Naïda entra dans la pièce, plutôt lugubre, à l'image de sa peine, elle contempla les environs, des lavabo qui fuitent, des miroirs brisées et un vent qui siffle entre les fissurent des carreaux de fenêtre.

les sols étaient humides, et des marque de sang s'étaient incruster dans le carrelage.
Elle ce dit qu'ici personne ne l'embêterais, elle s'assit donc en dessous d'un lavabo et pris ses genoux entre les bras. Sa tête viens ce poser contre ses genoux et elle ce laissa aller pensent être en sécurité loin du monde.

la rouquine renifla et s'essuya larmes après larmes, elle repensait à ses parents qui le lui manquaient terriblement et a la douce voix de sa mère lorsqu'elle chantait pour elle. Et même si elle n'aimait pas ce faire coiffer elle rêverais ressentir à nouveaux les doigt fin et délicat de sa mère sur sa chevelure.

Et elle ce dit que Lalouna est sa punition pour ne pas avoir assez profitez de ses bons moment, sa sœur était plus calme et plus câline et avait fini par remplacer la serpentard dans le cœurs des parents.

soudain elle entendu des pas et une voix l'appeler, elle ce lève en sursaut en ce demandant comment Maude l'avait retrouver. Décidément on ne lui laissait pas respirer, pourquoi ne voulait t'elle pas laisser la rouquine tranquille, au lieu elle ne faisait que l'étouffer. Naïda ce releva si soudainement qu'elle ce cogna contre le dessus du lavabo et fini complétement sonner . Elle vis simplement une silhouette et celle-ci le lui parler avant de sombrer à demi dans le sommeille, la voix de Maude devenant de plus en plus lointaine.

Je pris mon courage à deux mains et je pénétrai dans les toilettes. Les allures glaciales, cassées et tout le reste me firent regretter d'être rentré. Les miroirs étaient cassés, les lavabos sales et les carreaux miteux et Mimi Geignarde, la fantôme le plus pleurnicharde et énervante, lorsqu'elle le voulait, de Poudlard volait en riant. J'entendis au loin des sanglots et je sus tout de suite que la personne qui les poussait était Naïda. 

Je fus soudain prise de nouveaux remords. Peut-être que les reproches que je lui avais fait avait été trop blessants. Mais je l'avais fait sans le vouloir ! Ne pas aimer sa soeur, je trouvais cela presque impossible, improbable, à chaque fois que je repensais à ma petite Lola qui était toujours à Ipswich, j'avais une envie de transplanter et de lui faire un énorme câlin. Il fallait absolument que je comprenne le problème et que je joues la carte de l'humour pour la faire comprendre que ce n'était pas une raison valable. Ce n'était pas une raison valable pour ne pas lui envoyer un petit mot.

Je m'avançais alors pour trouver Naïda. Elle était appuyé à une colonnade, couché par terre et inconsciente. Elle s'était cogné ! J'accourus pour m'accroupir à côté d'elle. En sentant sa tristesse et son évanouissement,  je ne pouvais plus rien lui reprocher ni la gifle, ni sa froideur, rien du tout. Elle était juste une petite vulnérable affrontant ses démons. J'essayais de la réveiller en lui répétant dans l'oreille son prénom. J'évitais tout contact pour ne pas me faire renvoyer méchamment si elle faisait semblant et je m'assis à quelques centimètres d'elle. Elle ouvrit les yeux et me regarda avec un regard complètement brouillé. Brouillé par les larmes et la douleur du choc. Je commençais alors à lui parler de tout et de rien. Pour que sa transe ou elle se rendormait toutes les vingt secondes s'arrêtent. De mon arrivée à Poudlard, mon appréhension, les cours, les devoirs, les rencontres. Je voulais détendre l'atmosphère avant d'entrer dans le vif du sujet. Après avoir monologué pendant de longues minutes. Je me tournais vers elle. La regardant avec bienveillance depuis mes yeux ambrés et je lui dis d'une voix douce :

"Je te pardonne tout Naïda !"

Et je détournais mon regard espérant qu'elle voudrait bien parler et que ça soit réciproque. Soudain, elle se releva un peu en se frottant les yeux mouillés par les larmes.

