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08 juin 2020, 22:14
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Dimanche 2 Juin
Troisième année

@Alice Sangblanc

Tu venais de te réveiller, y’a montre t’affichais six heure. On était le week-end et tu n’arrivais pas à dormir, tu n’y arrivais plus. Ton cerveau était trop rempli en ce moment, il se posait plein de question, ça te faisais mal à la tête, mais tu n’arrivais pas à oublier. Ton père te manquait, ta mère avais besoin de toi, et tu n’avais trouvé qu’à te renfermer et à aller mal. Tu ne savais pas pourquoi tu avais fait cela, maintenant un mois que ça c’était passé mais tes cheveux n’avaient pas repoussé, tu avais des marques que tu ne pouvais pas oublier.

Tu te le vas, dans la discrétion, tu ne voulais pas que quelqu’un te suive, non, tu voulais être seule, pour réfléchir, pour rêver. Tu voulais être libre, mais personne ne pouvait te comprendre. Tu aimais te perdre dans tes rêves, là où tu pouvais être en famille, là où tu pouvais sortir du château, là où tu trouverais la paix entre chacun. Mais toi, jeune fille de quatorze ans, ne pouvait rien faire. Tu avais cherché des moyens, les aucuns ne te semblaient juste. Le seul que tu avais réussi, c’était celui des rêves, où tu pouvais rêver d’un monde parfait.

Tu sortis, tu courus dans les escaliers, tu descendus les cinq étages. Tu arrivais rapidement dehors, tu respiras un bon coup, de cet air pur. Tu poses un pieds sur la pelouse quand tu te rendus compte, que tu avais oublié de mettre tes chaussures, mais tu n’avais pas envie de remonter. Tu posas l’autre juste devant, tu appréciais ça finalement, le contact de ta peau sur l’herbe encore mouillé de la brume. Tu les faisais avancer doucement, et en les regardant, tu te mis à rêver.


