Iris avait les mains moites, elle avait le boule au ventre de peur et elle s'imaginait une montagne de chose . "Est ce que je ne vais pas décevoir sa famille ? Et si je tombe à Poufsouffe que va dire ma mère ? Toute la famille tombé à Serpentard depuis des siècles il ne faut pas que je gâche tout . Allez après tout, elle doit être très bien comme toute "
Tous d'un coup un silence retentit . Un des professeurs commença à expliquait qui fallait se calmer car ils allaient bientôt rentrer dans la Grande salle, pour leurs répartition .
En rentrent dans la salle Iris voyait que tous les élève regardaient le plafond .Elle chercher sa grande sœur quelle me voyer pas assise à la table des Serpentards qu'elle reconnaissait grâce au couleur verte et argent.En arrivant à la fin de la salle ou se trouver les marches tout le monde s’arrêta .A ce moment là, la boule au ventre de Iris réapparus mais en beaucoup plus forte. En plus en étant petite en taille cela était encore plus effrayant car elle ne voyait rien. Donc elle essaya de se penchent un peu, et là, elle vit un drôle de chapeau. Mais, en y repensant bien ça sœur lui en avait déjà parlé c’était le fameux CHOIXPEAU magique, celui qui choisissez ta maison et qui chanter .Un des professeurs s’avança et dit: ceci est le choixpeau c’est lui qu'il va vous dispatchez dans différente maison GRYFFONDOR, POUFSOUFFLE, SERDAIGLE où SERPENTARD .
Et soudain le choixpeau se réveilla et commença à chanter:



Après la chanson, les noms des maisons s’enfilèrent POUFSOUFFLE !!! SERDAIGLE !!! SERDAIGLE !!! GRYFFONDOR !!! POUFSOUFFLE !!! SERPENTARD !!! SERDAIGLE !!! SERPENTARD !!! ...
Mais arrivé à un moment il ne restait que 4 ou 5 personne Iris était de plus e, plus stressée car elle ne voyait qu'il ne rester presque plus personne avoir elle s’inventa toute une histoire
"Aïs aïs aïs mais, mais, et si il ne m'aime pas et donc cet pour sa que j'ai pas étais appelé. Au non maman va me détester. si je réussi pas à rentrer dans son école quelle mauvaise fille je suis la honte. Un école de sorci...." Tout ta coup elle entendit son nom IRIS PURPLES ,IRIS PURPLES réveiller vous voyons c’est à vous !

Le choipeaux se mit à parler "Mmm... oui ,je vois un certain courage ,une volonté de réussir ,Mmm... oui de la ruse je vois que tu ne connais pas très bien tes caractère mais bon tu es intelligente et tu peux réussir à les manier. Tu es aussi bien loyal aussi mais bon le reste ne te ressemble pas tellement donc surement pas à Poufsouffe ,je vois que tu es aussi créatrice mais bon je ne dirais pas Serdaigle .J’hésite entre Gryffondor ou Serpentard. Mais dit moi donc tu es une Purples donc tu vas directement à Serpentard . SERPENTARD!!!!!!!!!!!!!! "
Cela était les minutes de ma vie les plus longue mais sa en valet la peine après la répartition le banquer fut ouvert moi j’étais avec ma maison et une fierté.

L'excitation était à son paroxysme. Emilie ne s'attendait pas à se rendre au château dans une barque mais cette première vision de Poudlard au milieu du lac avait été alors magnifique. Magique ! Elle suivit rapidement le flot des premières années, résolue à ne pas se laisser distancer, puis découvrit une salle immense où attendaient des centaines d'élèves, répartis sur quatre tables aux couleurs de leurs maisons respective. Son cœur s'accéléra. Laquelle rejoindrait-elle ? Elle était nerveuse. Si nerveuse. Elle évita de regarder à nouveau le tables et contempla ses pieds.

