Gryffs ne fait que de parler sans me laisser la place de le faire, à moi maintenant!!!

Le vifs d'or est toujours là, toutes les tentatives pour l'attraper on pour l'instant été des échecs. Mais ces maintenant Crimspeak qui se jette dessus mais malheureusement, son plongeon était trop court et le vifs d'or a eu le temps de s'échapper... C'est surement a cause de Swan qui la déstabiliser!
Quels jeu d'équipe de O'Belt et Peterson qui marque ensemble!! ce qui donne 30 point au gryffondor, ce qui fait maintenant 200-60 pour les gryffes d'argent!!!
Après avoir marqué, O'Belt par sa joie n'a pas vue le cognard arrivé et se fait percuté!!

Et c'est vraiment pas de chance pour les lions!! Crimspeak arrive a attraper tous les viffets mais avec la pression que pourrait donner le vifs d'or le mène a l'échec et il rate le vifs d'or encore une fois!!
Ah! Maclynn cherche si il n'y aurai pas un viffets qui ferait son entrer sur le terrain!
Crimspeak et O'Belt se font percuté par Eastwood, pas de chance pour O'Belt, qui vient tous juste de se faire percuté une deuxième fois en cinq minute!! Ginger va la remplacer!!
Peterson et Downing On vu leurs paroles finir en leurs et n'ont pas réussi pour l'un une destabilisation, pour l'autre un encouragement!!

Pour l'instant gryffondor mène largement  qui je le rappelle a un score de 200-60 mais qui sait comment les serpents vont réagir!!

Plus la discussion avançait, plus le sourire de la jeune fille s'épanouissait sur son blanc visage. Elle semblait captivée, et, de manière curieuse, Aliosus se retrouvait lui-même prisonnier de son attention, comme si l'importance qu'elle donnait à leurs échanges lui intimait de les continuer. Ce n'était plus une question de convenances ou de politesse, c'était un sentiment diffus , comme une lointaine réminiscence, qui portait le jeune garçon plus en avant.

- Ta mère ? Hum.. bien, mais quand tu dis qu'elle n'en parle jamais, c'est que tu lui as déjà posé des question à ce sujet et qu'elle n'a pas voulu répondre ou qu'elle ne l'évoque jamais tout simplement ? 

C'était deux choses bien différentes et la première possibilité pouvait considérablement épaissir le mystère. 

- J'ai toujours aimé les beaux arbres généalogiques, décorés avec des blasons, mais ça me parait un peu compliqué, je ne comprends pas toujours tout. Nous en avons un mais il est dans le bureau de mon père et je n'ai pas le droit d'y entrer. 

Portant pour la première fois son attention sur le match, elle continua de le questionner. Le Serpentard eut un sourire en coin, ce changement d’attitude avait forcément une signification, mais encore une fois, cela restait flou pour lui. 

- Oui, j'ai deux oncles et une tante du côté Nerrah, mais je ne les ai jamais rencontrés. Ou...Si, peut être bien une fois, c'était il y a longtemps, je devais avoir cinq ou six ans. Je me souviens plus trop, à part que les discussions étaient très agitées. Tu as l'air d'avoir une grande famille non ? 

Le score était à présent de 200 à 60 en faveur des rouge et or, Aliosus commençait à se préoccuper du moral d'Irisia, il ne faudrait pas qu'elle se déconcentre et prenne un mauvais coup. 

@Alice Sangblanc

Banc des joueurs de Gryffondor
Ennis venait de se prendre deux coups de Cognard particulièrement bien mal placés, l'obligeant à se poser sur le bord du terrain et à céder sa place à Leo pour poursuivre la rencontre. En se massant tour à tour le bas du dos et le bras gauche, elle se rendit tant bien que mal vers le banc de son équipe et s'y installa aux côtés d'Arminia et d'Audric. Sa coéquipière rousse n'était pour le moment pas entrée sur le terrain et était encore sèche, contrairement à la châtain qui dégoulinait de pluie.

Son balai posé juste à côte, elle sortit sa baguette pour évacuer toute cette humidité. Ses vêtements et ses cheveux fumèrent un instant signe que l'opération était un succès. L'irlandaise eut un frisson de bien-être et se reconcentra sur le match. Esmée venait d'arrêter le penalty tirée par l'une des Serpentard - à cette distance, difficile de savoir qui. Elle vit Clément agiter sa batte également et Jonathan se prendre un méchant coup aussi et se retroubait sur le bord du terrain. Il ne s'en éloignait pas, il comptait sûrement repartir au plus vite.

- "Allez les Griffes! Bougez vous! On a un match à gagner!" hurla Ennis du mieux qu'elle put pour qu'ils l'entendent. c'est que contrairement aux spectateurs elle était au sol, pas dans les tribunes.

- "Clément, Esmée, Jo', Leo! Montrez aux Serpy de quel bois on se chauffe!"

