Inscription
Connexion

13 oct. 2018, 14:44
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
 Le Serdaigle à côté de lui était bien trop calme au goût d'Audric. Aussi il fût ravit, même s'il ne le montra pas, quand son cadet perdit son sang froid et commença à s'énerver contre lui. S'il n'y avait pas eu le préfet, le garçon aux yeux vairons aurait certainement passé ses nerfs sur lui, autant pour lui faire regretter ses paroles que pour se calmer. 
*Choueeette...* songea l'adolescent lorsque le préfet parla de punition d'un ton un peu trop joyeux. Celui-là ne devait pas en donner souvent, ce devait-être son soir de chance. Puis l’aîné des trois garçons avança sa théorie sur la disparition du rat et Audric ne put s'empêcher de lancer un regard appuyé, empli de satisfaction contenue, à l'intention de Solem. *Y en a au moins un qui réfléchit.* semblait dire son regard, et c'est aussi ce qu'il pensait. 

« Je connais mon chat. Le rat est en vie. » Il avait presque envie de rajouter "malheureusement" mais ne le fit pas. Ce n'était pas sympa pour le garçon, et surtout même s'il détestait les rats ils ne méritaient pas de mourir ainsi. Mais ça aurait été l'occasion pour son cadet de choisir un animal moins dégoûtant. 
 Audric regarda le préfet s'adosser confortablement contre le mur, prenant une position d'attente qui fit lever un sourcil au Gryffondor.

« Alors... On attend que le rat revienne? Sérieusement? » Pas qu'il ait très envie de rentrer au dortoir, mais quitte à être puni autant savoir au plus vite de quoi il en retournait non? Il pivota vers Solem et l'apostropha en grinçant des dents. « Tu veux pas essayer d'appeler ton animal, qu'il se montre plus vite? » 
 Tout en parlant il resserra sa prise autour de Pebirw. Il y avait une chance sur deux que le rat se pointe alors que le rouquin était toujours là. Et tout autant de chances que le matou se lance à la poursuite du rongeur aussitôt après l'avoir aperçu. Mais il l'empêcherait de s'échapper de ses bras, du moins tant que possible. Une punition passait, mais s'il commençait à récolter celles de son chat... Il était persuadé que le préfet en face de lui en serait capable tant il semblait mourir d'envie de sévir. 

Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."

16 oct. 2018, 12:42
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Quand Léonard se mit à parler de punition, Léo frissona. On en avais tout déjà entendus parler, sous forme de menace ou sous rumeurs, certains la côtoyaient rarement, mais d'autres étaient bon amis.
C'était la punition.
Il y en avait divers: nettoyé la salle des trophées sans magie, astiquer les cadre des grands escalier, nettoyer les statue de Poudlard, accompagner Hagrid dans la forêt interdite, ect...
Léo n'avais pas souvent transgresser les règles, et encore il ne s'était jamais fait prendre pour ces bêtises enfantines de premières année.
Le Préfet avait annoncé cela comme si il s'agissait d'une fête à Poudlard, ce qui était assez bizarre.
Il énonça la possibilité que Gehbia se sois juste sauvé, et même si c'était très probable, Léo ne voulait pas l'admettre, pour une raison qui échappe même au narrateur de cette histoire.
- Mais nan ! C'est l'autre gnome de cet imbécile qu'il l'a dévoré ! J'en suis sûr ! J'l'ai vus il y avait pleins de poils de Gehbia autour de lui !
En vérité il n'en était pas sur, mais Léo voulait d'un côté s'assuré qu'il ne serait pas le seul punis. Ces pils aurait pus être très bien ceux du chat ou les épilations de Miss Loewy :rofl: espérons quelle ne passe pas par ici :grin: , il aurait trouvés un moyen pour accuser l'autre garçon.
Léonard semblait attendre quelque chose, peut-être que les deux garçons s'excusent, ou mettent un terme à leur dispute ?
Mais l'aiglons ne bouge pas d'un poil, foudroyant toujours du regard le Gryffondor.

Excuser moi pour ce léger retard !

Responsable des Nouveaux Arrivants de Serdaigle. -Léo S(Z)olem
Le Mentorat du Tonnerre avec les deux Canards chez les Aigles... Daffy et Donald Duck, toujours présent pour les gaffes !