Un professeur vint les accueillir, leur parler de Poudlard, des maisons... Emilie se retint de soupirer. Elle connaissait déjà tout ça. Ne pouvait-on pas se dépêcher ? Il lui tardait de connaitre sa maison ! Ses yeux continuaient de fixer ses bottes en cuir que son père lui avait offerte. Elle releva soudain la tête quand l'enseignante annonça la Répartition. L’excitation, l'appréhension et l'impatience revenaient en flèche pour retomber se fracasser brutalement au sol quand son regard surprit un chapeau miteux posé sur un tabouret. Elle était déçue. Il fallait juste porter un chapeau pour décider du choix le plus important de sa vie ? Vraiment ? Elle s'attendait à des tests, des épreuves... Comment ce chapeau fonctionnait ? On était jugé en fonction de la manière de le porter ?

Elle sursauta en entendant le chapeau prendre la parole et chanter une chanson sur l'histoire des Fondateurs et sa position. Elle l'écouta, stupéfaite. Il n'était finalement pas si ordinaire.

Un à un, les premières années s'avancèrent et s'assirent sur le tabouret. Le professeur posait le Choixpeau sur leur tête et selon un temps variable celui-ci criait le nom de la maison. Alors.. cela fonctionnait comme ça. Elle observait, anxieuse. Où allait-il l'envoyer ? Qu'allait-il voir en elle ? Emilie était de plus en plus mal à l'aise.

Du fait de son nom de famille mal placée dans l'ordre alphabétique, Emilie dut attendre longtemps, de plus en plus stressé au fil que la file se réduisait. Quand ce fut son tour, la fillette s'avança en tremblant légèrement puis sentit le Choixpeau sur sa tête quand elle fut assise sur le tabouret. Une voix se mit alors à résonner dans sa tête.

"Oh ? Tu es la fille de Hélèna Macnighy ? Je me souviens de ta mère. Une jeune sorcière ambitieuse qui rêvait à de grandes choses et de laisser son empreinte dans le monde de la magie. Il n'a pas été difficile de savoir où l'envoyer. Mais toi... Serpentard ne semble pas être la meilleure opportunité. Tu n'aimes pas mère, c'est ça ?"

"C'est pas que je ne l'aime pas. Juste.. on ne se comprend pas. "

"Bien sûr. tu n'es pas du tout ambitieuse. Tu préfères une existence simple. Des choses simples. Tu es travailleuse, obstinée, sincère, loyale, perfectionniste... Tes qualités auraient autant plu à Helga que Rowena. Un choix difficile. "

Emilie se rappela des paroles prononcées par sa mère peu avant la rentrée. Elle espérait que sa fille n'irait surtout pas à Poufsouffle, qu'elle aurait du mal à affronter ses collègues du ministère si sa fille unique était envoyée dans la maison des idiots. La fillette observa d'un regard triste la table des élèves placée sous le signe du blaireau. Ils semblaient amicaux et gentils. Mais sa mère...

"Je pourrais aller à Serdaigle ?"

"Tu choisis Serdaigle pour faire plaisir à ta mère ? C'est davantage un choix de Poufsouffle. Malgré vos différents, tu demeures fidèle à ta mère. Tu souhaites la soutenir dans ses positions. Es-tu certaine de ta décision ?"

Emilie fixa la table des Poufsouffle puis celle des Serdaigle. Son regard se durcit. Elle hocha de la tête.

"Oui, je veux aller à Serdaigle."

"Puis que tu es décidée, dans ce ce cas, tu iras à... SERDAIGLE !"

Satisfaite, Emilie remercia le Choixpeau puis le posa sur le tabouret et s'empressa à rejoindre la table des Serdaigle qui applaudissaient sa venue.

Lorsque le Choixpeau eut fini, Isabel récupéra le parchemin et le déroula.

« Nous allons pouvoir commencer la répartition ! »

Au milieu de ses camarades de première année, Charles observait tranquillement tout ce qui l’entourait. Cette grande salle lumineuse, accueillante et conviviale ; tous ces élèves de part et d’autre, dont certains semblaient bien plus âgés ; les professeurs assis à leur grande table de présidence ; et, bien entendu, les jeunes élèves sous le regard de tous, qui allaient être répartis dans leur maison. De tout cela, Charles se délectait : ni excitation survoltée, ni flegme ou autre forme de mollesse, non, il était simplement présent et attentif.

Parmi les premiers à passer, il y avait Prunille Addams une jolie fillette avec de longs cheveux roux, ondulés et soyeux. Puis vint le tour de Charles.

