RPG Cours de DCFM
Les cinq petits Botrucs s'étaient rués sur les élèves, et Clément Folcony, de Serpentard, n'avait pas eu le temps de sortir sa baguette que le Botruc l'avait déjà griffé aux mollets et était monté sur son torse. D'un coup de baguette, Amy envoya voler la créature à l'autre bout de la pièce, et voyant que le jeune garçon avait été choqué par l'attaque, elle prit le soin de l'envoyer à l'infirmerie, pour un petit calmant. Revenant à ses moutons, enfin, à ses élèves, vous connaissez l'expression, elle prit soin de regarder comment ils s'en sortaient face aux Botrucs, en espérant secrètement que l'un d'entre eux ne subisse pas le même sort que leur camarade.
Wilson Kingson, bien qu'un peu effrayé, avait pourtant réussi à repousser le Botruc qui le menaçait. Elle l'entendit également s'exclamer qu'il n'aimait pas ce sortilège, et cela fit sourire Amy. Que le jeune garçon se rassure, celui-ci ne serait plus employé dans la suite du programme que la rousse avait concocté.
Arthur Grimms, quant à lui, semblait bouder. Peut-être que les paroles d'Amy ne lui avaient pas plues, mais il en était ainsi. En tout cas, contrairement aux grenouilles, le jeune garçon n'avait eu aucun scrupule à lacer le sort sur le Botruc et voir celui-ci s'évaporer.
Et enfin, Bulle Stevens avait réussi avec une facilité déconcertante et sans pitié à repousser le Botruc. Ce petit bout d'élève semblait vraiment féroce. Deux Botrucs étaient toujours en liberté, mais en voyant l'air effrayé de Wilson Kingson, Amy ne jugea pas utile de les laisser en liberté trop longtemps. De plus, les trois première année avaient réussi du premier coup le maléfice de Répulson, il était donc inutile, selon la professeure, de les garder sur ce cycle plus longtemps. Les Botrucs restant furent emprisonnés magiquement dans leur cage argentée, et Amy reprit la parole.
« Très bien, vous avez su repousser efficacement les Botrucs. Nous allons passer au troisième cycle, étant donné que vous avez réussi du premier coup ».
Amy repoussa la table se trouvant à l'origine au milieu de la salle, et apporta le mannequin en plastique, qu'elle posa sur le sol, entre elle et ses élèves. Les jambes droites, les bras le long du corps, bref, un peu comme un cadavre. Ce que les élèves ne savaient pas encore, c'est qu'à la fin de cette partie, une petite surprise les attendrait. Non pas un énorme morceau de Patacitrouille, ça ils le savaient déjà, mais plutôt un avant-goût du programme dans l'une des années supérieures. Cette idée était venue dans la tête de la professeure alors qu'elle mettait en place le mannequin.
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
La jeune femme s'assit sur une chaise, face au mannequin et au premier élève. Juste en levant la tête, elle pouvait voir les aiguilles tourner dans l'horloge. La professeure ne possédant pas de chronomètre, cette option était la plus pratique. Lors de chaque passage, Amy leur indiquerait le commencement et la fin de leur « épreuve ». Secrètement, elle espérait que ce cycle là leur plairait. Le P.E.A.S n'était pas quelque chose de stressant, et de plus, ils avaient tout leur temps, aucune créature ne leur sauterait dessus.
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
Wilson Kingson, bien qu'un peu effrayé, avait pourtant réussi à repousser le Botruc qui le menaçait. Elle l'entendit également s'exclamer qu'il n'aimait pas ce sortilège, et cela fit sourire Amy. Que le jeune garçon se rassure, celui-ci ne serait plus employé dans la suite du programme que la rousse avait concocté.
Arthur Grimms, quant à lui, semblait bouder. Peut-être que les paroles d'Amy ne lui avaient pas plues, mais il en était ainsi. En tout cas, contrairement aux grenouilles, le jeune garçon n'avait eu aucun scrupule à lacer le sort sur le Botruc et voir celui-ci s'évaporer.
Et enfin, Bulle Stevens avait réussi avec une facilité déconcertante et sans pitié à repousser le Botruc. Ce petit bout d'élève semblait vraiment féroce. Deux Botrucs étaient toujours en liberté, mais en voyant l'air effrayé de Wilson Kingson, Amy ne jugea pas utile de les laisser en liberté trop longtemps. De plus, les trois première année avaient réussi du premier coup le maléfice de Répulson, il était donc inutile, selon la professeure, de les garder sur ce cycle plus longtemps. Les Botrucs restant furent emprisonnés magiquement dans leur cage argentée, et Amy reprit la parole.
« Très bien, vous avez su repousser efficacement les Botrucs. Nous allons passer au troisième cycle, étant donné que vous avez réussi du premier coup ».
Amy repoussa la table se trouvant à l'origine au milieu de la salle, et apporta le mannequin en plastique, qu'elle posa sur le sol, entre elle et ses élèves. Les jambes droites, les bras le long du corps, bref, un peu comme un cadavre. Ce que les élèves ne savaient pas encore, c'est qu'à la fin de cette partie, une petite surprise les attendrait. Non pas un énorme morceau de Patacitrouille, ça ils le savaient déjà, mais plutôt un avant-goût du programme dans l'une des années supérieures. Cette idée était venue dans la tête de la professeure alors qu'elle mettait en place le mannequin.
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
La jeune femme s'assit sur une chaise, face au mannequin et au premier élève. Juste en levant la tête, elle pouvait voir les aiguilles tourner dans l'horloge. La professeure ne possédant pas de chronomètre, cette option était la plus pratique. Lors de chaque passage, Amy leur indiquerait le commencement et la fin de leur « épreuve ». Secrètement, elle espérait que ce cycle là leur plairait. Le P.E.A.S n'était pas quelque chose de stressant, et de plus, ils avaient tout leur temps, aucune créature ne leur sauterait dessus.
Reducio
Voici donc la troisième « partie » de ce RPG cours. La consigne est unique et des plus simples : décrivez votre passage avec le mannequin. Pensez à développer les quatre parties du P.E.A.S, si vous vous sentez confiant, angoissé, détendu etc. J'ai établi un ordre de passage dans le RPG. Si la personne avant vous n'a pas posté alors que votre texte est prêt, envoyez moi un hibou et je me chargerai de changer l'ordre. J'ai juste établi celui-ci en fonction de l'ordre de réponse dans le sujet.
Je vous laisse une semaine et demi pour répondre, c'est à dire jusqu'au 16 juillet. J'y répondrai sans doute quelques jours plus tard, étant donné que je serai en vacances et que j'en profiterai au maximum. Si vous avez besoin d'un délai supplémentaire pour poster, n'hésitez pas à m'envoyer un hibou, c'est parfaitement compréhensible en période de vacances scolaires.
Je vous laisse une semaine et demi pour répondre, c'est à dire jusqu'au 16 juillet. J'y répondrai sans doute quelques jours plus tard, étant donné que je serai en vacances et que j'en profiterai au maximum. Si vous avez besoin d'un délai supplémentaire pour poster, n'hésitez pas à m'envoyer un hibou, c'est parfaitement compréhensible en période de vacances scolaires.
Reducio
A l'attention de Monsieur Folcony : Je n'ai pas reçu de hibou de votre part, ne vous attendez pas à recevoir ce qui suit par message privé.
En vous inscrivant à cette animation, vous vous êtes engagé à répondre dans les délais proposés. Hors en quinze jours, vous êtes le seul qui n'ait pas posté dans le RPG cours. Sachant que votre dernière connexion remonte au 2 juillet, vous deviez forcément savoir que votre réponse était attendue. Pourtant, je n'ai reçu aucun hibou de votre part m'indiquant que vous étiez dans l'impossibilité de répondre dans les temps, contrairement à Aaron Marshall qui, même avec des soucis de connexion, a pris la peine de me prévenir. Lorsque vous avez du poster la première fois, vous l'avez fait deux heures avant ma propre réponse, et déjà à ce moment là, vous avez eu de la chance que je vous autorise à continuer. Vous êtes donc exclu du RPG-cours, et ne pourrez participer aux futures animations en rapport avec la DCFM que je proposerai. Vos camarades dans le besoin de cette animation (notamment ceux ayant des difficultés en RPG), peuvent vous remercier de leur avoir bloqué une place.
En vous inscrivant à cette animation, vous vous êtes engagé à répondre dans les délais proposés. Hors en quinze jours, vous êtes le seul qui n'ait pas posté dans le RPG cours. Sachant que votre dernière connexion remonte au 2 juillet, vous deviez forcément savoir que votre réponse était attendue. Pourtant, je n'ai reçu aucun hibou de votre part m'indiquant que vous étiez dans l'impossibilité de répondre dans les temps, contrairement à Aaron Marshall qui, même avec des soucis de connexion, a pris la peine de me prévenir. Lorsque vous avez du poster la première fois, vous l'avez fait deux heures avant ma propre réponse, et déjà à ce moment là, vous avez eu de la chance que je vous autorise à continuer. Vous êtes donc exclu du RPG-cours, et ne pourrez participer aux futures animations en rapport avec la DCFM que je proposerai. Vos camarades dans le besoin de cette animation (notamment ceux ayant des difficultés en RPG), peuvent vous remercier de leur avoir bloqué une place.
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
RPG Cours de DCFM
Tous les élèves avaient réussi du premier coup leur sortilège. Arthur ne put s'empêcher de se dire que c'était quand même bien la classe et qu'ils pouvaient être fiers de leur petit groupe. Avec un petit peu de chance, ça avait même impressionné miss Holloway.
Après cet exercice, le petit Serpentard remarqua une nouvelle absence. Il n'était plus que trois élèves, ce qui commençait à l'inquiéter. Il participait aux Hunger Games ou quoi ? Le but de miss Holloway était-il d'éliminer ses élèves les uns après les autres pour qu'il n'en reste qu'un ? Bon, même si son imagination partait parfois loin, Arthur se dit que c'était vraiment dommage de la part de ses camarades de partir comme ça. Surtout face à des botrucs. Il pensait maintenant que Clément n'était pas très fort. En signe de solidarité des derniers encore debout, il fit un sourire et un signe de tête à Wilson et Bulle.
Mais bon, il devait arrêter à présent de penser à ça car le professeur annonça qu'ils allaient passer au troisième cycle. Curieux et peut-être bien un peu flippé de ce qui allait arriver (allaient-ils devoir plumer des oiseaux après avoir fait exploser des grenouilles ?), Arthur s'avança avec les autres pour écouter. Il vit d'abord miss Holloway déplacer la table au centre de la pièce et y placer un mannequin.
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Arthur n'était pas du genre stressé habituellement. Il arrivait à gérer la pression de ce genre d'exercice avec facilité, tout simplement parce qu'il savait que les conséquences d'un échec ne serait pas grandes. Mais aujourd'hui, c'était un peu différent. Arthur savait qu'il était parti du mauvais pied avec miss Holloway aujourd'hui et qu'elle l'avait sûrement pris en grippe. Mais malgré le très mauvais caractère de l'élève, il n'aimait pas les conflits et il se dit à cet instant qu'il aimerait bien se rattraper un peu. Pour ce faire, il se promit qu'il allait faire tout ce que miss Holloway lui dirait, sans faire la moindre remarque désagréable et en réussissant tout du premier coup !
Miss Holloway s'assit sur une chaise face au mannequin et appela le premier élève à passer. Arthur s'avança donc. Il s'agenouilla à ses côtés et commença l'exercice. Il se rappelait bien de ce qu'il fallait faire au début. Le fameux « Pouvoir Engraisser Arseni Stoyanov », n'est-ce pas ? Ça l'avait beaucoup fait rire, même s'il n'avait aucune idée de qui était ce fameux monsieur.
Il fit donc délicatement rouler le mannequin sur le côté, afin qu'il soit tourné vers lui. Il ramena ensuite ses mains du même côté, tout comme sa jambe droite. Ainsi, il était bien stabilisé et il n'avalerait pas sa langue, le pauvre bougre.
Après, Arthur mit quelques secondes à se rappeler de ce qu'il fallait faire. Examiner ! Ça lui était revenu d'un coup ! Il se précipita peut-être un peu trop en voulant vérifier si le mannequin était blessé. Il était un peu brute, même s'il n'en avait pas l'impression. Il souleva ses bras, ses jambes, tourna sa tête etc. mais le mannequin ne semblait saigner de nulle part. Arthur s'exclama à voix haute :
« Pas de blessure, ça a l'air d'aller ! »
Ensuite, il sortit sa baguette en se rappelant qu'il fallait à présent Alerter pour potentiellement recevoir de l'aide grâce au sortilège du feu d'artifice rouge (ce qui n'était sûrement pas son nom officiel, mais résumait bien les choses).
Le Serpentard leva bien haut son bras et annonça la formule, un léger doute flottant dans sa voix.
« Perulicum ! »
Rien ne se produisit et Arthur crut même entendre quelques rires, peut-être le produit de son imagination à tendance paranoïaque. Il s'éclaircit la voix et recommença.
« Pecurilum ! »
Une nouvelle fois, il ne fit face qu'au néant absolu. Aucune étincelle ne sortit de sa baguette. Il fronça les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il se passait. Il fit un nouvel essai.
« Perilucum ! »
Toujours rien. Voyant que le jeune garçon commençait à s'énervait et perdre ses moyens face à l'échec, miss Holloway vint à son secours en lui annonçant qu'il prononçait mal la formule depuis le début. Elle lui rappela le terme exact.
« Periculum ! »
Enfin, sa baguette fit apparaître un magnifique feu d'artifice rouge, qui aurait été sans doute plus impressionnant s'il n'avait pas été interrompu dans sa course par le plafond. Peu importe, il avait réussi. Il pouvait maintenant passer à la suite, c'est-à-dire, raconter n'importe quoi le temps que les secours inexistants arrivent, ce qui devait prendre trois minutes si l'on suivait les consignes du professeur. Se prenant au jeu, Arthur fit cet exercice de bon cœur.
