La fatigue commençait à gagner Kirsty, qui sentait ses paupières devenir lourde. Elle avait hâtes de regagner son dortoir, et de voir ses amis du dortoir Ophélia Crouch. Elle finissait à peine sa tourte quand elle s'attaqua a son dessert : de la tarte à la rhubarbe. Elle aimait vraiment le petit goût acide de la plante. Sa mère faisait souvent de ces tartes, quand la blondinette habitait encore à Loutry-St-Chaspoule. Mais maintenant, sa maison était Poudlard, et sa famille les élèves.
Quand la jeune Panglewood entendit que Gabryel n'appréciait pas particulièrement sa maison, elle s'arrêta instantanément de manger, et dit :
- Tu vas voir, Gryffondor est génial ! On s'éclate, et les élèves y sont hypers sympas ! En plus, Mr. Briggs est gentils !
Alors qu'elle disait cela, la fillette adressa un clin d'oeil complice a Gabryel. Il lui plaisait, ce première année timide et qui bagayait. Elle le trouvait sympa et marrant, même si sa timidité maladive l'empêchait d'être très serein. Kirsty se fit la promesse de l'aider au maximum pour qu'il arrête de stresser et qu'il soit à l'aise en sa présence. Elle aimait se donner ce genre de mission, car ça lui donnait l'air d'une super héroïne du genre Harry Potter. Elle adorait les défis en général, et surtout les compliqués.
- Tu sssais, je sssuis bien content que tes amis ne ssssoient pas venus. Comme cela, je t’ai rencontrée. Je sssuis timide et je bégaie, j’essspère que tu ne t’ennuies pppas avec moi dit Gabyel.
Kirsty faillit rétorquer qu'elle, elle aurait bien voulu que "ses amis" viennent, pour leur raconter ses vacances, ses rencontres, mais elle ne les voyait pas et ça l'énervait légèrement. Mais elle se calma instantanément, car elle ne voulait pas être méchante avec le jeune garçon, ça l'aurait encore plus intimidé, et elle ne le voulait pas. Et puis, elle était contente d'être la première amie de Gabryel, et ne voulait pas le décevoir. Elle ne s'ennuyait pas du tout avec lui, au contraire ! Alors elle le rassura en murmurant :
- T'inquiètes ! Je te trouve très gentils, et je ne m'ennuie pas du tout ! Tu sais, que tu sois timide et que tu bégaies, je m'en fiche. Ce qui m'importe, c'est plutôt que tu sois sympa !
A ses mots, la fillette bailla, et dit :
- Je crois que je vais y aller, je suis crevée ! Toi, il faudra que tu suives les préfets de Gryffondor.
Elle se leva et adressa un dernier sourire a Gabryel avant de se retourner et de partir en direction de sa salle commune.

Fin du RP pour moi, c'était super, Gabryel !

Les tables semblaient quelque peu se vider. Les derniers appelés par le Choixpeau avaient presque tous intégré leurs groupes, et certains élèves extenués par leur journée somnolaient à moitié.
Les plus anciens n’avaient pas tous attendu la fin de la cérémonie. Les vas et viens animés qui se déroulaient depuis maintenant plusieurs heures dans la grande salle s’atténuaient peu à peu. Le mélange assourdissant des conversations s’était transformé en un fond sonore régulier, parsemé de quelques éclats de rires.

- Gabryel : « Tu sssais, je sssuis bien content que tes amis ne ssssoient pas venus. Comme cela, je t’ai rencontrée. Je sssuis timide et je bégaie, j’essspère que tu ne t’ennuies pppas avec moi... »

La jeune fille sembla soudainement absorbée par une pensée triste car elle fit une moue en avalant une part de tarte à la rhubarbe avec appétit.
Gabryel savait que parfois certaines questions ne se posaient pas. Il savait qu’elle avait espéré voir ses amis ce soir et devait se sentir un pue déçue.

Kirsty répondit joyeusement :

- Kirsty : « T'inquiètes ! Je te trouve très gentil, et je ne m'ennuie pas du tout ! Tu sais, que tu sois timide et que tu bégaies, je m'en fiche. Ce qui m'importe, c'est plutôt que tu sois sympa ! »

A ses mots, la fillette bailla, et dit :

- « Je crois que je vais y aller, je suis crevée ! Toi, il faudra que tu suives les préfets de Gryffondor ».