- Boardman, Charles !, lança le Choixpeau.

Charles dû se frayer un chemin, car il se trouvait au beau milieu du groupe de première année. Il prit place et le Choixpeau lui fut mis sur la tête.

- Ah, là encore, facile ! Poufsouffle !!!

Acclamé par sa maisonnée, Charles avait tiqué sur le mot « facile » prononcé par le Choixpeau. Aurait-ce été mieux d’avoir fait hésiter le Choixpeau comme d’autres élèves avant lui, voire de l’avoir collé ?! Ceci dit, il n’était pas le premier dont la répartition était, selon le Choixpeau, « facile ». Charles prit soin de s’asseoir à côté de Prunille qui, elle aussi, avait été affectée chez les Poufsouffle avec « facilité ».

- Salut Prunille, fit le garçon, souriant. Apparemment, Poufsouffle est fait pour nous.

Charles eu une petite pensée pour ses parents. Sa mère Clara avait fait ses études à Poudlard chez les Serdaigle, alors que son père, lui, était un Gryffondor pur jus, dont les parents et grands-parents avaient tous grandi, sans exception, selon les préceptes et le code de Godric.

Le paysage défilait à vive allure et Mona laissait son regard dériver par la fenêtre du Poudlard Express. Elle était seule dans le compartiment, entourée de ses deux valises en cuir noir, droite comme un "i" sur la banquette. Si quelqu'un entrait à n'importe quel moment du voyage, il la trouverait ainsi : figée dans cette même posture, mains croisées sur les cuisses, regard vers la vitre. Mais s'il s'intéressait davantage à son visage, il ne tarderait pas à voir que cette impassibilité de façade trahissait une grande nervosité, voire une profonde inquiétude. Son regard en cet instant pouvait en dire beaucoup.

Bien sûr, l'entrée à Poudlard n'avait rien d'anecdotique pour tout enfant qui avait la chance d'y être accepté. Elle jetait de temps à autre un regard du côté de la porte vitrée qui donnait accès au couloir du train et ses yeux captaient les déambulations d'autres élèves, qui couraient d'un compartiment à l'autre, se chamaillaient, ou erraient simplement pour faire passer le temps. Une partie d'elle mourrait d'envie de faire la connaissance d'un autre enfant, pour discuter, rendre le trajet moins long, partager des inquiétudes et des désirs vis-à-vis de la cérémonie du Choixpeau, par exemple. Mais elle ne pouvait s'y résoudre. Pas tant par timidité que parce qu'elle se sentait accablée d'un poids d'une lourdeur absolue : elle quittait sa maman pour plusieurs mois.

- Il faut que tu sois forte. Et je sais que tu as toutes les ressources pour réussir. Ne te laisse pas marcher dessus, montre à tous les autres ce que tu vaux, et fait de moi la plus fière des mères, dit-elle au moment de la laisser prendre le train.
Mona ne répondit rien, une valise dans chaque main, mais ses yeux parlaient pour elle.
- Et ne pleure jamais en public. Sur cette dernière parole, sa mère la prit longuement dans ses bras, puis la poussa tendrement à monter dans le wagon.

Enfin arrivée à Poudlard, Mona s'émerveilla de la majesté du lieu. Ses yeux s'agrandirent comme pour mieux appréhender le gigantisme du domaine. Poussée par le flot des premières années, elle se mit en marche vers le hall d'accueil, écouta poliment les présentations et les consignes du professeur qui s'occupait de son groupe d'élèves, avec ce rictus qui ne quittait que rarement son visage. Elle observa les coupes des quatre maisons et attarda son regard sur la verte et argent.
Enfin, on fit entrer son groupe dans la Grande salle, et elle fut ébahie du nombre d'enfants et d'adolescents attablés de part et d'autre de la pièce. Il fallait qu'elle se montre forte, qu'elle transforme son appréhension et sa timidité en quelque chose d'autre, qu'elle retrouve sa carapace. Elle se redressa, prit une grande inspiration, et alla s'asseoir, droite et fière, en attendant son tour pour le Choixpeau magique.

- Mona Morrison, fit une voix qui résonna fort.

