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20 mai 2019, 20:20
Problème de nuit
Je m'étais réveillée en sursaut. Un grattement continu me parvenait et il était impossible de ne pas l'entendre. Pourtant, mes camarades de chambre dormaient paisiblement. Je ne suis pas si courageuse, mais j'essaye de l'être. Donc je suis partie voir d'où provenait ce grattement et dans le meilleur des cas, le faire taire, pour dormir aussi paisiblement que mes camardes. Je parcourais les couloirs, sachant que je n'étais pas sensée le faire. Alors je me cachais longtemps sous un meuble, je me collais au murs si quelqu'un venait. Mais soudain une ombre apparut sur le mur. Même les aveugles ne pouvait pas la rater. Elle était grande et massive. Je n'avais aucune idée de ce que cela pourrait être et apparement c'est dangereux. Je me sentais si menacée. Et en même temps le grattement avait cessé. C'était donc cette chose qui le produisait. Ni une, ni deux, la chose se lance à ma poursuite. Le seul refuge que je trouve, c'est une porte. Je rentre. Je vois la créature continuer. Fiouf! J'ai failli y passer. Je me retourne. Je constate avec horreur que je me trouve dans les toilettes abandonnées. J'ai trouvé refuge mais dans les toilettes abandonnées! Sérieusement? Je me laisse tomber contre la porte. En pleine nuit. J'ai peur d'ouvrir la porte, au risque de me faire attraper par un prof ou par le monstre. Impossible de crier à l'aide. Soudain, une silhouette frêle apparaît. Je hurle.
Dernière modification par Emy Pavanil le 15 juin 2019, 22:33, modifié 1 fois.

non non non et non
je n'suis pas d'accord avec beaucoup de choses

05 juin 2019, 01:28
Problème de nuit
J'étais perdu. Complètement perdu. Une soudaine rage de recherche s'était emparée de moi et j'étais resté beaucoup, mais alors beaucoup trop longtemps à la bibliothèque. Caché entre deux rangées à peine éclairées, entouré de livres relatant de l'histoire de la sorcellerie nord-américaine, j'étais passé inaperçu par la bibliothécaire. Il était largement dépassé l'heure du couvre-feu lorsque mon côté rationnel l'emporta sur mon obsession. Ou plutôt lorsque ma vessie l'emporta. À force de me perdre, je m'étais doucement habitué aux escaliers et leur variabilité, mais cette fois-ci, j'étais soit trop fatigué, trop pressé, ou trop concentré à éviter les professeurs pour remarquer à quel point je m'éloignais de mon objectif.
 Ce n'est que quelques couloirs plus tard que la réalisation me frappa. Un grattement, presque inaudible au début, me fit sursauter. C'était sans doute un professeur. En effet, ceux-ci patrouillait avec vigilance et j'étais même surpris de n'en avoir rencontré que quelques-uns. N'ayant aucune idée où me cacher cette fois-ci, je sprintai vers la première porte et m'y engouffrai. Après quelques minutes du grattement incessible, j’observai la salle dans laquelle j'avais pénétré.  Des toilettes!
Elles étaient peu décrépites, sans doutes abandonnées, mais j'en fit bon usage sans tarder, soulagé de pouvoir régler au moins un de mes problèmes. Le but était maintenant de retrouver le chemin de la salle commune, chose entravée par le grattement toujours plus assourdissant. Plongé dans mes pensées, je remarquai à peine que le grattement s'était arrêté et que la porte s'était refermé.  Tout de même intrigué, je me dirigai vers l'entrée des toilettes.  Adossée contre la porte se tenait une fille, c'est ce que je puis déduire en tout cas. Puisqu'elle restait accroupie et qu'elle n'était certainement pas un prof, je m'approchai doucement. Au premier regard qu'elle me jeta, elle se mit à crier. Mon cri accompagna aussitôt le sien. Un réflexe mal accueilli pour cette heure tardive à l'extérieur du dortoir.  Je plaquai une main sur ma bouche, puis sur la sienne. Pas question qu'un professeur nous surprennent. Son cri étouffé se perdit bientôt dans un silence malaisé.
Je portai un doigt à mes lèvres avant d'enlever ma main de sa bouche. Je tendu l'oreille, attendant la venue presque inévitable de quelqu'un. Elle n'arriva jamais. J'inspirai un bon coup avant de lui murmurer:

- Hey. Je m'appelle Matthew.  Que fais-tu ici aussi tard?   

