Ami-maux?
Septembre commençait tout juste mais déjà il semblait qu'octobre s'annonçait en colorant avec douceur les arbres alentours. Ce n'était pas la première fois que Audric venait vers le lac avec des livres sur les créatures magiques, mais il espérait cette fois en apercevoir au moins une. Assit à quelques pas de l'eau, le garçon aux yeux vairons scrutait la surface à l’affût du moindre remous, la moindre bulle qui viendrait crever en haut de l'étendue d'eau. Après presque une heure d'observation intensive, il avait pu voir quelques moustiques frôler la surface de l'eau et quelques oiseaux dont l'image se reflétait sur le liquide tandis qu'ils s'amusaient dans le ciel.
Empilant quelques galets à sa gauche machinalement, le brun relisait pour la millième fois au moins le livre qu'Ashley lui avait offert à son premier noël à Poudlard traitant justement des créatures magiques présentes à l'école et ses alentours. Le bouquin était à présent corné par endroit, avec quelques tâches sur la quatrième de couverture, et il espérait secrètement que son amie ne verrait jamais cela. Il avait honte que le présent soit ainsi abîmé, mais cela ne l'empêchait pas de le sortir absolument partout. Il commençait d'ailleurs à le connaître par cœur à force.
La tour de galet s'écroula, roulant contre sa jambe et attira son attention. Il les repoussa doucement et recommença, plongeant à nouveau son regard entre les pages du livre. Il n'avait pas revu la brunette depuis un moment, mais repoussait toujours le moment de lui écrire une lettre pour prendre de ses nouvelles.
En attendant il releva à nouveau la tête, pensant avoir entendu un bruit. Mais ce dernier ne semblait pas venir du lac. Le garçon se tordit tant bien que mal et plissa les yeux pour essayer d’apercevoir la personne qui semblait s'approcher. A moins... a moins que ce ne soit pas un humain.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Empilant quelques galets à sa gauche machinalement, le brun relisait pour la millième fois au moins le livre qu'Ashley lui avait offert à son premier noël à Poudlard traitant justement des créatures magiques présentes à l'école et ses alentours. Le bouquin était à présent corné par endroit, avec quelques tâches sur la quatrième de couverture, et il espérait secrètement que son amie ne verrait jamais cela. Il avait honte que le présent soit ainsi abîmé, mais cela ne l'empêchait pas de le sortir absolument partout. Il commençait d'ailleurs à le connaître par cœur à force.
La tour de galet s'écroula, roulant contre sa jambe et attira son attention. Il les repoussa doucement et recommença, plongeant à nouveau son regard entre les pages du livre. Il n'avait pas revu la brunette depuis un moment, mais repoussait toujours le moment de lui écrire une lettre pour prendre de ses nouvelles.
En attendant il releva à nouveau la tête, pensant avoir entendu un bruit. Mais ce dernier ne semblait pas venir du lac. Le garçon se tordit tant bien que mal et plissa les yeux pour essayer d’apercevoir la personne qui semblait s'approcher. A moins... a moins que ce ne soit pas un humain.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Ami-maux?
Mélisandre se réveilla bien avant les autres, ce matin était sa troisième journée à Poudlard et après avoir exploré une bonne partie de l'intérieur du château, l'envie lui avait pris de s'aventurer à l'extérieur. En temps normal, elle préférait un bon vieux livre au coin du feu à une balade dans la nature mais, les jolies couleurs flamboyantes qui commençaient à teinter les feuilles des grands arbres du parc lui donnaient envie de chercher des écureuils parmi leur feuillage.
Ces petites bêtes fascinait Mélisandre, au poil semblable à la teinte de ses cheveux, à leur capacité à se dissimuler dans la nature tout en gardant une agilité et une grâce hors du commun..
En se levant se matin là, elle était déterminée à prendre de jolies photos, du paysage, comme de ses animaux fascinants. Elle sauta hors de son lit, alors que ses camarades de chambre dormaient encore, attacha ses longs cheveux en une natte rapide et saisit le vieux polaroid de sa mère qu'elle avait amené avec elle, dévalant les innombrables escaliers du château à toute vitesse.
Lorsqu'elle arriva à l'air libre, elle s'arrêta un instant pour apprécier le paysage devant elle, le soleil levant, illuminait les arbres, faisant se dissiper la brume matinale et faisait scintiller le grand lac qui s'étendait à perte de vue, jouait à faire apparaître de jolis reflets dansants dans ses cheveux de feu pendant que les oiseaux fredonnaient à ses oreilles une douce mélodie. Elle inspira l'air frais sentant la rosée et le pin et s'avança dans l'herbe humide. Parvenue près du lac, elle se pencha derrière les buissons, à l'affut d'une créature qui lui laisserait un joli souvenir, dans son album.
