Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Depuis sa rencontre avec ce groupe de serpentard, Irisia n'avait pas décoléré. Peut-être que cela ne paraissait pas cohérent de ne pas s'en faire de gonfler un lutin de Cornouailles mais de pleurer pour une petite souris, peut-être même illogique, mais c'était comme ça qu'était la rousse. Rien que de repenser à ce cadavre flasque et distordu, violemment jeté dans le lac pour être happé par le calamar... Brrrr ! Pas question de laisser leur bêtise impuni foi d'irlandaise !
Déterminée, mâchouillant une de ses boucles rebelles, Irisia s'était installé plus loin et traquait sa proie avec la plus grande discrétion, ne le quittant pas un seul instant de ses yeux clair : Rufus Williams, l'instigateur de ce crime cruel. Étant dans la même promotion, elle ne pouvait que le vivre toute la journée, assistant aux mêmes classes que lui, mangeant aux mêmes heures de repas... Elle avait même trouvé le moyen de glisser des cafards dans ses assiettes et dans son sac de cours, s'amusant avec des courriers piégés par d'innocentes potions déformantes ou multicolores. Rien n'était trop bon ou vicieux pour venger la pauvre victime de ce massacre sanglant.
Mais un jour, il allait bien falloir qu'elle atteigne le stade finale de sa vengeance !
Aussi, alors qu'elle le voyait se diriger vers le lac, elle se mit à le suivre, la baguette en main alors qu'elle attendit qu'il soit seul près de l'arbre. Pas à pas, elle s'approcha, souffla sur une boucle et...
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »
BAM ! Lui sauta dessus en hurlant comme une banshee. Trônant sur lui avec un air de chasseur victorieux, elle tapota le bout de sa baguette sur ses boucles en fronçant le nez.
« Tu as aimé mes petits cadeaux ? Je dois avouer que les cafards dans la purée, c'était assez amusant à voir. »
Irisia ricana avant de gonfler ses joues.
« Je suis toujours fâchée après toi à cause de la souris ! Et je pense qu'il serait intéressant de te rendre chauve pour te punir de tes méfaits. Qu'en penses-tu ? »
Trônant toujours fièrement sur lui, Irisia leva orgueilleusement le nez en l'air avant d'appuyer sa baguette sur sa joue. Qu'allait-elle donc faire de lui maintenant ? Il avait beau être un siège des plus confortable, elle n'allait pas rester toute sa vie sur lui... Et puis elle devait venger la pauvre souris après tout. N'avait-elle d'ailleurs pas entendu Aliosus dire qu'il avait été un peu embêté dans son dortoir ? Cela ne l'étonnerait même pas que ce Rufus soit concerné par cette histoire... Affichant une moue boudeuse aux lèvres, la rousse le fusilla du regard.
« Rien à dire pour ta défense espèce de vomis de ver de terre ? »
L'irlandaise le houspilla de nouveau, toujours fâchée contre lui : les blagues n'étaient jamais amusantes dès qu'elles utilisaient la violence gratuite.
Déterminée, mâchouillant une de ses boucles rebelles, Irisia s'était installé plus loin et traquait sa proie avec la plus grande discrétion, ne le quittant pas un seul instant de ses yeux clair : Rufus Williams, l'instigateur de ce crime cruel. Étant dans la même promotion, elle ne pouvait que le vivre toute la journée, assistant aux mêmes classes que lui, mangeant aux mêmes heures de repas... Elle avait même trouvé le moyen de glisser des cafards dans ses assiettes et dans son sac de cours, s'amusant avec des courriers piégés par d'innocentes potions déformantes ou multicolores. Rien n'était trop bon ou vicieux pour venger la pauvre victime de ce massacre sanglant.
Mais un jour, il allait bien falloir qu'elle atteigne le stade finale de sa vengeance !
Aussi, alors qu'elle le voyait se diriger vers le lac, elle se mit à le suivre, la baguette en main alors qu'elle attendit qu'il soit seul près de l'arbre. Pas à pas, elle s'approcha, souffla sur une boucle et...
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »
BAM ! Lui sauta dessus en hurlant comme une banshee. Trônant sur lui avec un air de chasseur victorieux, elle tapota le bout de sa baguette sur ses boucles en fronçant le nez.
« Tu as aimé mes petits cadeaux ? Je dois avouer que les cafards dans la purée, c'était assez amusant à voir. »
Irisia ricana avant de gonfler ses joues.
« Je suis toujours fâchée après toi à cause de la souris ! Et je pense qu'il serait intéressant de te rendre chauve pour te punir de tes méfaits. Qu'en penses-tu ? »
Trônant toujours fièrement sur lui, Irisia leva orgueilleusement le nez en l'air avant d'appuyer sa baguette sur sa joue. Qu'allait-elle donc faire de lui maintenant ? Il avait beau être un siège des plus confortable, elle n'allait pas rester toute sa vie sur lui... Et puis elle devait venger la pauvre souris après tout. N'avait-elle d'ailleurs pas entendu Aliosus dire qu'il avait été un peu embêté dans son dortoir ? Cela ne l'étonnerait même pas que ce Rufus soit concerné par cette histoire... Affichant une moue boudeuse aux lèvres, la rousse le fusilla du regard.
« Rien à dire pour ta défense espèce de vomis de ver de terre ? »
L'irlandaise le houspilla de nouveau, toujours fâchée contre lui : les blagues n'étaient jamais amusantes dès qu'elles utilisaient la violence gratuite.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Bizarre... Depuis quelques jours, il arrivait des choses étranges à Rufus. C'était sans aucun doute une vengeance de la part de quelqu'un qu'il a enquiquiné mais quand même. Mettre des cafards dans sa purée, il fallait y penser ! De si bonnes idées. En conséquence il ne mangeait plus que des choses qu'il prenait directement aux cuisines. Les elfes de maisons étaient très gentils et eux ne prenaient jamais par au querelle des élèves. Bon au moins grâce au cafards il avait pu faire d'autres blagues. Il se rappelait encore de la Bombcafard qui avait mystérieusement atterri devant le groupe de filles qui n'arrêtait pas de glousser rendant sa lecture imposé dans la cour.
Haaaaa... Que de bons souvenirs sorciers. Ce jour ci il voulut se rendre a un de ses endroits préférés : un Saul pleureur qui étaient devant le lac avec de petites pierres qui pouvaient servir de chaises a côté. Aujourd'hui il avait prit ses livres de cour habituels. Il se souvint de la première fois qu'il était venu ici. Malheur ce jour là il avait vexé Irisia. Il avait voulu s'excuser mais... De toute façon il lui avait envoyé des excuses par l'intermédiaire d'Aliosus -il ont fini par sortir ensemble au final ? Avant même qu'il eût ouvert son livre de cour (tellement de bordel la dedans ! Entre les biscuits piégé et les normaux !) quelqu'un lui sauta dessus dans un grand "Hhaaaaaaa". Une fille, rousse avec des cheveux bouclés. "Irisia..."