Question idiote à laquelle une réponse m'en demanderait une en retour. Trop tard, ce qui était dit, était dit. Je l'observai un moment, guettant un signe qu'elle pourrait me trahir. J’espérais que non, sinon nous serions cuits touts les deux.  

15 juin 2019, 11:00
Problème de nuit
La silouhette était celle d'un garçon. Je ne voyais que ses yeux briller. Il accompagna mon cri, puis mis une main sur sa bouche et sur la mienne. Il posa un doigt sur ses lèvres. Je ne compris pas immédiatement, mais je me tus. Je le regardais attentivement. J'étais assez déstabilisée devant un garçon; je ne savais que faire avec mes mains, avec mes yeux et avec ma bouche.
Je voulu dire quelque chose, mais aucun son ne put sortir de ma bouche.
"Emy, dit quelque chose, enfin! Ne soit pas sotte, c'est une personne de race humaine qui se tient devant toi."
"Allons, Emy, tu ne vas pas rester comme ça à jamais tout de même"
Le silence malaisant m'appuyais les épaules tandis que me levais et essuyais les larmes de mon visage.
Si je ne faisais pas le premier pas, je ne me le pardonnerai pas. Alors là non. Je ne pouvais pas bien voir le garçon qui se tenait devant moi. J'étais plantée dans le sol, droite comme un piquet.
Au moment où il parla, je reconnus sa voix. Je l'avais entendue, mais je ne sais plus où. Si. Dans un de mes rêves.

- Hey. Je m'appelle Matthew. Que fais-tu ici aussi tard?

Sur le moment je ne sus quoi répondre. Je connaissais ce garçon. Son nom de famille était… Je ne savais plus.

- Heu...Je… Paf.. Plouf…

Mais quelle idiote!
Je me lançais avec timidité.

- Je m'appelle Emè… heu, Emy. J'ai été réveilléé par un gratt gratt, enfin je veux dire par un grattement. J'ai été poursuivie par un truc très chelou….

Quelle sotte j'étais!

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26 juin 2019, 23:07
Problème de nuit
Un instant, un silence si court, mais si long dans la pénombre et le décor délabré des toilettes. Puis finalement sa voix s'élève.

- Heu...Je… Paf.. Plouf…

Un petit rire failli m'échapper. L'instant d'horreur et d'attente s'était finalement arrêter pour laisser place à un petit sourire de ma part. La jeune fille semblait gênée, énervée même. Je n'en était pas mieux, seul la fatigue m'empêche de totalement m'empêtrer dans mes mots ou de penser à ceux-ci avant de les dire. La fille se relança avec un peu plus de confidence m'apprenant finalement son nom:

- Je m'appelle Emè… heu, Emy. J'ai été réveilléé par un gratt gratt, enfin je veux dire par un grattement. J'ai été poursuivie par un truc très chelou….

Emy... Emy... Je croyait bien l'avoir entendu quelque part ce nom, sûrement en cours.  Mais ce ne fut pas son nom qui me frappa le plus, plutôt ce fameux grattement. Je l'avait bien entendu moi aussi, j'avais plutôt pensé que c'était un professeur. Une supposition plutôt crédible avec les temps qui courent. Et j'avais bien d'autres choses à penser à ce moment. Tout de même, son hypothèse n'était pas mauvaise. Des créatures bizarres, l'école devait en avoir vu des centaines, mais ce n'était rien pour me rassurer.  