In his thoughts

Je me promène, oui, mon père, ce tient devant moi, transporté par des nuages. Je le rejoins, oui, il m’avait manqué, mais il n’a jamais été loin. Je le croise et le sert le plus fort possible. Je l’aime et je ne veux plus qu’il me quitte. Je l’aime, et je ne veux plus qu’il parte, je le retiendrais de toutes mes forces, il ne s’en ira plus, je me le promets, tu es déjà partit trop longtemps, maintenant tu restes à le serrer contre toi.
~~~~~~~~~~~~

Tu étais cette fille là, oui, tu étais seule, dans le parc, pieds nue dans l’herbe mouillé. De l’extérieur, on te prenais souvent pour une folle, turbulente, qui n’en faisait qu’à sa tête, on te prenais pour une fille qui séchait les cours et répondais aux professeurs. Mais pourquoi faisait tu cela? Juste pour ta liberté , tu n’étais pas embêté de personne et tu faisais ce que tu voulais, tu pouvais rêver à ta guise et parler à ton père. Tu t’agenouilles sur le bord du lac, tu y trempas tes petits pieds. Tu pensais parler à ton père dans tes rêves, mais tu prononçasse ces paroles en chuchotant mais assez pour que quelqu’un l’entende:

-Papa, j’espère que tu reviendras bientôt de cette fichu prison. Tu ne le méritais pas, je t’aime.

Tu laisses glisser une larmes sur ta joue pensant être seule.

Dis moi si quelque chose ne vas pas! Le titre et la date peuvent être changés !
Dernière modification par Elfie Chassin le 04 juil. 2020, 21:16, modifié 1 fois.

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7 ème année RP- Filière sport et soin InRP
Loustics problématique

11 juin 2020, 23:00
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Le corps d’Alice se redressa brutalement, assiégée par des milions de petites aiguilles. Ses bras l’enlacèrent immédiatement, battant chaque côté pour se débarrasser de cette douleur aussi vive que cuisante… mais cela avait disparu. Alice déglutit, encore chamboulée par ce réveil. Autour d’elle, le calme plat, les filles dormaient encore à poings fermés. Quelle heure était-il, cela, elle l’ignorait. Peu importait.
Remplaçant ses longues boucles dans son dos en quelques coups de doigts, Alice repoussa les rideaux de velours vert de son lit et le quitta silencieusement. Le contact de ses pieds sur la pierre froide du sol fini de réveiller l’enfant qui fut parcouru d’un long frisson. Elle ne parviendrait pas à se réveiller après cela.

Ils étaient peu nombreux, les élèves debout aussi tôt un dimanche matin. Tant mieux, cela laissait à Alice le loisir de se promener sans croiser trop de monde. Elle passa à la Grande Salle, chipa un petit pain encore chaud, et quitta le château.
Le soleil était encore bas, mais avait déjà offert au parc sa douce chaleur. Alice n’était pas idiote, et savait que quelque soit l’heure, il pourrait meurtrir ses chairs fragiles, c’est pourquoi la fillette avaient caché chaque parcelle de sa peau sous ses vêtements, et couvert sa tête d’une grande capeline blanche. Ses lunettes de soleil sur le bout du nez, Alice s’aventura enfin hors des ombres.

A cette heure si de la journée, le Lac Noir était encore calme, le calmar géant se réveillant lentement. Elle aimait observer ses longues tentacules flatter la surface de l’eau pour en écarter les canards matinaux. Leur cancanement offusqué donnait toujours le sourire à la fillette qui en avait drôlement besoin.
Relevant un peu sa robe de dentelle bleu pâle, Alice descendait lentement le long du parc, ses pieds glissant un peu, parfois, dans l’herbe encore brillante de rosée. Il n’était pas question de tomber, la journée était trop belle pour rentrer se changer pour quelques taches vertes.

Enfin, le lac se fit plus grand à mesure qu’elle s’en approchait. Alice souriait, heureuse de le revoir, lui, son grand ami, son confident, celui qui accueillait silencieusement les tourments de l’enfant.
De toutes évidences, il n’était pas que son seul confident.
Alice s’arrêta, remarquant enfin que son petit coin était occupée. Qui était-ce déjà ? Peu importait. Alice restait focalisée sur les mots qu’avait prononcé cette fille dont la blondeur l’aurait peut-être aveuglée si ses lunettes ne la protégeaient pas.

« Aucun des sorciers jetés à Azkaban ces derniers temps ne le méritaient » s’entendit-elle dire en réponse à la fille.

Trop tard pour partir, désormais.

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Fondatrice du MERLIN

15 juin 2020, 23:25
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Tes pieds, trempaient dans cette immensité. Le lac noir, était un de tes endroit favorit, ton esprit partait là où il voulait. Ton regard était figé, sur le grand noir, cette étendue gigantesque, qui faisait peur à certain. Tu entendais de certaine bouche qu’il y avait des créatures qui pourraient te manger, mais toi tu restais septique. Certes il y avait des créatures, mais avec les nombreuses fois où tu t’y étais baigné, il ne s’était jamais rien passé. Ton regard était figé, mais ton esprit lui, bougeait. Il rêvait, oui, comme à son habitude. Lui au Co trait de toi, était libre, libre de ses pensées, libre de ses paroles, libres de tous.

In his thoughts

Tes pas étaient coordonnées au miens. Tu me serrais fort, et je faisais de même. Tu m’avais manqué, mais je t’avais retrouvé. Je te serrais, je ne te lâcherais pas, je ne veux plus te voir partir. Tu resteras avec moi, ils ne te prendront plus. Ils ne t’emmèneront plus, je te protège. Le plus important n'est pas qui commence le match, mais qui le finit, alors tu te vengeras, j’en suis certaine .
~~~~~~~~~~~~

Ton père. C’est à cet homme que tu pensais. Ton esprit était connecté à lui, tu aimerais vivre à l’intérieur. Tu aimerais revenir en arrière, pour dire à ton père, qu’il n’aurait jamais dû aller à cet entretien, qu’il aurait du rester à la maison. Tu voulais le protéger mais il était trop tard. Tu attendais une lettre de ta mère, signifiant qu’il était revenu mais tu avais beau espérer, ce n’était pas pour tout de suite. Tu pris une pierre, et la lança dans l’eau. Tu ne savais plus quoi penser.
Tu fus surprise, d’entendre une voix, une voix, de quelqu’un, oui, pas de tes rêves. Une personnes se tenait derrière toi. Une vrai. Tu ne pensais pourtant pas avoir parlé à voix haute, mais apparemment si. Elle t’avais entendu et plus moyen de retourner en arrière. Tu te retournes et vis une fille, un peu plus petite que toi, de Serpentard. Elle était blonde et avait une cicatrice au visage. Tu ne savais pas si tu pouvais lui faire confiance, tu ne savais pas exactement qui c’était.
Tu pensais, si elle avait pu dire cela, c’est qu’elle connaissait quelqu’un aillant subi le même sort que ton père, mais il fallait t’en assurer. Tu lui adressa la parole, assez sèchement, mais sans être agressive, pour savoir si tu pouvais t’étendre sur ce sujet:

-Pourquoi dis-tu ça? Toi aussi tu connais quelqu’un qui a été envoyé là bas?

