Oiseau de mauvaise augure
Le 22 Octobre 2044, matin
@Lili Cooper
Comme souvent, il était venu dans la Grande Salle pour prendre le petit déjeuner avec sa meilleure amie. En plus, ce matin il était plutôt en forme et de bonne humeur. La nuit dernière il avait bien dormit et il s'était sentit reposé ce qui indiquait qu'il n'avait sans doute pas fait un de ses trop nombreuses balades nocturnes. Du coup, il voulait profiter du moment, et en l'occurrence passer plus de temps avec sa meilleure amie. Après la scène à laquelle elle avait assisté l'autre jour, il savait qu'elle s'inquiétait beaucoup pour lui, notamment à cause de son refus d'aller à l'infirmerie. Alors il se disait que si elle voyait qu'il commençait à aller mieux et recommençait à dormir tranquillement, peut être qu'elle s'inquiéterait moins. Du moins il l'espérait. Il sourit à Lili
-Tu as quelque chose de prévue aujourd'hui ? Sinon je me disais qu'on pourrait aller se poser dans un coin tranquille du parc, il devrait faire plutôt beau...Qu'est-ce-que tu en penses ?
La deuxième année, les nouvelles rencontres et d'autres choses faisait qu'il avait passé un peu moins de temps qu'il n'aurait voulu avec sa meilleure amie ces derniers temps alors il voulait un peu rattraper le temps et espérait qu'elle n'avait pas déjà prévu quelque chose avec quelqu'un d'autre.
Il continua de déjeuner, ne prenant pas garde à la distribution de courrier. Il avait reçu une lettre de ses parents et de sa soeur la veille, il n'avait pas de raison particulière d'en recevoir une aujourd'hui. Il attendait bien sûr toujours des nouvelles de Lily, mais après presque deux mois, il désespérait de recevoir une lettre de sa père alors il préférait ne pas nourrir de faux espoirs. Mais une ombre noire passant au-dessus de sa tête le détourna de la table.
Un grand hibou entièrement noir, aux yeux rouges sang tournait au-dessus de lui, lentement, avant de venir se poser devant lui. Le jeune garçon se figea face à l'animal. Un oiseau qu'il ne reconnaissait que trop bien. Une seule personne pouvait approcher ce hibou qui attaquait systématiquement tout autre personne essayant de s'approcher. La seule personne qui ne lui envoyait jamais de lettre, dont il ne voulait pas recevoir de lettre ou entendre parler de toute l'année. Il se demandait bien pourquoi il recevait cette lettre. Toutes les explications les plus farfelus et sombres lui traversaient la tête. Il était persuadé que recevoir une lettre de sa part était tout sauf bon signe. Il ne fut rappelé à la réalité que par un hululement agacé du hibou. Du même caractère que son propriétaire, il n'aimait pas attendre et voulait absolument rentrer chez lui. Alexei tendit une main tremblante et détacha la lettre accroché à la patte du hibou. Celui-ci déploya aussitôt ses ailes et prit son envol pour repartir comme il était venu.
La lettre que le jeune garçon tenait entre ses doigts tremblant était aussi noire que le plumage du hibou qui l'avait apporté, scellée d'un simple cachet de cire rouge représentant le blason de la famille Menkins. Alexei brisa lentement le cachet et sortit le parchemin se trouvant dans l'enveloppe. Une simple feuille de parchemin sur laquelle il devinait déjà quelques lignes tracées d'une écriture élégante. Il déplia la feuille en tremblant. Il savait qu'il devait lire ce qui se trouvait sur cette feuille, d'une façon ou d'une autre il ne pourrait de toute façon pas échapper à ce qui était écrit dessus, mais tout en lui lui hurlait de la déchirer, de la jeter, de la brûler. Une fois la feuille dépliée, il lu les quelques phrases qui y était écrites.
Il ne sentit même pas son visage perdre le peu de couleur qu'il arborait naturellement pour devenir aussi livide qu'un fantôme de l'école. La lettre glissa entre ses doigts tremblants devenus incapable de la retenir, pour venir s'échouer sur la table à côté de son assiette. Autour de lui, les habituelles conversations de la Grande Salle devinrent un bourdonnement qui devenait de plus en plus sourd. Il ne comprenait plus les paroles, il n'entendait que ce bruit incessant, de plus en plus fort. La pièce s'effaçait petit à petit autour de lui, devenant totalement flou. Il ne voyait plus rien et n'entendait plus rien de ce qui se passait autour de lui. Son cœur s'emballa et les battements se faisaient ressentir dans sa tête, l'étourdissant encore plus. Il n'arrivait plus à respirer, son souffle se faisait de plus en plus court, de plus en plus rapide, ses yeux assombris regardant la table devant lui sans plus la voir. Il faisait une crise de panique. Il le savait. Mais il ne pouvait rien faire ou...Sortir. Une chose le frappa dans la brume de son esprit. Il devait sortir, partir d'ici, s'éloigner des gens. Il se leva, tremblant et maintient son équilibre en se tenant à la table. Heureusement, il n'était pas loin de la porte. Il ne pouvait penser qu'à ça. La porte, la sortie...Mais il n'arrivait plus à avancer, figé.