Elle l'avait plaqué a terre avec l'effet de surprise. Sa tête en avait reçu un sacré coup. Elle trônait sur lui comme si elle était une chasseresse qui était fière de sa proie. Rufus touchait de son bras la main d'Irisia et eut un éclair. Une envie... une envie de vengeance mêlé à un zeste de colère bien dosé. Pas besoin de cet étrange pouvoir qui se manifeste pas très souvent pour se rendre compte que Irisia veut se venger de lui.
Elle lui parla de ses petits cadeaux parasites.
-Quoi ? C'était toi ? Et ben Irisia tu m'impressionne. C'est vrai que l'idée des cafards dans la purée c'était bien trouvé, tu dois vraiment me détester vu le grand jeu que tu m'as sorti. Dit il en riant
Et puis la calvucie c'est mon idée, Al ne t'en a pas parlé ? Si je sais lancer un sort je sais le conjurer. Je ne suis pas inconscient !
La situation était assez comique. L'irlandèse siégeant sur l'assassin de la pauvre petite souris. On aurait dis une petit fille qui boudait.
En lui lançant un regard assassin elle lui demanda:
-Rien a dire pour ta défense espèce de vomi de ver de terre ?
Rufus répliqua avec des airs de grands comme si il était en position de force ce qui, tout le monde en doute, n'était pas le cas.
-Et bien pour la défense : -roulement de tambour- Biscuits au chocolat ?
Dans le sac
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Haaaaa... Que de bons souvenirs sorciers. Ce jour ci il voulut se rendre a un de ses endroits préférés : un Saul pleureur qui étaient devant le lac avec de petites pierres qui pouvaient servir de chaises a côté. Aujourd'hui il avait prit ses livres de cour habituels. Il se souvint de la première fois qu'il était venu ici. Malheur ce jour là il avait vexé Irisia. Il avait voulu s'excuser mais... De toute façon il lui avait envoyé des excuses par l'intermédiaire d'Aliosus -il ont fini par sortir ensemble au final ? Avant même qu'il eût ouvert son livre de cour (tellement de bordel la dedans ! Entre les biscuits piégé et les normaux !) quelqu'un lui sauta dessus dans un grand "Hhaaaaaaa". Une fille, rousse avec des cheveux bouclés. "Irisia..."
Elle l'avait plaqué a terre avec l'effet de surprise. Sa tête en avait reçu un sacré coup. Elle trônait sur lui comme si elle était une chasseresse qui était fière de sa proie. Rufus touchait de son bras la main d'Irisia et eut un éclair. Une envie... une envie de vengeance mêlé à un zeste de colère bien dosé. Pas besoin de cet étrange pouvoir qui se manifeste pas très souvent pour se rendre compte que Irisia veut se venger de lui.
Elle lui parla de ses petits cadeaux parasites.
-Quoi ? C'était toi ? Et ben Irisia tu m'impressionne. C'est vrai que l'idée des cafards dans la purée c'était bien trouvé, tu dois vraiment me détester vu le grand jeu que tu m'as sorti. Dit il en riant
Et puis la calvucie c'est mon idée, Al ne t'en a pas parlé ? Si je sais lancer un sort je sais le conjurer. Je ne suis pas inconscient !
La situation était assez comique. L'irlandèse siégeant sur l'assassin de la pauvre petite souris. On aurait dis une petit fille qui boudait.
En lui lançant un regard assassin elle lui demanda:
-Rien a dire pour ta défense espèce de vomi de ver de terre ?
Rufus répliqua avec des airs de grands comme si il était en position de force ce qui, tout le monde en doute, n'était pas le cas.
-Et bien pour la défense : -roulement de tambour- Biscuits au chocolat ?
Dans le sac
Dernière modification par Rufus Williams le 05 févr. 2019, 23:50, modifié 1 fois.
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Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Cela faisait des semaines qu'elle le traquait, suivant son ombre et le surveillant avec une vigilance plus qu'accrue. VIGILANCE CONSTANTE comme le disait un ancien auror complètement fêlé de la théière dans l'histoire du monde sorcier. Et c'était clair qu'elle en aurait pour sa « mission »... Pauvre souris... Pauvre Aliosus aussi certainement... Elle allait les venger ! Rufus... Tu ne perds rien pour attendre !
Une moue rancunière aux lèvres, Irisia se mit à semer des cafards dans sa nourriture et son sac de cours, ensorcelant et piégeant ses courriers avec des potions (inoffensives hein ? Le meurtre était puni par la loi après tout...). Elle s'amusait même à trafiquer ses chaussures pour le faire tomber dans les couloirs, lançant des criquets dans ses cheveux, transformant et déformant ses vêtements avec des sorts de métamorphoses ratées... Il n'y avait rien d'autre à dire : Irisia était rancunière.
En même temps, qui apprécierait de tuer aussi nonchalamment que l'on salait des concombres ?! Pauvre souris... Ce genre de violence gratuite était vraiment le genre de chose que la rousse ne supportait pas et elle était de nature très rancunière quand il le fallait.
Dans tous les cas, son plan aboutit à terme et l'irlandaise finit par se retrouver seule avec lui, au bord du lac, le lieu du crime et de la sépulture improvisée de ce pauvre rongeur. Vérifiant que personne n'était prêt de l'empêcher de mener à bien son projet, Irisia s'approcha peu à peu avant de lui bondir dessus en hurlant, l'écrasant au sol de tout son poids. Que la vengeance commence !
« Oui c'était moi ! Faut dire que tu m'as pas vraiment laissé une bonne impression aussi j'ai décidé de venger cette pauvre petite souris de ton humour tout moisi ! »
Retroussant son petit nez sous l'effet de la colère, ses boucles rousses s'agissant dans le vent, Irisia le fusilla du regard, grognant alors qu'il se mettait à rire. Une minute là ?! Il ne la prenait pas au sérieux au quoi ?! Elle détestait se faire traiter comme une gamine capricieuse !
« T'as pas à l'appeler Al ! C'est Aliosus pour toi ! Voir même Nerrah ! Parce que j'ai entendu dire que c'est pas que les petites souris que tu aimes torturer dans ton dortoir ! »
Grognant, elle lui donna une petite claque à l'arrière du crâne en claquant la langue d'un air agacé, jouant avec sa baguette.