18 oct. 2018, 18:41
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Les tensions entre les deux garçons ne tombèrent pas, et aucun des deux ne bougea, préférant se regarder l'un l'autre. Léo Solem ne démordait pas de sa version de l'histoire, malgré la logique implacable qu'on aurait pu lui opposer - mais Leonard n'avait pas vraiment envie de se lancer dans un exposé pour le moment, et retrouver le rat aurait été un moyen bien plus efficace et rapide de convaincre le jeune aiglon qu'il avait tort. Quant au Gryffondor, il se montrait un poil hautain, mais semblait plus raisonnable, au moins. Le préfet haussa les sourcils et se redressa, bien droit face à ses cadets, une main sur le menton, les yeux dans le vague, paraissant réfléchir. Au bout d'une ou deux secondes, il réagit, choisissant d'accélérer les choses.

- Bon. On va pas rester là toute la nuit. Solem, je-te-dis-que-ton-rat-est-pas-mort. Il martela ces mots, une légère exaspération dans la voix. Fatigué de se retrouver avec deux élèves pas très coopératifs, il embraya sur le plus important. Vu que vous restez plantés là, je suppose que vous attendez votre punition... ? Un sourire sur le visage, le Sixième année se passa la main dans les cheveux. Il aimait maintenir un certain suspense. Les mains derrière la tête. On va faire un jeu, vous allez apprendre le règlement. Vous répétez "Je ne dois pas sortir de mon dortoir après le couvre-feu", en boucle, pendant... hmm jusqu'à ce que je vous dise stop. Sur ces mots, il plissa les yeux, le regard amusé. Il ne comptait pas leur faire faire très longtemps, peut-être les arrêterait-il dès que leurs voix deviendraient rauques.
Au moins, ça allait les marquer. Sûrement plus que s'il leur avait juste retiré des points. Et puis ça serait probablement drôle à regarder. Pendant un instant, il avait hésité à carrément leur faire chanter (et en rythme s'il vous plaît), mais il avait eu un regain de pitié pour les jeunes adolescents, et s'était abstenu.

Préfet inRP de la Maison Serdaigle
Code couleur : #0B5394

03 déc. 2018, 09:52
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Toutes mes excuses pour le retard. 

Le plus jeune n'en démordait pas avec son rat. Peut-être qu'en temps normal Audric aurait compatit à sa peine, lui ne s'imaginait pas perde Pebirw, il tenait trop à lui pour ne pas s'inquiéter quand il ne le voyait pas pendant plus d'une demi-journée. Mais là, à cet instant, Solem l'agaçait avec son rongeur. Il voulait absolument accuser le félin au poil roux (qui s'était d'ailleurs endormi dans les bras de son maître). Son cadet le foudroya du regard, et le garçon aux yeux vairons lui rendit toute sa colère par le même intermède. 

 Le préfet tenta une nouvelle fois de faire comprendre la vérité à Solem, insistant sur le fait que le rat était toujours en vie. *On va pas passer toute la nuit là-dessus quand même si?* Enfin le préfet, avec son humour décapant, leur annonça qu'il allait - enfin - leur donner leur punition. Audric serra un peu plus son chat contre-lui, attendant de connaître ce qui l'attendait pour le prochain soir. Il n'en était pas à sa première punition, et même s'il ne les cherchait pas il semblerait qu'il ne pouvait pas échapper à au moins une retenue par an. Le comble c'était que l'année venait tout juste de commencer. *Eh ben ça promet...*

 Le préfet avait un humour vraiment bien à lui. Audric se demanda un moment comment ses amis réagissaient face à ses blagues. Peut-être même étaient-ils tous comme lui. Il eu pendant quelques secondes pitié pour son camarade plus jeune à ses côtés. S'il devait vivre ça tous les jours... Mais il chassa rapidement cette pensée en sentant les poils de son chat lui chatouiller les mains. Une mèche de cheveux tomba devant ses yeux, et il souffla dessus pour la chasser grossièrement. 
 « T'es pas sérieux? » lança-t-il sans réfléchir au préfet. Il baissa la tête vers Pebirw, hésitant un instant à lui fourrer l'animal dans les bras pour s'exécuter mais choisi finalement de ne pas obéir à la partie où il devait se servir de ses bras. « Si je lâches mon chat et que le rat revient ça va être le même bazar. » s’expliqua-t-il néanmoins. Puis d'une voix monocorde et le regard vide, il marmonna faiblement : « Je ne dois pas sortir de mon dortoir après le couvre-feu. Je ne dois pas sortir de mon dortoir après le couvre-feu...  » Si ça pouvait faire plaisir au plus âgé... Ce préfet était assez farfelu comme garçon, il se demanda ce qu'il allait leur pondre comme idée encore.
Il s'arrêta là, attendant que Solem continue avec lui. 

Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."