Phrase en gras pour la CDC—> 3 points

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Loustics problématique

17 juin 2020, 23:32
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Peut-être aurait-elle dû se taire, et ignorer cette fille. Sûrement, d’ailleurs. Alice n’avait nullement besoin, ni envie, de s’imposer la présence de qui que ce soit. Fallait-il mettre sa soudaine empathie sur le compte de la jolie journée qui s’annonçait. Une journée au ciel bleu, au soleil rayonnant, au vent tiède. Une journée qui tiendrait les élèves loin d’elle puisqu’ils iraient bien sûr s’abreuver des rayons solaires. Alice les observerait depuis le château, perchée à une fenêtre, ou bien assise à l’ombre d’un pan de mur. Loin du soleil, ça, c’était une certitude.

La réponse de la blonde était sèche, mais Alice ne s’en étonnait pas. Elle n’appréciait pas ce ton, ça non, mais elle ne le condamnerait pas pour l’heure. C’était bien elle qui avait interrompu la fille - troisième année, oui, ça devait être ça - alors qu’elle pensait être seule avec… les pensées adressées à son père, sans doute ?
Alice ne jugerait pas, même si elle trouvait ça bien curieux que de parler toute seule devant le Lac Noir. Le calmar géant et les merrows n’avaient que faire des tourments des élèves.

« Oui, je connais quelqu’un. » répondit d’abord Alice, ses yeux d’argent se posant alors sur le visage de la fille, à présent tournée vers elle. Troisième année, c’était bien ça.

La jeune fille passa une main dans ses longs cheveux blancs pour les remettre un peu en place, chahutés par un coup de vent.

« Mon père, en fait. » ajouta t-elle « Parce qu’il était considéré comme dangereux pour le nouveau gouvernement, je crois. A cause du métier qu’il exerçait au sein du Ministère. Ils sont nombreux dans ce cas. Azkaban déborde de sorciers jetés là sans procès. »

Passé un an, en parler etait toujours difficile, mais peut-être que la fille serait rassurée de savoir qu’elle n’était pas seule.
Rassurée. Comment pouvait-on être rassuré en entendant une telle horreur ?

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18 juin 2020, 22:09
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Tu étais toujours assise, à côté de l’eau. La fille qui te faisait à présent fasse t’intriguait. Elle avait sortit sa dernière phrase instantanément, sans réfléchir. Cela signifiait donc qu’elle était sincère, on ne lâche pas une phrase comme ceci sans aucune raison. Tu ne savais pas qui elle était, ni ce qu’elle connaissait sur cette prison. Tu te méfiait quand même un peu, au cas où, il aurait dit cela pour en savoir plus. Tu te posais justement la question du fait de est que tu aurais du continuer. Tu aurais pu l’ignorer, tu aurais pu lui dire de partir, mais non, tu l’avais insisté à rester.

Tu aurais bien eu envie de le faire au moment présent, d lui dire de s’en aller loin, mais elle continua à parler à ce moment là. Elle parla avec une sincérité, qui ne pouvait que être vrai. Tu ne pouvais que la croire. Son père était donc à Azkaban, à cause de son travail. Il connaissait peut-être ton père, ils s’étaient peut-être croisés à la prison. Mais toute joie partie aussitôt, ton père était seul dans sa cellule, certainement. Elle s’était confié, tu décidais de continuer :

-Moi aussi mon père est là bas. Il y est car il a aimé une moldue. J’aimerais faire quelque chose pour l’aider mais d’ici je ne peux pas. Ma mère m’a dit qu’elle avait un autre travail pour agir mais je ne sais pas de quoi il s’agit.

Voilà ton défaut. Tu faisais rarement confiance a quelqu’un mais avec le peu de personne qui t’avais inspiré, tu en disais toujours trop. Ta mère t’avais dit de ne rien dire à ce sujet, tu espérais que la fille d’être face ne fasse aûcune réflexion à ce sujet.

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19 juin 2020, 08:50
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Alice frictionna ses bras pour se réchauffer un peu. Il était encore trop tôt pour que le doux soleil matinal réchauffe les âmes statiques. Peut-être aurait-elle dû le prévoir et enfiler un pull au dessus de son chandail et sa chemise. Tant pis, elle s’installerait plus tard au soleil en priant pour que sa peau ne s’enflamme pas.