« Monsieur ! Monsieur ! Il ne faut pas que vous alliez vers la grande lumière blanche, d'accord ? Je me fiche qu'elle soit jolie ou qu'il y ait une musique ou des gâteaux qui ont l'air délicieux ! Même si elle a tout ça, même si elle l'air super accueillante, je vous interdis d'y aller, ok ? Vous restez avec moi et vous montrez vos fesses à cette lumière blanche ! Qu'elle comprenne bien que le grand voyage pour vous, c'est pas pour tout de suite ! Je vous l'ordonne ! Je sais que je suis qu'un petit garçon et que je ne vous connais pas. J'ai pas trop le droit de vous donner des ordres. Et ma mère m'a toujours dit de ne pas parler aux inconnus. Mais là, c'est un cas de force majeure ! Je sais aussi que vous avez pas eu beaucoup de chance aujourd'hui. Déjà, vous tombez dans les pommes à cause de j'sais-pas-quoi, et après, vous tombez sur moi pour vous aider. C'est pas de bol, hein ? Mais j'm'en fiche ! Vous rester quand même avec moi, c'est compris ? Dites-moi que c'est compris ! De toute façon, vous pouvez vous rassurer, grâce à ma prof, je sais comment vous aider. Grâce à moi, vous avez pas avaler votre langue déjà ! C'est pas super cool ça ? Si, ça l'est ! Vous pouvez pas dire le contraire ! Comme quoi, pas mal la performance, hein ? C'était pas si mauvais que ça de tomber sur moi, hein, au final ? En plus de tout ça, j'ai appelé de l'aide ! On va venir vous aider bientôt ! Vous serez plus tout seul avec moi ! Des gens qui s'y connaissent plus que moi arrivent, ok ? Essayez de me parler en attendant ! Vous avez une chérie en ce moment ? Moi, j'en ai une, elle est rousse et plutôt grande ! Elle est plus grande que moi, mais c'est pas compliqué, j'suis tout petit moi. Ça me saoule. Mais bref, on parle pas de moi. Vous en avez une alors ? Ou des animaux ? J'adore les animaux ! J'ai trois chiens perso' ! Et un hibou ! Il s'appelle Nauj. Ouais, le nom est pas top mais il s'appelait comme ça au magasin, je pouvais pas le changer. Vous imaginez sinon ? Il comprendrait plus rien le pauvre hibou ! Il deviendrait schizo à mon avis. Je préfère le garder en bonne santé mentale ce machin-là. Il est un peu bête déjà, alors j'essaie de pas tr[/reducio]op aggraver son cas. L'autre jour, il m'a ramené une beuglante ! Une beuglante de ma mère ! Vous imaginez la honte ultime quoi ! Enfin, en fait, je suis pas sûr que vous connaissez les beuglantes. Je vous parle de ça mais vous êtes peut-être un moldu en fait, j'y pense. Bah, écoutez, j'ai une idée. On va faire comme si vous aviez rien entendu, ça marche ? Ouais, on va faire ça ! Pour continuer sur les animaux, heu...j'ai aussi une petite sœur et un petit frère. Ils sont trop relous et ils...Ah ! Les secours ils sont là ! Ils viennent vous aider monsieur ! Vous êtes sauvé ! »
Plongé dans son monologue, Arthur n'avait pas vu immédiatement que les trois minutes étaient passées. Une fois qu'elles l'étaient, il remit le mannequin dans la position dans lequel il était lorsqu'il s'est agenouillé près de lui pour le suivant. Le jeune garçon ne savait plus trop ce qu'il avait dit. Il était assez bavard quand il voulait et il n'avait pas de mal pour se dévoiler. Donc quand il commençait à parler tout seul comme ça, il avait du mal à s'arrêter. Mais bon, il se fichait bien de ce qu'il avait pu dire ou pas. Il avait terminé cet exercice et il n'était pas mécontent de sa performance. Et puis, c'était toujours important de réviser les techniques de secours. Ça pourrait sauver des vies !
Après cet exercice, le petit Serpentard remarqua une nouvelle absence. Il n'était plus que trois élèves, ce qui commençait à l'inquiéter. Il participait aux Hunger Games ou quoi ? Le but de miss Holloway était-il d'éliminer ses élèves les uns après les autres pour qu'il n'en reste qu'un ? Bon, même si son imagination partait parfois loin, Arthur se dit que c'était vraiment dommage de la part de ses camarades de partir comme ça. Surtout face à des botrucs. Il pensait maintenant que Clément n'était pas très fort. En signe de solidarité des derniers encore debout, il fit un sourire et un signe de tête à Wilson et Bulle.
Mais bon, il devait arrêter à présent de penser à ça car le professeur annonça qu'ils allaient passer au troisième cycle. Curieux et peut-être bien un peu flippé de ce qui allait arriver (allaient-ils devoir plumer des oiseaux après avoir fait exploser des grenouilles ?), Arthur s'avança avec les autres pour écouter. Il vit d'abord miss Holloway déplacer la table au centre de la pièce et y placer un mannequin.
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Arthur n'était pas du genre stressé habituellement. Il arrivait à gérer la pression de ce genre d'exercice avec facilité, tout simplement parce qu'il savait que les conséquences d'un échec ne serait pas grandes. Mais aujourd'hui, c'était un peu différent. Arthur savait qu'il était parti du mauvais pied avec miss Holloway aujourd'hui et qu'elle l'avait sûrement pris en grippe. Mais malgré le très mauvais caractère de l'élève, il n'aimait pas les conflits et il se dit à cet instant qu'il aimerait bien se rattraper un peu. Pour ce faire, il se promit qu'il allait faire tout ce que miss Holloway lui dirait, sans faire la moindre remarque désagréable et en réussissant tout du premier coup !
Miss Holloway s'assit sur une chaise face au mannequin et appela le premier élève à passer. Arthur s'avança donc. Il s'agenouilla à ses côtés et commença l'exercice. Il se rappelait bien de ce qu'il fallait faire au début. Le fameux « Pouvoir Engraisser Arseni Stoyanov », n'est-ce pas ? Ça l'avait beaucoup fait rire, même s'il n'avait aucune idée de qui était ce fameux monsieur.
Il fit donc délicatement rouler le mannequin sur le côté, afin qu'il soit tourné vers lui. Il ramena ensuite ses mains du même côté, tout comme sa jambe droite. Ainsi, il était bien stabilisé et il n'avalerait pas sa langue, le pauvre bougre.
Après, Arthur mit quelques secondes à se rappeler de ce qu'il fallait faire. Examiner ! Ça lui était revenu d'un coup ! Il se précipita peut-être un peu trop en voulant vérifier si le mannequin était blessé. Il était un peu brute, même s'il n'en avait pas l'impression. Il souleva ses bras, ses jambes, tourna sa tête etc. mais le mannequin ne semblait saigner de nulle part. Arthur s'exclama à voix haute :
« Pas de blessure, ça a l'air d'aller ! »
Ensuite, il sortit sa baguette en se rappelant qu'il fallait à présent Alerter pour potentiellement recevoir de l'aide grâce au sortilège du feu d'artifice rouge (ce qui n'était sûrement pas son nom officiel, mais résumait bien les choses).
Le Serpentard leva bien haut son bras et annonça la formule, un léger doute flottant dans sa voix.
« Perulicum ! »
Rien ne se produisit et Arthur crut même entendre quelques rires, peut-être le produit de son imagination à tendance paranoïaque. Il s'éclaircit la voix et recommença.
« Pecurilum ! »
Une nouvelle fois, il ne fit face qu'au néant absolu. Aucune étincelle ne sortit de sa baguette. Il fronça les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il se passait. Il fit un nouvel essai.
« Perilucum ! »
Toujours rien. Voyant que le jeune garçon commençait à s'énervait et perdre ses moyens face à l'échec, miss Holloway vint à son secours en lui annonçant qu'il prononçait mal la formule depuis le début. Elle lui rappela le terme exact.
Reducio
Après l'avoir chaudement remercié, Arthur Grimms s'éclaircit de nouveau la voix et réitéra :Miss Holloway m'a donné son autorisation pour la faire intervenir ici !
« Periculum ! »
Enfin, sa baguette fit apparaître un magnifique feu d'artifice rouge, qui aurait été sans doute plus impressionnant s'il n'avait pas été interrompu dans sa course par le plafond. Peu importe, il avait réussi. Il pouvait maintenant passer à la suite, c'est-à-dire, raconter n'importe quoi le temps que les secours inexistants arrivent, ce qui devait prendre trois minutes si l'on suivait les consignes du professeur. Se prenant au jeu, Arthur fit cet exercice de bon cœur.
« Monsieur ! Monsieur ! Il ne faut pas que vous alliez vers la grande lumière blanche, d'accord ? Je me fiche qu'elle soit jolie ou qu'il y ait une musique ou des gâteaux qui ont l'air délicieux ! Même si elle a tout ça, même si elle l'air super accueillante, je vous interdis d'y aller, ok ? Vous restez avec moi et vous montrez vos fesses à cette lumière blanche ! Qu'elle comprenne bien que le grand voyage pour vous, c'est pas pour tout de suite ! Je vous l'ordonne ! Je sais que je suis qu'un petit garçon et que je ne vous connais pas. J'ai pas trop le droit de vous donner des ordres. Et ma mère m'a toujours dit de ne pas parler aux inconnus. Mais là, c'est un cas de force majeure ! Je sais aussi que vous avez pas eu beaucoup de chance aujourd'hui. Déjà, vous tombez dans les pommes à cause de j'sais-pas-quoi, et après, vous tombez sur moi pour vous aider. C'est pas de bol, hein ? Mais j'm'en fiche ! Vous rester quand même avec moi, c'est compris ? Dites-moi que c'est compris ! De toute façon, vous pouvez vous rassurer, grâce à ma prof, je sais comment vous aider. Grâce à moi, vous avez pas avaler votre langue déjà ! C'est pas super cool ça ? Si, ça l'est ! Vous pouvez pas dire le contraire ! Comme quoi, pas mal la performance, hein ? C'était pas si mauvais que ça de tomber sur moi, hein, au final ? En plus de tout ça, j'ai appelé de l'aide ! On va venir vous aider bientôt ! Vous serez plus tout seul avec moi ! Des gens qui s'y connaissent plus que moi arrivent, ok ? Essayez de me parler en attendant ! Vous avez une chérie en ce moment ? Moi, j'en ai une, elle est rousse et plutôt grande ! Elle est plus grande que moi, mais c'est pas compliqué, j'suis tout petit moi. Ça me saoule. Mais bref, on parle pas de moi. Vous en avez une alors ? Ou des animaux ? J'adore les animaux ! J'ai trois chiens perso' ! Et un hibou ! Il s'appelle Nauj. Ouais, le nom est pas top mais il s'appelait comme ça au magasin, je pouvais pas le changer. Vous imaginez sinon ? Il comprendrait plus rien le pauvre hibou ! Il deviendrait schizo à mon avis. Je préfère le garder en bonne santé mentale ce machin-là. Il est un peu bête déjà, alors j'essaie de pas tr[/reducio]op aggraver son cas. L'autre jour, il m'a ramené une beuglante ! Une beuglante de ma mère ! Vous imaginez la honte ultime quoi ! Enfin, en fait, je suis pas sûr que vous connaissez les beuglantes. Je vous parle de ça mais vous êtes peut-être un moldu en fait, j'y pense. Bah, écoutez, j'ai une idée. On va faire comme si vous aviez rien entendu, ça marche ? Ouais, on va faire ça ! Pour continuer sur les animaux, heu...j'ai aussi une petite sœur et un petit frère. Ils sont trop relous et ils...Ah ! Les secours ils sont là ! Ils viennent vous aider monsieur ! Vous êtes sauvé ! »
Plongé dans son monologue, Arthur n'avait pas vu immédiatement que les trois minutes étaient passées. Une fois qu'elles l'étaient, il remit le mannequin dans la position dans lequel il était lorsqu'il s'est agenouillé près de lui pour le suivant. Le jeune garçon ne savait plus trop ce qu'il avait dit. Il était assez bavard quand il voulait et il n'avait pas de mal pour se dévoiler. Donc quand il commençait à parler tout seul comme ça, il avait du mal à s'arrêter. Mais bon, il se fichait bien de ce qu'il avait pu dire ou pas. Il avait terminé cet exercice et il n'était pas mécontent de sa performance. Et puis, c'était toujours important de réviser les techniques de secours. Ça pourrait sauver des vies !
RPG Cours de DCFM
Ses camarades avaient l'air de mieux réussir que lui et heureusement pour eux. Dans ce cours, les élèves n'étaient plus que trois, et Wilson avait l'impression de jouer à Koh-lanta. Tous les quarts exercice, un élève quittait la pièce, c'était fort étrange. Wil's se tenait toujours à genou contre le mur bien que tous les botrucs aient été maîtrisé. La professeure s'était occupé de celui qui était en trop et avait cessé l'exercice quand elle avait vu le Serpentard dans cette état. Avoir peur de petite bébête comme ça, cela ne pouvait plus durer, il fallait qu'il fasse quelque chose. Mais il ne savait pas encore quoi. Puis là, ce n'était pas le moment, il devait suivre et écouter le cours de soutien auquel il participait.
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Arthur devait passé le premier. Wilson le regarda avec attention, essayant de se rappeler son cours de Défense contre les forces du mal puis très vite se fut son tour. Le garçon eut un moment d'hésitation avant de finalement s'élancer. * Brave petit mannequin * pensa Wilson d'un air coquin. Se rappelant les gestes de premiers secours, il mit celui-ci en position latérale de sécurité. Cette étape était facile puisqu'elle existait aussi chez les moldus et Wilson avait pu le voir plusieurs fois à la télévision. Il n'aurait jamais cru qu'être enfant de moldus aurait été un avantage à Poudlard. Wilson fit semblant ensuite d'examiner le corps de la pseudo victime. En situation réelle, il faut voir si elle a des blessures visibles ou non. Là, c'est un mannequin, forcement il n'en a pas mais Wilson regarda le mannequin pour faire comme si la victime était réel. Prochaine étape, lancer le sortilège. Wilson prit sa baguette magique qu'il avait posé au sol afin de faire les gestes de premiers secours et se concentra.... avant de se rappeler que Miss Holloway avait dit lors du cours qu'il fallait lancer ce sortilège en extérieur.
« Heu... Je dois lancer le sortilège dans une salle de classe ? Lors du cours, je me souviens que vous avez dit que ce n'était pas nécessaire à l'intérieur. »
Le première année reposa sa baguette au sol et s'assit à côté du mannequin. Il n'avait pas encore terminé l'exercice. Il regarda le professeur de DCFM, attendit quelques instants et passa à la dernière étape de l'exercice : Secourir. Il devait parler pendant trois minutes. Bon c'est un exercice assez simple pour un bavard mais Wilson ne l'est pas. Et puis faut trouver quoi dire... et ça c'est un autre problème. Wilson n'avait pas le choisit, il devait le faire avant de laisser sa place à Bulle pour qu'elle s'exerce à son tour. Il est conscient que ça peut sauver des vies.
« Eh M'sieur ! Restez avec nous. On est beau, souriant, amusant... Dans l'autre monde, il y a que des pas beau, des gens malheureux et tristes. Vous ne voulez pas devenir un de ces gens n'est-ce pas ? Je suis sur que vous ne le voulez pas. Bon je vous propose un petit jeu le temps que les guérisseurs arrivent, ça vous va ? Pour chaque lettre de l'alphabet, je vais vous trouver un mot. Alors commençons. A comme Abracadabra, le sort ridicule que tous les moldus connaissent. B comme Banane, le fruit préféré des minions. Bababa-babanana ♫ Bon ok j'arrête ! J'espère que vous connaissez les minions. C comme Courageux. Ça c'est vous, vous êtes très courageux et je sais que vous allez vous en sortir, car vous êtes fort ! D comme Déterminé : Je suis sur que vous êtes déterminé a resté avec moi, car je suis tellement gentil. E comme Élégance, ce corps d'Athlète n'est pas donné à tous le monde, je suis sur que vous pouvez faire tomber pleins de jolies filles. Miss Holloway et Bulle ne vous diront pas le contraire, n'est-ce pas ? » Wilson se tourna vers les filles présentent dans la salle pour leur adresser un sourire, avant de continuer : « F comme Fantastique, le monde des sorciers est fantastique, vous avez la chance de vivre dans ce monde, profitez-en, les moldus n'ont pas cette chance... Bon j'ai pas envie de faire toutes les lettres parce que je sens que je vais vous ennuyer et c'est pas mon but, patientez encore un peu, je suis sur qu'un guérisseur ne va tarder, ils font vraiment de super boulot. Puff c'est dur de toujours vous parlez comme ça, je ne suis pas bavard moi. Ah bah c'est bon, je vois une guérisseuse arrivé, elle va s'occuper de vous, vous allez voir tous va bien se passer. »
Après ce monologue, en espérant avoir bien tenu trois minutes comme demandé, Wilson remit le mannequin en position initiale, comme l'avait fait Arthur quelques minutes auparavant et s'éloigna de celui-ci avec sa baguette pour laisser la place à la dernière élève qui devait s'exercer : Bulle. Il était conscient qu'il avait fait des erreurs et puis il n'avait pas lancer le sortilège comme demandé alors il douta de sa prestation. Il tendit un regard au professeur et se tourna vers sa camarade de Poufsouffle pour regarder comment elle s'y prenait.