« Tu connais peut-être suffisamment ce sort, heureusement que la magie est assez vaste pour que tu sois moins doué avec d'autres ! »
Espèce de sale gosse !
« … Pardon ?! Des biscuits au chocolat ?! »
Mais en plus il se moquait d'elle...
« Espèce de bouse de véracrasse ! Tu vas voir ce que j'en fais de tes biscuits au chocolat ! »
Tendant son bras pour attraper le sac, un bout de langue pointant hors de ses lèvres serrées, la rousse le tira vers eux pour fouiller dedans et récupérer les gâteaux qu'elle avait bien l'intention de lui faire avaler par les trous du nez !
Une moue rancunière aux lèvres, Irisia se mit à semer des cafards dans sa nourriture et son sac de cours, ensorcelant et piégeant ses courriers avec des potions (inoffensives hein ? Le meurtre était puni par la loi après tout...). Elle s'amusait même à trafiquer ses chaussures pour le faire tomber dans les couloirs, lançant des criquets dans ses cheveux, transformant et déformant ses vêtements avec des sorts de métamorphoses ratées... Il n'y avait rien d'autre à dire : Irisia était rancunière.
En même temps, qui apprécierait de tuer aussi nonchalamment que l'on salait des concombres ?! Pauvre souris... Ce genre de violence gratuite était vraiment le genre de chose que la rousse ne supportait pas et elle était de nature très rancunière quand il le fallait.
Dans tous les cas, son plan aboutit à terme et l'irlandaise finit par se retrouver seule avec lui, au bord du lac, le lieu du crime et de la sépulture improvisée de ce pauvre rongeur. Vérifiant que personne n'était prêt de l'empêcher de mener à bien son projet, Irisia s'approcha peu à peu avant de lui bondir dessus en hurlant, l'écrasant au sol de tout son poids. Que la vengeance commence !
« Oui c'était moi ! Faut dire que tu m'as pas vraiment laissé une bonne impression aussi j'ai décidé de venger cette pauvre petite souris de ton humour tout moisi ! »
Retroussant son petit nez sous l'effet de la colère, ses boucles rousses s'agissant dans le vent, Irisia le fusilla du regard, grognant alors qu'il se mettait à rire. Une minute là ?! Il ne la prenait pas au sérieux au quoi ?! Elle détestait se faire traiter comme une gamine capricieuse !
« T'as pas à l'appeler Al ! C'est Aliosus pour toi ! Voir même Nerrah ! Parce que j'ai entendu dire que c'est pas que les petites souris que tu aimes torturer dans ton dortoir ! »
Grognant, elle lui donna une petite claque à l'arrière du crâne en claquant la langue d'un air agacé, jouant avec sa baguette.
« Tu connais peut-être suffisamment ce sort, heureusement que la magie est assez vaste pour que tu sois moins doué avec d'autres ! »
Espèce de sale gosse !
« … Pardon ?! Des biscuits au chocolat ?! »
Mais en plus il se moquait d'elle...
« Espèce de bouse de véracrasse ! Tu vas voir ce que j'en fais de tes biscuits au chocolat ! »
Tendant son bras pour attraper le sac, un bout de langue pointant hors de ses lèvres serrées, la rousse le tira vers eux pour fouiller dedans et récupérer les gâteaux qu'elle avait bien l'intention de lui faire avaler par les trous du nez !
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Pas touche au biscuits !
Irisia avait du talent, c'était indéniable. Mais aussi énervant pour elle que ça puisse l'être, Rufus n'était pas rancunier. Elle avait vengé la petite souris (qu'il aurait épargné si il l'avait pu mais ça mort était un accident) et était vraiment en rage.
-Mon humour ? Tout moisi ? Et puis quoi encore ! Tu crois peut être que j'ai voulu la mort de cette petite souris ?!
Et puis la question d'Aliosus... heu non Al était réglée. Pourquoi il devrait l'appeler Nerrah ?
-Pour ce qui est d'Al, si j'avais su qu'il le prendrai aussi mal, je ne lui aurait pas fait ça. Une blague n'en est pas une si elle fait souffrir injustes les gens. Et je continuerai de l'appeler Al !
En affichant un visage boudeur, et lui donna une claque e l'arrière de la tête en claquant la langue comme ci on l'obligeait à être là. Et puis quoi encore !
Après l'annonce des biscuits, Irisia parût encore plus en colère, on ne sait jamais. Si ça se trouve en Ireland les biscuits au chocolat sont une déclaration de guerre. Elle le traita de bourse de verracrasse, ce qui ne lui fit ni chaud ni froid. Elle rendit son bras pour attraper le sac de Rufus, c'était le moment.
-Désolé Irisia...
Profitant du fait qu'avec un bras en moins elle n'avait plus d'appui suffisamment stable sur lui, Rufus la fit basculer sur le côté gauche pour qu'elle atterrisse dans l'herbe et pas dans les pierres, fonça à son sac, attrapa sa baguette et la pointa sur elle.
-Irisia je sais que tu es en colère et je veux pas vraiment te donner de raison de m'en vouloir encore plus alors Fumos.
Il avait pensé à ce sort en premier Merci Elisabeth...pensa t'il. Un sort qui ne fait pas de mal. Profitant de son grand nuages de fumée opaque sorti de sa baguette, il attrapa son sac et grimpa dans l'arbre, s'y installa et attendit que Irisia ai fini de lancer des juron et que le nuage se dissipe.
6ème année RP
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Irisia avait du talent, c'était indéniable. Mais aussi énervant pour elle que ça puisse l'être, Rufus n'était pas rancunier. Elle avait vengé la petite souris (qu'il aurait épargné si il l'avait pu mais ça mort était un accident) et était vraiment en rage.
-Mon humour ? Tout moisi ? Et puis quoi encore ! Tu crois peut être que j'ai voulu la mort de cette petite souris ?!
Et puis la question d'Aliosus... heu non Al était réglée. Pourquoi il devrait l'appeler Nerrah ?
-Pour ce qui est d'Al, si j'avais su qu'il le prendrai aussi mal, je ne lui aurait pas fait ça. Une blague n'en est pas une si elle fait souffrir injustes les gens. Et je continuerai de l'appeler Al !
En affichant un visage boudeur, et lui donna une claque e l'arrière de la tête en claquant la langue comme ci on l'obligeait à être là. Et puis quoi encore !
