Lexa défendu Gabrielle en disant qu'elle était peut-être italienne alors elle dit :

- Ouais enfin non je ne suis pas italienne mais mes grand parents sont français et il donnent beaucoup d'argents a mes parents tout les ans. Mais ils gagne aussi énormément de Galions par mois. Il sont pas pauvre mes parents. Loin de là d'ailleurs. Donc maintenan ferme là.


Quand elle vit Maximilian jeter son chewing-gum dans la potion, elle explosa de rage et elle tanta de se jeter sur lui prête à lui casser tout ce qu'elle pouvait mais celui ci l'esquiva. Elle dit :

- Je te jure que je vais te tuer espèce de hum
* elle se retient mais elle été a bout.
-T'entend ça, t'es mort. Je vais te tuer. J'm'en fou si la prof me fou une heure de colle t'es mort t'entend.

Elle était vraiment énervée elle n'en pouvait plus elle ne se contrôlé plus. Elle tanta encore de le frapper mais il esquiva encore un fois. Elle voyait qu'il se défendait mais elle s'en fichait totalement. Elle voulait juste qu'il saigne du nez car elle lui aurai casser. Elle dit :

- Je te jure que tu vas sourire jusque a la fin des jour. Rendez vous ce soir dans le parc. Ce soir c'est toi ou moi qui meurt. Jm'en fiche je te jure tu vas soufrire. Tu comprend ça ?!

Italienne...
Gabrielle Dogaberd, ce n'est pas un nom italien, si ?
En fait, je ne m'y connais pas vraiment.
Je sais parler anglais (et imiter l'accent américain...), français et allemand.
Mais l'italien...
Je ne connais pas.
Ou plutôt, je ne connais que les spécialités de ce pays.
Les pizzas, les pâtes, les tiramisus...
Miam !

Bon.
Apparemment, c'est une mode, de donner de l'argent à ses enfants.
Père en reçoit beaucoup.
Beaucoup plus qu'il n'en a besoin.
Alors, je peux voler un petit billet dans sa chambre lorsqu'il est trop saoul pour s'en rendre compte.
C'est-à-dire, à peu près tout le temps.
En fait, il dépense presque tout l'argent qu'il reçoit en alcool.
Le reste, il s'en ait servi pour payer ma scolarité dans une école privée de Londres, et également celle de Peter, dans une école de médecine.
Mais Peter a abandonné ses études pour devenir serveur : ce n'est pas étonnant, il n'a même pas pu étudier au collège et au lycée, je ne comprends pas comment il a pu faire pour être admis dans une université aussi prestigieuse...
En tout cas, Père ne le sait pas, mais il jette son argent par la fenêtre.



J'esquive sans difficulté la cuillère remplie de Pimentine que me lance Queen et les coups de Dogaberd.
Folles.
Oui, c'est ce qu'elles sont.
Vivement la fin du cours, que je puisse ne plus les revoir pendant quelques temps.
Et voilà Dogaberd qui me donne un rendez-vous.
Ce soir, dans le parc.
Un combat à mort.
Je ne peux pas m'empêcher d'exploser de rire.
Elle se croit dans un film.
J'ai vu plusieurs fois ce genre de films.
Ils parlent de gladiateurs, ou d'autres sujets de ce genre-là.
Et les personnages se donnent toujours des défis.
"Toi ou moi. L'un de nous mourra ce soir".
Je crois que j'ai entendu cette réplique une centaine de fois.



Je ne pense pas ça, évidemment.
Mais sa réaction va sans doute être amusante.
En attendant sa réponse, j'ouvre un nouveau paquet de chewing-gums et en prends trois.
Pastèque, menthe et fraise.
Miam !

Quel crétin. Je le déteste. Parler d'argent n'est jamais intelligent. Même si toutes les personnes qui en parle sont riches, ça partira finalement mal. À savoir qui est le plus riche, qui à la meilleure famille...
Il y a des années, mes ancêtres s'occupait de l'alcool du pays. Quand les sorciers étaient les némésis du monde entier. être un sorcier à cette époque était compliqué, et c n'était un secret pour personne. C'est les grands-parents de mes grands-parents qui ont fait de notre famille ce qu'elle est. Des fanatiques, des Anti-Moldus. Ils ont vendu l'entreprise, et ont commencés à chercher l'argent au ministère. Ça avait marché, et depuis des générations, ma famille y travaille. Depuis la chute du ministère, ils ont pris congé mais je sais que cet été changera tout. Pour eux, comme pour moi. Ce ne sera plus l'argent cette fois-ci, mais la réputation, et les personnes comme Volts ne pourront plus me parler comme il le fait.

