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Mars 2045
Première année de Magdaleen

Mardi. Après les cours. Telle était la date que c'était fixée Magdaleen. Elle avait tout préparé : phrases, question, attitude ... Mais au moment de passer à l'acte, le courage lui manquait. Ce n'était pas difficile, pourtant. Parler à Miss Monmort, lui poser des question. Mais parler à sa professeure préférée d'un sujet qui lui tenait à coeur l'intimidait. Même si elle avait tout prévu, planifier. Elle s'était répétait ce moment des dizaines de fois dans sa tête. mais elle était conciente qu'il y avait toujours un imprévue. Et là, devant la porte, sa timiditée naturelle la rattrapait. Courageuse, mon oeil ! Le chapeau, il avait pas bu que de l'eau ! Se surprit elle à penser. "D'une forme rare", si rare qu'elle est timide ! Ressaisit toi, Magda ! Tu ne vas pas affronter un dragon ! Bon, on y vas.

Inspire, expire. Inspire, Expire. Mais ne meurt pas. Expire juste, et détente toi. Elle toqua deux petit coup, et passa la tête dans l'entrebaillement. Une belle porte en chêne. Mais ce n'était pas le sujet

D'une petit voix, elle commenca à parler

- Miss Monmort ? Est ce que s'il vous plait, vous auriez quelques minutes à m'accorder ? Je ... J'avais des questions . Mais pas sur le cours ! Sur .. autre chose, mais je ... je me suis dit que vous pourriez peut etre y répondre ... J'aime bien vos cours

Tout de suit après avoir dit cela, Magdaleen se destesta. Ce n'était pas du tout ce qu'elle avait préparé ! Elle avait totalement perdu ses moyens ! Cela n'allait pas du tout ! Ou était passé son calme ?

Derrière la porte, évidemment. Tait toi, Magda, écoute Miss Monmort !

En disscussion avec elle même le temps d'une seconde, elle revint à l'instant présent. Elle ouvrit un peu plus la porte, et passa son corps entier dans l'autre pièce. Elle se prpara à la réponse de Miss Monmort. Peut être l'avait elle dérangé ?

Elle admirait énormément sa professeure d'Histoire De La Magie, matière dans lequel elle avait d'excellentes notes, d'ailleurs. Elle était cependant assez discrète en cours, se contentant d'écouter, et de poser quelques questions et de proposer quelques réponses de temps à autre. Monmort, c'était joli comme nom. Cela ressemblait un peu à Roseberg, mi Allemand, mi Francais. Le nom de sa professeure lui faisait penser à la forêt noir. Mais c'était un autre sujet.

Mais elle parlerait à Miss Monmort. Pour sa soeur. Pour Lucy. Elle le lui devait.

Cracmolle

@Elina Montmort , voici mon post, si cela ne vous conviens pas, dite le moi

La jeune professeure était occupée a faire quelques corrections d'élèves de première année. Lâchant un soupir face à la réponse d'un élève qui avait confondu le basilic avec l'origan, lui expliquant à quel point cette créature était dangereuse, elle fut interrompue par deux coups porté à sa porte. Son éternel stylo plume figé dans les airs, elle n'eut pas a attendre longtemps pour voir la porte s'entrebailler et une petite tête se glisser par l'ouverture. Lorsque la jeune sorcière commença à parler, sa professeure haussa un sourcil interrogatif. Les élèves venaient rarement la voir pour quelque chose sans rapport avec la matière qu'elle enseignait. Les propos un peu décousus ne l'aidaient pas à se faire une idée de ce dont il pouvait s'agir. La jeune sorcière se décida néanmoins a entrer complètement dans le bureau, quittant son poste dans l'embrasure de la porte. Elina pris le temps de remettre le bouchon de son stylo plume afin qu'il ne mette pas d'encre partout avant de le poser sur le bois de son bureau. Suite a quoi, elle ramena son regard sur la jeune Serdaigle et lui demanda :

« Bonsoir miss Roseberg. De quoi s'agit-il ? »

C'était une élève de première année qui obtenait de bonnes notes dans sa matière. Elle faisait parti des élèves discrets qui se manifestaient peu en dehors des cours et qui ne faisaient pas parler d'eux. Il était d'autant plus surprenant qu'elle la sollicite pour quelque chose qui sortait du cadre scolaire.

