Nom : Le Pinsot
Famille : Gymnosperme (conifère)

Description :

Le pinsot est un petit conifère européen pouvant atteindre deux mètres de hauteur. Il s’épanouit dans les climats froids et en basse altitude, son air de répartition se cantonne au nord et à l’est de l’Europe et comme de nombreux conifères, il est sempervirent. Tout comme son cousin moldu le cyprès, le pinsot a une ramure plutôt groupé en forme de pinceau. Il a des aiguilles souples, fines et longues, chaque aiguille est parcouru d’une veine rougeâtre visible malgré la surface verte de l’aiguille seulement en été. L’écorce du pinsot est légèrement rougeâtre au niveau du tronc, notamment dans les craquelures fraîches de l’écorce, en revanche à l’extrémité des branches et dans les aiguilles la teinte rouge est bien plus vive est évoque des coulées de peinture. Cette coloration tout à fait caractéristique distingue le pinsot des conifères moldu, elle est du à l’écoulement de la sève de l’arbre et lui permet de réguler sa température végétale l’été quand la température excède 25°. L’hiver, le pinsot est totalement vert, ses veines et sa sève ne sont plus visible.

Le pinsot est malheureusement une espèce en voie d’extinction car cet arbre mobile est d’une stupidité innommable et a la fâcheuse tendance à causer sa propre mort en commettant des actes particulièrement irréfléchi.

Histoire :

Le pinsot a été découvert part Beaumont Marjoribanks durant l’été 1799 alors qu’il cherchait à découvrir de nouvelles espèces végétales dans une forêt Biélorusse. Il a d’abord cru que l’arbre était ensanglanté en voyant les coulées de sève rouge du pinsot puis en étudiant l’arbre de plus près il s’est rendu compte que la texture collante et l’odeur résineuse de ce produit rouge était typique de la sève de conifère. Alors qu’il étudiait l’arbre, dictant soigneusement ses observations à sa plume à papote, Beaumont s’est aperçu que l’arbre semblait reculer pour s’éloigner de lui dès qu’il tournait la tête. Il s’est relevé brusquement en réalisant que l’arbre pouvait se déplacer et le pinsot prenant peur, a voulu s’enfuir… Malheureusement il y avait un ravin juste derrière lui et le pinsot est tombé dans le vide et s’est brisé en morceau sur les flancs de la montagne, laissant le Botaniste dubitatif et perplexe. Après cet incident Beaumont a appelé cet arbre le pinsot en raison de sa stupidité mais aussi de la couleur rouge évoquant de la peinture et de sa forme général de pinceau. Lorsqu’il est tombé sur un nouveau spécimen, plus jeune, il l’a tout de suite immobilisé pour prévenir un nouveau suicide-accidentel de l’arbre.

Effets magiques :

La sève du pinsot a de puissantes propriétés thermorégulatrices, cicatrisantes et antiseptiques. Elle entre dans la composition des baumes qu’on applique sur les grands brûlés (la sève du pinsot est extrêmement connu par les magicozoologistes spécialisés dans les dragons et parmi les éleveurs et dresseurs de dragon ainsi que parmi ceux s’occupant de serpencendre). Bu en infusion la sève du pinsot empêche la déshydratation et permet de réguler sa température corporelle plus aisément en période de canicule en favorisant la sudation.

Entretien :

C’est un arbre plutôt facile à entretenir, il suffit de le mettre dans un endroit clos, ombragé et à température tempéré. Il se nourrit en plongeant son unique racine rétractile dan la terre comme un foré, il trouve lui-même tous les éléments dont il a besoin grâce à cet équipement et sa capacité de se déplacer lui permet de trouver de l’eau en toute circonstance. Certaines précautions sont tout de même à prendre pour assurer la survie de son pinsot : il doit absolument être maintenu dans un lieu clos pour prévenir toutes fugue (se résultant la plupart du temps par la mort accidentellement stupide du spécimen) et il ne faut surtout pas mettre de trou, de produit ou de créatures inflammables à portée du Pinsot.

Et voici le résumé écrit (pas sous forme d'image):
Nom : Le Pinsot
Famille : Gymnosperme (conifère)

Description : Un conifère de petite taille, 2m50-3m. Il peut être comparable à une cèdre libanais nain. La couleur de ses épines est un vert virant vers un bleu canard. Les cônes font environ 15 cm de long et vous avez ici une représentation des cônes mâles.
Sa sève à une odeur sucrée, mélange entre le sirop d’érable et le caramel.