Avec le temps qu'il faisait, on ne pouvait pas dire que la motivation de sortir était très présente. Mais Lyn tenait absolument à regarder tous les matchs de ses adversaires pour ne pas en louper une miette. On ne savait jamais, ça pouvait être utile pour établir des stratégies. Bon, en vérité, généralement, elle se prenait tellement au jeu qu'elle ne réfléchissait pas à des tactiques futures mais plutôt aux tactiques qu'elle voyait devant elle, ou celles qu'elle aurait trouvées meilleures pour tel ou tel moment, telle ou telle action.
L'aiglonne s'était donc rendue seule dans les gradins ce jour-là, assister au match Crochets d'Argent VS Griffes Ardentes, sans parapluie ni sortilège pour se protéger des grosses gouttes qui n'en finissaient pas de tomber. La situation était-elle pire pour les joueurs ? Au moins, eux pouvaient se réchauffer en bougeant. Mais, il est vrai, niveau visibilité ça devait être horrible. Pour l'avoir vécu lors de son premier match, Lyn pouvait compatir. Mais ne connaissant pas la moitié, au moins, des joueurs qu'elle avait devant elle, la petite italienne s'intéressait surtout au jeu en lui-même qu'à ceux qui animaient celui-ci.

Complètement trempée, c'est à peine si la fillette sentait encore la pluie lui tomber dessus. Elle était prise dans le jeu, serrant les poings lorsqu'une action importante se jouait, rouspétant et secouant la tête lorsqu'elle se disait "j'aurais pas fait ça moi !". Sauf que c'était pas elle, ni son équipe, qui jouait, mais ses adversaires. Son prochain match serait contre... Serpentard, lui semblait-il. Les Crochets d'Argent.
Crochets d'Argent qui, actuellement, prenaient une belle dérouillée. Ayant plus de sympathie pour cette équipe - choix presque totalement arbitraire, d'ailleurs (peut-être était-ce dû au fait que, par deux fois, elle avait participé à une victoire contre eux, tandis qu'elle avait perdu son unique match contre les Gryffondor) -, c'étaient donc les Verts que Lyn soutenait, même sans rien dire. Cela se manifestait surtout par une exaspération croissante en voyant le score se creuser, et l'attrapeur des rouges s'emparait de tous les viffets sans aucune pitié. Fichtre !
De nature très optimiste, Lyn ne croyait pas à la défaite tant qu'elle n'était pas arrivée avec certitude. Tant que le vif d'or n'était pas attrapé, donc. Mais là, ça devenait tout de même de plus en plus difficile. Certes, c'était mieux que le 390-0 que s'étaient pris les Serpentard deux années auparavant contre les mêmes adversaires, mais bon, 200 à 60, c'était pas le plus facile à rattraper.
Tous les joueurs rouges étaient redoutables. Et même si l'attrapeur était impressionnant, c'était la gardienne et Capitaine, Esmée Peterson que Lyn ne pouvait s'empêcher de regarder. De même pour la gardienne adverse, d'ailleurs, Phœbe Swan. Déjà parce que gardienne, c'était aussi son poste, et puis parce que l'aiglonne s'était tellement peu démarquée lors de son précédent match qu'elle éprouvait une certaine envie envers les deux Quatrième année, qui étaient très présentes.

Depuis quelques secondes, ou quelques minutes déjà, le vif d'or survolait le terrain. Bon, on n'était plus très loin de la fin du match. Il faudrait aux Serpentard le dernier viffet, deux buts et la capture du vif d'or pour recoller au score. Ça paraissait une montagne, mais rien n'était joué. Lyn redoubla d'attention.

Elina détourna son attention du jeune Gryffondor un instant. Crimspeak venait de mettre la main sur un viffet de bronze, creusant encore l'écart entre son équipe et les Crochets d'Argent. L'attrapeur s'en sortait plutôt bien. Jusqu'à ce qu'il se reçoive un souafle en pleine tête, ce qui ne manqua pas de suprendre la jeune professeur. Apparemment les Serpentard avaient trouvé une alternative à l'usage du cognard...

« Vous avez sans doute raison... »

La réponse était à peine audible. Le peu de conviction qui s'en dégageait surpris un peu la jeune professeur. *C'est tout ?* Le manque de combativité du jeune garçon n'était pas des plus encourageants. Il sembla néanmoins se reprendre et d'une voix forte, un sourire de façade plaqué sur le visage, il affirma :

« Je n'ai pas l'intention d'abandonner, professeure. Je n'ai pas l'intention d'abandonner, même après avoir essayé. Je ne suis pas un lâche, professeure. Je suis un Gryffondor. »

Cela commençait bien... Jusqu'à ce qu'il se cache derrière sa maison et les valeures qu'elle était supposée représenter. Mais rien n'était absolu. Pour sa part, Elina considérait qu'on ne possédait pas les qualités d'une maison simplement parce qu'on y était entré. Ce n'était qu'une première étape. Le signe que l'on avait le potentiel pour développer ces qualités. Rien n'était inné et l'on pouvait passer à côté si l'on n'y prenait pas garde. *C'est pour toi que tu dois le faire. Pas parce que tu es un Gryffondor...* Néanmoins...

