Bonsoir,

Le moment est venu de vous révéler le podium de cette session du Magic'Art 2.0. Vous avez été nombreux à participer, certaines maisons plus que d'autres. Je suis ravie de voir que ce jeu attire de nouveau plus de monde. Je ne vous fais pas attendre plus longtemps ...

En première position, nous avons Aliénor Delphilia . Bravo à elle ! Encore une fois, quelle jolie mélodie !

Reducio

Ici.

Refrain : Je t’en supplie l’ami,
Ne perd pas la mémoire
Avec moi aujourd’hui
Retrouvons notre espoir.

L’histoire que je vais vous raconter se passe il y a maintenant quelques mois,
Par centaines ils sont arrivés et étrangement ils ont décidé de te prendre toi.
Nous ne savons pas ce qu’ils deviennent et jamais ils ne reviennent an aux Terres et pourtant.
Parmi nos enfants, nos amants, c’est toi qui est revenu ce soir lentement.

/R

Tes yeux étaient vidés de l’amour qu’auparavant tu m’apportais.
Com’si tous, pour toi, ils étaient devenus de simples étrangers.
Une forte magie se dégageait de Toi violente comme elle n’a jamais été.
Tu la dirigeas vers ceux qui étaient tes amis tes frères, tes descendants.

/R

Je les ai vus tomber un par un, par ta main ils ont succombés.
Des perles de tristesse et d’amour coulaient sur mes joues si salés
Je ne reconnaissais plus celui qui pourtant avait gagné mon cœur, l’être aimé.
Quand tes yeux se posaient sur moi, je ne savais plus qui tu étais.

/R

Je ne pouvais me résoudre à te laisser même s’il te manquait ta mémoire.
J’avais besoin de tes bras, de ton amour, de tes yeux, pas de ton départ.
Alors lâchant ma baguette je me suis avancée vers toi, mon espoir.
Sans comprendre tu m’as laissée avancer et j’ai pu poser sur toi mon regard.

/R

Tes yeux devinrent ceux que je connaissais, tout aussi bleu que les cieux.
Mais dans un éclair de malheur je tombais sur le sol poussiéreux.
Entre tes mains mon corps inerte te rappelait tes jours heureux.
Ta mémoire te revint, l’amour que tu me portais maintenant coléreux.

/R

Aucun sort ne peut abattre l’amour véritable de deux amants.
Ne les laisse plus jamais seuls, ils ont besoin de toi les enfants.
Ne te perds plus au tréfonds des magies, soit plus fort que ces débutants.

Refrain final :
Je t’en supplie ma belle,
Ne m’abandonne pas,
Mon rayon de soleil,
Je les vengerais pour toi.

En deuxième position, nous avons Jeanie Catanach ! Bravo ! Très jolie oeuvre !

Reducio

Je n’y voyais rien. Rien que du noir. Mais, certains jours, une lueur perçait à travers l’espace entre les pierres de ma prison. Elle ne restait qu’un instant, le temps de s’assurer que j’étais toujours là. À croupir. Dans l’obscurité.

Alors pour m’assurer que j’existais toujours, je répétais mon nom.

Parfois, tu l’entendais dans la bouche des autres, tu le lisais dans de l’encre, tu osais même l’invoquer de ta propre voix, et tu frémissais, sans savoir pourquoi. Quelle étrange réaction pour un simple petit mot. Je le murmurais chaque seconde contre l’étroite paroi de ma cellule, espérant que tu l’entendrais, un beau jour de solitude. N’allais-tu donc jamais réfléchir sur ton passé ? Je te sentais parfois le fantasmer ou le fuir. J’entendais tes pas affolés, tu courrais follement dans les méandres d’un esprit, perdue, tout autant que moi. Tu sentais qu’il te manquait une part essentielle mais tu ne m’atteignais jamais.

Sauf une fois.

Un soir, tu t’es approchée de ma geôle. Tu m’as regardée sans me voir, abasourdie et tremblante. Puis tu es partie, sans comprendre ce qui t’avait menée aussi loin.

Moi, j’attendais ta mort pour me libérer.