C'est alors que ses yeux captèrent une silhouette près de l'eau. Elle s'approcha lentement, tentant tant bien que mal d'être discrète et vit un petit chat qui tentait de boire sans glisser sur le rebord boueux de l'étendue d'eau. Dans une impulsion et voulant juste l'aider, elle se leva, après avoir capturé l'instant et fourré l'image dans sa poche, et s'approcha de l'animal qui la voyant s'approcher pris peur et s'enfuit, abandonnant l'idée d'étancher sa soif. Mais les rebords toujours glissants eurent raison de lui et la pauvre bête se retrouva dans l'eau avant que Mélisandre, effarée, n'ait pu esquisser le moindre geste.
La jeune fille décida d'essayer de le rattraper mais, se penchant à son tour, s'aperçut qu'elle glissait elle aussi vers l'eau profonde. Elle se redressa, cherchant du regard comment elle pourrait bien lui venir en aide. L'animal se débattait pour garder sa tête à la surface et réussit à s'agripper aux racines d'un saule pleureur qui se tenait la, majestueux, près de la rive mais ce n'était qu'une solution de secours car la petite bête ne parvenait pas à se hisser sur le rebord, dérapant à la moindre tentative. Mélisande, désespéré, aperçu à ne centaine de mètres de la, sur la rive, un garçon un peu plus vieux qu'elle qui lisait.
Mélisandre courut jusqu'à lui, les larmes aux yeux, échevelées et hors d'haleine. Arrivées près de lui, elle s'arrêta. Et si il n'acceptait pas de l'aider!? La jeune rouge et Or se rabroua, ce n'était ni le moment de se poser ce genre de question, ni celui de manquer de courage. Elle s'approcha alors de lui rapidement, faisant craquer les branches sèches et crisser les cailloux sous ses pieds.
Le jeune homme se dévissa le cou pour regarder qui venait et Mélisandre, trempée, pleine de feuilles et des branches, salie par la boue s'adressa à lui en sortant des arbres, le faisant presque sursauter:
-S'il te plait, tu pourrais m'aider!!
Ces petites bêtes fascinait Mélisandre, au poil semblable à la teinte de ses cheveux, à leur capacité à se dissimuler dans la nature tout en gardant une agilité et une grâce hors du commun..
En se levant se matin là, elle était déterminée à prendre de jolies photos, du paysage, comme de ses animaux fascinants. Elle sauta hors de son lit, alors que ses camarades de chambre dormaient encore, attacha ses longs cheveux en une natte rapide et saisit le vieux polaroid de sa mère qu'elle avait amené avec elle, dévalant les innombrables escaliers du château à toute vitesse.
Lorsqu'elle arriva à l'air libre, elle s'arrêta un instant pour apprécier le paysage devant elle, le soleil levant, illuminait les arbres, faisant se dissiper la brume matinale et faisait scintiller le grand lac qui s'étendait à perte de vue, jouait à faire apparaître de jolis reflets dansants dans ses cheveux de feu pendant que les oiseaux fredonnaient à ses oreilles une douce mélodie. Elle inspira l'air frais sentant la rosée et le pin et s'avança dans l'herbe humide. Parvenue près du lac, elle se pencha derrière les buissons, à l'affut d'une créature qui lui laisserait un joli souvenir, dans son album.
C'est alors que ses yeux captèrent une silhouette près de l'eau. Elle s'approcha lentement, tentant tant bien que mal d'être discrète et vit un petit chat qui tentait de boire sans glisser sur le rebord boueux de l'étendue d'eau. Dans une impulsion et voulant juste l'aider, elle se leva, après avoir capturé l'instant et fourré l'image dans sa poche, et s'approcha de l'animal qui la voyant s'approcher pris peur et s'enfuit, abandonnant l'idée d'étancher sa soif. Mais les rebords toujours glissants eurent raison de lui et la pauvre bête se retrouva dans l'eau avant que Mélisandre, effarée, n'ait pu esquisser le moindre geste.
La jeune fille décida d'essayer de le rattraper mais, se penchant à son tour, s'aperçut qu'elle glissait elle aussi vers l'eau profonde. Elle se redressa, cherchant du regard comment elle pourrait bien lui venir en aide. L'animal se débattait pour garder sa tête à la surface et réussit à s'agripper aux racines d'un saule pleureur qui se tenait la, majestueux, près de la rive mais ce n'était qu'une solution de secours car la petite bête ne parvenait pas à se hisser sur le rebord, dérapant à la moindre tentative. Mélisande, désespéré, aperçu à ne centaine de mètres de la, sur la rive, un garçon un peu plus vieux qu'elle qui lisait.