Il continua de déjeuner, ne prenant pas garde à la distribution de courrier. Il avait reçu une lettre de ses parents et de sa soeur la veille, il n'avait pas de raison particulière d'en recevoir une aujourd'hui. Il attendait bien sûr toujours des nouvelles de Lily, mais après presque deux mois, il désespérait de recevoir une lettre de sa père alors il préférait ne pas nourrir de faux espoirs. Mais une ombre noire passant au-dessus de sa tête le détourna de la table.
Un grand hibou entièrement noir, aux yeux rouges sang tournait au-dessus de lui, lentement, avant de venir se poser devant lui. Le jeune garçon se figea face à l'animal. Un oiseau qu'il ne reconnaissait que trop bien. Une seule personne pouvait approcher ce hibou qui attaquait systématiquement tout autre personne essayant de s'approcher. La seule personne qui ne lui envoyait jamais de lettre, dont il ne voulait pas recevoir de lettre ou entendre parler de toute l'année. Il se demandait bien pourquoi il recevait cette lettre. Toutes les explications les plus farfelus et sombres lui traversaient la tête. Il était persuadé que recevoir une lettre de sa part était tout sauf bon signe. Il ne fut rappelé à la réalité que par un hululement agacé du hibou. Du même caractère que son propriétaire, il n'aimait pas attendre et voulait absolument rentrer chez lui. Alexei tendit une main tremblante et détacha la lettre accroché à la patte du hibou. Celui-ci déploya aussitôt ses ailes et prit son envol pour repartir comme il était venu.
La lettre que le jeune garçon tenait entre ses doigts tremblant était aussi noire que le plumage du hibou qui l'avait apporté, scellée d'un simple cachet de cire rouge représentant le blason de la famille Menkins. Alexei brisa lentement le cachet et sortit le parchemin se trouvant dans l'enveloppe. Une simple feuille de parchemin sur laquelle il devinait déjà quelques lignes tracées d'une écriture élégante. Il déplia la feuille en tremblant. Il savait qu'il devait lire ce qui se trouvait sur cette feuille, d'une façon ou d'une autre il ne pourrait de toute façon pas échapper à ce qui était écrit dessus, mais tout en lui lui hurlait de la déchirer, de la jeter, de la brûler. Une fois la feuille dépliée, il lu les quelques phrases qui y était écrites.
Il ne sentit même pas son visage perdre le peu de couleur qu'il arborait naturellement pour devenir aussi livide qu'un fantôme de l'école. La lettre glissa entre ses doigts tremblants devenus incapable de la retenir, pour venir s'échouer sur la table à côté de son assiette. Autour de lui, les habituelles conversations de la Grande Salle devinrent un bourdonnement qui devenait de plus en plus sourd. Il ne comprenait plus les paroles, il n'entendait que ce bruit incessant, de plus en plus fort. La pièce s'effaçait petit à petit autour de lui, devenant totalement flou. Il ne voyait plus rien et n'entendait plus rien de ce qui se passait autour de lui. Son cœur s'emballa et les battements se faisaient ressentir dans sa tête, l'étourdissant encore plus. Il n'arrivait plus à respirer, son souffle se faisait de plus en plus court, de plus en plus rapide, ses yeux assombris regardant la table devant lui sans plus la voir. Il faisait une crise de panique. Il le savait. Mais il ne pouvait rien faire ou...Sortir. Une chose le frappa dans la brume de son esprit. Il devait sortir, partir d'ici, s'éloigner des gens. Il se leva, tremblant et maintient son équilibre en se tenant à la table. Heureusement, il n'était pas loin de la porte. Il ne pouvait penser qu'à ça. La porte, la sortie...Mais il n'arrivait plus à avancer, figé.
Recruteur du M.E.R.L.I.N.-Loki
Quatrième année RP
Oiseau de mauvaise augure
Assise à la table des Serpentard, aux côtés de ton meilleur ami, tu prends ton petit-déjeuner dans le brouhaha habituel de la grande salle. Les discussions s'enchainent, des rires et des regards sont échangés, rien d'inhabituel. De ton côté, tu es peut-être moins souriante que d'habitude mais cela se voit moins qu'auparavant, il faut dire que quelqu'un t'a aidé à retrouver le sourire et tu ne peux que le remercier car tu n'aimes pas quand tu peux facilement transmettre des mauvaises ondes. Tu n'as pas oublié, c'est encore frais mais au moins, tu as su sécher tes larmes, grâce à un peu d'aide.
La question de ton meilleur ami est plus ou moins celle que vous vous posez tous les week-ends : Si vous avez la possibilité de faire quelque chose ensemble, vous organisez rapidement un petit quelque chose. Seulement, aujourd'hui, tu souhaitais effectivement faire quelque chose en particulier mais cela peut attendre, surtout que tu n'as pas envie d'en parler à Alexei : Celui-ci te dissuaderait facilement de ne pas faire des recherches sur sa situation actuelle à la bibliothèque. Tant pis, ça attendra.
- Non, je n'avais rien de bien spécial en tête à faire aujourd'hui, ton idée me convient ! dis-tu en souriant à ton tour.
