Une tour bien haute...
Les sujets évoqués dans ce RP peuvent être choquants, ne lisez pas si vous êtes jeunes ou avez une âme sensible.
Minuit, l’heure du crime. Est-ce aussi l’heure de la déprime ? Depuis quelques temps, Juliette se réveillait à cette heure-là et ne se rendormait que bien plus tard, vers deux ou trois heures du matin.
Depuis quelques temps, pour faire passer le temps, elle visitait le château de nuit. Lorsqu’elle se sentait fatiguée, elle retournait se coucher, et reprenait son manège toutes les nuits.
Cette fois, elle ne savait pas où aller. Pourtant, il regorgeait d’endroit. Mais, ce soir plus que les autres, elle ressentait pourquoi elle était insomniaque.
Sa mère. Ça serait toujours elle. Toujours cette mort posée sur son dos, tel un âne mort. Oui, mort était le mot. Elle était morte. Sa mère était morte.
Juliette n’était plus la même, et ne la serait plus jamais. Sa mère était morte, et n’allait pas revenir. Elles ne se retrouveraient que lorsqu’elle sera morte.
Oui, morte. Instinctivement, la Gryffone se dirigea vers les tours. Elle emprunta un chemin qui était le même que celui du septième étage, mais tourna à gauche.
Elle arriva bien vite dans la tour d’Astronomie, après être passé devant le bureau de la directrice. Qui, demain, trouverait la jeune fille ?
Elle s’approcha de la rembarde et regarda en bas. Le sol paraissait si près... Hop, un pas, et on le touchait.
Juliette secoua la tête et jeta de nouveau un coup d’œil en bas. Elle eut alors un vertige et s’affala sur le sol de la grande pièce circulaire.
Lâcheté.
2ème année RP * fiche dans mon profil
Je suis une Renaudette, parce que je suis Morgane de toi, et qu’You are belle and I are beau !
Jo’family
Une tour bien haute...
Pourquoi ? Si Juliette n’avait pas eu peur, elle serait en bas. Si elle n’était pas froussarde comme elle l’était... Pourquoi de raccrochait-elle ainsi à la vie ?
Pourquoi était-elle Gryffondor, déjà ? Elle était lâche, méchante, égocentrique et pleurnicharde. Rien de bien Gryffondor. Et pourtant...
Sans qu’elle ne s’en rende compte, des larmes commençaient à affluer aux coins de ses yeux, et elle les essuya.
« Pas question de flancher. », se dit Juliette.
La fillette se releva alors qu’elle avait les jambes tremblantes, et se rapprocha de la barrière. S’il n’y en avait pas, elle n’aurait qu’à avancer et à se laisser aller...
Elle comprenait Cassiopée. Elle se trouvait horrible, et voulait se faire du mal. Ce qui séparait les deux premières années, c’était que l’une arrivait à le faire et ne le méritait pourtant pas.
Tout en pensant à son amie, Juliette s’était penchée sur le bord de la rembarde et regardait le sol. Elle était presque arrivée à son but, elle était presque morte.
Elle avait presque rejoint sa mère...
« J’arrive, maman. On sera bien, tu verras. ».
Pourquoi elle était triste ? Pourquoi pleurait-elle toutes les larmes de son corps alors qu’elle allait revoir sa mère ? Pourquoi la vie était si dure ?
Pourquoi chaque choix, dans la vie, amène dans le chemin que l’on a prit et qu’on en peut pas tout abandonner sans rien dire à personne ?
Et pourquoi ne peut-on pas lâcher la vie comme lâche une lettre annonçant la mort de sa propre mère ?
« Pourquoi tant de questions alors que je suis en train de mourir ? ».
Un corps bascula, le sol se retourna, le ciel devint le part terre, et Juliette se retrouva sur le dos, haletante.
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Pourquoi était-elle Gryffondor, déjà ? Elle était lâche, méchante, égocentrique et pleurnicharde. Rien de bien Gryffondor. Et pourtant...
Sans qu’elle ne s’en rende compte, des larmes commençaient à affluer aux coins de ses yeux, et elle les essuya.
« Pas question de flancher. », se dit Juliette.
La fillette se releva alors qu’elle avait les jambes tremblantes, et se rapprocha de la barrière. S’il n’y en avait pas, elle n’aurait qu’à avancer et à se laisser aller...
Elle comprenait Cassiopée. Elle se trouvait horrible, et voulait se faire du mal. Ce qui séparait les deux premières années, c’était que l’une arrivait à le faire et ne le méritait pourtant pas.
Tout en pensant à son amie, Juliette s’était penchée sur le bord de la rembarde et regardait le sol. Elle était presque arrivée à son but, elle était presque morte.
Elle avait presque rejoint sa mère...
« J’arrive, maman. On sera bien, tu verras. ».
Pourquoi elle était triste ? Pourquoi pleurait-elle toutes les larmes de son corps alors qu’elle allait revoir sa mère ? Pourquoi la vie était si dure ?
Pourquoi chaque choix, dans la vie, amène dans le chemin que l’on a prit et qu’on en peut pas tout abandonner sans rien dire à personne ?
Et pourquoi ne peut-on pas lâcher la vie comme lâche une lettre annonçant la mort de sa propre mère ?
« Pourquoi tant de questions alors que je suis en train de mourir ? ».
Un corps bascula, le sol se retourna, le ciel devint le part terre, et Juliette se retrouva sur le dos, haletante.
Questionnement.
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