Elle se leva, s’essuya les mains sur sa serviette, adressa un sourire à Gabryel, qu’il lui rendit. Après un dernier regard panoramique sur la salle, la Gryffon quitta la table, longeant les longues allées de tablées qui menaient à la grande porte de sortie.

Gabryel la suivit du regard. Il venait de faire connaissance avec une élève de sa maison .
Cela le rassura que Kysrie n’eut pas semblée génée par son bégaiement.

Gabryel sentit pour la première fois depuis son arrivée qu’il avait sa place ici, et que les jours à venir seraient passionnants !

Une nouvelle année et pas des moindres s'entamait pour Tom Taylor. D'ailleurs, ce n'était pas de refus. Au contraire, il se réjouissait d'enfin retrouver ses amis, en particulier ses camarades de dortoirs avec lesquels il s'amusait à se lancer des défis en tout genre, ce qui avait valu à Clément Downing de rester attaché à Eider Dawkins pendant toute une journée. De plus, l'été qu'avait passé le jeune homme était quelque peu difficile à digérer, néanmoins, il savait qu'il parviendrait à l'oublier un jour. Et puis, il n'y avait pas que ça, non. Il avait fallu que viennent s'ajouter à la liste de ses problèmes deux espèces de cernes rouges sous ses deux yeux, qui étaient la conséquence d'un coup reçu au nez. Ce coup, c'était une longue histoire à laquelle il n'avait pas envie de repenser en ce moment joyeux qu'était le repas de la rentrée. Ce soir-là, tous les étudiants s'étaient réunis autour des quatre longues tables de la Grande Salle. Les savoureuses odeurs de nourriture venaient se mêler aux rires et au brouhaha que celle-ci dégageait. Autour de lui, des centaines de petites bougies étincelantes flottaient fébrilement et apportaient une atmosphère particulière, semblables à la première fois où l'Irlandais avait franchi ces portes.

En effet, un an plutôt, lui aussi avait passé l'étape cruciale de la répartition. Il se souvenait encore combien l'anxiété avait été présente en lui, tel un remord ineffaçable. Ce jour-là, il avait finalement été envoyé à Gryffondor, l'audacieuse et noble maison du Lion. Néanmoins, aujourd'hui, c'était à lui et aux autres deuxième année de s'asseoir tranquillement et d'observer le spectacle. Suite à la chanson habituelle du Choixpeau, les élèves furent envoyés dans les différentes maisons. Certains pleuraient, d'autres sautaient de joie en rejoignant la table correspondante. Les fois où le vieux Choixpeau répartissait un élève chez les rouges et or, l'ensemble des étudiants issus de cette maison se levaient pour applaudir bruyamment, tout en accueillant la nouvelle recrue.

L'Irlandais se servit une grosse cuisse de poulet dans laquelle il croqua à pleines dents, l'air affamé, puis se tourna vers ses camarades :

- Eh, vous avez quelqu'un de votre famille qui va se faire répartir, vous ? Genre un p'tit frère ou une p'tite sœur ?

Lorsque ces grandes portes s'ouvrirent, nous avions tous les yeux posés sur les décors de cette énorme pièce ainsi que sur toutes cette nourritures. Nous avançâmes lentement avec étonnement. Je n'étais pas toute seule face à ça mais je n'avais pas d'amis non plus. Nous nous sommes dirigées vers la fin de la salle tout en ayant des regards posés sur nous. Ces regards étaient ceux des anciens élèves, ils nous suivaient tous du regard. Ensuite la directeur appela chaque élève dans l'ordre de la liste. Tout les élèves appeler s'asseyaient sur une chaise et le chapeau désignait dans quelle maison l'élève sera intégrer. Sur le moment je rêvais, quand on m'appela j'hésitais à bouger, je ne sais pas pourquoi.
Un écartement se fis entre moi et le choixpeau. Je me dirigeais tout droit et je m'assieds. Le directeur m'enfila le chapeau et je fis une tête de surprise. Il me disait plusieurs choses, en fait il réfléchissais où me placer.
"- Je vois..mmmm... du courage! Oui je vois du courage, mais de l'impatience aussi...Je sais! Je sais! GRIFFONDOR!!!"

Suite à la relance de Juliette Johnson, je repose mon message ici !