Le matin signifie également l'arrivée du courrier. Tu ne sais pas si tu vas en recevoir vu que tu en as reçu récemment, puis, tu as envoyé une lettre hier avec une demande bien spéciale pour ta maman, tu ne t'attends pas à recevoir une réponse de sitôt puisque cela lui prendra du temps. Cependant, tu attends toujours des nouvelles de ta soeur, qui ne s'est toujours pas manifestée depuis la rentrée.
Tu vois arriver un hibou vers votre table et il faut dire qu'un froid passe. Sans trop comprendre pourquoi, tu sens que cet oiseau est tout sauf rassurant mais tu ne sais pas encore qui est le destinataire de la lettre qu'il porte. Ton meilleur ami, lui, semble tout de suite reconnaitre le hibou et il s'empare de la lettre. Tu te demandes qui pourrait lui écrire, lui, sait certainement déjà de qui il s'agit, ayant à coup sûr reconnu le hibou.
Tu t'approches un peu, voyant que ton meilleur ami allait de moins en moins bien. Tu ne sais pas vraiment quoi dire, tu sens une sorte de tension que tu ne comprends pas.
- Alex ?...
Son teint devient blanc, tu ne t'occupes plus de ce qui se passe autour de vous. Tu essaies de lui parler, de maintenir le contact mais rien n'y fait. Il se lève, tu le vois tremblant. Sans hésitation, tu te lèves à ton tour et tu tentes de le soutenir avec tes mains. Tu ne sais pas ce qui se passe et en réalité, tu t'en fiches, tu souhaites simplement qu'il aille mieux.
- Hé, doucement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée que tu te lèves maintenant.
La question de ton meilleur ami est plus ou moins celle que vous vous posez tous les week-ends : Si vous avez la possibilité de faire quelque chose ensemble, vous organisez rapidement un petit quelque chose. Seulement, aujourd'hui, tu souhaitais effectivement faire quelque chose en particulier mais cela peut attendre, surtout que tu n'as pas envie d'en parler à Alexei : Celui-ci te dissuaderait facilement de ne pas faire des recherches sur sa situation actuelle à la bibliothèque. Tant pis, ça attendra.
- Non, je n'avais rien de bien spécial en tête à faire aujourd'hui, ton idée me convient ! dis-tu en souriant à ton tour.
Le matin signifie également l'arrivée du courrier. Tu ne sais pas si tu vas en recevoir vu que tu en as reçu récemment, puis, tu as envoyé une lettre hier avec une demande bien spéciale pour ta maman, tu ne t'attends pas à recevoir une réponse de sitôt puisque cela lui prendra du temps. Cependant, tu attends toujours des nouvelles de ta soeur, qui ne s'est toujours pas manifestée depuis la rentrée.
Tu vois arriver un hibou vers votre table et il faut dire qu'un froid passe. Sans trop comprendre pourquoi, tu sens que cet oiseau est tout sauf rassurant mais tu ne sais pas encore qui est le destinataire de la lettre qu'il porte. Ton meilleur ami, lui, semble tout de suite reconnaitre le hibou et il s'empare de la lettre. Tu te demandes qui pourrait lui écrire, lui, sait certainement déjà de qui il s'agit, ayant à coup sûr reconnu le hibou.
Tu t'approches un peu, voyant que ton meilleur ami allait de moins en moins bien. Tu ne sais pas vraiment quoi dire, tu sens une sorte de tension que tu ne comprends pas.
- Alex ?...
Son teint devient blanc, tu ne t'occupes plus de ce qui se passe autour de vous. Tu essaies de lui parler, de maintenir le contact mais rien n'y fait. Il se lève, tu le vois tremblant. Sans hésitation, tu te lèves à ton tour et tu tentes de le soutenir avec tes mains. Tu ne sais pas ce qui se passe et en réalité, tu t'en fiches, tu souhaites simplement qu'il aille mieux.
- Hé, doucement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée que tu te lèves maintenant.
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Oiseau de mauvaise augure
Apparemment, Lili n'avait rien de particulier de prévu, au moins pour les moments à venir donc ils allaient pouvoir passer du temps ensemble. C'était quelque chose de très important aux yeux du jeune garçon. Il tenait beaucoup à sa meilleure amie et il avait besoin de pouvoir passer un maximum de temps avec elle. Sans compter que là, le but était aussi de la rassurer sur son état, de lui montrer qu'il allait bien et qu'elle pouvait arrêter de s'en faire pour lui. Parce que même si elle ne lui en parlait pas, il était sûr qu'elle continuait de s'inquiéter et de chercher une solution. Et il ne voulait pas, il n'avait pas envie qu'elle perde son temps avec quelque chose comme cela...Il avait peu d'espoir de la rassurer vraiment mais il se devait au moins d'essayer, pour elle. Parce qu'elle est sa meilleure amie et que son état d'esprit comptait beaucoup pour le jeune garçon, surtout s'il est la cause de son trouble. Mais déjà, savoir qu'ils allaient passer du temps ensemble semble éclairer la journée du blondinet et le motiver un peu plus.