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Arthur devait passé le premier. Wilson le regarda avec attention, essayant de se rappeler son cours de Défense contre les forces du mal puis très vite se fut son tour. Le garçon eut un moment d'hésitation avant de finalement s'élancer. * Brave petit mannequin * pensa Wilson d'un air coquin. Se rappelant les gestes de premiers secours, il mit celui-ci en position latérale de sécurité. Cette étape était facile puisqu'elle existait aussi chez les moldus et Wilson avait pu le voir plusieurs fois à la télévision. Il n'aurait jamais cru qu'être enfant de moldus aurait été un avantage à Poudlard. Wilson fit semblant ensuite d'examiner le corps de la pseudo victime. En situation réelle, il faut voir si elle a des blessures visibles ou non. Là, c'est un mannequin, forcement il n'en a pas mais Wilson regarda le mannequin pour faire comme si la victime était réel. Prochaine étape, lancer le sortilège. Wilson prit sa baguette magique qu'il avait posé au sol afin de faire les gestes de premiers secours et se concentra.... avant de se rappeler que Miss Holloway avait dit lors du cours qu'il fallait lancer ce sortilège en extérieur.
« Heu... Je dois lancer le sortilège dans une salle de classe ? Lors du cours, je me souviens que vous avez dit que ce n'était pas nécessaire à l'intérieur. »
Le première année reposa sa baguette au sol et s'assit à côté du mannequin. Il n'avait pas encore terminé l'exercice. Il regarda le professeur de DCFM, attendit quelques instants et passa à la dernière étape de l'exercice : Secourir. Il devait parler pendant trois minutes. Bon c'est un exercice assez simple pour un bavard mais Wilson ne l'est pas. Et puis faut trouver quoi dire... et ça c'est un autre problème. Wilson n'avait pas le choisit, il devait le faire avant de laisser sa place à Bulle pour qu'elle s'exerce à son tour. Il est conscient que ça peut sauver des vies.
« Eh M'sieur ! Restez avec nous. On est beau, souriant, amusant... Dans l'autre monde, il y a que des pas beau, des gens malheureux et tristes. Vous ne voulez pas devenir un de ces gens n'est-ce pas ? Je suis sur que vous ne le voulez pas. Bon je vous propose un petit jeu le temps que les guérisseurs arrivent, ça vous va ? Pour chaque lettre de l'alphabet, je vais vous trouver un mot. Alors commençons. A comme Abracadabra, le sort ridicule que tous les moldus connaissent. B comme Banane, le fruit préféré des minions. Bababa-babanana ♫ Bon ok j'arrête ! J'espère que vous connaissez les minions. C comme Courageux. Ça c'est vous, vous êtes très courageux et je sais que vous allez vous en sortir, car vous êtes fort ! D comme Déterminé : Je suis sur que vous êtes déterminé a resté avec moi, car je suis tellement gentil. E comme Élégance, ce corps d'Athlète n'est pas donné à tous le monde, je suis sur que vous pouvez faire tomber pleins de jolies filles. Miss Holloway et Bulle ne vous diront pas le contraire, n'est-ce pas ? » Wilson se tourna vers les filles présentent dans la salle pour leur adresser un sourire, avant de continuer : « F comme Fantastique, le monde des sorciers est fantastique, vous avez la chance de vivre dans ce monde, profitez-en, les moldus n'ont pas cette chance... Bon j'ai pas envie de faire toutes les lettres parce que je sens que je vais vous ennuyer et c'est pas mon but, patientez encore un peu, je suis sur qu'un guérisseur ne va tarder, ils font vraiment de super boulot. Puff c'est dur de toujours vous parlez comme ça, je ne suis pas bavard moi. Ah bah c'est bon, je vois une guérisseuse arrivé, elle va s'occuper de vous, vous allez voir tous va bien se passer. »
Après ce monologue, en espérant avoir bien tenu trois minutes comme demandé, Wilson remit le mannequin en position initiale, comme l'avait fait Arthur quelques minutes auparavant et s'éloigna de celui-ci avec sa baguette pour laisser la place à la dernière élève qui devait s'exercer : Bulle. Il était conscient qu'il avait fait des erreurs et puis il n'avait pas lancer le sortilège comme demandé alors il douta de sa prestation. Il tendit un regard au professeur et se tourna vers sa camarade de Poufsouffle pour regarder comment elle s'y prenait.
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow
RPG Cours de DCFM
Ouf, Bulle en avait enfin fini avec les Botrucs ! Une fois que ces camarades eurent finis eux aussi leur exercice, la petite rouquine se dépêcha de se relever. La jeune fille était curieuse de savoir le prochain exercice : Elle commençait à s'amuser !
Elle s'approcha de Miss Holloway, qui était en train de donner des indications. Leur professeur s'était occupé des Botrucs en trop ... Car oui, il manquait de nouveau un élève. Bulle regarda autours d'elle. L'élève manquant n'était autre que Clément Folcony, l'étudiant de Serpentard avec qui elle avait discuté. *Décidemment, ils partent tous ...*
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Bulle regarda tour à tour les passages de Wilson et de Arthur. Elle appréhendait beaucoup cet exercice. Que se passerait-il si jamais elle n'y arriverait pas ? Et que devait-elle dire à une personne aux portes de la mort ? Bien que ce ne soit qu'un entrainement, la jeune fille ne pouvait s'empêcher de se questionner. Car au vu de sa maladresse et de son manque de tact, pas sûr qu'elle soit d'une quelconque utilité dans ce genre de situation.
Après que Wilson soit passé, Bulle s'avança en tremblotant vers le mannequin. Elle prit une profonde aspiration, tout en tentant de se rassurer. * Ce n'est qu'un mannequin, Bulle. Depuis quand tu as peur des mannequins ?*
Elle s'accroupit à côté de celui-ci, et commença l'exercice.
La première étape consistait à mettre la personne en position latérale de sécurité. La Poufssouffle réussit sans trop d'efforts, c'était une des parties les plus faciles. Venait ensuite l'inspection du corps. Bulle regarda sur le visage, sous le menton, sur le torse et les jambes. Elle se demandait si elle devait inspecter plus ou si elle avait déjà fait l'essentiel. Après réflexion, elle regarda aussi le ventre, puis, à court d'idées, passa à la troisième étape. Celle-ci consister à lancer un sortilège. *C'est quoi, la formule, déjà ?* Bulle avait énormément de mal à retenir le nom des formules. Heureusement, les erreurs de prononciation du sortilège de son camarade Arthur Grimms s'avérant utile, c'est sans hésitation que la Poufssouffle lança un :
- Periculum !
Un feu rouge violet jaillit de la baguette de la jeune fille, qui sourit avec satisfaction. Pour l'instant, tout avait l'air de bien se passer. Rester la dernière partie, celle que la jeune fille apréhendait le plus : L'étape du monologue.
- Hum, Monsieur ? Ou devrais-je dire Madame. Bah oui, c'est vrai, quoi, pourquoi toujours les hommes ? Les femmes, c'est bien aussi les femmes, vous n'êtes pas d'accord ? La vérité c'est que les hommes sont ultras centrés sur eux. Mais trêves de blabla inutiles, détendez-vous, vous êtes entre de bonnes mains. Je m'appelle Bulle Stevens, oui, vous avez bien entendus, Bulle Stevens comme une bulle de savon, et je vais vous aider à vous en sortir. Comment je vais le faire ? Je n'en ai aucune idée, mais une chose est sûre, c'est que je vais y arriver. Et vous allez m'aider, hein ? Tout le monde veut toujours m'aider, de toute façon. Alors, pour m'aider, restez avec nous. Ne partez pas. Pensez ... A des gâteaux. C'est super bon ! Dans la salle commune des Poufssouffles, on en a des tonnes. Si vous en voulez, vous n'avez qu'a demander, je cours vous en chercher. Il y a aussi des caramels mous, des chocogrenouilles, des grenouilles goût gelée, des dragées Surprises de Bertie Crochue ... Moi, mes bonbons préférés, c'est les Plumes en Sucre. Tant qu'on y est, je vais vous apprendre quelque chose, vous m'en serez reconnaissante. Alors, les Plumes en Sucre, ça a été inventé par un confiseur dont le nom m'échappe, qui les a inventés pour les élèves de Poudlard. Effectivement, le principe était que les élèves puissent manger en cours sans pouvoir e faire griller. Et quoi de plus innocent qu'une Plume ? Je vous assure, moi, je fais ça à chaque cours. Même en cours de D.C.F.M, qui sont pourtant mes cours préférés. Oups, mais ça, fallait pas le dire ...
Bulle jeta un regard gêné à Miss Holloway, puis regarda sa montre. Elle avait largement dépassé les trois minutes ! Se tournant de nouveau vers le mannequin, elle conclut :
- Oh, mais je vois que les secours sont arrivés. Je vous laisse, dans ce cas ! Et ne vous inquiétez pas, le Médicomage qui s'occupe de vous est CANON !
La Poufssouffle avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, comme un sous-entendu ou un début de complicité. C'était dur de se dire qu'elle avait parler aussi longtemps toute seule, devant toutes ces personnes. Elle avait l'impression d'avoir effectué un exercice de théâtre ! Se relevant, elle regarda avec appréhension sa professeur.
~Pouffy’s un jour, Pouffy’s toujours !~
~Le souffle des Poufsouffle jamais ne s’étouffe !~
- Journaliste au journal du blaireau -
Elle s'approcha de Miss Holloway, qui était en train de donner des indications. Leur professeur s'était occupé des Botrucs en trop ... Car oui, il manquait de nouveau un élève. Bulle regarda autours d'elle. L'élève manquant n'était autre que Clément Folcony, l'étudiant de Serpentard avec qui elle avait discuté. *Décidemment, ils partent tous ...*
« Vous vous souvenez sûrement du quatrième cours, où je vous ai enseigné le P.E.A.S. Vous allez le reproduire en suivant mes indications. Tout d'abord, vous mettrez le mannequin en position latérale de sécurité. Puis vous regardez attentivement son corps, voir s'il a des blessures visibles ou non. Vous alerterez avec un Periculum, et enfin, vous lui parlerez pendant trois minutes chrono. Dites lui n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête, comme si vous étiez en situation réelle. Vous passerez chacun votre tour avec le mannequin, et à la fin de chaque passage, le mannequin se remettra en position initiale. Monsieur Grimms, vous passerez en premier, suivi de Monsieur Kingson et enfin Miss Stevens ».
Bulle regarda tour à tour les passages de Wilson et de Arthur. Elle appréhendait beaucoup cet exercice. Que se passerait-il si jamais elle n'y arriverait pas ? Et que devait-elle dire à une personne aux portes de la mort ? Bien que ce ne soit qu'un entrainement, la jeune fille ne pouvait s'empêcher de se questionner. Car au vu de sa maladresse et de son manque de tact, pas sûr qu'elle soit d'une quelconque utilité dans ce genre de situation.
Après que Wilson soit passé, Bulle s'avança en tremblotant vers le mannequin. Elle prit une profonde aspiration, tout en tentant de se rassurer. * Ce n'est qu'un mannequin, Bulle. Depuis quand tu as peur des mannequins ?*
Elle s'accroupit à côté de celui-ci, et commença l'exercice.
La première étape consistait à mettre la personne en position latérale de sécurité. La Poufssouffle réussit sans trop d'efforts, c'était une des parties les plus faciles. Venait ensuite l'inspection du corps. Bulle regarda sur le visage, sous le menton, sur le torse et les jambes. Elle se demandait si elle devait inspecter plus ou si elle avait déjà fait l'essentiel. Après réflexion, elle regarda aussi le ventre, puis, à court d'idées, passa à la troisième étape. Celle-ci consister à lancer un sortilège. *C'est quoi, la formule, déjà ?* Bulle avait énormément de mal à retenir le nom des formules. Heureusement, les erreurs de prononciation du sortilège de son camarade Arthur Grimms s'avérant utile, c'est sans hésitation que la Poufssouffle lança un :
- Periculum !
Un feu rouge violet jaillit de la baguette de la jeune fille, qui sourit avec satisfaction. Pour l'instant, tout avait l'air de bien se passer. Rester la dernière partie, celle que la jeune fille apréhendait le plus : L'étape du monologue.
- Hum, Monsieur ? Ou devrais-je dire Madame. Bah oui, c'est vrai, quoi, pourquoi toujours les hommes ? Les femmes, c'est bien aussi les femmes, vous n'êtes pas d'accord ? La vérité c'est que les hommes sont ultras centrés sur eux. Mais trêves de blabla inutiles, détendez-vous, vous êtes entre de bonnes mains. Je m'appelle Bulle Stevens, oui, vous avez bien entendus, Bulle Stevens comme une bulle de savon, et je vais vous aider à vous en sortir. Comment je vais le faire ? Je n'en ai aucune idée, mais une chose est sûre, c'est que je vais y arriver. Et vous allez m'aider, hein ? Tout le monde veut toujours m'aider, de toute façon. Alors, pour m'aider, restez avec nous. Ne partez pas. Pensez ... A des gâteaux. C'est super bon ! Dans la salle commune des Poufssouffles, on en a des tonnes. Si vous en voulez, vous n'avez qu'a demander, je cours vous en chercher. Il y a aussi des caramels mous, des chocogrenouilles, des grenouilles goût gelée, des dragées Surprises de Bertie Crochue ... Moi, mes bonbons préférés, c'est les Plumes en Sucre. Tant qu'on y est, je vais vous apprendre quelque chose, vous m'en serez reconnaissante. Alors, les Plumes en Sucre, ça a été inventé par un confiseur dont le nom m'échappe, qui les a inventés pour les élèves de Poudlard. Effectivement, le principe était que les élèves puissent manger en cours sans pouvoir e faire griller. Et quoi de plus innocent qu'une Plume ? Je vous assure, moi, je fais ça à chaque cours. Même en cours de D.C.F.M, qui sont pourtant mes cours préférés. Oups, mais ça, fallait pas le dire ...