@Elina Montmort
Bonsoir miss Roseberg. De quoi s'agit-il ?

La professeur se souvenais de son nom. C’était bon signe. Magdaleen s’autorisa un timide sourire discret. Avant de se rappeler pourquoi elle était là. A l’evidence, un jute presque tabou pour les sorciers. Visiblement, Miss Monmort corrigeais ses copies. Cela ne devais pas être drôle tout les jours, de faire cela. Mais c’était un autre sujet. Elle s’avança devant le bureau, restant debout. Miss Monmort ne lui avait pas dit qu’elle pouvait s’asseoir.

- Eh bien ... c’et a propos de ma sœur. Enfin, c’est plus des questions générales.

Magdaleen fulminait intérieurement. Qu’est ce qui lui avait pris de parler de sa sœur ? ce n’etait Pas du tout prévu ! Complètement hors programme ! Mais bon, ce qui était fait était fait. maintenant, il fallait avancer.
- Mes questions concernent ... les cracmols. Ce n’est pas vraiment un sujet sorcier. Je ....est ce que les cracmols ont un peu de magie, et pas assez pour jeter des sort quant même, ou ils n’en ont .. pas du tout ? Et est ce que les Cracmols ont joué un rôle dans l'histoire sorcière ? Et sont ils cités chez les moldus, bien que ceux ci ne savent pas qu’ils étaient cracmols, et pas moldus ? Les cracmols peuvent voir les détraqueur, non ? J’ai lu .... que le livret d’inscription à Poudlard se refermait quant le signe de magie n’etait pas assez fort, car même des cracmols pouvaient en montrer un et n’etre finalement pas un sorcier ....... Et dans la biographie d’Harry Potter, il y a eu un compte rendu du procès, et la voisine cracmolle (Mme Figg, je crois) a témoigné qu’elle avait vu les détraqueurs ..... Alors .... n’est ce pas un signe de magie, car les moldus ne le peuvent pas ?

Magdaleen avait vidé son sac, et son ton avait changé. Il n’était plus ni interrogateur ni timide, juste sur un ton de questionnement. Tout sa timidité avait disparue. Magdaleen était redevenue elle même. Elle fixait maintenant Miss Monmort, attendant sa réaction

La jeune Serdaigle s'avança jusqu'à se trouver face à Elina, les deux sorcières seulement séparées par le bureau chargé. L'entrée en matière était plutôt surprenante, d'autant plus que la jeune professeure n'avait pas souvenir que Magdaleen Roseberg ait une sœur. Du moins pas à Poudlard. S'agissait-il d'un souci d'ordre disciplinaire ? Mais Elina eut bientôt des réponses a ses interrogations car la jeune sorcière commença à la bombarder de questions. La professeure leva une main en signe de reddition avant de déclarer :

« Doucement miss, une question à la fois. Commencez par vous asseoir, je pense que nous en aurons pour un petit moment. Du thé ? »

Alors qu'elle posait cette question, Elina donna un petit coup de baguette qui eu pour effet de faire se rapprocher une petite desserte où trônait une théière fumante accompagnée d'un pot de sucre et de biscuits. Fidèle au temps passé à Poufsouffle, Elina avait toujours de quoi sustenter ses visiteurs. Laissant à la jeune sorcière le soin de décider si elle désirait du thé et si elle y mettrait ou non du sucre, elle commença doucement a démêler la pelote de question qui venait de lui être lancée. Ses questions portaient à la fois sur la sœur de la Serdaigle et sur les cracmols. En déduire que la sœur en question entrait dans cette catégorie très restreinte n'était pas d'une grande difficulté.

