12 Septembre 2045
Deuxième année de Magdaleen

Magdaleen n’avait pas pu résister. Ses pas l’avait conduite vers les serres
La botanique était une de ses matières préférées. Elle se sentait une affinité avec ces etres vivants, les seuls à ne l’avoir pas abandonné, qui ne la jugeait pas, et qui êtait fascinantes. Elle aimait l’ambiance de ces serres. Cela la détendait, elle avait l’impression de ne plus avoir de problèmes. Les plantes sont très intéressante, quant on prend la peine de les observer. Et Magdaleen adorait les observer. Elle avaient chacune les particularités, leur mode de vie. Elle aimait s’occuper des plantes. Elle aurait aimé demande à son professeur de lui apprendre mais n’avait encore jamais eu l’occasion de lui parler sans ses camarades.

Le dernier cours avait été intéressant. C’était juste dommage que les gens de sa classe ne connaissent pas le silence. Magdaleen avait appris à l’aimer, et le brouhaha de sa classe la dérangeait en cours. Surtout pour la botanique, où elle s’efforcait d’être attentive.

Aujourd’hui, sa curiosité et son envie avaient été trop forte. Elle se dirigeait vers la serre n°4, tout en se promettant qu’elle ne ferait que regarder,. Toucher avec les yeux, disais sa mère. Elle entrerais, ne toucherait à rien et regarderait.

Elle passa devant la serre n°5 . L'interdite. Mais Magdaleen n’était pas curieuse. Elle savait que, quant elle serait digne d’y entrer, elle y entrerais. Pas avant. D’abord, il fallait aquérir des compétences. Elle aurait aimer croiser M Featherstone, pour lui demander de lui apprendre à s’occuper des plantes. Elle était prête à venir après les cours les entretenir, ce serait vraiment un plaisir. Mais il fallait qu’elle puisse lui parler quant il pourrait lui répondre, sans ses camarades. Elle espérait que le professeur l'aimait bien. Après tout, elle était calme, studieuse, sérieuse, polie et adorait les plantes. Quoi de mieux ?

À petit pas, elle approchait de son but. La serre n°4 Celle du dernier cours, ou elle s’êtait sentie si bien. La serre qu’elle avait rebaptisé «  Méditeranéenne » , pour son ambiance

Elle poussa la porte. Et huma l’air. Elle regarda devant elle. M Featherstone ! En train de tailler une plante, visiblement absorbé par son travail. Elle n’était pas certaine qu’il l’ai entendue arriver . Mais il était là ! Son premier réflexe fut de paniquer. Mais elle réfléchit. Pour l’instant, elle n’avais rien fait de répréhensible. Et, occasion rêvée, elle était seule avec son professeur. Bonne situation, tout compte fait. Il ne fallait pas s’affoler

Alors , attendant qu’il ai relevé la tête, et arrêté un court instant de tailler, d’une voix claire, elle lança :

- Bonjour Monsieur Featherstone !

Elle continua, d’une voix cependant plus transparente, son désir d’aider était presque audible

- Pourrais je vos aider ? Je .., j’aime vraiment bien la botanique et ... je ferai très attention

Car, en effet, elle venait de trouver la solution: aider . Ainsi, elle apprendrait quelque chose, pourrais s’occuper des plantes et en même temps, se mettre dans les bonnes grâce du professeur, pour lui demander à la fin si il pouvait lui apprendre.
Anxieuse, elle attendis la réaction de M.Featherstone. De tout son être, elle souhaiterai l’aider

@Archibald Featherstone , je suis désolée des fautes de frappes, je suis un peu fatiguée et sur tablette. J’essaye de corriger cela

Le mardi n'était pas le jour le plus tranquille pour le professeur. Il venait de terminer son cours avec les cinquième année, et profitait désormais du silence des serres pour tailler les sauges qui avaient pris du volume pendant l'été.

Les serres étaient bien calmes, il fallait dire que, malgré le fait qu'elles soient ouvertes, peu d'élèves s'amusaient à y passer leurs heures libres. Cela désolait un peu le professeur, qui voyait un manque d'intérêt pour les plantes. Il aurait aimé que ses élèves soient suffisamment curieux pour venir apprendre d'eux-mêmes sur leur temps libre. Mais il ne se rendait pas compte. Il ne se rendait pas compte qu'ils ne nourrissaient pas tous la passion pour la Botanique, comme il le faisait. Il ne se rendait pas compte qu'un adolescent avait d'autres préoccupations que de venir voir des êtres immobiles, qu'il n'y avait pas que la Botanique dans leur programme.