Histoire : Découvert en 2020 par Joe Allen, frère de Sibylle Allen deux botanistes Méditerranéens. Joe était un homme très curieux mais pas très intelligent. Il aimait découvrir des choses et il avait une fâcheuse à toucher à tout, même ce qu’il ne connaissait pas. Attiré par l’odeur de cette sève, il décida de la goûter. Il se retrouva avec la bouche anesthésiée et c’est comme ça qu’on découvrit la particularité de cette plante.

La fratrie, après quelques expériences découvre qu’appliquée à haute dose par voie cutanée, la sève peut provoquer une tétanisation des muscles ce qui peut provoquer crampes et douleur musculaires. Cette sève, à petite dose cette fois-ci pouvait servir de liant dans une potion et améliorer le goût et l’odeur de celle-ci.

Malheureusement, les caractéristiques de cette sève ont été très demandées en médecine et par les guérisseurs. Le Pinsot a été surexploité durant près de 8 ans avant qu’on régule son utilisation et qu’on forme des spécialistes pour prélever la sève de manière durable et ne pas abimer l’arbre en 2028.

Effets magiques : La sève appliqué sur la peu permet une anesthésie variable en fonction du sujet et de la dose. Mais en générale celle-ci dure entre 2h et 5h. A trop forte dose, elle provoque une tétanisation du muscle pour une durée indéterminée (trop variable entre chaque sujet pour avoir un horaire réaliste.) ce qui provoque crampes, douleurs musculaires voire même contusions des parties molles.

Son odeur sucrée ainsi que son goût peuvent aider certaines potions à être plus buvables ou juste plus agréables.

L’arbre a une particularité défensive, lorsque vous lui faites du mal, ses épines pivotent vers vous pour vous dissuader de continuer. Ce n’est cependant pas très efficace.

Entretien : Cet arbre pousse plus particulièrement sur les côtes Méditerranéennes. Ses racines ne sont pas profondes il n’a donc pas besoin d’un sol très riche ou très souple. Cependant, il s’étend assez rapidement. Il a donc besoin d’espace pour bien grandir. Il est bien de lui laisser environ un diamètre de 10m libre autour de lui. Sinon il n’a pas besoin de beaucoup d’entretien de manière générale. Il est économe en eau et robuste.

Nom : La BellaSepulkra, communément appelé Sepulkra.

Famille : Solanacées (Solanaceae)

Description : La Sepulkra est une plante vivace arbustive à rhizome, c’est une plante très répandue qui pousse dans les climats tempérés, elle est également calcicole et apprécie l’humidité et l’ombre.

La Sepulkra possède de larges feuilles pétiolées et alternées, ressemblant beaucoup à celles du datura moldue. Ses fleurs possèdent une corolle et ont la forme caractéristique des fleurs de stramoine, en forme de cloche tombante, elles sont d’un joli rouge carmin par contre, contrairement au datura moldue dont les fleurs sont blanches.

Ce qui distingue la Sepulkra de ses cousins moldus, c’est surtout sa particularité de noircir avec l’âge. Ainsi les jeunes spécimens sont très difficiles à distinguer des daturas moldus hors de la floraison, mais les plants plus âgés attirent particulièrement l’œil avec leur texture poussiéreuse noire, ils donnent l’impression d’avoir réchappé à un incendie.

Histoire : La Sepulkra est une plante hybride créé par Phineas Graves en 1971. Phineas était un botaniste mélomane très créatif, un jour il a prit des graines de datura et leur à appliquer un sort expérimental. Lors de ses recherches et du lancement du sortilège, il écoutait le morceau Square Hammer de Ghost sur le tourne disque de son laboratoire. A peine la lumière rouge de son sortilège atteignait-elle la petite graine noire qu’un germe apparaissait et que la plante se développait.

Phineas a d’abord était extatique, il a planté le germe qu’il venait d’obtenir et a soigneusement prit en note le résultat de son expérience, jetant parfois un regard ravi à la petite plante qui poussait, déployant ses petites feuilles vertes et grandissant à vue d’œil en tournoyant sur elle-même. Quand le tourne disque s’est arrêté, Phineas n’y a pas fait attention tant il était absorbé par sa découverte et lorsqu’il a enfin relevé la tête de ses notes, il a été fort désappointé en voyant que sa petite protégée ne grandissait plus.

Phineas ne s’est pas aperçu tout de suite de la corrélation entre la musique qu’il écoutait et la croissance de sa plante, il croyait que c’était son sort qui avait produit ce résultat. Il mit trois semaines a comprendre que la musique ambiante avait influencé son sortilège et que sa nouvelle création avait désormais besoin d’écouter du métal pour grandir.