Après l'annonce des biscuits, Irisia parût encore plus en colère, on ne sait jamais. Si ça se trouve en Ireland les biscuits au chocolat sont une déclaration de guerre. Elle le traita de bourse de verracrasse, ce qui ne lui fit ni chaud ni froid. Elle rendit son bras pour attraper le sac de Rufus, c'était le moment.
-Désolé Irisia...
Profitant du fait qu'avec un bras en moins elle n'avait plus d'appui suffisamment stable sur lui, Rufus la fit basculer sur le côté gauche pour qu'elle atterrisse dans l'herbe et pas dans les pierres, fonça à son sac, attrapa sa baguette et la pointa sur elle.
-Irisia je sais que tu es en colère et je veux pas vraiment te donner de raison de m'en vouloir encore plus alors Fumos.
Il avait pensé à ce sort en premier Merci Elisabeth...pensa t'il. Un sort qui ne fait pas de mal. Profitant de son grand nuages de fumée opaque sorti de sa baguette, il attrapa son sac et grimpa dans l'arbre, s'y installa et attendit que Irisia ai fini de lancer des juron et que le nuage se dissipe.
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Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Trônant sur la crotte de scarabée qu’était son comparse de serpentard, la rousse fulminait en le toisant de haut. Elle était sur lui, le menaçait de sa baguette et ce troll avait l’audace de rire et de ne pas la prendre au sérieux ?! Il rirait beaucoup moins quand elle l’aura transformé en mucus de poulpe ! Grognant en le fusillant du regard, elle lui claqua une nouvelle fois l’arrière du crâne pour essayer de lui apprendre à fermer sa bouche à double tour pour éviter de dire des âneries : il n’était pas en situation de faire le malin !
« T’as participé à sa mort c’est tout ce que j’ai retenu salive de chauve-souris ! Et oui ton humour est nul ! Nul de chez nul ! Il fait rire que toi ! »
Pauvre Aliosus et son crâne vierge de tout cheveux… Ce Rufus ne perdait décidément rien pour attendre !
« Tu mérites pas de l’appeler Al ! Je dois te savonner la bouche avec des orties pour que t’apprennes à te taire ?! T’es incapable de savoir quand est-ce qu’il faut rire ou pas vu que tu aimes faire souffrir injustement ! »
Mais quand il parla des gâteaux, il l’acheva… Ce type se faisait menacer, il était clairement en position avancée de faiblesse et il trouvait le moyen de fanfaronner comme si de rien n’était ?! Il ne la prenait clairement pas au sérieux et Irisia n’allait pas laisser passer une chose pareille. Fulminant de plus belle, continuant de le clouer de son poids, elle se pencha en tendant le bras pour chopper la besace et lui faire avaler ses gâteaux par les trous de nez. Là, il verra très clairement qu’il n’aurait pas dû provoquer l’irlandaise.
Cependant, il fallait croire qu’il avait de la ressource finalement… Profitant de la baisse de vigilance (VIGILANCE CONSTANTE PAR MERLIN!!!), Rufus la souleva et la repoussa sur l’herbe, la faisant couiner de surprise au point d’en lâcher sa baguette.
« Eh ! »
Clignant les yeux de surprise, elle eut un moment de flottement avant de fermer les yeux en se protégeant le visage alors qu’une fumée épaisse se répandit autour d’eux.
« RUFUS ! BOUSE DE SOMBRAL ! »
Mais elle ne voyait rien de rien de rien de rien du tout… Un peu paniquée par le manque de visibilité, elle tâtonna dans l’herbe en jurant de plus belle, essayant de repérer sa baguette pour la reprendre en main.
« T’es là toi ! »
Soupirant de soulagement alors qu’elle sentit sa magie chatouiller sa main, Irisia se cramponna fermement à sa baguette avant de se lever en tendant les bras devant elle, se fiant à ses pieds pour éviter les pièges.
« ESPÈCE DE LÂCHE ! VIENS LA QUE JE TE TRANSFORME EN MÉTAMORPHOSE RATÉE POUR MISS BOWERS ! »
Évidemment que ce truc ne lui répondit pas. Elle n’arrivait même pas à entendre sa respiration. Faut dire qu’elle était peut-être un peu bruyante aussi… Mais elle n’arrivait à se calmer ! Encore moins avec le léger stress de ne toujours rien voir autour d’elle. Marchant maladroitement en essayant de se repérer ou de distinguer les ombres, Irisia trébucha douloureusement sur une pierre, gémissant de douleur en se tenant le pied. Ce fut le mouvement de trop : elle en perdit l’équilibre et bascula… Dans l’eau gelé du Lac.
« AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!!!!!!!!!!! »
Assise dans l’eau, trempée jusqu’aux os et de la vase dans les cheveux, elle frissonna de froid avant de loucher sur une goutte d’eau qui pendait sur son nez.
« RRRRRRRRRRRUUUUUUUUFFFFFFFFFFFFUUUUUUUUUUSSSSSSSSSS ! »
C’était de sa faute. Elle allait le massacrer.
« T’as participé à sa mort c’est tout ce que j’ai retenu salive de chauve-souris ! Et oui ton humour est nul ! Nul de chez nul ! Il fait rire que toi ! »
Pauvre Aliosus et son crâne vierge de tout cheveux… Ce Rufus ne perdait décidément rien pour attendre !
« Tu mérites pas de l’appeler Al ! Je dois te savonner la bouche avec des orties pour que t’apprennes à te taire ?! T’es incapable de savoir quand est-ce qu’il faut rire ou pas vu que tu aimes faire souffrir injustement ! »
Mais quand il parla des gâteaux, il l’acheva… Ce type se faisait menacer, il était clairement en position avancée de faiblesse et il trouvait le moyen de fanfaronner comme si de rien n’était ?! Il ne la prenait clairement pas au sérieux et Irisia n’allait pas laisser passer une chose pareille. Fulminant de plus belle, continuant de le clouer de son poids, elle se pencha en tendant le bras pour chopper la besace et lui faire avaler ses gâteaux par les trous de nez. Là, il verra très clairement qu’il n’aurait pas dû provoquer l’irlandaise.
Cependant, il fallait croire qu’il avait de la ressource finalement… Profitant de la baisse de vigilance (VIGILANCE CONSTANTE PAR MERLIN!!!), Rufus la souleva et la repoussa sur l’herbe, la faisant couiner de surprise au point d’en lâcher sa baguette.
« Eh ! »
Clignant les yeux de surprise, elle eut un moment de flottement avant de fermer les yeux en se protégeant le visage alors qu’une fumée épaisse se répandit autour d’eux.