Ainsi donc le Conseil jetait en prison des époux de moldue ? Si c’était la vérité, il y aurait beaucoup, beaucoup de sorcier à Azkaban. Le Conseil ne s’en serait pas sorti comme ça, pas avec le nombre de sang-mêlé qu’Alice connaissait. Emprisonner des sorciers mariés à des Moldus, ce n’était pas comme emprisonner des opposants politiques. Quelque chose clochait dans le récit de cette fille.

Sa mère, moldue, travaillait pour agir ... contre l’emprisonnement de son père. C’était bien ça ? Mais qu’est-ce que cela voulait dire ? Cela sous entendait qu’elle appartenait à la résistance, et en ce cas cette fille était idiote d’en parler aussi ouvertement, mais ce ne pouvait pas être ça : c’était une Moldue ! A moins que les Moldus ne se mêle aussi de la condition sorcière ... Non, pas possible.

Alice ne fit aucune remarque, quand bien même elle en mourrait d’envie. Elle aurait pu lui confier que son propre frère appartenait malheureusement à la résistance, mais elle ne le mettrait pas en danger. Thomas lui avait déjà dit que Jacob se comportait dangereusement, il n’était pas question de risquer de lui mettre quelqu’un sur le dos. Elle ne savait pas qui était cette fille, après tout.

« Tu devrais garder pour toi ce genre de révélation » lança Alice en regardant gravement la blonde. « Déjà dire à voix haute que ton père est enfermé, ça peut faire de toi une cible de choix pour des petits malins qui auraient des parents au Conseil mais si en plus tu précises que ta mère est ... enfin, ce n’est pas très prudent. Je pourrais te dénoncer. »

Alice haussa une épaule. « Une chance pour toi que je sois du côté des gentils. »

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19 juin 2020, 11:50
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Ta mère t’avais envoyé une lettre qui disait qu’elle avait un nouveaux travail, mais tu ne voyais pas en quoi c’était mal de dire cela. Tu n’avais jamais dit de quel camp elle était. Tu avais juste dis, elle voulait agir. Tu n’avais absolument pas dis pourquoi. Mais bon, la jeune fille avait raison. Tu aurais mieux dû te taire. Tu avais fait une gaffe et tu ne savais pas comment la réparer. Tu ne connaissais pas grand chose, du monde extérieur. Tu savais qu’il y avait plusieurs camp, qui se faisait la guerre, mais tu ne connaissais rien de plus. Tu ne savais pas nom plus par qui ton père avait été emprisonné.

Tu paraissais peut être pour une fille face à la jeune fille. Tu n’avais pas envie de ça, alors tu essayas de clarifier un peu les choses:

-Toi aussi, tu m’as dit que ton père était à Azkaban. Et puis ma mère ne m’a pas dit sur quoi elle agissait, ça se trouve c’est pour un nouveau sortilège, qui sait!

Tu avais dis c’est parole, sans trop réfléchir. Elles étaient vrai, oui tu avais dit la vérité, mais tu savais au fond de toi que ta mère faisais quelque chose qui pourrait être puni. Elle n’avait pas voulu te dire quoi, c’est sûrement car elle voulait cacher une certaine information importante.
Tu levas la tête. Tu avais seulement regardé les pieds de la fille, mais quand tu vis sa tete, tu savais qui c’était. Tout le château savais. Mais tu ne voulais pas faire des conclusions trop vite alors tu parlais tout bas:

-Alice, Sangblanc c’est ça? Pour toi, c’est quoi les gentils au juste?

Le mot gentils, était vague, et changeais de tous les points de vue. Tu ne voulais pas faire d’autres erreurs, tu préférais être méfiantes à présent, même si cela ne s’avérait à rien.

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Loustics problématique

28 juin 2020, 09:06
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Alice restait silencieuse, ses bras croisés sur sa poitrine, se contentant d’écouter la fille tenter de se rattraper. Peu importait au final, Alice se moquait bien de savoir ce que faisait vraiment sa mère. Autre chose l’intéressait : le sort de son père. Jeté en prison pour être tombé amoureux d’une Moldue... c’était une drôle de raison. Cette fille devait en être toute retournée, cela expliquait facilement sa prise de parole en solitaire. Cette fille était désespérée.