Pour me distraire, je songeais aux raisons qui t’avaient poussée à me rejeter. Ta haine était une énigme qui occupait mes jours de patience. J’arrivais quelquefois à comprendre ce qui t’avait amenée à commettre cette amputation. Pour toi, j’étais douleur, malheur, horreur, un cauchemar qui t’attrapait toutes les heures pour te frapper de mes souvenirs. Tu disais que je ne t’offrais aucun répit. Pourtant, je ne te montrais que des sourires, des embrassades, de douces paroles… et… cette berceuse… Je la chantonnais certaines nuits, pendant que tu dormais, pour t’attirer jusqu’à moi.

Bien sûr, tu ne l’entendais jamais.

Il y avait également tous ces rêves, toutes ces couleurs, ces noblesses, que je portais. Elles étaient nos forces, nos armes, mais tu les as vues comme tes faiblesses.

Tu me considérais comme ce lien qui te rattachait aux misères humaines. Je suis le lot de tous les êtres mais, toi, tu n’as pas voulu me garder comme font tous les autres. Je n’ai pas toujours été belle mais j’ai toujours été bonne avec toi. Je t’ai appris ce que tu savais, j’ai chassé tes monstres, j’ai séché tes joues, je t’ai offert l’espoir. Comment aurais-je pu imaginer que je te hanterais un jour, moi qui te guidais ?

T’infliger mon absence t’aurait rendue invincible ?
Voilà la plus grande de tes bêtises.

Alors je tournais en rond. Je te maudissais. J’ai frappé les murs pour te réveiller. Je n’ai fait que blesser mes mains.

Ce que tu craignais tant est arrivé. Mon isolement t’a rendue fragile. Je te sentais te déliter. Quelques pierres parfois tombaient. La lumière passait un peu plus. C’était mauvais signe. La lumière est toujours mauvais signe. Je sentais notre fin s’approcher alors je redoublais d’effort. Je citais des noms d'autrefois, je criais le mien, je parlais de ta mère, de ton premier chien, de ton premier jour d’école, tout en vain.

Et maintenant que je te vois et que tu me vois. Maintenant que tu pleures devant le résultat. Je ne peux que dire la chose suivante :

Oublie que tu m’as oubliée.

Oubliettes.

◘

Explications :

C’est une complainte d’une enfance oubliée. Une sorcière hantée par ses souvenirs fait le choix d’y renoncer en s’infligeant le sortilège d’Oubliettes. Sauf que rien ne disparaît jamais. On dit souvent que notre vie défile sous nos yeux avant de mourir. Les oubliés ressurgissent alors et se délivrent de leur fardeau. La plainte de l’enfance ainsi personnifiée est prononcée au moment du basculement dans les abîmes. La sorcière qui a sombré dans la folie, plusieurs années après avoir lancé son sortilège, finit par décéder. La mort étant elle-même un oubli de tout, y compris de soi, l’enfance joue avec les mots à la fin du texte et fait semblant de lancer un sortilège avant que tout ne se termine.

En troisième position, nous avons Jules Circinus ! Bravo !

Reducio

Enfant,
Enfant qui sait que le monde est grand, trop grand.
Enfant qui sait que les gens ne sont pas tous blancs.
Enfant sans arme, perdu, aux regards sanglants.
Gamin, au passé défaillant.

La vie ne l’a pas épargné, ah ça non.
Un coup d’Oubliette et adieu la tempête !
Enfant d’une mère qui sert d’attraction,
Elle n’était pas encore prête.

Enfant fut abandonné dans la forêt,
Sans nom, prénom ou même baluchon.
Recueilli dans une famille, Enfant s’isolait
Craignant qu’autrui réitérerait l’opération.

Enfant grandit, mûrit et réfléchit,
« Pourquoi n’ai-je pas de famille ?
Suis-je donc un de ces abâtardis ? »
Enfant quitta son nid, sa vie tombant telle une quille.

Recherches, écarts et détresse,
Enfant sombra dans une profonde tristesse.
Finalement, Enfant comprit instinctivement
Que sa mère l’avait abandonné pour ne pas qu’Enfant sombre comme Maman.