« Les cracmols sont un cas très particulier et rares dans la population sorcière. Pour commencer, savez-vous ce qui détermine la capacité d'une personne a utiliser ou non la magie ? Vous êtes encore trop jeune pour avoir eu ce cours donc n'ayez pas honte de ne pas le savoir, mais vous semblez vous intéresser de près à la question... »

C'était un sujet assez pointu et complexe. Elina n'était pas certaine de pouvoir le rendre accessible à quelqu'un d'aussi jeune. Les théories sur les cracmols et la source de la magie étaient désormais plutôt avancées et solides, mais assez peu connues du grand public. La rareté du phénomène qui causait la naissance d'un cracmol, le rendait abstrait pour une bonne part de la population magique.

La professeure leva une main en signe de reddition avant de déclarer :

« Doucement miss, une question à la fois. Commencez par vous asseoir, je pense que nous en aurons pour un petit moment. Du thé ? »

Apparemment, elle était allée un peu vite. Beaucoup, même. Se maudissant intérieurement, elle répondit avec une petit voix :

-Merci, je veux bien, Miss.

Miss Montmort lui proposait du thé. Elle était vraiment .... accueillante, ouverte, attentive. Il y avait tant d’autre adjectif, mais Magdaleen se décida pour ceux là. La Serdaigle s’assit sur le fauteuil à côté d’elle. Magdaleen prit timidement un peu de thé dans sa tasse. Elle n’aimait pas mettre le suce dans du thé, car elle trouvait que cela gâchait le goût. Se détendant un peu, s’autorisant à décontracter ses épaules. Attentive, elle laissa courir cependant son regard sur son environnement. C’était le bureau parfait. Des armoires murales était disposée le long des murs, chargées de multiples livres. chacune d'elles qui se trouve occupée par des objets divers allant de quelques fioles de potions ordinaires à des objets plus difficilement identifiables. Elle ne distinguait pas les étagères les plus hautes.

Quelques tableaux occupent le seul pan de mur nu de la pièce, protégés au creux d'une alcôve. Le plafond de cette alcôve a été transformé en un semi-dôme de verre qui, associé à quelques fenêtres hautes, en fait une pièce lumineuse.
Quelques plantes vertes cascadent depuis les rebords des fenêtres, s'épanouissant paresseusement au soleil, tandis que des plantes grimpantes tentent d'escalader les murs pour les rejoindre. Certaines de ces plantes portent quelques fleurs écloses. La pièce dégageait une atmosphère chaleureuse et apaisante. Magdaleen sentait que si elle était professeur, elle essayerait de reproduire un peu du bureau de Miss Montmort.

« Les cracmols sont un cas très particulier et rares dans la population sorcière. Pour commencer, savez-vous ce qui détermine la capacité d'une personne a utiliser ou non la magie ? Vous êtes encore trop jeune pour avoir eu ce cours donc n'ayez pas honte de ne pas le savoir, mais vous semblez vous intéresser de près à la question... »


Là professeurs savait de ce qu’elle parlait. C’était visible. La petite brune aux yeux bleu avait bien fait de lui demander. Non, elle ne savait pas. Elle commença à réfléchir à cette question. A laquelle elle ne trouvait pas de réponse. Les livres qu’elle avait lu sur le sujet n’en parlait pas. Mais oui, elle s’interessait De prés à la question. Elle voulait comprendre pourquoi Lucy ne verrait jamais Poudlard. Elle voulait comprendre les cracmols" Parce que le savoir était important pour ne pas faire de théorie ridicule. Les gens qui n’aimaent Pas les cracmols ne savait pas, et cela les desservaient. La bétise n’est jamais un bon point. Du moins était ce l’avis de la jeune écossaise.

- Non, Miss, je ne sais pas. Les livres sont assez avares d’informations sur les cracmols.