04 déc. 2018, 13:53
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Léo fit la moue, il ne croyait pas un traite mot de Léonard et Audric qui prétendait que Gehbia n'était pas mort. Léo le savait très bien, au moindre danger le rat se serrait réfugier dans ses bras, cherchant du réconfort et de la sécurité. Ce n'était plus Audric que Léo foudroyait du regard mais bel et bien le gros matou pleins de soupes, qui paressait dans les bras du jeune homme, l'air d'avoir passé un bon repas...
Et puis avec le nombre de rats qui traînaient dans la tour d'Astronomie, on aurait eu du mal à retrouver le pauvre Gehbia, si il était encore en vie.
Audric s'exécuta, jouant dans le jeu du Préfet. Soudain Léo éprouva une once de pitié pour le Gryffondor. *Ça va c'est juste une tour on a rien voler !*
La punition eut l'air de ravir Léonard. Il était complètement fous, et Léo, oubliant la différence d'âge, dans le feu de l'action, s'écria d'une voie ferme:
- Quoiii ?? C'est hors de question ! Je préfère mille fois être en retenue jusque la fin du mois chez Rusard avec l'autre imbécile pendant mon temps libre que de faire ce stupide jeu !!
Il se retenu de justesse pour ne pas crier au scandale, brandissant des pancartes "ABUS DE POUVOIR". Mais peut-être avait-il parlés trop vite ? Peut-être avait-il donner des idées à Léonard ?
Il bredouilla des paroles incompréhensibles,   une sorte d'excuse, ou de "oublie ce que j'ai dit" à moitié murmurer d'une voie soudain devenue impuissante face à l'autorité que ressortait Léonard, tel un grand frère qui vous tiens en respect, jouant au chef avec ses cadets. Il aurait voulus se faire tout petit, lancé un oubliette et fuir, mais se rappela une nouvelle fois sa deuxième année et soupira.

Responsable des Nouveaux Arrivants de Serdaigle. -Léo S(Z)olem
Le Mentorat du Tonnerre avec les deux Canards chez les Aigles... Daffy et Donald Duck, toujours présent pour les gaffes !

19 déc. 2018, 20:24
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Eh ben ! C'est qu'il avait l'esprit rebelle, le Gryffondor ! Enfin, Leonard ne lui en tint pas rigueur, il pouvait bien tolérer une petite entorse à la punition si c'était pour tenir ce chat. Sinon, c'était Solem qui allait crier au meurtre encore. Le propriétaire du matou se mit tout de suite au boulot, commençant à répéter la fameuse règle. Par contre, le jeune aiglon, lui... Récalcitrant à un niveau extrême.
Quand Solem éleva la voix pour protester, réclamant à grands cris une punition encore plus cruelle (on parlait de Rusard quand même... et pendant un mois, ciel), le préfet hésita entre éclater de rire et lui jeter un sort de mutisme. C'est qu'il allait réveiller tout le château là... Leonard comprenait même pas, il offrait gentiment une punition facile, qui n'aurait pas de suites, ni sur les sabliers, ni sur leur réputation (sauf si avec un boucan pareil, tous les élèves se ramenaient pour observer la scène), c'était un véritable cadeau de début d'année. Et non, il fallait quelque chose de plus traditionnel frisant l'inhumanité. Un mois avec Rusard, fallait être dingue.
- Eh, chut ! Solem, t'es fou ? Il pouffa, les yeux rieurs. Son cadet pouvait pas être sérieux de toute façon. Tu la fais, ta punition, ou je te jure c'est ton rat que je vais envoyer chez Rusard. Allez zou !

Qu'il prenne un peu exemple sur son camarade Hitward. Lui au moins avait un minimum de respect et de bon sens, hum.
Solem finit donc par se plier lui aussi à l'ordre de son aîné, mettant les mains derrière la tête et commençant à psalmodier "Je ne dois pas sortir de mon dortoir après le couvre-feu" en chœur avec son camarade.

Pendant ce temps, le préfet lançait des regards à gauche à droite, vérifiant si le rat ne pointait pas le bout de son museau, par hasard. Avec le fond sonore, il avait l'impression d'être le grand manitou d'une secte qui chercherait un animal à sacrifier. Pas joyeux joyeux.
Commençant à s'ennuyer, Leonard annonça donc le stop au bout de deux minutes.
- C'est bon, vous pouvez arrêter. Puis, un signe de tête en direction du côté du couloir opposé aux escaliers. Tiens, le r'v'là, ton rat ! En effet, la bestiole avait fini par revenir, profitant de la dissipation de l'agitation. C'est fou ce que c'était intelligent ces bêtes-là.
Avec un sourire, Leonard s'écarta pour laisser Solem reprendre le rongeur, si possible avant que celui-ci ne fuie à nouveau en voyant le chat.
- Bon, et maintenant, filez dans vos dortoirs. Vous avez pas intérêt à ce que je vous recroise dehors de nuit, sinon je vais devoir vous imprimer le règlement de manière plus énergique.
Au dodo, allez.