Effets magiques : Cette plante est l’ingrédient actif d’un des plus puissant onguent anesthésique de la médicomagie moderne, il est notamment utilisé pour les accidents de Quidditch graves impliquant des fractures ouvertes. La plante est puissamment décontractante. Attention toutefois : toutes les parties de la Sepulkra contiennent un poison très violent et si elle est ingéré elle provoque des hallucinations pouvant conduire à des accidents et des agressions de la part du malheureux consommateur. Des recherches sont en cours pour déterminer si la poudre noire dont se couvrent les vieux spécimens a des propriétés magiques quelconque.

Entretien : Cette plante ne peut grandir qu'en écoutant du métal. Elle adore black sabbath, Iron maiden ou encore Korn mais son groupe favori reste Ghost. Dans le silence elle reste à l'état de graine. Cette propriété a l'avantage qu'il est possible de maîtriser sa croissance à la minute près et de la stopper à n'importe quel moment. Pour ce qui est d'autres détails pratiques cette plante ne se soucie pas des saisons et aime être arrosée quotidiennement en petites quantités.

Nom : Lysichiton Cantus
Famille : araceae

Description :

le Lysichiton est une plante de taille moyenne, elle peut atteindre les 1m10 de haut. Elle est composé de grande feuille verte et d'une et unique fleur. La fleur est une longue tige (la plus haute de la plante) avec à son bout plein de petit tubercule bleuâtre dégagent une substance incolore et inodore. Ces tubercules sont entourés de 2 feuilles qui ont blanchi, la communauté scientifique à encore du mal à se mettre d'accord si ce sont des feuilles ou des pétales. En effet il arrive que de simples feuilles prennent une couleur similaire (mais toujours en restant légèrement verte). Si on regarde ses racines, on remarquera un rhizome assez imposant presque de la taille d'une carotte. Cette racine est très dur et à une couleur situé entre le vert et le bleu. Quand il est sous la forme de graine, le Lysichiton Cantus ressemble à un petit saphir d'à peine un centimètre de diamètre.

Histoire : Cette plante fut découverte en Amérique par un magicienne qui passait par là. Il gagna une graine mystérieuse lors d'une grande partie d'échec. Le perdant lui signala que c'était une graine rare est précieuse. Quand il retourna en grande Bretagne il s'occupa de cette magnifique petite graine bleu et la planta. Or, chaque jour qui passait, le medicomage se rendit compte que la plante ne poussait pas. Il oublia donc l'idée de voir vraiment une plante sortir de ce pot. Ainsi les jours, les semaines et même les mois passèrent sans aucun changement. Un jour, un nouveau voisin s'installa à côté de chez lui, un jeune homme très spécial. Un soir, alors que le medicomage voulait travailler à sà futur encyclopédie, son voisin alluma à fond une musique qui n'était pas surpotable. Notre chère monsieur dessina donc d'aller voir son voisin pour s'expliquer. Au moment d'ouvrir la porte son oeil tomba sur le pot. Une tige verte était en train de sortir, plus impressionnant encore elle semblait bouger au rythme de la musique. Il fallut 3 semaines au medicomage pour comprendre que c'était le métal et uniquement ce genre de musique qui faisait pousser la plante.
Bien après qu'il est réussi à obtenir quelque graines il s'autorise à utiliser le premier plant pour découvrir ses différentes vertu.

Effets magiques :Le Lysichiton Cantus à plusieurs vertu. Tout d'abord il y a sa substance incolore qui permet de soigner le mal de gorge. Mélangé à la bonne potion, il peut rendre la parole à un muet. Sa racine est connu pour aider les personnes ayant des problème d'audition. Il faut pour cela l'écraser et la broyer jusqu'à temps d'avoir une poudre très fine qui est insérée dans l'oreille du patient.

Quelque soit l'utilisation, il faut faire extrêmement attention au dosage. En effet le liquide issu de la fleur peut vous faire chanter du métal à tu tête (ce qui peut vite fatiguer vos voinsins) tandis que la poudre vous fait entendre du métal pendant un long laps de temps au point de vous faire avoir une très forte migraine (il y a même eu des cas de décès suite à une surconsommation de cette poudre).