- Ah... Euh..Ok, d'accord. C'est...c'est pas très rassurant c'est sûr. On devrait peut-être retourner dans nos euh...dortoirs. Il est plus de...de... de minuit assurément. Et les pro..pro..

Un énorme bâillement coupa net mon inquiétude. Je m'excusais avec un petit rire gêné avant qu'un nouveau me prenne par surprise. Mon corps était épuisé et il m'en donnait des nouvelles. Alors même que j'entamais un troisième bâillement menaçant de me décrocher la mâchoire, un son strident retenti suivi d'un glouglou peu naturel même dans des toilettes décrépites. C'était comme un crissement que produirait deux métaux rouillés frottés l'un contre l'autre. Il en retentit un deuxième, semblant plus proche que le premier. Ceci me réveilla complètement et un cri perçant s'échappa d'entre mes lèvres. Un cri que je qualifierais dans le futur de «totalement masculin».

28 juin 2019, 19:14
Problème de nuit
Je ne savais que faire et cela devenait gênant. Puis Matthew se lança:

- Ah... Euh..Ok, d'accord. C'est...c'est pas très rassurant c'est sûr. On devrait peut-être retourner dans nos euh...dortoirs. Il est plus de...de... de minuit assurément. Et les pro..pro..


Que répondre à cela? Mais au même moment, il bâilla trois fois. Bon, ce n'était pas le pire. Il semblait qu'un bruit commençait à paraître… Et des maux de tête aussitôt. "Un son strident retenti…" Arrf… Quel était cette voix si familière dans ma tête? "Un glouglou peu naturel...peu naturel…" Je compris vite à qui appartenait cette voix. Matthew Roy. Je ne sais pas comment je pus connaître son nom de famille, mais je le connaissais. Il parlait dans ma tête. Et il s'avera que ce qu'il disait était totalement vrai. "Matthew...Emy… je … me souviiiiiennnss…" Bien sûr que je connaissais ce garçon, mais je ne parvenait pas à savoir d'où je le connaissais.
- Matthew… Je… je…
"Emyyy… Souviens-toi!! Matthew… il t'a déjà vu et je… tu l'as rencontré… Arrf, Emy… Ne pense plus à ça!! Emy…. Je le connais…"
Un cri perçant cassa le vague silence qui n'était pas si silencieux que ça. Le cri continua dans ma tête en perçant le bouclier qu'était mon crâne. Il continua à circuler entre mes neurones en me les brûlant.
- Matthew… Aide-moi...
Le cri s'arrêta net. Puis je m'évanouis. Ou alors suis-je morte.

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02 juil. 2019, 03:30
Problème de nuit
Définitivement, ce glouglou n'était pas naturel. Il était même plutôt inquiétant. Le teint que prenait ma campagne l'était tout autant. Après le bruit étrange et ses conjectures mentales, Emy avait peu à peu perdue de ses couleurs et chancelait dangereusement. J'allais m'approcher d'elle, lui demander si tout allai, mais elle me coupa dans mon élan: 

- Matthew… Je… je…

Un instant, elle me chuchotait, inaudible presque, et l'autre le son retentissait une deuxième fois. Que ce ne fut qu'un effet de mon cerveau ensommeillé, je n'en sais rien, mais  une panique primale s'empara de moi.  J'avais peut-être par la même occasion coupé Emy, mais sur le moment je n'y pensait plus. Un simple cri, faible comparé au mien, me fit reprendre conscience:

- Matthew… Aide-moi...

Je me tus et Emy s'écroula.  Je me précipitais pour la rattraper avant qu'elle ne rencontre le sol, mais je n'y arriva pas. Sa tête rebondit sur le carrelage craquelé avant de tomber mollement sur sa droit. Mon coeur se serra, paniqué à l'idée qu'elle soit blessée ou qu'un professeur nous trouve, ou que la créature nous attrape, ou pire encore. Je me devais de reprendre mes esprits, un fille était inconsciente à mes pieds, il était plus de minuit et la sécurité de château était encore plus serré qu'avant paraissait-il.