Le professeur n'était, cependant, pas à s'apitoyer sur ce sort. C'était l'opportunité pour lui d'avoir un peu de tranquillité. Il taillait les sauges, branches par branches, et déposait les feuilles dans un bac, délicatement.

C'est alors qu'il entendit une voix à ses côtés, sans tout d'abord en comprendre les mots. Sa concentration était telle que les premières paroles de la jeune fille se mélangèrent en un amas de syllabes incompréhensibles. Il fallait dire que sa surdité partielle n'aidait pas. Il comprit la fin de sa phrase, et devina qu'elle souhaitait l'aider.

"Bonjour Miss, bien sûr que vous pouvez. Attendez, je vous prends un sécateur."

L'intérêt que la jeune fille portait à sa matière l'égaya. Cela changeait des jeunes élèves qui venaient pour arracher les feuilles des arbres et crier quand un chou mordeur montrait ses dents. Le professeur sortit sa baguette, et d'un Accio fit voler un sécateur à travers la serre jusque dans sa main. Il les tendit à la Serdaigle, le devinant par l'écusson de son uniforme.

"Si tu es maladroite, tu peux prendre des gants. Dit-il. Puis il commença à lui expliquer sa tâche : Je taille les sauges, car elles ont pas mal poussé cet été, et elles commencent à gêner le passage. Donc il faut juste retirer les branches gênantes en les coupant à leur base. Et tu peux aussi retirer les feuilles endommagées par les insectes, comme celle-ci."

Il montra à la jeune fille une feuille trouée et un peu noircies. Il la retira ensuite et la laissa tomber au sol.

"Tu peux laisser les mauvaises feuilles à terre. Pour les branches, mets-les dans ce petit bac, les feuilles nous seront utiles."

"Bonjour Miss, bien sûr que vous pouvez. Attendez, je vous prends un sécateur."

Cette phrase mis Magdaleen au septième ciel. Elle avait le droit ! Et le professeur n’était pas fâché de voir qu’elle était entrée dans la serre ! De surcroît, elle aurais l’occasion de toucher !

L’Accio de son professeur l’étonna. Elle s’était attendue à ce qu’il aille le chercher à pied. Mais, aptes tout, c’était encore mieux. Pas besoin de se bouger, et utiles la magie était logique.

"Si tu es maladroite, tu peux prendre des gants. Dit-il. Puis il commença à lui expliquer sa tâche : Je taille les sauges, car elles ont pas mal poussé cet été, et elles commencent à gêner le passage. Donc il faut juste retirer les branches gênantes en les coupant à leur base. Et tu peux aussi retirer les feuilles endommagées par les insectes, comme celle-ci."


Il lui montra une feuille trouée et un peu noircie. Quel insecte avait donc fait cela ? Il y avait multiples possibilités , et Magdaleen se promit d’y réfléchir. Il la retira ensuite et la laissa tomber au sol.

"Tu peux laisser les mauvaises feuilles à terre. Pour les branches, mets-les dans ce petit bac, les feuilles nous seront utiles."


Elle suivi attentivement ces consignes. Elle n’était pas maladroite, et détenait mettre les gants lorsque cela n’est pas nécessaire. Elle commença à tailler. Délicatement, elle enlevait les feuille, et coupait bien les branches qui avaient le malheur de dépasser, plant par plant, branche par branche. Avec minutie. Il ne fallait pas se tromper, elle voulait contenter M. Featherstone avec un travail exemplaire. Travaillant en silence, absobée par sa tâche, et devinant que son professeur appréciait autant qu’elle le fait de ne pas avoir de bruit ni de conversation bruyante. Elle laissait les feuilles à terre, et mettait les branches dans le bac, qui se remplissait rapidement. Au bout de dix minutes environ, elle posa la question qui occupait son esprit depuis que le professeur lui avait donné la consigne.

- Monsieur ? Nous laissons les feuilles à terre pour qu’elles se décomposent et qu’elles fassent de l’engrais, n’est ce pas ? Est ce le cas de toute les plantes à feuilles ? Et pouvons nous donner un engrais de ce genre, provenant d’une plante magique, à une autres plante, ou celle ci « refuserait » cet engrais ?

Puis elle se tut, redoutant un peu la réaction de M.Featherstone, qui n’aimait peu être pas étendre son silence rompue. Car de temps en temps, elle même n’aimait pas entendre les gens alors qu’avant il n’y avait pas de bruit. Entendre les gens parler était parfois exaspérant. Elle examina une des feuilles, pour constater qu’elle avait l’air normale. A part la légère noirceur et les trous, évidemment.