« C'est un bon début. »

Elina avait l'impression que se montrer directe ne serait pas d'une grande aide au Gryffondor. Mieux valait le laisser aller à son rythme. Il était en première année, il avait tout le temps. S'inventer des obligations envers une entité quelconque n'aidait pas du point de vue d'Elina. Fussent les maisons. Pour elle, seuls les êtres vivants avaient une réelle valeur. Ce qui comptait dans les maisons, c'était les personnes qui la constituaient. En parlant d'êtres vivants, les Gryffondor avaient encore marqué quelques points. Le match semblait de plus en plus mal parti pour les Serpentard. D'autant plus que le vif d'or venait de faire son apparition. Elina tenait absolument à voir qui s'en emparerait. Une lutte acharnée s'était déclarée, mais le vif d'or n'en faisait qu'à sa tête et aucun des attrapeurs n'avait encore pu mettre la main dessus.

Banc des joueurs de Gryffondor
Même si elle était assise sur le banc des remplaçants, Ennis vivait cette fin de match avec des nœuds aux tripes. Ses deux camarades juste à ses côtés devaient trouver ça bien drôle puisqu'à chaque action réussie des Griffes Ardentes, elle hurlait un Hourra plein de convictions ou bien levait le poing en l'air. Quand au contraire, la tactique échouait ou l'avantage allait au Serpentard, elle avait un mouvement de dépit des bras. Il était très certainement heureux que personne sur le terrain ne puisse la voir. Certains auraient pu en perdre leur concentration avec toute cette manifestation émotionnelle sportive. Quand le match prit fin, ce fut, un explosion de joie pour la jeune Gryffondor qui devança de peu ses camarades présents dans les tribunes. Jonathan venait d'attraper le vif d'or ce qui concluait la partie et asseyait la victoire des rouges et ors. Prise dans son élan elle se leva pour applaudir ses copains présents sur le terrain et ses deux coéquipiers sur le banc avec elle.

Pop ! La bulle du match venait d'éclater, le Vif d'Or entre les mains adverses. Ainsi s'achevait cette rencontre prématurément au sens de Phœbe, quelques minutes de plus peuvent tout faire basculer dans la phase finale. Elle quittait son balai alors qu'un Cognard aurait presque pu la faucher si la rencontre s'était poursuivie. La gardienne avait fait des erreurs, c'était certain. Si elle avait été parfaite dans la connaissance du jeu, cette fichue brèche dont elle identifiait très exactement l'emplacement dans le jeu n'aurait jamais été ouverte. Sa bêtise devait bien avoir offert 60 points aux Griffes Ardentes. Cependant elle avait combattu jusqu'au bout, tentant de miser là où était sa maîtrise. Pourtant l'adolescente refusait de croire que les Crochets étaient une mauvaise équipe pour cette défaite. Certaines choses ne s'apprennent certainement qu'en trébuchant pour les découvrir. Cette chute faisait mal, elle était brusque, douloureuse. Les enseignements devaient en conséquence être d'une grande richesse et apporter beaucoup pour le jeu futur de Serpentard. Ce qui a touché le fond ne peut pas tomber plus bas encore. L'Argent bientôt brillerait, ils se relèveront. La petite Swan serait présente pour se perdre dans les méandres de ce jeu une nouvelle fois et se confronter aux prochains adversaires, dont elle attendait déjà un accaparement intense et excitant autant sur les plans physique qu'intellectuel.

Le match était terminé… Éberluée, le souffle coupé, tremblante sur son balai, Irisia voyait l’attrapeur adverse serrer de toutes ses forces la petite balle dorée dans sa main. Il avait réussi à l’attraper… La fatigue s’installa alors que l’adrénaline et le stress s’effaçait en cette fin de match. Son premier match était enfin clôt. Les lèvres pincées, le teint blafard, la rousse descendit lentement sur le terrain avant de se poser sur l’herbe détrempée et boueuse. Elle n’avait pas réussit à attraper un seul viffet de tout le match, son adversaire passant sans cesse quelques secondes avant elle, chopant l’objet en vol avant de repartir de plus belle. L’irlandaise, elle, n’avait pas réussit à être aussi efficace et douée pour son équipe…

Du haut de sa dizaine d’année, la petite vipère s’était imaginée tant de victoires et de réussite, portant son équipe aux Nues. Mais là, elle tombait de bien haut… Serrant son balai de ses doigts engourdis, plissant les yeux, elle finit par les fermer en laissant les perles cristallines rouler amèrement sur ses joues, noyant ses larmes dans la pluie de l’orage qui ne cessait de gronder au-dessus d’eux. C’était assez… Regardant son équipe qui redescendait peu à peu, Irisia finit par faire demi-tour et ne s’attarda pas sur le terrain, évitant les rouge et les vert pour aller se réfugier dans les vestiaires, pleurer sur sa nullité et sa défaite.