Enfant la rechercha des jours pour la remercier,
En vain, puisqu’elle nous avait quitté.

J'ai eu beaucoup de mal à me décider pour la troisième place. Malheureusement, il fallait trancher. Je tenais simplement à mettre en avant l'oeuvre de Taylor Bagholmes ! Bravo ! Un cadeau vous sera envoyé pour vous féliciter !

Reducio

La folie, la jalousie ou autre ? Je ne savais plus ce qu’il m’avait pris. Tous semblaient bien plus importants que moi, bien plus intelligents alors qu’aucune connaissance ne leur appartenait pleinement. Aucun d’entre eux n’avait le courage d’énoncer la vérité. Jamais, ils n’avaient eu recours à des livres de sortilèges. Jamais, ils n’ont pu comprendre la moindre des inepties qu’ils racontaient. Une seule personne pouvait le savoir, moi. Je leur avais tout donné sur un plateau d’argent : la compétence, les ambitions de cultures.

Pourtant, jamais, ils n’avaient eu connaissance de cela. Jamais.

Mon cœur en battait la chamade de cette trahison, de ma propre perfidie. Toujours, j’ai été là pour eux. Sans cesse, j’ai conféré ce dont ils avaient besoin, mais je ne pouvais qu’en avoir à moi-même : mes notes se retrouvèrent dans la catégorie médiocre, car mes savoirs s’étaient joués de moi. Pourquoi ? Tout cela, parce que j’ai tout transmis aux autres sans entretenir ma mémoire. Mes remarques avaient chuté à cause de cette bêtise, je devais me reprendre et voler tout ce que j’avais pu donner lors de ses demandes vulgaires et sans réelles convictions, sauf celle de me détruire. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même, et je devais rectifier le tir, mais comment faire sans montrer que je suis coupable de toute cette mascarade de vengeance personnelle ? Comment faire ?

Je cherchai donc cette solution pendant des heures, des jours, des mois, une année pour planifier le moindre geste de cette violation de vie interne, de ce changement d’opinion subjectif. J’allais transformer leurs existences, leur modifier le moindre penchant que leur réservait le destin. Je voulais justice, et châtiment pour n’importe lequel de ses voleurs, alors oui, j’ai commis cet acte sans réelle doctrine pour mon avenir. Dès lors, au levé du jour, dans ce train rempli d’étudiants encore endormis, je m’approchai d’eux et pris la baguette dans la manche de ma veste.

— Vous n’aurez que ce que vous méritez… Oubliettes, avais-je incanté.

Le filet argenté se dirigeait vers la multitude d’élèves présents dans chaque recoin de ce compartiment, effaçant comme je le souhaitais les concepts que je leur ai donnés ; mais je n’avais jamais pensé que ce sortilège irait trop loin, puisqu’à leur réveil une infinité de cris sortirent de leur bouche. Aucun ne se connaissait, ils ne semblaient plus capables de se souvenir de la moindre once de ce qu’il avait vécu. J’avais dépassé les limites, et je le savais, était-ce donc ma colère sur cette injustice qui ait provoqué cette altération ultime de la mémoire. Alors quand les Aurors ont débarqué, j’ai directement avoué mon crime, je ne pouvais supporter ce que la haine avait fait de leurs réminiscences. Je le regrettais, et je le déplore encore aujourd’hui. Vous savez, Monsieur le juge et les Jurés, je fais pénitence de ce que j’ai fait, j’ai gâché leur vie, et je ruine la mienne. Je ne voulais pas que cela aille aussi loin, et je ne pourrais pas me racheter même si je le souhaitais. J’abandonne mes études pour ce crime. Je délaisse l’existence que je rêvais d’avoir pour l’exagération de mes faits. Vous pouvez me condamner à Azkaban. Vous pouvez me faire perdre la mémoire, je l’aurais mérité. Je l’aurais attiré. Je n’attends que ma sentence pour oublier ma vie, pour omettre la colère que je pusse avoir. Me pardonner ? En aucune façon, je ne le souhaite pas, au contraire, je le cherche. Si je désire choisir ma descente en enfer ? Oui, oubliettez-moi, lancez-moi une multitude, non, une Oubliette de l’éternel. Voilà tout ce que je veux pour mon crime. J’étais Keany Sendort et je ne réclame plus le moindre souvenir de cette vie. J’accepte qu’elle soit jetée aux oubliettes.