Elle alla se placer sur le tabouret, coeur battant, et le professeur déposa le Choixpeau sur sa tête rousse.

- Ah ! Intéressant, commença le chapeau. Morrison, Morrison... Voyons voir... Voilà une jeune fille qui a de l'esprit... Oui, et je vois beaucoup de colère... J'ai envoyé ton père à Serpentard, et ta mère à Serdaigle... J'ai l'impression que c'était hier, ah ! comme le temps file... Tu penses que tu ressembles à ta mère ? Oh non, non, non... Laisse-moi te dire que tu es bien plus semblable à ton père que tu ne le crois...
Mona se contenta de serrer les dents. Ce qu'elle entendait ne lui plaisait pas beaucoup, mais au fond d'elle, elle sentait que le chapeau ne se trompait pas.
- Tu aimes avoir du pouvoir sur les autres, n'est-ce pas ? Tu voudrais tous les impressionner... Quitte à ruser, quitte à mentir... Accepte ton caractère, jeune fille...
- SERPENTARD ! hurla distinctivement le Choixpeau.

Les serpents attablés se mirent à applaudir, et Mona alla naturellement rejoindre la table, encore secouée par tant d'émotions.

Charlene se trouver dans un des compartiment d’un train. Mais ce étais pas n’importe quel train. En effet, elle était installé dans le Poudlard Express, le train qui l’emmenait droit vers un de ses plus grand rêve, l’école de sorcellerie Poudlard. Elle était impatiente, excité et ne savait où donner de la tête. Il y a quelque minute la sorcière a bonbon été passé et elle s’était acheter ses bonbons préférés : les patacitrouilles. Ses grands frères lui avait tellement parlés de cette école, de ses professeurs et de chaque recoin, qu’elle avait presque l’impression de rentrer chez elle.
Elle avait du dire au revoir a ces deux frères qui l’avait accompagné jusqu’a la gare et ca avait était très dur. Mais le plus dure avait été de laisser ses parents, sa petite soeur et sa meilleur ami. C’était une moldue et elle n’avait donc rien pu lui dire et elle détestait le mensonge. Comment si elle finissait par l’apprendre elle lui pardonnait ? Elle s’appelé Ambre et elle lui avait promis de revenir a Noel. Elle avait hate d’être de retour.
Perdu dans ses pensées la jeune sorcière n’avait pas remarqué qu’elle était arrivée. Quand un préfet passa la tête par la porte et lui indiqua de descendre elle sursauta violemment.

« Nous sommes arrivés » lui dit-il gentiment,
« J’a…j’arrive ! » articula-t-elle difficilement.

Elle suivit alors la masse de première année tous mort de peur et impressioné. Elle ne stressait pas. Ce n’était pas du tout son genre. Elle observait tous et essayer d’emmagasiner le maximum d’information. Quand elle entendit son nom elle se rendit comte qu’elle était dans la grande salle et que c’était a son tour d’être répartie. Elle se dirigea donc vers le tabouret et le professeur installa un chapeau un peu miteux sur sa tête.

« Hum je vois … de l’ambition … une envie d’aider … beaucoup de bravoure … mais très têtu … que préfère-tu …
- …
- Indécise … mais tout de meme très forte … très maladroit mais très amicale … je crois que j’ai trouvé ta qualité dominate et je t’envoie à … GRYFFONDOR »

Quand elle entendit ses derniers mots et qu’elle vie une marée de rouge et or l’accueillir elle sauta de joie et se précipita pour rejoindre ses nouveaux camarades.

Alexander entra dans l'immense salle au plafond étoilé avec le sentiment de participer à quelque chose qui le dépassait. Tous les regards tournés vers les enfants coiffés de chapeaux trop grands pour eux le mettaient un peu mal à l'aise, lui qui était l'objet de l'attention de tous les élèves malveillants de son école moldue. A mi-chemin entre l'excitation de découvrir quelque chose de tout nouveau et la peur de mal faire, de mal se comporter dans un monde dont il ne connait pas les codes, Alexander se mit au milieu de la file située dans la grande allée au milieu de la Grande salle et se concentra sur le discours de la sous-directrice Almeida afin d'essayer de ne pas être pris au dépourvu si un supérieur quelconque lui posait une question.