C’était finit, le match avait touché à sa fin. La petite balle d’or venait de se faire capturer et offrait la victoire au Rouge qui était déjà en avance d’une centaine de points. Ridicule et honteux, voilà les mots que se répétaient Carry en regardant dans le vide, complètement dépiter par la défaite de son équipe. Elle avait fait du mieux qu’elle pouvait pendant le match mais ce n’était clairement pas suffisant, elle avait une chance de faire remonter les serpents dans le score mais elle avait pathétiquement cédé à la pression.

Alors que la foule, folle de joie, scandait le nom des Gryffondors pour leur victoire, Carry sentit en elle un profond vide en elle, un vide qui grossissait au fur et à mesure qu’elle croisait le regard de ses coéquipières qui étaient tout autant déçu de leur résultat.  Finalement, la capitaine des Crochets leva le bras faisant signe aux autres de rentrer dans les vestiaires pour laisser place aux griffons. Tétaniser par la défaite, Carry détourna la tête par honte et donna un léger coup de hanche pour faire avancer son balai en direction des vestiaires comme l’avait indiqué sa capitaine. Fatigué et dégouté par cette défaite, Carry défait sa queue de cheval pour laisser ces cheveux noirs mouillés couvrir son visage remplit de tristesse. Rare étaient les fois où elle pleurait, et encore plus rare ceux qui l’avait vue en larme.
Méritaient-ils vraiment une telle défaite ? Le niveau était-il si différent que ça ? Carry s’était entrainé tellement dur pour ce premier match et malgré tout, elle avait déçu. Maintenant tout ce qu’elle voulait s’était rentré aux dortoirs et se reposé car malgré tout elle venait de s’apercevoir d’un autre problème : son endurance. Même si elle était rentrée en fin de match elle avait l’impression d’avoir participé au match en entier ce qui n’était pas le cas. Tant de chose à travailler et si peu de temps…

Alors qu’elle se laissa tomber sur son balai d’épuisement, Carry ferma les yeux et essaya de penser à quelque chose d’agréable. Une fille, avec de longs cheveux et de grosses lunettes… Et un sourire qui pouvait se montrer aussi ravageur que tranchant… Carry sourit à cette pensée, elle voulait revoir cette fille pour lui faire oublier la catastrophe qu’était ce match. Elle se promit de partir à sa recherche une fois qu’elle aurait récupéré

La clameur rouge envahit le stade. Aliosus grimaça soudainement de ce bourdonnement agressif. C'était fini, le Gryffondor virvoltant avait attrapé le vif d'or et coupé les ailes des Crochets d'Argents qui pourtant s'acharnaient à remonter la pente. C'était trop tard maintenant, même si personne n'avait voulu l'admettre jusqu'au coup de sifflet final, Serpentard avait perdu. 

Il se leva d'un bond, cherchant des yeux celle pour qui son estomac s'était noué pendant tout le match. Là. N'était-ce pas elle qui était en train de quitter le terrain ? 
Aliosus se rendit compte qu'il s'était levé avec son parapluie en main. Il se retourna, l'air livide, vers Alice qu'il avait non seulement privé momentanément de protection contre la pluie battante mais envers qui il venait de se montrer atrocement grossier.

Lui mettant son parapluie dans ses mains blanches, le garçon s'excusa du mieux qu'il pu devant l'urgence de la situation.
"Par Merlin je suis navré, heu... prend le ! Je te prie de m'excuser, il faut absolument que je descende. Je... On se retrouve à la salle commune ? Oh je suis vraiment désolé mais je dois filer."

Il se sentait vraiment mal. Il venait d'être odieux avec une nouvelle camarade qui s'était pourtant montrée aussi gentille qu'il était possible de l'être et surtout, surtout, aux manières irréprochables. Il secoua la tête. C'était trop tard, elle ne voudrait sans doute plus jamais lui parler après un pareil affront. 
Cependant qu'il ressassait ces pensée, le visage de sa meilleure amie s'imposa à son esprit. Il descendit les gradins aussi vite que la foule le lui permit et se retrouva finalement près des vestiaires.
Avait-il le droit d'être là ? 
Et de toute façon, est-ce que ça allait changer quelque chose ?

Il entra dans ce qu'il prit pour le vestiaire de sa maison.
"I.. Irisia ?" appela-t-il timidement.


@Alice Sangblanc
@Irisia MacLynn