Quand la jeune enfant retrouva ses esprit elle fut face à Maude, qui semblait le lui parler mais à ce moment précis elle ne comprenait rien à ce qu'elle le lui racontait et espérait juste que sa douleurs à la tête disparaisse. Elle referma les yeux, essaya de ce concentrer sur sa camarade et ce qu'elle le lui disait afin d'entrainer sa petite tête endolori à reprendre du travaille. La voix de l'aiglonne semblait venir d'un songe, voir d'encore plus loin.

Naïda ce demandait pourquoi celle-ci s'intéressait tant à elle et ses soucis, Naïda considérait qu'elle n'avait aucun compte à rendre et n'était pas obliger de ce confier à n'importe qui.

Puis la rouquine ne savait pas ce confier, elle n'a jamais us l'occasion de le faire, avant ses six ans elle ne considérait avoir aucun problème puis ensuite, ses parents l'on délaisser et toute les autres personnes susceptible de la conseiller c'est à dire les grandes personne. C'est ainsi que Naïda ne sais et ne s'est jamais confier à qui que ce soit.

Elle considérait ceci, comme ce plaindre et ce plaindre c'est pour les faible celons elle et Naïda n'était pas une fille faible.Au fils des minutes la voix de Maude ce fit plus distincte et Naïda ce frotta ses yeux en tentant de ce redresser.

"Je te pardonne tout Naïda !"

Dit la jeune sorcière en s'adressant à notre personnage.

Quoi?? ce dit-elle. On aurait dit que les deux enfant ce connaissait depuis des lustre alors que non elle venait juste de ce rencontrer, pourtant Maude tenait à la faire parler et lui confis son histoire et le faite qu'elle le lui pardonne. Mais qu'elle genre de fille est elle? Une masochiste sans aucun doute ou alors Naïda est complétement perdu.

- Pardon?? ( dit elle montrant son incompréhension) Pourquoi cherche tu autant à m'aider? tu ne me connais pas et je ne t'avait rien demander ? pourquoi t'intéresse tu autant à moi?écoute, je ne parle jamais de mes problème et j'aime pas me confier! Je n'ai simplement jamais appris d'accord? Je me sens juste oppresser par toute tes question et c'est très inconfortable. Tu comprend ce que je dit?

puis elle souffla et rajouta.

C'est tout ce que je voulait éviter, déjà ça ce n'est pas moi je parle pas comme ça d'accord? Tu a cru que tu pouvait débarquer dans ma vie et me faire changer en gentille petite aiglonne prête à parler problème?

Demande la sorcière sans vraiment le reprocher, elle ce sent juste découverte, mis à nu, et cela la gainais plus que tout.

C'est tout ce que je déteste chez les autres! Ce plaindre constamment, et oui je déteste Lalouna car elle ma voler ma vie et est aussi une copie de moi, mais une copie ou ce trouverait toute ma faiblesse, elle s'autorise à pleurer, moi jamais! ou alors je le montre pas.

C'est la première fois que la jeune fille demande une autorisation mais cette fois elle ferait une exception.

Maude, est ce que je peut aller dormir, je t'en pris? Tu ma pousser à parler, je suis juste fatiguer complétement vider.

- Pardon ?? Pourquoi cherche tu autant à m'aider ? tu ne me connais pas et je ne t'avait rien demander ? Pourquoi t'intéresse tu autant à moi ? Écoute, je ne parle jamais de mes problème et j'aime pas me confier ! Je n'ai simplement jamais appris d'accord ? Je me sens juste oppresser par toute tes question et c'est très inconfortable. Tu comprend ce que je dit ?

Naïda venait de se relever. De sortir de sa transe et elle m'avait dit cela d'un coup. Je comprenais parfaitement. Moi non plus je n'aimais pas me confier sur certaines choses de ma vie. Mais j'aimais aider les autres même si je pouvais être un peu énervante en voulant les aider. C'était une qualité que j'avais et qui passais parfois pour un défaut. Ma curiosité et mon empathie pouvait fatigué les autres parfois. Puis elle rajouta encore en soupirant à différents moment :

C'est tout ce que je voulait éviter, déjà ça ce n'est pas moi je parle pas comme ça d'accord ? Tu as cru que tu pouvait débarquer dans ma vie et me faire changer en gentille petite aiglonne prête à parler problème ? C'est tout ce que je déteste chez les autres ! Ce plaindre constamment, et oui je déteste Lalouna car elle ma voler ma vie et est aussi une copie de moi, mais une copie ou ce trouverait toute ma faiblesse, elle s'autorise à pleurer, moi jamais ! ou alors je le montre pas.