Aveux de Keany Sendort, le 19 juin 2004 : procès Keany Sendort pour crime sur adolescents mineurs avec un sortilège d'altération de la mémoire

Bonjour à tous,

Une nouvelle session du Magic'Art commence dés maintenant ! N'oubliez pas, les RP sont autorisés ! J'attends vos oeuvres dans ma volière ! Tous à vos crayons !

Quatrième session : 19/08/19 au 08/09/19 à 23h59.
Thème : Aguamenti et Incendio

Bonne journée

Bonjour,

Il ne vous reste plus qu'un peu plus d'une semaine pour participer ! J'attends vos oeuvres dans ma volière !

Bonne journée !

Bonjour,

Dernier jour pour m'envoyer vos oeuvres !

Bonne journée !

Bonjour,

Le moment est venu de vous dévoiler le podium de cette session du Magic'Art. Encore une fois, vous avez été nombreux à participer. Vous ne m'avez pas rendu la tâche facile ! Même si tout le monde ne peut pas gagner, je tenais à vous féliciter. Vous pouvez être fiers de la qualité de vos oeuvres ! Le château est rempli de jeunes talents !

En première place, nous avons Hadrian Ogilvy ! Félicitations !

Reducio

Le chaud et le froid, le feu s'entremêlant à de l'eau gelée,
Voilà un moment qui va tous nous émoustiller.
La chaleur sur mon corps est tel que ma sueurs ne sont que vapeurs,
La pression du chaud sur mon corps par l'incendio me rouge puis blanc, mais ne me fait peur.

Frapper d'innombrable fois, recevant de nombreux coups sur tout mon être
Mon corps ne fait que se renforcer et je ne laisse rien paraître.
Hélas, après de nombreux coups, le froid glacial de l'aguamenti rend mon corps rigide.
Cela rend la souffrance plus vive, comme si on m'avait battu de façon très rapide.

Alors que mon corps était toujours aussi rigide, on me réchauffa rapidement,
L'incendio me brûla encore la peau suivi des coups de marteau se faisant ressentir intensément.
Mon corps n'en pouvait plus, mais surpassant la souffrance, mon être devenait plus endurant,
C'est alors qu'on ne cessait de me donner des coups pour de meilleurs ajustement.

Au prix de heures incessantes de douleurs et de rigidité, mon corps finit par si habituer,
La complainte des coups n'était plus qu'un écho dans mon âme et la douleur a été valdingué.
Finalement, l'aguamenti me toucha une dernière fois afin de durcir mon corps,
Et pendant que mon corps révéla peut à peu sa vrai forme, on me polissait comme de l'or.

Par la grâce des sorciers, je suis devenu une épée,
Prêt à servir mon maître pour l'aider à tout découper.

En deuxième place, nous avons Nova Stronger ! Bravo !

Reducio

Nos souvenirs partis en fumée
Brûler comme des bouts de papiers
Sombrer dans les abîmes et le cœur abîmé

Éteindre l'incendie était une mauvaise idée, une hérésie
Comme vouloir faire de notre enfer un paradis
Pris entre incendio et aguamenti, épris on était mais à quel prix ?
Il fallait partir et on est resté

On s'était promis pour le meilleur et pour le pire
Et quoi qu'il arrive on va le vivre,
Quoi qu'il arrive on va en rire plus tard
Avant que le rêve se transforme en cauchemars

Ils étaient tous fous de nous voir heureux
Ils étaient tous flou à nos yeux amoureux
On ne voulait pas fuir

Et mes larmes coulent sur mes joues, les flammes courent sur les jours
C'est le feu contre l'eau c'est eux contre nous
X2

Notre union dérangeait car c'est un drôle de mélange
Et là ou on voyait la chance ils voyaient la décadanse
Une sorcière et un étranger
Étrange selon leurs pensées

Nous sans se soucier du monde autour on chantait, on dansait
On était libre de s'aimer
On était libre de semer nos sentiments

Et mes larmes coulent sur mes joues, les flammes courent sur les jours
C'est le feu contre l'eau c'est eux contre nous
X2

Le flot de tes pleurs pour aguamenti
Éteint la fureur de l'incendio quand je suis partie
La vie ne nous a pas menti ce n'était pas une erreur

C'est eux qui avaient torts
C'est eux qui avaient peur...