- Personne n'est égal à personne, crétin. Les riches sont supérieurs, les Sangs-Purs aussi. Et moi comme j'suis les deux, j'suis plus supérieure que toi.

Je cherche un moyen pour qu'il comprenne définitivement que je suis 100 fois plus riche que lui. Mes bijoux, par exemple ? Les bagues que je porte aux doigts doivent valoir dix fois le salaire de ces parents réunis. Alors pour mes colliers et bracelets, j'ose pas imaginer.

Evidement, c'est Lexa qui parle, pas la plume

Quand Maximilian lui dit qu'il croyait qu'elle était amoureuse de lui, elle répondit :

- Hein quoi ?! Mais t'es fou toi! Ta vu la tronche!? De 1, t'es moche, de 2, t'es bête, de 3, t'es chiant, de 4, j'ai déjà un mec qui est, 10 fois plus intelligent que toi, 1000 fois plus beau que toi et lui il emmerde pas tout ce qui bouge donc ferme là !! Rha, comment Maxine elle fait pour te supporter. Je suis sure qu'elle te trompe. Mdr rien que devoir te supporter 1 heure c'est dure, mais être en couple avec toi ?! J'y crois pas.

Elle fit un signe comme si elle était entrain de vomir. Elle dit à Lexa :

- Bon bah j'imagine que notre potion est fichu non ? Je le hais ! Pour c'est sur nous que ça tombe, pourquoi il a fallut qu'il soit dans notre groupe, pourquoi ? Je suis maudite ou qu'est ce qu'il ce passe.
Maintenant on fais quoi ? On a plus rien a faire vu que le cracmol a foutu en l'air notre potion. J'imagine qu'on a plus qu'as attendre encore et encore. En même temps il ne reste plus que 10 minutes avant la fin mais bon on va comme même s'ennuyer. Tu pense qu'on peu encore la ratraper ?

Je ne sais même pas comment réagir aux paroles de Queen.
Ce qu'elle dit est juste... Horrible.
Horrible, affreux, et dégoûtant.
J'ai mal au ventre en pensant à ce qu'elle vient de dire.
Elle se croit supérieure à moi car elle est riche et de sang 'pur'.
Je pourrais lui dire que je le suis aussi.
Le jour où Père arrêtera de boire toute la journée, il ira sans doute jusqu'à la Citadelle pour nous inscrire en tant que Sang-Pur.
Et il est riche, malgré le fait qu'il n'ait pas travaillé depuis quinze ans.
La chevalière en or qui se trouve à ma main droite le montre.
Les nombreuses bagues que j'ai aux doigts également.
Et mes vêtements de marques que je porte en dehors de cours montrent également que mes parents ont beaucoup d'argent.



Je ricane en entendant Dogaberd.
Moi, moche ?
Ha ha.
Je suis beau, c'est évident !
On me l'a déjà dit plusieurs fois.
Et je ne suis pas bête, je suis simplement drôle.
Et...
Wow !
Comment un garçon pourrait la supporter deux minutes ?
Je ne la connais que depuis quelques heures, et elle est déjà mon ennemi n°1.

Franchement, là, je trouve qu'elle va trop loin.
Max n'aime pas un autre garçon.
J'ai confiance en elle, et je sais qu'elle est très sympa.



Je n'exagère même pas.
Une fois, une fille de Terminale est venue me parler.
C'était un gage, mais si c'est à moi qu'elle est venue me faire cette blague, ce n'est pas pour rien.

J'étouffe un rire. Un coup d'oeil à ma montre. Plus que quelques minutes. Il fallait que je me calme. Et que je ne croise plus Volts avant au moins Septembre prochain. Ça allait être impossible. Visiblement, le destin prenait un malin plaisir à me torturer, encore plus qu'avant. J'étais une proie facile, peut-être ? C'était faux. N'importe qui pouvait devenir le souffre-douleur du Destin, pourtant, c'était moi.

- Elles devaient avoir une mauvaise vue, je lâche, en rangeant mes affaires.

Je croisais les bras sur ma table. Attendant désespérément que Xarinez nous dise qu'on pouvait enfin partir.