Bien sûr que Lili ne comprends pas. Il le savait. Jamais elle n'avait vu ce hibou avant elle ne pouvait pas comprendre. S'en douter peut être il s'en savait trop rien. Mais rien ne pourrait lui paraître plus menaçant que le simple morceau de papier accroché à la patte de ce hibou. Seul quelque chose de grave, aux yeux de l'adulte du moins, pourrait le pousser à lui écrire. Des circonstances exceptionnelles. Des mots bien simples pour une réalité bien plus complexes. Une réalité que son cerveau veut fuir, raison pour laquelle il panique et ne réponds plus aux signaux habituels. La fuite, se cacher, c'est tout ce qui fonctionne maintenant. Il n'entend pas sa meilleure amie. Quelque part, au fond de lui, il sait qu'elle est là, qu'elle doit lui parler, essayer de comprendre mais il ne l'entend pas. Il le sait sans le savoir, sans réussir à le comprendre. Son souffle se fait de plus en plus rapide et court, presque haletant. Sa vision commence à se noircir. Sortir. Il doit sortir. Respirer. Loin...du monde. Du bruit. De toutes ses agressions. Il veut sortir. Mais il sent un contact contre lui. Un contact calme. Pour...l'aider ? Lili....ce ne peut être qu'elle...Sa vision s'éclaircit un peu, assez pour qu'il distingue les traits marqués par l'inquiétude de sa camarade près de lui. Elle s'inquiète. Ne comprends pas. Normal...Mais il ne peut pas lui expliquer. Pas maintenant. Mais il veut lui dire...Il doit sortir mais il ne peut pas...Pas tout seul...Il ne veut pas être seul. Il ouvre la bouche pour parler mais rien ne vient. Muet. Il n'arrive pas à dire ce qu'il veut mais il doit. Le son autour de lui devient de plus en plus étouffé, tandis qu'il n'entend quasiment plus que les battements affolés de son coeur qui résonnent dans sa tête, l'étourdissant presque. Il se concentre, force pour parler. Finalement, il plonge ses yeux dans le gris de ceux de Lili, suppliant.
Bien sûr que Lili ne comprends pas. Il le savait. Jamais elle n'avait vu ce hibou avant elle ne pouvait pas comprendre. S'en douter peut être il s'en savait trop rien. Mais rien ne pourrait lui paraître plus menaçant que le simple morceau de papier accroché à la patte de ce hibou. Seul quelque chose de grave, aux yeux de l'adulte du moins, pourrait le pousser à lui écrire. Des circonstances exceptionnelles. Des mots bien simples pour une réalité bien plus complexes. Une réalité que son cerveau veut fuir, raison pour laquelle il panique et ne réponds plus aux signaux habituels. La fuite, se cacher, c'est tout ce qui fonctionne maintenant. Il n'entend pas sa meilleure amie. Quelque part, au fond de lui, il sait qu'elle est là, qu'elle doit lui parler, essayer de comprendre mais il ne l'entend pas. Il le sait sans le savoir, sans réussir à le comprendre. Son souffle se fait de plus en plus rapide et court, presque haletant. Sa vision commence à se noircir. Sortir. Il doit sortir. Respirer. Loin...du monde. Du bruit. De toutes ses agressions. Il veut sortir. Mais il sent un contact contre lui. Un contact calme. Pour...l'aider ? Lili....ce ne peut être qu'elle...Sa vision s'éclaircit un peu, assez pour qu'il distingue les traits marqués par l'inquiétude de sa camarade près de lui. Elle s'inquiète. Ne comprends pas. Normal...Mais il ne peut pas lui expliquer. Pas maintenant. Mais il veut lui dire...Il doit sortir mais il ne peut pas...Pas tout seul...Il ne veut pas être seul. Il ouvre la bouche pour parler mais rien ne vient. Muet. Il n'arrive pas à dire ce qu'il veut mais il doit. Le son autour de lui devient de plus en plus étouffé, tandis qu'il n'entend quasiment plus que les battements affolés de son coeur qui résonnent dans sa tête, l'étourdissant presque. Il se concentre, force pour parler. Finalement, il plonge ses yeux dans le gris de ceux de Lili, suppliant.
-Je t'en prie...je...veux...sortir...
Sa voix est faible, hachée par sa respiration. Il espère qu'elle va comprendre, qu'elle va accepter de l'aider.
Recruteur du M.E.R.L.I.N.-Loki
Quatrième année RP
Oiseau de mauvaise augure
La respiration d'Alexei semble s'accélérer, ce qui ne te rassure pas, absolument pas même. Tu sais que cela a un rapport avec la lettre qu'il a reçue vu qu'il n'était pas dans cet état-là avant. Il semble décidé à sortir de cette salle et tu n'en saisis pas les raisons mais tu t'exécutes, ce n'est pas le moment de discuter et ce qu'il te demande n'est pas la mer à boire. Il semble avoir fait beaucoup d'efforts pour te faire comprendre ce qu'il voulait faire, tu ne vas pas chercher à les réduire à néant.