Mélisandre courut jusqu'à lui, les larmes aux yeux, échevelées et hors d'haleine. Arrivées près de lui, elle s'arrêta. Et si il n'acceptait pas de l'aider!? La jeune rouge et Or se rabroua, ce n'était ni le moment de se poser ce genre de question, ni celui de manquer de courage. Elle s'approcha alors de lui rapidement, faisant craquer les branches sèches et crisser les cailloux sous ses pieds.
Le jeune homme se dévissa le cou pour regarder qui venait et Mélisandre, trempée, pleine de feuilles et des branches, salie par la boue s'adressa à lui en sortant des arbres, le faisant presque sursauter:
-S'il te plait, tu pourrais m'aider!!
Ami-maux?
Finalement c'était bien un humain qui s'approchait, en la personne d'une fillette rousse qui lui semblait vaguement familière. Il ne faisait plus vraiment attention aux nouveaux premières années qui déambulaient dans les couloirs et dans la salle commune, avec cette air vaguement perdu peint sur leur visage.
Mais il fallait avouer qu'avec les feuilles qu'elle avait dans ses cheveux et la boue qui la recouvrait par endroits, elle avait plus l'air d'une créature sortie de nulle part que d'une fillette. Elle semblait également trempée, ce qui étonna le brun parce qu'il n'avait entendu aucun bruit faisant comprendre que quelqu'un était tombé dans le lac.
Il la regarda un long moment, les yeux plissés, une moue d'incompréhension sur son visage avant de se décider enfin à se lever. Il ramassa son sac après avoir fourré son livre dedans et, tout en le tenant à bout de bras, s'approcha d'elle. La fillette était hors d'haleine et semblait à deux doigts de fondre en larmes, du moins c'est ce qu'il crut en voyant ses yeux légèrement rougis et humides. Il n'était toujours pas à l'aise dans ce genre de situation, ne sachant jamais vraiment ce qu'il fallait faire. Entre temps il l'avait vaguement entendue réclamer de l'aide, mais sans préciser pour quoi.
« Et bien, qu'est-ce qu'il t'arrives? Qu'est-ce que je peux faire? »
Il se pencha légèrement sur sa droite, une chose sembla attirer son regard au bord de l'eau mais il n'arrivait pas à voir quoi. La fillette semblait savoir quelque chose, ou du moins elle avait quelque chose d'important à lui demander il pouvait le deviner. Mais sans explications il n'arrivait pas à en savoir d'avantage, et plongea son regard bi-colore dans les yeux de la nouvelle venue. Une bourrasque de vent fit s'emmêler ses cheveux qu'il avait laissé détachés. Il se dit que sa cadette devait avoir froid comme elle était trompée.
« C'est quoi l'soucis? »
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Mais il fallait avouer qu'avec les feuilles qu'elle avait dans ses cheveux et la boue qui la recouvrait par endroits, elle avait plus l'air d'une créature sortie de nulle part que d'une fillette. Elle semblait également trempée, ce qui étonna le brun parce qu'il n'avait entendu aucun bruit faisant comprendre que quelqu'un était tombé dans le lac.
Il la regarda un long moment, les yeux plissés, une moue d'incompréhension sur son visage avant de se décider enfin à se lever. Il ramassa son sac après avoir fourré son livre dedans et, tout en le tenant à bout de bras, s'approcha d'elle. La fillette était hors d'haleine et semblait à deux doigts de fondre en larmes, du moins c'est ce qu'il crut en voyant ses yeux légèrement rougis et humides. Il n'était toujours pas à l'aise dans ce genre de situation, ne sachant jamais vraiment ce qu'il fallait faire. Entre temps il l'avait vaguement entendue réclamer de l'aide, mais sans préciser pour quoi.
« Et bien, qu'est-ce qu'il t'arrives? Qu'est-ce que je peux faire? »
Il se pencha légèrement sur sa droite, une chose sembla attirer son regard au bord de l'eau mais il n'arrivait pas à voir quoi. La fillette semblait savoir quelque chose, ou du moins elle avait quelque chose d'important à lui demander il pouvait le deviner. Mais sans explications il n'arrivait pas à en savoir d'avantage, et plongea son regard bi-colore dans les yeux de la nouvelle venue. Une bourrasque de vent fit s'emmêler ses cheveux qu'il avait laissé détachés. Il se dit que sa cadette devait avoir froid comme elle était trompée.