« RUFUS ! BOUSE DE SOMBRAL ! »
Mais elle ne voyait rien de rien de rien de rien du tout… Un peu paniquée par le manque de visibilité, elle tâtonna dans l’herbe en jurant de plus belle, essayant de repérer sa baguette pour la reprendre en main.
« T’es là toi ! »
Soupirant de soulagement alors qu’elle sentit sa magie chatouiller sa main, Irisia se cramponna fermement à sa baguette avant de se lever en tendant les bras devant elle, se fiant à ses pieds pour éviter les pièges.
« ESPÈCE DE LÂCHE ! VIENS LA QUE JE TE TRANSFORME EN MÉTAMORPHOSE RATÉE POUR MISS BOWERS ! »
Évidemment que ce truc ne lui répondit pas. Elle n’arrivait même pas à entendre sa respiration. Faut dire qu’elle était peut-être un peu bruyante aussi… Mais elle n’arrivait à se calmer ! Encore moins avec le léger stress de ne toujours rien voir autour d’elle. Marchant maladroitement en essayant de se repérer ou de distinguer les ombres, Irisia trébucha douloureusement sur une pierre, gémissant de douleur en se tenant le pied. Ce fut le mouvement de trop : elle en perdit l’équilibre et bascula… Dans l’eau gelé du Lac.
« AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!!!!!!!!!!! »
Assise dans l’eau, trempée jusqu’aux os et de la vase dans les cheveux, elle frissonna de froid avant de loucher sur une goutte d’eau qui pendait sur son nez.
« RRRRRRRRRRRUUUUUUUUFFFFFFFFFFFFUUUUUUUUUUSSSSSSSSSS ! »
C’était de sa faute. Elle allait le massacrer.
Dernière modification par Irisia MacLynn le 27 nov. 2018, 23:39, modifié 1 fois.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Son humour n'était peut être pas le meilleur mais ce n'est pas le pire non plus.
Irisia parlait de lui comme quelqu'un qui parlerai du fantôme de Rusard, celui qui voulait fouetter les enfants et les pendre par les chevilles, quoique si ce châtiment devait lui être réservé, Irisia l'apprecierai.
- Tu parles de moi comme si je lui avait infligé le sortilège doloris. Tu penses sérieusement que je me lève le matin en me demandant: "qui je vais torturer ou humilier aujourd'hui ?"
Ouvre les yeux, je voulais pas qu'il se sente mal ! Certains réagissent moins bien que d'autres c'est tout.
Finalement Fumos n'était pas un sort inoffensif. "Bouse de sombral " c'est nouveau. On se demande si elle cherche des insultes ou si elle énonce les ingrédients d'une mauvaise potion. Rufus entendit la voix d'Irisia mais étouffée. Un peu comme ci elle se trouvait loin de lui. Après une ou deux minutes de silence, on entendit à nouveau le bruit d'Irisia et, Rufus eut un sentiment à la fois étouffé de rire et horrifié, un "plouf".
Aïe aïe... Et lui qui pensait ne pas pouvoir se la mettre plus à dos. Il s'était quand même donné la peine de lancer un fumos pour qu'elle n'ai rien de mal et non, il y a toujours un truc qui va la pousser à vouloirs le décapiter ! Entendant un hurlement qui ne lui plaisait guère,
il était partagé entre deux idées:
●La laisser à sa trempette et faire mine d'être parti depuis longtemps
●L'aider en aillant l'espoir qu'elle ai un peu moins envie de lui arracher les yeux à la petite cuiteauchette ce qui, soyons réalistes, a autant de chances d'arriver que lui de gagner un combat contre un troll à main nues.
Mais bon, se laissant porter par un élan de folie mêlé à de la stupidité, il fit disparaitre le nuage de fumée d'un coup de baguette et regarda la pauvre Irisia et, au prix de grand efforts de contrôle, se força à ne pas se tordre de rire et essaya de laisser passer un expression désolé qui n'était pas du tout réussite. Si ce n'était pas elle qui le tuerait ce serait Al qui le ferait dans son sommeil à présent. Elle avait une expression rageuse sur le visage. Ses vêtements lui collaient à la peau et ses cheveux paraissaient plus foncés. Prenant son courage à deux mains, il se dirigea vers elle, baguette rangée et testament rédigé
6ème année RP
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Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Irisia parlait de lui comme quelqu'un qui parlerai du fantôme de Rusard, celui qui voulait fouetter les enfants et les pendre par les chevilles, quoique si ce châtiment devait lui être réservé, Irisia l'apprecierai.
- Tu parles de moi comme si je lui avait infligé le sortilège doloris. Tu penses sérieusement que je me lève le matin en me demandant: "qui je vais torturer ou humilier aujourd'hui ?"
Ouvre les yeux, je voulais pas qu'il se sente mal ! Certains réagissent moins bien que d'autres c'est tout.
Finalement Fumos n'était pas un sort inoffensif. "Bouse de sombral " c'est nouveau. On se demande si elle cherche des insultes ou si elle énonce les ingrédients d'une mauvaise potion. Rufus entendit la voix d'Irisia mais étouffée. Un peu comme ci elle se trouvait loin de lui. Après une ou deux minutes de silence, on entendit à nouveau le bruit d'Irisia et, Rufus eut un sentiment à la fois étouffé de rire et horrifié, un "plouf".
Aïe aïe... Et lui qui pensait ne pas pouvoir se la mettre plus à dos. Il s'était quand même donné la peine de lancer un fumos pour qu'elle n'ai rien de mal et non, il y a toujours un truc qui va la pousser à vouloirs le décapiter ! Entendant un hurlement qui ne lui plaisait guère,
il était partagé entre deux idées:
●La laisser à sa trempette et faire mine d'être parti depuis longtemps
●L'aider en aillant l'espoir qu'elle ai un peu moins envie de lui arracher les yeux à la petite cuiteauchette ce qui, soyons réalistes, a autant de chances d'arriver que lui de gagner un combat contre un troll à main nues.
Mais bon, se laissant porter par un élan de folie mêlé à de la stupidité, il fit disparaitre le nuage de fumée d'un coup de baguette et regarda la pauvre Irisia et, au prix de grand efforts de contrôle, se força à ne pas se tordre de rire et essaya de laisser passer un expression désolé qui n'était pas du tout réussite. Si ce n'était pas elle qui le tuerait ce serait Al qui le ferait dans son sommeil à présent. Elle avait une expression rageuse sur le visage. Ses vêtements lui collaient à la peau et ses cheveux paraissaient plus foncés. Prenant son courage à deux mains, il se dirigea vers elle, baguette rangée et testament rédigé
Dernière modification par Rufus Williams le 28 déc. 2018, 13:02, modifié 1 fois.