Entretien : Cette plante ne peut grandir qu'en écoutant du métal. Elle adore black sabbath, Iron maiden ou encore Korn mais son groupe favori reste Ghost. Dans le silence elle reste à l'état de graine. Cette propriété a l'avantage qu'il est possible de maîtriser sa croissance à la minute près et de la stopper à n'importe quel moment. Pour ce qui est d'autres détails pratiques cette plante ne se soucie pas des saisons et aime être arrosée quotidiennement en petites quantités.

Nom : Moussallica
Famille : Bryophyta (Mousse)

Description : Cette mousse violette (couleur aubergine) pousse sur les arbres isolés ou bien situés en lisière de forêt, afin de maximiser son exposition à la pluie. Son taux de croissance est important, tant et si bien qu'un centimètre carré de Moussallica peut recouvrir un platane adulte en l'espace de 48h. Contrairement à la plupart des autres mousses qui font en général entre deux et trois centimètres, la Moussallica peut atteindre huit à neuf centimètres dans certains cas, étouffant certains arbres sensibles à la chaleur. Elle est considérée comme un parasite néfaste voire dangereux pour la survie de certains bois.


Histoire : Découverte pour la première fois en Finlande durant la deuxième moitié du XXe siècle, la Moussallica fut perçue dans un premier temps comme étant une bénédiction par les populations locales. En effet, certains arbres souffrant du froid extrême des hivers du Nord réussissaient à survivre si ils étaient couverts et réchauffés par un manteau de mousse violette. Néanmoins, cette espèce s'est diffusée assez vite dans d'autres contrées (par le biais du commerce et de la propagation naturelle de l'espèce) et a été rapidement perçue comme problématique, car étouffant certaines espèces d'arbres n'ayant pas besoin d'une couverture. Le commerce de couvertures et de matériaux isolants à base de Moussallica est en pleine expansion et permet aux foyers modestes d'être bien isolés pendant l'hiver.


Effets magiques : Si les premières utilisations de la Moussallica furent purement techniques (isolation, combustible), ses propriétés magiques découvertes sur le tard surprirent les magiciens curieux de cette plante à la croissance exponentielle. Les vapeurs de Moussallica en train de brûler modifient le comportement de la personne qui y est exposé, au point de devoir headbanger sur n'importe quelle mélodie peu ou prou audible par cette personne, que ce soit du Dream Theater ou du Henri Dès. L'incendie d'une forêt en Australie exposée à la Moussallica provoqua le record du monde du headbang simultané le plus important avec près de 14000 participants.
Préparée correctement en tisane, la Moussallica va atténuer le son entendu durant une à deux heures, protégeant les oreilles des personnes exposées à des bruits forts et continus.



Entretien : Cette plante ne peut grandir qu'en écoutant du métal. Elle adore black sabbath, Iron maiden ou encore Korn mais son groupe favori reste Ghost. Dans le silence elle reste à l'état de graine. Cette propriété a l'avantage qu'il est possible de maîtriser sa croissance à la minute près et de la stopper à n'importe quel moment. Pour ce qui est d'autres détails pratiques cette plante ne se soucie pas des saisons et aime être arrosée quotidiennement en petites quantités.

Nom : La Boaliane
Famille : Nepenthaceae

Description : La Boaliane est une plante carnivore magique à tige ligneuse et arbustive qui aime les sols drainés et riches, elle ne supporte pas les sols calcaires et lourd. On la rencontre dans les régions tempérés chaudes ou tropicales, elle pousse sur les arbres ou sur le sol si l’humus y est assez épais. Contrairement à ses cousines moldues dont les fleurs ressemblent à de petits estomac suspendus, ses fleurs sont très gracieuses et élégantes. D’ailleurs les fleurs en question n’ont rien à voir avec le processus de digestion de la plante, elles ne servent que d’appât. En effet chaque printemps la Boaliane prépare une hampe florale portant une dizaine de boutons et semblables à un treillis, après une semaine les boutons éclosent et laissent place à de sublimes fleurs oranges dont les corolles rougeoyantes exhalent un parfum envoûtant. Pour former ses fruits, la plante attend qu’une proie vienne sentir ou manger ses fleurs puis elle avance lentement ses stolons et s’enroule doucement autours de sa proie pour l’étouffer tandis que ses fleurs endorment la victime, la mort par Boaliane est tout à fait indolore. Ensuite ce sont ses stolons constricteurs qui vont se changer en racines pour absorber les éléments nutritifs liés à la décomposition de sa victime. Quand la Boaliane a attrapé une proie, les fleurs fanent aussitôt et la plante se sert de cet apport nutritif pour produire d’énormes fruits comestibles.