« C'est quoi l'soucis? »
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Ami-maux?
Mélisandre resta à quelques pas de lui tendit qu'il rangeait rapidement ses affaires dans son sac:
« Et bien, qu'est-ce qu'il t'arrives? Qu'est-ce que je peux faire? »
Elle le vit regarder vers la droite, ou le petit chat se débattais pour ne pas se noyer, par sa faute. Les larmes furent sur le point de couler sur ses joues et sa gorge se noua si fort qu'elle lui fit mal, mais quand elle vit que le jeune homme s'en était aperçu, et qu'il paraissait un petit peu désemparé, elle les ravala douloureusement. Elle trembla un instant, trempée par les feuilles mouillés et les arbres qu'elle s'était pris en chemin quand le jeune homme ajouta:
«C'est quoi l'soucis? »
Mélisandre réussit enfin articuler:
"J'ai voulu aider un petit chat à boire mais... Il..."
Les larmes commencèrent à lui monter aux yeux mais elle se rabroua intérieurement, elle était beaucoup trop sensible! Et puis ce n'était pas le moment!
"Il est tombé à l'eau mais je n'arrives pas à le rattraper! Tu veux bien m'aider s'il te plait!?"
Sans attendre sa réponde la petite Gryffondor partit en courant puis, s'apercevant que le garçon n'avait pas bougé, elle retourna sur ses pas l'observant tout en marchant. Il était plutôt beau... Ses longs cheveux bruns flottaient au vent sur ses épaules et ses yeux,... de couleurs différentes! C'était magnifique, un marron, un bleu, qui la regardaient, pétillants de vie. Mais ce n'était pas son apparence qui intéressaient Mélisandre, c'était la bienveillance qu'elle lisait dans ses yeux. En l'observant ainsi, elle pensa qu'elle était contente d'être tombée sur lui et pas sur quelqu'un d'autre. Elle était sure qu'il allait l'aider! Elle aperçut alors sur sa robe de sorcier un petit blason Rouge et Or qui ornait sa poitrine. Elle sourit alors, un compatriote!
Voyant qu'il ne bougeait toujours pas, elle s'approcha tout près de lui, et, se surprenant elle-même de son audace, contrastant avec sa timidité de tout à l'heure, se pencha vers lui, toujours assis, lui tendit la main et dit:
"Tu viens?"
« Et bien, qu'est-ce qu'il t'arrives? Qu'est-ce que je peux faire? »
Elle le vit regarder vers la droite, ou le petit chat se débattais pour ne pas se noyer, par sa faute. Les larmes furent sur le point de couler sur ses joues et sa gorge se noua si fort qu'elle lui fit mal, mais quand elle vit que le jeune homme s'en était aperçu, et qu'il paraissait un petit peu désemparé, elle les ravala douloureusement. Elle trembla un instant, trempée par les feuilles mouillés et les arbres qu'elle s'était pris en chemin quand le jeune homme ajouta:
«C'est quoi l'soucis? »
Mélisandre réussit enfin articuler:
"J'ai voulu aider un petit chat à boire mais... Il..."
Les larmes commencèrent à lui monter aux yeux mais elle se rabroua intérieurement, elle était beaucoup trop sensible! Et puis ce n'était pas le moment!
"Il est tombé à l'eau mais je n'arrives pas à le rattraper! Tu veux bien m'aider s'il te plait!?"
Sans attendre sa réponde la petite Gryffondor partit en courant puis, s'apercevant que le garçon n'avait pas bougé, elle retourna sur ses pas l'observant tout en marchant. Il était plutôt beau... Ses longs cheveux bruns flottaient au vent sur ses épaules et ses yeux,... de couleurs différentes! C'était magnifique, un marron, un bleu, qui la regardaient, pétillants de vie. Mais ce n'était pas son apparence qui intéressaient Mélisandre, c'était la bienveillance qu'elle lisait dans ses yeux. En l'observant ainsi, elle pensa qu'elle était contente d'être tombée sur lui et pas sur quelqu'un d'autre. Elle était sure qu'il allait l'aider! Elle aperçut alors sur sa robe de sorcier un petit blason Rouge et Or qui ornait sa poitrine. Elle sourit alors, un compatriote!
Voyant qu'il ne bougeait toujours pas, elle s'approcha tout près de lui, et, se surprenant elle-même de son audace, contrastant avec sa timidité de tout à l'heure, se pencha vers lui, toujours assis, lui tendit la main et dit:
"Tu viens?"
Ami-maux?