L'adolescente semblait avoir compris les consignes du professeur : tant mieux! Le sérieux qu'elle dégageait plaisait au vieil homme, elle s'intéressait aux plantes, et le professeur ne pouvait qu'apprécier. Il continua lui aussi la taille de la sauge.

Le professeur aimait particulièrement tailler cette plante, car les feuilles étaient douces, et la texture proche du velours était plaisante aux doigts. L'odeur de la sauge n'était pas mauvaise aussi, elle embaumait l'espace environnant d'un arôme alléchant, ce n'était pas pour rien qu'on la retrouvait dans certains plats.

Ils travaillaient, tous deux, en silence. Le professeur aimait beaucoup cette manière de fonctionner, la jeune fille était efficace, cela changeait des étudiants qui râlaient à chaque travail manuel. L'adolescente brisa alors le silence pour poser une question. Cela ne gêna pas du tout le professeur, il aimait beaucoup la curiosité, sans doute qu'il trouvait que c'était la meilleure des qualités, lorsqu'elle était bien utilisée.

"Non, je nettoie les serres après, je les laisse pas se décomposer ici. Je les mets après dans des bacs à compost, à l'extérieure. Le compost des plantes, même provenant des plantes magiques, peut servir pour les plantes moldues, comme celle-ci, car en se décomposant, la magie se perd. Par contre, c'est assez peu efficace pour les plantes magiques, je privilègie donc le compost de bouse de dragon. Il est un peu odorant, mais il n'y a rien de plus efficace pour faire pousser les plantes magiques!"

Le professeur reprit son travail. Il engagea à son tour un peu la discussion, tout en restant concentré :

"Tu as déjà mangé au fait? Ça va vite être l'heure du couvre-feu, si je ne me trompe pas."

"Non, je nettoie les serres après, je les laisse pas se décomposer ici. Je les mets après dans des bacs à compost, à l'extérieure. Le compost des plantes, même provenant des plantes magiques, peut servir pour les plantes moldues, comme celle-ci, car en se décomposant, la magie se perd. Par contre, c'est assez peu efficace pour les plantes magiques, je privilègie donc le compost de bouse de dragon. Il est un peu odorant, mais il n'y a rien de plus efficace pour faire pousser les plantes magiques!

Magdaleen avait un peu honte. Elle avait basé sa question sur le fait que les feuilles resteraient ici, et elle s’était trompée" que pensait donc d’elle le professeur ? Mais, tout de suite après, le professeur lui avait appris beaucoup de choses très interessante. Elle se demanda où le professeur trouvait sa bouse de dragons". Et où l’entreposait il. Malodorant devait être un euphémisme. Donc plante magique = engrais = bouse de dragons. Comme quoi rien ne se perd, tout se recycle !

Le professeur reprit son travail. Elle aussi. Les feuilles étaient douces, un peu comme dû tissus. Ce n’était pas du tout désagréable à tailler. Magdaleen profitait pleinement de ce moment. Elle fut surprise qu’a un Moment, ce soit le professeur qui engagea à son tour un peu la discussion, tout en restant concentré :

"Tu as déjà mangé au fait? Ça va vite être l'heure du couvre-feu, si je ne me trompe pas."

On non. Le couvre feu. Il était déjà 20h30 ! Elle n’avais pas vu le temps passer ! heureusement qu’elle avait fait ses devoir ... Elle n’avais pas manger. Et, mantenat qu’elle le découvrait, elle s’éait Rendue compte qu’elle commençais à avoir faim. Effie n’allait pas être contente. Mais aurais elle le temps de manger ? Décidément, c’était problématique. Elle n’avais pas vu que le jou déclinais. Zut. Eh bien, elle ne mangerais pas ce soir là. la Botanique justifiait ce petit sacrifice, et ce n’était pas cela qui allait la tuer. Et puis, elle n’avais pas si faim que cela. Juste un peu. Cependant, elle décida de dire la vérité. Tout en continuant à tailler minutieusement, elle répondit

Non monsieur, je ne crois pas. Mais ce n’est pas grave , je n’ai pas très faim. Je n’ai pas vu le temps passer. J’aime bien entretenir les plantes

Elle espérait ne pas avoir de punition pour le couvre feu Après tout, elle était avec un professeur, non ? A la serre, oui, mais c’est dans l’école que tu aura une retenue, ne put elle s'empêcher de penser. C’était .... problématique

@Archibald Featherstone

"Non, je ne crois pas", comment pouvait-on ne pas être sûre de na pas avoir mangé? Le professeur écouta la jeune fille, sans broncher. Elle n'avait visiblement pas faim, préférant rester dans les serres. Le professeur comprenait la jeune fille, il était pareil.