Histoire : Beaumont Majoribanks était en apprentissage chez un botaniste en Amérique du sud et il travaillait dans une parcelle très ombragée sur un jeune spécimen de filet du diable avec Felicis son fléreur qui se tenait prudemment à distance de la plante. Après quelques heures de bêchage pour aérer la terre autours de la jeune plante, Beaumont s’est équipé d’un râteau pour lisser le terrain : il avait presque fini. C’est là qu’il s’est aperçu de la disparition de Felicis. Il a appelé le fléreur en entrant dans la jungle alentours sans se préoccuper du danger, trop préoccupé par la disparition de son animal. Pour retrouver son fléreur plus vite Beaumont lança un sortilège de traçage lié à la rune de son collier. Après une dizaine de minutes de marche il tomba enfin sur Felicis.

C’était une vision tout à fait horrible: Felicis était enserré dans d’étranges lianes fines. Beaumont s’agrippa au râteau qu’il avait gardé en main et entreprit d’arracher Felicis des lianes de cette plante meurtrière… Malheureusement la poigne de la plante était solide et son râteau n’avait aucun effet sur elle. Il du se rendre à l’évidence: Felicis était mort, tué par l’assaut traître de cette fleur bizarre. Au début il cru qu’il s’agissait d’un filet du diable sauvage mais après avoir examiné la plante attentivement il s’aperçut qu’il n’avait jamais lu ou vu cette étrange fleur dans un des nombreux livres qu’il avait lu sur la botanique. Il partit chercher le Botaniste chez qui il étudiait pour lui faire part de sa découverte. Ce fût la première plante qu’il découvrit lui-même et il écrivit un brillant article sur la Boaliane l'année suivante.

Effets magiques : Les Sépales jaunes de la plante sécrètent une poudre qui inhalée, a des propriétés sédatives et anesthésiques aussi puissantes que les opiacés moldu. Les fruits quand à eux sont extrêmement énergétiques et protéinés et sont utilisés pour traiter les cas graves de dénutrition aussi bien en médicomagie que chez les magicozooligstes qui récupèrent des animaux maltraités. Le goût carné mais sucré du fruit en fait un aliment facile à donner aussi bien aux animaux végétariens qu’aux carnivores. Les botanistes n’ont pas encore trouvé d’usage aux stolons de la plante mais leur capacités à se transformer et à réagir à leur environnement avec rapidité semblent prometteuses.

Entretien : La plante ne peut-être cultivé dans les régions tempérés que dans une serre car elle a besoin d’une température minimale de 20° sans quoi sa sève se fige et elle dépérit rapidement. Elle a besoin d’être arrosé assez régulièrement son substrat doit rester perpétuellement humide. La plante quand elle est cultivée en serre est rarement alimenté en viande car les fleurs se fanent dès que la plante en consomme alors que la plupart du temps on la cultive pour le parfum de ses fleurs et pour la poudre somnifère de ses sépales. Toutefois quand on souhaite récolter des fruits il devient nécessaire de nourrir sa Boaliane, pour cela on utilise normalement des rats ou d’autres nuisibles comme les lutins par exemple. Il suffit de les lâcher dans la serre et d’attendre quelques heures, en général tous les nuisibles sont mort quand on revient. Si cette plante n’était pas aussi dangereuse pour les être humains elle pourrait sans doute être utilisé pour dératiser son jardin, mais la réglementation interdit la culture de la Boaliane pour qui n’est pas Botaniste...

Nom : Crépusculépine à fleurs mauves
Famille : Rosacées

Description : La crépusculépine est un petit arbre pouvant mesurer au maximum cinq mètres. Son tronc est marron, assez fin comparativement au volume occupé par un arbre adulte (superficie projetée au sol de plusieurs mètres carrés) et son écorce est très fine. Ses feuilles sont vertes pâles et très rugueuses, voire abrasives si la température est élevée. La crépusculépine produit de petits bourgeons semblables à des baies et de couleur orange qui éclosent à l'hiver. Le sépale conserve cette couleur orange, tandis que la corolle de la fleur est d'un violet profond. Toutefois, si la fleur est très jolie et régulièrement utilisée dans des compositions florales (en ikebana, notamment), elle ne peut être utilisée que séchée car son odeur pestilentielle irrite les voies respiratoires en cas d'exposition prolongée.