Tandis que la sous-directrice pointait un vieux chapeau défraichi qui, de prime abord, n'avait pas attiré l'attention d'Alexander, ce dernier eut un mouvement de recul dû à sa surprise de voir le couvre-chef s'animer tout à coup et chantonner l'hymne de la Répartition.

"Mais Papa il était quoi lui? Il m'a pas dit avant que je parte..." pensa le jeune garçon encore décontenancé à l'idée que son père lui avait caché l'existence de ses pouvoirs, des pouvoirs d'Alexander et du monde magique en général pendant tout ce temps.

"Serdaigle ça a l'air d'être les élèves forts à l'école, ça pourrait être cool... Mais Gryffondor aussi ça a l'air sympa, la bravoure, le fait de vouloir être un héros..."

En plein milieu de ses pensées, Madame Almeida appela Alexander qui se demandait comment le Choixpeau faisait pour trier les étudiants, et aussi comment faisait-il pour lire les pensées.

- Edo, Alexander !

Le jeune garçon, un peu caché sous sa tignasse châtain foncée, s'avança sur l'estrade, manifestement timide et peu à l'aise devant une réception aussi importante.

- Mhhh... Je vois... Tu veux faire tes preuves aussi bien pour toi que pour les autres... Tu veux montrer ce que tu vaux parce qu'au fond de toi tu sais que tu es capable de grandes choses, tu serais bien un Gryffondor à mon sens...

Interloqué et sans comprendre tout ce que cela impliquait, Alexander scrutait les tables silencieuses devant le Choixpeau qui avait l'air d'hésiter.

- Mais tu aimes apprendre, tu es curieux et tu aimes savoir! Quel choix difficile!

Après de longues minutes, à la limite du Choixpeauflou, Alex sembla gêné à l'idée de prendre autant de temps et à retarder la cérémonie juste pour lui et se mit à esquisser un petit sourire gêné. Des souvenirs encore frais de ses journées au collège de Kilbarchan lui firent peur d'attirer trop l'attention, et il se mit à s'impatienter de la situation.

- Mais bon sang, c'était évident. Tu veux faire tes preuves et devenir un grand sorcier parce que tu ne veux pas que les autres subissent ce que tu as subi...



Soulagé bien qu'interloqué d'avoir été placé dans cette Maison, le jeune Alexander s'avança et s'installa à sa nouvelle table qui s'accueillirent avec des acclamations. Un peu gêné de la tournure des événements mais tout de même heureux d'officialiser son appartenance à ce nouvel univers, Alexander faisait désormais partie des élèves de Poudlard.

1er septembre 2044

Wow ! Comment c’était possible ? Quelques secondes avant il se tenait dans son salon en compagnie de sa mère et de sa grand-mère et d’un coup BIM il se trouvait là au milieu d’une multitude d’enfants. Se pouvait-il qu’on l’eu drogué et transporté à son insu dans ce nouvel institut pour enfants « perturbés » ?

Sans qu’il n’eut le temps ne serait-ce que de respiré, une femme déguisé en sorcière d’Halloween les pria de la suivre illico presto.

Noah n’écouta pas vraiment le discours de la femme, bien trop gêné par les présences tout autour de lui, jacassant tous plus fort les uns que les autres. Il entendit vaguement : maison, points et surtout qu’il allait devoir passer sept années ici !

Lorsqu’il fallut se ranger deux par deux, Noah n’hésita pas à se glisser tout au fond du rang, où il resta seul. Ils entrèrent soudainement dans une immense salle, où tous les enfants étaient vêtus de la même manière *sympa l’uniforme ici, ca change des blouses blanches*. La femme expliqua, le sourire aux lèvres qu’ils allaient devoir s’assoir sur un tabouret et attendre le verdict d’un vieux chapeau mécanique chantant. Le jeune garçon avait déjà vu ce type de produit robotique, il fut beaucoup moins impressionné que ces camarades. Il se contenta de remarquer que l’établissement ne faisait pas les choses à moitié, cette nouvelle thérapie, à défaut d’être utilise serait au moins originale et jusqu’auboutisme.