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Irisia grogna de plus belle en le fusillant du regard.
« J’ai pas entendu parler de probables excuses en tout cas ! »
Il n’avait vraiment pas l’air de s’inquiéter de cela, il semblait même vexé ! Elle allait lui donner une bonne leçon, foi d’irlandaise… C’était tout ce qu’il méritait de toute façon ! Penchée dans l’intention d’attraper son sac pour lui faire manger ses gâteaux par les trous de nez, Irisia se fit surprendre et tomba sur l’herbe en clignant les yeux de surprise, couinant. Alors là, elle l’avait sous-estimé ! Faut dire qu’elle avait aussi manqué de vigilance, ce qui n’avait pas jouer en sa faveur. Et ce mucus de veracrasse en tira parti parce qu’il recouvrit les lieux d’une épaisse fumée, l’empêchant de voir autour d’elle et lui permettant de mettre les voiles. Elle eut même peur une seconde, le temps de retrouver sa baguette.
Mais elle n’eut pas à l’esprit de lancer un bon « Finite Incantatem » pour se débarrasser de cette fumée, la nervosité et l’adrénaline lui grillant les neurones. Et mal lui en prit… Elle finit les fesses dans l’eau, le liquide gelé s’infiltrant dans ses vêtements et sûrement ses os, de la vase s’échouant dans ses cheveux.
« Eurk... »
Bouillonnant de plus belle en s’observer, elle finit par hurler le nom de son comparse, lui jurant milles morts toutes plus douloureuses et violentes les unes que les autres alors qu’elle sentait le vieux poisson pourri, de la vase glissant dans sa nuque et sa chemise, la faisant tressaillir et couiner de plus belle. Elle allait purement le massacrer et l’éviscérer avant de le jeter dans le lac pour nourrir le calamar. Il tiendra compagnie à la souris comme ça !
Pestant et jurant de plus belle à rendre de fierté Grand-Père Eden et blanchir d’effroi sa mère, Irisia pataugea et glissa en essayant de se remettre debout, claquant des dents en tremblotant de froid. Mais elle ne faisait que glisser pour retomber dans un espèce de « sploutch » ridicule… La fumée finissant par disparaître, la rousse leva les yeux vers la berge et les cligna en voyant Rufus la regarder, immobile.
« Quoi ?! »
S’il osait ouvrir la bouche pour se moquer d’elle, elle lui arracherait la langue ! Plissant les yeux de méfiance en l’observant, elle attendit un jugement, une pique, une bonne pendaison verbale au vu de son état lamentable… Mais rien. Rien de rien. Le silence radio. Il finit même par s’avancer vers elle en rangeant sa baguette. Qu’est-ce qu’il comptait faire ? Patauger avec elle ? Essayer de la noyer pour ne pas s’attirer les foudres de son meilleur ami ? Prendre sa revanche ? Non. Ça, ça ne lui ressemblait pas vraiment.
« Tu crois que je vois pas que t’as envie de sourire là ?! Alors arrête avec ta tronche de strangulot constipé ! »
Lui aboyant dessus, Irisia continua de le regarder avec méfiance, se relevant les jambes tremblantes, les bras tendus pour essayer de garder son équilibre. C’qu’elle pouvait avoir froid quand même… Claquant des dents en serrant ses bras autour d’elle, la rousse avança vers le rivage lentement, ses chaussures s’enfonçant dans la vase pour s’y retirer à chaque levé de jambe dans un « splouuuuuch » bien gras et vasé, un bruit de succion à vous coller la chaire de poule. C’est décidé. En rentrant au dortoir, elle s’enfoncera sous l’eau chaude pendant des heures avant de se terrer dans son lit pour essayer de se réchauffer.
Soufflant, les lèvres bleues, Irisia essayait de regagner le rivage en gardant un œil prudent sur l’autre hurluberlu.
« J’ai pas entendu parler de probables excuses en tout cas ! »
Il n’avait vraiment pas l’air de s’inquiéter de cela, il semblait même vexé ! Elle allait lui donner une bonne leçon, foi d’irlandaise… C’était tout ce qu’il méritait de toute façon ! Penchée dans l’intention d’attraper son sac pour lui faire manger ses gâteaux par les trous de nez, Irisia se fit surprendre et tomba sur l’herbe en clignant les yeux de surprise, couinant. Alors là, elle l’avait sous-estimé ! Faut dire qu’elle avait aussi manqué de vigilance, ce qui n’avait pas jouer en sa faveur. Et ce mucus de veracrasse en tira parti parce qu’il recouvrit les lieux d’une épaisse fumée, l’empêchant de voir autour d’elle et lui permettant de mettre les voiles. Elle eut même peur une seconde, le temps de retrouver sa baguette.
Mais elle n’eut pas à l’esprit de lancer un bon « Finite Incantatem » pour se débarrasser de cette fumée, la nervosité et l’adrénaline lui grillant les neurones. Et mal lui en prit… Elle finit les fesses dans l’eau, le liquide gelé s’infiltrant dans ses vêtements et sûrement ses os, de la vase s’échouant dans ses cheveux.
« Eurk... »
Bouillonnant de plus belle en s’observer, elle finit par hurler le nom de son comparse, lui jurant milles morts toutes plus douloureuses et violentes les unes que les autres alors qu’elle sentait le vieux poisson pourri, de la vase glissant dans sa nuque et sa chemise, la faisant tressaillir et couiner de plus belle. Elle allait purement le massacrer et l’éviscérer avant de le jeter dans le lac pour nourrir le calamar. Il tiendra compagnie à la souris comme ça !
Pestant et jurant de plus belle à rendre de fierté Grand-Père Eden et blanchir d’effroi sa mère, Irisia pataugea et glissa en essayant de se remettre debout, claquant des dents en tremblotant de froid. Mais elle ne faisait que glisser pour retomber dans un espèce de « sploutch » ridicule… La fumée finissant par disparaître, la rousse leva les yeux vers la berge et les cligna en voyant Rufus la regarder, immobile.
« Quoi ?! »
S’il osait ouvrir la bouche pour se moquer d’elle, elle lui arracherait la langue ! Plissant les yeux de méfiance en l’observant, elle attendit un jugement, une pique, une bonne pendaison verbale au vu de son état lamentable… Mais rien. Rien de rien. Le silence radio. Il finit même par s’avancer vers elle en rangeant sa baguette. Qu’est-ce qu’il comptait faire ? Patauger avec elle ? Essayer de la noyer pour ne pas s’attirer les foudres de son meilleur ami ? Prendre sa revanche ? Non. Ça, ça ne lui ressemblait pas vraiment.