- 29 Septembre 2043

La rentrée scolaire était déjà loin dans les esprits en cette fin de mois de Septembre, où Léo n'avait pas fait remporter grands choses à sa maison, et où il avait (un petit peu) réussis, à surmonter le passage de sa colère noire et sa grande solitude contre son père. Il était parfois de bonne humeurs, mais aussi quelque fois il se levait du pied gauche, et ne pouvait caser personne à Poudlard. Ce matin là, il se réveilla dans son doux lit un peu plus tôt que prévus, ce qui accentua sa mauvaise humeur qui s'était propagé dans son esprit depuis la veille, où les troisième année du dessus n'avait pas réussis à fermer leur grande bouche de toute la nuit. Le jeune garçon s'étira, retira les draps qui lui collaient et enfila en vitesses ses affaires avant de descendre dans le château. Il ne voulait pas que cette soudaine envie de tuer tout le monde se propage autour de lui et voulait profiter que la moitié du château dormait encore pour déjeuner dans la grande salle, ainsi vidés de la plupart du brouhaha des élèves. Quelques uns étaient déjà là et il accompagna un élève de Gryffondor jusque sa table tout en lui parlant, en essayant de paraître le moins méchant possible, il lui énonçait les divers choses qu'il comptait faire tout en s'avançant dans les rangées, sans prêtés attention aux oreilles indiscrètes qui pouvaient se faufiler dans leur conversation.
- Je changerais de nom ! Plus de Solem ! Rayés à jamais de ma vie ! Je pense reprendre celui de ma mère, et, au pire des cas, je re-fuguerais et je jouerais au amnésique ! T'as déjà entendus parler des colorations ? Le Gryffondor hocha la tête tout en s'asseyant. Eh bien je me teindrais les cheveux en bleus ! Mon cousin Grégory est à Serdaigle lui aussi, on se ressemble beaucoup. Je pense que cette couleur m'irait bien, car un jour il s'est fait avoir avec un peigne de coloration !

Lilith passa la porte de la grande salle, elle était perdue et elle ne connaissait personne, elle s'approcha de la table de sa maison, elle entendit ricaner des filles de Serpentard, elle ne savait pas si c'était contre elle ou si c'étais parce qu'elle étais tellement angoissée de ne pas savoir ou s'asseoir qu'elle le prenait pour elle.

*Reprend toi, bon sang*

Elle se dirigea vers des élèves de sa maison, elle tapota sur l'épaule d'un élève il se retourna la dévisageant, il était plus vieux qu'elle, elle resta quelques secondes pétrifiée.

"est ce que je peux m'installer juste là ?"

le garçon hocha la tête, puis Lilith qui était toute rouge s'installa, une fois assise, elle reprit ses esprits, et prit son carnet personnel, elle se plongea dans des recherches qu'elle fait depuis petite, depuis qu'elle se pose des questions sur des rêves qu'elle fait en permanence, qui reste pour elle un mystère, ses parents ne voulaient rien savoir sur ses histoires, pour c'était juste son imagination.
Lilith voulait en savoir plus... sur ses rêves qu'elle fait toutes les nuits.

"Peut être que je devrais aller voir à la bibliothèque, peut être qu'il auras plus d'information..."

Elle se plongea dans de longues réflexions...

Réponse à Léo Solem

Juliette, ce matin, était réveillée par des jeunes premières années, excitées d’avoir le professeur d’Astronomie, Monsieur Briggs. Certaines filles, comme celles énoncées juste ici, faisaient des classements des élèves et professeurs les plus beaux. Un passe-temps, paraissait-il. Juliette ne comprenait pas cette occupation des plus idiote et se leva donc, pour aller prendre son petit déjeuner.

Elle alla s’asseoir à sa table et se servit un bol de céréales, qu’elle accompagna d’un peu de lait. Elle se servit, en plus, un jus de fraise, et s’installa à la table, seule. Elle avait besoin de calme. Elle commença à manger sans grand appétit et but un peu.

Deux garçons arrivèrent en discutant, et Juliette malgré elle, les entendit. L’un des garçon, un Gryffondor, ne parlait pas et était assez silencieux mais l’autre parlait, et parlait beaucoup, et assez fort. 

Changer de couleur de cheveux ? Juliette pouvait comprendre, elle l’avait fait. Changer de nom ? La Gryffondor y avait plusieurs fois penser. Fuguer ? Elle avait essayé, mais c’était calmer. Toutes ses choses étaient des erreurs, et la fillette regrettait amèrement ce qu’elle avait fait, ou même penser. Elle ne laisserait pas le Serdaigle faire des erreurs, lui aussi.

Avant que Léo ne puisse aller s’asseoir à sa table, elle l’interpela, se leva de sa table et le rattrapa. 

