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30 oct. 2018, 21:31
 Jeu  Magic'Art
Podium de la sixième session


La sixième session est maintenant terminée. Comme promis, voici les résultats. Encore une fois vous avez été nombreux à participer. J'ai eu énormément de mal à composer un podium. Je tenais à vous féliciter pour vos participations ! Merci pour votre motivation :)

En première place, nous retrouvons Lucy Wood ! Félicitations à elle pour sa première place !

En deuxième place, nous avons Hugo Rolanbri ! Félicitations;

En troisième place, nous retrouvons Gray Haros ! Bravo !

Monsieur Briggs m'a aidé à trouver les vainqueurs de la sixième session. Je ne veux donc pas être accusée de triche ou de favoritisme. Merci :)

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
04 nov. 2018, 13:25
 Jeu  Magic'Art
Septième session : du 04/11/18 au 18/11/18 avant 00h.
Thème : les Sortilèges impardonnables


Bonjour à tous ! Je lance dés maintenant la septième session du jeu Magic'Art. Comme d'habitude, j'attends vos oeuvres par hiboux avant le 18 novembre. Je demande bien évidemment des oeuvres nouvelles bien que le thème reste très proche de celui de la session précédente. Je rappelle que les oeuvres doivent venir de vous :) Bonne chance ! :biggrin:

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
22 nov. 2018, 23:50
 Jeu  Magic'Art
Bonsoir,

Il est temps de vous annoncer les gagnants de cette session de Magic'Art. Malgré une petite baisse de participation, les oeuvres envoyées étaient splendides. Merci beaucoup pour le temps que vous consacrez à ce jeu. Ne pouvant pas tous vous choisir, je tenais à vous féliciter. Bravo !


En première place, nous avons Jeffrey Hunter. Bravo !

Reducio
IMPARDONNABLES

Je vais vous conter la bien triste histoire,
De trois amis sorciers ayant sombrés dans la Magie Noire.
Ces trois amis possédaient un grand talent mais aussi une certaine noirceur,
Qu'entretenait leur entourage en nourrissant leur rancœur.

Ils firent face tant qu'ils purent aux mauvais coups du Destin.
Mais face à tant d'acharnement ils cédèrent à leurs sombres instincts.
Les trois amis se donnèrent rendez-vous en un lieu peu recommandable,
Et pour exercer leur revanche, mirent au point des sorts effroyables.

Le premier d’entre eux était d’une belle femme fou amoureux,
Mais cette dernière lui avait ricané au visage en disant qu’elle trouverait mieux.
L’homme aimait toujours la jeune femme et était fou de désir,
Aussi quand il la vit avec un autre il voulut le faire souffrir.

L’idée d’un Sortilège provoquant d’effroyables douleurs lui vint à l’esprit.
Quand le sortilège fut au point il traqua son rival dans la nuit.
Souhaitant de tout son cœur lui infliger de la douleur il le mit au supplice,
En le soumettant sans relâche au sortilège Doloris.

Le second sorcier était fort jaloux et aigri,
De se voir devancé par bien plus brillant que lui.
Il nourrissait secrètement la dévorante ambition,
De prendre la place dont il rêvait, c’est-à-dire celle de son patron.

Il mit au point le sortilège de l’Imperium afin de le soumettre à sa volonté,
Dans le but ensuite de lui faire faire des bourdes et le discréditer.
Parvenu à ses fins, il prit la place du patron en le toisant de haut.
Et le garda sous sa volonté grâce aux « Impero » pour lui faire faire le sale boulot.

Le dernier sorcier était un homme rancunier, sanglant et retord,
Qui désirait par-dessus tout voir tous ses ennemis morts.
Il mit au point un sortilège appelé « Avada Kedavra »,
Et avec le Sortilège de la Mort son massacre débuta.

Dans chaque endroit sa venue était annonciatrice de malheur,
Les éclairs verts laissaient derrière eux chagrin et terreur.
Voici la sombre histoire des trois sorciers détestables,
Qui mirent au point les Sortilèges Impardonnables.

En seconde place, nous retrouvons Amaëlle Nelly. Bravo !

Reducio
Pâtisseries Impardonnables

J'avais de la chance, tant de chance, me disaient-ils,
J'aurais pu avoir à tuer, à trahir, à torturer,
Au lieu de ça je virevoltais, sous son air juvénile,
Dans les odeurs de biscuits et de pain brioché.

Les jambes se balançant sans discipline,
Les membres graciles, les traits enfantins,
Son sourire tranchait, diablotin de cuisine,
Et sous mon air enjoué j'hurlais à l'assassin.

Sa baguette tournant négligemment dans ses mains,
Il se tenait là, sur mon plan de travail,
Et j'haïssais son sourire, son regard, ses doigts fins.
J'haïssais mes frissons, mes élans de poitrail.