« Tu crois que je vois pas que t’as envie de sourire là ?! Alors arrête avec ta tronche de strangulot constipé ! »
Lui aboyant dessus, Irisia continua de le regarder avec méfiance, se relevant les jambes tremblantes, les bras tendus pour essayer de garder son équilibre. C’qu’elle pouvait avoir froid quand même… Claquant des dents en serrant ses bras autour d’elle, la rousse avança vers le rivage lentement, ses chaussures s’enfonçant dans la vase pour s’y retirer à chaque levé de jambe dans un « splouuuuuch » bien gras et vasé, un bruit de succion à vous coller la chaire de poule. C’est décidé. En rentrant au dortoir, elle s’enfoncera sous l’eau chaude pendant des heures avant de se terrer dans son lit pour essayer de se réchauffer.
Soufflant, les lèvres bleues, Irisia essayait de regagner le rivage en gardant un œil prudent sur l’autre hurluberlu.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Irisia avait de la vase dans les cheveux et elle puait légèrement. Rufus avait de très mauvais talents d'acteur, il le savait mais autant essayer. En s'avanćant pour, à la base la relever, Rufus se rendit compte qu'il ne pouvait plus bouger, il ne savait pas pourquoi mais ça ne cessa que quand elle se releva d'elle même.
Il commencer à avoir un peu froid mais ça ne devait être rien comparé à Irisia qui était trempée jusqu'aux os. Il leur fallait un peu de chaleur, le ciel avait beau être clair, les gens étaient quand même allés se chauffer au coin du feu, le parc était desert. Il alla à son sac et en sorti un bocal avec une petite flamme bleu à l'intérieur. C'était une Petite flamme qui lévitait et qui produisait une chaleur douce. Il avait étudié le sujet dans des livres assez récents à la bibliothèque et un élève de quatrième année qui voulait emprunter le même livre lui appris le sort qui était en fin de compte plutôt facile.
-Heu... Irisia ? Tu veux un peu te réchauffer ?
Avec un peu de culpabilité et un sourire gêné, il sortit sa baguette et, se rappelant d'un sort assez efficace pour sécher, son livre qu'il avait trouvé à la bibliothèque finalement en un deuxième exemplaire qu' il feuilleta jusqu'à la bonne page. Puis, sans demander son avis à la Serpentard, se rapproche d'elle et prononça une formule et fis un geste assez compliqué avec sa baguette et un jet d'air chaud sortit de sa baguette, un lègé nuage de vapeur s'extirpa des vêtements de la fille.
6ème année RP
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Il commencer à avoir un peu froid mais ça ne devait être rien comparé à Irisia qui était trempée jusqu'aux os. Il leur fallait un peu de chaleur, le ciel avait beau être clair, les gens étaient quand même allés se chauffer au coin du feu, le parc était desert. Il alla à son sac et en sorti un bocal avec une petite flamme bleu à l'intérieur. C'était une Petite flamme qui lévitait et qui produisait une chaleur douce. Il avait étudié le sujet dans des livres assez récents à la bibliothèque et un élève de quatrième année qui voulait emprunter le même livre lui appris le sort qui était en fin de compte plutôt facile.
-Heu... Irisia ? Tu veux un peu te réchauffer ?
Avec un peu de culpabilité et un sourire gêné, il sortit sa baguette et, se rappelant d'un sort assez efficace pour sécher, son livre qu'il avait trouvé à la bibliothèque finalement en un deuxième exemplaire qu' il feuilleta jusqu'à la bonne page. Puis, sans demander son avis à la Serpentard, se rapproche d'elle et prononça une formule et fis un geste assez compliqué avec sa baguette et un jet d'air chaud sortit de sa baguette, un lègé nuage de vapeur s'extirpa des vêtements de la fille.
Dernière modification par Rufus Williams le 28 déc. 2018, 13:04, modifié 1 fois.
6ème année RP
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Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Au début, son programme était parfaitement huilé : le principe initial était de coincer Rufus dans un coin bien discret et à l’abri des regards avant de le torturer pour venger le rongeur, son Aliosus et lui apprendre les bonnes manières ! Force était de constater que Salazar n’était pas avec elle… Alors qu’il avait réussit à s’échapper pour l’enfumer et disparaître, voilà que Irisia avait fini par tomber dans le Lac, l’eau glacé s’infiltrant dans ses vêtements et couverte de vase. Et la vase ça pue… Le nez froncé de contrariété, l’équilibre branlant alors qu’elle essayait de regagner le rivage, un rivage débarrassé de sa fumée et sur lequel trônait Rufus, immobile, figé.
« Ça te trouerait la main que d’m’aider à sortir de là, bulbe de mandragore ?! »
Cet espèce de botruc mal cuit était planté comme une endive, la regardant les bras ballants jusqu’à ce qu’elle réussisse enfin à garder son équilibre, bras écartés pour essayer de se stabiliser. Finalement, d’abord elle irait hiberner dans la salle de bain et elle le dépècerait une autre fois… Trop d’émotions pour aujourd’hui… Le laissant magouiller elle ne savait quoi, la rousse réussit à regagner l’herbe du Parc en grommelant, grelottant dans son uniforme dégoûtant et dégoulinant. Elle avait froid et elle sentait la bouse de troll, elle était au bout de sa vie là maintenant… N’osant même pas toucher à ses cheveux, tremblotant à chaque goutte qu’elle sentait rouler sur sa peau nu, Irisia serrait ses bras autour d’elle pour essayer de se réchauffer.
« Si j’veux me r-réchauffer ?! Tu c-crois que je meurs hnn de c-chaud là main-maintenant ?! »
Mais c’était quoi cette question débile ?! Elle qui avait la peau blanche naturellement, elle était livide avec les lèvres bleu ! Il croyait quoi c’lui-là hein ?! Plissant les yeux, elle lâcha un soupire et se rapprocha de la petite flamme : elle n’avait même pas la force d’être encore fâchée contre lui. Et elle ne put que fermer les yeux de contentement alors qu’elle sentait de l’air chaud s’enrouler autour de ses membres et s’infiltrer dans ses vêtements pour les sécher. Ce que ça pouvait faire du bien… Un léger sourire béat aux lèvres, une dernière chaire de poule la fit frissonner et elle éternua bruyamment avant de renifler peu gracieusement.