 Deux choix s'offraient à moi: aller chercher de l'aide au risque de nous faire durement réprimander ou la réveiller moi-même et risquer qu'elle soit réellement amochée suite à sa suite.  Pas questions de la mettre mal devant les professeurs. Peut-être était-elle première de classe ? Quelques petites tapes, un peu plus fortes à chaque fois sans succès. J’espérais qu'un peu d'eau, recueillie des nombreux robinets fuyants, la réveillerait, mais n'était-ce qu'une espérance futile?

02 juil. 2019, 22:36
Problème de nuit
Je crois qu'il m'aidait. En vrai, j'espérais. Lorsque j'avais senti ma tête buter contre le sol horriblement dur, je ne pus rien faire ni rien dire. Il paraît que lorsque on meurs, on voit sa vie défiler. Je n'étais absolument pas sûre de la voir défiler. Matthew devait m'aider. Il avait parler dans ma tête, et je ne savais pas quoi faire à ce moment-là. "Aide-moi. Matthew. Aide-moi." Je savais qu'il devait m'aider. Je fus agréablement surprise lorsque j'entrevis sa tête terrifiée à travers mes paupières closes. J'espérais lui avoir transmis un message. 
"Aide moi. Matthew. Aide moi"
Je pensais fort à son cerveau en m'imaginant mon message passant au travers de ses neurones. 
Je voulus me relever, mais je fis autre chose:


- Matthew... 

C'est la seule chose que je dis. Puis je tombais dans une sorte de coma. À ce moment-là je sentis des picotements dans les bras, le visage et les jambes. Je revis ma mère, qui à cette heure-ci devait dormir. À mon père, qui devait être également en train de dormir. Je pensais à ma soeur. Aimée. Oui son prénom était bien Aimée. J'en étais jalouse. Je me réveille en sursaut, Matthew devant moi. 

- Ma vie est une succession d'échecs. dis-je.

Je sentis un milliard de picotements. Puis ensuite un tremblement. Puis rien. C'était fini.

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13 juil. 2019, 03:23
Problème de nuit
À travers tout mes scénarios, mes claques, la panique qui m'empêchait presque de respirer, mes yeux embrouillés et mes oreilles bourdonnantes, je perçois à peine un léger mouvement de ma camarade et un faible «Matthew». Des paroles inconnues s’étaient entremêlées dans le flot incessant de pensées s'entrechoquant et insistaient de plus en plus, «Aide moi. Matthew. Aide moi.» J’accoure aux lavabos, recueillant l'eau s'échappant des robinets dans une tentative désespérée de réveiller Emy.  L'eau s'écrase contre son visage, éclaboussant son pyjama par la même occasion. Mon cerveau me fournit une image très clair d'Emy complètement furieuse d'avoir sa chemise de nuit trempée. Je chasse vite cette pensée,  essayant au meilleur de mes capacités de me concentrer sur la Gryffondor en face de moi. Ses doigt tressautaient légèrement et ses paupières papillonnaient.  Aussi soudainement qu'elle était tombée, elle se réveilla.

- Ma vie est une succession d'échec, dit-elle.

En un souffle, une phrase, toutes mes inquiétudes et signes de crise s'évaporèrent, remplacées par un «Quoi» digne de mon frère. Je ne criais pas au quotidien ou très rarement, alors le volume dans ma propre tête me surprit un peu. Pourtant, j'étais tellement déconcerter devant une tel réaction à sortir d'un coma. Je l'observai un moment, l'air ahurit certainement avant de me décider de faire quelque chose.

- Quoi?... Euh non... J-J-Je veux dire... dire.... Est-ce que ça..va? T-T-Tu viens de tomber les vapes, je sais, mais..mais...euhm.  Tu vas bien?

Mes cheveux étaient soudainement très intéressant. Ma fatigue, maintenant complètement disparue suite à l'adrénaline des dernières minutes, ne m’empêchait plus de bégayer. Je relevais le tête un petit sourire graciant mes lèvres.