J'haïssais la peur qui m'envahissait l'âme,
Ces petits rires de gorge qui se voulaient sanglots
Tandis que mon cœur se noyait sous les larmes,
Seul muscle libre d'une marionnette sous Impero.

Par dessus tout j'haïssais mon sourire,
Ce sourire qu'envers et contre tout il m'imposait
Et que je faisais heureux pour son bon plaisir.
Ce sourire qui sonnait le glas de ma liberté.

Il venait là quand lui prenais l'envie,
Se délectant de ma peur, de ma détresse,
Se réjouissant d'être l'ombre planant sur ma vie,
Le détraqueur me dévorant jusqu'à l'ivresse.

Et aujourd'hui vous êtes là, parodie de justice,
A accorder le pardon à un jeune influençable,
Et vous qui ne voyez pas l'étendue de son vice,
Vous en justifierez presque ses impardonnables.

Pourtant je pleure encore, j'en cauchemarde la nuit
Et mes doigts tremblent quand j'entre dans une cuisine.
Je suis incapable de la moindre pâtisserie,
Car ma passion est morte et mon âme est en ruine,

Pourtant j'ai crains, haï, pleuré, hurlé mon ire,
J'ai du chaque jour trouver la force de me lever,
En sachant que peut-être il viendrait me sourire
Et me demander madeleines, choux et financiers.

Qu'il s’assoirait tranquille à sa place habituelle,
Que mes membres changeraient soudain d'allégeance,
Me trahissant pour sa voix, ses murmures cruels,
Ployant sous sa magie dictant l'obéissance.

Que peut-être un beau jour, las de ce jeu malsain
Ou voulant essayer une nouvelle idée,
Il me demanderait , un couteau à la main,
De me trancher un doigt ou une veine de poignet...

Vous qui m'assénez toute la chance que j'ai,

Vous qui ne voyez pas en lui l'impardonnable,

Portez lui donc ces derniers choux empoisonnés,

Puisqu'après tout, les pâtisseries sont pardonnables.


En troisième place, nous avons Irene Gates. Félicitations !

Reducio
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Enfin, ne pouvant pas ne pas récompenser le travail accompli, j'ai décidé de décerner une mention spéciale à James Flint.

Reducio
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Félicitations ! Toutes les maisons sont représentées ! Quel exploit ! Je tenais également à remercier Miss O'Sullivan pour son aide. Le choix ne fut pas facile ! :)

La prochaine session arrive bientôt ! :)

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
27 nov. 2018, 01:22
 Jeu  Magic'Art
Bonjour à tous, une nouvelle session du Magic'Art débute dés à présent ! Afin qu'un maximum de personnes participent et trouvent le temps de m'envoyer leur oeuvre, la session durera plus longtemps ! Je rappelle que les oeuvres doivent venir de vous ! J'attends vos hiboux ! Tous à vos crayons ! :)


Huitième session : du 27/11/18 au 18/12/18
Thème : Riddikulus

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
26 déc. 2018, 21:24
 Jeu  Magic'Art
Bonsoir,

Il est temps de vous annoncer les résultats de cette huitième session du jeu Magic'Art. Je suis un peu attristée de remarquer une légère baisse du nombre de participations. J'espère que ce n'est que temporaire et que j'aurai davantage d'oeuvres de votre part à l'avenir. Quoi qu'il en soit, la qualité des oeuvres reçue n'a pas baissée. Le rire était mis à l'honneur! Je vous félicite, une fois de plus, trouver un podium a été compliqué. Même si tout le monde ne peut pas gagner, sachez que je suis très fière de vous. Bravo ! :)

En première place, nous retrouvons Hugo Rolanbri :

Reducio
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Sur la seconde place du podium, nous retrouvons Thalia Gil'Sayan :