« Mouais… Bon… Pas qu’tu mérites vu qu’c’est d’ta faute… M’ci... »
Bougonnant en le fusillant du regard, elle le remercia quand même pour son geste, gênée. Par contre, la vase séchée laissait derrière elle une lourde odeur de chou bouilli trop salé, c’était immonde… Se bouchant brièvement le nez, elle tapota ses poches pour vérifier que sa baguette était toujours là et non dans les profondeurs du Lac. La magie de cette dernière lui chatouilla les doigts et elle sourit de soulagement avant de lever les yeux.
« Bon. On va dire que je vais t’épargner pour aujourd’hui. J’suis vraiment trop gentille hein ? »
Irisia plissa les yeux en le fixant sévèrement avant d’enfoncer ses doigts dans ses poches, couinant en sursautant alors qu’une grenouille en sortit pour prendre la poudre d’escampette.
« Mais t’as intérêt à arrêter avec ton humour tout pourri et t’arrête de torturer les animaux et Aliosus ! Pigé ? Sinon ce sera dans tes caleçons que je glisserais des bombabouses ! »
L’irlandaise le fixa avec encore plus de sévérité en croisant de nouveau les bras.
« Ça te trouerait la main que d’m’aider à sortir de là, bulbe de mandragore ?! »
Cet espèce de botruc mal cuit était planté comme une endive, la regardant les bras ballants jusqu’à ce qu’elle réussisse enfin à garder son équilibre, bras écartés pour essayer de se stabiliser. Finalement, d’abord elle irait hiberner dans la salle de bain et elle le dépècerait une autre fois… Trop d’émotions pour aujourd’hui… Le laissant magouiller elle ne savait quoi, la rousse réussit à regagner l’herbe du Parc en grommelant, grelottant dans son uniforme dégoûtant et dégoulinant. Elle avait froid et elle sentait la bouse de troll, elle était au bout de sa vie là maintenant… N’osant même pas toucher à ses cheveux, tremblotant à chaque goutte qu’elle sentait rouler sur sa peau nu, Irisia serrait ses bras autour d’elle pour essayer de se réchauffer.
« Si j’veux me r-réchauffer ?! Tu c-crois que je meurs hnn de c-chaud là main-maintenant ?! »
Mais c’était quoi cette question débile ?! Elle qui avait la peau blanche naturellement, elle était livide avec les lèvres bleu ! Il croyait quoi c’lui-là hein ?! Plissant les yeux, elle lâcha un soupire et se rapprocha de la petite flamme : elle n’avait même pas la force d’être encore fâchée contre lui. Et elle ne put que fermer les yeux de contentement alors qu’elle sentait de l’air chaud s’enrouler autour de ses membres et s’infiltrer dans ses vêtements pour les sécher. Ce que ça pouvait faire du bien… Un léger sourire béat aux lèvres, une dernière chaire de poule la fit frissonner et elle éternua bruyamment avant de renifler peu gracieusement.
« Mouais… Bon… Pas qu’tu mérites vu qu’c’est d’ta faute… M’ci... »
Bougonnant en le fusillant du regard, elle le remercia quand même pour son geste, gênée. Par contre, la vase séchée laissait derrière elle une lourde odeur de chou bouilli trop salé, c’était immonde… Se bouchant brièvement le nez, elle tapota ses poches pour vérifier que sa baguette était toujours là et non dans les profondeurs du Lac. La magie de cette dernière lui chatouilla les doigts et elle sourit de soulagement avant de lever les yeux.
« Bon. On va dire que je vais t’épargner pour aujourd’hui. J’suis vraiment trop gentille hein ? »
Irisia plissa les yeux en le fixant sévèrement avant d’enfoncer ses doigts dans ses poches, couinant en sursautant alors qu’une grenouille en sortit pour prendre la poudre d’escampette.
« Mais t’as intérêt à arrêter avec ton humour tout pourri et t’arrête de torturer les animaux et Aliosus ! Pigé ? Sinon ce sera dans tes caleçons que je glisserais des bombabouses ! »
L’irlandaise le fixa avec encore plus de sévérité en croisant de nouveau les bras.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Vengeance vengeance {RP Rufus Williams}
Cette flamme était magnifique. La voir danser dans le vide de son bocal était.... hypnotique. Il aurait pu rester là à la fixer pendant des heures. Elle était bleue azur, un peu comme les lèvre d'Irisia. Elle était déjà blanche comme une asperge avant mais là elle était plutôt fantomatique. Elle était véritablement frigorifiée. Elle en begaillait. Le froid lui avait donné la crève... enfin un rhume. Elle éternua en faisant autant de bruit qu'une trompettiste .
-Merci ô grande Irisia toute sèche. Dit-il sur un ton ironique en faisant une courbette
Elle lui lança un regard sévère et Rufus etouffa un glissement de rire en voyant Irisia sursauter à la vue d'une grenouille qui sort de la poche.
-Alors au niveau des blagues désolé mais c'est peine perdue, pour les animaux à moins que tu me trouves autres chose sur quoi m'entraîner au maléfice je ne peux rien garantir. Il n'y a que pour Aliosus que tu peux avoir l'esprit tranquille. Enfin pour cette année....
Il laissa planer le silence. Irisia avait beau croiser les bras et lui lancer un mauvais regard, il resta de marbre. Il ne savait pas encore si il allait faire une blague de noël, par exemple en faisant pousser des cornes de cerf sur les plus embêtant, un peu comme des rennes. Quoique non, autant leur laisser du répit pour les fêtes...
-Bon tu veux un biscuits au final ? A moins que en Irlande les biscuits goût chocolat soient une déclaration de guerre et dans ce cas...
6ème année RP
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-Merci ô grande Irisia toute sèche. Dit-il sur un ton ironique en faisant une courbette
Elle lui lança un regard sévère et Rufus etouffa un glissement de rire en voyant Irisia sursauter à la vue d'une grenouille qui sort de la poche.
-Alors au niveau des blagues désolé mais c'est peine perdue, pour les animaux à moins que tu me trouves autres chose sur quoi m'entraîner au maléfice je ne peux rien garantir. Il n'y a que pour Aliosus que tu peux avoir l'esprit tranquille. Enfin pour cette année....
Il laissa planer le silence. Irisia avait beau croiser les bras et lui lancer un mauvais regard, il resta de marbre. Il ne savait pas encore si il allait faire une blague de noël, par exemple en faisant pousser des cornes de cerf sur les plus embêtant, un peu comme des rennes. Quoique non, autant leur laisser du répit pour les fêtes...
-Bon tu veux un biscuits au final ? A moins que en Irlande les biscuits goût chocolat soient une déclaration de guerre et dans ce cas...
Dernière modification par Rufus Williams le 29 déc. 2018, 15:24, modifié 2 fois.
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