Lorsque son tour fut venu, il se dirigea machinalement vers le tabouret, n’écouta pas ou peu la chanson du chapeau, et encore moins ce que celui-ci semblait vouloir lui dire. Il n’entendit que le verdict « SERDAIGLE ». Il se dirigea alors sans réfléchir vers la table d’où venaient les applaudissements les plus bruyants, profitant au passage pour jeter un oeil à la table de l'équipe de soins. Il venait de rejoindre officiellement son unité de soins. Les « enfants perturbés » étaient donc dans cet établissement trié par pathologie.

-"Bienvenue Noah"

*Bienvenue à Zinzin Land*

Dire que je pourrais être à la maison entrain de lire un bon livre tranquille dans ma chambre >>,c'est à ça et rien qu'à ça que pensait April depuis ce matin, alors qu'elle avait du dire adieu à ses parents et monté dans le train pour finir par atterrir ici. Elle se sentait mal à l'aise, au milieu de la foule d'élèves qui se precipitaient pour rentrer dans le château. Elle n'avait encore rencontré personne ni prononcé un mot depuis son départ, se contentant de regarder les autres élèves sautillés, bavardés,excités. Elle aussi était excitée mais surtout effrayée, ses inquiétudes n'avait fait que se renforcé depuis son départ, les questions se bousculant
toujours dans sa tête.La voix de la sous-directrice la tira de ses pensées ,elle s'efforçait d'écouter attentivent ce qu'elle disait même si ses pensées n'arrêtaient pas de vagabonder et ça ne s'arrangât pas, lorsque la sous-directrice fit mention de la répartition. Le groupe pénétra ensuite dans la grande salle où les autres élèves plus âgés les attendaient, elle remarqua Anna, sa soeur, à la table des serdaigles, qui lui faisait un sourire réconfortant qu'elle lui rendit. Tout ceci était intimidant tout les professeurs et les élèves avait les yeux fixés sur les nouveaux venus, et au milieu de la pièce, un vieux chapeau, que April identifiat comme devant être le fameux choixpeaux. Ce qui fut confirmer par la suite. Le choixpeaux entama alors sa drôle de chanson :

Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands

<<ce chapeau est vraiment fascinant et.... Un peu bizarre >>
pensa April en souriant, la chanson du choixpeau avait réussi faire disparaitre toute se inquiétudes. Peu importe sa maison, où elle ira, c'est sur qu'elle s'y sentira bien même si c'est à serpentard, elle était déterminer à être heureuse et à rendre c'est parent fier.Peu importe les obstacles, elle y arriverais.La répartition avait déjà commencé, les élèves était appelés et ensuite repartis,April ne pouvait s'empêcher de sourire face à manière dont le choixpeau répartissait les élèves, scindant leur personnalité, et les surprenait même parfois, Elle était impatiente que ce soit son tour, pour découvrir sa maison. <<April Taylor ! >> ,April sursauta en entendant son prénom, elle se diriga rapidement vers le tabouret et prit place.Une fois sur sa tête,Le choixpeau se mit à parler: <<Ouah ! Toi tu as un coeur pur, un vrai, tu es fidèle et loyale, l'amie idéale.>>April se sentait rougir pour elle qui n'avait jamais eu d'amis, c'était un très beau compliment. <<Merci>>dit elle d'une petite voix. Le choixpeau reprit :<<une gentillesse à couper le souffle, pour sûr tu as l'étoffe d'une Poufsouffle, Mais ta créativité me fait douté tout comme ton insatiable curiosité, C'est sur tu as les qualités d'une parfaite Serdaigle,Alors Poufsouffle comme ton père ou Serdaigle comme ta soeur ? Bon laissons parlé la créativité et la soif de connaître ,tu seras donc à Serdaigle ! Le choixpeau avait crié ce dernier mot,et des applaudissements avaient jaillis de la table des bleus. Aussitôt le choixpeau enlevé, April sourit et rejoignit la table où sa nouvelle famille attendait, avec sa soeur qui lui faisait un sourire radieux. Son père serait un peu déçu mais tanpis elle était heureuse. La répartition et le banquet fini, April, fatiguée avait hâte d'aller au dortoir pour se reposer.