"Les cuisines doivent être fermées maintenant... On a encore un peu de temps devant nous, juste de quoi attacher les feuilles ensemble."

Le professeur n'était pas très à cheval sur les horaires du soir, il se disait que de toute manière, la jeune fille n'était pas en insécurité puisqu'elle était accompagnée. Il préférait de loin cela à une élève qui traîne dans les couloirs.

Le professeur se leva alors et prit la bac rempli de branche et de feuilles. Il fit signe à la Serdaigle de le suivre en direction de la table de travail qui se trouvait dans la serre. Il y vida le contenu du bac et expliqua à la jeune fille.

"La deuxième tâche va être d'attacher les feuilles ensemble, par le pétiole, la petite tige des feuilles."

D'un coup de baguette, le professeur fit voler une bobine de ficelle vers eux.

"Je te montre comment on fait. Tu prends quelques feuilles, environ cinq, en les prenant bien à la base. Tu les réunis ensemble et tu prends un bout de ficelle, puis tu les attaches en faisant un nœud, c'est plutôt simple, non?"

Au fur et à mesure de ses explications, le professeur Featherstone réalisait la tâche pour montrer l'exemple. Il obtenait à la fin une petite botte de feuilles de sauge. Il invita ensuite l'apprenti botaniste à faire de même.

Les cuisines doivent être fermées maintenant... On a encore un peu de temps devant nous, juste de quoi attacher les feuilles ensemble.

Pas de repas ce soir. Affaire pliée. Tant mieux. Avec un peu de chance, il lui restait une chocogrenouille dans son dortoir. et en plus, il lui donnait une autre tache à faire. Magdaleen était heureuse de l'aider, et de voir ce que l'on allait faire des plantes


Le professeur se leva alors et prit la bac rempli de branche et de feuilles. Il fit signe à la Serdaigle de le suivre en direction de la table de travail qui se trouvait dans la serre. Il y vida le contenu du bac et expliqua à la jeune élève.

"La deuxième tâche va être d'attacher les feuilles ensemble, par le pétiole, la petite tige des feuilles."

D'un coup de baguette, le professeur fit voler une bobine de ficelle vers eux. Décidément, il aimait bien dire Actio

"Je te montre comment on fait. Tu prends quelques feuilles, environ cinq, en les prenant bien à la base. Tu les réunis ensemble et tu prends un bout de ficelle, puis tu les attaches en faisant un nœud, c'est plutôt simple, non?"

Au fur et à mesure de ses explications, le professeur Featherstone réalisait la tâche pour montrer l'exemple. Il obtenait à la fin une petite botte de feuilles de sauge. Il invita ensuite Magdaleen à faire de même. Se concentrant sur sa tâche, elle imita le professeur . Rassembler cinq feuilles .... les attacher avec un bout de ficelle ( elle fit un noeud qui tiendrait, bien que peu difficile à enlever pour les mains humaines) ...elle obtint une petite botte de sauge, peu être un peu plus petite que celle de son professeur.

- Comme cela monsieur ?

Elle espérait que sa méthode était la bonne; après tout, sa botte ressemblait à celle de M. Featherstone, non ?

Le professeur venait de terminer sa première botte de sauge, et il regarda alors comment s'en sortait la Serdaigle. Elle répétait les mouvements qu'elle avait vus avec une bonne précision, le professeur n'avait rien à redire. Il se contenta de lui dire que son travail était parfait, et il commença à son tour à attacher les feuilles ensemble.

L'odeur de la sauge embaumait l'air et le professeur ne pouvait sentir que cela. Le parfum de la plante, rappelant la saveur de certains plats, ouvrait l'appétit du vieil homme. Mais il n'avait pas pour habitude d'être perturbé par le besoin de satiété, impassible il continuait son travail quoiqu'il en coûtait.

Grâce à l'aide apportée par l'adolescente, le tas de feuilles diminuait vite, le professeur en était content car il était certain que seul, il en aurait eu pour une partie de la nuit. Il aurait cette fois plus de temps pour préparer les cours de la semaine à venir, ou alors compléter le journal qu'il gardait dans son bureau, à l'abri de tous.

Alors que le professeur continuait d'assembler les feuilles entre elles, il se disait qu'il était assez rare de voir une élève venir d'elle-même pour travailler la Botanique, surtout à une heure aussi tardive.