Histoire : La crépusculépine pousse dans nos contrées européennes depuis très longtemps. Les relevés archéologiques montrent que les gaulois se servaient déjà des fleurs séchées comme base pour faire des colorants et des teintures. Ses utilisations sont multiples tant ses propriétés sortent du lot. Tout d'abord, ses feuilles abrasives servent l'été à poncer les murs des batiments tant son contact est dur pour la pierre calcaire. Ensuite, ses fleurs à l'horrible odeur ont également été utilisées comme des proto-armes biochimiques. En effet, attachées à des boulets propulsés par effet de levier via une catapulte, leur odeur pouvait faire déserter un camp de soldats en moins de cinq minutes si les fleurs étaient dispersées en plein milieu du camp. De nos jours, la crépusculépine est tombée en désuétude et les gens se méfient juste de l'odeur des fleurs quand vient le temps de la floraison.

Effets magiques : Les effets magiques de la crépusculépine sont encore mal connus, et ce alors que l'arbre existe et est identifié depuis des millénaires maintenant. Jusqu'à présent, tous les essais pour utiliser les fleurs de manière non-moldue ont échoué malgré de nombreuses tentatives. Les premiers embryons de piste viennent de laboratoires magiques italiens qui se servent de l'écorce pour la fondre en sirop et en faire une potion qui amplifie la voix au même niveau que le sort qui a la même fonction. Des sorciers théoriciens pensent qu'en trouvant la formule adéquate, il serait possible d'utiliser l'écorce de crépusculépine pour faire repousser les cordes vocales, mais ces travaux restent encore sujets à débat.

Entretien : Si les humains n'aiment pas le contact avec les feuilles de crépusculépine, l'arbre non plus n'en est pas particulièrement friand. Aussi, un bon coup de râteau pour enlever les feuilles qui tombent à l'été permet à l'arbre de pousser en toute quiétude (et aussi d'éviter de marcher pieds nus dessus). L'arbre n'a pas besoin de beaucoup d'autre chose, si ce n'est d'un accès au soleil standard (ne pouvant donc pousser sous une canopée épaisse).

Nom : La Passiflora ante desiderabilis ou Passiflore Répulsive / Repuflore
Famille : Angiosperme (dicotylédone)

Description :
La Passiflore répulsive est une plante grimpante de la famille des Pacifloraceae. Elle possède une tige principale pouvant faire plusieurs dizaines de mètres de long.

Cette grande famille a la particularité de développer des feuilles de formes très variées afin de repousser certaines espèces de papillons qui les apprécient particulièrement pour pondre des œufs et offrir ainsi à leur progéniture de la nourriture à volonté lors de l'éclosion. La répulfore a pour sa part développé des feuilles en forme de râteau rendant la ponte des insectes quasiment impossible car les œufs tombent systématiquement au sol où ils sont dévorés.

Comme toutes les espèces de sa famille, elle possède des fleurs spectaculaires et abondantes si les conditions climatiques le permettent. Les pétales qui composent la corolle sont longs, filamenteux et d'une couleur blanchâtre. Les sépales sont eux bien larges pour soutenir la fleur et d'une belle couleur rouge pour attirer les polinisateurs. Les fleurs s'ouvrent à la lumière du soleil et se referment quand vient le soir devenant alors presque invisible car les sépales sont verts sur la partie extérieure. Par forte chaleur, la fleur dégage une odeur entêtante de vomi.

Une fois fécondée, la fleur donne un fruit ressemblant à une petite orange à la peau lisse.

Histoire :
Originaire d'Amérique du Sud, cette plante a été découverte par les premiers colons espagnols mais délaissée à cause de son odeur horrible et malgré son utilisation par les autochtones pour réaliser des baumes répulsif pour les insectes. Il faudra attendre le XXe siècle pour qu'un sorcier cherchant à se faire passer pour malade afin d'éviter un repas de famille découvre son intérêt magique.

Effets magiques :
Les pétales des fleurs, finement hachées par temps ensoleillé, entrent dans la composition finale des pastille de gerbe des frères Weasley, assurant une mauvaise haleine pendant plusieurs heures aux pseudo-malade qui les consomment.

Les fruits, associés à un dard de Billywig, permettent la fabrication d'un baume apaisant pour les sorciers stressés ou d'une potion de sommeil profond permettant d'entrer immédiatement dans la phase de rêve. Il faut cependant prendre soin de les ramasser de nuit pour éviter une odeur oppressante.

Entretien :
Cette plante n'est pas difficile d'entretien. Elle apprécie les zones semi-ombragée (et les jardiniers également pour éviter une odeur trop forte) et un sol sec à tendance calcaire. Un mur pour soutenir la poussée initiale de la plante est nécessaire.