Leur haine a eu raison de moi
Je te quitte mon Roi...

Tes larmes coulent sur tes joues, les flammes courent sur les jours
C'est le feu contre l'eau c'est eux contre nous
Mes larmes coulent sur mes joues, les flammes courent sur les jours
C'est le feu contre l'eau c'est eux contre nous.

En troisièmeplace, nous avons Aliénor Delphilia ! Bravo !

Reducio

Chanson, ici.

Intro :
Viens approcher ton désir d’avancer.
Viens avec nous, différentes jusqu’au bout.

Tu viens ici, pour découvrir la nuit.
Le feu de l’ivresse, ou le calme des pluies.

Pré-Refrain :
Quand on est un fougueux au royaume de l’eau, le calme nous dérive.
Quand on est un rêveur au royaume des fous, le brasier nous enivre.

Refrain :
Aguamenti o Incendio,
Qui de l’eau pure ou du feu beau ?

Rêveurs de l’ombre, assis sur la lune.
Sans une encombre, calmes et perdus.

Brasier du jour, soleil éternel.
Feu de l’amour, sans espoirs ni querelles.

Pré-Refrain :
Quand on est romantique au royaume des passions, le feu nous détruit.
Quand on est l’embrasé au royaume des tendres, le temps nous fait fuir.

R/

Calme et entêtante, valse des eaux.
Sirène des mers, douceurs océanes.

Intrépide et colère, rock des flammes.
Feu follet insensé, passion dévorante.

Pré-Refrain :
Quand on pense qui on est au royaume des cases, il faut se mettre dedans.
Quand on réfléchit plus loin, on voit que les cases ne font pas d’différences.

Refrain final :
Aguamenti et Incendio
Le doux mélange des audacieux.

Aguamenti et Incendio
Your are the one, show to the world.

J'ai eu beaucoup de mal à me décider (deux de mes collègues m'ayant d'ailleurs aidée) et tout le monde ne peut pas gagner. Néanmoins, j'aimerais attirer votre attention sur l'oeuvre de Anathema Lyndon. Félicitations ! Vous obtiendrez un lot dans les prochaines heures/jours.

Reducio

Merci à mes collègues pour leur aide si précieuse !

A bientôt ! Encore félicitations !

Bonjour,

Une nouvelle session du Magic'Art débute dés à présent. Le jeu vous avait manqué? Ne ratez pas une occasion de faire gagner quelques points à votre maison ! Beaucoup semblent l'oublier mais les RPG sont autorisés ! Vous avez une âme d'artiste ? Lancez-vous ! J'attends vos oeuvres dans ma volière ! Tous à vos crayons/pinceaux !

Cinquième session : du 27/11/19 au 17/12/19 à 23h59.
Thème : les quatre éléments

Il est évident que vos créations doivent respecter le thème mais également avoir un lien avec les sortilèges !

Bonne chance !

N'oubliez pas de m'envoyer vos participations ! Je n'ai reçu que peu de participation pour cette session, c'est dommage. La session a été prolongée d'une semaine afin de permettre aux retardataires d'envoyer leurs oeuvres.

Bonsoir,

Le moment est venu de vous révéler le podium de cette session du Magic'Art 2.0 ! Merci aux participants pour leur oeuvre. Encore une fois, vous avez fait du bon boulot !

En première place, nous avons Alienor Delphillia ! Je vous félicite !

Reducio

https://voca.ro/9teiI3lMdcN

A toi, qui surveillait cette forêt pendant des millénaires
Qui la protégeait, la défendait, arbres centenaires.
Et qui brule maintenant rouge sang, poumon de l’univers.

A toi, qui pense que tout est terminé à cause de cette immondité.
L’eau s’est infiltrée là où tu a vécu, habité.