Tu le soutiens du mieux possible, tout en remerciant ta grande taille qui t'aide à ne pas le faire flancher quand il manque de tomber. Tu essaies du mieux possible de lui parler, de le rassurer : Tant que tu es là, il n'a rien à craindre.
- Ça va aller, d'accord ? Ne t'en fais pas.
Tu te veux rassurante mais tu as l'impression que cela ne suffira pas pour aujourd'hui : Il est dans un très mauvais état, il a du mal à parler et quelque chose semble grandement l'inquiéter, ce qui t'inquiète encore plus.
Vous quittez la grande salle et tu amènes ton meilleur ami jusqu'à un banc, il est hors de question que tu le laisses debout une seule seconde de plus. Tu gardes toujours tes mains en soutien, au cas où, cela lui fait autant un soutien physique que psychologique. Il n'a pas besoin de te parler, tu veux simplement qu'il aille mieux à nouveau.
- Doucement, ça va aller....
Tu le soutiens du mieux possible, tout en remerciant ta grande taille qui t'aide à ne pas le faire flancher quand il manque de tomber. Tu essaies du mieux possible de lui parler, de le rassurer : Tant que tu es là, il n'a rien à craindre.
- Ça va aller, d'accord ? Ne t'en fais pas.
Tu te veux rassurante mais tu as l'impression que cela ne suffira pas pour aujourd'hui : Il est dans un très mauvais état, il a du mal à parler et quelque chose semble grandement l'inquiéter, ce qui t'inquiète encore plus.
Vous quittez la grande salle et tu amènes ton meilleur ami jusqu'à un banc, il est hors de question que tu le laisses debout une seule seconde de plus. Tu gardes toujours tes mains en soutien, au cas où, cela lui fait autant un soutien physique que psychologique. Il n'a pas besoin de te parler, tu veux simplement qu'il aille mieux à nouveau.
- Doucement, ça va aller....
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
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Oiseau de mauvaise augure
Il voit qu'elle s'inquiète de le voir comme cela et il voudrait faire quelque chose mais il en est incapable. Il peine déjà à rassembler ses pensées pour ne pas s'effondrer. Il a l'impression d'étouffer, que les murs de la pièce, le brouhaha du monde autour de lui, tout cela se ressert petit à petit pour l'étouffer. Il meurt de chaud et pourtant il tremble comme s'il avait froid. Au fond de lui il sait qu'il doit se calmer, respirer, pour que la crise s'arrête mais il en est incapable. Il est perdu, perdu dans un flot de sensations, de bruits, d'émotions touts plus forts et oppressants les uns que les autres.
Il sent sans vraiment le sentir un contact contre lui. Quelqu'un qui le soutient, qui l'aide, l'empêchant de s'effondrer sur le sol et le guidant vers la sortie, vers un lieu plus calme synonyme à ce moment de survie pour lui. Lili. Cela ne peut être qu'elle, il le sait, il le sent. Il lui fait confiance pour l'emmener ailleurs. Peu importe où. Juste dehors, hors de la salle, loin du bruit et de tous ces regards, loin des questions et des incompréhensions. Sa présence l'aide à se calmer. Il panique toujours mais un peu moins. Juste moins, assez pour entendre sa voix se détacher des autres. Elle essaie de le rassurer. Mais elle ne sait pas. Non ça n'ira pas. Impossible que cela aille c'est trop tard. Rien que d'y penser et la panique revient au grand galop, affolant un peu plus son cœur et son souffle. Mais heureusement pour lui, ils sont proches, proches de la sortie, proche du banc sur lequel elle le fait asseoir. Il ne voit pas la porte de la salle qu'ils franchissent, il ne voit pas le banc mais il sent qu'il s'assied et il lui fait confiance. Loin.
Le brouhaha est finit. Il n'y a plus que son sang qui bat dans ses oreilles, et loin, très loin, le son de la voix de Lili. Il s'y accroche, un peu comme un naufragé à une bouée. Il a besoin d'un ancrage, de quelque chose qui le raccroche à la réalité pour ne pas se laisser emporter par le flot de la panique. Il suit sa voix, se rapproche un peu plus de la réalité. Son souffle reste court et ses yeux perdus mais il est déjà un peu plus là que pendant les dernière minutes. Encore ces mots. Cet encouragement. Bienvenue sans doute pour la plupart des gens dans cette situation mais pas pour lui.
Il sent sans vraiment le sentir un contact contre lui. Quelqu'un qui le soutient, qui l'aide, l'empêchant de s'effondrer sur le sol et le guidant vers la sortie, vers un lieu plus calme synonyme à ce moment de survie pour lui. Lili. Cela ne peut être qu'elle, il le sait, il le sent. Il lui fait confiance pour l'emmener ailleurs. Peu importe où. Juste dehors, hors de la salle, loin du bruit et de tous ces regards, loin des questions et des incompréhensions. Sa présence l'aide à se calmer. Il panique toujours mais un peu moins. Juste moins, assez pour entendre sa voix se détacher des autres. Elle essaie de le rassurer. Mais elle ne sait pas. Non ça n'ira pas. Impossible que cela aille c'est trop tard. Rien que d'y penser et la panique revient au grand galop, affolant un peu plus son cœur et son souffle. Mais heureusement pour lui, ils sont proches, proches de la sortie, proche du banc sur lequel elle le fait asseoir. Il ne voit pas la porte de la salle qu'ils franchissent, il ne voit pas le banc mais il sent qu'il s'assied et il lui fait confiance. Loin.