"Miss Rosenberg... Roseberg? Le professeur avait un doute sur le nom de la jeune fille. D'où vous vient ce goût pour la Botanique? Vous voulez vous diriger vers ce domaine plus tard? Demanda-t-il par curiosité."

"Miss Rosenberg... Roseberg ?D'où vous vient ce goût pour la Botanique? Vous voulez vous diriger vers ce domaine plus tard ?


- Ce goûts... les plantes me fascinent. Je .... elle ont toutes leur particularitées, toutes différentes, avec des propriétés toute différente. Elle vivant, elle ressentent des choses ! Un jours, j’ai été leur lire un livre .... les contes de Beedle le Barde, pot qui mordait. Le géranium dentu a beaucoup aimé. Il frémissait ! Elles sont toutes différentes, fascinantes. Elle sont uniques au monde.
Et j’aime bien m’en occuper. J’ai l’impression de créer un lien avec elles. Apprendre la maximum de choses sur elles est un but. J’aimr bien bien le diriger vers ce domaine plus tard.
Mais j’adore l’Histoire de La Magie, aussi. En fait, je pensais prendre la filières Sciences. Et après... être botaniste me plairait, mais je ne sait pas trop en quoi cela consiste, et ne connaît pas beaucoup de métier en lien avec les plantes.
Les plantes sont moins compliquées que les humains.
Qu’y a t’il dans le domaine de la botanique plus tard, à part botaniste ?


Elle se tu, s’étant dévoilée.Une des principales raisons de son amour pour les plantes était qu’elle ne jugeait pas, et ne l’abandonnerait jamais. Cela l’avait soulagée, l’année dernière. Les plantes avaient étées son réconfort. Elle eut un pincement au cœur en repensant à la plante qui lui avait été refusée par ses parents. La déception demeurait, même si elle savait les causes de ce refus
Le professeur venait de la confronter au choix, que, un jour, elle devrait faire : Histoire de la Magie ou Botanique ? Ces deux matières occupaient son cœur d’élève. Un dilemme cornélien. Quant elle y repensait, cela lui paraissait très loin. Mais le choix des filières se ferait cette année. Et, rien que d’y penser, Magdaleen était anxieuse. Très anxieuse. Cependant, si son professeur l’informait, elle y verrait déjà plus clair. Ce serait une avancée

Désolée du délais de réponse inacceptable
J’ai essayer de limiter les fautes frappes comme orthographe. Mon correcteur perdra cette bataille, j’y arriverais

La question, plutôt simple, du professeur entama un long monologue de la jeune fille. Le vieil homme écouta la jeune fille se livrer. Elle lui racontait ce qu'étaient les plantes pour elle, et il aimait la vision enfantine qu'elle avait. Elle évoquait la réaction des végétaux quand elle leur lisait des contes, ce qui esquissa un sourire sur les lèvres du professeur. Évidemment que les plantes n'avaient pas conscience de ce que la jeune fille leur racontait, mais c'est vrai que le lien qui se formait de par ce temps passé avec eux était souvent réconfortant.

Elle expliqua ensuite ses doutes sur son choix d'orientation. Un tel choix n'était pas chose facile, surtout lorsque deux filières intéressaient la personne concernée. Le professeur, quant à lui, n'avait pas eu ce choix à faire quand il était plus jeune : ses parents avaient décidé cela pour lui, lui imposant la filière Auror qu'il avait tant haïe par la suite.

"L'Histoire de la Magie et la Botanique sont toutes deux intéressantes, c'est bien vrai. Tu sais, tu peux toujours choisir une filière qui n'a qu'une seule de ces deux matières, il t'est possible de prendre l'autre en option, ce qui ne te portera pas préjudice lors de ton entrée en école supérieure. Expliqua-t-il."

Magdaleen lui avait également demandé quels autres métiers il y avait dans le domaine de la Botanique. Il y répondit alors :

"La botanique est très utile, indépendamment des autres domaines ou non. Tu peux être botaniste à ton compte, ce qui consiste à étudier les plantes et leurs propriétés. Tu peux travailler avec des potionnistes également, si tu aimes les Potions, car les plantes sont très souvent utilisées dans ce domaine. Tu peux aussi te diriger vers la Médicomagie, pour soigner les gens à l'aide des plantes et des potions, c'est ce que je faisais au tout début. Puis, il y a la vulgarisation et le professorat, comme je fais actuellement, en parallèle des études que je mène sur les plantes. Le métier de Botaniste n'est pas forcément le métier qui rapporte le plus, c'est un métier de passion."