Soudain je compris tout, elle se sentait abandonnée. Complètement remplacé par sa petite soeur. Elle avait déjà un caractère assez particulier et les couches que l'on rajoutait devait l'affaiblir ou la forcer encore plus à cacher ses émotions des autres. Mais elle n'avait pas encore compris que sa soeur ne le faisait pas exprès et que si elle essayait de prendre contact avec elle, en la comprenant elle pourrait apprendre à la connaître. Si elle prenait le temps d'en parler avec ses parents. Peut-être que ça réglerait les choses. Puis elle me demanda :

"Maude, est ce que je peux aller dormir, je t'en pris ? Tu m'as poussé à parler, je suis juste fatigué complétement vidé."

Je lui répondis sincèrement en essayant de peser mes mots pour ne pas me refaire gifler comme il y a une trentaine de minutes :

"Tu sais Naïda, je n'essaye pas de changer en gentille aiglonne ni encore pire en une Pouffy adorable. Je veux juste te permettre de te libérer. Moi, j'ai trois frères et soeur cadets, ce qui signifie que j'ai eu trois occasions de penser perdre l'amour de mes parents. Mais tout au contraire, j'ai toujours vu le bon côté des choses avec eux. J'ai toujours trouvé et cherché les bons côtés pour profiter de ma fratrie. Je pense que c'est juste une jalousie entre soeurs. Tu devrais essayer d'en parler avec elle, apprendre à la connaître, pouvoir penser qu'elle n'est pas la petite fille qui t'a volé l'amour de tes parents car je pense que c'est ce qui te rebute avec elle. Tu devrais peut-être parlé également avec eux. Leur confier tout, ce sera nettement plus facile après ! Mais après, si tu préfères dormir en sachant, en pensant que personne ne t'aime tu te refermeras encore plus sur toi. Si tu n'as pas des aveux et des discussions importantes avec les membres de ta famille. Tu ne seras jamais sûr de rien et tu te feras de fausses idées. Alors si tu préfères cela. Je n'ai cas te laisser, je n'ai cas partir car moi, je n'ai aucun problème avec ma famille et encore moins avec mon adorable et parfaite petite soeur !"

Et je me levais. Je ne sais pas pourquoi je continuais à parler avec elle. Elle devait être assez égoïste pour vouloir accaparer ses parents et pas assez ouverte d'esprit pour apprendre à connaitre Lalouna sa petite soeur. J'espérais qu'elle changerait d'avis et qu'elle essayerait de comprendre tout ce que je lui avais dit.

Fin du RP pour moi   À suivre 

La jeune fille ce releva après un discours assez mâture et bienveillant, mais aussi dure qui laissait entendre que Naïda n'obtiendrait rien de bon si elle de son côté n'y m'était pas du siens.

Du siens? Elle ne voyait pas trop pourquoi après tout elle avait grandi en ce faisant a cette solitude et ce qui pouvait être banal même important pour d'autre comme jouer avec sa soeur ou demander ses parents, cela était pour Naïda tout bonnement irréalisable, elle en était proprement incapable.

Du moins pour le moment après tout, le monde ne s'est pas fait en deux jours et Naïda ne pourrais changer si rapidement.

Malgré tout les paroles de Maude résonnait dans sa belle tête rousses. Tout cela ne lui plaisait absolument pas, elle n'aimait pas réfléchir et ce poser tant de question.

Pour le moment l'heure ce faisait tard et s'étant déjà pas mal livrer elle préférais s'en arreter la pour ce soir. Elle avait besoin de repenser à tout cela mais seule et au calme.

- Je t'en remercie Maude ! Mais je me suis déjà pas mal mise à nu pour ce soir, s'il te plaît garde cette conversation pour toi! Et je suis désolée pour la claque mais j'aime pas montrer ce que je ressens, je préférais que tu me déteste plutôt que tu me voyent pleurer.

Naïda ce dirige vers la sortie mais ce ravise et fini par dire:

Bonne nuit Maude