elle connaissait la famille d’Amaryllis. Ainsi, elle se concentra sur sa camarade et vit l’indice lui permettant de déchiffrer le mystère. Des yeux perturbant. Des yeux qu’elle n’avait jamais revus. Des yeux qu’elle n’oublierait jamais. Des yeux violets. Elle se souvenait de leur rencontre. Une rencontre habituelle pour Amaryllis. Une rencontre pleine de faux-semblants. Une rencontre pleine d'hypocrisie, comme il en existait plein dans son monde.
Amaryllis fronça les sourcils. En effet, une rencontre pleine de faux-semblants... Ses grands-parents avaient raison. Seule l’hypocrisie régnait dans ce bas monde. Elle qui paraissait si inoffensive, si gentille et agréable. Elle aussi était une bonne actrice, sa famille l'avait bien éduqué. Amaryllis n'aurait jamais cru que cette fille aux yeux si étonnants pouvait avoir ce vrai visage.
« Justement. Je sais ce qu’ils endurent. C’est injuste. Mais je pense que tu n’as pas ton mot à dire, n’est-ce-pas Guenièvre ? »
Amaryllis avait prononcé ces derniers mots en accentuant chaque syllabe. Si Amaryllis ne pouvait pas défendre cette cause, Guenièvre n’en avait aucun droit non plus.
Résonance des pensées
[RPG ABANDONNÉ POUR CAUSE D'ABSENCE ET D'INCOHÉRENCE]