Bulle jeta un regard gêné à Miss Holloway, puis regarda sa montre. Elle avait largement dépassé les trois minutes ! Se tournant de nouveau vers le mannequin, elle conclut :
- Oh, mais je vois que les secours sont arrivés. Je vous laisse, dans ce cas ! Et ne vous inquiétez pas, le Médicomage qui s'occupe de vous est CANON !
La Poufssouffle avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, comme un sous-entendu ou un début de complicité. C'était dur de se dire qu'elle avait parler aussi longtemps toute seule, devant toutes ces personnes. Elle avait l'impression d'avoir effectué un exercice de théâtre ! Se relevant, elle regarda avec appréhension sa professeur.
Reducio
Désolé de l'énorme retard, je suis absolument impardonnable !
~Pouffy’s un jour, Pouffy’s toujours !~
~Le souffle des Poufsouffle jamais ne s’étouffe !~
- Journaliste au journal du blaireau -
RPG Cours de DCFM
Comme prévu par la jeune professeure, Arthur Grimms s'avança vers le mannequin, et commença l'exercice demandé. La position latérale de sécurité était bien effectuée, et le mannequin ne présentait pas de blessures, d'après le jeune garçon. C'était normal, puisque c'était un mannequin, mais comme les conditions du PEAS étaient d'effectuer les quatre consignes, celle des blessures comptait également dans cet exercice.
Vint ensuite la formule pour alerter les secours, et le Serpentard eut quelques difficultés pour la prononcer. Voyant que le jeune garçon commençait à perdre patience, Amy s'avança, et lui répéta la formule, correctement, cette fois-ci. « Pe-ri-cu-lum, Monsieur Grimms. Allez-y, recommencez, ajouta-elle avec un petit sourire ». Voyant qu'il réussissait cette fois, Amy reprit sa place, et continua son observation. Le garçon se lança ensuite dans un monologue, que la jeune femme apprécia beaucoup. En effet, de tout et de rien, des anecdotes, raconter sa vie, c'est ce qui était nécessaire au P.E.A.S, et le Serpentard avait réussi avec brio. Les trois minutes écoulées, il laissa sa place à un autre Serpentard, Wilson Kingson.
Celui-ci se débrouillait bien, avec la position latérale de sécurité effectuée correctement, puis un coup d'oeil rapide au mannequin pour évaluer ses blessures inexistantes. Ensuite, un léger « incident » se produit. Enfin, pas vraiment un incident à proprement parler, puisque le Serpentard ne s'était heureusement pas transformé en feu d'artifice en lançant un Periculum, ce qui aurait été très fâcheux pour Amy. Se retrouver avec un élève mi-humain, mi-feu d'artifice, quelle idée. En tout cas, Wilson Kingson ne prit pas la peine de lancer le sortilège, avisant à voix haute que, puisqu'ils étaient en intérieur, il n'en voyait pas l'utilité. C'était vrai, mais Amy voulait voir quand même si le sort réussissait ou non. Néanmoins, la tirade du jeune garçon au mannequin, fut assez convaincante. Pour terminer, ce fut la jeune Poufsouffle, Bulle Stevens, qui se colla à l'exercice.
La jeune fille rendit Amy très joyeuse. Elle avait réussi avec brio les quatre étapes demandées. Le mannequin était très bien positionné, elle n'avait pas noté de blessures particulières, son Periculum était tout bonnement excellent. On aurait dit une fusée de feu d'artifice moldu, mais en intérieur. Et enfin, sa tirade fut très convaincante, puisqu'elle disait tout ce qui lui passait par la tête. La Jaune avait d'ailleurs assuré que le mannequin était une femme, et la professeure sourit à cette évocation.
Après que Miss Stevens eut terminé, Amy reprit la parole.
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, ajouta Amy avec un clin d'oeil vers le Serpentard, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
La jeune femme se remémora rapidement l'illusion qu'elle avait passé quelques jours à préparer, pour que tout soit le plus parfait possible. La rue principale ressemblait à celles du Chemin de Traverse, avec des pierres grises foncées apparentes, des vitrines de boutiques. Puis, les trois rues auxquelles seraient confrontés les élèves d'Amy. L'une partant sur la gauche, un autre tout droit, mais avec un virage, et la dernière partant sur la droite. Les trois rues étaient étonnamment sombres pour la journée. Les élèves seraient ainsi en situation réelle, et la professeure espérait que cela allait leur plaire.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
La jeune femme leva sa baguette, et fit un arc-de-cercle. La situation réelle commençait.
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
Vint ensuite la formule pour alerter les secours, et le Serpentard eut quelques difficultés pour la prononcer. Voyant que le jeune garçon commençait à perdre patience, Amy s'avança, et lui répéta la formule, correctement, cette fois-ci. « Pe-ri-cu-lum, Monsieur Grimms. Allez-y, recommencez, ajouta-elle avec un petit sourire ». Voyant qu'il réussissait cette fois, Amy reprit sa place, et continua son observation. Le garçon se lança ensuite dans un monologue, que la jeune femme apprécia beaucoup. En effet, de tout et de rien, des anecdotes, raconter sa vie, c'est ce qui était nécessaire au P.E.A.S, et le Serpentard avait réussi avec brio. Les trois minutes écoulées, il laissa sa place à un autre Serpentard, Wilson Kingson.
Celui-ci se débrouillait bien, avec la position latérale de sécurité effectuée correctement, puis un coup d'oeil rapide au mannequin pour évaluer ses blessures inexistantes. Ensuite, un léger « incident » se produit. Enfin, pas vraiment un incident à proprement parler, puisque le Serpentard ne s'était heureusement pas transformé en feu d'artifice en lançant un Periculum, ce qui aurait été très fâcheux pour Amy. Se retrouver avec un élève mi-humain, mi-feu d'artifice, quelle idée. En tout cas, Wilson Kingson ne prit pas la peine de lancer le sortilège, avisant à voix haute que, puisqu'ils étaient en intérieur, il n'en voyait pas l'utilité. C'était vrai, mais Amy voulait voir quand même si le sort réussissait ou non. Néanmoins, la tirade du jeune garçon au mannequin, fut assez convaincante. Pour terminer, ce fut la jeune Poufsouffle, Bulle Stevens, qui se colla à l'exercice.
La jeune fille rendit Amy très joyeuse. Elle avait réussi avec brio les quatre étapes demandées. Le mannequin était très bien positionné, elle n'avait pas noté de blessures particulières, son Periculum était tout bonnement excellent. On aurait dit une fusée de feu d'artifice moldu, mais en intérieur. Et enfin, sa tirade fut très convaincante, puisqu'elle disait tout ce qui lui passait par la tête. La Jaune avait d'ailleurs assuré que le mannequin était une femme, et la professeure sourit à cette évocation.
Après que Miss Stevens eut terminé, Amy reprit la parole.
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, ajouta Amy avec un clin d'oeil vers le Serpentard, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
La jeune femme se remémora rapidement l'illusion qu'elle avait passé quelques jours à préparer, pour que tout soit le plus parfait possible. La rue principale ressemblait à celles du Chemin de Traverse, avec des pierres grises foncées apparentes, des vitrines de boutiques. Puis, les trois rues auxquelles seraient confrontés les élèves d'Amy. L'une partant sur la gauche, un autre tout droit, mais avec un virage, et la dernière partant sur la droite. Les trois rues étaient étonnamment sombres pour la journée. Les élèves seraient ainsi en situation réelle, et la professeure espérait que cela allait leur plaire.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
La jeune femme leva sa baguette, et fit un arc-de-cercle. La situation réelle commençait.
Reducio
Voici donc la dernière épreuve, si je puis dire, de ce RPG de soutien. Ceci sera votre avant dernier post, pour vous situer à peu près, comme cela, nous pourrons finir le RPG juste avant la rentrée IRL, ce sera mieux pour tout le monde, car en période de rentrée, c'est toujours un peu plus compliqué de poster 
.
Ici, je vous demande donc de vous mettre en situation dans l'une des rues de l'illusion. Concertez vous entre vous si vous le souhaitez afin que chacun s'approprie l'une des rues, et retrouvez vous face à deux des trois « sorts » vus aujourd'hui.
Les situations possibles sont : Une personne évanouie avec une blessure apparente à la jambe, deux Botrucs assez énervés de se retrouver ici, et enfin trois grenouilles gambadant dans une petite mare, et se retournant méchamment lorsqu'elles vous voient.. Vous avez carte blanche pour ce RPG, à vous d'imaginer les situations, le tout aussi précisément que possible. Je vous laisse deux semaines pour poster, puisque nous sommes en période de vacances, c'est-à-dire jusqu'au 11 août. N'oubliez pas que les sites d'aide à la correction orthographique sont la si vous en avez besoin, et que ma volière vous est ouverte si vous souhaitez un délai ou si vous avez une question (je ne mords pas!)
. Ici, je vous demande donc de vous mettre en situation dans l'une des rues de l'illusion. Concertez vous entre vous si vous le souhaitez afin que chacun s'approprie l'une des rues, et retrouvez vous face à deux des trois « sorts » vus aujourd'hui.
Les situations possibles sont : Une personne évanouie avec une blessure apparente à la jambe, deux Botrucs assez énervés de se retrouver ici, et enfin trois grenouilles gambadant dans une petite mare, et se retournant méchamment lorsqu'elles vous voient.. Vous avez carte blanche pour ce RPG, à vous d'imaginer les situations, le tout aussi précisément que possible. Je vous laisse deux semaines pour poster, puisque nous sommes en période de vacances, c'est-à-dire jusqu'au 11 août. N'oubliez pas que les sites d'aide à la correction orthographique sont la si vous en avez besoin, et que ma volière vous est ouverte si vous souhaitez un délai ou si vous avez une question (je ne mords pas!)
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
RPG Cours de DCFM
Bulle fit l'exercice et ensuite le professeur Holloway prit la parole :
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
Le petit Wilson ouvrit légèrement la bouche de stupéfaction. Il n'avait pas vu ça comme ça. Il pensait que c'était un piège ou une consigne qui demandait de réfléchir alors comme il s'était souvenu de ce que la professeure avait dit en cours, il pensait qu'il ne fallait pas lancer le sortilège. Et puis avouez que c'était une bonne excuse pour pas se prendre la tête comme Arthur.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Wilson sourit à la dernière remarque du professeur. Il se sentait légèrement honteux. Mais en même temps, il n'eut pas le temps d'avoir honte car ce qu'il l'attendait était bien plus terrifiant. Le professeur allait envoyer les trois élèves dans une illusion où chacun devra choisir une issue et partir dans des aventures incroyable. Wilson s'en voulut encore de ne pas avoir lancé le Périculum car s'il avait besoin de le lancer et qu'il y arrivait pas, Miss Holloway ne pourra pas le savoir. Il était néanmoins prêt à partir à l'aventure, de toute façon, il n'avait pas trop le choix. Il se prépara psychologiquement à entrer dans l'une de ses situations, sachant que en théorie il devrait savoir se débrouiller. En théorie...
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
D'un coup de baguette de son professeur, Wilson quitta la salle de classe (du moins c'est ce qu'il croyait), pour un petit voyage dans l'imagination.
Il atterrit au carrefour d'une rue. Une rue partait à gauche, une rue allait tous droit et évidement une rue allait sur la droite. Wilson regarda Arthur et Bulle ne sachant pas trop quoi faire. Puis se rappelant que chaque élève du cours devait choisir une route différente, il allait donc être seul ensuite, il n'était pas question de traîner et de faire le peureux. On garde ça pour les cours de Miss Holloway, vaut mieux.
Le première année de Serpentard avança vers le chemin de droite et laissa ses deux camarades. Il leur fit un signe d'encouragement et avança avec une appréhension. Qu'allait-il lui arriver ? Est-ce que cette situation comme l'avait appeler miss Holloway n'était pas dangereuse ? Wilson avançait, de toute façon, c'était trop tard. Plus il avançait, plus il s'approchait de quelque chose. Une mare devina-t-il en s'approchant encore. Il y avait des grenouilles toute mignonne. Wilson s'approcha d'un pas assuré vers elles, il voulait les observer un peu mieux, mais ces petites bêtes se retournèrent vers lui et semblaient énervés. Elle avait le regard méchant et étaient prête à bondir sur l'enfant magique. Wilson commença à trembler de peur avant de vite se ressaisir. * Ce ne sont que des grenouilles ! Tu es un sorcier, agit comme tel !* s'ordonna-t-il pour ne pas frémir. Il pointa sa baguette d'un geste vif sur les grenouilles :
« Lash... Non... Gonflus ! »
La grenouille gonfla comme un ballon avec difficulté car Wilson avait hésité mais belle et bien comme il fallait pour reconnaître le sortilège comme étant réussi. Le garçonnet avait eut un peu peur mais pas suffisamment pour l’empêcher de lancer le sortilège. Pourquoi Wilson avait penser d'abord à Lashlabask ? Bonne question. Mais il a eut le temps de se corriger c'est le principale. Le petit garçon regarda autour de lui, deux autres grenouilles toute aussi dangereuse firent leur apparition. Il n'hésita plus une seconde, voyant l'efficacité de son précédent sortilège utilisé.
« Gonflus ! Gonflus ! »
Les deux grenouilles gonflèrent comme des boules et roulèrent sur l'eau de la mare. Il s'amusa un peu avec elles en soufflant dessus afin de les faire avancer vers le milieu de la mare. Bah oui, Wilson n'est encore qu'un enfant de onze ans et à cet age là on s'amuse avec n'importe quoi. Il s'amusait bien mais il fallait bien qu'il avance... il n'allait pas rester là toute sa vie. Alors il se leva et avança...
Quand la mare fut plus qu'un aussi petit point que ce qu'il voyait lorsqu'il était au carrefour, le temps changea et devenu un peu pluvieux. Wilson n'avait pas prit de parapluie et il ne connaissait pas de formule pouvant lui en procurer un instantanément. Tant pis. En espérant qu'il ne pleuve pas trop fort, il continua d'avancer. Il arriva dans une rue banal, avec une circonstance pas banal. Il y avait un homme en difficulté sur le bord de la route. Un sorcier, Wilson reconnut sa baguette magique sur le sol à côté de lui. Lui qui avait eut des difficultés à faire cet exercice juste avant la mise en situation, il s'inquiéta un peu. Mais en même temps, il ne pouvait pas le laisser mourir cet homme.
Wilson s'approcha de lui et le mit en position latéral de sécurité. Après quoi, il l'examina sans le toucher, pour voir s'il avait des blessures. Il y avait du sang qui coulait de sa jambe gauche, c'était pas jolie à regarder. Puis sans perdre une seconde, il se concentra pour lancer le sortilège de prévention.
« Périculum ! »
Le sortilège fit des étincelles légère mais n'allaient pas très haut. Le garçon recommença encore une fois.