Le brouhaha est finit. Il n'y a plus que son sang qui bat dans ses oreilles, et loin, très loin, le son de la voix de Lili. Il s'y accroche, un peu comme un naufragé à une bouée. Il a besoin d'un ancrage, de quelque chose qui le raccroche à la réalité pour ne pas se laisser emporter par le flot de la panique. Il suit sa voix, se rapproche un peu plus de la réalité. Son souffle reste court et ses yeux perdus mais il est déjà un peu plus là que pendant les dernière minutes. Encore ces mots. Cet encouragement. Bienvenue sans doute pour la plupart des gens dans cette situation mais pas pour lui.
-Non...non...
Il voudrait lui expliquer mais sa voix est faible, brisée. Il n'arrive pas encore à parler. Trop tôt, trop dur. Il se concentre toujours plus sur elle, sa présence, sa voix, tout pour l'aider à se calmer. Petit à petit, son souffle ralentit. Il doit parler
-La...lettre...
Il ne sait pas où elle est. Elle n'est pas dans ses mains il le sent. Mais il en a besoin. Il ne veut pas la lire ou la voir mais il ne veut pas que quelqu'un la lise, surtout pas. Il lui faut cette lettre pour la déchirer, la détruire, l'oublier, en attendant de ne plus avoir d'autres choix que d'y faire face. Il attend, cherchant le calme, l'apaisement, l'épuisement qui suite toute crise de panique et qui l'empêchera de paniquer encore, du moins il l'espère.
Recruteur du M.E.R.L.I.N.-Loki
Quatrième année RP
Oiseau de mauvaise augure
Malgré tes efforts, Alexei ne semble pas se calmer. Son état n'empire pas mais cela n'est pas suffisant pour toi : Tu t'inquiètes toujours autant et rien ne te vient, si ce n'est de lui rappeler que tout va bien et que tu es là. Autant dire que ce n'est pas grand-chose, surtout maintenant. Tu ne comprends pas tout, difficile pour toi de l'aider au mieux, tu ne peux qu'appliquer ce que tu ferais dans n'importe quelle situation que tu qualifierais de générale : Soutenir la personne, montrer que tu es là et s'assurer que ça n'empire pas. Pour le moment, c'est bien ce que tu fais mais cela ne suffira que pour très peu de temps.
Ton meilleur ami nie tes paroles, ta motivation pour ne rien lâcher en prend un coup : Pourquoi ? Pourquoi ça n'ira pas ? Est-ce si grave ? Tant de questions qui se bousculent dans ta tête. Tu baisses les yeux, espérant pouvoir trouver quelque chose d'un peu plus utile à faire, sans succès, bien évidemment.
Tu entends ton meilleur ami tenter de te dire quelque chose mais tu ne comprends pas vraiment : La lettre... Oui ? Que cherche-t-il à dire ? Tu aimerais bien le déduire mais tout ce que tu peux te dire c'est que son état est dû à la lettre mais tu n'as rien d'autre en tête et tu t'en veux pour ça.
- Je .. ne vois pas où tu veux en venir, Alex'....
Tu te désespères, tu as l'impression de le forcer à parler alors que ce n'est absolument pas ce que tu souhaites. Cela pourrait facilement aggraver son cas et ce n'est pas ce que tu cherches à faire, pas du tout.
- Prends ton temps, d'accord ?
Ton meilleur ami nie tes paroles, ta motivation pour ne rien lâcher en prend un coup : Pourquoi ? Pourquoi ça n'ira pas ? Est-ce si grave ? Tant de questions qui se bousculent dans ta tête. Tu baisses les yeux, espérant pouvoir trouver quelque chose d'un peu plus utile à faire, sans succès, bien évidemment.
Tu entends ton meilleur ami tenter de te dire quelque chose mais tu ne comprends pas vraiment : La lettre... Oui ? Que cherche-t-il à dire ? Tu aimerais bien le déduire mais tout ce que tu peux te dire c'est que son état est dû à la lettre mais tu n'as rien d'autre en tête et tu t'en veux pour ça.
- Je .. ne vois pas où tu veux en venir, Alex'....
Tu te désespères, tu as l'impression de le forcer à parler alors que ce n'est absolument pas ce que tu souhaites. Cela pourrait facilement aggraver son cas et ce n'est pas ce que tu cherches à faire, pas du tout.
- Prends ton temps, d'accord ?
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Lili s'inquiète toujours un peu plus. Il le sait, il le sent. Mais il ne peut pas y faire grand chose, il ne voit pas comment la rassurer alors qu'il a l'impression que tout vient de s'obscurcir quand il pense à ce qu'il se passera dans quelques temps. Il ne peut juste pas la rassurer, pas plus qu'il ne peut accepter ses paroles d'encouragements ou de motivation. Beaucoup de choses peuvent s'améliorer avec le temps ou changer mais là il ne voyait pas d'issue. Il ne pouvait rien faire et c'était bien là le pire. Il essaie de se calmer, de respirer, de reprendre un peu le contrôle de ce qu'il fait mais il n'arrive à rien pour l'instant.