Elle but une petit gorgée de thé. Le liquide, chaud et réconfortant était très bon. Magdaleen n’avait jamais bu une telle sorte de thé, sa mère ayant une préférence marquée pour le thé noir acheté discrètement à l'épicerie De Stirling, qui en soit n'était Pas mauvais non plus. Attentive, prête à essayer de comprendre les explications du professeur. Il était l’heure des explications. Elle avait toute confiance en Miss Montmort, et attendait impatiemment de voir le mystère qu'était La naissance d’un cracmol dans une famille de sorciers expliquée. Elle se doutait que c'était un sujet assez complexe, mais elle espérait le comprendre, étant plutôt intelligente. Et si elle ne comprenait pas, eh bien, elle apprendrait par cœur les paroles de son enseignante d’Histoire de la Magie, et irait tous les soirs à la bibliothèque pour les décortiquer. elle comprendrait, c'était Une promesse. Néanmoins, pas besoins d’en arriver là, pour l’instant, du moins.

Attention à mon "t" miss RoseNberg...
La jeune Serdaigle accepta le thé sans se faire prier et s'installa dans le fauteuil disposé de l'autre ôté du bureau, face à Elina. La réponse de la Serdaigle ne surpris pas la jeune professeure. De manière générale, les sorciers étaient peu enclins à s'intéresser au cas des cracmols. La pureté du sang était un sujet qui les intéressait davantage. Il préféraient oublier ces « aberrations » qu'ils ne pouvaient tolérer.

« La première chose à savoir est que c'est un gène qui détermine si une personne est capable ou non d'utiliser la magie. »

La génétique était une science très moldue. Il était plus que probable que la jeune fille n'ait jamais entendu parler de gène, génome ou chromosomes. Elle n'avait cependant pas le temps d'entrer dans les détails de cette science. Cela s'avérerait bien trop compliqué.

« Les gènes sont à la base du système d'hérédité. C'est l'information qu'ils contiennent qui permet de déterminer les traits d'un individus. Certains plus visibles que d'autres. Par exemple la couleur des yeux ou des cheveux. Mais aussi le fonctionnement et l'agencement de l'ensemble de son organisme. »

Elina fit une pause, mélangeant doucement le thé contenu dans sa tasse. Puis elle égoutta la petite cuillère, la faisant tinter à deux reprises sur la bordure de la tasse. Observant attentivement la Serdaigle pour tenter de déterminer le moment où elle risquait de décrocher, elle continua :

« Chaque parent transmet un ensemble d'informations à son enfant. Chaque individus possède donc deux lots d'informations équivalentes transmises par ses deux parents. Vous aurez par exemple deux gènes se rapportant à la couleur des yeux. Mais les deux gènes peuvent être différents, l'un pour les yeux marrons et l'autre pour les yeux bleus. Dans ces cas-là, pour faire simple, c'est l'information la plus « forte » qui l'emporte. On parle de gène dominant... Vous me suivez jusque-là ? »

Soucieuse de ne pas la noyer sous des informations la jeune professeure attendit sa réponse avant de continuer ses explications. Si elle comprenait cela, le plus dur serait passé.

« La première chose à savoir est que c'est un gène qui détermine si une personne est capable ou non d'utiliser la magie. »

Un gène. Un simple gène qui faisait barrière entre Lucy et le reste de la famille.

« Les gènes sont à la base du système d'hérédité. C'est l'information qu'ils contiennent qui permet de déterminer les traits d'un individus. Certains plus visibles que d'autres. Par exemple la couleur des yeux ou des cheveux. Mais aussi le fonctionnement et l'agencement de l'ensemble de son organisme. »

Elina fit une pause, mélangeant doucement le thé contenu dans sa tasse. Puis elle égoutta la petite cuillère, la faisant tinter à deux reprises sur la bordure de la tasse. Magdaleen se serait sentie mal à l’aise d'être observée si elle y avait prêter de l'importance, mais son esprit était tourné vers l’explication . Ah, oui, les gènes, sa mère lui avait expliqué un jour pourquoi elle s’êtait retrouvée avec des yeux bleu alors que sa mère et Lucy en avait des verts. Et pourquoi son père était daltonien. Une nébuleuse histoire de X et de Y dans les yeux, oui, elle se souvenait maintenant.