« Périculum ! »
Cette fois-ci le sortilège s'envola un peu plus haut. C'était des étincelles rouges qui pouvait être visible par des sorciers de plusieurs kilomètres. Wilson réfléchit a ce qu'il devait faire ensuite. « Pouvoir Engraisser Arseni Stoyanov. Ou sinon : Protéger, Examiner, Alerter, Secourir. Prenez des notes ! » se souvient-il. Cette phrase fut dite par son professeure lors du cours. Pouvoir Engraisser Arseni, c'est fait. Il restait Stoyanov... donc Secourir. Mais il n'est pas un professionnel médical, comment on fait ? Ah oui, on parle à la personne. Wilson s'installa assit à côté de l'homme et s'exprima :
« Monsieur, je suis là, je vous laisserai pas tomber. Même si je ne suis pas doué pour ce genre de chose, faut le reconnaître, j'ai quand même réussi à lancer le sortilège d'alerte au secours. Ils vont arriver. Quand on ne sait pas encore mais ils vont arriver. Soyez fort. Je ne veux pas connaître la mort, pas aujourd'hui. Ne mourrez pas devant moi ! C'est un ordre ! Et puis comme je compte rester là jusqu'à l'arrivé des secours, vous n'avez pas intérêt à partir. En plus, dans les rues il y a personne, j'ai peur. Restez avec moi, un petit peu... Bon les secours vont arriver normalement, je ne sais pas comment vous appelez les secours dans le monde magique, chez les moldus on appelle les pompiers. Ce sont des guérisseurs tous-terrains. Mais ils éteignent les incendies et sauve les gens des inondations. Ce sont des héros. A bah en parlant de guérisseurs, en voilà une. Je pensais que cette ville était vide. Vous avez de la chance ! »
Wilson s'écarta de la victime pour laisser l'adulte s'approcher et décida de partir dans le même temps. Il marcha marcha marcha et vit un brouillard très épais surgir d'un seul coup. Il effaça les contour de la ville, d'un seul geste.
Il se retrouva dans la salle de classe avec ses deux camarades et sa professeure. Wilson avait aimé cette expérience mais il resta silencieux. Pas de cris de joie, rien de tous ça. Il attendait la permission de pouvoir s'exprimer sur ce qu'il avait vécu.
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
Le petit Wilson ouvrit légèrement la bouche de stupéfaction. Il n'avait pas vu ça comme ça. Il pensait que c'était un piège ou une consigne qui demandait de réfléchir alors comme il s'était souvenu de ce que la professeure avait dit en cours, il pensait qu'il ne fallait pas lancer le sortilège. Et puis avouez que c'était une bonne excuse pour pas se prendre la tête comme Arthur.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Wilson sourit à la dernière remarque du professeur. Il se sentait légèrement honteux. Mais en même temps, il n'eut pas le temps d'avoir honte car ce qu'il l'attendait était bien plus terrifiant. Le professeur allait envoyer les trois élèves dans une illusion où chacun devra choisir une issue et partir dans des aventures incroyable. Wilson s'en voulut encore de ne pas avoir lancé le Périculum car s'il avait besoin de le lancer et qu'il y arrivait pas, Miss Holloway ne pourra pas le savoir. Il était néanmoins prêt à partir à l'aventure, de toute façon, il n'avait pas trop le choix. Il se prépara psychologiquement à entrer dans l'une de ses situations, sachant que en théorie il devrait savoir se débrouiller. En théorie...
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
D'un coup de baguette de son professeur, Wilson quitta la salle de classe (du moins c'est ce qu'il croyait), pour un petit voyage dans l'imagination.
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Il atterrit au carrefour d'une rue. Une rue partait à gauche, une rue allait tous droit et évidement une rue allait sur la droite. Wilson regarda Arthur et Bulle ne sachant pas trop quoi faire. Puis se rappelant que chaque élève du cours devait choisir une route différente, il allait donc être seul ensuite, il n'était pas question de traîner et de faire le peureux. On garde ça pour les cours de Miss Holloway, vaut mieux.
Le première année de Serpentard avança vers le chemin de droite et laissa ses deux camarades. Il leur fit un signe d'encouragement et avança avec une appréhension. Qu'allait-il lui arriver ? Est-ce que cette situation comme l'avait appeler miss Holloway n'était pas dangereuse ? Wilson avançait, de toute façon, c'était trop tard. Plus il avançait, plus il s'approchait de quelque chose. Une mare devina-t-il en s'approchant encore. Il y avait des grenouilles toute mignonne. Wilson s'approcha d'un pas assuré vers elles, il voulait les observer un peu mieux, mais ces petites bêtes se retournèrent vers lui et semblaient énervés. Elle avait le regard méchant et étaient prête à bondir sur l'enfant magique. Wilson commença à trembler de peur avant de vite se ressaisir. * Ce ne sont que des grenouilles ! Tu es un sorcier, agit comme tel !* s'ordonna-t-il pour ne pas frémir. Il pointa sa baguette d'un geste vif sur les grenouilles :
« Lash... Non... Gonflus ! »
La grenouille gonfla comme un ballon avec difficulté car Wilson avait hésité mais belle et bien comme il fallait pour reconnaître le sortilège comme étant réussi. Le garçonnet avait eut un peu peur mais pas suffisamment pour l’empêcher de lancer le sortilège. Pourquoi Wilson avait penser d'abord à Lashlabask ? Bonne question. Mais il a eut le temps de se corriger c'est le principale. Le petit garçon regarda autour de lui, deux autres grenouilles toute aussi dangereuse firent leur apparition. Il n'hésita plus une seconde, voyant l'efficacité de son précédent sortilège utilisé.
« Gonflus ! Gonflus ! »
Les deux grenouilles gonflèrent comme des boules et roulèrent sur l'eau de la mare. Il s'amusa un peu avec elles en soufflant dessus afin de les faire avancer vers le milieu de la mare. Bah oui, Wilson n'est encore qu'un enfant de onze ans et à cet age là on s'amuse avec n'importe quoi. Il s'amusait bien mais il fallait bien qu'il avance... il n'allait pas rester là toute sa vie. Alors il se leva et avança...
Quand la mare fut plus qu'un aussi petit point que ce qu'il voyait lorsqu'il était au carrefour, le temps changea et devenu un peu pluvieux. Wilson n'avait pas prit de parapluie et il ne connaissait pas de formule pouvant lui en procurer un instantanément. Tant pis. En espérant qu'il ne pleuve pas trop fort, il continua d'avancer. Il arriva dans une rue banal, avec une circonstance pas banal. Il y avait un homme en difficulté sur le bord de la route. Un sorcier, Wilson reconnut sa baguette magique sur le sol à côté de lui. Lui qui avait eut des difficultés à faire cet exercice juste avant la mise en situation, il s'inquiéta un peu. Mais en même temps, il ne pouvait pas le laisser mourir cet homme.
Wilson s'approcha de lui et le mit en position latéral de sécurité. Après quoi, il l'examina sans le toucher, pour voir s'il avait des blessures. Il y avait du sang qui coulait de sa jambe gauche, c'était pas jolie à regarder. Puis sans perdre une seconde, il se concentra pour lancer le sortilège de prévention.
« Périculum ! »
Le sortilège fit des étincelles légère mais n'allaient pas très haut. Le garçon recommença encore une fois.
« Périculum ! »
Cette fois-ci le sortilège s'envola un peu plus haut. C'était des étincelles rouges qui pouvait être visible par des sorciers de plusieurs kilomètres. Wilson réfléchit a ce qu'il devait faire ensuite. « Pouvoir Engraisser Arseni Stoyanov. Ou sinon : Protéger, Examiner, Alerter, Secourir. Prenez des notes ! » se souvient-il. Cette phrase fut dite par son professeure lors du cours. Pouvoir Engraisser Arseni, c'est fait. Il restait Stoyanov... donc Secourir. Mais il n'est pas un professionnel médical, comment on fait ? Ah oui, on parle à la personne. Wilson s'installa assit à côté de l'homme et s'exprima :
« Monsieur, je suis là, je vous laisserai pas tomber. Même si je ne suis pas doué pour ce genre de chose, faut le reconnaître, j'ai quand même réussi à lancer le sortilège d'alerte au secours. Ils vont arriver. Quand on ne sait pas encore mais ils vont arriver. Soyez fort. Je ne veux pas connaître la mort, pas aujourd'hui. Ne mourrez pas devant moi ! C'est un ordre ! Et puis comme je compte rester là jusqu'à l'arrivé des secours, vous n'avez pas intérêt à partir. En plus, dans les rues il y a personne, j'ai peur. Restez avec moi, un petit peu... Bon les secours vont arriver normalement, je ne sais pas comment vous appelez les secours dans le monde magique, chez les moldus on appelle les pompiers. Ce sont des guérisseurs tous-terrains. Mais ils éteignent les incendies et sauve les gens des inondations. Ce sont des héros. A bah en parlant de guérisseurs, en voilà une. Je pensais que cette ville était vide. Vous avez de la chance ! »
Wilson s'écarta de la victime pour laisser l'adulte s'approcher et décida de partir dans le même temps. Il marcha marcha marcha et vit un brouillard très épais surgir d'un seul coup. Il effaça les contour de la ville, d'un seul geste.
♦.♦.♦.♦.♦
Il se retrouva dans la salle de classe avec ses deux camarades et sa professeure. Wilson avait aimé cette expérience mais il resta silencieux. Pas de cris de joie, rien de tous ça. Il attendait la permission de pouvoir s'exprimer sur ce qu'il avait vécu.
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow
RPG Cours de DCFM
Après Arthur, ce fut Wilson puis Bulle qui passèrent devant miss Holloway pour venir au secours du mannequin. Le jeune Serpentard n'avait pu s'empêcher de rigoler face à ce que Bulle pouvait bien raconter pour maintenir le blessé en éveil, c'était marrant !
Une fois tous les élèves passés, miss Holloway les félicita et leur annonça l'exercice suivant.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Arthur ressentit alors un petit coup de stress. Miss Holloway avait même préparé un examen final à cet après-midi ! C'que les professeurs pouvaient être sadiques parfois !
Mais il n'eut pas le temps de maugréer davantage. Il n'avait pas de question à poser, ça allait bientôt commencer. Pour tenter de rester calme, il prit de grandes inspirations. Mais avant de les jeter, lui et ses deux camarades, dans le grand bain, miss Holloway ajouta quelque chose.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
Puis, à peine Arthur eut-il le temps de voir miss Holloway sortir sa baguette magique que lui-même ainsi que ses camarades furent projetés dans une rue pavée, ressemblant de façon troublante à l'une de celles du Chemin de Traverse. C'était dingue ! Ils étaient dans une salle de cours dans Poudlard, et l'instant d'après...POUF ! Dehors, dans la rue ! C'était fou la magie quand même !
Arthur eut un peu de mal à rassemblait ses esprits pour faire face à la situation. Après quelques longues minutes, il observa enfin le décor extrêmement réaliste. Elle ne rigolait pas, quand elle parlait de situation réelle, miss Holloway ! Il y avait même des boutiques et tout ! Il observa Bulle et Wilson d'un air de dire que c'était vraiment impressionnant.
Mais il n'y avait pas de temps à perdre. Arthur voulait vraiment impressionner son professeur et avança donc droit devant lui sans trop savoir jusqu'où il irait, quand il se retrouva face aux trois issues dont miss Holloway avait parlé.
Wilson partit à droite, Bulle prit le chemin face à elle et Arthur, quant à lui, emprunta celui de gauche. C'était trop sombre pour être naturel. C'était vraiment pas rassurant. Le première année ne put s'empêcher de se dire que miss Holloway avait le sens du spectacle et qu'elle devait se régaler à observer d'on-ne-savait-où la scène.
Donc Arthur avançait, bien sur ses gardes et l'esprit tout sauf tranquille, dans la sombre ruelle. Au bout d'un long moment (oui, parce qu'il avançait vraiment doucement), il entendit des petits bruits pas rassurants du tout. Inquiet, il regardait partout autour de lui pour en trouver l'origine quand une douleur à la jambe vint répondre à ses questions. Un coup d’œil lui fit voir qu'un Botruc bien énervé venait de le griffer méchamment. La bestiole recula et lui montra ses griffes d'un air de défi, et elle fut bientôt rejointe par l'un de ses semblables. Combien pouvait-il donc y en avoir ? Avec un soulagement mesuré, Arthur n'en aperçut que deux. Ce qui n'était déjà pas mal, surtout quand on était seul.
Alors, d'instinct et sans réfléchir, il sortit sa baguette et visa le premier :
« GONFLUS ! »
Mince ! Il s'était complètement gouré ! C'était pour les grenouilles ça ! Mais le jeune homme s'aperçut de son erreur trop tard et la cible de son sortilège se mit à enfler comme un ballon et fut emporté dans les airs. La créature flottait dans les airs en griffant dans tous les sens et en grognant tout ce qu'il savait. Le jeune Grimms n'avait malheureusement pas le temps de s'en occuper. L'autre Botruc vint vers lui, visiblement furieux du sort qui venait d'être infligé à son camarade.
Pas le temps de faire de sentiments, Arthur s'éclaircit la gorge et visa la seconde bête tout en reculant.
« LASHLABASK ! »
Pouf ! Il ne resta plus qu'une volute de fumée face à lui. Même s'il avait fait une erreur, Arthur prit le temps de se féliciter lui-même. Il avait réussi les deux sortilèges du premier coup. Bon, en même temps, ils s'y étaient entraînés dix minutes avant ça donc il n'y avait pas tant de mérite finalement.
Il voulut tout de même se donner bonne conscience en observant le ciel au-dessus de lui pour voir s'il n'apercevait pas le premier Botruc mais il ne vit rien du tout. Bon, tant pis. Il poursuivit sa route.
En marchant, il fut encore plus sur ses gardes qu'avant. Sa jambe venait de se faire lacérer par une saleté de bestiole, il espérait bien que ça s'arrêterait là, les agressions gratuites !
Au fur et à mesure que ses pas le portaient en avant, il apercevait une silhouette au sol. Elle devenait de plus en plus précise, jusqu'à ce qu'elle ne soit très claire pour Arthur. Il y avait quelqu'un à terre. Certainement inconscient et ayant besoin de soin. Le jeune homme savait bien que miss Holloway ne leur aurait pas servi, dans son illusion, un poivrot en train de dormir dans la poussière. Ça n'aurait eu aucun intérêt.
Alors Arthur se mit à courir pour rejoindre la personne blessée. Il s'agissait d'une jeune femme. Quand il arriva à ses côtés, il la vit inconsciente et blessée à la jambe, ce qui lui fit faire une grimace de dégoût. Heureusement que la personne ne pouvait pas le voir, elle n'aurait pas été rassurée.
Il fut un peu blasé d'avoir à s'occuper de ça. Il n'avait jamais voulu devenir médicomage lui ! Bon, au moins, il saurait sur le bout des doigts ce qu'il lui faudrait faire s'il se retrouvait réellement face à une personne blessée.
Alors il retroussa ses manches et c'était parti. Qui sait ? Ça allait peut-être être plus sympa qu'avec le mannequin !
« Alors...P.E.A.S. … P.E.A.S. ... » Se répéta Arthur pour être certain de ne rien oublier et de connaître toutes les étapes.
Protéger. Arthur se fit le plus délicat possible en tournant la buste de la personne sur le côté. Il plaça sa tête de profil par rapport au sol et ramena ses deux bras du même côté, face à lui. Ainsi, personne n'avalerait sa langue aujourd'hui !