Bien sûr qu'elle ne le comprends pas. Il n'arrive même pas à faire une phrase complète. Il n'arrive pas à parler, il ne veut pas. Il veut juste se rouler en boule et tout oublier. Oublier le temps, oublier ce qu'il se passe et ne plus penser à rien. Mais il lui faut cette lettre personne ne doit pouvoir la lire. Il n'ose pas imaginer si quelqu'un était mis au courant. Une main se crispe sur sa poitrine comme s'il cherchait son souffle. Sa respiration trop rapide rend la parole difficile mais pourtant il doit y arriver. Il se concentre pour essayer de se faire comprendre de sa meilleure amie, fermant les yeux pour essayer de concentrer davantage
Bien sûr qu'elle ne le comprends pas. Il n'arrive même pas à faire une phrase complète. Il n'arrive pas à parler, il ne veut pas. Il veut juste se rouler en boule et tout oublier. Oublier le temps, oublier ce qu'il se passe et ne plus penser à rien. Mais il lui faut cette lettre personne ne doit pouvoir la lire. Il n'ose pas imaginer si quelqu'un était mis au courant. Une main se crispe sur sa poitrine comme s'il cherchait son souffle. Sa respiration trop rapide rend la parole difficile mais pourtant il doit y arriver. Il se concentre pour essayer de se faire comprendre de sa meilleure amie, fermant les yeux pour essayer de concentrer davantage
-la...la lettre...il faut pas...personne...doit...lire...
Chaque mention de cette lettre lui fait revoie les mots écrits en lettre rouge sur cette feuille. Il ne veut pas la voir ou l'approcher de nouveau mais il n'a pas le choix s'il ne veut pas que quelqu'un la lise. Son souffle s'accélère de nouveau a l'idée et il doit faire un gros efforts pour ne pas repartir totalement dans une crise, sentant sa volonté faiblir au fur et à mesure qu'il fatiguait.
Recruteur du M.E.R.L.I.N.-Loki
Quatrième année RP
Oiseau de mauvaise augure
Visiblement, il tenait à ce que la lettre ne soit lue et vue par personne, ce qui est compréhensible, vu l'état dans lequel ça le mettait. Tu réfléchis à une option simple pour pouvoir aller la chercher sans qu'il y aille lui et clairement, il faudrait que tu te rendes à nouveau dans la grande salle pour la reprendre mais cela voudrait dire que tu laisserais ton meilleur ami seul pendant un petit moment. Tu ne sais pas si c'est le mieux à faire mais peut-être qu'avoir à nouveau cette lettre en sa possession pourrait le rassurer.
- Tu veux que j'aille la chercher ? Ça ne devrait pas me prendre beaucoup de temps.
Tu te vois mal le forcer à y retourner, surtout que les élèves autour risquent de se demander ce qu'il lui arrive et ce n'est pas le moment. Vaut mieux que tu y ailles toi mais tu as peur qu'en le laissant seul, son état se dégrade. Sa respiration semble s'accélérer encore un peu et la fatigue s'empare de ton meilleur ami, malgré lui.
Tu ne cherches pas à comprendre ce qui se passe mais plutôt comment régler la situation pour éviter qu'Alexei n'aille vraiment mal. Il est rare pour toi de réagir de cette façon mais tu le fais pour lui car tu t'inquiètes et tu ne vois pas ce qu'il y aurait de mieux à faire. Tu essaies de le rassurer mais rien ne semble fonctionner, Alexei est loin d'être dans son état normal.
- Tu veux que j'aille la chercher ? Ça ne devrait pas me prendre beaucoup de temps.
Tu te vois mal le forcer à y retourner, surtout que les élèves autour risquent de se demander ce qu'il lui arrive et ce n'est pas le moment. Vaut mieux que tu y ailles toi mais tu as peur qu'en le laissant seul, son état se dégrade. Sa respiration semble s'accélérer encore un peu et la fatigue s'empare de ton meilleur ami, malgré lui.
Tu ne cherches pas à comprendre ce qui se passe mais plutôt comment régler la situation pour éviter qu'Alexei n'aille vraiment mal. Il est rare pour toi de réagir de cette façon mais tu le fais pour lui car tu t'inquiètes et tu ne vois pas ce qu'il y aurait de mieux à faire. Tu essaies de le rassurer mais rien ne semble fonctionner, Alexei est loin d'être dans son état normal.
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Oiseau de mauvaise augure
Malgré le brouillard que sa peur déclenche dans son esprit, il entend les mots de sa meilleure amie. Sa main se décrispe un peu de sur sa poitrine. Il prend sur lui, essayant d'apaiser un peu sa respiration toujours hachée et rapide, sans grand succès mais au moins elle ne s'affole pas plus. Il lui faut un nouveau moment pour trouver la force de parler, du moins de formuler des mots cohérents, que la jeune fille pourrait comprendre.
-Oui...s'il te plait...