Préfet inRP de la Maison Serdaigle
Code couleur : #0B5394

27 janv. 2019, 17:44
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
 Audric attendit un peu que son cadet se mette aussi à psalmodier la phrase imposée par le préfet, mais le jeune Serdaigle préféra crier au scandale et réclamer une punition moins humiliante. Il n'avait pas du réfléchir à ses paroles, du moins c'était l'avis du Gryffondor. Peut-être qu'avec un peu de chance il aurait eu une punition à son goût, mais entre se ridiculiser pendant cinq minutes devant un public assez restreint, et passer un mois entier dans le bureau du concierge avec le risque de voir un défilé d'élèves... Sans compter que la punition en question ne serait certainement pas aussi simple ni douce que celle imposée par le préfet. 
*Peut-être qu'il a envie de souffrir* songea Audric en haussant les épaules. Bien, mais sans lui alors, fallait pas exagérer non plus. 

 Après un petit rappel à l'ordre de la part du préfet, que le brun trouvait toujours aussi étrange mais qu'il commençait à apprécier étrangement, Solem s'exécuta enfin. Le garçon aux yeux vairons reprit la mélodie en chœur jusqu'à ce que leur aîné les fasse arrêter. Ce dernier enchaîna avec l'arrivée du rat, arrachant un sourire narquois à Audric qui se tourna pour toiser le plus jeune à côté de lui. Il plaqua Pebirw contre lui et s'éloigna de quelques pas afin d'être sûr de pouvoir garder son chat plus facilement.

 Enfin le préfet les laissa partir. Le Gryffondor lui jeta un rapide coup d’œil en coin, attendant de voir s'il allait encore utiliser de son humour décapant, mais ne voyant rien venir il s’éclipsa en ignorant consciemment Solem et son maudit rat. Il prit le chemin menant à sa salle commune en espérant ne plus jamais recroiser le plus jeune des deux Serdaigle (même le plus âgé d'ailleurs), mais surtout de ne plus revoir son animal. 
 Il lâcha son chat une fois à l'abri dans la salle commune et se glissa silencieusement dans le dortoir. Adrian s'était rendormi, et si Audric ne fit rien pour ce soir, il prévoyait déjà de se venger de son ami. C'était lui qui l'avait poussé à sortir après tout... Il ne s'endormit pas tout de suite pour autant, et attendit un long moment avant que Pebirw ne vienne se rouler sur le lit. Il serra son chat contre lui avant de fermer les yeux, essayant d'oublier les deux Serdaigle et le maudit rat.


Merci à vous deux pour ce Rp!
Au plaisir d'écrire à nouveau avec vous. :) 

Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."

27 janv. 2019, 22:45
Pour une histoire de familiers  Audric & Léonard 
Léo se mit à contrecœur à réaliser la punition avec l'autre stupide Gryffondor, le rouge aux joues. Les minutes passèrent et Léo tourne à plusieurs reprises sa tête dans l'espoir d'apercevoir un Gehbia bien vivant et non pas avalé par le chat d'Hitward.

Au bout de quelques minutes le Préfet libéra les garçons qui s'en allèrent chacun dans leur coin. Il remarqua un rat et informa Léo qui se précipita sur le rongeur. Le tenant fermement, il l'observa.

Malheureusement ce n'était pas Gehbia, la petite tâche reconnaissable entre tous sur son oreille gauche n'y étais pas, il fallais dire que Léo savais observer dans le noir. Mais pour ne pas se prendre de réflexion il prit un faux air satisfait et partit dans les couloirs avant d'y lâcher le rat qui courut comme si on l'avait pincé jusqu'au fin fond du château. 

Devant la salle commune de Serdaigle, Léo, fatigué par les événements, écouta à moitié la question du heurtoir. N'arrivant pas à y répondre et donc à rentrer, il se roula en boule sur le sol dans un coin de la tour, grelottant, espérant que la ronde de son préfet serait bientôt finis et qu'il l'aiderait à rentrer dans sa salle, sinon il aurait fallu attendre le lendemain matin.

Tout en s'endormant, il se jura de ne plus croiser ce fichu chat et son fichu maître.

Fin du RP également ! 

Responsable des Nouveaux Arrivants de Serdaigle. -Léo S(Z)olem
Le Mentorat du Tonnerre avec les deux Canards chez les Aigles... Daffy et Donald Duck, toujours présent pour les gaffes !