A toi, qui sent les tréfond se déformer
Et qui te rappelle que tu n’es qu’une poussière dans l’éternité.

A toi, qui prie pour qu’il vive longtemps, qui rêve de le voir grandir
Mais l’air ne lui parvient pas et le laisse mourir.

A toi, qui souffre sans rien demander,
Tu te noie dans les flammes d’une folie apaisée.

A toi, qui cherche l’eau pour l’aider
Mais qui le voit s’assécher dans tes bras assoiffés.

A toi, qui cherche la chaleur autant que l’amour.
Mais qui reste seul dans le froid de ce jour.

A toi, qui navigue depuis toujours, marin abandonné.
Qui cherche la Terre de ta famille, sol de tes ainés.

A toi, qui purge ta faute depuis des années,
Qui manque d’air enfermé et qui souhaiterait que ce souffle soit le dernier.

Terre et eau, feu et air
Gouverneur de notre terre.
Dans l’ombre se dessine la magie.

Seul espoir de vos prières,
Elément supplémentaire,
Pour tous ceux dont la misère est l’avenir.

A elle, qui pense que l’eau doit être mise en banque,
Que ce besoin doit être chiffré pour celui en manque.

A lui, qui brule sans vergogne ses produits humains.
Aveuglé par son secret ne voit pas cette fumée noire de la fin.

A eux, qui ne voient que par l’argent et qui voyagent sans terre,
Polluant pas leurs avions pour faire Leeds-Manchester.

A tout ceux qui ne rêvent que d’une chose,
Quitter notre Terre mère, qui rêve de plus beau, moroses.

Mais si tu ne respecte pas,
L’équilibre et les lois,
La lueur est bien loin de toi.

La magie ne pourra rien faire,
Pour celui qui bousille sa terre,
Réfléchit et agis pour tes frères.

Mais je serais là, pour tous ceux qui voient, pour tous ceux qui croient, que l’impossible est sur terre.

Alors lève-toi, nous t’aiderons, car ensemble nous trouverons le chemin.

A toi.

En deuxième place, nous avons Emelyne Joyner ! Félicitations !

Reducio

En troisième place, nous avons Celestia Moon ! Bravo !

Reducio

https://voca.ro/13hQV8C77ww

Les quatre éléments

Gryffondor, courageux
En élément, le feu
Serpentard, ambitieux
Pour lui c’est le ruisseau

Serdaigle, intelligent
Le vent pour élément
Poufsouffle, persévérant
La terre en élément

Refrain :
Quatre personnes opposés
Quatre éléments variés
Tous différents, mais tous
Unis dans la menace

Soudain, éclate une guerre
Les quatre se rassemblèrent
Unissant leur force mais
Les tâches sont partagées

Chacun lance ses propres sorts
Pour stopper ce malheur
Mais ces sorts réunis
Combattent les ennemis

Refrain :
Quatre personnes opposés
Quatre éléments variés
Tous différents, mais tous
Unis dans la menace

Aquamenti, mouillant
Les ennemis du grand
Incendio, cette chaleur
Pour le rouge agresseur

Avis et Oppugno
Pour la bleu aux corbeaux
Herbivicus, des plantes
Pour la blairelle patiente

Refrain :
Quatre personnes opposés
Quatre éléments variés
Tous différents, mais tous
Unis dans la menace

Merci pour vos participations et à bientôt !

Bonsoir,

Une nouvelle session du Magic'Art 2.0 débute dés à présent. Ne ratez pas une occasion de faire gagner quelques points à votre maison ! Je rappelle que les RPG sont autorisés ! Vous avez une âme d'artiste ? Lancez-vous ! J'attends vos oeuvres dans ma volière ! Les oeuvres doivent être originales.

Sixième session : du 13/01/20 au 30/01/20
Thème : Lumière vs. Obscurité.

Bonne chance !

Bonsoir,

Il ne vous reste que quelques jours pour participer à cette session du Magic'Art 2.0 ! Le podium n'a pas encore été déterminé, n'hésitez pas à tenter votre chance !

Bonne soirée !