Il ramena également la jambe blessée sur le côté en y prenant bien soin. Il fit en sorte que la blessure soit à découvert et non pas toute collée contre le tissu du pantalon qu'elle portait et qu'il y ait le moins de risque d'infection possible. Il retint également un haut-le-cœur à la vue de ce sang coagulé.
Examiner. Arthur eut une expression de dépit en se rappelant cette étape.
« Ouais, bah...Il y a bien une blessure hein. Ça craint. »
Il prit quand même soin de regarder ailleurs, comme à la tête, pour voir si aucune autre blessure ne venait compléter celle-ci et, à son grand soulagement, ce ne fut pas le cas.
Arthur venait d'examiner la personne et elle avait une blessure. Alors, en sachant cela, comment passer à l'étape suivante ? Arthur ne pouvait s'y résoudre. Il devait faire quelque chose pour cette jambe. Ok, il n'était pas médecin mais il pouvait certainement faire quelque chose. Il ne pouvait laisser la blessée dans cet état. Il savait bien que le risque d'infection augmentait de secondes en secondes en laissant ça comme ça. Il en oublia que c'était là un exercice et non la réalité. Le sang était si réaliste. Il hésita à lancer le sortilège « Ferula » dont il avait entendu parler et qui faisait apparaître des bandages ou une attelle sur le membre visé, ce qui aurait pu être idéal dans cette situation ! Mais il se retint. Il ne le connaissait pas parfaitement, ce sortilège, et il avait peur de faire plus de dégâts qu'autre chose du coup. À la place, il déchira un morceau de sa cape de sorcier, qu'il humidifia grâce au sort « Aguamenti » et il l'enroula de façon très prudente autour de la jambe de la personne. Ainsi, la blessure n'était plus à l'air libre et c'était sûrement mieux comme ça.
Alerter. Arthur sortit sa baguette et la pointa vers le ciel en levant son bras droit le plus haut possible. Il prit une grande inspiration et réfléchit très fort. Enfin, il se lança :
« PE-RI-CU-LUM ! »
Et ce fut un beau feu d'artifice qui éclata au bout de sa baguette magique. Arthur fit un magnifique sourire en voyant qu'il avait également réussi ce sort. Il n'en revenait pas, et du premier coup en plus !
Bon, mais ce n'était pas fini. Maintenant, il devait maintenir un minimum de conscience pour la personne avant que les ''secours'' n'arrivent. Il devait lui parler. Alors il s'assit à ses côtés en tailleur.
« Bon. J'espère que tout va bien aller pour vous. Enfin, je vous rassure hein. Vous allez survivre, c'est certain ! C'est juste que j'espère que c'est pas trop grave ce que vous avez à la jambe. Ça devrait aller quand même remarquez. J'ai fait de mon mieux pour vous soigner. Et puis, j'ai alerté les gens, je pense qu'on devrait venir vous chercher dans pas longtemps. … Voilà, voilà. »
Peut-être pour la première fois de sa vie, Arthur ne savait pas quoi dire. Il était un peu perdu et avait usé tout son répertoire de conversation inutile face au mannequin. Il ne savait même plus ce qu'il avait dit et il n'avait plus trop la force de chercher. En effet, la fatigue venait de s'insinuer sournoisement en lui, lui enlevant toute volonté. Il avait un coup de barre phénoménal. Mais il ne devait pas s'écouter maintenant, ce n'était pas fini et il ne voulait pas décevoir son professeur en s'endormant comme une loque à côté d'une personne blessée qui avait besoin de lui. Alors, difficilement, il reprit.
« Et vous alors ? Vous avez rien à me dire ? Vous avez des enfants ? Vous faites quoi dans la vie ? Peut-être que vous pourriez m'aider à trouver ce que moi, je vais faire. Parce que j'en ai aucune idée. Je ne crois pas que je pourrai être médicomage. Trop stressant. Ni journaliste, quelle horreur ! Trop de pression ! Enfin, je dis ça, mais je m'occupe du journal de ma Maison. J'suis à Serpentard et je m'occupe du Sale Hasard ! J'en suis plutôt fier, honnêtement. J'aime bien faire ça. Mais c'est parce que c'est tranquille. Enfin, tout ça pour dire que je ne sais pas quoi faire plus tard. Je ne sais pas du tout. Il n'y a pas grand-chose qui me fait envie. Peut-être qu'une idée me viendra d'un coup ! J'espère en tout cas. Voilà, voilà. »
Il se retrouva encore coincé, à ne pas savoir quoi dire de plus. Mais alors qu'il réfléchissait, il tomba dans un vide intersidéral et se retrouva de nouveau dans la salle de classe, avec miss Holloway et ses camarades. Il s'était retrouvé assis en tailleur sur le sol de pierres froides et un mal de crâne lui était apparu soudainement. Tout en se relevant, il bailla de façon pas discrète du tout et il attendit la suite des événements.
Une fois tous les élèves passés, miss Holloway les félicita et leur annonça l'exercice suivant.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Arthur ressentit alors un petit coup de stress. Miss Holloway avait même préparé un examen final à cet après-midi ! C'que les professeurs pouvaient être sadiques parfois !
Mais il n'eut pas le temps de maugréer davantage. Il n'avait pas de question à poser, ça allait bientôt commencer. Pour tenter de rester calme, il prit de grandes inspirations. Mais avant de les jeter, lui et ses deux camarades, dans le grand bain, miss Holloway ajouta quelque chose.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
Puis, à peine Arthur eut-il le temps de voir miss Holloway sortir sa baguette magique que lui-même ainsi que ses camarades furent projetés dans une rue pavée, ressemblant de façon troublante à l'une de celles du Chemin de Traverse. C'était dingue ! Ils étaient dans une salle de cours dans Poudlard, et l'instant d'après...POUF ! Dehors, dans la rue ! C'était fou la magie quand même !
Arthur eut un peu de mal à rassemblait ses esprits pour faire face à la situation. Après quelques longues minutes, il observa enfin le décor extrêmement réaliste. Elle ne rigolait pas, quand elle parlait de situation réelle, miss Holloway ! Il y avait même des boutiques et tout ! Il observa Bulle et Wilson d'un air de dire que c'était vraiment impressionnant.
Mais il n'y avait pas de temps à perdre. Arthur voulait vraiment impressionner son professeur et avança donc droit devant lui sans trop savoir jusqu'où il irait, quand il se retrouva face aux trois issues dont miss Holloway avait parlé.
Wilson partit à droite, Bulle prit le chemin face à elle et Arthur, quant à lui, emprunta celui de gauche. C'était trop sombre pour être naturel. C'était vraiment pas rassurant. Le première année ne put s'empêcher de se dire que miss Holloway avait le sens du spectacle et qu'elle devait se régaler à observer d'on-ne-savait-où la scène.
Donc Arthur avançait, bien sur ses gardes et l'esprit tout sauf tranquille, dans la sombre ruelle. Au bout d'un long moment (oui, parce qu'il avançait vraiment doucement), il entendit des petits bruits pas rassurants du tout. Inquiet, il regardait partout autour de lui pour en trouver l'origine quand une douleur à la jambe vint répondre à ses questions. Un coup d’œil lui fit voir qu'un Botruc bien énervé venait de le griffer méchamment. La bestiole recula et lui montra ses griffes d'un air de défi, et elle fut bientôt rejointe par l'un de ses semblables. Combien pouvait-il donc y en avoir ? Avec un soulagement mesuré, Arthur n'en aperçut que deux. Ce qui n'était déjà pas mal, surtout quand on était seul.
Alors, d'instinct et sans réfléchir, il sortit sa baguette et visa le premier :
« GONFLUS ! »
Mince ! Il s'était complètement gouré ! C'était pour les grenouilles ça ! Mais le jeune homme s'aperçut de son erreur trop tard et la cible de son sortilège se mit à enfler comme un ballon et fut emporté dans les airs. La créature flottait dans les airs en griffant dans tous les sens et en grognant tout ce qu'il savait. Le jeune Grimms n'avait malheureusement pas le temps de s'en occuper. L'autre Botruc vint vers lui, visiblement furieux du sort qui venait d'être infligé à son camarade.
Pas le temps de faire de sentiments, Arthur s'éclaircit la gorge et visa la seconde bête tout en reculant.
« LASHLABASK ! »
Pouf ! Il ne resta plus qu'une volute de fumée face à lui. Même s'il avait fait une erreur, Arthur prit le temps de se féliciter lui-même. Il avait réussi les deux sortilèges du premier coup. Bon, en même temps, ils s'y étaient entraînés dix minutes avant ça donc il n'y avait pas tant de mérite finalement.
Il voulut tout de même se donner bonne conscience en observant le ciel au-dessus de lui pour voir s'il n'apercevait pas le premier Botruc mais il ne vit rien du tout. Bon, tant pis. Il poursuivit sa route.
En marchant, il fut encore plus sur ses gardes qu'avant. Sa jambe venait de se faire lacérer par une saleté de bestiole, il espérait bien que ça s'arrêterait là, les agressions gratuites !
Au fur et à mesure que ses pas le portaient en avant, il apercevait une silhouette au sol. Elle devenait de plus en plus précise, jusqu'à ce qu'elle ne soit très claire pour Arthur. Il y avait quelqu'un à terre. Certainement inconscient et ayant besoin de soin. Le jeune homme savait bien que miss Holloway ne leur aurait pas servi, dans son illusion, un poivrot en train de dormir dans la poussière. Ça n'aurait eu aucun intérêt.
Alors Arthur se mit à courir pour rejoindre la personne blessée. Il s'agissait d'une jeune femme. Quand il arriva à ses côtés, il la vit inconsciente et blessée à la jambe, ce qui lui fit faire une grimace de dégoût. Heureusement que la personne ne pouvait pas le voir, elle n'aurait pas été rassurée.
Il fut un peu blasé d'avoir à s'occuper de ça. Il n'avait jamais voulu devenir médicomage lui ! Bon, au moins, il saurait sur le bout des doigts ce qu'il lui faudrait faire s'il se retrouvait réellement face à une personne blessée.
Alors il retroussa ses manches et c'était parti. Qui sait ? Ça allait peut-être être plus sympa qu'avec le mannequin !
« Alors...P.E.A.S. … P.E.A.S. ... » Se répéta Arthur pour être certain de ne rien oublier et de connaître toutes les étapes.
Protéger. Arthur se fit le plus délicat possible en tournant la buste de la personne sur le côté. Il plaça sa tête de profil par rapport au sol et ramena ses deux bras du même côté, face à lui. Ainsi, personne n'avalerait sa langue aujourd'hui !
Il ramena également la jambe blessée sur le côté en y prenant bien soin. Il fit en sorte que la blessure soit à découvert et non pas toute collée contre le tissu du pantalon qu'elle portait et qu'il y ait le moins de risque d'infection possible. Il retint également un haut-le-cœur à la vue de ce sang coagulé.
Examiner. Arthur eut une expression de dépit en se rappelant cette étape.
« Ouais, bah...Il y a bien une blessure hein. Ça craint. »
Il prit quand même soin de regarder ailleurs, comme à la tête, pour voir si aucune autre blessure ne venait compléter celle-ci et, à son grand soulagement, ce ne fut pas le cas.
Arthur venait d'examiner la personne et elle avait une blessure. Alors, en sachant cela, comment passer à l'étape suivante ? Arthur ne pouvait s'y résoudre. Il devait faire quelque chose pour cette jambe. Ok, il n'était pas médecin mais il pouvait certainement faire quelque chose. Il ne pouvait laisser la blessée dans cet état. Il savait bien que le risque d'infection augmentait de secondes en secondes en laissant ça comme ça. Il en oublia que c'était là un exercice et non la réalité. Le sang était si réaliste. Il hésita à lancer le sortilège « Ferula » dont il avait entendu parler et qui faisait apparaître des bandages ou une attelle sur le membre visé, ce qui aurait pu être idéal dans cette situation ! Mais il se retint. Il ne le connaissait pas parfaitement, ce sortilège, et il avait peur de faire plus de dégâts qu'autre chose du coup. À la place, il déchira un morceau de sa cape de sorcier, qu'il humidifia grâce au sort « Aguamenti » et il l'enroula de façon très prudente autour de la jambe de la personne. Ainsi, la blessure n'était plus à l'air libre et c'était sûrement mieux comme ça.
Alerter. Arthur sortit sa baguette et la pointa vers le ciel en levant son bras droit le plus haut possible. Il prit une grande inspiration et réfléchit très fort. Enfin, il se lança :
« PE-RI-CU-LUM ! »
Et ce fut un beau feu d'artifice qui éclata au bout de sa baguette magique. Arthur fit un magnifique sourire en voyant qu'il avait également réussi ce sort. Il n'en revenait pas, et du premier coup en plus !
Bon, mais ce n'était pas fini. Maintenant, il devait maintenir un minimum de conscience pour la personne avant que les ''secours'' n'arrivent. Il devait lui parler. Alors il s'assit à ses côtés en tailleur.
« Bon. J'espère que tout va bien aller pour vous. Enfin, je vous rassure hein. Vous allez survivre, c'est certain ! C'est juste que j'espère que c'est pas trop grave ce que vous avez à la jambe. Ça devrait aller quand même remarquez. J'ai fait de mon mieux pour vous soigner. Et puis, j'ai alerté les gens, je pense qu'on devrait venir vous chercher dans pas longtemps. … Voilà, voilà. »
Peut-être pour la première fois de sa vie, Arthur ne savait pas quoi dire. Il était un peu perdu et avait usé tout son répertoire de conversation inutile face au mannequin. Il ne savait même plus ce qu'il avait dit et il n'avait plus trop la force de chercher. En effet, la fatigue venait de s'insinuer sournoisement en lui, lui enlevant toute volonté. Il avait un coup de barre phénoménal. Mais il ne devait pas s'écouter maintenant, ce n'était pas fini et il ne voulait pas décevoir son professeur en s'endormant comme une loque à côté d'une personne blessée qui avait besoin de lui. Alors, difficilement, il reprit.
« Et vous alors ? Vous avez rien à me dire ? Vous avez des enfants ? Vous faites quoi dans la vie ? Peut-être que vous pourriez m'aider à trouver ce que moi, je vais faire. Parce que j'en ai aucune idée. Je ne crois pas que je pourrai être médicomage. Trop stressant. Ni journaliste, quelle horreur ! Trop de pression ! Enfin, je dis ça, mais je m'occupe du journal de ma Maison. J'suis à Serpentard et je m'occupe du Sale Hasard ! J'en suis plutôt fier, honnêtement. J'aime bien faire ça. Mais c'est parce que c'est tranquille. Enfin, tout ça pour dire que je ne sais pas quoi faire plus tard. Je ne sais pas du tout. Il n'y a pas grand-chose qui me fait envie. Peut-être qu'une idée me viendra d'un coup ! J'espère en tout cas. Voilà, voilà. »
Il se retrouva encore coincé, à ne pas savoir quoi dire de plus. Mais alors qu'il réfléchissait, il tomba dans un vide intersidéral et se retrouva de nouveau dans la salle de classe, avec miss Holloway et ses camarades. Il s'était retrouvé assis en tailleur sur le sol de pierres froides et un mal de crâne lui était apparu soudainement. Tout en se relevant, il bailla de façon pas discrète du tout et il attendit la suite des événements.