Son regard croisa le sien, enfin. Elle connaissait le nom d’Alice, qui ne le connaissait pas de toutes façons ? La fille aux cheveux blancs, le fantôme, la balafrée... impossible de la rater. Alice n’en tirait malheureusement aucune satisfaction.

« Les gentils ... » répéta Alice.

Elle réfléchissait, cherchait comment formuler cela sans trop en dire. Le Merlin. Ils étaient les gentils, se voulaient des sauveurs, des libérateurs ! Pour cette fille à qui on avait arraché le père, comme à Alice d’ailleurs, le Merlin pourrait représenter bien des choses. Un moyen de se venger. Un rassemblement qui la comprendrait.

« Les gentils ce sont ceux qui trouveraient l’enfermement de ton père honteux » répondit la Serpentard sans bouger de sa place. «  Ils sont nombreux dans ce cas, à condamner les actions du Conseil, à vouloir qu’il disparaisse, que notre monde redevienne comme il était avant. Les Moldus nous ont déclaré la guerre, et le Conseil ne fait qu’attiser à la haine au lieu de la combattre. Ils ne sont pas des sauveurs, ça non. Les gentils, ils luttent contre cette haine et ceux qui la font de propager. »

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04 juil. 2020, 21:13
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
La sincérité. Ce mot en disait long et la jeune fille en fasse de toi avait l’air de le connaître. Elle parlait de chose qui t’étaient communes. De chose que tu avais déjà entendu à la maison. Ton père. Ta mère. Eux en parlait de temps en temps. L’été dernier, le moment où ta mère ne parlait que de ça. Tu commençais à saisir ce qu’elle disait. Tu étais donc une gentille. Toi, tu n’avais jamais su qui était vraiment les gentils, mais cela t’éclairait, ton père était un gentils, il s’est fait enfermer par les méchants.

Cette fille, tu ne la connaissais que de nom, et tu ne connaissais rien d’elle. Tu te levais, pour te t’approches un peu d’elle. Tu la dépassais d’un peu, elle devait donc être en deuxième année. Au fur et à mesure du temps que tu l’onservais, une question commençait à te trotter la tête, elle qui était gentille, elle devrait agir, au vu de ses propos, elle était bien informée et elle saurait peut-être t’aider.

- Heu, je me posais une question, dans tes propos, tu parles que les gentils agissent, ce qui veut dire, que tu connais un moyen pour le faire?

Non, c’était impossible, vous étiez sur une île, comment aider des gens, comment sauver ton père, alors que tu es bloqué sur une île à faire des cours. Cela ne collait pas.

-J’ai été stupide, désolée, impossible d’aider sur c’t île...

Tu soupirais...


@Alice Sangblanc désolée du retard...

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12 juil. 2020, 21:22
Les jeunes filles aux pères disparus  A.S 
Elle s’était relevée pour confronter Alice. Confronter, ou jauger, la serpentard ne le devinait pas pour l'heure. Alors, elle se contentait de regarder cette fille, soutenant son regard. C'était certainement la curiosité qui l'avait poussée à se comporter ainsi.

La curiosité, oui, c'était bien cela. Elle l’a questionnait sur ce qu'il était possible de faire pour agir. Alice avait trouvé les mots juste, et en voici la preuve.
Elle ne pensait pas qu'il était possible de faire quoi que ce soit pour combattre, ici. Comment lui en vouloir ? Elle était seulement comme les autres. Heureusement, en un sens. Cela n’éveillerait jamais les soupçons sur un possible groupe de résistance infantile.

« C'est possible » répondit Alice. « Nous pouvons agir en changeant les mentalités dans le château, en apprenant à nous défendre pour ne pas être des fardeaux si un jour nous étions à nouveau confronté à des violences comme celles du bal. Nous pouvons aussi récolter des informations pour la résistance adulte. Elle saura quoi en faire pour prendre le dessus. »

Evidemment, une pensée pour monsieur Penwyn vint lui mordiller le cœur .

« Il y a beaucoup d'élèves issus de familles moldues » poursuivait-elle néanmoins. « Ceux qui n'ont pas encore été agressé pour leurs origines le seront... sauf si quelqu'un est là pour que ça n'arrive pas. Quelqu'un comme les membres du groupe que je représente. Ou bien quelqu'un comme toi, si tu le souhaite. »

Alice s'écarta d'un pas, n'aimant pas la proximité qu'elle avait avec cette fille. Fille dont-elle ne connaissait même pas le nom. Il faudrait vite y remédier, désormais.

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