« Je t’ai entendu discuter avec ton ami. Fais pas ça, tu vas regretter. Crois-moi. », dit-elle en tripottant ses cheveux, un peu gênée de s’adresser aussi directement à quelqu’un.

Réponse à Juliette

Léo était déjà partis pour retourner à sa place quand il sentit une force lui agripper le bras. Il paniqua et se retira vivement, avant de découvrir un être humain. Rien de plus normal. Il souffla de son manque de courage, enviant les Gryffondor. Une sorcière. Elle avait des cheveux... colorés quelle tripotait dans ses longs doigts fins. Elle lui adressa la parole, et Léo l'écouta légèrement. Une mise en garde. Il souffla. Une Mise en Garde. Mais qu'allait donc faire cette fille ? Léo rigola intérieurement mais se retint de lui crachez à la figure une insulte. Personne, il avait bien dit PERSONNE ne se mettrait en travers de sa route. Quelle genre de conséquences pouvaient lui tomber dessus ? Il souffla et la regarda dans le fond des yeux.
- Ecoute moi bien j'sais-pas-qui. Je ne regretterais en aucun cas ce que je ferais. Et personne ne pourra me dire ce qui est bon pour moi.
Il la regarda encore plus droit dans les yeux, un regard déstabilisant qu'il ne baisserais pas. C'était son choix. Sa vie. Et il comptait bien la changer. Pourquoi n'était-il repartis vers sa table au lieu de rester plantés là, les yeux foudroyants la jeune fille ? Il n'en savait trop rien, et votre narrateur n'en sais pas plus que vous !
Il aurait pus se retirer, la laisser toute seule, mais non. Peut-être attendait-il une réponse ? Ou alors était-ce un défi pour quelle parte d'elle même ?.

Réponse a Lilith Langdon

Enae se demandais encore quel courage avais vu le choixpeau pour l'envoyer a Griffondor alors que depuis tout a l'heure elle faisait de son mieux pour se cacher, la tête rentrée dans les épaule et le regard fixe sur son assiette qui semblait être à ses yeux la chose qui lui avait semblé la plus intéressante depuis la première fois qu'elle avait vu de la magie. Elle s'était assise proche d'un élève d'une classe supérieur, elle pouvait le dire grâce a sa taille, il est immense et pour le coup elle apprécie le fait d'être d'une petite taille car sa lui permettait de ne pas attirer l'attention sur elle.

Alors que la répartition continuait, Enae se perdait de plus en plus dans ces pensées quand des voix proche d'elle l'on sortit de sa torpeur, elle regarda la fille qui s'était assise en face d'elle et qui après
s'être plongé dans son carnet avait marmonné quelque chose à propos de la bibliothèque. Enae fixa quelques instant l'inconnue au cheveux blanc avant de prendre le courage qui lui avait valut d'atterrir à Griffondor et de lui adressé la parole:

-Heu.. excuse moi ? Tu vas bien tu a l'air absente... Désolé si je dérange je, je heu.. Tu fais quoi si se n'est pas indiscret ?

Suite a sa timide phrase elle détourna le regard de la blanche pour le reposé sur son assiette et faire semblent d'écouter la répartition an applaudissant quand un autre étudiant rejoignis la table fière comme un pan.

Réponse a Enae Birdness

-Heu.. excuse moi ? Tu vas bien tu a l'air absente... Désolé si je dérange je, je heu.. Tu fais quoi si se n'est pas indiscret ?

Par ces mots, Lilith fut tiré de ses pensée par une petite voix qui lui une question, elle leva la tête est vu une jeune fille de son âge le nez dans son assiette, qui avait l'air paniqué...

"Excuse moi ?"
Lilith n'était pas sûr qu'elle lui parlait. La jeune fille releva la tête gênée vers Lilith.

*sourit*
"Pardonne moi, tu me parlais ?"

"... oui ..."

"Je peux t'aider ?"

"oh.. je voulais savoir ce que tu étais en train de faire ... ? mais si je te dérange ne te prend pasla tête à me répondre..."

"Oh, non tu me dérange pas du tout, je suis souvent sur la lune, si je ne répond pas c'est que je n'est pas forcément entendu.."

Lilith était gênée de na ne pas avoir entendu directement la jeune fille ...

"je fais des recherches sur la signification des rêves, depuis petite je fais des rêves étranges et j'aimerais comprendre .."

Litith se rendit compte qu'elle parlait de ça comme si c'était normal, elle n'en avais jamais parler à personne, c'est l'esprit le plus sombre qu'elle connaisse pour l'instant ...