En face de lui la fillette semblait agitée. Le regard d'Audric s'accrocha à l'une de ses mèches de cheveux où une goutte d'eau roulait doucement jusqu'à atteindre la pointe. Là elle tomba doucement sur le sable, et les yeux vairons suivirent sa chute avant de reporter leur attention sur la rouquine. Le garçon avait un peu de mal à comprendre tout ce qu'elle disait. Le temps qu'il imprime les mots dans son esprit, elle s'éloignait déjà. Elle revint finalement vers lui au moment où il comprenait enfin qu'un animal était en danger.
Quand elle s'approcha de lui et lui tendit la main, le brun ne réfléchit pas une seconde au geste et lui donna son sac. Il se mit soudainement à courir dans la direction qu'elle avait indiqué en longeant l'eau. Alors qu'il pensait trouver un petit chat en train de se noyer, il assista à un autre genre de scène.
L’instinct de l'animal avait rapidement reprit le pas sur sa peur de l'eau et il était en train de nager vers le bord. En s'approchant doucement, le brun mit une jambe dans l'eau et l'aida simplement en le poussant légèrement à regagner le rivage. Le félin se secoua rapidement, arrosant légèrement le brun qui souriait, avant de s'éloigner rapidement de là. Audric était prêt à parier qu'il ne reviendrait pas par-ici de si tôt. Sauf s'il était comme Pebirw et qu'il oubliait la mésaventure qui venait de lui arriver. Le chat du brun n'était pas des plus malins... ce qui faisait beaucoup rire Jonathan.
Le garçon aux yeux vairons repartit en direction de la fillette aux cheveux roux, tout en se tournant de temps à autre vers le chat pour vérifier qu'il ne revenait pas vers le lac. Une jambe trempée et l'autre sèche, il avait une drôle d'allure mais il s'en moquait. Au final il n'avait pas fait grand chose, pour ne pas dire rien du tout, mais il comprenait la panique que sa cadette avait pu ressentir. Il la rassura rapidement en lui assurant que l'animal n'avait rien et qu'il était sortit de l'eau.
Il récupéra son sac en la remerciant puis ôta sa robe de sorcier qu'il passa autour des épaules de la fillette.
« Tiens, tu n'as pas froid? » Le brun voulut lui proposer de regagner le château pour qu'elle puisse se changer, mais avant cela il voulait en savoir plus sur la raison qui faisait qu'elle était trempée. D'accord, elle avait voulu aider le chat, mais cela n'expliquait pas vraiment qu'elle ai prit un bain.
« Alors... racontes! Comment tu es tombée dans l'eau? Tu ne t'es pas fait mal au moins? »
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Quand elle s'approcha de lui et lui tendit la main, le brun ne réfléchit pas une seconde au geste et lui donna son sac. Il se mit soudainement à courir dans la direction qu'elle avait indiqué en longeant l'eau. Alors qu'il pensait trouver un petit chat en train de se noyer, il assista à un autre genre de scène.
L’instinct de l'animal avait rapidement reprit le pas sur sa peur de l'eau et il était en train de nager vers le bord. En s'approchant doucement, le brun mit une jambe dans l'eau et l'aida simplement en le poussant légèrement à regagner le rivage. Le félin se secoua rapidement, arrosant légèrement le brun qui souriait, avant de s'éloigner rapidement de là. Audric était prêt à parier qu'il ne reviendrait pas par-ici de si tôt. Sauf s'il était comme Pebirw et qu'il oubliait la mésaventure qui venait de lui arriver. Le chat du brun n'était pas des plus malins... ce qui faisait beaucoup rire Jonathan.
Le garçon aux yeux vairons repartit en direction de la fillette aux cheveux roux, tout en se tournant de temps à autre vers le chat pour vérifier qu'il ne revenait pas vers le lac. Une jambe trempée et l'autre sèche, il avait une drôle d'allure mais il s'en moquait. Au final il n'avait pas fait grand chose, pour ne pas dire rien du tout, mais il comprenait la panique que sa cadette avait pu ressentir. Il la rassura rapidement en lui assurant que l'animal n'avait rien et qu'il était sortit de l'eau.
Il récupéra son sac en la remerciant puis ôta sa robe de sorcier qu'il passa autour des épaules de la fillette.
« Tiens, tu n'as pas froid? » Le brun voulut lui proposer de regagner le château pour qu'elle puisse se changer, mais avant cela il voulait en savoir plus sur la raison qui faisait qu'elle était trempée. D'accord, elle avait voulu aider le chat, mais cela n'expliquait pas vraiment qu'elle ai prit un bain.
« Alors... racontes! Comment tu es tombée dans l'eau? Tu ne t'es pas fait mal au moins? »
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."