« Chaque parent transmet un ensemble d'informations à son enfant. Chaque individus possède donc deux lots d'informations équivalentes transmises par ses deux parents. Vous aurez par exemple deux gènes se rapportant à la couleur des yeux. Mais les deux gènes peuvent être différents, l'un pour les yeux marrons et l'autre pour les yeux bleus. Dans ces cas-là, pour faire simple, c'est l'information la plus « forte » qui l'emporte. On parle de gène dominant... Vous me suivez jusque-là ? »

Elle prit un petit moment pour réfléchir, et assimiler ses découverte. Enfin, s’extirpant de ses réflexions qui pourraient encore durer longtemps, elle releva la tête :

- Oui, miss, je pense vous suivre jusque là. Pour les yeux, si c’est équilibré, l’enfant aura les yeux bruns, c’est ça ? Parce que c’est la couleur qui « gagne » sur les autres en cas d’égalités ?

Maintenant, ça lui revenait . Elle espérait juste que sa mémoire ne lui ai pas jouée un tour, ce qui n’était pas tout à fait impossible. Tout à coup, elle réalisa que les yeux bruns n’avent rien à faire dans une discussion sur les cracmols. Elle se reprit :

-Enfin ... ce n’est pas le sujet. Désolée, je me suis laissée emportée. Ça n'arrivera plus, je vous écoute

Désolée du retard
Je fais mieux la prochaine fois !

La réponse de Magdaleen rassura la jeune professeure sur le fait que ses explications étaient compréhensibles. Elina acquiesça avant de renchérir.

« C'est cela. Le gène sorcier n'est pas un gène dominant. Il faut que l'enfant hérite de deux gènes sorciers pour être en mesure d'utiliser la magie. »

Le fait que le gène moldu semble prendre le dessus sur le gène sorcier était sans aucun doute très déplaisant pour tous ces sorciers convaincus de leur supériorité. Probablement une des raisons pour lesquelles la génétique n'était pas enseignée aux jeunes sorciers. En plus d'être une science moldue, certaines des informations véhiculées entraient en conflit direct avec les plus conservateurs.

« Il y a deux cas dans lesquelles on parle de cracmol. Au sens strict, un cracmol est un enfant né de deux parents sorciers. Ses parents disposant de deux gènes sorciers et d'aucun gène moldu, il hérite logiquement de deux gènes sorciers, ce qui devrait faire de lui un sorcier. Cependant, pour diverses raisons, l'un des gènes sorcier du cracmol est inactif. Le cracmol reste donc plus proche d'un sorcier que d'un moldu. Ce qui explique notamment qu'il soit sensible à la présence de certaines créatures magiques. Par exemple, un cracmol ne verra pas un détraqueur, mais il ressentira sa présence. Il ne peut pas du tout utiliser la magie, mais il dispose d'une certaine sensibilité qui lui permet de la détecter. »

Cette information devait répondre à l'une des questions posées par la Serdaigle au début de cet entretient.

« On parle aussi parfois de cracmol pour un enfant dépourvu de magie dont un parent seulement est sorcier. Mais ici, il s'agit d'un abus de langage car l'enfant ne possède qu'un seul et unique gène sorcier venant de son parent sorcier. Il est donc en réalité moldu plutôt que cracmol au sens strict. Contrairement au cas précédents, ceux-ci ne sont pas plus sensibles au monde magique que des moldus. »

Elina pris le temps de boire une gorgée de thé avant d'achever son explication.

« De plus, historiquement, le terme de cracmol n'est utilisé que dans les familles uniquement composées de sorciers car il a une connotation négative qui n'a pas lieu d'être dans une famille semi-moldu où l'absence de pouvoir magique n'est pas considérée comme honteuse. »

La jeune femme reposa sa tasse en attendant que la jeune Serdaigle assimile toutes ces informations. Elle attendit patiemment que cette dernière détermine si elle avait encore d'autres questions à poser.
Ne vous en faites pas miss.

RP bouclé car sans réponse depuis plusieurs mois.
Le bureau est réservé pour un prochain RP. @Joseph Pierce