16 juil. 2019, 11:27
Problème de nuit
Il répondit toujours bégayant :

Quoi?... Euh non... J-J-Je veux dire... dire.... Est-ce que ça..va? T-T-Tu viens de tomber les vapes, je sais, mais..mais...euhm.  Tu vas bien?

Il releva la tête, un sourire étirant ses lèvres. Je me sentais très bien, ce qui était tout de même très inquiétant, vu ce qui m'était arrivé. Mais le plus inquiétant c'était le sourire de Matthew. Je ne l'avais pas vu sourire jusqu'ici. Ce sourire me fit rire aux éclats. Ce n'était pas mal intentionné, je riait de bon coeur. 

- Oui, je vais bien. Merci. Je voulais te dire quelque chose...

Je ne finis pas ma phrase. Je ne pouvais pas lui dire. Ça le mettrait tellement mal à l'aise... Mais qu'avais-je vraiment à lui dire ? Quelque chose important. Quelque chose qui aurait pu... Changer un truc important. Je ne savais pas de quelle façon lui dire. 
Nom d'une chocogrenouille, mais bien sûr ! Par la Pensée !! 
Je le regardais dans les yeux. Je souris sans le vouloir. Je me mis debout. Je me lave le visage. Et puis quoi encore ? Je voulais dormir. Mourir. Quelque chose ! Dans ma tête je voulus dire une insulte contre la vie, mais je me retins fort. 
"Dis-lui, Emy."
J'avais les cheveux mouillés et les gouttes d'eau coulaient sur ma peau lisse comme sur un toboggan. 
Je  ris un peu. Puis j'attendais.

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je n'suis pas d'accord avec beaucoup de choses

19 juil. 2019, 03:01
Problème de nuit
Un silence assourdissant. Puis un rire éclatant. Je ris nerveusement. Avais-je fais une si mauvaise impression?  

-Oui, je vais bien. Merci. Je voulais te dire quelque chose...

Elle ne fini pas sa phrase, elle semblait confuse. Que voulait-elle me dire? Quelque chose d'important? Les sourcils froncés, j'espérais déceler une lueur de réponse. Seulement quelque temps plus tard me regarda-t-elle droit dans les yeux. Ses yeux vert d'eau semblait s'illuminer sous l'effet d'une soudaine idée et d'un petit sourire. Elle se lève et se dirige vers un lavabo moins abîmé que les autres. Je la suis doucement, ne sachant trop quoi faire d'autre.

Quoique je devais bien allez emmagasiner quelques heures de sommeil, quelque chose, non quelqu'un me disait de rester. Une force invisible entrait dans ma tête entre les informations qui m'avait garder éveillé et mes imageries.  Des paroles inintelligibles au début, puis de plus en plus clair. Des cheveux mouillés, des gouttelettes sur des joue lisse et un toboggan comme celui de mon chez moi. Un message, une image, une copie conforme de la Gryffondor devant moi.

Un petit rire retentit quelque part hors de ma tête me ramenant à la réalité. Un souffle m’échappa, j'avais les yeux comme des assiettes. Mon regard se tourna immédiatement sur Emy.  Comment était ce possible? Que s'était-il passé? Les mots me manquait:

-Quoi? Q..quand? Co...comment?  

Ça en était trop. Une fille que je connaissait vaguement venait de me transférer un message télépathiquement. C'était extraordinaire, mais était ce aussi bizarre que je le pensais dans le monde magique.

-Je... je devrais y aller. Désolé! Il est... t..tard et, Désolé.

Je me précipitais vers la sorties les pensées en désordre. tout à coup, je m'écroulais de tout mon long, un «Clang!» métallique retentissant à mainte reprises derrière moi.  Un rideau rouge se drapa sur mes joues et je me relavais, courant vers ma salle commune espérant jeter de la lumière sur toutes les nouvelles informations et possibilités.

FIN