Il déteste sa voix présentement. Hachée, faible, presque suppliante. Mais c'est le mieux qu'il peut faire pour l'instant. Il faut absolument que Lili aille récupérer cette lettre, en espérant que personne ne se soit décidé à regarder ce qu'il y avait dessus en voyant sa réaction...L'idée que quelqu'un d'autre l'ai vu et puisse s'en servir l'affole un peu plus. A nouveau, il se force à se calmer, il ne veut pas que sa meilleure amie panique trop et préfère rester à ses côtés que d'aller chercher la lettre. En soi, il avait besoin de sa présence près de lui, c'était la seule chose qui réussirait à l'empêcher de craquer pour le moment, l'idée qu'elle était là près de lui à le soutenir. Mais il ne devait pas laisser quelqu'un voir cette lettre alors il force sa respiration à ralentir, au moins un minimum, pour venir regarder Lili.
-ça va aller...je...je peux...rester seul...un peu...
Tant que personne ne l'approche, il devrait réussir à rester à peu près stable en attendant son retour. Une fois que Lili sera revenue avec la lettre et qu'il aura pu s'assurer que personne ne l'avait lu, il espérait réussir à se calmer au moins assez pour regagner leur salle commune.
Recruteur du M.E.R.L.I.N.-Loki
Quatrième année RP
Oiseau de mauvaise augure
Ton meilleur ami voulait que tu le fasses alors tu vas retourner dans la grande salle pour reprendre cette lettre qui devait être restée en plan sur la table des Serpentard. Tu n'es pour autant pas plus rassurée et tu n'as pas vraiment envie de le laisser seul même si cela ne devrait pas te prendre beaucoup de temps. Tu te dis que tu peux toujours y aller en trottinant pour que ça te prenne moins de temps.
- D'accord mais tu fais attention, hein ? Je reviens vite.
Tu lui fais un câlin de réconfort puis tu te diriges rapidement vers l'entrée de la Grande salle. Une fois devant, tu ralentis le pas pour éviter que tout le monde ne te regarde. tu rejoins la table de Serpentard et tu contournes les autres tables pour arriver directement du côté où vous étiez assis avec Alexei, quelques minutes auparavant. Tu trouves rapidement la lettre et tu t'en empares avant qu'un regard indiscret ne se permette d'y lire quoi que ce soit. tu vois qu'elle est bien rouge mais tu la replies sans plus de traitement de faveur : Même si tu es sa meilleure amie, tu n'as aucune autorisation pour la lire alors tu la lui remettras en main propre sans y avoir vu un seul mot ou sans avoir déduit une seule idée de son auteur. Si Alexei veut que tu le saches, il le fera savoir mais là, ce n'est pas le moment. Ta quête est achevée, il est temps que tu retournes à l'extérieur de la salle et en vitesse, c'est pourquoi tu trottines à nouveau, sans te soucier du regard des autres cette fois-ci : L'état de ton meilleur ami est bien plus important.
Tu atteins une nouvelle fois les portes et tu retrouves assez vite ton meilleur ami. Tu lui tends la lettre et tu t'assois à côté de lui :
- Ça va ?
Il semblait être rempli de stress et de peur, tu ne sais pas réellement quoi en penser. Tout comme il l'avait dit, il pouvait rester seul "un peu" mais cela ne baissait pas pour autant tes inquiétudes. Tu espères que le fait que la lettre soit entre ses mains le calmera un peu car tu ne vois pas ce que tu pourrais faire de plus.
- D'accord mais tu fais attention, hein ? Je reviens vite.
Tu lui fais un câlin de réconfort puis tu te diriges rapidement vers l'entrée de la Grande salle. Une fois devant, tu ralentis le pas pour éviter que tout le monde ne te regarde. tu rejoins la table de Serpentard et tu contournes les autres tables pour arriver directement du côté où vous étiez assis avec Alexei, quelques minutes auparavant. Tu trouves rapidement la lettre et tu t'en empares avant qu'un regard indiscret ne se permette d'y lire quoi que ce soit. tu vois qu'elle est bien rouge mais tu la replies sans plus de traitement de faveur : Même si tu es sa meilleure amie, tu n'as aucune autorisation pour la lire alors tu la lui remettras en main propre sans y avoir vu un seul mot ou sans avoir déduit une seule idée de son auteur. Si Alexei veut que tu le saches, il le fera savoir mais là, ce n'est pas le moment. Ta quête est achevée, il est temps que tu retournes à l'extérieur de la salle et en vitesse, c'est pourquoi tu trottines à nouveau, sans te soucier du regard des autres cette fois-ci : L'état de ton meilleur ami est bien plus important.
Tu atteins une nouvelle fois les portes et tu retrouves assez vite ton meilleur ami. Tu lui tends la lettre et tu t'assois à côté de lui :
- Ça va ?
Il semblait être rempli de stress et de peur, tu ne sais pas réellement quoi en penser. Tout comme il l'avait dit, il pouvait rester seul "un peu" mais cela ne baissait pas pour autant tes inquiétudes. Tu espères que le fait que la lettre soit entre ses mains le calmera un peu car tu ne vois pas ce que tu pourrais faire de plus.
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.