Les yeux rivés sur l'horloge à mon poignet. J'attends. Désespérément.
12h25.
26.
27.
28.
29.
Plus que quelques secondes. Quelques secondes et j'étais enfin en week-end. Enfin non, y'avais toujours astronomie ce soir. Mais c'était tard. Je prétexterais une grosse fatigue. C'était d'ailleurs le cas. J'en était arrivée au point d'être heureuse de revenir, cet été. Parce que ce serait un endroit où Il n'avait jamais été. Et je ne serais pas hantée, ayant l'impression de sentir sa présence partout. Et si je n'était pas hantée par ça, je le serais par autre chose. La présence de Mère, ou de Louis. Heureusement, Dawn serait là. Mais si elle était là, Père l'était aussi. Son sang coulait dans ses veines. Ça me dégoutait. Il me dégoutait.

Et Elle ? Comment ferais-t-elle, quand je ne serais pas là ? Cet été était chargé. J'allais passé deux semaines chez ma tante, et les deux suivantes chez mes grands-parents. Et comme c'était pas sa famille, Elle ne pourrait pas venir. La laisser seule à la maison, avec Louis ?

Mes pensées se coupèrent. La voix de Miss Xarniez annonçait la fin du cours. Enfin. Me saisissant rapidement de mes affaires, sans un regard pour les deux autres, je m'empressa de quitter la salle, fonçant vers mon dortoir.

Gabrielle se retenait mais s'était plus possible. Elle explosa de rire en entendant Maximilian dire que la moitié des fille était a ses pied et elle e pût s’empêcher de dire :

- Ah oui tu avait toutes les filles les plus moches, les plus bêtes et les paumés. Pff tu fais pitié toutes les filles a tes pieds. Tout les animaux oui. Rien qu'en te regardant j'ai envie de vomir et j'ai les yeux qui piquent. Moi aussi je peut être sympa. Mais pas avec les gens aussi bête et moche que toi !!

Gabrielle commençait à s'ennuyer elle vit Lexa regarder l'horloge et elle fit de même.

12h25
12h26
12h27
12h28
12h29

Plus que 1 minute et Gabrielle pourrait enfin ce débarrasser de cet imbécile de Volts. Plus qu'une minute et elle serai tranquille. Plus que 1h de cour et elle était enfin en weekend.
Quand la prof eut enfin dit que les élèves pouvais sortir de la classe, Gabrielle se précipita de ranger ses affaires et elle sortit de cours avant même que Maximilian n'ai le temps de lui adresser la parole. Ce soir elle avait un dernier cours mais elle avait quelques heures de libre avant le début du cours. Elle se dirigea alors vers la salle commune de sa maison. Quand elle y est arriver, elle alla dans son dortoir, et elle s’allongea dans son lit. Elle se mis a rire de toute ses force et elle finit par s'endormir.

Ha ha ha.
Mauvaise vue.
Moches, bêtes, paumées.
Ça, c'est faux.
J'ai un peu menti.
Les filles ne me "draguaient" pas.
Elles venaient simplement me parler.
Mais, dans mon collège, les groupes d'amis n'étaient pas souvent mixtes.
Les garçons un chouïa frimeurs d'un côté, les filles de l'autres, et, en dernier, ceux un peu perdus et timides.
J'vous laisse deviner de quel groupe je faisais partie.



Après ces paroles (pleines de modestie, évidemment), je lui adresse un sourire (faux, sinon ce ne serait pas drôle) et me déconcentre de la potion.
Grâce à moi, elle est ratée, alors ça ne sert à rien de regarder ce qu'elles pourraient faire pour tenter de la rattraper.
Elles n'obtienderont jamais la récompense qu'elles voulaient.
Ha ha.
Je suis trop drôle.

À la place de les écouter, je me concentre sur mes cheveux si beaux.
Quelques gouttes de Pimentine ont atterit dedans, et ça me dérange.
Je déteste quand mes cheveux ne sont pas parfait, alors je retire ma montre (une magnifique imitation d'une marque très célèbre et chère) pour m'observer avec le miroir présent au dos de celle-ci.
Une main dans mes cheveux, et ils sont bien mieux coiffés, mis en arrière pour cacher la tâche humide que la Pimentine a fait dessus.
C'est parfait, maintenant, je peux sortir de cette salle de cours sans avoir honte de ma coupe.
Lorsque la sonnerie retentit, je retire ma cravate (ça étrangle, ce genre de tissus affreux) et la range dans ma poche avant de me lever sans regarder les deux folles de Serpentard.
Il faut que j'aille manger, j'ai déjà faim.


Fin, merci pour ce Rp