Reducio
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la mort de Fred a été la plus éprouvante de toutes les autres ayant parsemé la guerre. Quand il est tombé, celui qui avait toujours occupé une si grande place dans nos coeurs avait gardé son sourire innocent et joyeux. Il l'emporterait dans l'au-delà, mais cela, nous aurions dû nous en douter. Il était, non, il est comme ça, notre Fred.
Il nous a fallu beaucoup trop de temps pour réaliser ; mais j'aurais aimé que ça dure plus longtemps, j'aurais aimé penser plus longtemps qu'il était encore avec nous, que ce n'était qu'une de ses énièmes blagues. Je me souviendrais toujours de l'air horrifié de George quand il a compris ; de la grimace de peur qui a envahi son visage. Nous avons tous pris un coup, à cet instant. C'est là que nous avons tous failli abandonner, je crois.
Fred n'était pas le premier mort de la Grande Guerre, et certainement pas le dernier. Mais c'est celui qui nous a le plus choqué. Nous nous sommes relevés, parce que c'est ce qu'il aurait voulu, mais nous avons tous perdus une partie de nous même en même temps que notre ami.
La mort de Fred était tout simplement inenvisageable. Parce que Fred, c'était George. Les jumeaux étaient inséparables. Indissociables. Et pourtant... il était parti. Comme cela, à cause d'un simple sort lancé par un Mangemort qui ne le connaissait même pas.
Fred, c'était George. George, c'était Fred. Ils étaient les jumeaux, et on ne disait jamais "Fred", ni "George". C'était toujours "Fred et George". On ne peut pas dire "un jumeau", ni "le jumeau". C'est "les jumeaux". Mais là, il n'y en avait plus qu'un seul.
Fred ne pouvait pas mourir, pas sans George. Et même avec lui, il ne pouvait pas nous abandonner. Les jumeaux, c'étaient ceux qui nous avaient donnés l'espoir tout du long. On pourrait croire que ce dont on a le plus besoin lors de la guerre, c'est le courage, mais c'est faux. Nous, nous avions eu besoin du rire. Seuls Fred et George nous l'apportaient, avec leurs blagues toujours inattendues, même dans les pires moments. Quand nous pleurions, ils nous faisaient rire. Ils étaient la joie dans la tristesse.
Tout le long de la guerre, dès que les mensonges ont commencé, ils ont mené leur propre combat, à part. Leur magasin de farces et attrapes, c'était un moyen de se moquer de Voldemort, de lui dire qu'ils continuaient à vivre normalement, même s'il prenait le contrôle.
Fred ne pouvait pas mourir, parce que les jumeaux, c'étaient le rire qui faisait fuir la tristesse et la guerre. C'était notre Riddikulus à nous, celui qui nous avait donné la force d'avancer et de nous battre.



Enfin, en troisième position, nous retrouvons Megan Arrington :

Reducio
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Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
06 janv. 2019, 11:34
 Jeu  Magic'Art
Bonjour à tous,

Une nouvelle session du Magic'Art débute à présent. Miss O'Sullivan m'aidera à faire le podium. Je précise cependant que c'est à moi qu'il faut envoyer vos oeuvres. Les oeuvres envoyées à Miss O'Sullivan ne seront pas prises en compte. Cette dernière découvrira vos oeuvre de manière anonyme. Je vous souhaite bonne chance. Au plaisir de recevoir vos hiboux :)

Miss Perkins.

Neuvième session : du 06/01/19 au 04/02/19
Thème : les Sortilèges de Métamorphose.

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)
09 févr. 2019, 21:55
 Jeu  Magic'Art
Bonsoir à tous,

C'est avec un peu de retard que je vous annonce aujourd'hui les résultats de la 9e session du Magic'Art. J'ai d'abord été déçue par le nombre de participants. Ensuite, vos oeuvres sont arrivées. Je vous remercie. Vos oeuvres étaient magnifiques. Miss O'Sullivan et moi-même, nous n'avons pas eu facile à déterminer le podium mais nous nous sommes mises d'accord assez facilement. Même si tout le monde ne peut pas gagner, sachez que je suis très fière de vous ! :)

En première place, nous retrouvons Sarah Brown :

Reducio
La Mort, la Sagesse et la Liberté

Le Chasseur chassait.
Le Magicien passait.
Et l’Oiseau volait.

Le Chasseur marchait d’un pas incertain.
Le Magicien dansait sur le chemin.
Et l’Oiseau faisait onduler ses ailes du destin.

Le Chasseur vit.
Le Magicien su.
Et l’Oiseau se posa.

Le Chasseur arma.
Le Magicien courra.
Et l’Oiseau pensa.

La gloire du Chasseur,
Inhumaine et impitoyable,
Ne sera jamais rassasiée,
Comme l’alcoolo,
Quand il commence, il ne peut plus s’arrêter.

Le Magicien cria,
Avifors ! Avifors !
Sa baguette créant l’infini,
Le sort gicla sur l’arme du chasseur.

Et l’Oiseau entendit.
Le rire sadique du Sans-Pitié.
Et l’Oiseau vit.
Le regard horrifié du Non-Moldu.

Et le Chasseur et le Magicien et l’Oiseau,
Virent le Tue-Liberté tomber,
Des mains du Chasseur sonné.
Le métal coula, formant deux ailes blanches.
Des plumes cristallines apparurent, soyeuses et cotonneuses.
Un bec sorti du trou noir du cracheur de balle.

Petit à petit, l’Oiseau naquît.
Il chanta, de son chant délicieux,
A faire vibrer un cœur de pierre,
Il s’envola doucement et magiquement,
Vers un ciel souriant.

Et le Chasseur hurla.
Et le Magicien ria.
Et l’Oiseau s’envola,


En seconde place, nous retrouvons Orphéa Cooper :

Reducio
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En troisième place, nous retrouvons Megan Arrington :

Reducio
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Toutes mes félicitations et merci pour vos participations. Je remercie chaleureusement @Arwen O'Sullivan pour son aide. A très bientôt ! :)

Ancienne professeure de Sortilèges (2043-2046)