RPG Cours de DCFM
Une fois que Bulle eut fini l'exercice, Miss Holloway dit d'une voix satisfaite :
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
Bulle sourit. Elle avait réussi l'exercice ! A présent, elle avait hâte de savoir ce qu'ils allaient faire. Cet exercice lui avait paru plus compliqué que les autres, elle espérait que celui qui les attendait ne soit pas trop technique.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Bulle eut soudain l'impression que son estomac s'était métamorphosé en plomb. Quoi ? Un exercice qui s'apparentait à un examen final ? Mais ils étaient en cours de soutien ? La jeune fille était de plus en plus stressée. Que faire si elle ne se souvenait pas ? *Allons Bulle, déstresse, c'est bon. Personne ne va t’assommer avec un gourdin si jamais tu ne réussis pas cet exercice. Tu ne joues pas ta vie, non plus !* Une fois ces pensées réconfortantes en tête, elle se sentit un peu mieux. Le tout était de bien se concentrer et de se bien se souvenir de ce qu'ils avaient faits.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
Bulle se rapprocha de ses camarades, sentant que l'exercice allait bientôt commencer. *Que c'est encourageant, un tiers de Patacitrouille géante !* Mais elle eut à peine le temps de se retourner qu'elle se sentit propulser. Elle ferma les yeux afin d'éviter le tournis. Où allaient-ils se retrouver ? Elle n'en avait absolument aucune idée. * Pas dans un endroit trop sombre, merci !*
Après quelques secondes, elle et les deux Serpentards atterrirent dans un bruit sourd. En ouvrant les yeux, elle discerna avec stupéfaction les rues du Chemin de Traverse. Ca alors ! C'était extrêmement réaliste. Miss Holloway ne se fichait pas d'eux !
Elle lança un regard encourageant à ses camarades. Elle aurait aimé leur souhaiter bonne chance, mais les deux semblaient très impatient de commencer. Wilson se dirigeait à gauche et Arthur à droite, Bulle s'avança vers le seul chemin restant, c'est à dire celui du milieu. Tandis ce qu'elle s'avançait, elle remarqua que les rues étaient bien plus sombres que d'habitude. *Ca rajoute un peu de piment, ce n'est pas plus mal*. Elle entendit alors des cris ... bizarres. Comme des minis cris de guerres. Elle distingua alors deux bouts de bois se bagarrant violemment. Des Botrucs, cela ne faisait aucun doute. Elle tenta d'avancer sans attirer l'attention sur elle, mais trop tard ... Ils l'avaient vus. Ils cessèrent alors de se tapper dessus pour se concentrer sur elle. *Là, Bulle, c'est le moment où tu rassembles tout le peu de courage que tu as et que tu t'en sers !* Elle sortit sa baguette et regarda alors autours d"elle, pas peu rassurée.
Elle sentit alors une vive douleur à sa cheville. " AÏE !!! Mon dieu de mon dieu de mince de zut !"
Bulle inspecta rapidement sa cheville. Ok, pas grave, mais quand même, l’entaille était profonde. Ce sentant animé par quelque chose qui devait s'apparenter à une folie meurtrière, elle recula d'un bond. Elle vit alors un Botruc tout près de son autre cheville. * Toi, mon bonhomme, tu ne pers absolument rien pour attendre !*
- Lashlabask !
Le Botruc se prit le sortilège de pleins fouets, et partit en courant. * Ca, c'est fait. L'autre, à présent !* Elle reregarda autours d'elle, et localisa l'autre Botruc ( appelons le N°2) à quelques centimètres de lui. A peine eu-il le temps de bondir vers elle qu'elle lança un retentissent :
- Lashlabask !
L'autre Botruc se consumma d'un coup et s'envola en fumée. Plutôt fière parce qu'elle venait d'accomplir, Bulle prit le temps de réinspecter la blessure. Elle ne semblait pas s'être infectée. Rassurée, Bulle continua sa route.
La jeune fille avançait désormais dans une rue du chemin de Traverse qu’elle ne connaissait pas. La rue était plus large, la pierre plus blanche. Une légère brise passa dans les cheveux de la rouquine, qui frissona. Où allait-elle attérir ?
C’est alors qu’elle déboucha sur une charmante petite place. Au centre se tenait une mare, où deux grenouilles semblaient y avoir pris résidence. Un petit peu déstabilisée, Bulle s’interrogea. Que devait-elle faire, à présent ? Mais avant même qu’elle est eu le temps de se rapprocher, les deux grenouilles se tournèrent vers elle et la regardèrent méchamment. * C’est moi, ou ces grenouilles veulent ma mort ?*
Elle recula de quelques pas, peu certaine de ce qu’elle devait faire. Pourquoi devait-elle les gonfler ? Ce n’était que de simples grenouilles ! *Décidemment, aujourd’hui, tous les animaux veulent ma mort …*
Avec dépit, la fillette sortit sa baguette magique. *Pense à une boule de bowling*. Bulle redoutait cet exercice car il lui semblait que c’était celui qu’elle avait le plus raté. Elle se concentra, puis lança un :
- GONFLUS !
Une des grenouilles se remplit d’air et se mit à voleter comme un ballon. La première année ne put s’empêcher de réprimer un petit rire, et lança un second :
- GONFLUS !
Celui-ci était un peu moins réussi que le premier, mais le résultat y était. Bulle regarda les deux grenouilles avec un léger sourire de satisfaction. Elle avait réussi ! C’était enfin terminé ! Mais à peine avait-elle eu le temps de le penser qu’elle se sentit tirée par derrière. Encore toute chamboulée parce qu’elle venait de vivre, Bulle réattérit dans la classe, juste à côté de ses camarades. Elle les observa un petit peu, afin de voir si eux avaient bien réagis. * ¨Parfait, il n’y a pas que moi qui a l’air d’avoir survécu à une catastrophe naturelle*. Toujours un peu secouée, elle attendit que quelqu’un prenne la parole.
~Pouffy’s un jour, Pouffy’s toujours !~
~Le souffle des Poufsouffle jamais ne s’étouffe !~
- Journaliste au journal du blaireau -
« Bravo à vous, vous avez tous très bien réussi, je suis ravie. Monsieur Wilson, je voulais juste ajouter que oui, le sortilège Periculum n'est pas utile en intérieur, mais je voulais juste voir votre maîtrise du sortilège. Enfin, ce n'est pas trop grave, ne vous en faites pas ».
Bulle sourit. Elle avait réussi l'exercice ! A présent, elle avait hâte de savoir ce qu'ils allaient faire. Cet exercice lui avait paru plus compliqué que les autres, elle espérait que celui qui les attendait ne soit pas trop technique.
« Pour terminer en beauté ce cours, je vais vous proposer une mise en situation réelle. Je vais mettre en place une illusion que j'ai préparé précédemment, le principe est assez simple. Vous vous retrouverez ensemble dans une rue principale, et en face de vous, il y aura trois issues possibles. Chacun de vous en prendra une, et se retrouvera face à deux des trois situations que nous avons vu lors de ce cours. A vous de vous en sortir du mieux possible. Si vous avez besoin de mon aide, lancez un Periculum, même en intérieur Monsieur Kingson, et je ferai le nécessaire. Questions ? »
Bulle eut soudain l'impression que son estomac s'était métamorphosé en plomb. Quoi ? Un exercice qui s'apparentait à un examen final ? Mais ils étaient en cours de soutien ? La jeune fille était de plus en plus stressée. Que faire si elle ne se souvenait pas ? *Allons Bulle, déstresse, c'est bon. Personne ne va t’assommer avec un gourdin si jamais tu ne réussis pas cet exercice. Tu ne joues pas ta vie, non plus !* Une fois ces pensées réconfortantes en tête, elle se sentit un peu mieux. Le tout était de bien se concentrer et de se bien se souvenir de ce qu'ils avaient faits.
« Ah, j'oubliais. Vous devrez, avant de quitter la salle, me donner votre opinion sur ce cours de soutien, si cela vous a plu ou non, et s'il y a des choses à améliorer. Pensez également que votre récompense, c'est à dire un tiers de Patacitrouille géante, vous attendra si vous réussissez avec brio ceci. A mon signal, un, deux... Trois ».
Bulle se rapprocha de ses camarades, sentant que l'exercice allait bientôt commencer. *Que c'est encourageant, un tiers de Patacitrouille géante !* Mais elle eut à peine le temps de se retourner qu'elle se sentit propulser. Elle ferma les yeux afin d'éviter le tournis. Où allaient-ils se retrouver ? Elle n'en avait absolument aucune idée. * Pas dans un endroit trop sombre, merci !*
Après quelques secondes, elle et les deux Serpentards atterrirent dans un bruit sourd. En ouvrant les yeux, elle discerna avec stupéfaction les rues du Chemin de Traverse. Ca alors ! C'était extrêmement réaliste. Miss Holloway ne se fichait pas d'eux !
Elle lança un regard encourageant à ses camarades. Elle aurait aimé leur souhaiter bonne chance, mais les deux semblaient très impatient de commencer. Wilson se dirigeait à gauche et Arthur à droite, Bulle s'avança vers le seul chemin restant, c'est à dire celui du milieu. Tandis ce qu'elle s'avançait, elle remarqua que les rues étaient bien plus sombres que d'habitude. *Ca rajoute un peu de piment, ce n'est pas plus mal*. Elle entendit alors des cris ... bizarres. Comme des minis cris de guerres. Elle distingua alors deux bouts de bois se bagarrant violemment. Des Botrucs, cela ne faisait aucun doute. Elle tenta d'avancer sans attirer l'attention sur elle, mais trop tard ... Ils l'avaient vus. Ils cessèrent alors de se tapper dessus pour se concentrer sur elle. *Là, Bulle, c'est le moment où tu rassembles tout le peu de courage que tu as et que tu t'en sers !* Elle sortit sa baguette et regarda alors autours d"elle, pas peu rassurée.
Elle sentit alors une vive douleur à sa cheville. " AÏE !!! Mon dieu de mon dieu de mince de zut !"
Bulle inspecta rapidement sa cheville. Ok, pas grave, mais quand même, l’entaille était profonde. Ce sentant animé par quelque chose qui devait s'apparenter à une folie meurtrière, elle recula d'un bond. Elle vit alors un Botruc tout près de son autre cheville. * Toi, mon bonhomme, tu ne pers absolument rien pour attendre !*
- Lashlabask !
Le Botruc se prit le sortilège de pleins fouets, et partit en courant. * Ca, c'est fait. L'autre, à présent !* Elle reregarda autours d'elle, et localisa l'autre Botruc ( appelons le N°2) à quelques centimètres de lui. A peine eu-il le temps de bondir vers elle qu'elle lança un retentissent :
- Lashlabask !
L'autre Botruc se consumma d'un coup et s'envola en fumée. Plutôt fière parce qu'elle venait d'accomplir, Bulle prit le temps de réinspecter la blessure. Elle ne semblait pas s'être infectée. Rassurée, Bulle continua sa route.
La jeune fille avançait désormais dans une rue du chemin de Traverse qu’elle ne connaissait pas. La rue était plus large, la pierre plus blanche. Une légère brise passa dans les cheveux de la rouquine, qui frissona. Où allait-elle attérir ?
C’est alors qu’elle déboucha sur une charmante petite place. Au centre se tenait une mare, où deux grenouilles semblaient y avoir pris résidence. Un petit peu déstabilisée, Bulle s’interrogea. Que devait-elle faire, à présent ? Mais avant même qu’elle est eu le temps de se rapprocher, les deux grenouilles se tournèrent vers elle et la regardèrent méchamment. * C’est moi, ou ces grenouilles veulent ma mort ?*
Elle recula de quelques pas, peu certaine de ce qu’elle devait faire. Pourquoi devait-elle les gonfler ? Ce n’était que de simples grenouilles ! *Décidemment, aujourd’hui, tous les animaux veulent ma mort …*
Avec dépit, la fillette sortit sa baguette magique. *Pense à une boule de bowling*. Bulle redoutait cet exercice car il lui semblait que c’était celui qu’elle avait le plus raté. Elle se concentra, puis lança un :
- GONFLUS !
Une des grenouilles se remplit d’air et se mit à voleter comme un ballon. La première année ne put s’empêcher de réprimer un petit rire, et lança un second :
- GONFLUS !
Celui-ci était un peu moins réussi que le premier, mais le résultat y était. Bulle regarda les deux grenouilles avec un léger sourire de satisfaction. Elle avait réussi ! C’était enfin terminé ! Mais à peine avait-elle eu le temps de le penser qu’elle se sentit tirée par derrière. Encore toute chamboulée parce qu’elle venait de vivre, Bulle réattérit dans la classe, juste à côté de ses camarades. Elle les observa un petit peu, afin de voir si eux avaient bien réagis. * ¨Parfait, il n’y a pas que moi qui a l’air d’avoir survécu à une catastrophe naturelle*. Toujours un peu secouée, elle attendit que quelqu’un prenne la parole.
~Pouffy’s un jour, Pouffy’s toujours !~
~Le souffle des Poufsouffle jamais ne s’étouffe !~
- Journaliste au journal du blaireau -
RPG Cours de DCFM
L'illusion était parfaite. Amy, sans bouger, pouvait voir les actions de chacun de ses élèves. Ce qu'elle vit la conforta dans l'idée qu'elle n'enseignait pas trop mal, ce dont elle avait douté lors de son arrivée dans le château écossais. En premier lieu, elle vit Wilson Kingson s'avancer en premier dans la rue qu'il avait choisi, celle qui partait sur la droite. Celui-ci ne semblait franchement pas rassuré. En même temps, cela pouvait se comprendre. Avancer dans une rue sombre, que l'on ne connaît même pas ? De toute façon, tout le monde s'était exercé, donc il ne devrait pas y avoir de problèmes. Le Serpentard s'avança et se retrouva face à deux grenouilles, et, au grand étonnement de la professeure, se trompa presque de sortilège. Sans doute un petit manque de concentration. En tout cas, les deux grenouilles avaient tout de même été gonflés avec une facilité déconcertante, et Amy en fut ravie.
La deuxième épreuve de Wilson se passa également plutôt bien, celui-ci se retrouvant face à un sorcier étendu sur le sol. Lui qui avait eu une petite difficulté lors de la pratique précédente, se débrouilla plutôt bien. La position latérale de sécurité était bien effectuée, le Periculum lancé à deux reprises pour être sur qu'il était visible, et enfin, le loooooong dialogue pour maintenir le sorcier éveillé. Une fois qu'un guérisseur était arrivé, Wilson, dans un épais brouillard, retrouva la salle de DCFM.
Arthur Grimms, quant à lui, avait décidé de prendre le chemin de gauche. L'autre Serpentard n'était pas non plus des plus rassurés. Cette situation était si angoissante que ça ? Pourtant, les élèves savaient à quoi s'attendre. Mais comme ils étaient plutôt jeunes, se retrouver seul dans une ruelle sombre pouvait effectivement être effrayant, se dit Amy après coup. Le garçon se retrouva face à deux Botrucs passablement énervés. Lorsque l'une des créatures griffa la jambe d'Arthur, Amy se tint prête à intervenir. Pas trois élèves à l'infirmerie, certainement pas ! Mais le Serpentard se ressaisit... Et se trompa de formule. Le Botruc se mit à gonfler, gonfler, et s'envola. La professeure se demanda ensuite s'il allait se reprendre, et ce fut le cas. Un Lashlabask impeccablement effectué, et Arthur put passer à l'épreuve suivante. Comme pour Wilson, Arthur eut le droit au sorcier inconscient au sol, et il effectu un très bon PEAS. Position latérale de sécurité, examen des éventuelles blessures, un Periculum excellent, et enfin, un long monologue pour garder éveillé la personne étalée sur le sol. Une fois qu'il eut fini de parler, le jeune garçon fut happé et se retrouva dans la salle de classe.
Pour terminer avec cette dernière activité, Bulle Stevens s'attela à la tâche. La jeune fille avait choisi, ou plutôt avait prit par défaut, le chemin face à elle. Arrivée près des Botrucs, elle se fit griffer à la cheville également. Comme pour Arthur, Amy se tint prête à intervenir. Heureusement pour tout le monde, elle n'eut pas à le faire, car Bulle repoussa les deux Botrucs avec une facilité époustouflante. Pas le temps de s'attarder, la jeune fille passa directement à la seconde épreuve. Pour ce couloir-ci, il n'y avait pas de sorcier inconscient, mais bien les deux grenouilles qui avaient causé quelques difficultés lors de l'exercice en salle. La Jaune leva sa baguette, et après un Gonflus prononcé, la première grenouille gonfla comme une boule de bowling, et s'éleva dans les airs. La seconde subit le même sort, et Bulle se retrouva ensuite dans la Salle de DCFM, l'illusion s'étant évaporée.
Amy apporta une chaise à chacun de ses trois élèves et une chaise pour elle-même. Arthur étant assis en tailleur par terre, elle songea que ses petits écoliers étaient sans doute fatigués de cette matinée d’entraînement. Elle s'empressa ensuite de découper en trois parties la grosse Patacitrouille. Bon, elle n'avait pas apporté de couteau, mais avec un simple Diffindo, la friandise était découpée en trois. Chose promise, chose due. La professeure reprit ensuite la parole.
« Nous en avons presque terminé ! Voici donc, comme promis, dit-elle en distribuant les trois morceaux de Patacitrouille, votre récompense pour avoir réussi avec brio l'exercice que je vous ai proposé. Tous les exercices, en fait. Avant de vous laisser sortir, je souhaiterais que vous racontiez rapidement les épreuves auxquelles vous avez été confrontés, et j'aimerais également connaître votre opinion à propos de ce cours. N'hésitez pas à être franc. Est-ce que vous avez aimé ce que je vous ai proposé ? Est-ce que vous auriez voulu apprendre autre chose ? Je veux tout savoir. Et cela me permettra de m'améliorer si je propose de nouveau ce cours de soutien ! »
Amy sourit, et après s'être assise, croisa les jambes, attendant les avis de ses élèves. Cela comptait beaucoup pour la professeure, qui pourrait ainsi savoir d'un point de vue « élève », comment était perçu son cours.
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
La deuxième épreuve de Wilson se passa également plutôt bien, celui-ci se retrouvant face à un sorcier étendu sur le sol. Lui qui avait eu une petite difficulté lors de la pratique précédente, se débrouilla plutôt bien. La position latérale de sécurité était bien effectuée, le Periculum lancé à deux reprises pour être sur qu'il était visible, et enfin, le loooooong dialogue pour maintenir le sorcier éveillé. Une fois qu'un guérisseur était arrivé, Wilson, dans un épais brouillard, retrouva la salle de DCFM.
Arthur Grimms, quant à lui, avait décidé de prendre le chemin de gauche. L'autre Serpentard n'était pas non plus des plus rassurés. Cette situation était si angoissante que ça ? Pourtant, les élèves savaient à quoi s'attendre. Mais comme ils étaient plutôt jeunes, se retrouver seul dans une ruelle sombre pouvait effectivement être effrayant, se dit Amy après coup. Le garçon se retrouva face à deux Botrucs passablement énervés. Lorsque l'une des créatures griffa la jambe d'Arthur, Amy se tint prête à intervenir. Pas trois élèves à l'infirmerie, certainement pas ! Mais le Serpentard se ressaisit... Et se trompa de formule. Le Botruc se mit à gonfler, gonfler, et s'envola. La professeure se demanda ensuite s'il allait se reprendre, et ce fut le cas. Un Lashlabask impeccablement effectué, et Arthur put passer à l'épreuve suivante. Comme pour Wilson, Arthur eut le droit au sorcier inconscient au sol, et il effectu un très bon PEAS. Position latérale de sécurité, examen des éventuelles blessures, un Periculum excellent, et enfin, un long monologue pour garder éveillé la personne étalée sur le sol. Une fois qu'il eut fini de parler, le jeune garçon fut happé et se retrouva dans la salle de classe.
Pour terminer avec cette dernière activité, Bulle Stevens s'attela à la tâche. La jeune fille avait choisi, ou plutôt avait prit par défaut, le chemin face à elle. Arrivée près des Botrucs, elle se fit griffer à la cheville également. Comme pour Arthur, Amy se tint prête à intervenir. Heureusement pour tout le monde, elle n'eut pas à le faire, car Bulle repoussa les deux Botrucs avec une facilité époustouflante. Pas le temps de s'attarder, la jeune fille passa directement à la seconde épreuve. Pour ce couloir-ci, il n'y avait pas de sorcier inconscient, mais bien les deux grenouilles qui avaient causé quelques difficultés lors de l'exercice en salle. La Jaune leva sa baguette, et après un Gonflus prononcé, la première grenouille gonfla comme une boule de bowling, et s'éleva dans les airs. La seconde subit le même sort, et Bulle se retrouva ensuite dans la Salle de DCFM, l'illusion s'étant évaporée.
Amy apporta une chaise à chacun de ses trois élèves et une chaise pour elle-même. Arthur étant assis en tailleur par terre, elle songea que ses petits écoliers étaient sans doute fatigués de cette matinée d’entraînement. Elle s'empressa ensuite de découper en trois parties la grosse Patacitrouille. Bon, elle n'avait pas apporté de couteau, mais avec un simple Diffindo, la friandise était découpée en trois. Chose promise, chose due. La professeure reprit ensuite la parole.
« Nous en avons presque terminé ! Voici donc, comme promis, dit-elle en distribuant les trois morceaux de Patacitrouille, votre récompense pour avoir réussi avec brio l'exercice que je vous ai proposé. Tous les exercices, en fait. Avant de vous laisser sortir, je souhaiterais que vous racontiez rapidement les épreuves auxquelles vous avez été confrontés, et j'aimerais également connaître votre opinion à propos de ce cours. N'hésitez pas à être franc. Est-ce que vous avez aimé ce que je vous ai proposé ? Est-ce que vous auriez voulu apprendre autre chose ? Je veux tout savoir. Et cela me permettra de m'améliorer si je propose de nouveau ce cours de soutien ! »
Amy sourit, et après s'être assise, croisa les jambes, attendant les avis de ses élèves. Cela comptait beaucoup pour la professeure, qui pourrait ainsi savoir d'un point de vue « élève », comment était perçu son cours.
Reducio
Voici donc, avec du retard (j'en suis navrée), la fin de notre RPG cours ! Je vous demande donc, chacun votre tour, de raconter rapidement à vos camarades quelles épreuves vous avez faites, et ensuite de me dire si vous avez apprécié ce cours (ou pas, d'ailleurs) et pourquoi. Vous pourrez ensuite quitter la salle, après avoir reçu votre morceau de Patacitrouille, et je clôturerai le RPG. Je vous laisse trois semaines pour poster, c'est à dire jusqu'au 24 septembre environ. Ce délai me semble raisonnable, avec les éventuelles contraintes IRL que vous pouvez avoir. Si vous avez besoin d'un délai supplémentaire, n'hésitez pas, vous savez que je ne mords pas !
J'espère en tout cas que vous avez apprécié ce RPG cours, qu'il vous a aidé dans la réalisation de vos devoirs, surtout. Si vous avez des suggestions, des améliorations à me proposez, n'hésitez pas à m'envoyer un hibou, ou à me le mettre en spoiler à la fin de votre RPG. Et merci à vous d'être restés jusqu'à la fin !
J'espère en tout cas que vous avez apprécié ce RPG cours, qu'il vous a aidé dans la réalisation de vos devoirs, surtout. Si vous avez des suggestions, des améliorations à me proposez, n'hésitez pas à m'envoyer un hibou, ou à me le mettre en spoiler à la fin de votre RPG. Et merci à vous d'être restés jusqu'à la fin !
pilier, fossile, vieux mur, Amy Holloway
RPG Cours de DCFM
Cette expérience lui avait apprit que chaque chose effectué en cours, chaque chose apprise en classe, avait un sens. Bien plus, qu'il ne le pensait. Il s'assit sans se plaindre sur la chaise que lui apporta son professeur, content d'en avoir finit. Ces expériences avaient été riches en émotions et en sensations forte. Une sorte de montagne russe de la vie réel.
« Nous en avons presque terminé ! Voici donc, comme promis votre récompense pour avoir réussi avec brio l'exercice que je vous ai proposé. Tous les exercices, en fait. Avant de vous laisser sortir, je souhaiterais que vous racontiez rapidement les épreuves auxquelles vous avez été confrontés, et j'aimerais également connaître votre opinion à propos de ce cours. N'hésitez pas à être franc. Est-ce que vous avez aimé ce que je vous ai proposé ? Est-ce que vous auriez voulu apprendre autre chose ? Je veux tout savoir. Et cela me permettra de m'améliorer si je propose de nouveau ce cours de soutien ! »
Wilson prit le morceau de patacitrouille et commença à manger, depuis le temps qu'il voulait en manger. Ça avait le goût de citrouille. Bon en même temps, c'était logique. Mais comme il était moldus, il avait toujours un peu peur d'être surpris. Finalement, là il avait pas de piège, c'était bien de la citrouille.
Le cours de soutien touchait à sa fin mais avant de les libérer, Miss Holloway voulait que les élèves fassent un résumé de ce qu'ils avaient vécurent puis qu'ils disent ce qu'il avait penser du cours. Wilson ne cacha pas sa joie.
« C'était super ! Si tous les cours de défense contre les forces du mal pouvaient être comme ça avec des mise en situations, cela nous préparerait bien aux dangers du monde extérieur. Même si j'espère, d'une certaine façon, que vos cours serviront à rien. »
Le première année adressa un sourire au professeur de Défense contre les forces du mal avant d'effectuer son résumé.
« Dans la mise en situation, j'ai été attaqué par des grenouilles. Au début, j'avais peur, j'allais même me tromper de sortilèges, mais finalement deux petits Gonflus auront suffit pour les remettre à leur place. Ensuite, j'ai avancé dans la rue et j'ai trouvé un homme sur le bord de la route. On aurait dit qu'il s'était fait écrasé par une voiture. J'ai lancé le sortilège Périculum deux fois, parce que j'étais pas sur que la première fois le sortilège soit partit bien haut pour que les secours le voient et j'ai parlé à la victime le temps qu'ils arrivent. Quand ils sont arrivé, je les ais laissé faire leur travail et j'ai continué d'avancer... et je me suis retrouvé ici. »
Après son récit, le jeune Serpentard croisa ses bras et écouta ses camarades. Il finit également son morceau de Patacitrouille entamé pendant ce temps. Et c'est ainsi que ce termina ce cours de soutien. Dès qu'il eut l'autorisation, le jeune homme se leva et adressa un dernier mot à son professeur :
« Merci pour ce cours de soutien, professeur ! A plus tard, en cours ! »
Wilson rangea sa baguette, il en avait plus besoin maintenant et prit le chemin de la sortie de la salle de classe. Une fois sortit il se retourna pour attendre Arthur, il n'allait pas rentrer à Serpentard tous seul quand même.
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow
« Nous en avons presque terminé ! Voici donc, comme promis votre récompense pour avoir réussi avec brio l'exercice que je vous ai proposé. Tous les exercices, en fait. Avant de vous laisser sortir, je souhaiterais que vous racontiez rapidement les épreuves auxquelles vous avez été confrontés, et j'aimerais également connaître votre opinion à propos de ce cours. N'hésitez pas à être franc. Est-ce que vous avez aimé ce que je vous ai proposé ? Est-ce que vous auriez voulu apprendre autre chose ? Je veux tout savoir. Et cela me permettra de m'améliorer si je propose de nouveau ce cours de soutien ! »
Wilson prit le morceau de patacitrouille et commença à manger, depuis le temps qu'il voulait en manger. Ça avait le goût de citrouille. Bon en même temps, c'était logique. Mais comme il était moldus, il avait toujours un peu peur d'être surpris. Finalement, là il avait pas de piège, c'était bien de la citrouille.
Le cours de soutien touchait à sa fin mais avant de les libérer, Miss Holloway voulait que les élèves fassent un résumé de ce qu'ils avaient vécurent puis qu'ils disent ce qu'il avait penser du cours. Wilson ne cacha pas sa joie.
« C'était super ! Si tous les cours de défense contre les forces du mal pouvaient être comme ça avec des mise en situations, cela nous préparerait bien aux dangers du monde extérieur. Même si j'espère, d'une certaine façon, que vos cours serviront à rien. »
Le première année adressa un sourire au professeur de Défense contre les forces du mal avant d'effectuer son résumé.
« Dans la mise en situation, j'ai été attaqué par des grenouilles. Au début, j'avais peur, j'allais même me tromper de sortilèges, mais finalement deux petits Gonflus auront suffit pour les remettre à leur place. Ensuite, j'ai avancé dans la rue et j'ai trouvé un homme sur le bord de la route. On aurait dit qu'il s'était fait écrasé par une voiture. J'ai lancé le sortilège Périculum deux fois, parce que j'étais pas sur que la première fois le sortilège soit partit bien haut pour que les secours le voient et j'ai parlé à la victime le temps qu'ils arrivent. Quand ils sont arrivé, je les ais laissé faire leur travail et j'ai continué d'avancer... et je me suis retrouvé ici. »
Après son récit, le jeune Serpentard croisa ses bras et écouta ses camarades. Il finit également son morceau de Patacitrouille entamé pendant ce temps. Et c'est ainsi que ce termina ce cours de soutien. Dès qu'il eut l'autorisation, le jeune homme se leva et adressa un dernier mot à son professeur :
« Merci pour ce cours de soutien, professeur ! A plus tard, en cours ! »
Wilson rangea sa baguette, il en avait plus besoin maintenant et prit le chemin de la sortie de la salle de classe. Une fois sortit il se retourna pour attendre Arthur, il n'allait pas rentrer à Serpentard tous seul quand même.
Reducio
Merci beaucoup pour ce RPG, il était cool
seagreen - Adulte évolution - Membre du mouvement Sang pour Sang -
Membre de l'Orchestre Sympho'magique de Godric's Hollow